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L'ENTREPRISE : UNE STRUCTURE PRODUCTIVE ET UN GROUPEMENT HUMAIN

1. Comment définir l'entreprise ?


a) c'est une communauté humaine
b) c'est une fonction sociale essentielle
c) l'entreprise mobilise et rémunère du travail et du capital
d) c'est une unité permettant de créer des marchés de distribution

2. Quels sont les principaux objectifs économiques de l'entreprise ?


a) rentabilité
b) conquête de marchés
c) profit
d) assurer l'épanouissement humain
e) permettre de réguler les activités non polluantes

3. Quels sont les objectifs non économiques de l'entreprise ?


a) assurer un service public (électricité, transport ferroviaire...)
b) avoir une certaine productivité
c) se soucier des préoccupations sociales (procurer un emploi, assurer un revenu, permettre l'insertion sociale
par le travail...)
d) s'assurer un monopole sur un marché

4. Qu'est-ce que la production ?


a) la transformation de ressources conduisant à la création de biens et services
b) la combinaison du travail, du capital technique et des consommations intermédiaires
c) la condition préalable à toute activité de l'entreprise
d) une étape pour la réalisation des objectifs sociaux de l'entreprise

5. Quels sont les rôles économiques de l'entreprise ?


a) c'est une unité de production
b) c'est une unité de répartition
c) c'est une forme de consommation intermédiaire
d) c'est une entité sociale

6. Quelles sont les charges couvertes par la valeur ajoutée ?


a) impôts et taxes
b) amortissement du matériel
c) frais financiers (intérêts d'emprunts...)
d) répartition du profit

7. Quels sont les rôles sociaux de l'entreprise ?


a) c'est une entité sociétale
b) c'est un groupement humain (lieu d'épanouissement ou de frustration)
c) c'est un centre de décision qui fixe des objectifs et définit les moyens à mettre en oeuvre pour les atteindre
d) c'est une cellule de base de la vie en société, une entité sociale
e) c'est un pôle d'échange d'informations entre les partenaires (clients/fournisseurs, Etat/collectivités
locales...)

8. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des approches théoriques de l'entreprise ?
a) théories classiques des organisations
b) Ecole des relations humaines
c) Ecole des relations sociales
d) Ecole de la régulation

9. Parmi les auteurs suivants, lequel ou lesquels ont analysé l'entreprise, son organisation et son rôle ?
a) FAYOL
b) MASLOW
c) HERZBERG
d) KEYNES
e) FRIEDMAN

10. Que préconise TAYLOR à travers l'OST (Organisation Scientifique du Travail) ?


a) séparation des tâches
b) décomposition du travail
c) spécialisation des individus
d) regroupement social des individus
e) recomposition du travail en tâches globales
11. Quelles sont les conséquences de la forme d'organisation préconisée par TAYLOR ?
a) hiérarchie importante
b) centralisation de l'information entre les mains de l'encadrement
c) déresponsabilisation de l'encadrement
d) meilleure ambiance de travail
e) augmentation du rendement et de l'efficacité

12. Comment FAYOL analyse-t-il le rôle des dirigeants de l'entreprise ?


diriger, c'est :
a) prévoir
b) coordonner
c) connaître
d) gérer
e) organiser

13. Parmi les propositions suivantes, quels sont les nouveaux principes de management ?
a) direction par objectifs
b) décentralisation et délégation
c) autonomie recentrée
d) division sociale du travail
e) séparation des tâches de conception et d'exécution

14. l'OST signifie :


a) organe social du travail
b) organisation et symbole du travail
c) organisation scientifique du travail
d) organisation de la science du travail

15. On compte parmi les nouveaux principes d'organisation du travail :


a) La polyvalence des salariés
b) la séparation des tâches d'exécution et de conception
c) La parcellisation des tâches
d) le travail en groupe (équipes semi-autonomes...)

16. Selon le courant des relations humaines, parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont à
prendre en compte ?
a) pour obtenir de bons résultats, il faut s'intéresser aux salariés en tant que personne
b) pour rendre l'entreprise plus performante, il faut accorder de l'importance à l'étude des relations entre
l'homme et son travail
c) seuls les besoins matériels influencent le travail de l'homme
d) il est superflu de valoriser les ressources humaines et le capital humain puisqu'il s'agit d'un investissement
immatériel
L'ENTREPRISE CITOYENNE

L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de
l'_________________________________________________________________ et de
l'_________________________________________________________________.

L'entreprise doit apporter sa contribution au


_________________________________________________________________. Dans un contexte de crise
économique et d'intensification de la concurrence la première fonction de l'entreprise n'est- elle pas de
survivre et si possible de dégager du profit même si cette priorité s'exerce au détriment des salariés, clients ou
partenaires ? Cette vision traditionnelle est aujourd'hui remise en cause par de nombreux auteurs et les
problèmes d'environnement, d'exclusion, tout comme la persistance du chômage ont conduit à l'émergence
d'un nouveau concept : _________________________________________________________________.

De fait, il ne s'agit nullement de faire le procès de l'entreprise en tant qu'organisation ou agent économique.
L'objectif est de montrer que l'entreprise est citoyenne et que
_________________________________________________________________ et qu'elle doit, dans son propre
intérêt et dans celui de la société, tenir compte de
l'_________________________________________________________________ dans tout processus de décision
et dans toute action entreprise.

Les rôles économique et social de l'entreprise ne sont pas dissociables. En fabriquant des biens et en
fournissant des services, elle procure des
_________________________________________________________________ à la population active et
distribue des _________________________________________________________________. Elle organise le
travail humain en fonction des qualifications qui lui sont nécessaires : elle contribue donc à orienter la
_________________________________________________________________ des individus. Elle est également
le principal centre d'innovation, entraînant le
_________________________________________________________________. Elles influencent plus ou moins
sensiblement les besoins et les styles de vie par les publicités, les points de vente, qui révèlent des besoins et en
modifient la hiérarchie. Elles modèlent la vie des régions par leur secteur d'activité, leur taille (aide au
_________________________________________________________________…). Elles apportent une
contribution à la résolution de grands problèmes de société
(_________________________________________________________________…).

L'entreprise n'a plus pour seule finalité de satisfaire ses actionnaires, ses clients, ses salariés, elle doit
également se comporter comme le ferait un bon citoyen et faire preuve de
_________________________________________________________________. Elle est concernée par le
chômage, l'exclusion sociale, les problèmes de la région… et elle doit
_________________________________________________________________.

A ces rôles traditionnels, l'on peut ajouter de nouveaux rôles que se doit de tenir une entreprise qui se veut
_________________________________________________________________.

La _________________________________________________________________ de l'entreprise consiste à


procurer du travail contre une rémunération des salariés (donc il y a redistribution de la valeur ajoutée). Elle
recouvre également la _________________________________________________________________, il s'agit
de former pour préserver l'_________________________________________________________________ des
salariés (adaptation, évolution des qualifications, plans de carrière...). On peut aussi lui reconnaître un
nouveau rôle social. Celui d'insérer : on parle alors
d'_________________________________________________________________ par la reconnaissance sociale,
l'épanouissement personnel et professionnel, l'aide aux travailleurs en difficulté, aux handicapés, aux
chômeurs de longue durée.

La _________________________________________________________________ de l'entreprise est


primordiale. En effet, les problèmes d'environnement deviennent un souci majeur des chefs d'entreprise.
L'écologie est à la fois :

Créatrice de _________________________________________________________________ : dépollution,


recyclage des matériaux (le décret d'avril 1992 sur le recyclage des emballages est une contrainte légale),
nouveaux matériaux…

Source de préoccupations par les


_________________________________________________________________ que toute activité fait courir à
l'environnement : pollution, destruction de la couche d'ozone par les CFC (chlorofluorocarbones), effets
négatifs de certains produits chimiques (CFC, engrais, pesticides…)

L'entreprise qui n'intégrera pas les


_________________________________________________________________ dans sa réflexion risquera de se
heurter aux réactions agressives d'une partie de ses clients et de l'opinion publique (produits bio, refus des
OGM..). Au contraire, celle qui en aura conscience et trouvera des solutions au-delà de ce que la loi exige, se
créera une _________________________________________________________________ toujours positive (ex.
Leclerc qui a incité les consommateurs à utiliser des sacs réutilisables et a développé une campagne de
communication sur ce thème).

Elle a également un rôle primordial à jouer concernant


l'_________________________________________________________________. Il faut éviter que des zones se
désertifient alors que d'autres deviennent des zones urbaines trop denses. Les entreprises bénéficieront donc
d'_________________________________________________________________ pour s'installer dans les
régions menacées d'exode ou seront pénalisées en cas d'installation dans des endroits trop urbanisés.

Sa _________________________________________________________________ n'est pas à négliger pour


organiser des manifestations culturelles en partenariat avec les grands acteurs culturels (opéras….) ou
promouvoir les arts et les lettres (restauration de monuments, conservation du patrimoine…).

Traditionnellement, on oppose le _________________________________________________________________


qui met en oeuvre des techniques de communication agressives destinées à améliorer la notoriété de
l'entreprise et le _________________________________________________________________ qui vise plutôt à
agir dans le sens d'une meilleure insertion de l'entreprise au sein de son environnement. Le mécénat fait
appel à des techniques plus douces et conduit l'entreprise à soutenir essentiellement des
_________________________________________________________________.

L'entreprise influence donc la société et aujourd'hui elle est considérée comme étant un
_________________________________________________________________ : on parle d'entreprise
citoyenne. Ainsi l'entreprise citoyenne se sent concernée par les grands problèmes économiques et sociaux de
notre temps et contribue à leur solution. Elle doit en particulier agir contre le chômage, l'exclusion sociale et
même le retard de développement du tiers monde.

En définitive, l'entreprise citoyenne est celle qui


_________________________________________________________________. L'entreprise doit être au service
de l'homme et non le contraire.

On parle de la _________________________________________________________________ de l'entreprise


qui concilie son intérêt et celui de la société.

"la responsabilité sociale de l'entreprise"


agent économique socialement responsable agent économique socialement responsable aménagement du
territoire citoyenne contribuer à trouver des solutions développement économique et social
développement local emplois employabilité entreprise citoyenne éthique d'entreprise formation
formation image d'entreprise citoyenne incitations fiscales insertion dans la société intérêt général lutte
contre le chômage et l'exclusion marchés nouveaux mécénat parrainage place l'intérêt de l'être humain
devant toute autre préoccupation préoccupations écologiques progrès technique projets culturels
responsabilité culturelle responsabilité écologique responsabilité sociale responsabilité sociétale
responsabilité sociétale revenus risques potentiels solidarité son rôle ne se limite pas à la création de
richesses
L'ENTREPRISE ET L'ETHIQUE

L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.
L'éthique est-elle une nouvelle idéologie ? Est-ce une nouvelle mode managériale ? Est-ce un enjeu réel ou un
plan de communication de plus ?

L'ETHIQUE EN THEORIE : quelques définitions importantes :

L'éthique va bien au delà des questions de légalité et d'honnêteté.


______________________________ : c'est le respect de la ______________________________ et des
______________________________ au sein de l'entreprise afin que celle-ce puisse assurer sa responsabilité
vis-à-vis de ses partenaires sociaux et financiers et vis-à-vis de la société dans son ensemble. C'est une
réflexion vers la recherche du bien.

______________________________ est une "réflexion sur les pratiques d'affaires dans lesquelles sont
impliquées les valeurs des individus, des entreprises et de la société". Il ne s'agit pas seulement
d'______________________________ (abus de position de force…) mais de
______________________________ (ex. transparence de l'information, respect des salariés…).

Définition de l'EBEN (European Business Ethic Network) : "______________________________ n'est pas un


ensemble de principes figés mais une ouverture d'esprit conduisant à la réflexion continue dans la
______________________________ (commun et individuel)".

______________________________ : c'est l'ensemble des règles qui régissent le fonctionnement et les


pratiques d'une profession (codes de déontologie).

L'éthique recense les ______________________________ de l'entreprise et la déontologie les


______________________________ à adopter concrètement.

Quelques principes de l'éthique de la vie des affaires :


· valeurs a écarter : Voler, trahir, ______________________________, chercher la vengeance
· valeurs à promouvoir : loyauté, vérité, tolérance, ______________________________

Tom Watson qui fonda IBM en 1914 préconise une ______________________________ sur les bases suivantes
:
· Respect de l'individu au sein de l'organisation
· Le service à la clientèle est un gage de qualité
· La perfection
Donc une ______________________________ basée sur l'éthique.

L'ETHIQUE EN PRATIQUE :

SA MISE EN PLACE DANS L'ENTREPRISE

Les bases de l'éthique dans l'entreprise sont les suivantes :


- le ______________________________
- l'______________________________ sans distinction de race, de religion ou d'opinion
- la solidarité ; la nécessité de recherche permanente d'une plus grande ______________________________
- l'autorité et le principe de subsidiarité
- la ______________________________ : l'autorité n'est légitime que si elle l'attache à la poursuite du bien
commun

Exemples de pratiques éthiques :


- respecter les salariés : codes de déontologie dans la gestion des ressources humaines, respect de la personne
et de la vie privée…
- informer les salariés sur les résultats de l'entreprise : ______________________________ claire (problèmes
des abus de biens sociaux)
- avoir une ______________________________

L'ETHIQUE PAR RAPPORT A L'ENVIRONNEMENT DE L'ENTREPRISE :

- pas de ______________________________ dans les relations clients/fournisseurs


- dans les relations avec les élus locaux et le monde politique (problème des affaires de financement des partis
politiques et des campagnes électorales…)
- ______________________________ claires (problème du délit d'initié…)

INTERETS DE L'ETHIQUE

C'est devenu une obligation car l'image ternie des entreprises doit être revalorisée (abus de biens sociaux,
fraudes, délits d'initié, respect des salariés…) et les modifications de l'environnement l'imposent (pouvoir des
consommateurs, interventions des écologistes et des syndicats…).

C'est aussi une volonté de l'entreprise :

- devenir une entreprise éthique se justifie à des fins de ______________________________ et communication


externe : c'est un vecteur stratégique de la ______________________________ (être en phase avec le client,
restaurer un climat de confiance afin d'optimiser les relations commerciales…)

- c'est un instrument d'amélioration des performances de l'entreprise (donner une dimension plus motivante,
source d'innovation et de modernisation, assurer une meilleure cohésion du personnel…)

charte d'éthique codes de conduite communication d'entreprise comportements culture d'entreprise


déontologie Déontologie égalité entre les hommes Ethique honnêteté informations financières interdits
à respecter justice sociale L'éthique L'éthique des affaires politique d'information politique sociale
pratiques abusives principes généraux recherche du bien recherche du bien commun respect de la
personne stratégie commerciale tromper valeurs positives à promouvoir

LES STRATEGIES DE CROISSANCE : caractéristiques et directions de la croissance

1. Quels sont les critères de mesure de la taille d'une entreprise ?


a) valeur des produits commercialisés (Chiffre d'affaires)
b) volume des approvisionnements en matières premières
c) volume des facteurs de production employés (effectifs)
d) résultats (bénéfices)
e) capitaux et fonds de roulement

2. Quelles sont les caractéristiques de la croissance de l'entreprise ?


a) c'est un processus quantitatif (changement de dimensions)
b) c'est un processus qualitatif (changement de structures)
c) c'est un processus caractéristique (technologie, ressources humaines, organisation, financement)
d) c'est un processus cumulatif (accumulation de richesses)

3. Qu'est-ce qu'une taille suffisance pour que l'entreprise soit présente et survive sur le marché (seuils
financiers, techniques, commerciaux, humains) ?
a) la taille optimale
b) la taille critique
c) la masse optimale
d) la masse critique
e) la taille optimum

4. Pourquoi la croissance ? Avec quelle(s) affirmation(s) êtes-vous d'accord ?


a) la croissance est une condition de survie de l'entreprise
b) la croissance permet l'obtention de la masse critique dans le secteur d'activité de l'entreprise
c) la croissance est synonyme de plus de rentabilité
d) la croissance est un moyen de réalisation des finalités personnelles des dirigeants de l'entreprise
e) la croissance est synonyme de diminution des coûts en facteur travail

5. CONDITIONS NECESSAIRES A LA CROISSANCE : préciser les conditions d'évolution de


l'environnement nécessaires à la croissance.
a) aptitude à lancer de nouveaux produits (innovation de produit) ou à conquérir de nouveaux marchés
(nouveaux débouchés)
b) stabilité de l'environnement (peu d'évolution)
c) capacité du dirigeant à motiver ses salariés, à prendre des risques
d) économie stable : demande stable

e) capacité de l'entreprise à financer son développement, ce qui suppose une situation financière satisfaisante

6. Parmi les opportunités que peut apporter l'environnement à l'entreprise, laquelle ou lesquelles sont
favorables à sa croissance ?
a) stabilité du pouvoir d'achat des ménages
b) changement de goût des consommateurs
c) ouverture des frontières
d) développement des technologies de pointe
e) restructurations et réorganisation des activités

7. Préciser les obstacles à la croissance que peut rencontrer une entreprise :


a) l'augmentation des dimensions de l'entreprise
b) nécessaire adaptation des structures et des hommes (ex. manque de personnel qualifié)
c) l'atteinte de la taille critique
d) réorganisation des activités indispensable
e) difficultés à avoir accès au crédit (étendue des fonds propres, problème de l'autofinancement)

8. A quelle(s) forme(s) de croissance correspond la définition suivante ? L'entreprise s'agrandit en conservant


son activité principale.

a) croissance latérale
b) croissance conglomérale
c) croissance verticale
d) croissance horizontale
e) croissance interne

9. Quels sont les avantages de la croissance horizontale ?


a) l'entreprise peut rester sur son implantation géographique actuelle
b) l'entreprise obtient un monopole sur son marché
c) l'entreprise peut bénéficier d'effets de synergie en fusionnant certains services par exemple
d) l'entreprise peut développer des technologies de pointe
e) l'entreprise peut mieux contrôler le marché

10. La croissance horizontale. Elle peut être :


a) Homogène : regroupement d'entreprises fabriquant des produits semblables
b) Le résultat des seuls efforts de la firme sans qu'elle s'associe ou qu'elle se regroupe avec d'autres firmes
c) Fonctionnelle : les entreprises fabriquent des produits différents mais répondant à une même fonction
d) Une stratégie d'expansion lorsque l'entreprise veut gagner des parts de marché

11. La croissance horizontale. Il s'agit d'une stratégie d'expansion lorsque l'entreprise veut gagner des parts
de marché :
a) en créant des capacités nouvelles de production et de vente créées grâce aux ressources propres
b) en proposant une gamme de produits suffisamment large pour couvrir tout le marché de base : stratégie de
pénétration du marché
c) c'est le mode de développement privilégié des PME car elles manquent souvent de ressources propres pour
assurer leur développement et être crédibles auprès de l'extérieur.
d) en élargissant sa clientèle au niveau national ou international : stratégie de développement du marché
e) en acquérant la propriété ou le contrôle de capacités de production existantes et déjà en fonctionnement

12. A quelle(s) forme(s) de croissance correspond la définition suivante ? Association d'entreprises ayant des
activités complémentaires. L'entreprise s'agrandit en développant son activité dans des étapes
complémentaires de la filière de production (en amont ou en aval).
a) intégration verticale
b) croissance conglomérale
c) croissance latérale
d) croissance verticale
e) croissance externe

13. Qu'est-ce que la croissance verticale en amont ?


a) intégration des clients
b) intégration des intermédiaires
c) intégration des sous-traitants
d) intégration des fournisseurs

14. Quels sont les avantages de l'intégration verticale ?


a) permet à l'entreprise d'être moins dépendante donc maîtrise de la chaine de production et de distribution
b) permet à l'entreprise de s'agrandir en diversifiant son activité donc en répartissant mieux les risques
c) permet à l'entreprise de baisser les coûts car elle élimine le nombre d'intermédiaires
d) permet à l'entreprise de multiplier les marchés sur lesquels elle se positionne

15. A quelle(s) forme(s) de croissance correspond la définition suivante ? L'entreprise s'agrandit en


diversifiant son activité ; c'est le rachat par une entreprise de différentes firmes susceptibles de lui permettre
d'augmenter son profit.
a) croissance latérale
b) croissance verticale
c) croissance conglomérale
d) intégration verticale
e) croissance externe

16. Quels sont les avantages de la croissance conglomérale ?


a) répartir les risques (activités et entreprises différentes agissant sur les marchés différents)
b) permet à l'entreprise d'être moins dépendante donc maîtrise de la chaine de production et de distribution
c) augmenter le profit même s'il n'y a pas d'effet de synergie car les activités de l'entreprise sont différentes
d) pouvoir continuer à se développer même lorsque la taille du marché est limitée en multipliant les marchés
sur lesquels l'entreprise se positionne
e) permet à l'entreprise de baisser les coûts car elle élimine le nombre d'intermédiaires

17. Juridiquement, la croissance s'analyse comme un achat de droits de propriété.


a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

L'ENTREPRISE : UNE ORGANISATION AU SEIN DE L'ENVIRONNEMENT

1. Quels sont les composantes de l'environnement de l'entreprise ?


a) environnement technologique
b) environnement juridique et réglementaire
c) environnement micro économique
d) environnement judiciaire

2. Font partie de l'environnement social de l'entreprise :


a) La réglementation du travail
b) Les syndicats
c) La société toute entière
d) Les partis politiques
3. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles représente(nt) des contraintes
pour l'entreprise ?
a) saturation d'un marché sur lequel l'entreprise est positionnée
b) changement de nature de la demande qui est adressée à l'entreprise
c) réglementation des prix
d) l'ensemble des agents économiques
e) l'ensemble des relations avec l'environnement immédiat de l'entreprise

4. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles représente(nt) des opportunités


(marchés nouveaux, possibilité de croissance ou de reconversion...) pour l'entreprise ?
a) augmentation du pouvoir d'achat des ménages
b) mesures fiscales (exonérations, zones franches...)
c) fermeture des frontières
d) arrivée à saturation d'un marché sur lequel l'entreprise est positionnée
e) nouvelles industries issues du respect de l'environnement naturel (exemple : recyclage...)

5. Quels sont les axes principaux permettant la surveillance de l'environnement ?


a) la presse
b) la propriété industrielle (INPI, brevets...)
c) les médias grand public (TV, radio...)
d) publicité comparative

6. Quels sont les objectifs de la surveillance de l'environnement ?


a) déceler les changements au niveau de l'environnement
b) être capable d'anticiper l'évolution
c) trouver les solutions optimales
d) maintenir le cycle de vie de l'entreprise

7. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ou lesquelles est (sont) juste(s) ?


a) l'entreprise s'organise et s'adapte en fonction de son environnement
b) il n'existe pas de modèle d'organisation de l'entreprise idéal
c) l'entreprise est un organisme vivant, elle a un cycle de vie propre
d) le cycle de vie de l'entreprise ne peut pas se terminer, il est sans fin
e) l'ancienneté de l'entreprise signifie que celle-ci est proche de la "mort"

8. La flexibilité d'une entreprise désigne sa capacité à :


a) Avoir une forte rentabilité
b) changer de clients
c) Embaucher moins de salariés
d) s'adapter à son environnement

LE DIAGNOSTIC INTERNE DE L'ENTREPRISE

L'entreprise est un _______________________________________ qui survit et se développe dans un


environnement en constante évolution, porteur de menaces et d'opportunités.

La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du


_______________________________________ que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la
stratégie d'ensemble pour l'entreprise.

Tous les facteurs externes à l'entreprise (_______________________________________) qui l'influencent ou


sont influencés par son action constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-
clés de son _______________________________________ car la concurrence est mondiale, et de son micro-
environnement car la source de sa compétitivité se situe au niveau local.

D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (_______________________________________) qui ont
habituellement un effet plus immédiat.
L'_______________________________________ présente des contraintes et des menaces (transformation de
l'environnement susceptible de remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle
d'une firme) qui pèsent sur les choix stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible
de faciliter l'atteinte des objectifs) de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une
opportunité est souvent le début d'une grande entreprise"

La connaissance de l'environnement oriente donc les _______________________________________.


L'entreprise doit adapter sa stratégie aux changements de _______________________________________
techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales, fiscales (harmonisation de la TVA en
UE) et sociales.

Il s'agit d'identifier les _______________________________________ : l'entreprise doit maîtriser l'évolution


de ses facteurs clés (transformation de l'environnement, actions de la concurrence).

Le _______________________________________ (ou étalonnage) contribue à réaliser un


_______________________________________. Il s'agit de l'analyse des performances de l'entreprise sur un
facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de comparaison qui permettrait à l'entreprise
d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une entreprise concurrente).

La _______________________________________ recouvre l'ensemble des techniques mises en place par


l'entreprise pour détecter, le plus tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son
environnement pouvant déstabiliser son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de
l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : _______________________________________
- recherche d'informations sur les concurrents : _______________________________________
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : _______________________________________
- _______________________________________ sur le web (cyber veille)

A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un _______________________________________ à partir duquel elle bâtit sa
réflexion stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible

Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être _______________________________________, c'est-à-dire non seulement
adaptée au scénario auquel on croit, mais aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se
produiraient des évènements importants (le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).

benchmarking choix stratégiques diagnostic de l'entreprise diagnostic stratégique environnement


externalités facteurs clés de succès flexible macro-environnement micro-environnement
réglementations scénario d'évolution de l'environnement système ouvert veille commerciale veille
concurrentielle veille environnementale veille stratégique veille technologique

LE DIAGNOSTIC INTERNE DE L'ENTREPRISE

L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.

La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.

Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.

D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.

L'environnement présente des contraintes et des menaces (transformation de l'environnement susceptible de


remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle d'une firme) qui pèsent sur les choix
stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible de faciliter l'atteinte des objectifs)
de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une opportunité est souvent le début d'une
grande entreprise"

La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.

Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).

Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).

La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)

A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible

Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).

L'ENTREPRISE DANS LE SYSTEME PRODUCTIF

1. La taille d'une entreprise peut être mesurée par :


a) Le secteur auquel elle appartient
b) le chiffre d'affaires réalisé
c) Le nombre de salariés
d) le bénéfice réalisé

2. Un secteur d'activité regroupe :


a) Des entreprises ayant la même activité principale
b) des entreprises ayant au moins en commun une activité
c) Des unités de production homogènes fabriquant le même bien
d) Des unités de production localisées sur la même zone géographique

3. Pour assurer sa fonction de production, l'entreprise transforme des facteurs de


production, lesquels ?
a) travail manuel et intellectuel
b) consommations intermédiaires
c) capital social
d) capital technologique
e) consommations finales

4. Dans un réseau de franchise :


a) Les franchisés adoptent la politique commerciale du franchiseur
b) Le franchiseur apporte une assistance aux franchisés
c) Les franchisés sont des filiales du franchiseur

5. Une filière représente :


a) l'ensemble des entreprises qui mettent un produit à disposition du consommateur final
grâce à une succession d'opérations qui se complètent
b) une société de personnes
c) les unités de production fabricant les mêmes produits

6. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels permettent de classer les entreprises ?
a) forme juridique
b) l'activité exercée
c) les relations de concurrence
d) les relations de complémentarité

7. Selon les effectifs, on classe les entreprises en :


a) très petites entreprises : de 1 à 9 salariés
b) petites et moyennes entreprises : de 10 à 300 salariés
c) grandes entreprises : de 300 à 1000 salariés
d) très grandes entreprises : + de 899 salariés
e) petites entreprises : de 10 à 49 salariés

8. Quels sont les secteurs économiques selon J. FOURASTIE ?


a) secteur secondaire
b) secteur primitif
c) secteur primaire
d) secteur administratif
e) secteur industriel

9. Une branche d'activité regroupe :


a) des unités de production fabricant les mêmes produits
b) une chaîne d'activités qui se complètent
c) l'ensemble des entreprises qui mettent un produit à disposition du consommateur final
d) Des unités de production localisées sur la même zone géographique
10. Selon leur statut juridique, quelles peuvent être les formes d'entreprises ?
a) entreprises individualistes
b) entreprises sociétaires
c) entreprises publiques
d) sociétés de coopération

11. Appartiennent au secteur social à but non lucratif les types d'entreprises suivantes :
a) mutuelles
b) entreprises semi-publiques
c) sociétés coopératives
d) entreprises individuelles

12. Quelles relations de complémentarité l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents ?
a) intégration d'activités en amont ou en aval
b) sous-traitance
c) franchise
d) groupement d'intérêt économique

13. Quelles relations de coopération l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents ?
a) franchise (ou franchisage)
b) accords de distribution
c) maillage
d) vente d'actifs
e) restructuration complète des directions

14. A quelle forme d'accord de coopération correspond la définition suivante : une


entreprise peut profiter de l'expérience et des moyens d'une autre pour exporter ?
a) portage
b) maillage
c) filiale commune
d) groupement d'intérêt économique
e) cession de licence d'exploitation

15. Quels sont les effets positifs de la concentration des entreprises ?


a) mettre en commun des fonctions et des services
b) répartir les risques commerciaux
c) avoir une position moins dominante sur les marchés
d) restreindre ses débouchés
e) favoriser son développement

16. Qu'est-ce qu'une "société mère" ?


a) un centre de décision unique dans un groupe de sociétés
b) un ensemble de filiales
c) la plus ancienne société d'un groupe
d) une société de portefeuille
L'ENTREPRISE : UNE CULTURE

1. la culture d'entreprise correspond à :


a) une approche de la culture des salariés
b) l'aide à la création artistique
c) au bénévolat et à l'aide que peut apporter l'entreprise au niveau de la société
d) une vision globale de l'esprit de l'entreprise

2. le projet d'entreprise contient :


a) la stratégie générale de l'entreprise
b) des valeurs, les objectifs et le plan d'action de l'entreprise
c) des éléments de protection sociale favorables aux salariés
d) une réflexion sur le passé de l'entreprise

3. Quels sont les éléments qui vont déterminer l'identité d'une entreprise ?
a) la personnalité des dirigeants
b) la culture de l'entreprise
c) la gestion des ressources humaines
d) l'implication des hommes

4. Parmi les suivants, à quel élément correspond la définition suivante : ensemble des éléments
caractéristiques d'une entreprise qui permettent de la distinguer ?
a) l'identité de l'entreprise
b) la culture de l'entreprise
c) le changement dans l'entreprise
d) l'image de l'entreprise

5. Qu'est-ce que la culture dans une entreprise ?


a) c'est le "ciment" qui unit les membres de l'entreprise
b) c'est le mode de pensée et d'action habituels dans l'entreprise
c) c'est l'ensemble des stratégies adoptées
d) c'est son identité propre

6. Concrètement, comment se matérialise la culture d'une entreprise ?


a) rites et habitudes
b) mythes (anecdotes et histoires)
c) résistance au changement
d) motivation du personnel

7. Parmi les propositions, laquelle ou lesquelles correspond(ent) à la définition suivante : sujet que l'on
préfère éviter parce qu'il risque de créer un malaise ou un conflit ?
a) tabous
b) rites
c) mythes
d) frustration

8. La culture d'entreprise est un facteur de performance, elle permet de :


a) dynamiser l'entreprise en rassemblant l'énergie de ses membres
b) impliquer le personnel en l'associant à un projet d'entreprise
c) diminuer les dépenses de gestion des ressources humaines
d) rassurer les dirigeants
e) renforce l'identité spécifique de l'entreprise

9. Quelles peuvent être les principales difficultés rencontrées pour changer la culture d'entreprise ?
a) résistance du personnel
b) peur du changement
c) habitudes
d) stratégie autocentrée
e) principes moraux

10. Quelles sont les caractéristiques du projet d'entreprise ?


a) c'est une méthode de gestion de la culture d'entreprise
b) c'est un accord oral et tacite entre les membres du personnel et la direction
c) il matérialise les engagements pris autour de principes et de valeurs communes à l'entreprise
d) il n'influence en rien le mode de fonctionnement et les objectifs de l'entreprise

11. Quels sont les objectifs du projet d'entreprise ?


a) mobiliser et motiver le personnel
b) limiter l'esprit d'équipe
c) fixer les objectifs à atteindre
d) s'engager personnellement en tant que membre d'un service ou d'une direction

