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8. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des approches théoriques de l'entreprise ?
a) théories classiques des organisations
b) Ecole des relations humaines
c) Ecole des relations sociales
d) Ecole de la régulation
9. Parmi les auteurs suivants, lequel ou lesquels ont analysé l'entreprise, son organisation et son rôle ?
a) FAYOL
b) MASLOW
c) HERZBERG
d) KEYNES
e) FRIEDMAN
13. Parmi les propositions suivantes, quels sont les nouveaux principes de management ?
a) direction par objectifs
b) décentralisation et délégation
c) autonomie recentrée
d) division sociale du travail
e) séparation des tâches de conception et d'exécution
16. Selon le courant des relations humaines, parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont à
prendre en compte ?
a) pour obtenir de bons résultats, il faut s'intéresser aux salariés en tant que personne
b) pour rendre l'entreprise plus performante, il faut accorder de l'importance à l'étude des relations entre
l'homme et son travail
c) seuls les besoins matériels influencent le travail de l'homme
d) il est superflu de valoriser les ressources humaines et le capital humain puisqu'il s'agit d'un investissement
immatériel
L'ENTREPRISE CITOYENNE
L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de
l'_________________________________________________________________ et de
l'_________________________________________________________________.
De fait, il ne s'agit nullement de faire le procès de l'entreprise en tant qu'organisation ou agent économique.
L'objectif est de montrer que l'entreprise est citoyenne et que
_________________________________________________________________ et qu'elle doit, dans son propre
intérêt et dans celui de la société, tenir compte de
l'_________________________________________________________________ dans tout processus de décision
et dans toute action entreprise.
Les rôles économique et social de l'entreprise ne sont pas dissociables. En fabriquant des biens et en
fournissant des services, elle procure des
_________________________________________________________________ à la population active et
distribue des _________________________________________________________________. Elle organise le
travail humain en fonction des qualifications qui lui sont nécessaires : elle contribue donc à orienter la
_________________________________________________________________ des individus. Elle est également
le principal centre d'innovation, entraînant le
_________________________________________________________________. Elles influencent plus ou moins
sensiblement les besoins et les styles de vie par les publicités, les points de vente, qui révèlent des besoins et en
modifient la hiérarchie. Elles modèlent la vie des régions par leur secteur d'activité, leur taille (aide au
_________________________________________________________________…). Elles apportent une
contribution à la résolution de grands problèmes de société
(_________________________________________________________________…).
L'entreprise n'a plus pour seule finalité de satisfaire ses actionnaires, ses clients, ses salariés, elle doit
également se comporter comme le ferait un bon citoyen et faire preuve de
_________________________________________________________________. Elle est concernée par le
chômage, l'exclusion sociale, les problèmes de la région… et elle doit
_________________________________________________________________.
A ces rôles traditionnels, l'on peut ajouter de nouveaux rôles que se doit de tenir une entreprise qui se veut
_________________________________________________________________.
L'entreprise influence donc la société et aujourd'hui elle est considérée comme étant un
_________________________________________________________________ : on parle d'entreprise
citoyenne. Ainsi l'entreprise citoyenne se sent concernée par les grands problèmes économiques et sociaux de
notre temps et contribue à leur solution. Elle doit en particulier agir contre le chômage, l'exclusion sociale et
même le retard de développement du tiers monde.
L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.
L'éthique est-elle une nouvelle idéologie ? Est-ce une nouvelle mode managériale ? Est-ce un enjeu réel ou un
plan de communication de plus ?
______________________________ est une "réflexion sur les pratiques d'affaires dans lesquelles sont
impliquées les valeurs des individus, des entreprises et de la société". Il ne s'agit pas seulement
d'______________________________ (abus de position de force…) mais de
______________________________ (ex. transparence de l'information, respect des salariés…).
Tom Watson qui fonda IBM en 1914 préconise une ______________________________ sur les bases suivantes
:
· Respect de l'individu au sein de l'organisation
· Le service à la clientèle est un gage de qualité
· La perfection
Donc une ______________________________ basée sur l'éthique.
L'ETHIQUE EN PRATIQUE :
INTERETS DE L'ETHIQUE
C'est devenu une obligation car l'image ternie des entreprises doit être revalorisée (abus de biens sociaux,
fraudes, délits d'initié, respect des salariés…) et les modifications de l'environnement l'imposent (pouvoir des
consommateurs, interventions des écologistes et des syndicats…).
- c'est un instrument d'amélioration des performances de l'entreprise (donner une dimension plus motivante,
source d'innovation et de modernisation, assurer une meilleure cohésion du personnel…)
3. Qu'est-ce qu'une taille suffisance pour que l'entreprise soit présente et survive sur le marché (seuils
financiers, techniques, commerciaux, humains) ?
a) la taille optimale
b) la taille critique
c) la masse optimale
d) la masse critique
e) la taille optimum
e) capacité de l'entreprise à financer son développement, ce qui suppose une situation financière satisfaisante
6. Parmi les opportunités que peut apporter l'environnement à l'entreprise, laquelle ou lesquelles sont
favorables à sa croissance ?
a) stabilité du pouvoir d'achat des ménages
b) changement de goût des consommateurs
c) ouverture des frontières
d) développement des technologies de pointe
e) restructurations et réorganisation des activités
a) croissance latérale
b) croissance conglomérale
c) croissance verticale
d) croissance horizontale
e) croissance interne
11. La croissance horizontale. Il s'agit d'une stratégie d'expansion lorsque l'entreprise veut gagner des parts
de marché :
a) en créant des capacités nouvelles de production et de vente créées grâce aux ressources propres
b) en proposant une gamme de produits suffisamment large pour couvrir tout le marché de base : stratégie de
pénétration du marché
c) c'est le mode de développement privilégié des PME car elles manquent souvent de ressources propres pour
assurer leur développement et être crédibles auprès de l'extérieur.
d) en élargissant sa clientèle au niveau national ou international : stratégie de développement du marché
e) en acquérant la propriété ou le contrôle de capacités de production existantes et déjà en fonctionnement
12. A quelle(s) forme(s) de croissance correspond la définition suivante ? Association d'entreprises ayant des
activités complémentaires. L'entreprise s'agrandit en développant son activité dans des étapes
complémentaires de la filière de production (en amont ou en aval).
a) intégration verticale
b) croissance conglomérale
c) croissance latérale
d) croissance verticale
e) croissance externe
D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (_______________________________________) qui ont
habituellement un effet plus immédiat.
