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I.

Problématique

La société STZ située à Zaghouan est une société « SARL » spécialisée dans le secteur de
soins thermaux, qui connaît une privatisation dernièrement.

Cette société a vécu des problèmes qui sont à cause de sa mauvaise organisation sur le
niveau ;

D’immobilisation incorporelle : logiciel totalement amorti

Immobilisation corporelle : installation obsolète

Augmentation de charge salariale

Insuffisance de segment markéting

Donc comment évoluer l’activité et la productivité de la station, Son charge salariale, son
solde intermédiaire et son équilibre financier ?

En suite quelles sont les solutions possibles proposées pour améliorer l’activité, le politique
marketing, moyens humains et sa situation financière et structurelle de la station ?

Afin de répondre à cette problématique nous allons réaliser un diagnostic économique et


financier ce dernier permettent de porter un jugement sur la situation financier de

Afin de répondre à cette problématique nous consacrons une première partie pour définir la
notion de privatisation, Puis nous allons réaliser un diagnostic économique et financier. Ce
dernier permette de porter un jugement sur la situation financière de la société « STZ »
opérant dans le secteur des soins thermaux par suite nous proposons d’un éventail des
solutions en terme de son activité, sa politique marketing, ses moyens humains et sa situations
financière et structurelle.

Etude de Cas « STZ » Page 1


II. La privatisation :

1) Définition et principe de la privatisation :

La privatisation est l'opération consistant à transférer par la vente d'actifs, une activité, un
établissement ou une entreprise du secteur public au secteur privé. La privatisation est dite
partielle si seulement une partie du capital est vendue. L'opération inverse de la privatisation
est la nationalisation.

Les autorités publiques renoncent ainsi à ses pouvoirs dans la société et ses parts de
dividendes contre une somme d'argent fixée par les deux parties. Le recours à cette technique
est favorisé par la recherche d'efficacité et de rentabilité d'une part. En effet, il est connu que
les opérateurs privés sont plus enclins à répondre à ces préoccupations. D'autre part,
la privatisation d'une entreprise publique résulte d'une décision purement financière. Elle
permet de réduire, à court terme, les dettes de l'État. Il s'agit aussi d'une méthode pour trouver
des moyens de financement privés sans recourir à l'emprunt.

Le concept de privatisation est souvent lié à des outils pour améliorer la concurrence, qui
aident les entreprises à améliorer leur structure de coûts, permettant aux produits d'être de
meilleure qualité et à des prix inférieurs, favorisant le consommateur.

Les débats sont fréquents sur les secteurs ou les domaines à privatiser ou non, en tenant
compte de points tels que la sécurité, le bien-être des citoyens, la justice sociale ou différents
points de vue idéologiques ou politiques.

La privatisation s'agit d'une décision influencée par le désir de respecter les règles
budgétaires.

Les adversaires des privatisations considèrent que certains secteurs d'activité n'ont pas
vocation à appartenir au secteur privé, mais doivent rester dans le giron de l'Etat ou de la
collectivité :

 Les secteurs stratégiques comme l'eau, l'électricité.


 Les secteurs où les infrastructures représentent un investissement tel que celui-ci ne
peut être réalisé que par l'ensemble de la collectivité : réseau ferré, réseau d'accès de

Etude de Cas « STZ » Page 2


télécommunication, autoroute, distribution postale. Les excès du libéralisme en
matière de privatisation ont montré leurs limites dans ces domaines : électricité en
Californie, réseau ferré en Angleterre.
 Les secteurs de monopole de fait : aéroports.
 Les secteurs d'intérêt général.

2) Les objectifs et les raisons de la privatisation :


Les objectifs, souvent idéologiques, de la privatisation peuvent être multiples :

 Réduire l'interventionnisme de l'Etat dans l'économie,


 Ouvrir à la concurrence un domaine d'activité jusqu'alors en situation de monopole,
 Donner plus de souplesse aux entreprises (nomination des dirigeants, prises de
décision),
 Apporter des recettes supplémentaires à l'Etat (mais ces recettes n'ont lieu qu'une seule
fois)

3) Exemple des entreprises concernées de la privatisation :


À noter que la privatisation peut concerner les entreprises publiques de divers secteurs :
CONFORT en 1988

SNDP société nationale de distribution de pétrole en 2005

Banque de sud SB en 2005

SITEX la société industrielle de textile en 1979

Les comptoirs Sfaxiens en 1989


STB : la Banque Franco Tunisienne (BFT) en 2007
La société tunisienne de la sidérurgie en 2010

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4) Les conséquences et les effets :

La privatisation d'une entreprise publique impacte la vie de trois acteurs principaux :

Pour l’Etat :

L'intérêt pour l'État est strictement financier. En effet, il peut réduire durant un court ou long
terme ses dettes. Les pouvoirs publics ont la possibilité de rembourser les créanciers
rapidement, surtout si le pays en question traverse une crise économique.