DECISION ET POUVOIR

1. Quels niveaux de décision existent réellement ?


a) stratégique
b) relationnel
c) tactique
d) exécution

2. Si le pouvoir de décision est réparti dans l'entreprise (ou l'organisation), il s'agit de :


a) centralisation
b) déconcentration
c) décentralisation
d) gestion par exception

3. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles font partie des étapes du processus de décision ?
a) compréhension du problème
b) choix du système d'information adapté
c) choix des solutions pour résoudre le problème
d) formation du personnel aux nouvelles procédures de travail

4. Comment caractériser les décisions dans l'entreprise ?


a) elles sont souvent complexes
b) elles font intervenir de nombreux acteurs (chefs de services, directeurs, encadrement...)
c) elles n'ont aucun coût
d) elles sont souvent prises de façon définitive

5. Que doit prendre en compte la prise de décision ?


a) de l'environnement de l'entreprise
b) de l'organisation de l'entreprise
c) du caractère urgent ou non du problème à résoudre
d) du niveau institutionnel
e) du niveau opérationnel

6. En fonction de quoi peut-on classer les décisions ?


a) de l'échéance envisagée et de l'impact de la décision
b) du niveau hiérarchique des décideurs
c) de la routine
d) des habitudes de travail
e) de l'organisation de l'entreprise

7. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à un style de direction et à un mode
d'exercice du pouvoir ?
a) pouvoir bureaucratique
b) pouvoir technocratique
c) pouvoir rationnel
d) pouvoir interpersonnel
e) pouvoir charismatique

8. A quel type d'entreprise ou d'organisation le pouvoir coopératif est-il le plus adapté ?


a) associations
b) grande entreprise
c) administration
d) établissement scolaire
e) collectivité locale
INFORMATION ET PRISE DE DECISION

1. Font partie de la communication interne de l'entreprise :


a) Le journal d'entreprise
b) Les ordres reçus de la hiérarchie
c) la publicité pour les produits de l'entreprise

2. D'après le modèle IMC d'Herbert SIMON, parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des phases du
processus de décision ?
a) phase l'Intelligence du problème
b) phase de Modélisation du problème
c) phase d'Intégration du problème
d) phase de Mise en avant des solutions
e) phase de Mise en oeuvre des solutions

3. Quel est l'objectif des techniques d'aide à la décision ?


a) éclairer la prise de décision dans un environnement incertain et changeant
b) permettre au décideur de mettre en oeuvre une décision de façon réaliste
c) permettre au décideur de se former une image correcte de l'entreprise
d) permettre un classement de l'information en fonction de son importance

4. Comment qualifier les SIAD ?


a) Système Interactif d'Aide à la Décision
b) Solution Interpersonnelle d'Aide à la Décision
c) Système Informatique d'Aide à la Décision
d) Synthèse Interactive d'Aide à la Décision

5. Comment peut-on définir l'information ?


a) c'est tout ce qui augmente la connaissance en réduisant l'incertitude
b) c'est tout ce qui appartient aux dirigeants et lui procure un certain pouvoir
c) elle donne la possibilité de modifier des hypothèses pour simuler des situations diverses
d) c'est l'ensemble des solutions possibles compte tenu des contraintes du problème à résoudre

6. Parmi les informations suivantes, laquelle ou lesquelles sont des informations stratégiques pour l'entreprise
?
a) chiffre d'affaires des concurrents
b) comportement des consommateurs
c) nouveaux brevets déposés auprès de l'INPI
d) valeur des "stocks options" (options d'achat) dont bénéficient les dirigeants
e) base de données des clients de l'entreprise

7. Dans un contexte de prise de décision, à quoi sert l'information ?


a) à rassembler les données concernant un même thème sur un seul support
b) à réduire l'incertitude
c) à répondre aux besoins des consommateurs
d) à rendre compte correctement d'une action menée

8. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les qualités essentielles pour qu'une information soit
exploitable donc de qualité ?
a) information pertinente
b) disponible rapidement
c) subjective pour rendre compte correctement
d) variée et variable dans le temps
e) stable (le message reste le même et n'est pas déformé)

9. Qu'est-ce qu'une information latérale ?


a) elle circule sur le même niveau hiérarchique
b) elle provient des subalternes
c) elle circule du supérieur au subalterne
d) elle circule dans toute l'entreprise et à tous les niveaux

10. En ce qui concerne l'information, quels sont les inconvénients d'une multitude d'intermédiaires ?
a) ralentir la circulation de l'information
b) risque de déformation du message
c) peut provoquer un rejet de l'information du à un effet de saturation
d) problème de délit d'initié
e) coût d'obtention de l'information raisonnable

11. Comment peut s'expliquer l'insuffisance d'informations ?


a) problème de rétention abusive de l'information
b) stratégie de pouvoir d'un individu qui ne fait pas circuler l'information
c) problème de délit d'initié
d) risque de déformation du message
e) rejet en bloc de toute information

12. Qu'entraîne la surabondance d'informations ?


a) sature le destinataire (effet de saturation)
b) peut provoquer un rejet en bloc de toute information
c) problème de rétention abusive de l'information
d) l'information est source de pouvoir

13. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ou lesquelles justifie(nt) que l'information soit source de pouvoir
?
a) celui qui est informé peut agir à temps
b) celui qui ne veut pas partager son pouvoir peut ne pas faire circuler l'information à ses collaborateurs
c) on peut rassembler toutes les informations concernant un même thème sur un seul support
d) l'information circule sur le même niveau hiérarchique
e) l'information permet de répondre aux besoins de l'utilisateur si elle est pertinente et si sa précision est
suffisante

14. Quels sont les buts de tout système d'information ?


a) permettre de comprendre les évolutions de l'environnement
b) pouvoir choisir une stratégie en fonction des changements constatés ou prévus
c) on peut rassembler toutes les informations concernant un même thème
d) assurer le fonctionnement du système informatique de l'entreprise

15. Qu'est-ce que le système d'information de l'entreprise ?


a) système intégré qui produit des informations
b) système informatique uniquement
c) système d'écoute de l'entreprise vers son environnement

16. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les étapes du traitement de l'information ?
a) traitement
b) stockage
c) collecte
d) veille
e) circulation

17. Qu'est-ce que la veille informationnelle ou veille de l'information ?


a) diffuser l'information dans toutes les structures de l'entreprise
b) attitude d'écoute de l'entreprise vers l'environnement interne
c) outil de pilotage de l'entreprise contribuant à réduire les incertitudes et à accroître les opportunités de
l'entreprise
d) attitude de vigilance pour ne pas passer à côté d'une information importante

18. Pour une entreprise, que signifie la veille ?


a) attitude d'écoute de l'entreprise vers l'environnement externe
b) attitude d'écoute de l'entreprise vers l'environnement interne
c) outil de pilotage de l'entreprise contribuant à réduire les incertitudes et à accroître les opportunités de
l'entreprise
d) rassembler toutes les informations concernant un même thème sur un seul support
e) permet de répondre aux besoins de l'utilisateur de façon précise et complète

19. Quels sont les enjeux d'une stratégie de veille ?


a) anticiper et détecter les changements
b) limiter les risques et détecter les dangers
c) collecter l'information pour pouvoir la diffuser
d) pouvoir stocker l'information dont l'utilisation pourra être ultérieure
e) assurer la diffusion de l'information

20. Comment pourriez-vous qualifier l'expression du vice-président de l'Oréal : "avoir de grandes oreilles et
une toute petite bouche" ?
a) être vigilant
b) être opportuniste
c) être saturé
d) être à l'écoute
e) être ouvert sur l'extérieur

21. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des formes de veille ?
a) veille technologique
b) veille sociale
c) veille concurrentielle
d) veille administrative
e) veille compétitive

22. Parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels peuvent concerner la veille commerciale ?
a) connaître les besoins des consommateurs
b) comprendre les actions des concurrents
c) connaître les innovations concernant les procédés de fabrication
d) connaître les innovations concernant les produits
e) discerner les changements qui vont concerner l'entreprise

9. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ou lesquelles sont justes ?


a) chaque mode d'exercice du pouvoir est parfait
b) les modes d'exercice du pouvoir changent au cours du développement de l'entreprise
c) le style de direction dépend des personnalités des dirigeants
d) un seul mode d'exercice du pouvoir s'exerce dans l'ensemble de l'entreprise

10. Quelles formes de décentralisation existent dans l'entreprise ?


a) décentralisation horizontale
b) délégation
c) participation
d) décentralisation opérationnelle
e) management participatif

11. Que permettent la décentralisation du pouvoir de décision et la délégation de pouvoir ?


a) meilleure motivation du personnel qui acquiert une capacité de décision
b) meilleure efficacité des décisions plus proche du "terrain"
c) meilleure coordination des décisions
d) meilleure circulation de l'information

12. Quels peuvent être les obstacles à la prise de décision ?


a) informations trop brèves
b) précipitation dans le choix des solutions
c) endettement de l'entreprise faible
d) ressources matérielles importantes et disponibles
e) conjoncture économique favorable
STRUCTURES D'ENTREPRISES

1. Cherchez le ou les intrus parmi les structures d'entreprises suivantes :


a) hiérarchique
b) fonctionnelle
c) décisionnelle
d) matricielle
e) conglomérale

2. La structure de l'entreprise peut évoluer en fonction de la technique : la standardisation de la production


pousse à adopter des structures ?
a) rigides
b) flexibles
c) formalisées
d) formelles

3. Les structures fonctionnelles et divisionnelles sont réputées flexibles


a) vrai
b) faux

4. La structure divisionnelle est mieux adaptée que la structure fonctionnelle pour les entreprises qui ne
fabriquent qu'un seul type de produit.
a) vrai
b) faux

5. Structure divisionnelle et structure fonctionnelle sont des termes synonymes.


a) vrai
b) faux
6. La structure matricielle se caractérise par :
a) La nécessité d'organiser au mieux la décentralisation des responsabilités
b) La disparition des lignes hiérarchiques verticales qui caractérisent les autres organisations
c) Un mélange de structure divisionnelle et fonctionnelle
d) Une très grande flexibilité et réactivité aux changements du marché

7. La structure en pyramide inversée répond à des impératifs de flexibilité


a) vrai
b) faux

8. La structure pyramidale classique peut être :


a) Une structure fonctionnelle
b) Une pyramide inversée
c) Une structure multicellulaire
d) Une structure par projet
e) Une structure plate

9. La structure fonctionnelle se caractérise par le fait que :


a) Il s'agit d'une structure classique et fréquemment adoptée par beaucoup d'entreprises
b) Ce sont les fonctions qui constituent le critère de répartition des tâches.
c) Ce sont les produits qui constituent le critère de division du travail.
d) Elle mieux adaptée aux PME

10. La notion de structure d'entreprise se limite à l'organigramme


a) faux
b) vrai

LES DIFFERENTES STRUCTURES

Confrontées aux turbulences de l'environnement économique et technologique et à la mondialisation de la


concurrence, les entreprises se réorganisent. Plus que jamais la question est : comment devenir plus
______________________________________ tout en cherchant à devenir plus
______________________________________ ?

La ______________________________________ d'une organisation est l'ensemble des dispositifs par lesquels


une entreprise répartie, coordonne et contrôle ses activités.

Chaque entreprise est amenée à se poser la question souvent : quelle structure choisir ? Afin d'effectuer son
choix, elle doit tenir compte de sa spécificité, de son histoire, de sa culture, de sa taille. Elle doit prendre en
compte différents critères.

Il existe de nombreux types de structure, par exemple :

- la ______________________________________ où les ordres suivent la voie hiérarchique,


- la ______________________________________ qui repose sur une spécialisation des fonctions,
- la ______________________________________ qui combine les deux précédentes,
- la ______________________________________ où le découpage est fait par activités, produits, marchés,
- la ______________________________________ qui combine les structures
______________________________________ et ______________________________________.

Pour ______________________________________ l'unité de commandement est indispensable. La


______________________________________ repose sur le principe d'unicité de commandement : chaque
salarié ne dépend que d'un seul chef. Elle a été directement calquée sur la hiérarchie militaire. Cette
structure est simple, mais trop rigide, particulièrement pour les ______________________________________.

La ______________________________________, préconisée par TAYLOR, défend au contraire le principe de


______________________________________ pour un même salarié : l'autorité est divisée par fonction, ce qui
peut poser des difficultés de coordination des activités.

La ______________________________________ conduit à partager l'autorité entre des


______________________________________ qui commandent, et
______________________________________, qui conseillent.

Les ______________________________________ (par produit, secteur...) se caractérisent par une autonomie


de chaque division de l'entreprise.
La ______________________________________ implique un partage du pouvoir. Elle a pour but d'apporter
une réponse rapide à un problème local. Exemple: Nestlé, "un esprit mondial, un engagement local".

Préconisée par GALBRAITH au début des années 70, la ______________________________________ est


parfaitement adaptée au changement. Elle part du principe que chaque salarié dépend simultanément d'un
chef de produit et d'un responsable fonctionnel.

Les structures tayloriennes ne considèrent l'ouvrier ou l'employé que comme un exécutant alors que les
formes organisationnelles plus récentes cherchent, au contraire, à stimuler la participation, l'implication, les
idées des participants.

Les structures classiques ressemblent à une ______________________________________ par le grand


nombre de niveaux hiérarchiques. Inspirées du modèle militaire : découpage des tâches très poussé
(______________________________________), responsabilités précises, circuits d'information essentiellement
par la ______________________________________.

Les ______________________________________ développent : l'esprit d'équipe, la responsabilisation, les


relations moins hiérarchisées, le raccourcissement du ______________________________________, la
motivation, la diffusion des informations à tous les niveaux, le passage d'une logique de poste à une logique de
compétence.

La structure formelle de l'entreprise est représentée par un ______________________________________.


Il met en évidence les différentes fonctions et leurs liaisons. Il montre le rôle de chacun dans l'entreprise.
Mais il ne rend pas complètement compte de la réalité du pouvoir dans l'entreprise. Aucune organisation ne
peut fonctionner uniquement en s'appuyant sur les ______________________________________ représentées
dans celui-ci. Les ______________________________________, souvent spontanées, pallient les insuffisances
de la structure formelle, mais peuvent, dans certains cas, être à l'origine de dysfonctionnements majeurs.
chefs opérationnels compétitives décentralisation des chefs fonctionnels divisionnelle fonctionnelle
grandes entreprises Henri FAYOL organigramme parcellisation des tâches pluralité des supérieurs
hiérarchiques processus de décision pyramide réactives relations formelles relations informelles
structure structure divisionnelle structure fonctionnelle structure fonctionnelle structure hiérarchico-
fonctionnelle structure hiérarchico-fonctionnelle structure hiérarchique structure hiérarchique structure
matricielle structure matricielle structures décentralisées structures plates ou horizontales voie
hiérarchique

L'EVOLUTION DES STRUCTURES

En fonction de quels critères se fait cette évolution de la structure ?


- Evolution dans le temps
- Evolution selon la taille
- Evolution en fonction de l'environnement (ex. commandes clients)
- Evolution en fonction de la stratégie retenue par la direction

D'après la théorie de la _______________________________________________ : il n'existe pas de structure


universelle mais, au contraire, la structure doit être adaptée aux particularités de la situation de l'entreprise :
sa taille, sa stratégie, son environnement,etc. L'entreprise est ainsi soumise à différents facteurs qui
influencent sa structure.

_______________________________________________ en fait une synthèse en 5 facteurs d'évolution des


structures :

La _______________________________________________ : il existe des structures adaptées à chaque


technologie (ex. production en petites séries, production en masse). En modifiant l'accès à l'information, les
technologies de traitement et de transport de l'information (internet, réseaux informatiques) remettent en
cause toutes les structures d'organisation.

L'_______________________________________________ : il est changeant, l'entreprise doit changer sa


structure en fonction de celui-ci (ex. aujourd'hui, il faut réagir vite face aux marchés -mondialisation,
ouverture des frontières, concurrence accrue - donc structure décentralisée)

L'_______________________________________________ : effet d'expérience risque d'entraîner un effet de


pesanteur. Quand l'entreprise vieillit, le changement est difficile à mettre en oeuvre

La _______________________________________________ : grande dimension donc structure matricielle


La _______________________________________________ : quand on a une stratégie, il faut modifier la
structure pour l'appliquer mais la structure de l'entreprise doit aussi être prise en compte dans l'élaboration
de sa stratégie.

Il n'y a pas une structure meilleure que d'autres, optimale, mais des structures satisfaisantes, à un moment
donné dans un contexte donné et pour une entreprise donnée.

Il ne faut pas confondre :


- gestion de projet : utilisée pour résoudre un cas particulier et pour mener à bien des tâches ponctuelles
(lancer un nouveau produit, réorganiser la gestion des stocks...)
- structure par projet : organisation de type matricile qui évolue en fonction
_______________________________________________.

La gestion de projet est mise en oeuvre par une équipe pluridisciplinaire. Elle remet en cause le principe de la
division fonctionnelle du travail : l'organisation n'est pas linéaire et rigide, mais au contraire, tous les
éléments sont en interaction et en relation.

La _______________________________________________ essaie de répondre aux objectifs de flexibilité et de


réactivité nécessaires dans le contexte actuel.
Il s'agit de regrouper en équipes des personnes en fonction de leurs compétences pour un programme donné,
pour une durée déterminée, quelle que soit leur position hiérarchique et leur rattachement à une fonction. Un
_______________________________________________, autonome, est responsable de l'équipe qui disparaît
avec la réalisation du projet. L'objectif est de décloisonner pour réaliser un objectif commun.

Devant leur perte d'efficacité, leur manque de flexibilité et de réactivité, certaines grandes entreprises
centralisées sont réorganisées en petites unités et une partie du pouvoir de décision a été transférée aux unités
et cadres opérationnels. Pour être encore plus efficace, la
_______________________________________________ s'accompagne de la mise en place de liens
transversaux.

Aujourd'hui, la structure interne d'une entreprise doit pouvoir évoluer rapidement afin de s'adapter aux
changements de son environnement, aussi les hommes sont appelés à travailler en équipes évoluant et se
recomposant en permanence. D'où la nécessité du décloisonnement et de la transversalité et l'apparition de
structures en _______________________________________________.

De nouvelles formes d'organisation interne de l'entreprise sont ainsi apparues :


- _______________________________________________ : diminution du nombre de niveaux hiérarchiques
- _______________________________________________ : des clients opérationnels (ex. un atelier de
fabrication, un réseau de vendeurs...) vers la direction
L'entreprise se structure maintenant en fonction du marché.

pyramide inversée : il s'agit plutôt d'une nouvelle manière de penser les relations de travail dans l'entreprise
pour améliorer l'efficacité, la productivité et la flexibilité. L'adoption de ce type de structure correspond
souvent à la nécessité d'organiser l'entreprise dans un souci d'orientation des actions en fonction des
_______________________________________________. La pyramide inversée est donc une organisation
fondamentalement anti-taylorienne.
On trouvera donc beaucoup moins de niveaux hiérarchiques, le travail se fera en équipe et on cherchera à
responsabiliser les individus et à mieux reconnaître leur travail.
La pyramide inversée apparaît donc très efficace pour mobiliser la créativité dans la mesure où elle se fonde
sur _______________________________________________ dans l'entreprise.

Les multiples partenariats, alliances, coopérations ou franchises développés par les firmes conduisent à
envisager l'entreprise comme une _______________________________________________. Il s'agit d'une
stratégie de _______________________________________________ qui permet à l'entreprise de rester
centrée sur son métier, et de confier une partie de son activité à des partenaires extérieurs avec lesquels elle
constitue peu à peu un réseau.

Ce processus est favorisé par les progrès de _______________________________________________ (réseaux


informatiques, EDI, internet).

Les réseaux d'entreprises existent sans liens capitalistiques (ex. fusion, prise de participation) nécessaires
mais aussi grâce à l'EDI, aux autoroutes de l'information qui permettent de modifier totalement les relations
fabricant/fournisseur/client.
Les structures deviennent plus adaptables (ex. notion d'entreprise virtuelle, exemple du e-commerce).

REMARQUE : le _______________________________________________
Analyse menée au sein d'une organisation afin de repenser sa structure et son fonctionnement en fonction des
processus nécessaires à son activité. Ce n'est pas un nouveau modèle de structure ou une amélioration
ponctuelle mais une refonte complète de l'organisation pour améliorer la qualité, le service et réduire les
coûts.

"entreprise-réseau" "maillage" "reengineering" âge chef de projet circulation de l'information


contingence décentralisation des pouvoirs du lancement et de l'achèvement de projets environnement
impératifs du marché MINTZBERG pyramide inversée réseau stratégie structure par projet structure
plate taille technique une meilleure prise en compte du facteur humain

L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE

L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier
_____________________________________________________ dans l'entreprise qui pourront être comparées
à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou
_____________________________________________________ doit également s'interroger sur le potentiel
d'évolution des ressources.

Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité

1° étape : _____________________________________________________
Les ressources sont variées :
- _____________________________________________________ : locaux et équipements dont il faut apprécier
le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- _____________________________________________________ : ressources propres + capacités d'emprunt +
trésorerie disponible
- _____________________________________________________ : image de marque, maîtrise des technologies,
réseaux d'approvisionnement et de distribution, etc.
- _____________________________________________________ : formation, savoir faire, motivations,
aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.

2° étape : _____________________________________________________
Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés _____________________________________________________).
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.

Méthodes d'évaluation des ressources :


Les sources d'informations internes sont souvent incomplètes. Il faut diagnostiquer :
- le système commercial d'un point de vue qualitatif et quantitatif
- le système d'informations
- le système financier en termes de rentabilité et d'équilibre
- le potentiel technologique, les sources d'informations externes.
- les ressources des concurrents

Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.

3°étape : _____________________________________________________
A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.
_____________________________________________________ = Productivité + Qualité + Flexibilité +
Innovation

1/ Le diagnostic des _____________________________________________________ :


L'analyse des performances de l'appareil productif peut être faite à l'aide d'indicateurs quantitatifs et
qualitatifs.

Critère quantitatif : _____________________________________________________

= quantité de produit obtenu / quantité de facteur travail utilisé


= valeur de la production obtenue / temps de travail passé pour réaliser cette production

Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de _____________________________________________________)

2/ Le diagnostic des _____________________________________________________


Analyse des données qualitatives : l'entreprise procède :

- à une évaluation des _____________________________________________________ de son personnel :


définition des tâches à effectuer, quelles sont les compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du
_____________________________________________________, du nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation

A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.

Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la
_____________________________________________________
de l'entreprise.

3/ Le diagnostic du potentiel financier

La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur


l'_____________________________________________________ :

- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement


(_____________________________________________________ ou
_____________________________________________________)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (_____________________________________________________,
_____________________________________________________,
_____________________________________________________) doit également être étudiée puisqu'elle
contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable
l'_____________________________________________________

_____________________________________________________

Définition : _____________________________________________________. Capacité à s'adapter aux


évolutions externes sans crise majeure.

L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'_____________________________________________________ et la
fluidité de ses ressources humaines et matérielles.

En développant sa flexibilité et sa _____________________________________________________, elle cherche


à réduire l'impact d'un événement, son délai de réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.
La _____________________________________________________, c'est la capacité de la firme à reconfigurer
en temps réel ses ressources afin de faire face aux changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un
_____________________________________________________ afin de pouvoir suivre les évolutions de
l'environnement, et la conception d'un _____________________________________________________ afin de
pouvoir s'adapter au plus vite aux évolutions.

Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations _____________________________________________________ avec peu de niveaux
hiérarchiques.

_____________________________________________________

Elle porte essentiellement sur 2 domaines :

a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)

- La _____________________________________________________ : ajustement des effectifs selon les


variations conjoncturelles de la demande ; réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La _____________________________________________________ : aménagement du temps de travail pour
répondre aux besoins (horaires journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La _____________________________________________________ : individualisation des rémunérations
pour tenir compte de la concurrence et des performances individuelles (surtout pour les cadres)

b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays

_____________________________________________________

Correspond à l'aptitude de l'unité de production à répondre à un changement de la demande. Elle prend 2


formes :

- _____________________________________________________ (en volume) :


Mesurer la capacité de l'entreprise à faire varier le volume de la production sans augmentation de coût.
L'entreprise doit donc évaluer la surcapacité des machines, la sous-traitance, la polyvalence du matériel et la
possibilité de faire varier la durée d'utilisation des équipements.

- _____________________________________________________ (en diversité) :


Changer de production dans un délai rapide. Ceci est d'autant plus facile que les produits sont conçus à
partir de composants standardisés et différenciés au niveau du stade final du cycle de production.

"synergie" adaptabilité de son organisation bénéfice capacité d'autofinancement compétences


Compétitivité décentralisées endettement étude de financement du développement de l'entreprise étude
de la solvabilité et de la liquidité étude de processus Financières Flexibilité de capacité Flexibilité de flux
de production flexibilité de l'emploi flexibilité des horaires flexibilité des rémunérations fonds propres
gestion prévisionnelle de l'emploi et de compétences Humaines Incorporelles LA FLEXIBILITE DES
EQUIPEMENTS LA FLEXIBILITE DES RESSOURCES LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL la
productivité du facteur travail L'appréciation de la compétitivité les ressources existantes L'évaluation
des ressources L'inventaire des ressources Matérielles qualité réactivité réactivité ressources humaines
ressources productives souplesse d'une firme système de production flexible système de veille taux de
marge taux de rotation du personnel

L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité

1. La productivité d'un facteur de production est le rapport entre :


a) le bénéfice obtenu et le prix de ce facteur
b) la production réalisée et la quantité de facteur utilisée
c) le prix du facteur et la production réalisée
d) la quantité de facteur utilisée et le prix de ce facteur

2. Les gains de productivité sont :


a) des économies réalisées grâce à une meilleure combinaison productive
b) des améliorations des conditions de travail des salariés
c) des augmentations de la taille des entreprises

3. La productivité du travail augmente quand :


a) le temps de travail diminue pour une même production
b) la production augmente pour un même temps de travail
c) la même production peut être réalisée avec moins de personnel

4. L'amélioration de la productivité peut être obtenue par :


a) une robotisation ou une automatisation plus importance
b) une robotisation ou une automatisation moins importance
c) la réorganisation du travail
d) l'amélioration des relations de travail

5. Pour une entreprise, la productivité :


a) est un indicateur de bonne santé
b) est une condition de performance
c) est égale à la rentabilité
d) augmente quand la taille diminue

6. la productique, c'est :
a) l'augmentation des capacités de production de l'entreprise
b) l'étude de la production de l'entreprise
c) l'étude de la gestion de la production
d) l'association de l'informatique à la gestion de la production

7. Qu'est-ce que la qualité dans l'entreprise ?


a) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les besoins des utilisateurs
b) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les envies des utilisateurs
c) c'est la possibilité qu'a l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents

8. La qualité concerne :
a) le produit final
b) le processus de production dans son ensemble
c) la production à la commande
d) la production en flux poussés

9. Pourquoi la recherche de la qualité est-elle liée à l'idée de compétition et de compétivité ?


a) elle permet à l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents
b) la qualité des produits doit empêcher que des produits défectueux n'entrent dans l'usine
c) la recherche de la qualité augmente la flexibilité dans l'entreprise

10. Qu'est-ce que la qualité totale ?


a) c'est bien faire la première fois
b) c'est livrer en temps voulu un produit complet et sans défaut
c) c'est diminuer la concurrence
d) c'est être indépendant des concurrents

11. Quelles sont les caractéristiques des normes de qualité ISO 9000 ?
a) elles définissent des caractéristiques qui garantissent au client un certain niveau de qualité
b) elles définissent un prix qui garantit au client un certain niveau de qualité
c) elles définissent un service après-vente qui garantit au client un certain niveau de suivi de commande

12. La démarche de qualité totale est une démarche qui s'inscrit dans l'optique des 5 zéros, lequel ou lesquels
parmi les propositions suivantes ?
a) 0 stock
b) 0 délai
c) 0 problème
d) 0 retard
e) 0 souci

13. Quelles sont les techniques de contrôle de la qualité utilisées ?


a) contrôle unitaire
b) contrôle par échantillon
c) contrôle en discontinu
d) contrôle en chaîne

14. A quel(s) moment(s) sont réalisés les contrôles de qualité sur les produits fabriqués ?
a) pendant la production
b) avant la production
c) lors de la livraison de la commande
d) lors de l'expédition des produits

15. Pourquoi la non-qualité coûte cher à l'entreprise ?


a) rebuts de produits
b) mécontentement des clients
c) surproduction
d) ventes inutiles

16. Que permet la flexibilité ?


a) de s'adapter aux circonstances
b) d'anticiper les modifications de l'environnement
c) d'améliorer l'image de marque de l'entreprise
d) d'éviter les gaspillages
e) de diminuer le coût de production

17. La production en continu est-elle flexible ?


a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité

18. La production unitaire est-elle flexible ?


a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité

19. Qu'est-ce que la flexibilité interne ?


a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise externalise sa production
d) l'entreprise cherche à modifier son environnement

20. Qu'est-ce que la flexibilité externe ?


a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise cherche à modifier son environnement

21. Qu'entend-on par "externalisation" de la production ?


a) c'est faire faire à d'autres
b) c'est faire soi-même
c) c'est faire appel à la sous-traitance
d) c'est acheter des biens à une autre entreprise au lieu de les fabriquer soi-même
e) c'est produire soi-même les biens nécessaires

22. Quels sont les avantages de la flexibilité externe ?


a) évite l'investissement dans des capacités de production sous utilisées
b) permet de disposer d'un savoir-faire rapidement et sans le financer
c) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les sous-traitants
d) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les clients
e) permet d'utiliser une main d'oeuvre formée par l'entreprise elle-même donc plus performante

23. Quelles sont les formes de sous-traitance ?


a) sous-traitance de capacité
b) sous-traitance de spécialité
c) sous-traitance de spécialisation
d) sous-traitance de production
e) sous-traitance de délocalisation

24. Pourquoi les entreprises recherchent-elles de plus en plus de flexibilité ?


a) pour répondre rapidement aux variations de la demande (en volume)
b) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de la demande en passant rapidement
d'un type de produit à un autre
c) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de l'offre en passant rapidement d'un
type de produit à un autre
d) pour répondre partiellement aux variations de la demande (en volume)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE PRODUCTIVE : les modes de production

1. Le mode de production retenu par une entreprise est le résultat de certains choix, lesquels ?
a) choix des procédés techniques utilisés
b) choix de l'organisation du travail
c) choix de la politique d'approvisionnement
d) choix des débouchés de la production
e) choix d'une politique de fabrication

2. Quelles sont les possibilités de choix du mode de production ?


a) produire en continu (24 h/24...)
b) produire à l'unité
c) produire à la commande
d) produire en linéaire
e) produire à la certification

3. Qu'est-ce que produire en Juste A Temps ?


a) production en flux poussés
b) production à la commande
c) production en flux tendus
d) production pour le stock
e) production en discontinu

4. La production en flux poussés :


a) production par anticipation des besoins de la clientèle finale
b) la fabrication est lancée pour répondre à un marché
c) la fabrication est lancée pour répondre à un client déterminé
d) il n'y a pas constitution de stocks des produits fabriqués
e) est une forme de pilotage de la production par l'aval (tournée vers le client)

5. La production en flux tendus :


a) il y a constitution de stocks
b) la fabrication est lancée pour répondre à un client déterminé
c) la fabrication est planifiée et anticipe les besoins de la clientèle finale
d) est une forme de pilotage de la production par l'aval (tournée vers le client)
e) répond au principe du juste à temps

6. Selon quelle(s) méthode(s) le juste à temps est-il organisé ?


a) méthode du kanbon
b) méthode du kanban
c) méthode du bankan

7. Quels peuvent être les inconvénients du juste à temps ?


a) plus de stock de sécurité
b) les intervenants dans le cycle de production sont très dépendants les uns des autres
c) les intervenants dans le cycle de production sont très indépendants les uns des autres
d) la différenciation du produit peut être plus poussée
e) les ordres de fabrication sont donnés plus rapidement