L'_______________________________________ présente des contraintes et des menaces (transformation de
l'environnement susceptible de remettre en cause les positions stratégiques et la position concurrentielle
d'une firme) qui pèsent sur les choix stratégiques, mais il offre aussi des opportunités (phénomène susceptible
de faciliter l'atteinte des objectifs) de développement que l'entreprise doit savoir découvrir et saisir, "une
opportunité est souvent le début d'une grande entreprise"
A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un _______________________________________ à partir duquel elle bâtit sa
réflexion stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible
Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être _______________________________________, c'est-à-dire non seulement
adaptée au scénario auquel on croit, mais aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se
produiraient des évènements importants (le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).
L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.
La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.
Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.
D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.
La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.
Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).
Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).
La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)
A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible
Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).
6. Parmi les critères suivants, lequel ou lesquels permettent de classer les entreprises ?
a) forme juridique
b) l'activité exercée
c) les relations de concurrence
d) les relations de complémentarité
11. Appartiennent au secteur social à but non lucratif les types d'entreprises suivantes :
a) mutuelles
b) entreprises semi-publiques
c) sociétés coopératives
d) entreprises individuelles
12. Quelles relations de complémentarité l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents ?
a) intégration d'activités en amont ou en aval
b) sous-traitance
c) franchise
d) groupement d'intérêt économique
13. Quelles relations de coopération l'entreprise peut-elle créer avec ses concurrents ?
a) franchise (ou franchisage)
b) accords de distribution
c) maillage
d) vente d'actifs
e) restructuration complète des directions
3. Quels sont les éléments qui vont déterminer l'identité d'une entreprise ?
a) la personnalité des dirigeants
b) la culture de l'entreprise
c) la gestion des ressources humaines
d) l'implication des hommes
4. Parmi les suivants, à quel élément correspond la définition suivante : ensemble des éléments
caractéristiques d'une entreprise qui permettent de la distinguer ?
a) l'identité de l'entreprise
b) la culture de l'entreprise
c) le changement dans l'entreprise
d) l'image de l'entreprise
7. Parmi les propositions, laquelle ou lesquelles correspond(ent) à la définition suivante : sujet que l'on
préfère éviter parce qu'il risque de créer un malaise ou un conflit ?
a) tabous
b) rites
c) mythes
d) frustration
9. Quelles peuvent être les principales difficultés rencontrées pour changer la culture d'entreprise ?
a) résistance du personnel
b) peur du changement
c) habitudes
d) stratégie autocentrée
e) principes moraux
DECISION ET POUVOIR
3. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles font partie des étapes du processus de décision ?
a) compréhension du problème
b) choix du système d'information adapté
c) choix des solutions pour résoudre le problème
d) formation du personnel aux nouvelles procédures de travail
7. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à un style de direction et à un mode
d'exercice du pouvoir ?
a) pouvoir bureaucratique
b) pouvoir technocratique
c) pouvoir rationnel
d) pouvoir interpersonnel
e) pouvoir charismatique
2. D'après le modèle IMC d'Herbert SIMON, parmi les propositions suivantes, lesquelles sont des phases du
processus de décision ?
a) phase l'Intelligence du problème
b) phase de Modélisation du problème
c) phase d'Intégration du problème
d) phase de Mise en avant des solutions
e) phase de Mise en oeuvre des solutions
6. Parmi les informations suivantes, laquelle ou lesquelles sont des informations stratégiques pour l'entreprise
?
a) chiffre d'affaires des concurrents
b) comportement des consommateurs
c) nouveaux brevets déposés auprès de l'INPI
d) valeur des "stocks options" (options d'achat) dont bénéficient les dirigeants
e) base de données des clients de l'entreprise
8. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les qualités essentielles pour qu'une information soit
exploitable donc de qualité ?
a) information pertinente
b) disponible rapidement
c) subjective pour rendre compte correctement
d) variée et variable dans le temps
e) stable (le message reste le même et n'est pas déformé)
10. En ce qui concerne l'information, quels sont les inconvénients d'une multitude d'intermédiaires ?
a) ralentir la circulation de l'information
b) risque de déformation du message
c) peut provoquer un rejet de l'information du à un effet de saturation
d) problème de délit d'initié
e) coût d'obtention de l'information raisonnable
13. Parmi les affirmations suivantes, laquelle ou lesquelles justifie(nt) que l'information soit source de pouvoir
?
a) celui qui est informé peut agir à temps
b) celui qui ne veut pas partager son pouvoir peut ne pas faire circuler l'information à ses collaborateurs
c) on peut rassembler toutes les informations concernant un même thème sur un seul support
d) l'information circule sur le même niveau hiérarchique
e) l'information permet de répondre aux besoins de l'utilisateur si elle est pertinente et si sa précision est
suffisante
16. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les étapes du traitement de l'information ?
a) traitement
b) stockage
c) collecte
d) veille
e) circulation
20. Comment pourriez-vous qualifier l'expression du vice-président de l'Oréal : "avoir de grandes oreilles et
une toute petite bouche" ?
a) être vigilant
b) être opportuniste
c) être saturé
d) être à l'écoute
e) être ouvert sur l'extérieur
21. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des formes de veille ?
a) veille technologique
b) veille sociale
c) veille concurrentielle
d) veille administrative
e) veille compétitive
22. Parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels peuvent concerner la veille commerciale ?
a) connaître les besoins des consommateurs
b) comprendre les actions des concurrents
c) connaître les innovations concernant les procédés de fabrication
d) connaître les innovations concernant les produits
e) discerner les changements qui vont concerner l'entreprise
4. La structure divisionnelle est mieux adaptée que la structure fonctionnelle pour les entreprises qui ne
fabriquent qu'un seul type de produit.
a) vrai
b) faux
Chaque entreprise est amenée à se poser la question souvent : quelle structure choisir ? Afin d'effectuer son
choix, elle doit tenir compte de sa spécificité, de son histoire, de sa culture, de sa taille. Elle doit prendre en
compte différents critères.