Pour l’entreprise

La privatisation apporte des changements plus ou moins importants pour l'entreprise publique.
Voici la liste des principaux avantages :

 Réduction ou absence du contrôle de l'État dans l'entreprise

 Adaptation de l'entreprise aux mécanismes du marché

 Augmentation des investissements des actionnaires

 Plan de financement plus intéressant


 Mise en place de réglementations tournées vers l'optimisation des profits pour les
investisseurs

 Révision des règles internes puisque la réglementation étatique laisse place aux instruments
législatifs destinés au secteur privé

 Multiplication des financements privés


 Ouverture plus généralisée à la concurrence.

Pour les clients

Pour les clients, l'impact d'une privatisation se ressent généralement au niveau des tarifs des
services proposés. L'entreprise publique devient logiquement une société privée. Toutefois,
les sociétés privées ont besoin de davantage de fonds pour fonctionner correctement, ce qui
implique l'augmentation des prix proposés.
Au cours de l’opération de privatisation on doit être considéré au cas par cas pour trouver
l'équilibre entre ce qui est bon avantageux l'État, l'entreprise et les clients.

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5) Les avantages de la privatisation :

Les avantages économiques de la privatisation sont aujourd'hui largement reconnus et


peuvent comprendre: le renforcement de l'efficacité et de la performance des entreprises; le
développement d'une industrie compétitive servant correctement les consommateurs; l'accès
aux ressources, au savoir-faire et aux marchés qui permettent la croissance; l'agencement
d'une saine répartition du pouvoir dans l'entreprise; l'élargissement et l'approfondissement
des marchés financiers; enfin, bien entendu, l'obtention du meilleur prix possible à la vente.

Grâce au phénomène économique de la privatisation, les agents individuels et collectifs du


spectre privé d'un pays peuvent participer au contrôle et à la propriété de différentes industries
et secteurs de la vie économique. Ainsi, ils améliorent le niveau de compétitivité de la nation
et l'éventail des entreprises présentes sur le marché.

Dans le même temps, la privatisation suppose la réduction du pouvoir de l'Etat dans le


quotidien financier et commercial, donnant plus de poids aux agents privés et le
gouvernement est chargé de la surveillance des marchés.

De par sa nature et sa définition même, l'entreprise privée cherche avec le développement des
entreprises et l'exploitation des biens et services à maximiser son profit, tandis que l'État
cherche à satisfaire les besoins des citoyens.

Les partisans de la privatisation des moyens de production soutiennent souvent que


l'entreprise privée est généralement un meilleur gestionnaire que l'État, qui est empêché de
s'acquitter efficacement de cette tâche par la bureaucratie ou ses nombreuses responsabilités.

6) Les inconvénients

La privatisation massive a toutefois des inconvénients. Le principal risque est que la


dispersion du capital s'accompagnera d'un manque de focalisation sur l'efficacité de gestion et
du pouvoir nécessaire pour l'assurer. Cela peut faire fuir les nouveaux investisseurs potentiels.

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7) Les méthodes de la privatisation :

Certaines formes de privatisation sont :

o Vente d'anciennes entreprises publiques à des agents privés.


o Transférer les fonctions d'administration des biens et services publics à des privés, qui
n'en deviennent pas propriétaires mais peuvent se charger de leur exploitation pendant
une certaine période. Cela se fait généralement par le biais de concours publics.
o Privatisation partielle, dans laquelle l'État achète certains services à des entreprises
privées afin de ne pas avoir à les développer lui-même.