8. Produire en flux tendus, cela signifie :


a) Tendre vers le " zéro stock "
b) maximiser le stock pour ne pas risquer la rupture
c) Attendre les commandes pour commencer à produire
d) améliorer la gestion des ressources humaines
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE PRODUCTIVE : les systèmes et la gestion de production

1. Qu'est-ce que produire ?


a) c'est utiliser des ressources humaines pour transformer des ressources matérielles et financières en biens et
services
b) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et financières en biens
et services
c) c'est utiliser des ressources techniques pour transformer des ressources matérielles et humaines en biens et
services

2. Quels sont les objectifs de la gestion de production ?


a) baisser les coûts
b) augmenter la fiabilité des produits fabriqués
c) réduire les délais de livraison des produits fabriqués
d) baisser les charges fixes
e) augmenter la durée de vie des produits fabriqués

3. Comment définir le processus de production ?


a) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la fabrication d'un produit
b) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la distribution d'un produit
c) déroulement des différentes phases et opérations nécessaires à la conception d'un produit

4. Quel est le rôle du bureau d'études ?


a) concevoir les produits
b) définir les procédures de fabrication du produit
c) prévoir les moyens nécessaires à la réalisation de la production
d) prévoir et planifier la production

5. Quel service définit les opérations de fabrication et d'assemblage du produit (normes et règles de
production : gammes, procédures, nomenclatures) ?
a) bureau des méthodes
b) bureau de l'ordonnancement
c) bureau d'études
d) bureau de méthodologie
e) bureau du responsable de production

6. A quoi sert l'ordonnancement ?


a) affecter les moyens humains à la réalisation des opérations de fabrication
b) affecter les moyens matériels à la réalisation des opérations de fabrication
c) affecter les moyens financiers à la réalisation des opérations de fabrication
d) définir les normes et règles de production : gammes, procédures, nomenclatures

7. A quoi correspond l'outil informatique de CAO ?


a) Conception Assistée par Ordinateur
b) Consultation Assistée par Ordinateur
c) Conceptualisation Assistée par Ordinateur

8. A quoi correspond l'outil informatique de CFAO ?


a) Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur
b) Consultation et Fabrication Assistées par Ordinateur
c) Conception et Fusion Assistées par Ordinateur

9. A quoi correspond l'outil informatique de DAO ?


a) Dessin Assisté par Ordinateur
b) Design Assisté par Ordinateur
c) Dénomination Assistée par Ordinateur

10. A quoi correspond l'outil informatique de GPAO ?


a) Gestion de la Production Assistée par Ordinateur
b) Gestion de la Productivité Assistée par Ordinateur
c) Gestion de la Planification Assistée par Ordinateur

11. Qu'est-ce que la productique ?


a) association de la mécanique et de l'informatique pour assurer la production
b) application d'une invention dans le domaine de la gestion de production
c) localisation et agencement des unités de production
d) optimisation des coûts de fabrication

12. Qu'est-ce que l'innovation ?


a) application industrielle d'une invention
b) informatisation du processus de production
c) une invention
d) l'utilisation de l'informatique dans le domaine de la gestion de production

13. Quels sont les objectifs de l'organisation de la production ?


a) définir la localisation des unités de production
b) optimiser et réduire les coûts de fabrication
c) définir l'agencement des unités de production
d) définir l'ordonnancement des unités de production

14. Que doit permettre le choix de la localisation (situation géographique) d'une unité de production (une
usine par exemple) ?
a) réduire les coûts d'approvisionnement en matières premières
b) réduire les coûts de transformation des matières premières
c) réduire les coûts de distribution des produits fabriqués
d) améliorer l'implantation des bâtiments
e) réduire les contraintes de qualité

15. Quels choix d'implantation (agencement) d'une unité de production sont possibles ?
a) implantation en ligne ou à la chaîne
b) implantation en cellules ou en îlots
c) implantation linéaire
d) implantation éclatée
e) implantation étalée

16. A quel(s) type(s) de production convient l'automatisation ?


a) pour les productions de masse
b) pour les productions en continu (régulières sur une période longue)
c) pour les produits peu différenciés
d) pour les produits très différenciés
e) pour les productions sur mesure

17. A quelle définition correspond un mode de production linéaire :


a) Les postes de production sont éparpillés dans l'atelier
b) Les produits transitent par des postes alignés
c) Il n'existe plus de postes, mais un calendrier d'opérations à mener

L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité

1. La productivité d'un facteur de production est le rapport entre :


a) le bénéfice obtenu et le prix de ce facteur
b) la production réalisée et la quantité de facteur utilisée
c) le prix du facteur et la production réalisée
d) la quantité de facteur utilisée et le prix de ce facteur

2. Les gains de productivité sont :


a) des économies réalisées grâce à une meilleure combinaison productive
b) des améliorations des conditions de travail des salariés
c) des augmentations de la taille des entreprises

3. La productivité du travail augmente quand :


a) le temps de travail diminue pour une même production
b) la production augmente pour un même temps de travail
c) la même production peut être réalisée avec moins de personnel

4. L'amélioration de la productivité peut être obtenue par :


a) une robotisation ou une automatisation plus importance
b) une robotisation ou une automatisation moins importance
c) la réorganisation du travail
d) l'amélioration des relations de travail

5. Pour une entreprise, la productivité :


a) est un indicateur de bonne santé
b) est une condition de performance
c) est égale à la rentabilité
d) augmente quand la taille diminue

6. la productique, c'est :
a) l'augmentation des capacités de production de l'entreprise
b) l'étude de la production de l'entreprise
c) l'étude de la gestion de la production
d) l'association de l'informatique à la gestion de la production

7. Qu'est-ce que la qualité dans l'entreprise ?


a) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les besoins des utilisateurs
b) c'est l'aptitude d'un produit ou d'un service à satisfaire les envies des utilisateurs
c) c'est la possibilité qu'a l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents

8. La qualité concerne :
a) le produit final
b) le processus de production dans son ensemble
c) la production à la commande
d) la production en flux poussés

9. Pourquoi la recherche de la qualité est-elle liée à l'idée de compétition et de compétivité ?


a) elle permet à l'entreprise de s'améliorer plus vite que ses concurrents
b) la qualité des produits doit empêcher que des produits défectueux n'entrent dans l'usine
c) la recherche de la qualité augmente la flexibilité dans l'entreprise

10. Qu'est-ce que la qualité totale ?


a) c'est bien faire la première fois
b) c'est livrer en temps voulu un produit complet et sans défaut
c) c'est diminuer la concurrence
d) c'est être indépendant des concurrents

11. Quelles sont les caractéristiques des normes de qualité ISO 9000 ?
a) elles définissent des caractéristiques qui garantissent au client un certain niveau de qualité
b) elles définissent un prix qui garantit au client un certain niveau de qualité
c) elles définissent un service après-vente qui garantit au client un certain niveau de suivi de commande

12. La démarche de qualité totale est une démarche qui s'inscrit dans l'optique des 5 zéros, lequel ou lesquels
parmi les propositions suivantes ?
a) 0 stock
b) 0 délai
c) 0 problème
d) 0 retard
e) 0 souci

13. Quelles sont les techniques de contrôle de la qualité utilisées ?


a) contrôle unitaire
b) contrôle par échantillon
c) contrôle en discontinu
d) contrôle en chaîne

14. A quel(s) moment(s) sont réalisés les contrôles de qualité sur les produits fabriqués ?
a) pendant la production
b) avant la production
c) lors de la livraison de la commande
d) lors de l'expédition des produits

15. Pourquoi la non-qualité coûte cher à l'entreprise ?


a) rebuts de produits
b) mécontentement des clients
c) surproduction
d) ventes inutiles

16. Que permet la flexibilité ?


a) de s'adapter aux circonstances
b) d'anticiper les modifications de l'environnement
c) d'améliorer l'image de marque de l'entreprise
d) d'éviter les gaspillages
e) de diminuer le coût de production

17. La production en continu est-elle flexible ?


a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité

18. La production unitaire est-elle flexible ?


a) aucune flexibilité
b) peu de flexibilité
c) très grande flexibilité

19. Qu'est-ce que la flexibilité interne ?


a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise externalise sa production
d) l'entreprise cherche à modifier son environnement

20. Qu'est-ce que la flexibilité externe ?


a) l'entreprise adapte elle-même son outil de production
b) l'entreprise fait appel à la sous-traitance
c) l'entreprise cherche à modifier son environnement

21. Qu'entend-on par "externalisation" de la production ?


a) c'est faire faire à d'autres
b) c'est faire soi-même
c) c'est faire appel à la sous-traitance
d) c'est acheter des biens à une autre entreprise au lieu de les fabriquer soi-même
e) c'est produire soi-même les biens nécessaires

22. Quels sont les avantages de la flexibilité externe ?


a) évite l'investissement dans des capacités de production sous utilisées
b) permet de disposer d'un savoir-faire rapidement et sans le financer
c) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les sous-traitants
d) permet de faire reposer le poids des variations de la demande sur les clients
e) permet d'utiliser une main d'oeuvre formée par l'entreprise elle-même donc plus performante

23. Quelles sont les formes de sous-traitance ?


a) sous-traitance de capacité
b) sous-traitance de spécialité
c) sous-traitance de spécialisation
d) sous-traitance de production
e) sous-traitance de délocalisation

24. Pourquoi les entreprises recherchent-elles de plus en plus de flexibilité ?


a) pour répondre rapidement aux variations de la demande (en volume)
b) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de la demande en passant rapidement
d'un type de produit à un autre
c) pour s'adapter rapidement à un changement des caractéristiques de l'offre en passant rapidement d'un
type de produit à un autre
d) pour répondre partiellement aux variations de la demande (en volume)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES D'APPROVISIONNEMENT

1. A quel type de produit le stockage dynamique est-il le plus adapté ?


a) produit périssable
b) produit invendu
c) produit défectueux
d) produit nouveau

2. Quelles sont les méthodes d'organisation des entrepôts et de stockage ?


a) "une place pour chaque chose et chaque chose à sa place"
b) stockage interactif
c) adresse et emplacement précis pour chaque produit
d) stockage atomique

3. Selon vous, à quelle notion se rapporte la définition suivante : "réservoir rempli par la production et vidé
par les ventes" ?
a) stock de produits finis
b) stock de consommations intermédiaires
c) stock de matières premières
d) stock de fournitures administratives
e) stock de rebuts

4. Les stocks intermédiaires sont constitués :


a) de produits finis
b) d'en cours de production (produits utilisés en cours de production)
c) d'équipements
d) de consommations intermédiaires

5. la notion d'approvisionnement recouvre :


a) l'ensemble des opérations qui permettent de se procurer des biens et des services à l'extérieur
b) la mise en œuvre des opérations de fabrication sur les postes de travail
c) les opérations de distribution des produits semi-finis

6. Quel(s) domaine(s) couvre l'approvisionnement dans la gestion de l'entreprise ?


a) gestion des achats (commandes, relations fournisseurs...)
b) gestion des stocks (organisation des flux de produits...)
c) gestion des moyens de distribution (transporteurs, livraisons...)
d) gestion de la commercialisation des produits (délais...)
e) gestion des flux d'informations concernant l'activité commerciale

7. A quelle fonction, dans l'entreprise, correspond le rôle suivant : "Procurer à l'entreprise, au moment
voulu, en quantité voulue, en qualité voulue, au moindre coût, dans les meilleures conditions ce dont elle a
besoin" ?
a) approvisionnement
b) logistique
c) distribution
d) commercialisation
e) production

8. Quelles sont les principales étapes d'un processus d'achat ?


a) recherche d'un utilisateur
b) recherche et sélection des fournisseurs
c) négociation et commande (détermination des prix, fixation des modalités de paiement...)
d) suivi de clientèle et de produits
e) service après-vente

9. Quelles sont les principales questions à poser pour définir une politique d'achat ?
a) définir et négocier entre acheteur et vendeur
b) savoir quand commander et en quelle quantité
c) définir le service après-vente
d) définir la gestion des stocks (organisation des flux de produits...)

10. Dans quel(s) domaine(s) l'efficacité des approvisionnements se répercute-t-elle sur les autres services de
l'entreprise ?
a) sur la gestion de production : évite les retards de fabrication des produits
b) sur les services financiers : grâce à des conditions de prix bien négociées
c) sur l'assurance qualité : grâce à des normes de qualité
d) sur la qualité des livraisons : respect des délais, coût...

11. A quelle notion correspond l'objectif suivant : réaliser la meilleure adéquation entre les besoins de
l'entreprise et les possibilités offertes par les fournisseurs ?
a) "marketing-achat"
b) partenariat
c) transitique
d) e-commerce
12. A quelle notion correspond l'objectif suivant : démarche qui vise à établir des relations d'étroite
collaboration entre l'entreprise et ses fournisseurs ?
a) partenariat
b) mécénat
c) délégation
d) relations publiques

13. Quels sont les rôles de l'acheteur ?


a) obtenir des délais de paiement et des produits de qualité à des prix compétitifs
b) définir les besoins des différents services
c) évaluer les quantités à négocier
d) éviter les retards de fabrication des produits
e) suivre les livraisons de produits aux clients et en assurer la distribution

14. Quelles sont les caractéristiques du stock ?


a) quantité de produits accumulés
b) quantité de produits en attente d'utilisation
c) quantité de produits en attente de fabrication
d) quantité de produits défectueux

15. Quels sont les objectifs de la gestion des stocks ?


a) minimiser les coûts liés au stock
b) éviter les ruptures de stock
c) éviter les stocks de consommations intermédiaires
d) maximiser la quantité disponible stockée

16. A quelle(s) notion(s) correspond le principe suivant : déterminer le nombre optimal de commandes qui
permettra de minimiser le coût total des stocks ?
a) méthode de gestion économique des stocks
b) méthode de gestion maximaliste des stocks
c) méthode de gestion minimaliste des stocks
d) méthode de gestion optimiste des stocks
e) méthode de gestion déterministe des stocks

17. Quelle(s) est (sont) la ou les caractéristique(s) de la méthode de gestion par exception des stocks ?
a) méthode flexible
b) méthode s'inspirant du JAT (juste à temps)
c) méthode permettant une nette diminution du volume des stocks
d) méthode arbitraire
e) méthode rigide

18. Comment qualifier la méthode des 20/80 en matière de stockage ?


a) méthode de classement des stocks en fonction de la plus grosse part de valeur des produits (20 % des
produits représentent 80 % de la valeur)
b) méthode de classement des stocks en fonction de la moins grosse part de produits (20 % des produits
représentent 80 % de la valeur)
c) méthode de classement des stocks en fonction des parts respectives en quantité de chaque type de produit

19. Quelle(s) méthode(s) de classement des articles stockés existe(nt) ?


a) méthode des 20/80
b) méthode ABC
c) méthode CBA
d) méthode heuristique
e) méthode sélective

20. Quels sont les coûts liés aux stocks et à leur gestion ?
a) coût de possession (ou de détention) du stock
b) coût de rupture de stock
c) coût d'annulation de commande
d) coût de suppression de livraison
e) coût de diversification du stock

21. Quels sont les objectifs de la politique d'approvisionnement ?


a) objectif de coût
b) objectif de quantité
c) objectif de sécurité (fiabilité des livraisons)
d) objectif de fiabilisation
e) objectif de qualité

22. Quels sont les choix à faire concernant la politique d'approvisionnement ?


a) avoir un seul fournisseur (politique d'exclusivité)
b) avoir plusieurs fournisseurs (politique de diversification)
c) diversifier géographiquement ses sources d'approvisionnement
d) diversifier la réciprocité de ses sources d'approvisionnement
e) avoir une politique de conservation des fournisseurs

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES DE LOGISTIQUE

1. La transitique correspond :
a) au stockage des produits fournisseurs
b) au transfert des matières premières vers les ateliers
c) aux opérations relatives à l'approvisionnement des postes
d) l'automatisation des manutentions et transports de stocks d'un point à un autre dans l'entreprise
e) aux opérations de distribution entre les entreprises et les entrepôts

2. La logistique signifie :
a) raisonner logiquement sur les moyens de gérer une entreprise
b) faire appel à l'informatique pour gérer les entreprises
c) gérer les flux internes et externes d'une entreprise
d) mettre à disposition à moindre coût une quantité déterminée d'un produit à l'endroit et au moment où une
demande existe

3. De quoi est composée la chaîne logistique ?


a) logistique de production des produits en amont
b) logistique de distribution des produits en aval
c) logistique de coordination
d) logistique de flux entrants d'informations

4. Qu'est-ce qu'un "logisticien" ?


a) coordinateur des fonctions de l'entreprise touchées par la chaîne logistique
b) coordinateur des fonctions de l'entreprise touchées par la chaîne productive
c) coordinateur des flux d'informations

5. Qu'est-ce que la logistique en amont ou logistique du produit ?


a) elle englobe toutes les activités liées à la production du produit
b) elle englobe toutes les activités liées à la distribution du produit
c) elle englobe toutes les activités liées à la conception du produit

6. Qu'est-ce que la logistique en aval ou logistique de soutien ?


a) elle englobe toutes les activités liées à la conception du produit
b) elle englobe toutes les activités liées à la distribution du produit
c) elle englobe toutes les activités liées à la maintenance du produit (SAV...)
d) elle englobe toutes les activités liées à la facturation du produit

7. Qu'est-ce que la logistique intégrée ?


a) elle comprend les logistiques amont et aval
b) elle comprend les logistiques avant et après
c) elle comprend les logistiques présente et future
d) elle comprend les logistiques interne et externe

8. Quels sont les éléments du choix d'un mode de transport des stocks dans l'entreprise ?
a) il faut tenir compte du type de produit
b) il faut tenir compte de la rapidité du transport
c) il faut tenir compte de la fragilité du transport
d) il faut tenir compte de la banalisation du transport

9. Quels sont les avantages de la sous-traitance du transport des stocks ?


a) pas de coût de maintenance du matériel
b) pas de charges de personnel
c) coût du service peu élevé
d) indépendance par rapport au transporteur
e) banalisation du transport
10. Quels sont les objectifs et les enjeux de la logistique ?
a) diminuer les coûts
b) maîtriser les délais de livraison
c) réduire les stocks
d) favoriser les goulets d'étranglement lors du transport des marchandises
e) permettre l'échange des stocks

11. Pourquoi une logistique bien gérée contribue-t-elle à l'obtention de la qualité totale ?
a) permet la livraison des produits en bon état
b) permet de respecter les délais de mise à disposition du produit
c) permet de réduire les échanges administratifs de données
d) permet de réduire les échanges de données
e) permet une livraison au client final en juste à temps

ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : les choix financiers

1. Comment caractériser les besoins de financement liés au cycle d'investissement ?


a) dépenses pour le long terme
b) dépenses de court terme
c) dépenses nécessitant des financements stables
d) dépenses qui vont permettre l'acquisition de biens intermédiaires

2. A quoi sert l'investissement ?


a) à l'achat de nouveaux moyens de production
b) à obtenir un seuil de rentabilité pour l'entreprise
c) à générer du profit à terme
d) à réaliser, ultérieurement à la dépense, des recettes ou à réduire les coûts

3. Qu'est-ce qu'une immobilisation ?


a) tout bien acquis ou créé par l'entreprise destiné à rester durablement dans l'entreprise
b) dépenses sur une longue période
c) dépenses immédiates en vue de réaliser ultérieurement des recettes
d) dépenses immédiates en vue de réduire ultérieurement les coûts

4. Qu'est-ce que l'investissement au sens comptable ?


a) acquisition de biens durables (immobilisations)
b) sacrifice de ressources ayant pour objectif d'obtenir un résultat
c) dépenses qui sur une longue période génèreront des recettes supérieures à la dépenses initiale

5. Quels sont les catégories d'investissements matériels qui existent réellement dans l'entreprise ?
a) investissement de capacité
b) investissement de productivité
c) investissement de rentabilité
d) investissement de rationalisation
e) investissement de remplacement

6. A quelle notion correspond la définition suivante : "ensemble des opérations qui vont de l'acquisition des
entrées (marchandises ou matières premières) à l'encaissement du prix de vente des sorties (produits finis ou
services)" ?
a) cycle d'exploitation
b) cycle des affaires
c) cycle de stockage
d) cycle d'activité

7. De quoi dépend la durée du cycle d'exploitation de l'entreprise ?


a) du temps de stockage des produits finis
b) de la durée du crédit accordé aux clients
c) de la longueur du processus de production des produits finis
d) de la longueur des chaînes de montage des produits finis
e) de la durée du cycle d'investissement

8. A votre avis, le cycle d'exploitation est égal à ?


a) cycle de production + cycle de commercialisation
b) cycle de commercialisation + cycle de distribution
c) cycle d'investissement + cycle de production
d) cycle d'amortissement du matériel + cycle de vie du produit

9. A quoi correspond la règle de l'équilibre financier ?


a) les emplois stables doivent être financés par des ressources stables (capitaux permanents)
b) les dépenses d'exploitation doivent être financées par des ressources stables (capitaux permanents)
c) les dépenses d'exploitation doivent être financées par des ressources d'exploitation
d) les investissement doivent être financés par des capitaux à court terme

10. A l'aide de quel(s) indicateur(s), l'entreprise peut-elle apprécier sa situation financière ?


a) à l'aide du fonds de roulement net global (FRNG)
b) à l'aide du besoin en fonds de roulement (BFR)
c) à l'aide de l'équilibre financier (EQF)

11. Si les ressources stables sont supérieures aux emplois stables, la situation financière de l'entreprise est :
a) saine
b) dangereuse

12. Quelles sont les caractéristiques du besoin en fonds de roulement ?


a) sert à financer les dépenses du cycle d'exploitation
b) dépend de la longueur du cycle d'investissement
c) dépend de la longueur du cycle d'exploitation
d) sert à financer les dépenses du cycle de commercialisation
e) sert à financer les dépenses du cycle de d'investissement

13. Une entreprise bien gérée cherche à minimiser son besoin en fonds de roulement c'est-à-dire ?
a) à accélérer ses encaissements
b) à ralentir ses décaissements
c) à augmenter le temps de stockage
d) à augmenter la durée du crédit accordé aux clients
e) à obtenir l'allongement du crédit auprès de ses fournisseurs

ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : l'équilibre financier

1. A quoi correspond l'excédent brut d'exploitation ?


a) c'est un indicateur d'efficacité de l'entreprise
b) c'est un indicateur permettant de mesurer l'autonomie financière de l'entreprise
c) c'est un indicateur permettant de mesurer le chiffre d'affaires réalisé dans l'entreprise
d) c'est un indicateur de solvabilité de l'entreprise

2. Quel(s) est(sont) le(s) rôle(s) de la fonction financière de l'entreprise ?


a) collecter et gérer les ressources financières
b) analyser et maîtriser les flux financiers
c) permettre à l'entreprise de disposer d'un carnet de commande important
d) permettre à l'entreprise d'avoir une activité rentable

3. Quelle(s) fonction(s) dans l'entreprise a pour objectif de lui permettre de disposer des ressources dont elle a
besoin ?
a) fonction financière
b) fonction comptable
c) fonction approvisionnement
d) fonction logistique
e) fonction production

4. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "capacité des capitaux investis dans une entreprise
à générer un résultat financier (bénéfice)" ?
a) la rentabilité
b) la fiscalité
c) l'autonomie financière
d) la productivité

5. Comment mesure-t-on la rentabilité ?


a) taux rentabilité = résultats nets/capitaux investis
b) taux rentabilité = résultats financiers/résultats nets
c) taux rentabilité = masse salariale/production réalisée
d) taux rentabilité = valeur ajoutée/production réalisée

6. Que permet de mesurer le taux rentabilité ?


a) l'efficacité de l'entreprise
b) les dettes de l'entreprise
c) la capacité d'endettement de l'entreprise
d) la dépendance par rapport aux apporteurs de capitaux

7. Quels sont les différents types de rentabilité ?


a) rentabilité économique
b) rentabilité financière
c) rentabilité administrative
d) rentabilité commerciale
e) rentabilité fonctionnelle

8. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "capacité de l'entreprise à faire face à ses dettes et
à ses échéances" ?
a) solvabilité
b) autonomie financière
c) rentabilité de l'investissement
d) investissement
e) compte de résultat

9. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "l'entreprise doit être capable de financer elle-
même la plupart de ses investissements" ?
a) autonomie financière
b) insolvabilité
c) autofinancement
d) ratio d'endettement
e) indépendance financière

10. Comment mesure-t-on l'indépendance financière d'une entreprise ?


a) ratio d'autonomie financière
b) ratio de solvabilité
c) ratio d'investissement

11. Qu'entraîne un niveau élevé de dette pour l'entreprise ?


a) charges financières élevées (intérêts d'emprunt)
b) faible capacité d'endettement (peu de possibilité de recours à de nouveaux emprunts)
c) dépendance par rapport aux prêteurs
d) capacité d'endettement intacte (possibilité de recours à de nouveaux emprunts)
e) capacité à rémunérer les fonds durablement mis à sa disposition

12. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "mécanisme par lequel l'endettement permet
d'augmenter l'activité et la rentabilité de l'entreprise"
a) l'effet de levier
b) l'effet d'équilibre
c) le mécanisme du multiplicateur
d) le mécanisme du duplicateur

13. Quel(s) facteur(s) faut-il considérer pour déterminer le niveau d'endettement de l'entreprise par rapport
à ses capitaux propres ?
a) la sécurité financière
b) l'indépendance financière
c) la destination des dépenses de fonctionnement
d) le besoin de financement de l'exploitation

14. Comment connaître la situation économique et financière de l'entreprise ?


a) grâce au compte de résultat
b) grâce au bilan
c) grâce à la balance
d) grâce au tableau d'amortissement

15. Comment caractériser le bilan ?


a) synthèse de la situation du patrimoine de l'entreprise (biens, dettes, créances...)
b) synthèse des résultats obtenus par l'entreprise sur une année (ventes, chiffre d'affaires...)
c) synthèse des choix financiers effectués (investissements...)
d) synthèse des moyens de financement choisis (emprunts, autofinancement...)

16. Que reflète le bilan ?


a) choix d'investissements (bâtiments, machines...)
b) choix de financement (capitaux propres ou empruntés)
c) choix de production (stocks de produits finis, ventes réalisées)
d) équilibre des différentes sources de financement
e) équilibre des besoins de financement de l'exploitation

17. A quoi sert le fonds de roulement ?


a) à couvrir le besoin de financement de l'exploitation
b) à couvrir les dépenses de recherche et de développement
c) à couvrir le besoin d'assainissement des finances

18. Le fonds de roulement correspond :


a) à un besoin permanent de capitaux
b) à un besoin ponctuel de capitaux
c) à un décalage entre recettes et dépenses
d) au cycle d'investissement

19. Comment caractériser le compte de résultat ?


a) analyse la variation de la richesse d'une entreprise
b) comparaison entre les produits (ou recettes) et les charges (ou dépenses)
c) analyse la richesse créée par l'activité productive (production réalisée, ventes...)
d) synthèse des moyens de financement choisis (emprunts, avances de trésorerie...)
e) synthèse des choix financiers effectués (emprunts, autofinancement...)

20. Que représente la valeur ajoutée ?


a) la richesse créée par l'entreprise
b) la différence entre ce que l'entreprise produit et ce qu'elle se procure à l'extérieur pour produire
c) la variation de la richesse d'une entreprise
d) un indicateur de l'efficacité de l'entreprise

21. A quoi correspond le résultat brut d'exploitation ?


a) résultat après paiement des charges
b) résultat avant paiement des charges
c) total des charges supportées par l'entreprise pour produire
d) chiffre d'affaires total

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA MERCATIQUE (ESPRIT ET DEMARCHE)

1. La démarche mercatique s'est développée dans un contexte où :


a) L'offre était inférieure à la demande
b) l'offre était supérieure à la demande
c) Les entreprises n'arrivaient pas à produire assez pour les consommateurs
d) Les entreprises n'arrivaient pas à vendre toute leur production

2. Un segment de marché, c'est :


a) Une zone géographique du marché
b) Une part homogène du marché
c) Un marché potentiel
d) Un échantillon représentatif du marché

3. l'approche mercatique concerne :


a) les études de marché
b) la place du consommateur dans la société
c) le point de vue du consommateur que l'on veut satisfaire
d) la fabrication de marchandises fiables

4. Qu'est-ce que la mercatique ?


a) actions destinées à détecter les besoins des consommateurs
b) actions destinées à adapter la production et la commercialisation en fonction des besoins
c) actions destinées à changer les besoins de commercialisation des produits
d) actions destinées à adapter de façon continue les modes de production

5. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des objectifs de la mercatique ?
a) stimuler les besoins du consommateur
b) comprendre le marché
c) stimuler la production des biens
d) conserver le marché
e) agir sur la qualité totale

6. Quelles sont les étapes de la démarche mercatique ?


a) étude du marché
b) analyse du marché
c) vérification du marché
d) conception de la stratégie commerciale
e) conception de la stratégie générale de toute l'entreprise

7. Selon vous, qu'est-ce que le marché ?


a) un lieu de rencontre de l'offre et de la demande d'un produit dans une zone géographique donnée et pour
une période précise
b) un lieu de rencontre de l'offre et de la demande d'un produit dans une zone géographique donnée et pour
une période indéterminée
c) un lieu de rencontre de l'offre et de la demande d'un produit dans une zone géographique non délimitée et
pour une période précise
d) la compréhension des attitudes de consommation des consommateurs
e) un ensemble de produits

8. On distingue des marchés correspondant à des groupes de clients différents, lequel ou lesquels parmi les
propositions suivantes ?
a) marché réel (ou actuel)
b) marché potentiel
c) marché générique
d) marché régional
e) marché régulier

9. Comment caractériser le marché potentiel ?


a) composé de personnes ne consommant pas encore un produit mais susceptibles de modifier leur
comportement d'achat
b) marché actuel des non consommateurs relatifs
c) composé des clients réguliers de l'entreprise
d) composé des clients occasionnels de l'entreprise
e) en partie composé des clients des concurrents

10. A l'aide de quels indicateurs peut-on évaluer la place occupée par une entreprise sur un marché ?
a) part de marché
b) taux de croissance des ventes
c) taux de croissance de la production
d) part de bénéfices
e) ventes de la profession

11. On distingue plusieurs types de marchés, lequel ou lesquels parmi les propositions suivantes ?
a) marché secondaire
b) marché environnant
c) marché support
d) marché concurrentiel
e) marché général

12. Concernant le marché générique, quelle(s) est (sont) sa (ses) caractéristique(s) ?


a) composé de produits permettant de satisfaire un type de besoin donné
b) ensemble des produits directement en concurrence
c) ensemble des produits substituables
d) ensemble des produits complémentaires

13. Qu'est-ce qui détermine la structure de l'offre sur un marché ?


a) le nombre d'offreurs
b) le nombre d'acheteurs
c) le nombre de produits
d) le nombre de demandeurs
e) le nombre de vendeurs

14. Quels sont le ou les types de marchés basés sur l'offre ?


a) monopole
b) oligopole
c) oligopsone
d) monopsone

15. Quels sont le ou les types de marchés basés sur la demande ?


a) monopsone
b) oligopsone
c) monopole
d) oligopole

16. Quel type de marché constitue un demandeur face à un offreur ?


a) monopole bilatéral
b) monopsone
c) oligopsone
d) oligopole
e) monopole

17. Comment se nomme un marché constitué de quelques acheteurs ?


a) oligopsone
b) monopsone
c) oligopole
d) monopole

18. Comment se nomme un marché constitué de quelques offreurs ?


a) oligopsone
b) monopsone
c) oligopole
d) monopole bilatéral

19. Segmenter un marché, c'est :


a) le découper en secteurs homogènes
b) le découper en groupes de consommateurs ayant des comportements d'achat identiques
c) le découper en groupes de consommateurs ayant des comportements d'achat complémentaires
d) se positionner sur le marché choisi
e) étudier la demande de façon quantitative