Les structures tayloriennes ne considèrent l'ouvrier ou l'employé que comme un exécutant alors que les
formes organisationnelles plus récentes cherchent, au contraire, à stimuler la participation, l'implication, les
idées des participants.
Il n'y a pas une structure meilleure que d'autres, optimale, mais des structures satisfaisantes, à un moment
donné dans un contexte donné et pour une entreprise donnée.
La gestion de projet est mise en oeuvre par une équipe pluridisciplinaire. Elle remet en cause le principe de la
division fonctionnelle du travail : l'organisation n'est pas linéaire et rigide, mais au contraire, tous les
éléments sont en interaction et en relation.
Devant leur perte d'efficacité, leur manque de flexibilité et de réactivité, certaines grandes entreprises
centralisées sont réorganisées en petites unités et une partie du pouvoir de décision a été transférée aux unités
et cadres opérationnels. Pour être encore plus efficace, la
_______________________________________________ s'accompagne de la mise en place de liens
transversaux.
Aujourd'hui, la structure interne d'une entreprise doit pouvoir évoluer rapidement afin de s'adapter aux
changements de son environnement, aussi les hommes sont appelés à travailler en équipes évoluant et se
recomposant en permanence. D'où la nécessité du décloisonnement et de la transversalité et l'apparition de
structures en _______________________________________________.
pyramide inversée : il s'agit plutôt d'une nouvelle manière de penser les relations de travail dans l'entreprise
pour améliorer l'efficacité, la productivité et la flexibilité. L'adoption de ce type de structure correspond
souvent à la nécessité d'organiser l'entreprise dans un souci d'orientation des actions en fonction des
_______________________________________________. La pyramide inversée est donc une organisation
fondamentalement anti-taylorienne.
On trouvera donc beaucoup moins de niveaux hiérarchiques, le travail se fera en équipe et on cherchera à
responsabiliser les individus et à mieux reconnaître leur travail.
La pyramide inversée apparaît donc très efficace pour mobiliser la créativité dans la mesure où elle se fonde
sur _______________________________________________ dans l'entreprise.
Les multiples partenariats, alliances, coopérations ou franchises développés par les firmes conduisent à
envisager l'entreprise comme une _______________________________________________. Il s'agit d'une
stratégie de _______________________________________________ qui permet à l'entreprise de rester
centrée sur son métier, et de confier une partie de son activité à des partenaires extérieurs avec lesquels elle
constitue peu à peu un réseau.
Les réseaux d'entreprises existent sans liens capitalistiques (ex. fusion, prise de participation) nécessaires
mais aussi grâce à l'EDI, aux autoroutes de l'information qui permettent de modifier totalement les relations
fabricant/fournisseur/client.
Les structures deviennent plus adaptables (ex. notion d'entreprise virtuelle, exemple du e-commerce).
REMARQUE : le _______________________________________________
Analyse menée au sein d'une organisation afin de repenser sa structure et son fonctionnement en fonction des
processus nécessaires à son activité. Ce n'est pas un nouveau modèle de structure ou une amélioration
ponctuelle mais une refonte complète de l'organisation pour améliorer la qualité, le service et réduire les
coûts.
L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE
L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier
_____________________________________________________ dans l'entreprise qui pourront être comparées
à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou
_____________________________________________________ doit également s'interroger sur le potentiel
d'évolution des ressources.
Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité
1° étape : _____________________________________________________
Les ressources sont variées :
- _____________________________________________________ : locaux et équipements dont il faut apprécier
le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- _____________________________________________________ : ressources propres + capacités d'emprunt +
trésorerie disponible
- _____________________________________________________ : image de marque, maîtrise des technologies,
réseaux d'approvisionnement et de distribution, etc.
- _____________________________________________________ : formation, savoir faire, motivations,
aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.
2° étape : _____________________________________________________
Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés _____________________________________________________).
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.
Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.
3°étape : _____________________________________________________
A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.
_____________________________________________________ = Productivité + Qualité + Flexibilité +
Innovation
Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de _____________________________________________________)
A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.
Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la
_____________________________________________________
de l'entreprise.
_____________________________________________________
L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'_____________________________________________________ et la
fluidité de ses ressources humaines et matérielles.
Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations _____________________________________________________ avec peu de niveaux
hiérarchiques.
_____________________________________________________
a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)
b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays
_____________________________________________________
L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité
6. la productique, c'est :
a) l'augmentation des capacités de production de l'entreprise
b) l'étude de la production de l'entreprise
c) l'étude de la gestion de la production
d) l'association de l'informatique à la gestion de la production
8. La qualité concerne :
a) le produit final
b) le processus de production dans son ensemble
c) la production à la commande
d) la production en flux poussés
11. Quelles sont les caractéristiques des normes de qualité ISO 9000 ?
a) elles définissent des caractéristiques qui garantissent au client un certain niveau de qualité
b) elles définissent un prix qui garantit au client un certain niveau de qualité
c) elles définissent un service après-vente qui garantit au client un certain niveau de suivi de commande
12. La démarche de qualité totale est une démarche qui s'inscrit dans l'optique des 5 zéros, lequel ou lesquels
parmi les propositions suivantes ?
