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LE MICROCRÉDIT POUR PERMETTRE L’ACCÈS À

L’ÉNERGIE-LE CAS DES QUARTIERS SUD DE


BUENOS AIRES.

PREMIÈRE PARTIE : LA MICROFINANCE POUR L’ACCÈS À L’ÉNERGIE.

MICROFINANCE ET ÉNERGIE : DEUX SECTEURS

A) Les avantages à utiliser le micro crédit.

- Permet de lever les barrières posées par le coût initial : permet l’accès
au financement

- Chacun des acteurs exerce son propre savoir-fairecoopération des


acteurs

- Opportunités pour les IMF de diversifier leurs services financiers +


Opportunité pour les entreprises d’énergie d’avoir accès à un nouveau
marché

B) De nombreuses réticences à utiliser le microcrédit pr l’accès à l’énergie.

- Méconnaissance entre les acteurs. Difficultés à faire coincider la cible,


l’entreprise d’énergie et les IMF. Méconnaissance des produits
énergétiques des IMF ; méconnaissance des possibilités de financement
des fournisseurs de produits d’énergie ; méconnaissance des intérêts et
des bénéfices d’accéder à un service moderne d’énergie.

- Faire concilier le montant du prêt aux besoins : IMF prêtent souvent des
petites sommes, insuffisant pour l’investissement en énergie,
contrairement aux banques de fonds qui prêtent des sommes trop
importantes. Les modèles financiers classiques proposés par la
microfinance ne sont pas adaptés aux produits et services énergétiques
(adaptation nécessaire des taux, durées, et garanties)

- Risque financier. L’investissement en énergie est très couteux, et


surtout sur le long termeà l’inverse du micro crédit qui concerne des
petites sommes et qui est sur le court terme
Les entreprises énergétiques rechignent à étendre leurs services aux zones
défavorisées : pensent qu’ils n’ont pas les moyens pour rembourser et qu’ils ne
paieront pas leurs factures.

LA SOLUTION : UNE TRIPLE ALLIANCE SOCIÉTÉ CIVILE, IMF, ET SOCIÉTÉ D’ÉNERGIE.


A) L’innovation du commerce inclusif : le commerce avec la base de la
pyramide est rentable.

Explications théoriques de ce modèle.


Explication du capital social et du développement communautaire

B) Application de ce modèle au secteur de l’énergie.

- L’importance de l’ONG comme « stakeholder »


- Description du rôle de chacun des acteurs : communauté civile, autorité
locale, IMF, et entreprise distributrice du gas.