20. Qu'est-ce que positionner un produit ?


a) place que veut donner l'entreprise à son produit dans un secteur particulier par rapport aux produits
concurrents
b) le choix d'une cible de consommation
c) la proposition d'une offre spécifique à chacune des cibles choisies
d) différencier le produit des concurrents

21. Quelle(s) est (sont) les stratégies de positionnement parmi les propositions suivantes ?
a) imitation du produit
b) différenciation du produit
c) négation du produit
d) segmentation du produit
e) importation du produit

22. Quels acteurs interviennent sur les marchés ?


a) les grossistes
b) les concurrents
c) les organisations caritatives
d) les agents d'influence (ex. media, prescripteurs...)
e) les conciliateurs

23. Pour analyser l'offre (ou comment vendre plus ?), sur quoi porteront les informations recherchées ?
a) informations sur les distributeurs
b) informations sur les concurrents
c) informations sur la logistique
d) informations sur les objectifs
24. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles figure(nt) dans la méthode des 6 "O" ?
a) Occupants
b) Occasion
c) Opérations
d) Obligations
e) Organismes

25. Parmi les opérations suivantes, laquelle ou lesquelles est(sont) réalisée(s) dans une étude de marché ?
a) collecte de l'information sur la demande potentielle d'un produit
b) collecte de l'information sur la demande opérationnelle d'un produit
c) analyse de l'offre d'un produit
d) analyse de données qualitatives (ex. profils des consommateurs...)
e) analyse de données qualificatives sur le marché étudié

26. Quels types d'informations fournit une étude de marché ?


a) identification des concurrents
b) statistiques de consommation
c) motivations d'achat
d) obligations d'achat
e) profils des produits

27. Quels sont les différents types d'études de marché ?


a) étude quantitative
b) étude qualitative
c) étude corrective
d) étude qualificative
e) étude générique

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le prix

1. Lorsqu'un produit a une faible élasticité-prix :


a) Son prix ne varie pas
b) Les ventes augmentent peu lorsque le prix baisse
c) Les ventes baissent peu lorsque le prix augmente
d) Les ventes varient beaucoup

2. le prix psychologique représente :


a) le prix plancher en dessous duquel l'entreprise ne peut descendre
b) le prix le plus élevé pour un produit
c) le prix que la majorité des consommateurs potentiels accepterait de payer pour un produit donné
d) le prix que le consommateur moyen de chaque catégorie socioprofessionnelle aurait souhaité payer pour
un produit

3. le prix d'un produit :


a) est fixé définitivement lors de son lancement
b) peut varier au cours de son cycle de vie
c) ne peut être inférieur à son coût de revient
d) varie en fonction de l'environnement concurrentiel

4. Quelle est la définition économique du prix ?


a) c'est l'expression monétaire de la valeur marchande d'un produit
b) c'est l'arme concurrentielle par excellence
c) c'est un outil de différenciation de la concurrence
d) c'est un outil de comparaison avec la concurrence

5. Comment fixer le prix d'un produit ?


a) en fonction des coûts de production
b) en fonction de la demande
c) en fonction de la mode
d) en fonction du taux de rentabilité

6. Qu'est-ce que le prix d'acceptabilité ?


a) niveau de prix pour lequel il y aura le plus grand nombre d'acheteurs possibles
b) niveau de prix pour lequel il y aura le plus petit nombre d'acheteurs possibles
c) niveau de prix pour lequel il y aura le plus important profit
d) c'est le prix psychologique

7. Qu'est-ce que le taux de marge ?


a) prix de vente - coût de revient / coût de revient * 100
b) chiffre d'affaires - coût de revient / coût de revient * 100
c) prix d'achat - coût de revient / coût de revient * 100

8. Qu'est-ce que l'élasticité de la demande ?


a) les quantités demandées varient en fonction du prix
b) les prix pratiqués varient en fonction des quantités vendues
c) les quantités vendues varient en fonction des quantités demandées

9. Que permet la connaissance de l'élasticité de la demande d'un produit ?


a) d'anticiper la demande en fonction des variations de prix
b) d'anticiper la demande en fonction des variations des quantités
c) de fixer les prix en fonction des variations des quantités demandées

10. Qu'appelle-t-on un "bien rigide" ?


a) la demande du bien varie peu lorsque le prix varie beaucoup
b) la demande du bien varie de façon importante lorsque le prix varie peu
c) le prix de vente s'aligne sur la quantité demandée
d) le prix de vente s'aligne sur le positionnement par rapport au marché

11. Quelles sont les politiques de prix dont dispose l'entreprise pour lancer un nouveau produit ?
a) prix d'écrémage
b) prix d'alignement
c) prix de positionnement
d) prix d'ajustement

12. En cours de vie du produit, en fonction de quoi l'entreprise pourra-t-elle moduler ses prix ?
a) de la clientèle
b) des périodes de consommation
c) de l'ajustement périodique
d) du pouvoir d'achat des consommateurs

13. Quels sont les enjeux commerciaux d'une politique de prix ?


a) c'est l'arme concurrentielle par excellence
b) le prix permet de former, dans l'esprit du consommateur, l'image du produit
c) c'est un élément important du plan de marchandisage
d) la cohérence du prix avec le positionnement choisi pour le produit n'est pas primordiale

14. Comment caractériser un prix d'écrémage ?


a) prix élevé qui donne au produit une image de qualité
b) prix élevé qui vise une clientèle restreinte au pouvoir d'achat élevé
c) positionnement bas de gamme
d) marge bénéficiaire importante
e) marge bénéficiaire faible

15. Comment caractériser un prix de pénétration ?


a) positionnement bas de gamme
b) marge bénéficiaire faible qui doit être compensée par les quantités vendues
c) prix élevé qui donne au produit une image de qualité
d) prix bas pour limiter les parts de marché

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le produit

1. Selon vous, parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels est(sont) un produit leader ?
a) Renault Clio
b) Renault Twingo
c) Renault Laguna
d) Renault Scénic 4x4

2. La marque d'un produit :


a) Correspond toujours au nom de l'entreprise
b) Peut être déposée à l'INPI
c) Fait partie du " produit " des 4 P
d) Est l'un des éléments du marketing mix (ou plan de marchéage)

3. Retrouvez les caractéristiques d'un produit tout au long de son cycle de vie
a) un produit a une durée de vie illimitée
b) ses ventes passent par différents stades d'évolution
c) son niveau de profit varie en fonction de chaque phase du cycle de vie
d) tous les produits suivent la totalité du cycle

4. De quoi est constituée une gamme de produits ?


a) des produits satisfaisant le même besoin
b) de la couverture du marché
c) du volume de vente des produits
d) des nouveaux produits

5. l'approche mercatique considère le produit comme un :


a) objet spécifique (ex. montre, automobile)
b) une marque précise (ex. Bic, Peugeot)
c) un ensemble de services rendus à une cible donnée
d) un conditionnement particulier

6. Quelle(s) est(sont) la(les) caractéristique(s) d'une gamme longue ?


a) bonne couverture du marché
b) volume de vente important
c) entreprise spécialisée sur un créneau
d) gamme étendue
e) gamme équilibrée

7. De quoi sont composés les services connexes qui accompagnent le produit ?


a) garantie
b) conseils et notice d'utilisation
c) éléments de différenciation du produit
d) éléments de comparaison du produit

8. Quels sont les rôles remplis par le produit ?


a) contribue à la satisfaction d'un besoin
b) a une signification sociale à travers son image (manière dont il est perçu)
c) est le signe distinctif qui sert à identifier un consommateur
d) assurer le fonctionnement du marché sur lequel il est vendu

9. Comment identifier un produit ?


a) par le conditionnement
b) par la stylique (le design)
c) par l'utilisation possible
d) par les services connexes (SAV...)

10. Qu'est-ce que la marque ?


a) signe distinctif qui sert à identifier le bien ou le service d'une entreprise
b) signe distinctif qui sert à différencier un produit de ceux des concurrents
c) manière dont est perçu un produit
d) les caractéristiques physiques du produit
e) les caractéristiques fonctionnelles du produit

11. Il existe plusieurs types de marques, lesquelles ?


a) marque de fabricant
b) marque de distributeur
c) marque de consommation
d) marque distinctive

12. Pourquoi une marque est-elle la signature de l'entreprise ?


a) c'est un élément de notoriété de l'entreprise
b) elle véhicule l'idée de qualité attachée au produit
c) elle permet de donner les caractéristiques physiques du produit
d) elle permet de connaître la manière dont est perçu un produit

13. Pourquoi le choix de la marque est-il fondamental ?


a) elle doit être facilement repérable
b) elle doit être facilement mémorisable
c) elle doit être imitable
d) elle doit être comparable à d'autres

14. Qu'est-ce que le conditionnement d'un produit ?


a) c'est l'enveloppe extérieure du produit
b) c'est l'unité de vente au détail
c) c'est l'élément de notoriété du produit
d) c'est le signe de la gamme de produit

15. Quel(s) est(sont) le(s) rôle(s) du conditionnement du produit ?


a) support de communication entre le produit et le client
b) facteur de distribution du produit
c) "vendeur silencieux"
d) support de comparaison

16. Quelles sont les caractéristiques de la stylique (ou "design") ?


a) permet de donner une identité propre au produit
b) permet d'adapter la forme et les couleurs au positionnement d'un produit
c) permet de donner une utilité propre au produit
d) permet d'adapter la qualité au positionnement d'un produit

17. Quelles sont les différentes phases de la vie d'un produit ?


a) lancement
b) maturité
c) inclinaison
d) démarrage

18. Quelles sont les caractéristiques d'une gamme équilibrée ?


a) elle comporte des produits en phase de lancement ou de croissance destinés à relayer les produits en déclin
b) elle comporte des produits en phase de maturité dégageant des profits immédiats
c) elle comporte seulement des produits leader
d) elle comporte seulement des produits d'appel

19. Quels rôles commerciaux sont reconnus aux produits ?


a) produit tactique
b) produit d'avenir
c) produit d'origine
d) produit régulateur
e) produit original

20. Selon vous, parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels est(sont) un produit d'appel ?
a) Renault Clio
b) Renault Twingo
c) Renault Laguna
d) Renault Scénic 4x4

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : la communication commerciale

1. Quelles sont les objectifs de la communication commerciale ?


a) faire connaître
b) faire aimer
c) faire agir
d) faire rechercher
e) faire juger

2. Quels sont les moyens dont dispose l'entreprise pour développer de façon permanente sa place sur le
marché et faire connaître ses produits ?
a) publicité hors média
b) promotion des ventes
c) relations publiques
d) relations privées
e) circuits de distribution
3. Qu'est-ce qu'un média ?
a) c'est l'ensemble des supports ou canaux de communication de même nature
b) c'est un support multimédia
c) c'est un canal de distribution
d) c'est un support interactif et bilatéral

4. Quels sont, parmi ceux proposés, les grands médias traditionnels ?


a) cinéma
b) affichage
c) petites annonces
d) messagerie électronique
e) forums de discussion

5. Pourquoi Internet est-il considéré comme un média à part entière ?


a) grâce à sa diffusion mondiale
b) grâce aux possibilités qu'il apporte comme support multimédia (transmission du son, de l'image, de textes)
c) il est interactif (question, réponse quasi instantanément)
d) il est multilingue (sites traduits en plusieurs langues)

6. En fonction de quels critères le choix des média peut-il s'effectuer ?


a) produit à promouvoir
b) cible visée
c) habitudes de consommation
d) support de publicité
e) canaux de transmission

7. En quoi consiste le plan média ?


a) choisir les médias les plus adaptés aux objectifs de la campagne de communication commerciale
b) choix des supports qui vont véhiculer le message
c) choix du produit à promouvoir
d) choix de la cible visée
e) choix du type de consommateur à toucher en priorité

8. Quels supports la publicité hors média utilise-t-elle ?


a) publicité sur le lieu de vente
b) publicité par l'objet
c) publicité par la presse
d) publicité par démarchage

9. Quels moyens la publicité directe utilise-t-elle ?


a) publipostage
b) téléprospection
c) affiches
d) présentoirs
e) enseignes

10. Dans quelles directions les actions de promotion des ventes peuvent-elle être faites ?
a) en direction des distributeurs
b) en direction des prescripteurs (conseillers, médecins...)
c) en direction du personnel du point de vente
d) en direction des actionnaires

11. Quelles sont les caractéristiques de la promotion des ventes ?


a) elle "pousse" le produit vers le consommateur
b) elle agit sur les comportements d'achat du consommateur
c) elle cherche à attirer le client vers le produit
d) ses effets se font sentir à court terme sur les ventes
e) elle cherche à développer de bonnes relations entre le client et l'entreprise

12. Quelles sont les techniques promotionnelles ?


a) jeux (concours, loteries...)
b) essais ou échantillons
c) offres de réduction ou de remboursement
d) objets publicitaires portant la marque du produit
e) questionnaire de satisfaction du client

13. Quels sont les objectifs des relations publiques ?


a) établir de bonnes relations entre l'entreprise et l'opinion publique
b) développer la notoriété et l'image de marque de l'entreprise
c) établir des relations neutres entre l'entreprise et l'opinion publique
d) développer le carnet de commandes de l'entreprise
e) favoriser le développement de l'entreprise

14. Quels sont les moyens utilisés par les relations publiques ?
a) journée portes ouvertes
b) parrainage
c) marchandisage
d) relations avec la presse
e) formation du personnel à la publicité

15. Quelles sont les caractéristiques du mécénat ?


a) recherche d'une valorisation de l'image de l'entreprise par le soutien apporté à un évènement médiatique
b) pas de rentabilité directe en termes financiers
c) retombées à long terme
d) retombées à court ou moyen terme
e) rentabilité directe plus importante que le parrainage

16. Trouvez les exemples d'actions continues de relations publiques que peut mener une entreprise
a) lettre d'information aux clients
b) rencontres périodiques avec les associations de consommateurs
c) notes de service
d) conférence de presse annuelle
e) parrainage d'un évènement culturel

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : distribution, plan de marchéage

1. A quoi correspondent les 4 "P" du plan de marchéage ?


a) Publicité
b) Place (politique de distribution)
c) Production
d) Politique commerciale

2. Comment définir le plan de marchéage d'un produit ?


a) le plan mercatique regroupe l'ensemble des plans de marchéage de chacun des produits de l'entreprise
b) le plan de marchéage correspond au plan global de communication de l'entreprise
c) la plan de marchéage a pour objectif la recherche d'une valorisation de l'image de l'entreprise

3. Qu'est-ce que la fonction de distribution ?


a) mise à disposition des consommateurs des produits dont ils ont besoin
b) chemin parcouru par un bien pour aller du producteur à l'utilisateur final
c) stades intermédiaires entre distributeurs (grossistes, détaillants...)

4. Qu'est-ce qu'un circuit de distribution ?


a) cheminement suivi par un produit pour passer du producteur au consommateur final
b) mise à disposition des consommateurs des produits dont ils ont besoin
c) fractionnement ou regroupement des commandes du client
d) réseau de distribution sans intermédiaires

5. Quels sont, parmi les propositions suivantes, les différents types de circuits de distribution ?
a) circuit ultra-court
b) circuit direct
c) circuit hyperlong
d) circuit regroupé
e) circuit fractionné

6. Quels sont les rôles de la fonction de distribution ?


a) assurer le transport des produits
b) assurer l'information des clients (conseils d'installation...)
c) mettre en oeuvre la garantie d'un produit
d) assurer la facturation des commandes
e) assurer le stockage des commandes prêtes à être livrées
7. Dans quel(s) exemple(s), le circuit de distribution est-il souvent un circuit long ?
a) produits alimentaires
b) commercialisation de la viande
c) vente de véhicules de tourisme (voitures...)
d) commercialisation de produits fermiers sur un marché local

8. Quelles contraintes faut-il respecter pour choisir un mode de distribution adapté ?


a) contrainte du produit à distribuer et de ses caractéristiques
b) contrainte du personnel dont dispose l'entreprise (force de vente...)
c) contraintes judiciaires infligées par les tribunaux
d) contrainte d'assurer l'information des clients

9. Quels sont les différents modes de distribution ?


a) distribution exclusive
b) distribution intensive
c) distribution exhaustive
d) distribution exceptionnelle

10. Comment qualifier la distribution sélective ?


a) elle est accordée aux intermédiaires selon des critères comme l'image, la compétence...
b) les intermédiaires n'ont pas l'exclusivité de la distribution
c) les intermédiaires ont l'exclusivité de la distribution sur un secteur géographique
d) elle est accordée aux intermédiaires sans l'examen de critères particuliers

11. Qu'appelle-t-on "biens anomaux" ?


a) biens dont l'achat est exceptionnel
b) biens dont le prix est élevé
c) biens de consommation courante
d) biens intermédiaires
e) biens de première nécessité

12. Le réseau internet peut-il être considéré comme un circuit de distribution ?


a) oui
b) non

13. Comment nomme-t-on la distribution des produits grâce au réseau internet ?


a) cyber-commerce
b) e-commerce
c) e-échanges
d) commerce électronique
e) net-commerce

14. Parmi les enjeux du choix du mode de distribution proposés, lequel ou lesquels vous semble(nt)
vraisemblable(s) ?
a) une distribution exclusive limite souvent le nombre de distributeurs possibles
b) le choix entre les différentes formes de distribution n'est pas neutre (sans conséquences)
c) une distribution intensive présente le risque pour l'entreprise de perdre son autonomie face aux grands
distributeurs
d) une distribution intensive limite souvent le nombre de distributeurs possibles
e) une distribution sélective présente le risque pour l'entreprise de perdre son autonomie

15. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les missions de la force de vente d'une entreprise ?
a) guider le client, le conseiller
b) assurer le suivi des commandes
c) mettre en place la politique commerciale
d) trouver des opportunités en prospectant les marchés
e) assurer le service après-vente

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH

1. La masse salariale comprend :


a) les salaires et les impôts versés par l'entreprise
b) les salaires et les charges sociales versées par l'employeur
c) les salaires et les achats
d) les cotisations sociales versées par l'employeur
2. Font partie des compléments du salaire :
a) les bulletins de paie
b) les primes
c) les avantages en nature (voiture de fonction, téléphone portable...)
d) les indemnités maladie et maternité
e) les congés payés

3. La formation professionnelle :
a) est de plus en plus considérée comme un investissement par les entreprises
b) fait l'objet d'une obligation de financement par les salariés
c) fait l'objet d'une obligation de financement par les entreprises
d) doit obligatoirement être assurée à l'extérieur de l'entreprise

4. La procédure de recrutement inclut généralement :


a) la réception des candidatures
b) des entretiens individuels ou collectifs
c) des tests professionnels
d) une période d'essai
e) des test psychomoteurs

5. Sur quoi repose le recrutement du personnel ?


a) sur la détermination des besoins
b) sur la politique de formation
c) sur la classification des emplois
d) sur la détermination de l'activité

6. Il sert à déterminer le portrait "idéal" de la personne qui doit occuper un poste précis, c'est ?
a) le graphique personnalisé
b) le profil de poste
c) le code de classification des emplois
d) la définition du poste

7. Quels sont les différents modes de recrutement ?


a) recrutement interne par mutation
b) recrutement externe par organisme de placement
c) recrutement externe par promotion
d) recrutement interne par "chasseurs de têtes" (cabinets de recrutement)

8. Quels sont les différents moyens de recrutement ?


a) affichage sur la voie publique
b) associations d'anciens étudiants
c) stages et travail intérimaire
d) tests psychologiques
e) annonces sur sites internet spécialisés

9. Quelle(s) est(sont) la ou les méthode(s) de sélection des candidats ?


a) jeux de rôles, mises en situation
b) tests psychosomatiques
c) tests professionnels
d) analyse physiologique
e) analyse graphique

10. La formation continue est obligatoire pour quel(s) type(s) d'entreprise ?


a) pour les entreprises de + de 50 salariés
b) pour les entreprises de - de 50 salariés
c) pour les entreprises de - de 150 salariés
d) pour les entreprises de + de 150 salariés
e) pour toutes les entreprises

11. La formation professionnelle continue comprend deux aspects, lesquels ?


a) plan de formation annuel
b) congé individuel de formation
c) congé parental de formation
d) plan de formation semestriel
e) plan de formation externe
12. Quels sont les objectifs de la formation pour le salarié ?
a) mobilité du personnel
b) enrichissement personnel
c) reconversion
d) productivité
e) promotion interne

13. Quels sont les objectifs de la formation pour l'entreprise ?


a) mobilité du personnel
b) adaptation aux évolutions techniques
c) reconnaissance du travail engagé
d) adaptation aux contraintes de l'environnement
e) mobilisation des capacités du personnel

14. Quel est le contenu d'un plan de formation ?


a) personnels concernés
b) contenus des formations
c) contenus des reconversions
d) perspectives de promotions internes
e) perspectives de reclassement du personnel

15. La formation continue est-elle obligatoirement réalisée au sein de l'entreprise ?


a) oui
b) non

16. Pourquoi la formation peut-elle être considérée comme un investissement ?


a) car c'est un coût pour l'entreprise
b) car l'entreprise en attend des retombées juridiques
c) car accroître les compétences permet de gagner en compétitivité
d) car la dépense fait l'objet d'un amortissement

17. A quelle(s) condition(s) la formation peut-elle être parfois une alternative au licenciement ?
a) lorsqu'il s'agit d'une formation qualifiante
b) s'il y a "glissement" d'une catégorie d'emplois menacés vers des emplois stables
c) s'il y a "glissement" d'une catégorie d'emplois menacés vers des emplois précaires
d) lorsqu'il s'agit d'une formation aux nouvelles technologies

18. Dans le cadre de la GPEC, quel est l'atout des préretraites ?


a) permettent de rajeunir la pyramide des âges
b) permettent de ne pas avoir recours au licenciement sec
c) permettent d'améliorer le niveau de qualification du personnel âgé
d) permettent de mettre en place le plan social de l'entreprise
e) permettent la promotion interne et la mobilité sociale

19. Que contient un plan social ?


a) mesures de reclassement des salariés
b) mesures de formation professionnelle continue
c) mesures de mobilisation du personnel
d) mesures de promotion interne

20. Quels sont les moyens d'évaluation du personnel ?


a) bilan des compétences
b) entretien annuel avec un supérieur hiérarchique
c) reclassement
d) bilan de participation
e) entretien mensuel avec un supérieur hiérarchique

21. Quelles sont les principales formes de la rémunération des salariés ?


a) rémunération au temps
b) avantages sociaux
c) primes au résultat
d) rémunération au mérite
e) rémunération par anticipation (avances sur salaire...)

22. Quelles sont les différentes formes de rémunérations accessoires au salaire de base ?
a) PEE (plan d'épargne d'entreprise)
b) PEA (plan d'épargne en actions)
c) intéressement
d) rémunération participative
e) PEI (plan d'épargne interentreprises)

23. Il s'agit d'une distribution préférentielle d'actions de l'entreprise aux cadres "méritants", c'est :
a) les "stocks options" ou options d'achat d'actions
b) les transactions de stock
c) les primes de participation
d) les primes de mérite
e) les plans d'actionnariat

24. Quelles sont les objectifs des évolutions récentes de la rémunération du personnel dans les entreprises ?
a) baisse du coût du travail face à la concurrence internationale
b) davantage d'efficacité du personnel en récompensant les performances individuelles
c) meilleur dialogue social entre les partenaires au sein de l'entreprise
d) baisse des cotisations liées au travail face à la concurrence internationale

25. Quelles sont les évolutions récentes de la rémunération du personnel dans les entreprises ?
a) la part variable et non garantie du salaire s'accroît
b) tendance à associer davantage certaines catégories de personnel (cadres surtout) aux résultats de
l'entreprise
c) développement des formes d'épargne salariale
d) développement des formes d'épargne patronale
e) forte augmentation du salaire fixe en lui-même

26. A quel(s) niveau(x) la pratique de la GRH porte-t-elle ?


a) la formation
b) les conditions de travail
c) l'informatisation
d) le dialogue social dans l'entreprise
e) les innovations

27. Quels avantages pour l'employeur présente l'intéressement des salariés aux résultats de l'entreprise ?
a) les augmentations de revenus ne sont plus irréversibles contrairement aux augmentations de salaire
b) les sommes versées sont exonérées de charges sociales
c) les sommes versées sont exonérées de l'impôt sur les sociétés
d) les sommes versées sont exonérées de la TVA
e) l'intéressement permet d'augmenter la flexibilité du travail

28. Les conditions de travail représentent les réalités de la vie au travail, laquelle ou lesquelles parmi les
propositions suivantes ?
a) pénibilité du travail
b) temps et horaires de travail
c) responsabilités à prendre
d) rémunération
e) profil de poste

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES :
les fondements de la GRH - la GPEC

1. Le besoin global d'emploi dans une entreprise dépend :


a) du temps de travail de chacun des employés
b) de la croissance et du niveau d'activité de l'entreprise
c) de la productivité des salariés
d) de la mise en oeuvre des procédés de gestion de l'activité de l'entreprise
e) de la fonction personnel de l'entreprise

2. La GRH signifie :
a) la gérance des ressources humaines
b) la gestion des ressources humaines
c) le grand rassemblement humain
d) la grève des ressources humaines
e) la gestion des ressources humanitaires
3. La GPE, c'est :
a) la gestion des points d'entrée
b) la gestion prévisionnelle de l'emploi
c) la grève pour l'emploi
d) la gestion passive de l'emploi

4. La GPEC, c'est :
a) la gestion prospective de l'emploi et des conséquences
b) la gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences
c) la gestion particulière de l'emploi et des compétences
d) la gestion prospective de l'emploi et des compétences

5. Quels sont le ou les facteur(s) d'évolution de la gestion du personnel dans l'entreprise ?


a) changement des qualifications et des métiers
b) recherche de flexibilité
c) reconnaissance du rôle social de l'entreprise
d) changements techniques du système de production
e) reconnaissance du rôle environnemental de l'entreprise

6. Quelles sont les missions de la GRH ?


a) définir une politique sociale dans l'entreprise
b) assurer la satisfaction matérielle du développement humain
c) respecter les contraintes économiques auxquelles sont soumises les entreprises
d) définir une politique fondamentale dans l'entreprise

7. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles font partie de la politique sociale de l'entreprise ?
a) négociation collective avec les partenaires sociaux
b) communication externe de l'entreprise
c) participation et intéressement des salariés aux résultats de l'entreprise
d) rémunération du personnel
e) organisation des qualifications du personnel

8. Quels sont le ou les objectif(s) de la GPEC ?


a) ajuster les besoins et les ressources en personnel
b) prévoir l'évolution des emplois et former le personnel en conséquence
c) prévoir l'évolution de la capacité de production et rémunérer le personnel en conséquence
d) ajuster les besoins et les ressources en matériel
e) définir une politique sociale

9. Quelle est l'utilité de la GPEC ?


a) anticiper l'évolution des emplois
b) ajuster les effectifs
c) déterminer la politique de formation
d) déterminer la politique de diversification
e) représenter les emplois dans l'entreprise vis-à-vis des partenaires

10. A quelle fonction dans l'entreprise correspond la citation suivante : "placer l'homme qu'il faut, à l'endroit
qu'il faut et au moment où il le faut" ?
a) GPEC
b) GRH
c) GPAO
d) OST
e) CFAO

11. De quel(s) outil(s) d'analyse dispose la GPEC ?


a) pyramide des âges
b) classification des emplois
c) diagramme de GANTT
d) diagramme de PERT
e) ordinogramme

12. Quels sont les risques d'une GPEC inadaptée ?


a) gaspillage de ressources humanitaires
b) surcharge de travail pour les personnels en poste
c) sous-utilisation de compétences non détectées
d) davantage de mobilité interne
e) mauvais aménagement du temps de travail
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH : le dialogue social

1. Quel est l'objectif global d'une communication interne ?


a) faciliter et encourager les échanges
b) sensibiliser le personnel aux enjeux de l'entreprise
c) diffuser les informations externes et réservées à l'encadrement
d) mettre les individus en situation de conflit
e) permettre la négociation collective

2. Quelles sont les formes de communication interne parmi les choix suivants ?
a) communication transversale ou latérale
b) communication ascendante
c) communication discontinue
d) communication médiatisée
e) communication transcendante

3. Quels sont les objectifs opérationnels d'une communication interne ?


a) formation du personnel
b) motivation du personnel
c) interaction du personnel
d) échanges d'informations
e) négociation

4. Quels sont les objectifs visés par une communication descendante ?


a) exprimer un besoin
b) informer d'une directive
c) informer en vue de faire agir
d) exprimer une idée
e) décloisonner les différents services

5. Quels sont les types de communication dans l'entreprise ?


a) communication interne interactive
b) communication orale formelle
c) communication interne écrite
d) communication médiatisée
e) communication organisationnelle

6. Quels sont les supports de communication dans l'entreprise ?


a) messagerie électronique
b) journal
c) sondages, enquêtes
d) radio
e) site internet grand public

7. Quel(s) type(s) de motivation(s) pousse(nt) l'individu à travailler ?


a) besoins de se réaliser, de responsabilités
b) besoin de reconnaissance dans le groupe de travail
c) besoin de capital financier
d) besoin d'information
e) besoin de communication

8. Comment motiver le personnel ?


a) plans de carrière
b) individualisation des salaires
c) récompense honorifique
d) promotion externe
e) déresponsabilisation

9. Comment caractériser le climat social dans l'entreprise ?


a) c'est l'atmosphère, l'ambiance qui règne dans l'entreprise
b) c'est une opposition entre les salariés et la direction
c) c'est une divergence d'intérêts entre les personnes
d) c'est l'ensemble des conditions de travail dans l'entreprise

10. Comment caractériser un conflit social ?


a) c'est un conflit d'intérêt entre 2 ou plusieurs collègues de travail
b) c'est une opposition entre les salariés et la direction
c) il a pour origine des objectifs contradictoires entre salariés et direction
d) c'est l'ensemble des conditions de travail non respectées dans l'entreprise
e) il a pour origine des problèmes d'entente entre collègues de travail

11. Cherchez les intrus parmi les termes qui ne paraissent pas correspondre à des indicateurs du climat social
:
a) absentéisme
b) hausse des cotisations
c) accidents du travail
d) conventions collectives
e) rotation du personnel

12. Quelles sont les caractéristiques du bilan social ?


a) est obligatoire dans les entreprises de + de 300 salariés
b) doit être soumis à l'inspecteur du travail
c) doit être soumis à l'approbation de chaque salarié
d) est semestriel
e) est obligatoire dans les entreprises de + de 500 salariés

13. Doivent obligatoirement paraître dans le bilan social les chapitres suivants :
a) conditions d'hygiène et de sécurité
b) formation
c) charges assumées par l'employeur
d) conflits de la période écoulée
e) rémunérations individuelles

14. Le bilan social est un outil :


a) de dialogue et concertation avec les représentants du personnel
b) d'appréciation de la politique sociale de l'entreprise
c) de différenciation entre les salariés de l'entreprise
d) de sélection des salariés lors de mutations internes
e) de gestion de la GRH et de la GPEC

15. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des formes d'action collectives lors d'un
conflit social ?
a) transgression volontaire et collective de certaines règles
b) grève avec occupation des locaux
c) droit d'expression des salariés et des représentants du personnel
d) manifestation ou rassemblement du personnel
e) harcèlement verbal ou physique d'un dirigeant de l'entreprise

16. Il s'agit d'une cessation collective, complète et concertée du travail en vue de faire aboutir des
revendications professionnelles, c'est :
a) la grève
b) le défilé
c) l'occupation des locaux
d) le rassemblement
e) l'appel à la grève

17. Quelle loi oblige tous les chefs d'entreprise à négocier chaque année sur les salaires et les conditions de
travail ?
a) loi AUROUX
b) loi FABIUS
c) loi AUBRY
d) loi ROBIEN

18. Caractériser la loi sur la négociation collective :


a) elle organise la médiation et l'arbitrage des conflits sociaux
b) elle reconnaît un droit d'expression des salariés
c) elle date de 1981
d) elle règle les conflits individuels dans l'entreprise
e) elle impose la signature d'accords à l'occasion de ces négociations

19. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles est(sont) des possibilités de résolution des conflits
collectifs ?
a) conciliation
b) intervention de l'inspecteur du travail
c) méditation
d) concertation
e) droit d'expression

ANALYSE CONCURRENTIELLE

La réflexion stratégique reste avant tout une affaire d'intuition et de logique mais il n'en demeure pas moins
qu'il existe des outils d'aide à la décision très efficaces dans ce domaine.
L'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ constitue, avec l'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ et l'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ un de ces outils.
L'analyse concurrentielle constitue un élément essentiel de l'analyse stratégique. Centrée sur les rapports
entre l'entreprise et ses marchés, ses concurrents et ses clients, l'analyse concurrentielle consiste à
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.