a) 0 stock
b) 0 délai
c) 0 problème
d) 0 retard
e) 0 souci
14. A quel(s) moment(s) sont réalisés les contrôles de qualité sur les produits fabriqués ?
a) pendant la production
b) avant la production
c) lors de la livraison de la commande
d) lors de l'expédition des produits
1. Le mode de production retenu par une entreprise est le résultat de certains choix, lesquels ?
a) choix des procédés techniques utilisés
b) choix de l'organisation du travail
c) choix de la politique d'approvisionnement
d) choix des débouchés de la production
e) choix d'une politique de fabrication
5. Quel service définit les opérations de fabrication et d'assemblage du produit (normes et règles de
production : gammes, procédures, nomenclatures) ?
a) bureau des méthodes
b) bureau de l'ordonnancement
c) bureau d'études
d) bureau de méthodologie
e) bureau du responsable de production
14. Que doit permettre le choix de la localisation (situation géographique) d'une unité de production (une
usine par exemple) ?
a) réduire les coûts d'approvisionnement en matières premières
b) réduire les coûts de transformation des matières premières
c) réduire les coûts de distribution des produits fabriqués
d) améliorer l'implantation des bâtiments
e) réduire les contraintes de qualité
15. Quels choix d'implantation (agencement) d'une unité de production sont possibles ?
a) implantation en ligne ou à la chaîne
b) implantation en cellules ou en îlots
c) implantation linéaire
d) implantation éclatée
e) implantation étalée
L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité
6. la productique, c'est :
a) l'augmentation des capacités de production de l'entreprise
b) l'étude de la production de l'entreprise
c) l'étude de la gestion de la production
d) l'association de l'informatique à la gestion de la production
8. La qualité concerne :
a) le produit final
b) le processus de production dans son ensemble
c) la production à la commande
d) la production en flux poussés
11. Quelles sont les caractéristiques des normes de qualité ISO 9000 ?
a) elles définissent des caractéristiques qui garantissent au client un certain niveau de qualité
b) elles définissent un prix qui garantit au client un certain niveau de qualité
c) elles définissent un service après-vente qui garantit au client un certain niveau de suivi de commande
12. La démarche de qualité totale est une démarche qui s'inscrit dans l'optique des 5 zéros, lequel ou lesquels
parmi les propositions suivantes ?
a) 0 stock
b) 0 délai
c) 0 problème
d) 0 retard
e) 0 souci
14. A quel(s) moment(s) sont réalisés les contrôles de qualité sur les produits fabriqués ?
a) pendant la production
b) avant la production
c) lors de la livraison de la commande
d) lors de l'expédition des produits
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES D'APPROVISIONNEMENT
3. Selon vous, à quelle notion se rapporte la définition suivante : "réservoir rempli par la production et vidé
par les ventes" ?
a) stock de produits finis
b) stock de consommations intermédiaires
c) stock de matières premières
d) stock de fournitures administratives
e) stock de rebuts
7. A quelle fonction, dans l'entreprise, correspond le rôle suivant : "Procurer à l'entreprise, au moment
voulu, en quantité voulue, en qualité voulue, au moindre coût, dans les meilleures conditions ce dont elle a
besoin" ?
a) approvisionnement
b) logistique
c) distribution
d) commercialisation
e) production
9. Quelles sont les principales questions à poser pour définir une politique d'achat ?
a) définir et négocier entre acheteur et vendeur
b) savoir quand commander et en quelle quantité
c) définir le service après-vente
d) définir la gestion des stocks (organisation des flux de produits...)
10. Dans quel(s) domaine(s) l'efficacité des approvisionnements se répercute-t-elle sur les autres services de
l'entreprise ?
a) sur la gestion de production : évite les retards de fabrication des produits
b) sur les services financiers : grâce à des conditions de prix bien négociées
c) sur l'assurance qualité : grâce à des normes de qualité
d) sur la qualité des livraisons : respect des délais, coût...
11. A quelle notion correspond l'objectif suivant : réaliser la meilleure adéquation entre les besoins de
l'entreprise et les possibilités offertes par les fournisseurs ?
a) "marketing-achat"
b) partenariat
c) transitique
d) e-commerce
12. A quelle notion correspond l'objectif suivant : démarche qui vise à établir des relations d'étroite
collaboration entre l'entreprise et ses fournisseurs ?
a) partenariat
b) mécénat
c) délégation
d) relations publiques
16. A quelle(s) notion(s) correspond le principe suivant : déterminer le nombre optimal de commandes qui
permettra de minimiser le coût total des stocks ?
a) méthode de gestion économique des stocks
b) méthode de gestion maximaliste des stocks
c) méthode de gestion minimaliste des stocks
d) méthode de gestion optimiste des stocks
e) méthode de gestion déterministe des stocks
17. Quelle(s) est (sont) la ou les caractéristique(s) de la méthode de gestion par exception des stocks ?
a) méthode flexible
b) méthode s'inspirant du JAT (juste à temps)
c) méthode permettant une nette diminution du volume des stocks
d) méthode arbitraire
e) méthode rigide
20. Quels sont les coûts liés aux stocks et à leur gestion ?
a) coût de possession (ou de détention) du stock
b) coût de rupture de stock
c) coût d'annulation de commande
d) coût de suppression de livraison
e) coût de diversification du stock
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES DE LOGISTIQUE
1. La transitique correspond :
a) au stockage des produits fournisseurs
b) au transfert des matières premières vers les ateliers
c) aux opérations relatives à l'approvisionnement des postes
d) l'automatisation des manutentions et transports de stocks d'un point à un autre dans l'entreprise
e) aux opérations de distribution entre les entreprises et les entrepôts
2. La logistique signifie :
a) raisonner logiquement sur les moyens de gérer une entreprise
b) faire appel à l'informatique pour gérer les entreprises
c) gérer les flux internes et externes d'une entreprise
d) mettre à disposition à moindre coût une quantité déterminée d'un produit à l'endroit et au moment où une