III. L’analyse de la situation


1) l'analyse de l'équilibre financier

a- le fond de roulement

2014 2015 2016


formule les capitaux propres -les actifs immobilisées

calcule (790 246) (819 640) (805 135)


interprétation Dans notre cas, le FDR est négatif, les ressources durables sont très
insuffisantes pour couvrir l’intégralité emplois stables
Le FDR relève de manière infaillible une situation grave dans
l’entreprise

b- le besoin en fonds de roulement


2014 2015 2016

formule actif courant -passif courant


calcule (803 436) (832 829) (805 135)
interprétation Pour les trois années le besoin en fonds de roulement est négatif donc
l'entreprise ne pas le besoin de financer son cycle d'exploitation, ceci
est dû au fait de sa nature et niveau d'activité aussi bien sa politique
commerciale.

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c- la trésorerie nette
2014 2015 2016

formule FDR-BFR

calcule 13 190 13 189 0

interprétation la trésorerie nette pour les deux premières années est positive en
voisinage de zéro, c'est une situation acceptable. pour l'année 2016 la
trésorerie nette est nulle (égale à 0), cela signifie que les ressources
couvrent tout juste les besoins de l'entreprise. Cette situation est
délicate, car toute variation au niveau du fonds de roulement ou du
BFR pourrait mener à une trésorerie nette négative.

100,000
l'equilibre financier
50,000
0
-50,000 2014 2015 2016
-100,000
-150,000
-200,000
-250,000
-300,000
-350,000 FDR
-400,000
-450,000 BFR
-500,000
-550,000 TN
-600,000
-650,000
-700,000
-750,000
-800,000
-850,000
-900,000

2) structure des charges

2014 2015 2016


Achats 12% 57 522 9% 37 700 8% 43 360
d'approvisionnement.
consommés
Charges de 29% 135 118 32% 127 549 27% 144 379
personnel

Etude de Cas « STZ » Page 7


Dotations aux 38% 178 587 37% 148 468 24% 125 687
amortissements
/provisions
Autres 5% 21 861 6% 24 401 22% 118 514
charges
d'exploitation
Charges financières
nettes 5% 23 826 13% 50 080 9% 48 709
Autres pertes 11% 53 835 2% 9 097 9% 47350
ordinaires (avec un
signe moins)
Impôt sur les 0% 1 667 0% 258 0% 373
bénéfices (avec un
signe -)
100% 472 416 100% 397 553 100% 528 372

En 2014 les dotations aux amortissements et prévisions représente une grande partie des
charges de 38% en suite les charges personnel de 29%. En 2015 le dernier connaître une
augmentation de 3 points mais les dotations aux amortissements reste le plus grand part des
charges. En 2016 les charges de personnel représentent le plus grand part des charges Malgré
le déclin de 5 points, les dotations aux amortissements connaissent une diminution de 13%.

40%
Achats d'approvisionn.
35% consommés
30% Charges de personnel
25%
20% Dotations aux
amortissements
15% /provisions
Autres charges
10% d'exploitation
5% Charges financières nettes
0%
2014 2015 2016

Etude de Cas « STZ » Page 8


3) analyse avec les ratios
a) ratio d'activité

2014 2015 2016

formule (chiffe d'affaire N-chiffre d'affaire N-1)/chiffre d'affaire de N-1


calcule - -22% 44%
Au cours des deux années (2015 et 2016), on constate qu'il y a
une baisse du chiffre d'affaires de l'entreprise
interprétation de 22% puis une augmentation de 44%

evolution duchiffre d'affaire

400000
350000
300000
250000
200000 chiffre d'affaire
150000
100000
50000
0
2014 2015 2016

Etude de Cas « STZ » Page 9


b) les ratios de rentabilité

- rentabilité générale

2014 2015 2016


formule Résultat net comptable/CA hors taxe
calcul (0,56) (0,65) (0,41)
Au cours des trois années, le ratio de rentabilité de l'entreprise en
fonction de son chiffre d'affaires est négatif c'est-à-dire en 2014,
pour 303,060 D du chiffre d'affaires réalisé, l'entreprise génère une
perte de 169,713 D En 2015, pour 235,206 D du CA réalisé,
l'entreprise génère une perte de 152,889 D et en 2016, l'entreprise
interprétation réalise une perte de 139,0162 D pour 333,064 D réalisé

-Rentabilité nette de l'exploitation

2014 2015 2016

formule Résultat d'exploitation/CA hors taxe

calcule (0,30) (0,44) (0,27)