Pour Michael Porter la stratégie a pour objet de déceler les voies et les moyens que l'entreprise doit mettre en
oeuvre pour s'assurer un avantage concurrentiel défendable sur longue période. Il est donc nécessaire
d'étudier l'univers concurrentiel de chaque secteur d'activité intéressant l'entreprise.

Certains modèles d'analyse sont très connus. Un cabinet de consultants américains a élaboré une méthode
d'analyse de ces domaines d'activités fondée sur une représentation graphique. Il s'agit du modèle du
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : analyse des activités de l'entreprise en termes de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Le portefeuille d'activités est
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.

Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : il s'agit des secteurs dont la croissance est forte. Cette croissance
est, toutefois, conditionnée à des
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ très importants, notamment en marketing, recherche-développement
et production.
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : les produits "vedettes" connaissent une forte
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ ; ce sont donc également des domaines à croissance forte qui
permettent de dégager d'importantes liquidités (permettant ainsi de pratiquer une politique
d'autofinancement pour les nombreux investissements encore nécessaires au développement de ces produits).
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : les "vaches à lait " correspondent aux domaines d'activités qui sont
parvenus à un stade de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ des produits "vaches à lait" est très forte mais, peu à peu la
croissance de la demande ralentit et les investissements deviennent faibles. Par ailleurs, un domaine d'activité
ne peut rester éternellement "vache à lait", à plus ou moins long terme, l'entrée d'un domaine dans cette
catégorie laisse présager la phase de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : ce sont souvent d'anciens produits
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. On désigne sous cette appellation les activités condamnées à
disparaître car devenues inutiles pour l'avenir de l'entreprise. Leur contribution à la croissance est, bien
entendu, totalement nulle.

Après examen du
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________, il sera donc possible de formuler un
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ sur la situation de l'entreprise en termes de forces et de faiblesses.
C'est l'analyse des déséquilibres qui révélera les faiblesses de l'entreprise.

Autre modèle : le modèle du


_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ qui est devenu un véritable classique.

A partir du moment où l'on part de l'hypothèse qu'un produit vit, cette vie sera différente pour chaque
produit. Les différentes phases que l'on distingue, à savoir le lancement, le développement (ou croissance, ou
expansion), la maturité et le déclin doivent être adaptées pour chaque type de produit analysé.

La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ se caractérise par des investissements très importants en recherche-
développement, une concurrence nulle ou quasiment nulle, la stratégie adoptée est donc une
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ se caractérise, au contraire, par la nécessité de procéder à des
investissements en communication et par une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. L'avantage concurrentiel est ici obtenu par l'innovation.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ nécessite des investissements
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ dans la mesure où la concurrence s'exacerbe, il s'agit alors d'adopter
une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ impose des investissements
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ en raison des innovations possibles de la concurrence et de manière à
maintenir un avantage concurrentiel par rapport à des produits innovants nouvellement apparus sur le
marché. Il s'agit ici d'une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ implique la mise en oeuvre d'une politique de désinvestissement dans
la mesure où la concurrence s'exerce sur des produits de substitution. Il s'agit donc d'une stratégie de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.

Un bref rappel : on parle de


_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ lorsque l'on évoque l'ensemble des compétences qu'elle met en
oeuvre et qu'elle combine pour servir des marchés.
"dilemmes" "métier d'une entreprise" "poids morts" "portefeuille d'activités" "vaches à lait"
"vaches à lait" "vedettes" appréhender les activités stratégiques de l'entreprise de manière à faciliter la
formulation des options stratégiques possibles BCG (Boston Consulting Group) concurrentielle cycle de
vie des produits d'adaptation de croissance déclin désengagement diagnostic d'implantation en
capacité en productivité investissements l'ensemble des domaines d'activités sur lesquels agit l'entreprise
maturité organisationnelle part de marché phase de déclin phase de lancement phase de maturité
phase d'études phase d'expansion portefeuille de domaines d'activités rentabilité stratégie de
développement technologique

Nature et sources de l'avantage concurrentiel

La croissance d'une entreprise résulte de sa capacité à


__________________________________________________________________________.
Les avantages concurrentiels peuvent être liés à la
__________________________________________________________________________ de l'entreprise
(__________________________________________________________________________,
__________________________________________________________________________,
__________________________________________________________________________) ou encore à
__________________________________________________________________________
(__________________________________________________________________________).
La croissance élargit la taille de la production et provoque des économies d'échelle.
On définit les __________________________________________________________________________ comme
la réduction des coûts unitaires de production en raison de l'augmentation de la taille des structures
productives.

L'__________________________________________________________________________ a été mis en


évidence par le B. C. G. (Boston Consulting Group).
On appelle expérience,
__________________________________________________________________________.
Le développement de l'expérience se traduit par une meilleure maîtrise dans la pratique de l'activité ou du
métier, ce qui a pour conséquence un abaissement de certains éléments du coût.
En d'autres termes, au fur et à mesure que l'expérience se développe, il se produit
__________________________________________________________________________ grâce à une meilleure
mise en oeuvre des procédés de fabrication, à une meilleure organisation et une meilleure
__________________________________________________________________________ du travail.

On parle d'__________________________________________________________________________ lorsque le


regroupement de deux activités permet d'obtenir un résultat supérieur à la somme des résultats que
fourniraient ces deux activités séparément.
Comme il est coutume de le dire, en matière de synergie, 1+1 peut être égal à 10.
Les entreprises recherchent des synergies de manière à augmenter leur efficacité donc leur
__________________________________________________________________________. Les stratégies
d'impartition (__________________________________________________________________________) ou les
stratégies de rapprochement ont pour but de créer des effets de synergie.

La __________________________________________________________________________ se définit comme


le la taille optimum que doit avoir une entreprise d'une branche donnée, à un moment précis, afin de
prospérer sur un marché.

compétitivité dimension économie d'échelle économies d'échelle effet de synergie effet d'expérience
effet d'expérience la production cumulée d'un produit depuis le début de sa commercialisation masse
critique masse critique mettre en oeuvre des avantages concurrentiels durables productivité ses
ressources stratégies de partenariat et d'alliance synergies un abaissement du coût de la main-d'oeuvre
par unité produite

ANALYSE CONCURRENTIELLE

1. Les produits "dilemmes" correspondent souvent aux produits en phase de lancement et nécessitant
d'importants investissements
a) vrai
b) faux

2. Les produits "vache à lait" sont des produits à croissance très forte nécessitant encore des investissements
en communication.
a) vrai
b) faux

3. Les produits "vedettes" sont des produits en croissance forte pour lesqueles il sera nécessaire de procéder à
des investissements de capacité.
a) vrai
b) faux

4. On parle de métier d'une entreprise lorsqu'on évoque :


a) l'ensemble des produits qu'elle fabrique
b) la majorité des métiers qui y sont exercés
c) son secteur d'activité
d) l'ensemble des compétences qu'elle met en oeuvre pour servir des marchés

5. On appelle "économies d'échelle" :


a) les économies constatées mathématiquement sur une échelle mobile
b) la réduction des coûts unitaires de production en raison de l'augmentation de la taille des structures de
production
c) les économies des pays en développement connaissant un fort taux de croissance
d) les économies réalisées grâce à la mise en oeuvre de la réduction du temps de travail

6. L'effet de synergie se définit comme :


a) la séparation d'activités jusqu'ici liées de manière à accroître leur rentabilité
b) la baisse des coûts de l'énergie
c) le regroupement de plusieurs activités de manière à obtenir un résultat supérieur à la somme des résultats
que fourniraient ces deux activités séparémment
d) 1 + 1 = 3

7. La notion de masse critique est relative dans la mesure où elle varie selon des produits et les entreprises.
a) vrai
b) faux

L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE

L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier
_____________________________________________________ dans l'entreprise qui pourront être comparées
à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou
_____________________________________________________ doit également s'interroger sur le potentiel
d'évolution des ressources.

Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité

1° étape : _____________________________________________________
Les ressources sont variées :
- _____________________________________________________ : locaux et équipements dont il faut apprécier
le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- _____________________________________________________ : ressources propres + capacités d'emprunt +
trésorerie disponible
- _____________________________________________________ : image de marque, maîtrise des technologies,
réseaux d'approvisionnement et de distribution, etc.
- _____________________________________________________ : formation, savoir faire, motivations,
aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.

2° étape : _____________________________________________________
Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés _____________________________________________________).
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.

Méthodes d'évaluation des ressources :


Les sources d'informations internes sont souvent incomplètes. Il faut diagnostiquer :
- le système commercial d'un point de vue qualitatif et quantitatif
- le système d'informations
- le système financier en termes de rentabilité et d'équilibre
- le potentiel technologique, les sources d'informations externes.
- les ressources des concurrents

Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.

3°étape : _____________________________________________________
A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.

_____________________________________________________ = Productivité + Qualité + Flexibilité +


Innovation

1/ Le diagnostic des _____________________________________________________ :


L'analyse des performances de l'appareil productif peut être faite à l'aide d'indicateurs quantitatifs et
qualitatifs.

Critère quantitatif : _____________________________________________________

= quantité de produit obtenu / quantité de facteur travail utilisé


= valeur de la production obtenue / temps de travail passé pour réaliser cette production

Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de _____________________________________________________)

2/ Le diagnostic des _____________________________________________________


Analyse des données qualitatives : l'entreprise procède :

- à une évaluation des _____________________________________________________ de son personnel :


définition des tâches à effectuer, quelles sont les compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du
_____________________________________________________, du nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation

A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.

Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la
_____________________________________________________
de l'entreprise.

3/ Le diagnostic du potentiel financier

La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur


l'_____________________________________________________ :

- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement


(_____________________________________________________ ou
_____________________________________________________)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (_____________________________________________________,
_____________________________________________________,
_____________________________________________________) doit également être étudiée puisqu'elle
contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable
l'_____________________________________________________

_____________________________________________________

Définition : _____________________________________________________. Capacité à s'adapter aux


évolutions externes sans crise majeure.

L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'_____________________________________________________ et la
fluidité de ses ressources humaines et matérielles.

En développant sa flexibilité et sa _____________________________________________________, elle cherche


à réduire l'impact d'un événement, son délai de réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.

La _____________________________________________________, c'est la capacité de la firme à reconfigurer


en temps réel ses ressources afin de faire face aux changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un
_____________________________________________________ afin de pouvoir suivre les évolutions de
l'environnement, et la conception d'un _____________________________________________________ afin de
pouvoir s'adapter au plus vite aux évolutions.

Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations _____________________________________________________ avec peu de niveaux
hiérarchiques.

_____________________________________________________

Elle porte essentiellement sur 2 domaines :

a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)

- La _____________________________________________________ : ajustement des effectifs selon les


variations conjoncturelles de la demande ; réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La _____________________________________________________ : aménagement du temps de travail pour
répondre aux besoins (horaires journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La _____________________________________________________ : individualisation des rémunérations
pour tenir compte de la concurrence et des performances individuelles (surtout pour les cadres)

b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays

_____________________________________________________

Correspond à l'aptitude de l'unité de production à répondre à un changement de la demande. Elle prend 2


formes :

- _____________________________________________________ (en volume) :


Mesurer la capacité de l'entreprise à faire varier le volume de la production sans augmentation de coût.
L'entreprise doit donc évaluer la surcapacité des machines, la sous-traitance, la polyvalence du matériel et la
possibilité de faire varier la durée d'utilisation des équipements.

- _____________________________________________________ (en diversité) :


Changer de production dans un délai rapide. Ceci est d'autant plus facile que les produits sont conçus à
partir de composants standardisés et différenciés au niveau du stade final du cycle de production.

"synergie" adaptabilité de son organisation bénéfice capacité d'autofinancement compétences


Compétitivité décentralisées endettement étude de financement du développement de l'entreprise étude
de la solvabilité et de la liquidité étude de processus Financières Flexibilité de capacité Flexibilité de flux
de production flexibilité de l'emploi flexibilité des horaires flexibilité des rémunérations fonds propres
gestion prévisionnelle de l'emploi et de compétences Humaines Incorporelles LA FLEXIBILITE DES
EQUIPEMENTS LA FLEXIBILITE DES RESSOURCES LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL la
productivité du facteur travail L'appréciation de la compétitivité les ressources existantes L'évaluation
des ressources L'inventaire des ressources Matérielles qualité réactivité réactivité ressources humaines
ressources productives souplesse d'une firme système de production flexible système de veille taux de
marge taux de rotation du personnel

L'ANALYSE TECHNOLOGIQUE

Avant tout, quelques termes importants à bien connaître :

Le ______________________________________________________________________________________ :
c'est l'ensemble des technologies possédées par l'entreprise (qu'elles soient ou non utilisées). L'entreprise a
intérêt à posséder un portefeuille équilibré : des technologies positionnées de manière différente sur le cycle
de vie, les ressources dégagées par les technologies en fin de cycle pouvant être investies dans le lancement de
nouvelles technologies.
Il faut analyser leur stade de maturité (inutile d'investir dans une technologie obsolète).

L'______________________________________________________________________________________ : c'est
l'ensemble des méthodes permettant d'évaluer le potentiel technique d'une entreprise, son savoir-faire, son
positionnement technologique, sa capacité de recherche et d'innovation. C'est l'évaluation de la position de
l'entreprise face aux nouvelles technologies tant au niveau des produits que du processus de production.

PORTER a montré que le potentiel de performance d'une technologie suit une courbe en S en fonction des
ressources investies.

Un processus de production, fondé sur une technologie particulière, est caractérisé par un
______________________________________________________________________________________ :
- La mise au point : elle exige de forts investissements en
______________________________________________________________________________________
- L'______________________________________________________________________________________ :
c'est la maîtrise technologique, importants gains de productivité
- La ______________________________________________________________________________________ :
stabilisation des procédés et des coûts

A chaque stade, il faut une stratégie adéquate ce qui veut dire que l'entreprise doit savoir gérer les ruptures
entre 2 technologies (quand une technologie 1 arrive à maturité, elle est remplacée par une technologie 2) :
est-il justifié de continuer à investir ou
est-il préférable d'investir dans des technologies de substitution émergentes ?

En effet, la technologie devient un des fondements essentiels de la


______________________________________________________________________________________ ; c'est
pourquoi elle représente pour l'entreprise
un axe primordial de sa stratégie. Les analyses financières et mercatiques ne suffisent plus à la firme pour
définir sa stratégie.
Le couple produit -- marché qui a longtemps servi de clé d'analyse pour définir les axes stratégiques doit être
complété par une composante technologique. Aujourd'hui, c'est plutôt le vecteur
______________________________________________________________________________________ qui doit
permettre d'appréhender
la structure des marchés et les stratégies des firmes présentes sur ce marché.
La prévision technologique constitue un exercice désormais obligatoire pour définir les stratégies.

Le cabinet Arthur D. Little propose une répartition des technologies en trois grandes catégories :.
- Les technologies de base.
- Les technologies clés.
- Les technologies émergentes.
.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont des technologies dont l'entreprise a la maîtrise mais dont la concurrence a également la maîtrise. Leur
impact concurrentiel n'est donc pas très significatif.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont celles dont l'entreprise a la maîtrise mais pas la concurrence. Leur impact concurrentiel est, bien
entendu, beaucoup plus fort que celui des technologies de base. L'avantage qui en résulte pour l'entreprise est
certain.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont des technologies en développement appelées à remplacer à terme les
______________________________________________________________________________________.

Le cycle de vie des technologies se caractérise donc par une transformation des technologies émergentes en
______________________________________________________________________________________
et une transformation des technologies clés en
______________________________________________________________________________________.

L'entreprise cherche donc à gérer les innovations actuelles et potentielles en améliorant, en enrichissant, en
protégeant son patrimoine technologique.
La fonction MRT (Management des Ressources Techniques) pourrait permettre d'optimiser, d'enrichir et de
protéger ce potentiel technologique.
Traditionnellement, l'on distingue 2 types d'innovations :
______________________________________________________________________________________ et
______________________________________________________________________________________ en leur
affectant un but économique différent - l'amélioration de la productivité est obtenue par une
______________________________________________________________________________________ et
l'élargissement des biens offerts sur le marché correspond à une
______________________________________________________________________________________.
L'innovation doit donc être intégrée à l'entreprise grâce à la Recherche-Développement qui est une fonction
vitale pour la compétitivité. La RD a pour but
______________________________________________________________________________________.
L'enrichissement et la protection du patrimoine technologique de l'entreprise peut mettre en oeuvre :
- la ______________________________________________________________________________________ :
surveillance de la concurrence
- la sauvegarde et protection des innovations à l'aide des
______________________________________________________________________________________

Pour définir sa stratégie technologique, l'autre grande question à laquelle doit répondre une firme est de
savoir si elle doit rechercher ou non une avance technologique.
En effet, la décision d'innover donc de procéder à des investissements coûteux en recherche-développement
n'est pas toujours
très opportune. Il est parfois plus judicieux d'adopter une
______________________________________________________________________________________ que de
prendre un risque en cas d'échec de l'innovation.
En d'autres termes, faut-il être l'initiateur d'une innovation dans l'une ou l'autre des activités créatrices de
valeur ou faut-il
attendre que d'autres aient lancé cette innovation ?
En terme d'image de marque, la stratégie
d'______________________________________________________________________________________ est
certainement la meilleure. Par contre, la stratégie de "suiveur" est incontestablement plus pertinente pour
tirer profit de
l'______________________________________________________________________________________ de
ceux qui ont pris de l'avance. En bref, il vaut mieux parfois imiter pour éviter des investissements coûteux en
recherche-développement ou pour mieux s'adapter aux besoins réels du client.

Classiquement, l'entrepreneur doit opter pour un objectif de


______________________________________________________________________________________ lié à
une production en série homogène, ou pour un
objectif de
______________________________________________________________________________________
permettant de répondre aux besoins précis de la clientèle.
Si bien qu'en période de saturation de la demande, les entreprises se trouvent face à deux contraintes
contradictoires : pour préserver ou accroître leur part de marché, elles cherchent à adapter leurs produits
aux désirs esthétiques ou techniques particuliers à certains clients mais cette recherche est contraire aux
principes de la
______________________________________________________________________________________ qui
privilégient les
séries longues.
Le conflit entre ces deux contraintes,
______________________________________________________________________________________ et
______________________________________________________________________________________,
commence à être partiellement résolu avec
les techniques issues de l'électronique.
La technologie influe donc sur l'avantage concurrentiel quand elle joue un rôle important dans les
______________________________________________________________________________________ ou la
______________________________________________________________________________________ d'une
firme par rapport aux autres.
En fait les relations entre la technologie et l'avantage concurrentiel sont réciproques.
La maîtrise d'une technologie peut assurer un avantage concurrentiel certain et l'avantage concurrentiel peut
favoriser
l'émergence de nouvelles technologies. Une sorte de cercle vertueux est ainsi mis en évidence.

"attitude de suiveur" adaptation à la demande analyse technologique brevets compétitivité coûts de


production cycle de vie technologique différenciation expérience industrialisation innovation
innovation de procédé innovation de procédés innovation de produits innovation de produits la mise en
place d'une nouvelle méthode de fabrication ou l'élaboration d'un prototype maturité technologique
portefeuille technologique production de masse productivité recherche développement séries longues
souplesse Technologie -- Produit -- Marché technologies clés technologies clés technologies de base
technologies de base technologies émergentes technologiques clés veille technologique

LES STRATEGIES DE DOMINATION PAR LES COUTS ET DE


DIFFERENCIATION

1. Quelles sont les 3 grandes stratégies génériques proposées par PORTER ?


a) la strategie de domination par les couts
b) la strategie de differenciation
c) la strategie d'alliance
d) la strategie de focalisation
e) la strategie d'impartition

2. C'est une manœuvre stratégique qui s'appuie sur la recherche du coût le plus bas par rapport à la
concurrence. A quelle option stratégique correspond cette définition ?
a) la strategie de differenciation
b) la strategie de domination par les couts
c) la strategie de differenciation
d) la strategie de focalisation
e) la strategie d'impartition

3. Quelles sont les différentes stratégies de domination par les coûts ?


a) stratégie de concurrence (principalement sur les prix et les coûts)
b) stratégie d'efficience (produire mieux : amélioration du processus de production)
c) stratégie de spécialisation d'une entreprise sur son métier d'origine
d) stratégie de volume (produire plus pour couvrir un large marché)

4. Quels sont les avantages de la stratégie de domination par les coûts ?


a) les entreprises éliminent du marché les entreprises dont les coûts sont trop élevés
b) les entreprises améliorent leur rentabilité et leur autofinancement
c) les entreprises s'associent tout en restant indépendantes
d) les entreprises disposent d'un réseau de commerçants indépendants qui écoulent leurs produits
e) les entreprises accroissent leurs parts de marché et leurs ventes

5. Ces stratégies de domination par les coûts sont bien adaptées à des domaines d'activité où :
a) L'entreprise génère une part de marché suffisante pour la mettre à l'abri des attaques des concurrents
b) L'effet d'expérience est fort
c) La différenciation des produits est faible
d) La concurrence porte principalement sur les prix et les coûts
e) L'entreprise est capable d'engendrer une demande solvable importante

6. Les enseignes de la grande distribution intégrée (Auchan...) fonde leur stratégie concurrentielle sur la
différenciation : faibles prix d'achat, économies d'échelle pour les coûts de distribution, frais généraux faibles
par rapport au chiffre d'affaires...
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
7. Quel rapport y a-t-il entre la spécialisation d'une entreprise et la domination par les coûts ?
La spécialisation permet d'améliorer la productivité (ex. économies d'échelles, savoir-faire...) et donc
d'abaisser les coûts de façon à dominer les concurrents par des services connexes (SAV, prêt de matériel...)
plus complets et plus performants.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

8. C'est l'ensemble des procédés permettant à une entreprise de singulariser ses produits par rapport à ceux
des concurrents et/ou d'élargir la gamme offerte à la clientèle par des particularités apportées aux divers
modèles.
A quelle option stratégique correspond cette définition ?
a) la strategie de domination par les couts
b) la strategie de focalisation
c) la strategie de differenciation
d) la strategie d'alliance
e) la strategie d'impartition

9. La stratégie de différenciation peut entraîner :


a) un élargissement de la gamme
b) une recherche de personnalisation des produits
c) une concurrence qui porte principalement sur les prix et les coûts
d) une segmentation de la clientèle
e) un avantage concurrentiel sur un petit nombre de segments

10. Quelles sont les différentes stratégies de différenciation ?


a) différenciation par les coûts : stratégies génériques
b) différenciation par le haut : stratégies d'amélioration et stratégies de spécialisation
c) différenciation par le service : stratégies de services connexes ou services d'accompagnement (SAV, prêt de
matériel...) plus complets et plus performants.
d) différenciation par le bas : stratégies d'épuration et stratégies de limitation

11. Quels sont les différents facteurs de différenciation ?


a) utilité du produit
b) caractéristiques techniques (ex. performances)
c) notices techniques claires et relativement simples
d) conditionnement
e) action commerciale et image de marque

12. Quels sont les avantages des stratégies de différenciation pour l'entreprise ?
a) réseau de commerçants indépendants qui écoulent les produits
b) impossibilité de comparaison directe avec les concurrents
c) élément de concurrence accrue sur le marché
d) attrait particulier des produits
e) possibilité de réaliser une communication commerciale spécifique

13. Certaines conditions doivent être satisfaites pour que la stratégie de différenciation débouche sur un
avantage concurrentiel durable. La stratégie mise en place doit être :
a) Défendable à long terme : générer une part de marché suffisante pour mettre l'entreprise à l'abri des
attaques des concurrents
b) Si l'avantage procuré par la présence sur un seul segment est supérieur à celui qu'aurait procuré une
présence sur plusieurs segments
c) Si la présence de l'entreprise sur un segment permet de mieux répondre à la demande
d) Significative : perceptible par l'acheteur
e) Economiquement viable : capable d'engendrer une demande solvable importante

LES STRATEGIES D'IMPARTITION ET D'INTEGRATION

1. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à une stratégie d'impartition ?
a) C'est la prise de participation, la prise de contrôle, et la constitution d'un groupe.
b) C'est l'association, dans un but stratégique bien précis, de plusieurs entreprises qui restent indépendantes,
voire concurrentes.
c) C'est la coopération entre plusieurs entreprises partenaires qui ont des potentiels complémentaires : la
coopération interentreprises.
d) Ces stratégies sont souvent utilisées pour l'acquisition d'entreprises dans le cadre d'une OPA.
2. L'entreprise qui fait appel à des partenaires cherche à :

a) Provoquer des effets de synergie


b) Rentabiliser ses achats
c) Renforcer sa compétitivité
d) Réduire ses coûts

3. STRATEGIE D'IMPARTITION OU D'ALLIANCE : êtes-vous ?


a) d'accord, c'est la même chose
b) pas d'accord, il s'agit de deux types de stratégies différentes

4. A quelle notion correspond le cas suivant : une PME souhaitant exporter utilise le réseau commercial d'une
grande entreprise déjà bien implantée à l'étranger.
a) le portage ou piggy back
b) la concession
c) la cession de licence
d) le partenariat inter-entreprises
e) le maillage

5. La concession, la franchise industrielle et commerciale, la cession de licence : reposent sur des transferts de
technologie et de savoir-faire.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

6. La concession, la franchise industrielle et commerciale, la cession de licence permettent à l'entreprise de :


a) rentabiliser plus vite ses investissements
b) accroître sa notoriété
c) accéder à de nouveaux marchés
d) augmenter rapidement son chiffre d'affaires sans aucun investissement
e) bénéficier du personnel et des ressources humaines de ses partenaires

7. Les stratégies d'impartition peuvent déboucher sur la création de structures communes. Laquelle ou
lesquelles parmi les propositions suivantes ?
a) société en copropriété ou joint-venture
b) SAS
c) GEIE
d) société en multipropriété
e) coopérative

8. Avantages pour les entreprises que procure la création de structures communes ?


a) partage des compétences
b) partage des zones géographiques
c) effets de taille, d'échelle ou d'expérience
d) meilleure répartition des risques
e) poids de l'investissement illimité

9. Une société en multipropriété (joint-venture), c'est une co-entreprise constituée par deux ou plusieurs
entreprises de nationalités différentes qui créent une filiale commune.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

10. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à un GIE ?


a) Les entreprises s'associent et créent une personne morale
b) Deux sociétés décident de créer une filiale commune sous forme de personne morale à part entière.
c) C'est une opération juridique consistant à regrouper plusieurs sociétés ou entreprises en une seule
d) C'est un cadre juridique intermédiaire entre la société et l'association
e) Les entreprises mettent en commun des moyens et conjuguent leurs efforts afin d'atteindre un objectif (ex.
étude de marché, commercialisation d'un produit...)

11. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à des formes de partenariat entre
entreprises ?
a) fourniture spéciale : l'entreprise partenaire réalise un produit précis pour l'entreprise et en conserve la
propriété industrielle et sa marque
b) concession exclusive (concession sélective mais qui s'accompagne d'une clause d'exclusivité)
c) cotraitance ou coproduction : c'est la partage de la réalisation d'un produit ou d'un projet (ex. grands
chantiers de travaux publics)
d) contrat de franchise
e) sous-traitance ou externalisation (choix du faire-faire)

12. Quelles sont les 2 formes de sous-traitance ?


a) sous-traitance de spécialisation
b) sous-traitance de capacité
c) sous-traitance de renouvellement
d) sous-traitance d'externalisation
e) sous-traitance de spécialité

13. La sous-traitance de capacité permet d'augmenter la flexibilité de l'entreprise afin de faire face aux
variations de la demande et de réduire les coûts variables.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

14. Quelles sont les caractéristiques de l'externalisation ?


a) le sous-traitant est un industriel qui concède à un autre industriel un droit d'exploitation de sa marque et
de son savoir-faire
b) une entreprise externalise une partie de ses activités en en confiant la réalisation à une entreprise
extérieure (le preneur d'ordres)
c) l'exernalisation repose sur la division du travail
d) le sous-traitant est un producteur qui commercialise ses produits dans des magasins qui exploitent sa
marque et sa renommée
e) l'exernalisation repose sur le transfert de risques vers le sous-traitant

15. Quels sont les avantages de la sous-traitance pour le donneur d'ordres ?


a) source de sécurité des approvisionnements (un seul fournisseur sous-traitant)
b) source de flexibilité : en cas de variation de la demande, elle évite le sous-emploi
c) source de déséconomies : allègement de la trésorerie
d) source de productivité : évite des immobilisations lourdes et des coûts d'apprentissage
e) source d'innovation : transfert de technologies d'une entreprise à l'autre

16. Dans le secteur automobile par exemple, les sous-traitants doivent obligatoirement coopérer pour réaliser
le produit commandé par le donneur d'ordres. A quelle forme d'impartition correspond cet exemple ?
a) L'intégration verticale
b) La sous-traitance
c) L'externalisation
d) La cotraitance
e) La subordination

17. STRATEGIE D'INTEGRATION VERTICALE : quelle(s) est (sont) elle(s) parmi les propositions
suivantes :
a) les stratégies de pénétration du marché
b) les stratégies d'expansion du marché
c) les stratégies de redéploiement
d) les stratégies de filière
e) les stratégies de dégagement

18. C'est l'enchaînement des activités complémentaires qui permettent de passer d'une même matière à des
produits finis distincts. A quelle notion correspond cette définition ?
a) une filiale
b) une filière
c) une filiation
d) une filature
e) une société mère

19. Les stratégies de filière (intégration verticale) : quelles sont ses caractéristiques ?
a) Intégration en amont : intégrer des entreprises qui ont une position antérieure dans la filière (ex.
fournisseurs)
b) Intégration en aval : intégrer celles qui ont une position ultérieure dans la filière (ex. clients producteurs
ou distributeurs)
c) Lorsque l'entreprise exerce ses activités sur un métier arrivé au stade de la maturité, l'adoption d'une
stratégie de filière est inutile
d) Une entreprise a le choix entre plusieurs positions dans la filière verticale : conception - fabrication -
commercialisation
e) L'adoption d'une stratégie de filière doit pouvoir amener l'entreprise à s'étendre géographiquement sur
l'ensemble de son marché pertinent.
20. Une stratégie d'intégration verticale se justifie si l'entreprise espère augmenter sa rentabilité, son
efficacité ou son contrôle et si sa branche d'activité est appelée à un fort taux de croissance.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

21. Quels sont les avantages qui procure la stratégie d'intégration verticale à l'entreprise ?
a) pouvoir limité sur le marché
b) sécurité des approvisionnements ou des débouchés
c) contrôle partiel ou total de la filière
d) intégration facile de l'entreprise achetée

22. Lorsque des entreprises s'associent tout en restant indépendantes, il s'agit de stratégies d'impartition
lorsqu'au contraire elles se regroupent, il s'agit de stratégies d'intégration.
a) vrai
b) faux

23. Durant les deux dernières décennies, la pratique des accords interentreprises s'est considérablement
développée. Les contrats d'agrément, de franchise, de concession et de sous-traitance foisonnent.
a) vrai
b) faux

24. Les accords interentreprises sont la plupart du temps des contrats commerciaux de distribution. Ces
accords peuvent également intervenir dans le domaine de la production.
a) vrai
b) faux

25. La franchise est la forme la moins contraignante des contrats de distribution dans la mesure où elle
implique l'intégration partielle du franchisé à un réseau ainsi que sa soumission facultative aux techniques de
vente du franchiseur.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

26. La concession se définit comme un contrat par lequel une entreprise concède à une autre entreprise
indépendante, en contrepartie d'une redevance, le droit de se présenter sous sa raison sociale ou sa marque
pour vendre des produits ou des services.
a) vrai
b) faux

27. La franchise s'accompagne généralement d'une assistance technique du franchiseur et d'une adhésion
totale du franchisé au concept de vente mis en place par le franchiseur.
a) faux
b) vrai

28. Avantages de la franchise pour le franchisé ?


a) le recours à la franchise permet de conserver le marché et de respecter les délais
b) le franchisé reste propriétaire de son fonds de commerce et conserve son indépendance juridique
c) le franchisé bénéficie de la notoriété d'une grande marque et du savoir-faire du franchiseur.
d) il peut bénéficier d'une aide à la création du commerce, d'une assistance en gestion et du soutien
publicitaire et promotionnel du franchiseur
e) elle permet de remédier à des insuffisances de capacité

29. Quels sont les inconvénients de la franchise pour le franchisé ?


a) L'entreprise peut être plus vulnérable face aux évolutions environnementales.
b) Le franchisé est tenu au respect absolu du concept du franchiseur (politique prix, politiques promotions,
aménagement des locaux, etc.) ainsi qu'à l'obligation souvent exclusive de s'approvisionner auprès du
franchiseur ce qui lui laisse relativement peu de liberté au niveau de la gestion de ses stocks.
c) Sur le plan financier, l'exploitation d'une activité en franchise peut être assez coûteuse. Le franchisé est
tenu à verser un droit d'entrée et une redevance proportionnelle au chiffre d'affaires.
d) Le franchiseur exerce un contrôle sur la gestion du franchisé.
e) le franchisé doit également financer le commerce initial, procéder à des travaux d'aménagement, acheter
les stocks, etc....