demande existe
8. Quels sont les éléments du choix d'un mode de transport des stocks dans l'entreprise ?
a) il faut tenir compte du type de produit
b) il faut tenir compte de la rapidité du transport
c) il faut tenir compte de la fragilité du transport
d) il faut tenir compte de la banalisation du transport
11. Pourquoi une logistique bien gérée contribue-t-elle à l'obtention de la qualité totale ?
a) permet la livraison des produits en bon état
b) permet de respecter les délais de mise à disposition du produit
c) permet de réduire les échanges administratifs de données
d) permet de réduire les échanges de données
e) permet une livraison au client final en juste à temps
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : les choix financiers
5. Quels sont les catégories d'investissements matériels qui existent réellement dans l'entreprise ?
a) investissement de capacité
b) investissement de productivité
c) investissement de rentabilité
d) investissement de rationalisation
e) investissement de remplacement
6. A quelle notion correspond la définition suivante : "ensemble des opérations qui vont de l'acquisition des
entrées (marchandises ou matières premières) à l'encaissement du prix de vente des sorties (produits finis ou
services)" ?
a) cycle d'exploitation
b) cycle des affaires
c) cycle de stockage
d) cycle d'activité
11. Si les ressources stables sont supérieures aux emplois stables, la situation financière de l'entreprise est :
a) saine
b) dangereuse
13. Une entreprise bien gérée cherche à minimiser son besoin en fonds de roulement c'est-à-dire ?
a) à accélérer ses encaissements
b) à ralentir ses décaissements
c) à augmenter le temps de stockage
d) à augmenter la durée du crédit accordé aux clients
e) à obtenir l'allongement du crédit auprès de ses fournisseurs
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : l'équilibre financier
3. Quelle(s) fonction(s) dans l'entreprise a pour objectif de lui permettre de disposer des ressources dont elle a
besoin ?
a) fonction financière
b) fonction comptable
c) fonction approvisionnement
d) fonction logistique
e) fonction production
4. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "capacité des capitaux investis dans une entreprise
à générer un résultat financier (bénéfice)" ?
a) la rentabilité
b) la fiscalité
c) l'autonomie financière
d) la productivité
8. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "capacité de l'entreprise à faire face à ses dettes et
à ses échéances" ?
a) solvabilité
b) autonomie financière
c) rentabilité de l'investissement
d) investissement
e) compte de résultat
9. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "l'entreprise doit être capable de financer elle-
même la plupart de ses investissements" ?
a) autonomie financière
b) insolvabilité
c) autofinancement
d) ratio d'endettement
e) indépendance financière
12. A quelle(s) notion(s) se rapporte la définition suivante : "mécanisme par lequel l'endettement permet
d'augmenter l'activité et la rentabilité de l'entreprise"
a) l'effet de levier
b) l'effet d'équilibre
c) le mécanisme du multiplicateur
d) le mécanisme du duplicateur
13. Quel(s) facteur(s) faut-il considérer pour déterminer le niveau d'endettement de l'entreprise par rapport
à ses capitaux propres ?
a) la sécurité financière
b) l'indépendance financière
c) la destination des dépenses de fonctionnement
d) le besoin de financement de l'exploitation
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA MERCATIQUE (ESPRIT ET DEMARCHE)
5. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des objectifs de la mercatique ?
a) stimuler les besoins du consommateur
b) comprendre le marché
c) stimuler la production des biens
d) conserver le marché
e) agir sur la qualité totale
8. On distingue des marchés correspondant à des groupes de clients différents, lequel ou lesquels parmi les
propositions suivantes ?
a) marché réel (ou actuel)
b) marché potentiel
c) marché générique
d) marché régional
e) marché régulier
10. A l'aide de quels indicateurs peut-on évaluer la place occupée par une entreprise sur un marché ?
a) part de marché
b) taux de croissance des ventes
c) taux de croissance de la production
d) part de bénéfices
e) ventes de la profession
11. On distingue plusieurs types de marchés, lequel ou lesquels parmi les propositions suivantes ?
a) marché secondaire
b) marché environnant
c) marché support
d) marché concurrentiel
e) marché général
21. Quelle(s) est (sont) les stratégies de positionnement parmi les propositions suivantes ?
a) imitation du produit
b) différenciation du produit
c) négation du produit
d) segmentation du produit
e) importation du produit
23. Pour analyser l'offre (ou comment vendre plus ?), sur quoi porteront les informations recherchées ?
a) informations sur les distributeurs
b) informations sur les concurrents
c) informations sur la logistique
d) informations sur les objectifs
24. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles figure(nt) dans la méthode des 6 "O" ?
a) Occupants
b) Occasion
c) Opérations
d) Obligations
e) Organismes
25. Parmi les opérations suivantes, laquelle ou lesquelles est(sont) réalisée(s) dans une étude de marché ?
a) collecte de l'information sur la demande potentielle d'un produit
b) collecte de l'information sur la demande opérationnelle d'un produit
c) analyse de l'offre d'un produit
d) analyse de données qualitatives (ex. profils des consommateurs...)
e) analyse de données qualificatives sur le marché étudié
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le prix
11. Quelles sont les politiques de prix dont dispose l'entreprise pour lancer un nouveau produit ?
a) prix d'écrémage
b) prix d'alignement
c) prix de positionnement
d) prix d'ajustement
12. En cours de vie du produit, en fonction de quoi l'entreprise pourra-t-elle moduler ses prix ?
a) de la clientèle
b) des périodes de consommation
c) de l'ajustement périodique
d) du pouvoir d'achat des consommateurs
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le produit
1. Selon vous, parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels est(sont) un produit leader ?
a) Renault Clio
b) Renault Twingo
c) Renault Laguna
d) Renault Scénic 4x4
3. Retrouvez les caractéristiques d'un produit tout au long de son cycle de vie
a) un produit a une durée de vie illimitée
b) ses ventes passent par différents stades d'évolution
c) son niveau de profit varie en fonction de chaque phase du cycle de vie
d) tous les produits suivent la totalité du cycle
20. Selon vous, parmi les exemples suivants, lequel ou lesquels est(sont) un produit d'appel ?
a) Renault Clio
b) Renault Twingo
c) Renault Laguna
d) Renault Scénic 4x4
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : la communication commerciale
2. Quels sont les moyens dont dispose l'entreprise pour développer de façon permanente sa place sur le
marché et faire connaître ses produits ?