Au cours des trois années, la rentabilité nette de l'exploitation de
l'entreprise est négative c'est-à-dire le cycle d'exploitation par
interprétation rapport au modèle économique de l'entreprise n’est pas rentable

c) ratio de productivité

2014 2015 2016


formule CA ou VA ou excédent brut d'exploitation/ nb salarié
calcule 12627,5 9800,25 14128
Au cours des trois années, le ratio de rentabilité de l'entreprise est
positif c'est-à-dire qu'il y a une efficacité entre la quantité produite
interprétation et la quantité du travail utilisée

Etude de Cas « STZ » Page 10


4) tableau des soldes intermédiaires de gestion TSIG

soldes intermédiaires de
gestion 2014 2015 2016
chiffre d'affaire 303060 235206 339064
Achats consommés 57522 37700 43360
marge commerciale 245538 197506 295704
production de l'exercice 0 0 0
Marge globale 245538 197506 295704
Charges externes 21861 24401 118540
Valeur ajoutée 223677 173105 177164
impôts et taxes 0 0 0
charges de personnel 135118 127549 144379
excédent brut
d'exploitation 88559 45556 32785
dotations aux
amortissements 178587 148468 125687
résultat d'exploitation -90028 -102912 -92902
produits financiers 317 9329 51808
charge financières 23826 50080 48907
résultat financier -113537 -143663 -90001
charges ordinaires 53835 9097 47350
résultat courant -167372 -152760 -137351
impôt sur les bénéfices 1667 258 373
résultat de l'exercice -169039 -153018 -137724

EBE : Son montant doit être suffisamment élevé pour permettre à l’entreprise d’assurer la
couverture de ses charges financières, le renouvellement de ses immobilisations, le paiement
de l’impôt sur les bénéfices et l’autofinancement de l’entreprise. Malgré, l’indicateur est
positif, mais on parlera d’insuffisance brute d’exploitation (IBE). L’IBE révèle alors que
l’entreprise est dans une position délicate car ce solde ne prend pas encore en considération

Etude de Cas « STZ » Page 11


les dépenses liées à ses investissements et à son financement. On conclure que le résultat de
l'exercice est négatif durant les 3 années Et c’est fondamentalement de retour a
l’augmentation des dotations aux amortissements qui entraîne un résultat d'exploitation
négative aussi

5) ratios de la répartition du VA
b- VA revenant t à l'Etat

2014 2015 2016


formule
impôt et taxe/VA
calcule
0,006 0,001 0,002
L’Etat perçoit de la VA une partie de 0.6% ,0.1%et 0.2%
respectivement dans les années 2014,2015 et 2016 ; Il y a une
diminution de cette partie dans les deux derniers années par rapport
interprétation au 2016

c- VA revenant aux préteurs

2014 2015 2016


formule
charges financier/VA
calcule
0,107 0,289 0,276
La valeur ajoutée revenant aux préteurs
au cours des 3 années est positive ; il y a une augmentation de
cette valeur ajoutée en 2015 et une baisse en 2016 insignifiante
interprétation par rapport à l’augmentation de 2015

d- VA revenant aux salariés

2014 2015 2016


formule
charges personnels/ VA
calcule
0,604 0,737 0,815
La valeur ajoutée revenant aux salaries
au cours des 3 années est représente plus de 60% de la VA et il y a
interprétation une augmentation de cette valeur

Etude de Cas « STZ » Page 12


e- VA revenant à l'entreprise

2014 2015 2016


formule
Résultat net/ VA
calcule
-0,756 -0,884 -0,777
La valeur ajoutée revenant à l entreprise
au cours des 3 années est négative ; il y a une baisse de la valeur
interprétation ajoutée au cours des 3 années

6) les principaux problèmes de l’entreprise


a- Problèmes sur le niveau de l’activité et la rentabilité
• Activité n’est pas rentable (ratios de rentabilité général négatives)
• Diminution de la VA de l’entreprise
• VA revenant à l’entreprise négative
• Insuffisant brut d’exploitation
• Charges d’exploitation en évolution
• La concurrence des activités similaires
b- Problèmes sur le niveau de ses moyens humains
• Augmentation des charges salariales
• VA revenant aux salariées présentent plus de 60%
c- Problèmes sur le niveau de la situation financière et structurelle
• Immobilisations corporelle et incorporelle amortis (augmentation des
dotations aux amortissements)
• Augmentation des créances client de 49% entre 2014 et 2016
• FDR négative et en diminution
• TN en diminution atteint 0 en 2016
• Augmentation de charges financières (VA revenant aux préteurs)
• Résultat financière négatif
d- Problèmes sur le niveau de sa politique de marketing
 La cible visé est petit et n’apport pas de profit
 Faible stratégie marketing