30. Avantages de la franchise pour le franchiseur ?


a) La franchise est un excellent moyen pour diffuser une marque sur une large zone géographique, ce qui
permet ainsi une accélération de la notoriété
b) Elle permet de bénéficier d'une compétence technique spécialisée
c) Aucun investissement n'est nécessaire et le franchiseur n'a pas à se préoccuper des problèmes relatifs à la
gestion des points de vente
d) Il peut contrôler totalement le circuit de distribution et percevoir des redevances de la part des entreprises
faisant partie de son réseau de franchisés
e) Elle permet d'accroître la souplesse du fonctionnement de l'entreprise

31. Quels sont les inconvénients de la franchise pour le franchiseur ?


a) Des conflits peuvent apparaître avec les franchisés (sur le montant de la redevance par exemple)
b) Le franchiseur ne peut pas répartir ses risques
c) Le franchiseur est également tenu à des obligations notamment celle de fournir une assistance technique et
une assistance de gestion envers les franchisés ainsi que d'adapter les méthodes de vente et les produits aux
évolutions du marché
d) Le franchiseur peut être plus vulnérable face aux évolutions environnementales.

32. La sous-traitance correspond à un choix économique de production qui consiste, pour un donneur d'ordre
a confier totalement ou partiellement à une autre entreprise un certain nombre d'activités.
a) vrai
b) faux

33. La sous-traitance s'inscrit dans le cadre des stratégies d'intégration.


a) vrai
b) faux

34. Le sous-traitant doit réaliser le travail conformément au plan et spécifications précisées par le donneur
d'ordre dans un cahier des méthodes. Le donneur d'ordres précise au sous-traitant les spécifications du
produit et les normes à respecter.
a) vrai
b) faux

35. Le donneur d'ordre exerce fréquemment un effet de domination sur le sous-traitant : très souvent, le sous-
traitant n'a qu'un ou plusieurs clients dont chacun représente un fort pourcentage de son chiffre d'affaires.
a) vrai
b) faux

36. Si l'on considère que l'activité du sous-traitant est très spécialisée (ce qui l'empêche de s'orienter vers
d'autres débouchés), on peut être amené à constater la fragilité des entreprises qui sont dans cette situation.
La sous-traitance est donc source de vulnérabilité.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

STRATEGIE D'INTERNATIONALISATION

1. L'internationalisation est une stratégie de développement d'une entreprise en dehors de son marché
national. Elle peut s'exprimer :

a) Par la franchise étrangère


b) Par la franchise internationale
c) Par la présence d'unités de production dans différents pays
d) Par la conquête de multiples marchés nationaux

2. Quelles sont les deux attitudes qu'une entreprise peut avoir face à l'internationalisation ?

a) attitude singulière
b) attitude d'ouverture
c) attitude d'attente
d) attitude défensive
e) attitude offensive

3. Une des raisons stratégiques de l'internationalisation est qu'elle permet de répartir les risques entre
plusieurs pays. Parmi les risques et motifs suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) conjoncture économique, variation monétaire (taux de changes flottants)
b) risque de dépendance (par la diversification géographique pour l'écoulement des produits ou
l'approvisionnement)
c) éliminer la présence d'intermédiaires et leur rémunération
d) concurrence (quelquefois moins forte sur les marchés extérieurs que sur le marché national)
e) phases du cycle de vie (un produit en phase de maturité sur le marché national peut être en phase de
croissance ailleurs)

4. De quels avantages l'implantation d'unités de productions dans les pays étrangers permet-elle de bénéficier
?
a) du bas niveau des salaires (d'une main-d'œuvre bon marché)

b) de la disponibilité des ressources et la maîtrise des approvisionnements (ressources naturelles disponibles


rapidement et à moindre coût)
c) de l'exportation associée ou "piggy back" ou "portage"
d) des incitations financières et fiscales (qui accordent des avantages fiscaux ex. zones franches)
e) de la productivité du travail importante et de la qualification de la main-d'œuvre (production
horaire/salarié et VA/salarié)

5. Une des raisons stratégiques de l'internationalisation est qu'elle permet de procurer des avantages
confidentiels.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

6. La baisse des coûts de production due à la délocalisation permet d'augmenter les ventes, donc de réaliser
des économies d'échelle au niveau de la production, des approvisionnements, de la mercatique, de la
recherche développement et des ressources financières. Qu'est-ce que des économies d'échelle ?
a) augmentation de coût de production unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité
de production
b) diminution de coût de production unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité de
production
c) diminution de prix de vente unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité de
production
d) augmentation de coût de production unitaire obtenues grâce à une diminution des dimensions de l'unité de
production
e) diminution de coût de production unitaire obtenues grâce à une diminution des dimensions de l'unité de
production

7. Certaines raisons de l'internationalisation sont liées au marché de base de l'entreprise. Parmi les motifs
d'internationalisation suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) Les conditions de production freinent la croissance et le profit
b) La concurrence est très limitée
c) L'existence de filiales de distribution
d) Saturation du marché national ou difficulté de gagner des parts de marché supplémentaires (situation
oligopolistique) donc besoin d'élargissement des marchés
e) La réglementation limite de développement de l'entreprise

8. L'internationalisation est parfois imposée


a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

9. Certaines raisons de l'internationalisation sont liées aux facteurs liés aux marchés étrangers. Parmi les
motifs d'internationalisation suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) saturation du marché national ou difficulté de gagner des parts de marché supplémentaires (situation
oligopolistique) donc besoin d'élargissement des marchés
b) la concurrence s'internationalise (ouverture des marchés, l'entreprise ne peut plus considérer son marché
national comme le seul marché, il faut occuper le terrain là où se trouve les clients mais aussi les concurrents)
c) les imperfections des marchés (l'entreprise peut être obligée de s'implanter dans un pays pour avoir le
droit d'y écouler sa production : réglementations tarifaires, administratives ou protectionnistes)

10. Le choix de l'internationalisation de l'entreprise reste difficile. Il faut considérer :

a) les possibilités de franchise


b) l'attractivité du pays
c) la capacité concurrentielle de l'entreprise pour chaque pays
d) les marges d'exportation
e) le processus d'apprentissage

11. QUEL PAYS CHOISIR ? De quel(s) facteur(s) faut-il tenir compte ?


a) Conditions d'offre et de concurrence dans le pays (caractéristiques des circuits de distribution, nombre de
concurrents…)
b) Facteurs environnementaux économiques, politiques, sociaux (ex. respect du droit de propriété, niveau de
vie, inflation, stabilité politique, qualité des relations avec le pays d'origine)
c) Apprentissage des marchés étrangers et élimination des rémunérations des intermédiaires. Mais difficile et
coûteuse en pratique où la firme méconnaît les rentabilités locales, les modes de consommation locaux, les
pratiques commerciales locales et les règlements.
d) Conditions de demande (taille et potentiel du marché, attitude vis-à-vis des produits venus de l'étranger…)

12. Comment évaluer la capacité concurrentielle de l'entreprise pour chaque pays dans lequel elle
souhaiterait s'implanter ?
a) par sa connaissance du marché du pays
b) par la connaissance des instances politiques et gouvernementales du pays
c) par sa maîtrise des arguments du plan de marchéage (prix, produit, distribution, communication) dans le
pays
d) par sa maîtrise des conditions d'offre dans le pays
e) par la connaissance de la culture du pays

13. Quels problèmes liés au choix du pays est-il possible de recenser ?


a) risque monétaire : inflation, contrôle des changes (dévaluation de la monnaie du pays d'accueil)
b) il existe des pays à risque (guerre, nationalisations, crises politiques) : risque politique
c) risque climatique : zones sensibles
d) certains pays manquent d'infrastructures
e) certains pays ont un potentiel limité : problème de l'ampleur du marché

14. Certains pays imposent des démarches administratives très lourdes pour protéger leurs entreprises
nationales en restreignant l'accès au marché. Peut-on considérer qu'il s'agit d'un risque fiscal ?
a) oui
b) non

15. QUEL PRODUIT CHOISIR ? L'entreprise doit-elle standardiser son produit ou doit-elle l'adapter ?
Avec quelle(s) affirmation(s) êtes-vous d'accord ?

a) si l'entreprise peut faire accepter des différents pays des produits peu différenciés : elle dégage
d'importantes économies d'échelle. ex. coca-cola, MacDo, jeans Levis, électronique grand public
(globalisation de la production)

b) dans certains cas, il y a une nécessité d'adapter le produit ou les techniques de commercialisation aux
spécificités de l'environnement. ex Danone vend ses yaourts à l'unité en chine, où ils sont consommés sur
place dans la rue. Ni des demandeurs, ni les ménages ne sont suffisamment équipés en réfrigérateurs pour
envisager les modes de distribution employés ailleurs. La texture et le goût ont également dus être adaptés
(localisation de la production)
c) il y a une nécessité d'adapter le produit ou les techniques de commercialisation aux spécificités de
l'environnement uniquement quand le régime politique du pays d'accueil l'impose.

16. Quel mode de penetration du marche choisir ?


De quelles contraintes dépend ce choix ?

a) de l'idéologie dominante dans le pays d'accueil


b) des objectifs de l'entreprise
c) des contraintes liées au marché
d) des contraintes liées au produit
e) de la maturité du marché d'origine

17. Le choix du mode de pénétration résulte d'un compromis entre la recherche d'une plus grande maîtrise
des opérations et la nécessité de limiter les investissements requis.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

18. L'importance des ressources consacrées par l'entreprise définit les options possibles et le rythme de
développement international.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

19. LES STRATEGIES D'EXPORTATION : quelles sont-elles, quels sont leurs objectifs ?
a) exportation directe pour maîtriser les débouchés
b) exportation filtrée pour choisir ses revendeurs et distributeurs
c) exportation contractuelle pour contrôler la diffusion
d) exportation concertée pour limiter les coûts et bénéficier de la compétence de partenaires
e) exportation indirecte pour limiter les risques

20. Les strategies d'investissement direct ou l'implantation a l'etranger : quels sont les objectifs recherchés ?
a) satisfaire la demande locale
b) augmenter les transactions sur les produits finis
c) matérialiser la présence de l'entreprise hors de son pays d'origine
d) assurer la sécurité des approvisionnements en matière première

21. Qu'est-ce qu'une société dont plus de 50 % du capital est détenu par la société mère et qui prend la
nationalité du pays dans lequel elle est implantée ?
a) une succursale
b) une filiale
c) une filière
d) une concession
e) une firme multinationale

22. Quels sont les différents types de filiales ?


a) filiale de développement
b) filiale financière (gère une trésorerie internationale)
c) filiale de distribution
d) filiale de productivité
e) filiale de service (gère les contrats d'assistance technique)

23. A quel(s) type(s) d'entreprise (ou de firme) correspond la définition suivante : c'est le dernier stade de
développement international. C'est une entreprise dont l'activité s'exerce dans de nombreux pays et qui
poursuit une stratégie mondiale à partir d'un centre de décision unique.
a) entreprise multinationale
b) entreprise mondiale
c) entreprise transfrontalière
d) entreprise supranationale
e) entreprise transnationale

24. Quelles sont les caractéristiques des firmes multinationales (EMN ou FMN) ?
a) part des ventes réalisées sur le territoire national en priorité
b) nombreuses filiales à l'étranger
c) détention multinationale du capital financier
d) cotation des titres sur une seule place boursière (dans son pays d'origine)
e) organisation mondiale des activités (production, distribution...)

OBJECTIFS ET DECISIONS STRATEGIQUES

La stratégie est restée longtemps le domaine réservé des militaires. " la stratégie choisit le terrain, le moment
et les moyens à engager ". Dans les années 50, les gestionnaires ont introduit le concept de stratégie dans le
domaine des entreprises.

Les entreprises éprouvent de plus en plus de difficultés à maîtriser leur environnement. L'économie se
mondialise et la concurrence s'exacerbe au niveau international. C'est la raison pour laquelle les entreprises
modernes cherchent à anticiper et, quelquefois à influencer leur environnement. Pour cela, elles doivent
définir et appliquer des stratégies.

La réflexion stratégique consistera à déterminer clairement des __________________________________ et à


formuler les __________________________________ à mettre en oeuvre.
La stratégie sert à matérialiser les __________________________________ prises par l'entreprise. Au niveau
stratégique, les objectifs doivent être définis clairement avant de procéder à la formulation indispensable des
__________________________________ à mettre en oeuvre.

Le terme __________________________________ désigne les orientations globales, les


__________________________________ pris par les entreprises au regard de l'environnement dans lequel
elles évoluent.

Les __________________________________ correspondent en quelque sorte aux décisions de gestion


courantes prises par l'entreprise.
Il s'agit ici de la mise en oeuvre, au jour le jour, des __________________________________.
Les stratégies __________________________________ ont pour but la croissance de l'entreprise et le
développement de ses parts de marché dans le but d'atteindre, si possible, une situation voisine de celle de
monopole.
La stratégie peut-être offensive en terme de produits (lancement de nouveaux produits, création de nouvelle
gamme, etc.).
Théoriquement la stratégie __________________________________ consiste à s'adapter aux circonstances ou
à imiter les comportements d'une entreprise dominante sur un marché. Cette stratégie a donc pour but de
permettre à l'entreprise de rester concurrentielle.

La stratégie de __________________________________ est généralement liée à la maîtrise d'une technologie.


L'entreprise approfondit son savoir-faire dans un domaine connu mais prend le risque d'être plus vulnérable
aux évolutions environnementales.
La stratégie de __________________________________, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des
domaines totalement différents.

La stratégie de __________________________________ consiste pour l'entreprise à s'efforcer d'occuper une


position dominante sur un marché. L'entreprise analysera les éléments de son
__________________________________ (prix, produit, communication, distribution) et les adaptera en
fonction des objectifs qu'elle a déterminés.
La stratégie d'__________________________________ consiste à cibler une clientèle précise. Elle
s'accompagne généralement d'une stratégie d'hyper-spécialisation sur un produit ou un service déterminé

choix stratégiques décisions tactiques défensive diversification écrémage moyens matériels et humains
objectifs objectifs généraux offensives orientations de politique générale pénétration plan de marchéage
politique spécialisation stratégies

LA PLANIFICATION

La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet
d'_______________________________________________________ les situations futures. Planifier consiste à
_______________________________________________________ et à
_______________________________________________________.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier, c'est concevoir
un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en œuvre de stratégies et d'élaboration
de _______________________________________________________ destinés à les réaliser.

On distingue 2 types de plans. Le _______________________________________________________ : concerne


l'ensemble de l'entreprise, influence son développement, définit les
_______________________________________________________ (organisation, structure, activités), s'inscrit
dans le moyen et le long terme. Le _______________________________________________________ : précise
les _______________________________________________________ à entreprendre pour chaque fonction et
service de l'entreprise afin d'atteindre les objectifs prévus dans les plans stratégiques, concerne le court
terme. Les _______________________________________________________ précisent les objectifs à atteindre,
les actions à mettre en œuvre, les résultats à atteindre, les planning de réalisation.

Les années 80 voient l'ère du _______________________________________________________. L'entreprise


doit développer une capacité de _______________________________________________________, le plan
devient plus _______________________________________________________. Il est plus en phase avec les
besoins du personnel qui souhaite prendre part à la définition et la réalisation de la stratégie.

Les années 90 sont le théâtre de bouleversements politiques, économiques, technologiques, de turbulences et


de crises. L'entreprise doit envisager différents
_______________________________________________________. On parle de prospective, de
_______________________________________________________ (business plan) et de veille stratégique.

LES ETAPES DE LA PLANIFICATION :

1._______________________________________________________ (analyse interne et externe),


2. _______________________________________________________ (ou plan global ou plan d'ensemble
ou projet d'entreprise),
3._______________________________________________________ (ou programmes d'action),
4. _______________________________________________________ (budgets fonctionnels, budget des
capitaux, budget des centres de responsabilité)
5. contrôle et _______________________________________________________ (analyse des écarts)

L'élaboration du _______________________________________________________ consiste à chiffrer les plans


d'action en dépenses et recettes _______________________________________________________ pour l'année
à venir, correspondant à chaque unité opérationnelle ou fonctionnelle de l'entreprise (budget publicitaire,
d'investissement…).

LES OUTILS DE PLANIFICATION :

a) les plans d'activité ou _______________________________________________________


b) la _______________________________________________________ :
L'avenir est envisagé d'une manière unique dans la prévision, alors que de multiples futurs possibles sont pris
en compte dans une approche prospective. La
_______________________________________________________ conduit à l'étude des causes techniques,
économiques, sociales, politiques qui accélèrent l'évolution de l'environnement. A l'aide de cette analyse, il est
possible d'établir des _______________________________________________________.

c) la _______________________________________________________ :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour l'élaboration de la
planification opérationnelle et des budgets.

d) la _______________________________________________________ :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement pouvant avoir un
impact sur l'entreprise. L'objectif est d'_______________________________________________________
importants qui auront une répercussion sur l'évolution de la firme.

Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le futur, trop de
formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des coûts importants,
_______________________________________________________.

Pourtant la planification a plusieurs intérêts. Elle oblige les dirigeants et le personnel à une réflexion
stratégique, elle permet de _______________________________________________________ et
d'_______________________________________________________. Elle permet aussi de rechercher la
meilleure utilisation des facteurs de production.

Aujourd'hui, on assiste à un renouveau de la planification grâce au


_______________________________________________________ qui permet de définir le contenu technique
du projet, le détail des coûts et des délais dans le cadre de l'enveloppe fixée dans un cahier des charges, de
déterminer les responsabilités et de contrôler et de mettre en place les outils de contrôle de l'avancement du
projet.

En cours d'exécution du plan, le _______________________________________________________ se situe à 3


niveaux :
Contrôle des résultats : on vérifie que le plan est réalisé comme prévu et on justifie les écarts
Contrôle des prévisions : on vérifie que les hypothèses de travail sont toujours valides
Contrôle des méthodes : on s'assure que la procédure est suivie correctement et qu'elle est pertinente

Les techniques de contrôle des réalisations peuvent être :


_______________________________________________________ : il permet d'analyser l'ensemble de la
gestion de l'entreprise, une fonction ou un système donné (ex. communication)
Il peut être _______________________________________________________ (fait par certains salariés de
l'entreprise, risque du manque d'impartialité dans le jugement) ou
_______________________________________________________ (pratiqué par des professionnels extérieurs à
l'entreprise -cabinets de consultants spécialisés-), il est parfois source de tensions.

_______________________________________________________ : il permet de maîtriser la gestion d'une


entreprise (dépenses, réalisations). Il peut s'appuyer sur les budgets, la comptabilité générale et analytique.

_______________________________________________________ : permet de suivre l'évolution des projets, de


contrôler les écarts (entre objectifs atteints et moyens utilisés) et d'entreprendre des actions correctives.

diagnostic plan opérationnel actions anticiper anticiper des difficultés futures anticiper les
changements budget budgets business plan choisir une ou des stratégies contrôle des réalisations
externe flexible formaliser leur mise en œuvre interne la planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité
l'audit le contrôle budgétaire le contrôle de gestion management par projet management stratégique
mesures correctives orientations générales plan opérationnel plan stratégique plan stratégique plans
d'activité prévision prévisionnelles programmes d'action programmes d'actions prospective
prospective réaction saisir des opportunités scénarios scénarios d'anticipation du futur veille
stratégique

LES STRATEGIES DES ENTREPRISES EN DIFFICULTE

Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont dû procéder à des
restructurations. Une trop grande _____________________________________ hétérogène de leur activité
(concentration _____________________________________) avait montré les limites de cette stratégie
(_____________________________________, _____________________________________...).

Une réorganisation s'imposait pour améliorer la _____________________________________. Elle s'est


souvent traduite par un _____________________________________ des activités de ces entreprises sur leur
_____________________________________. La technique utilisée est simple, il s'agit de vendre des actifs
généralement déficitaires ou peu rentables (locaux, entreprises sans rapport avec le métier de base...), afin de
_____________________________________ qui seront réinvesties dans son activité d'origine.

Ainsi, en se désengageant d'_____________________________________,


_____________________________________, _____________________________________, voire excédentaires
mais éloignées de son métier d'origine, l'entreprise assure le redémarrage de secteurs qu'elle connaît
parfaitement. Leur maîtrise lui assurera des parts de marché plus importantes.

La stratégie de _____________________________________ repose sur un constat d'échec économique et sur


le risque de voir l'entreprise disparaître. Il ne s'agit plus d'élaborer des stratégies de développement de son
activité mais tout simplement de _____________________________________. Pour y parvenir, le chef
d'entreprise mettra en oeuvre tous les moyens dont il dispose.

Elle consiste donc à engager des actions de redressement de façon à rétablir


l'_____________________________________ et la structure financière de l'entreprise
(_____________________________________, compression des effectifs...).

Les _____________________________________ sont essentiellement financières qui ont pour objet d'éviter
une crise de trésorerie et la mise en liquidation de l'entreprise.

Ainsi le _____________________________________ de certaines activités pourra lui procurer les fonds


nécessaires à une _____________________________________. Des alliances judicieuses ou des contrats de
partenariat avec des entreprises financièrement saines ou avec d'autres voulant bénéficier de son savoir-faire
dans tel ou tel domaine assureront la pérennité de son entreprise. Si la situation financière de l'entreprise le
lui autorise, une diversification généralement tournée vers des produits proches pourrait lui permettre de
pénétrer des marchés porteurs vers lesquels elle orientera ses activités. Une politique de gamme bien ciblée
peut être un _____________________________________ non négligeable.

Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la situation particulière
de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).

absence de synergie activités à risques conglomérale déficitaires dégagement dégager des liquidités
diversification endettement équilibre financier facteur de survie métier de base peu rentables plans de
réduction des coûts recentrage rentabilité restructuration sauver l'entreprise de la liquidation stratégies de
survie survie
LES CHOIX STRATEGIQUES : SPECIALISATION OU DIVERSIFICATION ?

1. La stratégie de spécialisation et la stratégie de diversification sont-elles ?


a) des stratégies portant principalement sur les marchés
b) des stratégies financières
c) des stratégies portant sur le produit
d) des stratégies de gestion des ressources humaines
e) des stratégies de production

2. La stratégie de spécialisation n'est généralement pas liée à la maîtrise d'une technologie.


a) faux
b) vrai

3. La stratégie de spécialisation : l'entreprise approfondit son savoir-faire dans un domaine connu mais prend
le risque d'être plus vulnérable aux évolutions environnementales.
a) vrai
b) faux
4. La stratégie de diversification, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des domaines proches
a) vrai
b) faux

5. Caractéristiques d'une stratégie de diversification :


a) L'entreprise peut ainsi mieux répartir ses risques
b) Cette attitude est totalement positive pour assurer la pérennité de l'entreprise
c) L'entreprise peut être plus vulnérable face aux évolutions environnementales.
d) L'entreprise peut maîtriser des domaines proches et complémentaires
e) Cette stratégie est très coûteuse en termes d'apprentissage des techniques de production et des techniques
commerciales de pénétration des marchés.

6. LA SPECIALISATION : définition ?

a) c'est la stratégie par laquelle une entreprise limite son activité à des produits fondés sur des technologies
multiples
b) l'entreprise concentre tous ses efforts sur un domaine d'activité particulier
c) l'entreprise cherche à atteindre le meilleur niveau de compétence possible et d'en faire un avantage
concurrentiel décisif

7. RAISONS DE LA SPECIALISATION ?

a) l'entreprise dispose de moyens financiers, humains, productifs limités


b) l'entreprise cherche à réinvestir des capitaux dans d'autres activités complémentaires
c) recherche de la sécurité d'un métier solide
d) recherche d'une taille suffisante dans une optique de croissance
e) volonté de l'entreprise de développer un savoir-faire technique et commercial pour faire face aux attaques
de la concurrence

8. QUELS SONT LES TYPES DE SPECIALISATION POSSIBLES ?

a) pénétration de marché : pour renforcer la position de l'entreprise et augmenter le chiffre d'affaires


b) stratégie d'acquisition : l'expansion ou la maturité de l'entreprise le lui permettent
c) développement du produit : politique de produit nouveau, politique de gamme
d) développement du marché : extension du marché pour toucher une cible plus large

9. La spécialisation a pour objectif d'augmenter ses parts de marchés au détriment de ses concurrents : il
s'agit d'une stratégie offensive ou stratégie d'acquisition
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

10. Lorsque le métier de l'entreprise est en phase de déclin : elle doit chercher des segments encore rentables
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

11. Si le métier de base est encore rentable et a des perspectives d'évolution : l'entreprise doit adopter une
stratégie de diversification
a) je ne suis pas d'accord
b) je suis d'accord

12. A quelle(s) phase(s) du cycle de vie du métier la stratégie de spécialisation suivante est-elle adaptée ?
stratégie offensive (ou stratégie d'acquisition)

a) le démarrage
b) le déclin
c) la maturité
d) le décollage
e) l'expansion

13. La spécialisation permet de générer des avantages comparatifs : lesquels ?

a) atteinte de la taille critique

b) réduire les risques liés à la conjoncture


c) création d'effets d'expérience
d) améliorer la rentabilité en s'orientant vers de nouveaux marchés ou de nouveaux produits plus porteurs
e) réalisation d'économies d'échelle

14. LA DIVERSIFICATION : définition ?

a) cela consiste à ajouter des produits nouveaux aux produits actuels de l'entreprise
b) cela consiste à ajouter des métiers nouveaux aux activités actuelles de l'entreprise
c) l'entreprise cherche à multiplier les domaines d'activité sans liens particuliers entre eux

15. La diversification peut poursuivre plusieurs objectifs, lequel ou lesquels ?


a) pénétrer le marché : diversification de positionnement pour renforcer la position de l'entreprise et
augmenter le chiffre d'affaires
b) survivre : diversification de subsistance
c) réinvestir des capitaux : diversification de placement
d) conforter ses positions : diversification de confort
e) se redéployer ou se reconvertir : diversification de redéploiement

16. Lorsqu'une entreprise dégage des profits importants, elle peut en réinvestir une partie dans d'autres
activités qui lui permettront d'augmenter sa rentabilité : de quel type de diversification s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de redéploiement
c) diversification de placement
d) diversification de survie
e) diversification de subsistance

17. Certaines entreprises éprouvent le besoin de conforter leur position sur un marché instable notamment
dans des activités complémentaires : de quel type de diversification s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de placement
c) diversification de redéploiement
d) diversification de survie

18. L'entreprise s'oriente vers des secteurs plus porteurs pouvant assurer une reconversion de l'entreprise.
Les produits leaders perdront de leur importance au profit de nouvelles fabrications : de quel type de
diversification s'agit-il ?
a) diversification de placement
b) diversification de survie
c) diversification de confort
d) diversification de redéploiement

19. La diversification :c'est une stratégie très répandue car elle permet :
a) d'améliorer la rentabilité en prévenant le risque de déclin de la demande des produits habituellement
proposés par l'entreprise
b) d'atteindre la taille critique ou masse critique donc une position confortable sur le marché
c) d'améliorer la rentabilité en s'orientant vers de nouveaux marchés ou de nouveaux produits plus porteurs

d) de répartir et donc de réduire les risques liés à la conjoncture par des compensations entre produits ayant
des cycles différents
e) de créer des effets d'expérience grâce à la concentration des forces et des moyens de l'entreprise

20. La diversification : elle peut néanmoins entraîner des risques, lesquels ?


a) l'entreprise doit pouvoir résoudre les problèmes financiers, juridiques et organisationnels liés à cette
évolution
b) dispersion des compétences
c) politique de gamme peu adaptée
d) position concurrentielle difficile (réactions des concurrents, coûts élevés…)
e) risque d'échec de la nouvelle activité
LES STRATEGIES DE FOCALISATION ET DE NICHE

1. Elle consiste à développer un avantage concurrentiel sur un petit nombre de segments ou sur un segment
unique. Elle vise à donner un avantage qui porte sur le prix et/ou sur une différenciation perçue commun
unique par cette cible restreinte. A quel(s) type(s) de stratégie correspond cette définition ?
a) stratégie de segmentation
b) stratégie de croissance interne
c) stratégie d'impartition
d) stratégie de spécialisation
e) stratégie de focalisation

2. La stratégie de focalisation correspond à la volonté de créer une (mot à trouver... ) sur le marché.
a) concentration
b) spécialisation
c) niche
d) segmentation
e) alliance

3. L'activité de l'entreprise peut se focaliser sur :

a) Un mode de distribution (ex. distribution exclusive ou concession)


b) Un type de clients (pour avoir une clientèle bien spécifique ex. Biba revue des femmes actives)
c) Un type de produits (pour avoir une image de spécialiste bien spécifique ex. revue Problèmes
Economiques)
d) Une zone géographique (ex. un quotidien régional)
e) Un type communication commerciale (ex. communication média)

4. L'activité de l'entreprise peut se focaliser sur un type de clients. De quel type de stratégie s'agit-il ?
a) stratégie d'écrémage
b) stratégie de créneau
c) stratégie de marge
d) stratégie de niche
e) stratégie d'élargissement de gamme

5. L'activité de l'entreprise peut se focaliser sur un type de produits. De quel type de stratégie s'agit-il ?
a) stratégie de créneau
b) stratégie d'écrémage
c) stratégie de marge
d) stratégie de niche
e) stratégie d'élargissement de gamme

6. L'entreprise peut adopter une stratégie de focalisation quant elle :

a) maîtrise un savoir-faire
b) souhaite éliminer la concurrence
c) ne dispose pas de moyens suffisants pour couvrir tout le marché
d) souhaite développer la recherche-développement
e) ne souhaite pas dépasser une certaine taille

7. L'entreprise qui adopte une stratégie de focalisation peut réussir à créer un avantage concurrentiel si :
a) Elle élimine les concurrents présents sur le marché sur lequel elle décide de se positionner
b) Sa présence sur un segment permet de mieux répondre à la demande (en terme de prix ou différenciation)
c) Elle passe des accords de coopération avec les concurrents présents sur son marché
d) Les coûts sont inférieurs à ceux nécessaires pour une non-focalisation

e) L'avantage procuré par la présence sur un seul segment est supérieur à celui qu'aurait procuré une
présence sur plusieurs segments