a) publicité hors média
b) promotion des ventes
c) relations publiques
d) relations privées
e) circuits de distribution
3. Qu'est-ce qu'un média ?
a) c'est l'ensemble des supports ou canaux de communication de même nature
b) c'est un support multimédia
c) c'est un canal de distribution
d) c'est un support interactif et bilatéral
10. Dans quelles directions les actions de promotion des ventes peuvent-elle être faites ?
a) en direction des distributeurs
b) en direction des prescripteurs (conseillers, médecins...)
c) en direction du personnel du point de vente
d) en direction des actionnaires
14. Quels sont les moyens utilisés par les relations publiques ?
a) journée portes ouvertes
b) parrainage
c) marchandisage
d) relations avec la presse
e) formation du personnel à la publicité
16. Trouvez les exemples d'actions continues de relations publiques que peut mener une entreprise
a) lettre d'information aux clients
b) rencontres périodiques avec les associations de consommateurs
c) notes de service
d) conférence de presse annuelle
e) parrainage d'un évènement culturel
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : distribution, plan de marchéage
5. Quels sont, parmi les propositions suivantes, les différents types de circuits de distribution ?
a) circuit ultra-court
b) circuit direct
c) circuit hyperlong
d) circuit regroupé
e) circuit fractionné
14. Parmi les enjeux du choix du mode de distribution proposés, lequel ou lesquels vous semble(nt)
vraisemblable(s) ?
a) une distribution exclusive limite souvent le nombre de distributeurs possibles
b) le choix entre les différentes formes de distribution n'est pas neutre (sans conséquences)
c) une distribution intensive présente le risque pour l'entreprise de perdre son autonomie face aux grands
distributeurs
d) une distribution intensive limite souvent le nombre de distributeurs possibles
e) une distribution sélective présente le risque pour l'entreprise de perdre son autonomie
15. Quelles sont, parmi les propositions suivantes, les missions de la force de vente d'une entreprise ?
a) guider le client, le conseiller
b) assurer le suivi des commandes
c) mettre en place la politique commerciale
d) trouver des opportunités en prospectant les marchés
e) assurer le service après-vente
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH
3. La formation professionnelle :
a) est de plus en plus considérée comme un investissement par les entreprises
b) fait l'objet d'une obligation de financement par les salariés
c) fait l'objet d'une obligation de financement par les entreprises
d) doit obligatoirement être assurée à l'extérieur de l'entreprise
6. Il sert à déterminer le portrait "idéal" de la personne qui doit occuper un poste précis, c'est ?
a) le graphique personnalisé
b) le profil de poste
c) le code de classification des emplois
d) la définition du poste
17. A quelle(s) condition(s) la formation peut-elle être parfois une alternative au licenciement ?
a) lorsqu'il s'agit d'une formation qualifiante
b) s'il y a "glissement" d'une catégorie d'emplois menacés vers des emplois stables
c) s'il y a "glissement" d'une catégorie d'emplois menacés vers des emplois précaires
d) lorsqu'il s'agit d'une formation aux nouvelles technologies
22. Quelles sont les différentes formes de rémunérations accessoires au salaire de base ?
a) PEE (plan d'épargne d'entreprise)
b) PEA (plan d'épargne en actions)
c) intéressement
d) rémunération participative
e) PEI (plan d'épargne interentreprises)
23. Il s'agit d'une distribution préférentielle d'actions de l'entreprise aux cadres "méritants", c'est :
a) les "stocks options" ou options d'achat d'actions
b) les transactions de stock
c) les primes de participation
d) les primes de mérite
e) les plans d'actionnariat
24. Quelles sont les objectifs des évolutions récentes de la rémunération du personnel dans les entreprises ?
a) baisse du coût du travail face à la concurrence internationale
b) davantage d'efficacité du personnel en récompensant les performances individuelles
c) meilleur dialogue social entre les partenaires au sein de l'entreprise
d) baisse des cotisations liées au travail face à la concurrence internationale
25. Quelles sont les évolutions récentes de la rémunération du personnel dans les entreprises ?
a) la part variable et non garantie du salaire s'accroît
b) tendance à associer davantage certaines catégories de personnel (cadres surtout) aux résultats de
l'entreprise
c) développement des formes d'épargne salariale
d) développement des formes d'épargne patronale
e) forte augmentation du salaire fixe en lui-même
27. Quels avantages pour l'employeur présente l'intéressement des salariés aux résultats de l'entreprise ?
a) les augmentations de revenus ne sont plus irréversibles contrairement aux augmentations de salaire
b) les sommes versées sont exonérées de charges sociales
c) les sommes versées sont exonérées de l'impôt sur les sociétés
d) les sommes versées sont exonérées de la TVA
e) l'intéressement permet d'augmenter la flexibilité du travail
28. Les conditions de travail représentent les réalités de la vie au travail, laquelle ou lesquelles parmi les
propositions suivantes ?
a) pénibilité du travail
b) temps et horaires de travail
c) responsabilités à prendre
d) rémunération
e) profil de poste
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES :
les fondements de la GRH - la GPEC
2. La GRH signifie :
a) la gérance des ressources humaines
b) la gestion des ressources humaines
c) le grand rassemblement humain
d) la grève des ressources humaines
e) la gestion des ressources humanitaires
3. La GPE, c'est :
a) la gestion des points d'entrée
b) la gestion prévisionnelle de l'emploi
c) la grève pour l'emploi
d) la gestion passive de l'emploi
4. La GPEC, c'est :
a) la gestion prospective de l'emploi et des conséquences
b) la gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences
c) la gestion particulière de l'emploi et des compétences
d) la gestion prospective de l'emploi et des compétences
7. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles font partie de la politique sociale de l'entreprise ?