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IV. Proposition d’un plan d’action
1) Les objectifs du plan
Consiste à trouver des solutions pour améliorer ;
- L’activité et la rentabilité de l’entreprise
- Le politique marketing
- Les moyens humains
- La situation financière et structurelle

2) Les différentes actions


a- Sur le niveau de l’activité et la rentabilité
 Actions à long terme
 le développement des produits pouvant être compétitif à long terme
 faire du thermalisme un produit de qualité répondant aux normes
international en mesure d’attirer une clientèle étrangères et de
contribuer ainsi aux apports en devises
 Actions à moyens et court terme
 élargir la gamme des prestations proposées
 développement des prestations par la mise en place de service
balnéothérapies et touristique capable d’accueillir plusieurs type de
clientèle
b- Sur le niveau des moyens humains
 Actions à long terme
 Améliorer les compétences des employés
 Actions à moyens et court terme

 Agir sur les heures supplémentaires

Les employés prestent des heures supplémentaires, sur lesquelles


l'employeur paie un surcoût élevé.

On parle de la petite flexibilité :

Etude de Cas « STZ » Page 14


La petite flexibilité vous permet de laisser vos employés prester un peu
moins pendant les périodes calmes, pour compenser les périodes plus
chargées où ils travaillent davantage.

Si les fluctuations sont relativement limitées, à savoir 2 heures en plus


ou en moins par jour, et 5 heures en plus ou en moins par semaine, vous
ne devez pas payer de sursalaire.

Un exercice de planification un peu complexe pouvant vous permettre


de réaliser des économies structurelles.

 L'optimisation salariale,

En tant qu'employeur, vous devez également verser des "cotisations


patronales" en plus de ce salaire brut.

C'est pourquoi il faut font un usage intelligent des chèques-repas, des


bonus, des warrants et d'autres systèmes pour économiser des coûts
salariaux inutiles.

 Payer les primes de résultats sous une forme collective

Les sommes versées en application d’un accord d’intéressement sont


exonérées de charges sociales pour l’employeur comme pour le salarié.

Elles peuvent, de plus, être exonérées d’impôt pour le salarié, si celui-ci


les place cinq ans dans un plan d’épargne entreprise. Pour cela, l’accord
doit être conclu préalablement entre l’employeur et les organisations
syndicales.

c- Sur le niveau de la situation financière et structurelle


 Actions à long terme
 Améliorer la TN via l’augmentation des ventes des services et
l’augmentation des capitaux permanants
 Recourir a une augmentation de capital ou a un emprunt à moyens et
long terme
 la réparation des installations techniques et l’acquisition de nouveaux
matériels

Etude de Cas « STZ » Page 15


 Actions à moyens et court terme
 La bonne gestion du BFR par la maitrise des flux de trésorerie
 Identifier des axes de financement des créances clients

d- Sur le niveau du politique marketing


 Actions à long terme
 Marketing du tourisme curatif et de santé
 Actions à moyens et court terme
 Visant plusieurs générations et plusieurs services par la sensibilisation
et la fidélisation de nouveaux groupes cible composée de les trois
générations
 Une bonne stratégie de communication sera composée d’action en
phase avec l’image que souhaite véhiculer la société (les 4 p de
marketing)
3) Les parties impliquées
 Le personnel de l’entreprise
 Les clients de touts les générations et sur le territoire national et international(les
touristes)
 Des nouveaux collaborateurs
4) Les critères de réussite

Le but d’un plan d’action est surtout de parvenir à lier les actions les unes avec les autres.
En faisant cela :
 On arrive plus facilement à comprendre les conséquences de chaque tâche
 On arrive mieux à les anticiper
 On évite d’être pris au dépourvu
 On parvient à créer des scénarios qui nous permettent de savoir comment réagir.

Un plan d’action pertinent doit donc prévoir un maximum d’hypothèses pour chaque action.
 Il doit également laisser le moins de place possible au hasard ou à l’improvisation.
 Il n’est pas question de prévoir absolument tout lorsque vous essayez de définir votre
plan.

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Cela est tout simplement impossible. Il faudra vous préparer à garder une part d’improvisation
et de spontanéité à certains moments clefs.
Cependant, un plan bien ficelé vous permettra de garder le contrôle de la situation dans de
nombreux cas et de vous approcher, pas à pas, de votre objectif.

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