8. Quels sont les avantages d'une stratégie de focalisation ?


a) procure une bonne connaissance du marché
b) permet d'éliminer les concurrents présents sur le marché
c) procure une image de spécialiste qui protège, au moins partiellement et temporairement, l'entreprise de la
concurrence
d) permet de préserver une certaine indépendance
e) permet de baisser les coûts liés à l'innovation en terme de produits

9. Quels sont les risques d'une stratégie de focalisation ?


a) les segments choisis peuvent être trop étroits
b) augmentation des coûts liés à la commercialisation des produits car la clientèle est très dispersée
c) la focalisation implique une dépendance commerciale totale de l'entreprise vis-à-vis de la clientèle ciblée
d) modification des segments choisis
e) banalisation du concept créé par l'entreprise s'il est imité
10. L'entreprise cherche à devenir LA référence sur un segment de marché. De quel type de stratégie s'agit-
il ?
a) stratégie de spécialisation
b) stratégie de segmentation
c) stratégie de focalisation
d) stratégie d'ecrémage
e) stratégie de positionnement

11. La recherche de focalisation, de niches et de créneaux correspond à des stratégies globales de


différenciation des produits et des clientèles.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord

12. Les stratégies de niche et de créneau sont particulièrement adaptées aux (mot à trouver...) qui se
positionnent ainsi sur un segment stratégique.
a) artisans
b) PME
c) grandes entreprises
d) firmes multinationales
e) sociétés coopératives

13. De nombreux segments du marché sont ignorés par les grandes entreprises. La croissance interne est ainsi
possible pour des entreprises de petite taille spécialisées sur des segments particuliers de clientèle, ou (mot à
trouver...) ou (mot à trouver...) qui ne peuvent être couverts par les grandes entreprises. Retrouvez parmi les
propositions suivantes les 2 expressions manquantes.
a) des marchés dominés par les coûts
b) des marchés génériques
c) des créneaux de produits
d) des niches de marché
e) des filières

14. A quel terme correspond la définition suivante : elle a pour but de recentrer l'entreprise sur son activité
première afin de rédéfinir ses missions.
a) spécialisation
b) focalisation
c) impartition
d) segmentation
e) survie

15. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) affirmation(s) est(sont) adaptée(s) à la stratégie de niche ?
a) une niche est un micro-marché porteur sur lequel il existe une concurrence importante
b) lorsque des entreprises s'associent tout en restant indépendantes, il s'agit de stratégies de niches
c) une niche permet à l'entreprise qui s'y positionne de rentabiliser pendant un certain temps ses
investissements en l'absence de concurrents importants
d) l'avantage est de pouvoir pratiquer des marges élevées car l'offre est réduite
e) la stratégie de certaines entreprises consiste à occuper un monopole sur certaines niches

16. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) affirmation(s) est(sont) adaptée(s) à la stratégie de
focalisation ?
a) l'entreprise cherche à concentrer ses efforts sur un créneau porteur
b) l'entreprise a la volonté d'acquérir un avantage concurrentiel grâce aux prix pratiqués
c) l'entreprise tente de conserver son leadership sur le segment stratégique qu'elle domine et contrôle
d) l'entreprise cherche à concentrer ses efforts sur une niche unique objet de toute son attention
e) l'entreprise aspire au développement de son marché : extension du marché pour toucher une cible plus
large

ETUDE DE CAS :ETABLIR DES STRUCTURES


L’entreprise“ FIRST“ es tune société de capital 3.000.000 Dh dirigée par M.AMAMOU président directeur
général ,assisté d’un directeur général Mme ALIOUI et d’un administrateur délégué M.HASSOUNI.
Les fonctions de l’entreprise sont multiples :assurer le transport des M/ses et messagerie nationale et
internationale,assurer le transport en commun des personnes ,dupersonnel de la société,et le transport
scolaire.
La direction administrative et financiére est assureé par M.ELOMARI.
La direction des ressources humaines est sous la responsabilité de Mme SAADANI,ayant à gérer plus de 6750
dossiers ,aidé de M.ILHAMI.
La direction technique dont le responsable est M.FATHI ,assure entre autre la gestion du parc auto ,son
entretien et aussi l’achat de véhicules neufs .
La direction commerciale est dirigée par M.MESSNAOUI ,MSAHI est chargé de la gestion des affaires
locales ,cellee ci comprend les départements suivants :Marchandises et messagerie ,responsable MZIAT;le
transpôrt en commun MSABIR;le transport du personnel MHAFID et Mme ASSALI pour le transport
scolaire.Les affaires outre mer dirigées par Mme ALAOUI ,sont composées du fret sous la responsabilité de
Melle SOUSSANE et la messagerie Mme HAFNAOUI;la direction marketing est assurée par Mme SAMI.
Lors d’un conseil d’administration présidé par M.AMAMOU
L'ENTREPRISE : UNE STRUCTURE PRODUCTIVE ET UN GROUPEMENT HUMAIN

1. (a) (c)
2. (a) (b) (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b)
6. (a) (b) (c)
7. (b) (c) (d) (e)
8. (a) (b)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (b) (c)
11. (a) (b) (e)
12. (a) (b) (e)
13. (a) (b)
14. (c)
15. (a) (d)
16. (a) (b)

L'ENTREPRISE CITOYENNE

L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.

L'entreprise doit apporter sa contribution au développement économique et social. Dans un contexte de crise
économique et d'intensification de la concurrence la première fonction de l'entreprise n'est- elle pas de
survivre et si possible de dégager du profit même si cette priorité s'exerce au détriment des salariés, clients ou
partenaires ? Cette vision traditionnelle est aujourd'hui remise en cause par de nombreux auteurs et les
problèmes d'environnement, d'exclusion, tout comme la persistance du chômage ont conduit à l'émergence
d'un nouveau concept : "la responsabilité sociale de l'entreprise".

De fait, il ne s'agit nullement de faire le procès de l'entreprise en tant qu'organisation ou agent économique.
L'objectif est de montrer que l'entreprise est citoyenne et que son rôle ne se limite pas à la création de
richesses et qu'elle doit, dans son propre intérêt et dans celui de la société, tenir compte de l'intérêt général
dans tout processus de décision et dans toute action entreprise.

Les rôles économique et social de l'entreprise ne sont pas dissociables. En fabriquant des biens et en
fournissant des services, elle procure des emplois à la population active et distribue des revenus. Elle organise
le travail humain en fonction des qualifications qui lui sont nécessaires : elle contribue donc à orienter la
formation des individus. Elle est également le principal centre d'innovation, entraînant le progrès technique.
Elles influencent plus ou moins sensiblement les besoins et les styles de vie par les publicités, les points de
vente, qui révèlent des besoins et en modifient la hiérarchie. Elles modèlent la vie des régions par leur secteur
d'activité, leur taille (aide au développement local…). Elles apportent une contribution à la résolution de
grands problèmes de société (lutte contre le chômage et l'exclusion…).

L'entreprise n'a plus pour seule finalité de satisfaire ses actionnaires, ses clients, ses salariés, elle doit
également se comporter comme le ferait un bon citoyen et faire preuve de solidarité. Elle est concernée par le
chômage, l'exclusion sociale, les problèmes de la région… et elle doit contribuer à trouver des solutions.

A ces rôles traditionnels, l'on peut ajouter de nouveaux rôles que se doit de tenir une entreprise qui se veut
citoyenne.

La responsabilité sociale de l'entreprise consiste à procurer du travail contre une rémunération des salariés
(donc il y a redistribution de la valeur ajoutée). Elle recouvre également la formation, il s'agit de former pour
préserver l'employabilité des salariés (adaptation, évolution des qualifications, plans de carrière...). On peut
aussi lui reconnaître un nouveau rôle social. Celui d'insérer : on parle alors d'insertion dans la société par la
reconnaissance sociale, l'épanouissement personnel et professionnel, l'aide aux travailleurs en difficulté, aux
handicapés, aux chômeurs de longue durée.

La responsabilité écologique de l'entreprise est primordiale. En effet, les problèmes d'environnement


deviennent un souci majeur des chefs d'entreprise. L'écologie est à la fois :

Créatrice de marchés nouveaux : dépollution, recyclage des matériaux (le décret d'avril 1992 sur le recyclage
des emballages est une contrainte légale), nouveaux matériaux…

Source de préoccupations par les risques potentiels que toute activité fait courir à l'environnement :
pollution, destruction de la couche d'ozone par les CFC (chlorofluorocarbones), effets négatifs de certains
produits chimiques (CFC, engrais, pesticides…)

L'entreprise qui n'intégrera pas les préoccupations écologiques dans sa réflexion risquera de se heurter aux
réactions agressives d'une partie de ses clients et de l'opinion publique (produits bio, refus des OGM..). Au
contraire, celle qui en aura conscience et trouvera des solutions au-delà de ce que la loi exige, se créera une
image d'entreprise citoyenne toujours positive (ex. Leclerc qui a incité les consommateurs à utiliser des sacs
réutilisables et a développé une campagne de communication sur ce thème).
Elle a également un rôle primordial à jouer concernant l'aménagement du territoire. Il faut éviter que des
zones se désertifient alors que d'autres deviennent des zones urbaines trop denses. Les entreprises
bénéficieront donc d'incitations fiscales pour s'installer dans les régions menacées d'exode ou seront
pénalisées en cas d'installation dans des endroits trop urbanisés.

Sa responsabilité culturelle n'est pas à négliger pour organiser des manifestations culturelles en partenariat
avec les grands acteurs culturels (opéras….) ou promouvoir les arts et les lettres (restauration de monuments,
conservation du patrimoine…).

Traditionnellement, on oppose le parrainage qui met en oeuvre des techniques de communication agressives
destinées à améliorer la notoriété de l'entreprise et le mécénat qui vise plutôt à agir dans le sens d'une
meilleure insertion de l'entreprise au sein de son environnement. Le mécénat fait appel à des techniques plus
douces et conduit l'entreprise à soutenir essentiellement des projets culturels.

L'entreprise influence donc la société et aujourd'hui elle est considérée comme étant un agent économique
socialement responsable : on parle d'entreprise citoyenne. Ainsi l'entreprise citoyenne se sent concernée par
les grands problèmes économiques et sociaux de notre temps et contribue à leur solution. Elle doit en
particulier agir contre le chômage, l'exclusion sociale et même le retard de développement du tiers monde.

En définitive, l'entreprise citoyenne est celle qui place l'intérêt de l'être humain devant toute autre
préoccupation. L'entreprise doit être au service de l'homme et non le contraire.

On parle de la responsabilité sociétale de l'entreprise qui concilie son intérêt et celui de la société.

L'ENTREPRISE ET L'ETHIQUE

L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.
L'éthique est-elle une nouvelle idéologie ? Est-ce une nouvelle mode managériale ? Est-ce un enjeu réel ou un
plan de communication de plus ?

L'ETHIQUE EN THEORIE : quelques définitions importantes :

L'éthique va bien au delà des questions de légalité et d'honnêteté.


Ethique : c'est le respect de la déontologie et des codes de conduite au sein de l'entreprise afin que celle-ce
puisse assurer sa responsabilité vis-à-vis de ses partenaires sociaux et financiers et vis-à-vis de la société dans
son ensemble. C'est une réflexion vers la recherche du bien.

L'éthique des affaires est une "réflexion sur les pratiques d'affaires dans lesquelles sont impliquées les
valeurs des individus, des entreprises et de la société". Il ne s'agit pas seulement d'interdits à respecter (abus
de position de force…) mais de valeurs positives à promouvoir (ex. transparence de l'information, respect des
salariés…).

Définition de l'EBEN (European Business Ethic Network) : "L'éthique n'est pas un ensemble de principes
figés mais une ouverture d'esprit conduisant à la réflexion continue dans la recherche du bien (commun et
individuel)".

Déontologie : c'est l'ensemble des règles qui régissent le fonctionnement et les pratiques d'une profession
(codes de déontologie).

L'éthique recense les principes généraux de l'entreprise et la déontologie les comportements à adopter
concrètement.

Quelques principes de l'éthique de la vie des affaires :


· valeurs a écarter : Voler, trahir, tromper, chercher la vengeance
· valeurs à promouvoir : loyauté, vérité, tolérance, honnêteté

Tom Watson qui fonda IBM en 1914 préconise une charte d'éthique sur les bases suivantes :
· Respect de l'individu au sein de l'organisation
· Le service à la clientèle est un gage de qualité
· La perfection
Donc une culture d'entreprise basée sur l'éthique.

L'ETHIQUE EN PRATIQUE :

SA MISE EN PLACE DANS L'ENTREPRISE

Les bases de l'éthique dans l'entreprise sont les suivantes :


- le respect de la personne
- l'égalité entre les hommes sans distinction de race, de religion ou d'opinion
- la solidarité ; la nécessité de recherche permanente d'une plus grande justice sociale
- l'autorité et le principe de subsidiarité
- la recherche du bien commun : l'autorité n'est légitime que si elle l'attache à la poursuite du bien commun

Exemples de pratiques éthiques :


- respecter les salariés : codes de déontologie dans la gestion des ressources humaines, respect de la personne
et de la vie privée…
- informer les salariés sur les résultats de l'entreprise : politique d'information claire (problèmes des abus de
biens sociaux)
- avoir une politique sociale

L'ETHIQUE PAR RAPPORT A L'ENVIRONNEMENT DE L'ENTREPRISE :

- pas de pratiques abusives dans les relations clients/fournisseurs


- dans les relations avec les élus locaux et le monde politique (problème des affaires de financement des partis
politiques et des campagnes électorales…)
- informations financières claires (problème du délit d'initié…)

INTERETS DE L'ETHIQUE

C'est devenu une obligation car l'image ternie des entreprises doit être revalorisée (abus de biens sociaux,
fraudes, délits d'initié, respect des salariés…) et les modifications de l'environnement l'imposent (pouvoir des
consommateurs, interventions des écologistes et des syndicats…).

C'est aussi une volonté de l'entreprise :

- devenir une entreprise éthique se justifie à des fins de stratégie commerciale et communication externe :
c'est un vecteur stratégique de la communication d'entreprise (être en phase avec le client, restaurer un
climat de confiance afin d'optimiser les relations commerciales…)

- c'est un instrument d'amélioration des performances de l'entreprise (donner une dimension plus motivante, source
d'innovation et de modernisation, assurer une meilleure cohésion du personnel…)
LES STRATEGIES DE CROISSANCE : caractéristiques et directions de la croissance

1. (a) (c) (d)


2. (a) (b)
3. (b) (d)
4. (a) (b) (d)
5. (a) (c) (e)
6. (b) (c) (d)
7. (b) (d) (e)
8. (a) (d)
9. (c) (e)
10. (a) (c) (d)
11. (b) (d)
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13. (d)
14. (a) (c)
15. (c)
16. (a) (c) (d)
17. (a)

LE DIAGNOSTIC INTERNE DE L'ENTREPRISE

L'entreprise est un _______________________________________ qui survit et se développe dans un


environnement en constante évolution, porteur de menaces et d'opportunités.
La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du
_______________________________________ que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la
stratégie d'ensemble pour l'entreprise.

Tous les facteurs externes à l'entreprise (_______________________________________) qui l'influencent ou


sont influencés par son action constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-
clés de son _______________________________________ car la concurrence est mondiale, et de son micro-
environnement car la source de sa compétitivité se situe au niveau local.

D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (_______________________________________) qui ont
habituellement un effet plus immédiat.

L'_______________________________________ présente des contraintes et des menaces (transformation de


l'environnement susceptible de remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle
d'une firme) qui pèsent sur les choix stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible
de faciliter l'atteinte des objectifs) de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une
opportunité est souvent le début d'une grande entreprise"

La connaissance de l'environnement oriente donc les _______________________________________.


L'entreprise doit adapter sa stratégie aux changements de _______________________________________
techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales, fiscales (harmonisation de la TVA en
UE) et sociales.

Il s'agit d'identifier les _______________________________________ : l'entreprise doit maîtriser l'évolution


de ses facteurs clés (transformation de l'environnement, actions de la concurrence).

Le _______________________________________ (ou étalonnage) contribue à réaliser un


_______________________________________. Il s'agit de l'analyse des performances de l'entreprise sur un
facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de comparaison qui permettrait à l'entreprise
d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une entreprise concurrente).

La _______________________________________ recouvre l'ensemble des techniques mises en place par


l'entreprise pour détecter, le plus tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son
environnement pouvant déstabiliser son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de
l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : _______________________________________
- recherche d'informations sur les concurrents : _______________________________________
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : _______________________________________
- _______________________________________ sur le web (cyber veille)

A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un _______________________________________ à partir duquel elle bâtit sa
réflexion stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible

Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être _______________________________________, c'est-à-dire non seulement
adaptée au scénario auquel on croit, mais aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se
produiraient des évènements importants (le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).

benchmarking choix stratégiques diagnostic de l'entreprise diagnostic stratégique environnement


externalités facteurs clés de succès flexible macro-environnement micro-environnement
réglementations scénario d'évolution de l'environnement système ouvert veille commerciale veille
concurrentielle veille environnementale veille stratégique veille technologique

L'ENTREPRISE : UNE ORGANISATION AU SEIN DE L'ENVIRONNEMENT

1. (a) (b)
2. (a) (b)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (b) (e)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (c)
8. (d)

LE DIAGNOSTIC INTERNE DE L'ENTREPRISE

L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.

La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.

Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.

D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.

L'environnement présente des contraintes et des menaces (transformation de l'environnement susceptible de


remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle d'une firme) qui pèsent sur les choix
stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible de faciliter l'atteinte des objectifs)
de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une opportunité est souvent le début d'une
grande entreprise"

La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.

Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).

Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).

La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)

A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible

Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).

L'ENTREPRISE DANS LE SYSTEME PRODUCTIF

1. (b) (c) (d)


2. (a)
3. (a) (b)
4. (a) (b)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a) (e)
8. (a) (c)
9. (a)
10. (b) (c)
11. (a) (c)
12. (a) (b)
13. (a) (b) (c)
14. (a)
15. (a) (b) (e)
16. (a)
L'ENTREPRISE : UNE CULTURE

1. (d)
2. (b)
3. (a) (b)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a) (b) (e)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (c)
11. (a) (c)
DECISION ET POUVOIR

1. (a) (c)
2. (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b) (c)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (e)
8. (a)
9. (b) (c)
10. (a) (b) (e)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
INFORMATION ET PRISE DE DECISION

1. (a) (b)
2. (a) (b)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b) (c)
7. (b)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a)
16. (a) (b) (c)
17. (d)
18. (a) (b) (c)
STRUCTURES D'ENTREPRISES
1. (c) (e)
2. (a)
3. (b)
4. (b)
5. (b)
6. (a) (c)
7. (a)
8. (a)
9. (a) (b)
10. (a)

LES DIFFERENTES STRUCTURES LES DIFFERENTES STRUCTURES

Confrontées aux turbulences de l'environnement économique et technologique et à la mondialisation de la


concurrence, les entreprises se réorganisent. Plus que jamais la question est : comment devenir plus réactives
tout en cherchant à devenir plus compétitives ?

La structure d'une organisation est l'ensemble des dispositifs par lesquels une entreprise répartie, coordonne
et contrôle ses activités.

Chaque entreprise est amenée à se poser la question souvent : quelle structure choisir ? Afin d'effectuer son
choix, elle doit tenir compte de sa spécificité, de son histoire, de sa culture, de sa taille. Elle doit prendre en
compte différents critères.

Il existe de nombreux types de structure, par exemple :

- la structure hiérarchique où les ordres suivent la voie hiérarchique,


- la structure fonctionnelle qui repose sur une spécialisation des fonctions,
- la structure hiérarchico-fonctionnelle qui combine les deux précédentes,
- la structure divisionnelle où le découpage est fait par activités, produits, marchés,
- la structure matricielle qui combine les structures fonctionnelle et divisionnelle.

Pour Henri FAYOL l'unité de commandement est indispensable. La structure hiérarchique repose sur le
principe d'unicité de commandement : chaque salarié ne dépend que d'un seul chef. Elle a été directement
calquée sur la hiérarchie militaire. Cette structure est simple, mais trop rigide, particulièrement pour les
grandes entreprises.

La structure fonctionnelle, préconisée par TAYLOR, défend au contraire le principe de pluralité des
supérieurs hiérarchiques pour un même salarié : l'autorité est divisée par fonction, ce qui peut poser des
difficultés de coordination des activités.

La structure hiérarchico-fonctionnelle conduit à partager l'autorité entre des chefs opérationnels qui
commandent, et des chefs fonctionnels, qui conseillent.

Les structures décentralisées (par produit, secteur...) se caractérisent par une autonomie de chaque division
de l'entreprise.
La décentralisation implique un partage du pouvoir. Elle a pour but d'apporter une réponse rapide à un
problème local. Exemple: Nestlé, "un esprit mondial, un engagement local".

Préconisée par GALBRAITH au début des années 70, la structure matricielle est parfaitement adaptée au
changement. Elle part du principe que chaque salarié dépend simultanément d'un chef de produit et d'un
responsable fonctionnel.

Les structures tayloriennes ne considèrent l'ouvrier ou l'employé que comme un exécutant alors que les
formes organisationnelles plus récentes cherchent, au contraire, à stimuler la participation, l'implication, les
idées des participants.

Les structures classiques ressemblent à une pyramide par le grand nombre de niveaux hiérarchiques.
Inspirées du modèle militaire : découpage des tâches très poussé (parcellisation des tâches), responsabilités
précises, circuits d'information essentiellement par la voie hiérarchique.

Les structures plates ou horizontales développent : l'esprit d'équipe, la responsabilisation, les relations moins
hiérarchisées, le raccourcissement du processus de décision, la motivation, la diffusion des informations à
tous les niveaux, le passage d'une logique de poste à une logique de compétence.

La structure formelle de l'entreprise est représentée par un organigramme.


Il met en évidence les différentes fonctions et leurs liaisons. Il montre le rôle de chacun dans l'entreprise.
Mais il ne rend pas complètement compte de la réalité du pouvoir dans l'entreprise. Aucune organisation ne
peut fonctionner uniquement en s'appuyant sur les relations formelles représentées dans celui-ci. Les
relations informelles, souvent spontanées, pallient les insuffisances de la structure formelle, mais peuvent,
dans certains cas, être à l'origine de dysfonctionnements majeurs.

L'EVOLUTION DES STRUCTURES

En fonction de quels critères se fait cette évolution de la structure ?


- Evolution dans le temps
- Evolution selon la taille
- Evolution en fonction de l'environnement (ex. commandes clients)
- Evolution en fonction de la stratégie retenue par la direction

D'après la théorie de la contingence : il n'existe pas de structure universelle mais, au contraire, la structure
doit être adaptée aux particularités de la situation de l'entreprise : sa taille, sa stratégie, son
environnement,etc. L'entreprise est ainsi soumise à différents facteurs qui influencent sa structure.

MINTZBERG en fait une synthèse en 5 facteurs d'évolution des structures :

La technique : il existe des structures adaptées à chaque technologie (ex. production en petites séries,
production en masse). En modifiant l'accès à l'information, les technologies de traitement et de transport de
l'information (internet, réseaux informatiques) remettent en cause toutes les structures d'organisation.

L'environnement : il est changeant, l'entreprise doit changer sa structure en fonction de celui-ci (ex.
aujourd'hui, il faut réagir vite face aux marchés -mondialisation, ouverture des frontières, concurrence
accrue - donc structure décentralisée)

L'âge : effet d'expérience risque d'entraîner un effet de pesanteur. Quand l'entreprise vieillit, le changement
est difficile à mettre en oeuvre

La taille : grande dimension donc structure matricielle

La stratégie : quand on a une stratégie, il faut modifier la structure pour l'appliquer mais la structure de
l'entreprise doit aussi être prise en compte dans l'élaboration de sa stratégie.

Il n'y a pas une structure meilleure que d'autres, optimale, mais des structures satisfaisantes, à un moment
donné dans un contexte donné et pour une entreprise donnée.

Il ne faut pas confondre :


- gestion de projet : utilisée pour résoudre un cas particulier et pour mener à bien des tâches ponctuelles
(lancer un nouveau produit, réorganiser la gestion des stocks...)
- structure par projet : organisation de type matricile qui évolue en fonction du lancement et de l'achèvement
de projets.

La gestion de projet est mise en oeuvre par une équipe pluridisciplinaire. Elle remet en cause le principe de la
division fonctionnelle du travail : l'organisation n'est pas linéaire et rigide, mais au contraire, tous les
éléments sont en interaction et en relation.

La structure par projet essaie de répondre aux objectifs de flexibilité et de réactivité nécessaires dans le
contexte actuel.
Il s'agit de regrouper en équipes des personnes en fonction de leurs compétences pour un programme donné,
pour une durée déterminée, quelle que soit leur position hiérarchique et leur rattachement à une fonction. Un
chef de projet, autonome, est responsable de l'équipe qui disparaît avec la réalisation du projet. L'objectif est
de décloisonner pour réaliser un objectif commun.

Devant leur perte d'efficacité, leur manque de flexibilité et de réactivité, certaines grandes entreprises
centralisées sont réorganisées en petites unités et une partie du pouvoir de décision a été transférée aux unités
et cadres opérationnels. Pour être encore plus efficace, la décentralisation des pouvoirs s'accompagne de la
mise en place de liens transversaux.

Aujourd'hui, la structure interne d'une entreprise doit pouvoir évoluer rapidement afin de s'adapter aux
changements de son environnement, aussi les hommes sont appelés à travailler en équipes évoluant et se
recomposant en permanence. D'où la nécessité du décloisonnement et de la transversalité et l'apparition de
structures en réseau.
De nouvelles formes d'organisation interne de l'entreprise sont ainsi apparues :
- structure plate : diminution du nombre de niveaux hiérarchiques
- pyramide inversée : des clients opérationnels (ex. un atelier de fabrication, un réseau de vendeurs...) vers la
direction
L'entreprise se structure maintenant en fonction du marché.

pyramide inversée : il s'agit plutôt d'une nouvelle manière de penser les relations de travail dans l'entreprise
pour améliorer l'efficacité, la productivité et la flexibilité. L'adoption de ce type de structure correspond
souvent à la nécessité d'organiser l'entreprise dans un souci d'orientation des actions en fonction des
impératifs du marché. La pyramide inversée est donc une organisation fondamentalement anti-taylorienne.
On trouvera donc beaucoup moins de niveaux hiérarchiques, le travail se fera en équipe et on cherchera à
responsabiliser les individus et à mieux reconnaître leur travail.
La pyramide inversée apparaît donc très efficace pour mobiliser la créativité dans la mesure où elle se fonde
sur une meilleure prise en compte du facteur humain dans l'entreprise.

Les multiples partenariats, alliances, coopérations ou franchises développés par les firmes conduisent à
envisager l'entreprise comme une "entreprise-réseau". Il s'agit d'une stratégie de "maillage" qui permet à
l'entreprise de rester centrée sur son métier, et de confier une partie de son activité à des partenaires
extérieurs avec lesquels elle constitue peu à peu un réseau.

Ce processus est favorisé par les progrès de circulation de l'information (réseaux informatiques, EDI,
internet).

Les réseaux d'entreprises existent sans liens capitalistiques (ex. fusion, prise de participation) nécessaires
mais aussi grâce à l'EDI, aux autoroutes de l'information qui permettent de modifier totalement les relations
fabricant/fournisseur/client.
Les structures deviennent plus adaptables (ex. notion d'entreprise virtuelle, exemple du e-commerce).

REMARQUE : le "reengineering"
Analyse menée au sein d'une organisation afin de repenser sa structure et son fonctionnement en fonction des
processus nécessaires à son activité. Ce n'est pas un nouveau modèle de structure ou une amélioration ponctuelle
mais une refonte complète de l'organisation pour améliorer la qualité, le service et réduire les coûts.
L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE

L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier les ressources existantes dans
l'entreprise qui pourront être comparées à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou étude de processus doit également s'interroger sur le
potentiel d'évolution des ressources.

Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité

1° étape : L'inventaire des ressources


Les ressources sont variées :
- Matérielles : locaux et équipements dont il faut apprécier le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- Financières : ressources propres + capacités d'emprunt + trésorerie disponible
- Incorporelles : image de marque, maîtrise des technologies, réseaux d'approvisionnement et de distribution,
etc.
- Humaines : formation, savoir faire, motivations, aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.

2° étape : L'évaluation des ressources


Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés "synergie").
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.

Méthodes d'évaluation des ressources :


Les sources d'informations internes sont souvent incomplètes. Il faut diagnostiquer :
- le système commercial d'un point de vue qualitatif et quantitatif
- le système d'informations
- le système financier en termes de rentabilité et d'équilibre
- le potentiel technologique, les sources d'informations externes.
- les ressources des concurrents

Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.

3°étape : L'appréciation de la compétitivité


A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.

Compétitivité = Productivité + Qualité + Flexibilité + Innovation

1/ Le diagnostic des ressources productives :


L'analyse des performances de l'appareil productif peut être faite à l'aide d'indicateurs quantitatifs et
qualitatifs.

Critère quantitatif : la productivité du facteur travail

= quantité de produit obtenu / quantité de facteur travail utilisé


= valeur de la production obtenue / temps de travail passé pour réaliser cette production

Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de qualité)

2/ Le diagnostic des ressources humaines


Analyse des données qualitatives : l'entreprise procède :

- à une évaluation des compétences de son personnel : définition des tâches à effectuer, quelles sont les
compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du taux de rotation du personnel, du
nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation

A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.

Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la gestion prévisionnelle de l'emploi et de
compétences
de l'entreprise.

3/ Le diagnostic du potentiel financier

La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur l'étude de financement du développement de
l'entreprise :

- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement (fonds propres ou
endettement)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (bénéfice, taux de marge, capacité d'autofinancement) doit également être
étudiée puisqu'elle contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable l'étude de la solvabilité et de la liquidité

LA FLEXIBILITE DES RESSOURCES

Définition : souplesse d'une firme. Capacité à s'adapter aux évolutions externes sans crise majeure.
L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'adaptabilité de son organisation et la fluidité de ses ressources
humaines et matérielles.

En développant sa flexibilité et sa réactivité, elle cherche à réduire l'impact d'un événement, son délai de
réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.

La réactivité, c'est la capacité de la firme à reconfigurer en temps réel ses ressources afin de faire face aux
changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un système de veille afin de pouvoir suivre les évolutions
de
l'environnement, et la conception d'un système de production flexible afin de pouvoir s'adapter au plus vite
aux évolutions.

Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations décentralisées avec peu de niveaux hiérarchiques.

LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL

Elle porte essentiellement sur 2 domaines :

a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)

- La flexibilité de l'emploi : ajustement des effectifs selon les variations conjoncturelles de la demande ;
réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La flexibilité des horaires : aménagement du temps de travail pour répondre aux besoins (horaires
journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La flexibilité des rémunérations : individualisation des rémunérations pour tenir compte de la concurrence
et des performances individuelles (surtout pour les cadres)

b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays

LA FLEXIBILITE DES EQUIPEMENTS

Correspond à l'aptitude de l'unité de production à répondre à un changement de la demande. Elle prend 2


formes :

- Flexibilité de capacité (en volume) :


Mesurer la capacité de l'entreprise à faire varier le volume de la production sans augmentation de coût.
L'entreprise doit donc évaluer la surcapacité des machines, la sous-traitance, la polyvalence du matériel et la
possibilité de faire varier la durée d'utilisation des équipements.

- Flexibilité de flux de production (en diversité) :


Changer de production dans un délai rapide. Ceci est d'autant plus facile que les produits sont conçus à
partir de composants standardisés et différenciés au niveau du stade final du cycle de production.