a) négociation collective avec les partenaires sociaux
b) communication externe de l'entreprise
c) participation et intéressement des salariés aux résultats de l'entreprise
d) rémunération du personnel
e) organisation des qualifications du personnel
10. A quelle fonction dans l'entreprise correspond la citation suivante : "placer l'homme qu'il faut, à l'endroit
qu'il faut et au moment où il le faut" ?
a) GPEC
b) GRH
c) GPAO
d) OST
e) CFAO
2. Quelles sont les formes de communication interne parmi les choix suivants ?
a) communication transversale ou latérale
b) communication ascendante
c) communication discontinue
d) communication médiatisée
e) communication transcendante
11. Cherchez les intrus parmi les termes qui ne paraissent pas correspondre à des indicateurs du climat social
:
a) absentéisme
b) hausse des cotisations
c) accidents du travail
d) conventions collectives
e) rotation du personnel
13. Doivent obligatoirement paraître dans le bilan social les chapitres suivants :
a) conditions d'hygiène et de sécurité
b) formation
c) charges assumées par l'employeur
d) conflits de la période écoulée
e) rémunérations individuelles
15. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles sont des formes d'action collectives lors d'un
conflit social ?
a) transgression volontaire et collective de certaines règles
b) grève avec occupation des locaux
c) droit d'expression des salariés et des représentants du personnel
d) manifestation ou rassemblement du personnel
e) harcèlement verbal ou physique d'un dirigeant de l'entreprise
16. Il s'agit d'une cessation collective, complète et concertée du travail en vue de faire aboutir des
revendications professionnelles, c'est :
a) la grève
b) le défilé
c) l'occupation des locaux
d) le rassemblement
e) l'appel à la grève
17. Quelle loi oblige tous les chefs d'entreprise à négocier chaque année sur les salaires et les conditions de
travail ?
a) loi AUROUX
b) loi FABIUS
c) loi AUBRY
d) loi ROBIEN
19. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles est(sont) des possibilités de résolution des conflits
collectifs ?
a) conciliation
b) intervention de l'inspecteur du travail
c) méditation
d) concertation
e) droit d'expression
ANALYSE CONCURRENTIELLE
La réflexion stratégique reste avant tout une affaire d'intuition et de logique mais il n'en demeure pas moins
qu'il existe des outils d'aide à la décision très efficaces dans ce domaine.
L'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ constitue, avec l'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ et l'analyse
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ un de ces outils.
L'analyse concurrentielle constitue un élément essentiel de l'analyse stratégique. Centrée sur les rapports
entre l'entreprise et ses marchés, ses concurrents et ses clients, l'analyse concurrentielle consiste à
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Pour Michael Porter la stratégie a pour objet de déceler les voies et les moyens que l'entreprise doit mettre en
oeuvre pour s'assurer un avantage concurrentiel défendable sur longue période. Il est donc nécessaire
d'étudier l'univers concurrentiel de chaque secteur d'activité intéressant l'entreprise.
Certains modèles d'analyse sont très connus. Un cabinet de consultants américains a élaboré une méthode
d'analyse de ces domaines d'activités fondée sur une représentation graphique. Il s'agit du modèle du
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : analyse des activités de l'entreprise en termes de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Le portefeuille d'activités est
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : il s'agit des secteurs dont la croissance est forte. Cette croissance
est, toutefois, conditionnée à des
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ très importants, notamment en marketing, recherche-développement
et production.
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : les produits "vedettes" connaissent une forte
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ ; ce sont donc également des domaines à croissance forte qui
permettent de dégager d'importantes liquidités (permettant ainsi de pratiquer une politique
d'autofinancement pour les nombreux investissements encore nécessaires au développement de ces produits).
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : les "vaches à lait " correspondent aux domaines d'activités qui sont
parvenus à un stade de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ des produits "vaches à lait" est très forte mais, peu à peu la
croissance de la demande ralentit et les investissements deviennent faibles. Par ailleurs, un domaine d'activité
ne peut rester éternellement "vache à lait", à plus ou moins long terme, l'entrée d'un domaine dans cette
catégorie laisse présager la phase de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
Les
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ : ce sont souvent d'anciens produits
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. On désigne sous cette appellation les activités condamnées à
disparaître car devenues inutiles pour l'avenir de l'entreprise. Leur contribution à la croissance est, bien
entendu, totalement nulle.
Après examen du
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________, il sera donc possible de formuler un
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ sur la situation de l'entreprise en termes de forces et de faiblesses.
C'est l'analyse des déséquilibres qui révélera les faiblesses de l'entreprise.
A partir du moment où l'on part de l'hypothèse qu'un produit vit, cette vie sera différente pour chaque
produit. Les différentes phases que l'on distingue, à savoir le lancement, le développement (ou croissance, ou
expansion), la maturité et le déclin doivent être adaptées pour chaque type de produit analysé.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ se caractérise par des investissements très importants en recherche-
développement, une concurrence nulle ou quasiment nulle, la stratégie adoptée est donc une
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ se caractérise, au contraire, par la nécessité de procéder à des
investissements en communication et par une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________. L'avantage concurrentiel est ici obtenu par l'innovation.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ nécessite des investissements
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ dans la mesure où la concurrence s'exacerbe, il s'agit alors d'adopter
une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ impose des investissements
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ en raison des innovations possibles de la concurrence et de manière à
maintenir un avantage concurrentiel par rapport à des produits innovants nouvellement apparus sur le
marché. Il s'agit ici d'une stratégie
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
La
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________ implique la mise en oeuvre d'une politique de désinvestissement dans
la mesure où la concurrence s'exerce sur des produits de substitution. Il s'agit donc d'une stratégie de
_____________________________________________________________________________________________
__________________________________.
compétitivité dimension économie d'échelle économies d'échelle effet de synergie effet d'expérience
effet d'expérience la production cumulée d'un produit depuis le début de sa commercialisation masse
critique masse critique mettre en oeuvre des avantages concurrentiels durables productivité ses
ressources stratégies de partenariat et d'alliance synergies un abaissement du coût de la main-d'oeuvre
par unité produite
ANALYSE CONCURRENTIELLE
1. Les produits "dilemmes" correspondent souvent aux produits en phase de lancement et nécessitant
d'importants investissements
a) vrai
b) faux
2. Les produits "vache à lait" sont des produits à croissance très forte nécessitant encore des investissements
en communication.