1999 à l’ONU: le Pacte mundial pour implication des entreprises


Alianzas publico-privadas para el desarollo » Fernando Casado Caneque.
P.3
Une Alliance pr le devt= elle a pour objectif de générer un impact positif sur le
dévt et améliorer l’accès aux biens et services de bases. La provision de ces
biens est de responsabilité publique, elle est politiquement et émotionnellement
sensible p/r aux citoyens, et de ce fait, garantir son accès exige de maximiser
l’efficience de la gestion, ce qui peut conduire à capitaliser les ressources.
A la différence de qq autre alliance publique-privée, un acteur nécessaire pour le
bon fonctionnement de ce type d’alliances et le « troisième secteur », cad org°
de la société civile (ONG, association civiles, universités, syndicats…). Sa
formation en tant « société civile organisée » et son expérience dans
l’implantation de projets sociaux et dans l’identification de nécessités locales fait
de ce secteur un agent incontournable.
p.7
Consensus de Monterrey, NU, 2002 affirme que les entreprises ont la
responsabilité de participer au processus de devt, tout comme les banques et
institutions financières.
p.10
Avantages et inconvénient des alliances pour le devt.
Face aux failles du marché, des mauvaises politiques publiques et/ou du manque
de moyen financiers pr le devt ces alliances proposent une solution pour des pb
qui n’en avaient pas.
Compétences stratégiques complémentaires
Partage des risques, des bénéfices et son interdépendants
Trouvent des solution novatrices
St pr les gouvernements : une source supplémentaire de ressources financières,
technique et de connaissances.
Apportent soutient technique, matériel et fi à la société civile
Secteur privé : partager les risques, acceder à de nouveaux contrats, et devt des
produits et des services orientés vers la base de la pyramide. Et améliore sa
connaissance de l’accès aux communautés des pays pauvres.
Elles ont le potentiel de générer une valeur ajoutée significative ds l’agenda
global du devt et jouer un rôle important pour pallier aux inéficiences du marché,
au manque de transparence et de gouvernance, à une administration publique
inefficace ou la carence en infrastructure.
P.11 : les inconvénients.
p.13 : les principales difficultés dans l’analyse de ces alliances est que l’on ne
sait pas précisément ce qu’est une alliance.
Le mot « alliance » a une connotation positive qui sous entend générer des
relations harmonieuses entre diff membres pour réussir un objectif commun, ms
cette conception ne reflète pas la réalité puisque les alliances ne suivent pas un
processus harmonieux ni un processus simple, et c’est rare q les diff parties aient
une vision commune (Altenburg 2005).
p.14 : la nécessité de travailler en alliances révèle :
- L’incapacité des gouvernements et des organismes internationaux à répondre
seuls aux pb.
- Le rôle de plus en plus important du secteur privé et de la société civile dans la
fourniture de biens et services publics.
- La nécessité d’établir de nouveaux codes de gouvernance ds la gestion des
biens et services publics face à la montée en puissance des nouveaux acteurs
non étatiques.
p.15 : très bon tableau, à aller revoir.
Secteur public : accomplissement de la loi ; c’est une q° de « droits »
Secteur de l’entreprise : investissement et activité commerciale ; c’est une q° de
« bénéfices »
Société civile : le devt social, c’est une q° de « principes ».
p.17 La responsabilité du secteur public
8e objectif du millénium : fortifier la gouvernance, lutter contre la corruption,
diriger une partie de leurs ressources pour les services de base, créer des
stratégies de réduction de la pauvreté intégratrices et consensuelles avec la
société civiles.
P.18 Réforme des réglementations et renforcement de l’Etat de droit pr éviter q
des produits politiques artificiels ne viennent limiter le devt éco. Normalisation pr
limiter éco informelle, impliquer secteur privé ds l’élaboration de politiques
p.20. par ex : dev I° qui assurent le droit de la propriété intelectuelle, exiger des
conditions de travail décentes, respect des droits de l’homme, et formation des
travailleurs et des jeunes ; assurer la qualité et l’efficience du capital physique du
pays en terme d’infrastructures et de services de base.
P.20 Le rôle du secteur privé
C’est le moteur essentiel de la croissance éco et son devt est facteur de
réduction de la pauvreté, et son activité peut permettre l’accès aux biens et
services de base pour les communautés pauvres. Etudes montrent que le devt
éco est bon pr la réduction de la paubreté (p.21).
Pr cela il faut que les communautés les plus pauvres soient inclues ds la croi éco.
Deux apports principaux : permet augmentation des ressources des plus pauvres
d’une part ; d’autre part permet amélioration des conditions de vie.
Doit reconnaître les besoins et les possibilités de marché de la base de la
pyramide. P.23 : 1er but des entreprises est donc de fournir en service de base
cette pop
p.25 Le troisième secteur
A tjrs eu un grand rôle dans la réduction de la pauvreté par l’empowerment des
communautés les plus pauvres, et en s’assurant que leur voix soit entendue et
leurs intérêts prit en compte.
Definition du rapport Cardoso. Pas de but lucratif (entreprise) ou de gouvernance
(secteur public).
p.26Activités principales : sensibilisation et prise de conscience, observation et
vigilance p/r aux pol pub ; travail de mise en relation des réseaux ; rôle
d’investigation et de recherche, coordination des mvts de la soc civile.
Forte augmentation du nombre d’org° de la société civile/ Moyen de pression sur
le gouvernement, i° public et internationales. Touche tous les secteurs.
Coopération est centrale pour vérifier que les plus pauvres soient intégrés au
devt. Mbres de la soc civile doivent avoir un rôle d’observateur critique du plan
de devt, et proposer des innovations
Améliorer la rendition de compte du système
Devt des réseaux ac la base de la pyramide : sont les intermédiaires.
p.30 Un nouveau concept de devt.
Avt on pensait que les entreprises ne cherchaient que le profit, et que l’Etat était
le seul en charge de la fourniture des services de base.
Ms ajd : entreprises vont plus loin que le simple bénéfice. Gvt refusent leurs
responsabilité en privatisant les secteurs de base, et bcp ONG n’atteignent pas
tous les pauvres et sont très largement dépendantes du financement publix et
des intérêts de leurs financiers privés.
D’un côté echec du marché et du libéralisme à garantir accès aux biens de base.
Le constat de cet echec (90’s)nécessité d’I° publiques fortes.
De l’autre côté, ineficience du service publique. Les gvt, comme principaux
responsables des biens de base, n’ont pas été capables de les garantir de
manière satisfaisante : inéficience, manque de ressources, buraucratisation de la
gestion
Dans certains pays le gvt ne fait rien pour les pauvres.
Carence du marché et faille du service public.

p.35 : les différents types d’alliance. (initiée par I° publiq, secteur privé etc…)

Negocios Inclusivos o de base de la piramide. Una oportunidad de


desarrollo en el marco de la RSC.Veronica Silva

El impulso del empresariado: el potencial de las empresas al


servicion de los pobres. PNUD

La responsabilité sociale de l’entreprise et application du Pacte global


en Argentine.

Doc: La responsabilidad social empresaria: ¿sólo un discurso?


Alcances, logros y desafíos del pacto global en Argentina: una visión desde los
integrantes. Maria Lara Goyburu.

DEUXIÈME PARTIE : LE CAS PARTICULIER DE L’ARGENTINE, ET

TOUT PARTICULIÈREMENT DES QUARTIERS SUD DE BUENOS


AIRES.
LA SITUATION PARTICULIÈRE DE L’ARGENTINE : SORTIE DE CRISE ÉCONOMIQUE ET
SOCIALE, ET PRIVATISATION DU GAZ.

A) L’Argentine au sortir de la crise de 2001 : une situation financière et


sociale qui pose problème au développement du micro crédit mais qui
pousse à la recherche d’une solution

1) Impact de la crise sur les habitudes de crédit.

2) Impact de la crise sur les foyers argentins.

B) La réforme du gaz en Argentine

1) Historique

2) Conséquences

LE QUARTEL V, QUARTIER SUD BUENOS AIRES : UNE « COMMUNAUTÉ


DE
ORGANISÉE » POUR PERMETTRE AUX HABITANTS D’AVOIR ACCÈS À L’ÉNERGIE
MALGRÉ LES OBSTACLES CITÉS.

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