L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité

1. (b)
2. (a)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (c) (d)
5. (a) (b)
6. (d)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a) (b)
17. (a)
18. (c)
19. (a)
20. (b)
21. (a) (c) (d)
22. (a) (b) (c)
23. (a) (b)
24. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE PRODUCTIVE : les modes de production

1. (a) (b) (e)


2. (a) (b) (c)
3. (b) (c)
4. (a) (b)
5. (b) (d) (e)
6. (b)
7. (a) (b)
8. (a) (c)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE PRODUCTIVE : les systèmes et la gestion de production

1. (a)
2. (a) (b) (c)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a)
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b)
16. (a) (b) (c)
17. (b)
L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité

1. (b)
2. (a)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (c) (d)
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7. (a)
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10. (a) (b)
11. (a)
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17. (a)
18. (c)
19. (a)
20. (b)
21. (a) (c) (d)
22. (a) (b) (c)
23. (a) (b)
24. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES D'APPROVISIONNEMENT

1. (a)
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10. (a) (b)
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21. (a) (c) (e)
22. (a) (b) (c)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES DE LOGISTIQUE

1. (d)
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3. (a) (b)
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5. (a)
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7. (a)
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11. (a) (b) (e)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : les choix financiers

1. (a) (c)
2. (a) (c) (d)
3. (a)
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5. (a) (b) (e)
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7. (a) (b) (c)
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11. (a)
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13. (a) (b) (e)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : l'équilibre financier

1. (a)
2. (a) (b)
3. (a)
4. (a)
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10. (a)
11. (a) (b) (c)
12. (a)
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15. (a)
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19. (a) (b)
20. (a) (b)
21. (a)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA MERCATIQUE (ESPRIT ET DEMARCHE)

1. (b) (d)
2. (b)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b) (d)
6. (a) (b) (d)
7. (a) (e)
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9. (a) (b) (e)
10. (a) (b)
11. (b) (c)
12. (a)
13. (a) (e)
14. (a) (b)
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16. (a)
17. (a)
18. (c)
19. (a) (b)
20. (a) (d)
21. (a) (b)
22. (a) (b) (d)
23. (a) (b)
24. (a) (b) (c)
25. (a) (c) (d)
26. (a) (b) (c)
27. (a) (b)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le prix

1. (b) (c)
2. (c)
3. (b) (c) (d)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (d)
7. (a)
8. (a)
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10. (a)
11. (a) (b)
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13. (a) (b)
14. (a) (b) (d)
15. (a) (b)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le produit

1. (a)
2. (b) (c) (d)
3. (b) (c)
4. (a)
5. (c)
6. (a) (b) (d)
7. (a) (b)
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16. (a) (b)
17. (a) (b)
18. (a) (b)
19. (a) (b) (d)
20. (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : la communication commerciale

1. (a) (b) (c)


2. (a) (b) (c)
3. (a)
4. (a) (b)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
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15. (a) (b) (c)
16. (a) (b)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : distribution, plan de marchéage

1. (a) (b)
2. (a)
3. (a)
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5. (a) (b)
6. (a) (b) (e)
7. (a) (b)
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10. (a) (b)
11. (a) (b)
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13. (a) (b) (d)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b) (d)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH
1. (b)
2. (b) (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b) (c)
5. (a)
6. (b)
7. (a) (b)
8. (b) (c) (e)
9. (a) (c)
10. (a)
11. (a) (b)
12. (b) (c) (e)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (b)
16. (a) (c)
17. (a) (b)
18. (a) (b)
19. (a)
20. (a) (b)
21. (a) (c)
22. (a) (c) (e)
23. (a)
24. (a) (b)
25. (a) (b) (c)
26. (a) (b) (d)
27. (a) (b)
28. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES :
les fondements de la GRH - la GPEC

1. (a) (b) (c)


2. (b)
3. (b)
4. (b)
5. (a) (b) (c)
6. (a) (c)
7. (a) (c)
8. (a) (b)
9. (a) (b) (c)
10. (a)
11. (a) (b)
12. (b) (c)

ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH : le dialogue social

1. (b)
2. (a) (b)
3. (a) (b) (d)
4. (b) (c)
5. (b) (c) (d)
6. (a) (b) (c)
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9. (a)
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13. (a) (b)
14. (a) (b) (e)
15. (a) (b) (d) (e)
16. (a)
17. (a)
18. (a) (b)
19. (a) (b)

ANALYSE CONCURRENTIELLE

La réflexion stratégique reste avant tout une affaire d'intuition et de logique mais il n'en demeure pas moins
qu'il existe des outils d'aide à la décision très efficaces dans ce domaine.
L'analyse concurrentielle constitue, avec l'analyse technologique et l'analyse organisationnelle un de ces
outils.
L'analyse concurrentielle constitue un élément essentiel de l'analyse stratégique. Centrée sur les rapports
entre l'entreprise et ses marchés, ses concurrents et ses clients, l'analyse concurrentielle consiste à
appréhender les activités stratégiques de l'entreprise de manière à faciliter la formulation des options
stratégiques possibles.

Pour Michael Porter la stratégie a pour objet de déceler les voies et les moyens que l'entreprise doit mettre en
oeuvre pour s'assurer un avantage concurrentiel défendable sur longue période. Il est donc nécessaire
d'étudier l'univers concurrentiel de chaque secteur d'activité intéressant l'entreprise.

Certains modèles d'analyse sont très connus. Un cabinet de consultants américains a élaboré une méthode
d'analyse de ces domaines d'activités fondée sur une représentation graphique. Il s'agit du modèle du BCG
(Boston Consulting Group) : analyse des activités de l'entreprise en termes de "portefeuille d'activités".
Le portefeuille d'activités est l'ensemble des domaines d'activités sur lesquels agit l'entreprise.

Les "dilemmes" : il s'agit des secteurs dont la croissance est forte. Cette croissance est, toutefois, conditionnée
à des investissements très importants, notamment en marketing, recherche-développement et production.
Les "vedettes" : les produits "vedettes" connaissent une forte part de marché ; ce sont donc également des
domaines à croissance forte qui permettent de dégager d'importantes liquidités (permettant ainsi de
pratiquer une politique d'autofinancement pour les nombreux investissements encore nécessaires au
développement de ces produits).
Les "vaches à lait" : les "vaches à lait " correspondent aux domaines d'activités qui sont parvenus à un stade
de maturité. La rentabilité des produits "vaches à lait" est très forte mais, peu à peu la croissance de la
demande ralentit et les investissements deviennent faibles. Par ailleurs, un domaine d'activité ne peut rester
éternellement "vache à lait", à plus ou moins long terme, l'entrée d'un domaine dans cette catégorie laisse
présager la phase de déclin.
Les "poids morts" : ce sont souvent d'anciens produits "vaches à lait". On désigne sous cette appellation les
activités condamnées à disparaître car devenues inutiles pour l'avenir de l'entreprise. Leur contribution à la
croissance est, bien entendu, totalement nulle.

Après examen du portefeuille de domaines d'activités, il sera donc possible de formuler un diagnostic sur la
situation de l'entreprise en termes de forces et de faiblesses. C'est l'analyse des déséquilibres qui révélera les
faiblesses de l'entreprise.

Autre modèle : le modèle du cycle de vie des produits qui est devenu un véritable classique.

A partir du moment où l'on part de l'hypothèse qu'un produit vit, cette vie sera différente pour chaque
produit. Les différentes phases que l'on distingue, à savoir le lancement, le développement (ou croissance, ou
expansion), la maturité et le déclin doivent être adaptées pour chaque type de produit analysé.

La phase d'études se caractérise par des investissements très importants en recherche-développement, une
concurrence nulle ou quasiment nulle, la stratégie adoptée est donc une stratégie de développement.
La phase de lancement se caractérise, au contraire, par la nécessité de procéder à des investissements en
communication et par une stratégie d'implantation. L'avantage concurrentiel est ici obtenu par l'innovation.
La phase d'expansion nécessite des investissements en capacité dans la mesure où la concurrence s'exacerbe,
il s'agit alors d'adopter une stratégie de croissance.
La phase de maturité impose des investissements en productivité en raison des innovations possibles de la
concurrence et de manière à maintenir un avantage concurrentiel par rapport à des produits innovants
nouvellement apparus sur le marché. Il s'agit ici d'une stratégie d'adaptation.
La phase de déclin implique la mise en oeuvre d'une politique de désinvestissement dans la mesure où la
concurrence s'exerce sur des produits de substitution. Il s'agit donc d'une stratégie de désengagement.

Un bref rappel : on parle de "métier d'une entreprise" lorsque l'on évoque l'ensemble des compétences
qu'elle met en oeuvre et qu'elle combine pour servir des marchés.

Nature et sources de l'avantage concurrentiel


La croissance d'une entreprise résulte de sa capacité à mettre en oeuvre des avantages concurrentiels
durables.
Les avantages concurrentiels peuvent être liés à la dimension de l'entreprise (effet d'expérience, économie
d'échelle, masse critique) ou encore à ses ressources (synergies).
La croissance élargit la taille de la production et provoque des économies d'échelle.
On définit les économies d'échelle comme la réduction des coûts unitaires de production en raison de
l'augmentation de la taille des structures productives.

L'effet d'expérience a été mis en évidence par le B. C. G. (Boston Consulting Group).


On appelle expérience, la production cumulée d'un produit depuis le début de sa commercialisation.
Le développement de l'expérience se traduit par une meilleure maîtrise dans la pratique de l'activité ou du
métier, ce qui a pour conséquence un abaissement de certains éléments du coût.
En d'autres termes, au fur et à mesure que l'expérience se développe, il se produit un abaissement du coût de
la main-d'oeuvre par unité produite grâce à une meilleure mise en oeuvre des procédés de fabrication, à une
meilleure organisation et une meilleure productivité du travail.

On parle d'effet de synergie lorsque le regroupement de deux activités permet d'obtenir un résultat supérieur
à la somme des résultats que fourniraient ces deux activités séparément.
Comme il est coutume de le dire, en matière de synergie, 1+1 peut être égal à 10.
Les entreprises recherchent des synergies de manière à augmenter leur efficacité donc leur compétitivité. Les
stratégies d'impartition (stratégies de partenariat et d'alliance) ou les stratégies de rapprochement ont pour
but de créer des effets de synergie.

La masse critique se définit comme le la taille optimum que doit avoir une entreprise d'une branche donnée, à
un moment précis, afin de prospérer sur un marché.

ANALYSE CONCURRENTIELLE
1. (a)
2. (b)
3. (a)
4. (c)
5. (b)
6. (c) (d)
7. (a)

L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE

L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier les ressources existantes dans
l'entreprise qui pourront être comparées à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou étude de processus doit également s'interroger sur le
potentiel d'évolution des ressources.

Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité

1° étape : L'inventaire des ressources


Les ressources sont variées :
- Matérielles : locaux et équipements dont il faut apprécier le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- Financières : ressources propres + capacités d'emprunt + trésorerie disponible
- Incorporelles : image de marque, maîtrise des technologies, réseaux d'approvisionnement et de distribution,
etc.
- Humaines : formation, savoir faire, motivations, aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.

2° étape : L'évaluation des ressources


Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés "synergie").
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.

Méthodes d'évaluation des ressources :


Les sources d'informations internes sont souvent incomplètes. Il faut diagnostiquer :
- le système commercial d'un point de vue qualitatif et quantitatif
- le système d'informations
- le système financier en termes de rentabilité et d'équilibre
- le potentiel technologique, les sources d'informations externes.
- les ressources des concurrents

Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.

3°étape : L'appréciation de la compétitivité


A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.

Compétitivité = Productivité + Qualité + Flexibilité + Innovation

1/ Le diagnostic des ressources productives :


L'analyse des performances de l'appareil productif peut être faite à l'aide d'indicateurs quantitatifs et
qualitatifs.

Critère quantitatif : la productivité du facteur travail

= quantité de produit obtenu / quantité de facteur travail utilisé


= valeur de la production obtenue / temps de travail passé pour réaliser cette production

Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de qualité)

2/ Le diagnostic des ressources humaines


Analyse des données qualitatives : l'entreprise procède :

- à une évaluation des compétences de son personnel : définition des tâches à effectuer, quelles sont les
compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du taux de rotation du personnel, du
nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation

A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.

Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la gestion prévisionnelle de l'emploi et de
compétences
de l'entreprise.

3/ Le diagnostic du potentiel financier

La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur l'étude de financement du développement de
l'entreprise :

- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement (fonds propres ou
endettement)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (bénéfice, taux de marge, capacité d'autofinancement) doit également être
étudiée puisqu'elle contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable l'étude de la solvabilité et de la liquidité

LA FLEXIBILITE DES RESSOURCES

Définition : souplesse d'une firme. Capacité à s'adapter aux évolutions externes sans crise majeure.

L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'adaptabilité de son organisation et la fluidité de ses ressources
humaines et matérielles.

En développant sa flexibilité et sa réactivité, elle cherche à réduire l'impact d'un événement, son délai de
réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.

La réactivité, c'est la capacité de la firme à reconfigurer en temps réel ses ressources afin de faire face aux
changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un système de veille afin de pouvoir suivre les évolutions
de
l'environnement, et la conception d'un système de production flexible afin de pouvoir s'adapter au plus vite
aux évolutions.

Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations décentralisées avec peu de niveaux hiérarchiques.

LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL

Elle porte essentiellement sur 2 domaines :

a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)

- La flexibilité de l'emploi : ajustement des effectifs selon les variations conjoncturelles de la demande ;
réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La flexibilité des horaires : aménagement du temps de travail pour répondre aux besoins (horaires
journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La flexibilité des rémunérations : individualisation des rémunérations pour tenir compte de la concurrence
et des performances individuelles (surtout pour les cadres)

b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays

LA FLEXIBILITE DES EQUIPEMENTS

Correspond à l'aptitude de l'unité de production à répondre à un changement de la demande. Elle prend 2


formes :

- Flexibilité de capacité (en volume) :


Mesurer la capacité de l'entreprise à faire varier le volume de la production sans augmentation de coût.
L'entreprise doit donc évaluer la surcapacité des machines, la sous-traitance, la polyvalence du matériel et la
possibilité de faire varier la durée d'utilisation des équipements.

- Flexibilité de flux de production (en diversité) :


Changer de production dans un délai rapide. Ceci est d'autant plus facile que les produits sont conçus à
partir de composants standardisés et différenciés au niveau du stade final du cycle de production.

L'ANALYSE TECHNOLOGIQUE

Avant tout, quelques termes importants à bien connaître :


Le portefeuille technologique : c'est l'ensemble des technologies possédées par l'entreprise (qu'elles soient ou
non utilisées). L'entreprise a intérêt à posséder un portefeuille équilibré : des technologies positionnées de
manière différente sur le cycle de vie, les ressources dégagées par les technologies en fin de cycle pouvant être
investies dans le lancement de nouvelles technologies.
Il faut analyser leur stade de maturité (inutile d'investir dans une technologie obsolète).

L'analyse technologique : c'est l'ensemble des méthodes permettant d'évaluer le potentiel technique d'une
entreprise, son savoir-faire, son positionnement technologique, sa capacité de recherche et d'innovation. C'est
l'évaluation de la position de l'entreprise face aux nouvelles technologies tant au niveau des produits que du
processus de production.

PORTER a montré que le potentiel de performance d'une technologie suit une courbe en S en fonction des
ressources investies.

Un processus de production, fondé sur une technologie particulière, est caractérisé par un cycle de vie
technologique :
- La mise au point : elle exige de forts investissements en recherche développement
- L'industrialisation : c'est la maîtrise technologique, importants gains de productivité
- La maturité technologique : stabilisation des procédés et des coûts

A chaque stade, il faut une stratégie adéquate ce qui veut dire que l'entreprise doit savoir gérer les ruptures
entre 2 technologies (quand une technologie 1 arrive à maturité, elle est remplacée par une technologie 2) :
est-il justifié de continuer à investir ou
est-il préférable d'investir dans des technologies de substitution émergentes ?

En effet, la technologie devient un des fondements essentiels de la compétitivité ; c'est pourquoi elle
représente pour l'entreprise
un axe primordial de sa stratégie. Les analyses financières et mercatiques ne suffisent plus à la firme pour
définir sa stratégie.
Le couple produit -- marché qui a longtemps servi de clé d'analyse pour définir les axes stratégiques doit être
complété par une composante technologique. Aujourd'hui, c'est plutôt le vecteur Technologie -- Produit --
Marché qui doit permettre d'appréhender
la structure des marchés et les stratégies des firmes présentes sur ce marché.
La prévision technologique constitue un exercice désormais obligatoire pour définir les stratégies.

Le cabinet Arthur D. Little propose une répartition des technologies en trois grandes catégories :.
- Les technologies de base.
- Les technologies clés.
- Les technologies émergentes.
.
- Les technologies de base sont des technologies dont l'entreprise a la maîtrise mais dont la concurrence a
également la maîtrise. Leur impact concurrentiel n'est donc pas très significatif.
- Les technologiques clés sont celles dont l'entreprise a la maîtrise mais pas la concurrence. Leur impact
concurrentiel est, bien entendu, beaucoup plus fort que celui des technologies de base. L'avantage qui en
résulte pour l'entreprise est certain.
- Les technologies émergentes sont des technologies en développement appelées à remplacer à terme les
technologies clés.

Le cycle de vie des technologies se caractérise donc par une transformation des technologies émergentes en
technologies clés
et une transformation des technologies clés en technologies de base.

L'entreprise cherche donc à gérer les innovations actuelles et potentielles en améliorant, en enrichissant, en
protégeant son patrimoine technologique.
La fonction MRT (Management des Ressources Techniques) pourrait permettre d'optimiser, d'enrichir et de
protéger ce potentiel technologique.
Traditionnellement, l'on distingue 2 types d'innovations : innovation de produits et innovation de procédés en
leur affectant un but économique différent - l'amélioration de la productivité est obtenue par une innovation
de procédé et l'élargissement des biens offerts sur le marché correspond à une innovation de produits.
L'innovation doit donc être intégrée à l'entreprise grâce à la Recherche-Développement qui est une fonction
vitale pour la compétitivité. La RD a pour but la mise en place d'une nouvelle méthode de fabrication ou
l'élaboration d'un prototype.
L'enrichissement et la protection du patrimoine technologique de l'entreprise peut mettre en oeuvre :
- la veille technologique : surveillance de la concurrence
- la sauvegarde et protection des innovations à l'aide des brevets
Pour définir sa stratégie technologique, l'autre grande question à laquelle doit répondre une firme est de
savoir si elle doit rechercher ou non une avance technologique.
En effet, la décision d'innover donc de procéder à des investissements coûteux en recherche-développement
n'est pas toujours
très opportune. Il est parfois plus judicieux d'adopter une "attitude de suiveur" que de prendre un risque en
cas d'échec de l'innovation.
En d'autres termes, faut-il être l'initiateur d'une innovation dans l'une ou l'autre des activités créatrices de
valeur ou faut-il
attendre que d'autres aient lancé cette innovation ?
En terme d'image de marque, la stratégie d'innovation est certainement la meilleure. Par contre, la stratégie
de "suiveur" est incontestablement plus pertinente pour tirer profit de l'expérience de ceux qui ont pris de
l'avance. En bref, il vaut mieux parfois imiter pour éviter des investissements coûteux en recherche-
développement ou pour mieux s'adapter aux besoins réels du client.

Classiquement, l'entrepreneur doit opter pour un objectif de productivité lié à une production en série
homogène, ou pour un
objectif de souplesse permettant de répondre aux besoins précis de la clientèle.
Si bien qu'en période de saturation de la demande, les entreprises se trouvent face à deux contraintes
contradictoires : pour préserver ou accroître leur part de marché, elles cherchent à adapter leurs produits
aux désirs esthétiques ou techniques particuliers à certains clients mais cette recherche est contraire aux
principes de la production de masse qui privilégient les
séries longues.
Le conflit entre ces deux contraintes, adaptation à la demande et séries longues, commence à être
partiellement résolu avec
les techniques issues de l'électronique.

La technologie influe donc sur l'avantage concurrentiel quand elle joue un rôle important dans les coûts de
production ou la différenciation d'une firme par rapport aux autres.
En fait les relations entre la technologie et l'avantage concurrentiel sont réciproques.
La maîtrise d'une technologie peut assurer un avantage concurrentiel certain et l'avantage concurrentiel peut
favoriser
l'émergence de nouvelles technologies. Une sorte de cercle vertueux est ainsi mis en évidence.

LE DIAGNOSTIC INTERNE DE L'ENTREPRISE

L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.

La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.

Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.

D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.

L'environnement présente des contraintes et des menaces (transformation de l'environnement susceptible de


remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle d'une firme) qui pèsent sur les choix
stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible de faciliter l'atteinte des objectifs)
de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une opportunité est souvent le début d'une
grande entreprise"

La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.

Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).
Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).

La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)

A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible

Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).

LES STRATEGIES DE DOMINATION PAR LES COUTS ET DE


DIFFERENCIATION

1. (a) (b) (d)


2. (b)
3. (b) (d)
4. (a) (b) (e)
5. (b) (c) (d)
6. (b)
7. (b)
8. (c)
9. (a) (b) (d)
10. (b) (d)
11. (b) (d) (e)
12. (b) (d) (e)
13. (a) (d) (e

LES STRATEGIES D'IMPARTITION ET D'INTEGRATION


1. (b) (c)
2. (a) (c) (d)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b) (c)
7. (a) (c) (e)
8. (c) (d)
9. (b)
10. (a) (d) (e)
11. (a) (c) (e)
12. (b) (e)
13. (b)
14. (b) (c) (e)
15. (b) (d) (e)
16. (d)
17. (d)
18. (b)
19. (a) (b) (d)
20. (a)
21. (b) (c)
22. (a)
23. (a)
24. (a)
25. (b)
26. (b)
27. (b)
28. (b) (c) (d)
29. (b) (c) (d) (e)
30. (a) (c) (d)
31. (a) (c)
32. (a)
33. (b)
34. (b)
35. (a)
36. (a)

STRATEGIE D'INTERNATIONALISATION

1. (c) (d)
2. (d) (e)
3. (a) (b) (d) (e)
4. (a) (b) (d) (e)
5. (b)
6. (b)
7. (a) (d) (e)
8. (a)
9. (b) (c)
10. (b) (c)
11. (a) (b) (d)
12. (a) (c) (d)
13. (a) (b) (c) (d) (e)
14. (b)
15. (a) (b)
16. (b) (c) (d)
17. (a)
18. (a)
19. (a) (d) (e)
20. (a) (c)
21. (b)
22. (b) (c) (e)
23. (a) (e)
24. (b) (c) (e)

OBJECTIFS ET DECISIONS STRATEGIQUES


La stratégie est restée longtemps le domaine réservé des militaires. " la stratégie choisit le terrain, le moment
et les moyens à engager ". Dans les années 50, les gestionnaires ont introduit le concept de stratégie dans le
domaine des entreprises.

Les entreprises éprouvent de plus en plus de difficultés à maîtriser leur environnement. L'économie se
mondialise et la concurrence s'exacerbe au niveau international. C'est la raison pour laquelle les entreprises
modernes cherchent à anticiper et, quelquefois à influencer leur environnement. Pour cela, elles doivent
définir et appliquer des stratégies.

La réflexion stratégique consistera à déterminer clairement des objectifs et à formuler les stratégies à mettre
en oeuvre.
La stratégie sert à matérialiser les orientations de politique générale prises par l'entreprise. Au niveau
stratégique, les objectifs doivent être définis clairement avant de procéder à la formulation indispensable des
moyens matériels et humains à mettre en oeuvre.

Le terme politique désigne les orientations globales, les objectifs généraux pris par les entreprises au regard
de l'environnement dans lequel elles évoluent.
Les décisions tactiques correspondent en quelque sorte aux décisions de gestion courantes prises par
l'entreprise.
Il s'agit ici de la mise en oeuvre, au jour le jour, des choix stratégiques.

Les stratégies offensives ont pour but la croissance de l'entreprise et le développement de ses parts de marché
dans le but d'atteindre, si possible, une situation voisine de celle de monopole.
La stratégie peut-être offensive en terme de produits (lancement de nouveaux produits, création de nouvelle
gamme, etc.).
Théoriquement la stratégie défensive consiste à s'adapter aux circonstances ou à imiter les comportements
d'une entreprise dominante sur un marché. Cette stratégie a donc pour but de permettre à l'entreprise de
rester concurrentielle.

La stratégie de spécialisation est généralement liée à la maîtrise d'une technologie. L'entreprise approfondit
son savoir-faire dans un domaine connu mais prend le risque d'être plus vulnérable aux évolutions
environnementales.
La stratégie de diversification, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des domaines totalement
différents.

La stratégie de pénétration consiste pour l'entreprise à s'efforcer d'occuper une position dominante sur un
marché. L'entreprise analysera les éléments de son plan de marchéage (prix, produit, communication,
distribution) et les adaptera en fonction des objectifs qu'elle a déterminés.
La stratégie d'écrémage consiste à cibler une clientèle précise. Elle s'accompagne généralement d'une
stratégie d'hyper-spécialisation sur un produit ou un service déterminé

LA PLANIFICATION

La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet d'anticiper les
situations futures. Planifier consiste à choisir une ou des stratégies et à formaliser leur mise en œuvre.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier, c'est concevoir
un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en œuvre de stratégies et d'élaboration
de programmes d'actions destinés à les réaliser.

On distingue 2 types de plans. Le plan stratégique : concerne l'ensemble de l'entreprise, influence son
développement, définit les orientations générales (organisation, structure, activités), s'inscrit dans le moyen et
le long terme. Le plan opérationnel : précise les actions à entreprendre pour chaque fonction et service de
l'entreprise afin d'atteindre les objectifs prévus dans les plans stratégiques, concerne le court terme. Les
programmes d'action précisent les objectifs à atteindre, les actions à mettre en œuvre, les résultats à
atteindre, les planning de réalisation.

Les années 80 voient l'ère du management stratégique. L'entreprise doit développer une capacité de réaction,
le plan devient plus flexible. Il est plus en phase avec les besoins du personnel qui souhaite prendre part à la
définition et la réalisation de la stratégie.

Les années 90 sont le théâtre de bouleversements politiques, économiques, technologiques, de turbulences et


de crises. L'entreprise doit envisager différents scénarios. On parle de prospective, de plans d'activité
(business plan) et de veille stratégique.

LES ETAPES DE LA PLANIFICATION :

1. diagnostic (analyse interne et externe),


2. plan stratégique (ou plan global ou plan d'ensemble ou projet d'entreprise),
3. plan opérationnel (ou programmes d'action),
4. budgets (budgets fonctionnels, budget des capitaux, budget des centres de responsabilité)
5. contrôle et mesures correctives (analyse des écarts)

L'élaboration du budget consiste à chiffrer les plans d'action en dépenses et recettes prévisionnelles pour
l'année à venir, correspondant à chaque unité opérationnelle ou fonctionnelle de l'entreprise (budget
publicitaire, d'investissement…).

LES OUTILS DE PLANIFICATION :

a) les plans d'activité ou business plan


b) la prospective :
L'avenir est envisagé d'une manière unique dans la prévision, alors que de multiples futurs possibles sont pris
en compte dans une approche prospective. La prospective conduit à l'étude des causes techniques,
économiques, sociales, politiques qui accélèrent l'évolution de l'environnement. A l'aide de cette analyse, il est
possible d'établir des scénarios d'anticipation du futur.

c) la prévision :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour l'élaboration de la
planification opérationnelle et des budgets.

d) la veille stratégique :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement pouvant avoir un
impact sur l'entreprise. L'objectif est d'anticiper les changements importants qui auront une répercussion sur
l'évolution de la firme.

Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le futur, trop de
formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des coûts importants, la
planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité.

Pourtant la planification a plusieurs intérêts. Elle oblige les dirigeants et le personnel à une réflexion
stratégique, elle permet de saisir des opportunités et d'anticiper des difficultés futures. Elle permet aussi de
rechercher la meilleure utilisation des facteurs de production.

Aujourd'hui, on assiste à un renouveau de la planification grâce au management par projet qui permet de
définir le contenu technique du projet, le détail des coûts et des délais dans le cadre de l'enveloppe fixée dans
un cahier des charges, de déterminer les responsabilités et de contrôler et de mettre en place les outils de
contrôle de l'avancement du projet.

En cours d'exécution du plan, le contrôle des réalisations se situe à 3 niveaux :


Contrôle des résultats : on vérifie que le plan est réalisé comme prévu et on justifie les écarts
Contrôle des prévisions : on vérifie que les hypothèses de travail sont toujours valides
Contrôle des méthodes : on s'assure que la procédure est suivie correctement et qu'elle est pertinente

Les techniques de contrôle des réalisations peuvent être :


l'audit : il permet d'analyser l'ensemble de la gestion de l'entreprise, une fonction ou un système donné (ex.
communication)
Il peut être interne (fait par certains salariés de l'entreprise, risque du manque d'impartialité dans le
jugement) ou externe (pratiqué par des professionnels extérieurs à l'entreprise -cabinets de consultants
spécialisés-), il est parfois source de tensions.

le contrôle de gestion : il permet de maîtriser la gestion d'une entreprise (dépenses, réalisations). Il peut
s'appuyer sur les budgets, la comptabilité générale et analytique.

le contrôle budgétaire : permet de suivre l'évolution des projets, de contrôler les écarts (entre objectifs
atteints et moyens utilisés) et d'entreprendre des actions correctives.

LES STRATEGIES DES ENTREPRISES EN DIFFICULTE

Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont dû procéder à des
restructurations. Une trop grande diversification hétérogène de leur activité (concentration conglomérale)
avait montré les limites de cette stratégie (absence de synergie, endettement...).

Une réorganisation s'imposait pour améliorer la rentabilité. Elle s'est souvent traduite par un recentrage des
activités de ces entreprises sur leur métier de base. La technique utilisée est simple, il s'agit de vendre des
actifs généralement déficitaires ou peu rentables (locaux, entreprises sans rapport avec le métier de base...),
afin de dégager des liquidités qui seront réinvesties dans son activité d'origine.

Ainsi, en se désengageant d'activités à risques, peu rentables, déficitaires, voire excédentaires mais éloignées
de son métier d'origine, l'entreprise assure le redémarrage de secteurs qu'elle connaît parfaitement. Leur
maîtrise lui assurera des parts de marché plus importantes.

La stratégie de survie repose sur un constat d'échec économique et sur le risque de voir l'entreprise
disparaître. Il ne s'agit plus d'élaborer des stratégies de développement de son activité mais tout simplement
de sauver l'entreprise de la liquidation. Pour y parvenir, le chef d'entreprise mettra en oeuvre tous les
moyens dont il dispose.
Elle consiste donc à engager des actions de redressement de façon à rétablir l'équilibre financier et la
structure financière de l'entreprise (plans de réduction des coûts, compression des effectifs...).

Les stratégies de survie sont essentiellement financières qui ont pour objet d'éviter une crise de trésorerie et
la mise en liquidation de l'entreprise.

Ainsi le dégagement de certaines activités pourra lui procurer les fonds nécessaires à une restructuration. Des
alliances judicieuses ou des contrats de partenariat avec des entreprises financièrement saines ou avec
d'autres voulant bénéficier de son savoir-faire dans tel ou tel domaine assureront la pérennité de son
entreprise. Si la situation financière de l'entreprise le lui autorise, une diversification généralement tournée
vers des produits proches pourrait lui permettre de pénétrer des marchés porteurs vers lesquels elle orientera
ses activités. Une politique de gamme bien ciblée peut être un facteur de survie non négligeable.

Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la situation particulière
de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).

LES CHOIX STRATEGIQUES : SPECIALISATION OU DIVERSIFICATION ?


1. (c)
2. (a)
3. (a)
4. (b)
5. (a) (b) (e)
6. (b) (c)
7. (a) (c) (d) (e)
8. (a) (c) (d)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a) (c) (e)
13. (a) (c) (e)
14. (b) (c)
15. (c) (e)
16. (c)
17. (a)
18. (d)
19. (a) (c) (d)
20. (a) (b) (d) (e)

LES STRATEGIES DE FOCALISATION ET DE NICHE

1. (e)
2. (c)
3. (b) (c) (d)
4. (b)
5. (d)
6. (a) (c) (e)
7. (b) (d) (e)
8. (a) (c) (d)
9. (a) (d) (e)
10. (c)
11. (b)
12. (b)
13. (c) (d)
14. (b)
15. (c) (d) (e)
16. (a) (c) (d)

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