a) vrai
b) faux
3. Les produits "vedettes" sont des produits en croissance forte pour lesqueles il sera nécessaire de procéder à
des investissements de capacité.
a) vrai
b) faux
7. La notion de masse critique est relative dans la mesure où elle varie selon des produits et les entreprises.
a) vrai
b) faux
L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE
L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier
_____________________________________________________ dans l'entreprise qui pourront être comparées
à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou
_____________________________________________________ doit également s'interroger sur le potentiel
d'évolution des ressources.
Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité
1° étape : _____________________________________________________
Les ressources sont variées :
- _____________________________________________________ : locaux et équipements dont il faut apprécier
le niveau de production, la fiabilité, la sécurité.
- _____________________________________________________ : ressources propres + capacités d'emprunt +
trésorerie disponible
- _____________________________________________________ : image de marque, maîtrise des technologies,
réseaux d'approvisionnement et de distribution, etc.
- _____________________________________________________ : formation, savoir faire, motivations,
aptitudes au travail en équipe, compétences, etc.
2° étape : _____________________________________________________
Il s'agit à présent de procéder à une comparaison des ressources par grande fonction de l'entreprise
(technique - commerciale - logistique). Les diverses ressources sont comparées entre elles afin d'apprécier
l'équilibre entre les divers potentiels ainsi que
les effets de complémentarité (appelés _____________________________________________________).
Beaucoup d'entreprises sont caractérisées par des déséquilibres dans leurs ressources ; elles ont des
surcapacités pour
certaines ressources mais qui sont inutilisables en raison d'insuffisances dans d'autres ressources. Ex. une
bonne capacité de production mais un réseau de distribution insuffisant.
Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.
3°étape : _____________________________________________________
A l'issue de l'analyse du potentiel, chaque ressource a été évaluée en elle-même, du point de vue de sa
complémentarité
équilibrée avec les autres ressources et par rapport aux ressources des autres concurrents.
A ce stade, un premier diagnostic de compétitivité peut être réalisé.
Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de _____________________________________________________)
A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.
Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la
_____________________________________________________
de l'entreprise.
_____________________________________________________
L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'_____________________________________________________ et la
fluidité de ses ressources humaines et matérielles.
Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations _____________________________________________________ avec peu de niveaux
hiérarchiques.
_____________________________________________________
a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)
b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays
_____________________________________________________
L'ANALYSE TECHNOLOGIQUE
Le ______________________________________________________________________________________ :
c'est l'ensemble des technologies possédées par l'entreprise (qu'elles soient ou non utilisées). L'entreprise a
intérêt à posséder un portefeuille équilibré : des technologies positionnées de manière différente sur le cycle
de vie, les ressources dégagées par les technologies en fin de cycle pouvant être investies dans le lancement de
nouvelles technologies.
Il faut analyser leur stade de maturité (inutile d'investir dans une technologie obsolète).
L'______________________________________________________________________________________ : c'est
l'ensemble des méthodes permettant d'évaluer le potentiel technique d'une entreprise, son savoir-faire, son
positionnement technologique, sa capacité de recherche et d'innovation. C'est l'évaluation de la position de
l'entreprise face aux nouvelles technologies tant au niveau des produits que du processus de production.
PORTER a montré que le potentiel de performance d'une technologie suit une courbe en S en fonction des
ressources investies.
Un processus de production, fondé sur une technologie particulière, est caractérisé par un
______________________________________________________________________________________ :
- La mise au point : elle exige de forts investissements en
______________________________________________________________________________________
- L'______________________________________________________________________________________ :
c'est la maîtrise technologique, importants gains de productivité
- La ______________________________________________________________________________________ :
stabilisation des procédés et des coûts
A chaque stade, il faut une stratégie adéquate ce qui veut dire que l'entreprise doit savoir gérer les ruptures
entre 2 technologies (quand une technologie 1 arrive à maturité, elle est remplacée par une technologie 2) :
est-il justifié de continuer à investir ou
est-il préférable d'investir dans des technologies de substitution émergentes ?
Le cabinet Arthur D. Little propose une répartition des technologies en trois grandes catégories :.
- Les technologies de base.
- Les technologies clés.
- Les technologies émergentes.
.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont des technologies dont l'entreprise a la maîtrise mais dont la concurrence a également la maîtrise. Leur
impact concurrentiel n'est donc pas très significatif.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont celles dont l'entreprise a la maîtrise mais pas la concurrence. Leur impact concurrentiel est, bien
entendu, beaucoup plus fort que celui des technologies de base. L'avantage qui en résulte pour l'entreprise est
certain.
- Les ______________________________________________________________________________________
sont des technologies en développement appelées à remplacer à terme les
______________________________________________________________________________________.
Le cycle de vie des technologies se caractérise donc par une transformation des technologies émergentes en
______________________________________________________________________________________
et une transformation des technologies clés en
______________________________________________________________________________________.
L'entreprise cherche donc à gérer les innovations actuelles et potentielles en améliorant, en enrichissant, en
protégeant son patrimoine technologique.
La fonction MRT (Management des Ressources Techniques) pourrait permettre d'optimiser, d'enrichir et de
protéger ce potentiel technologique.
Traditionnellement, l'on distingue 2 types d'innovations :
______________________________________________________________________________________ et
______________________________________________________________________________________ en leur
affectant un but économique différent - l'amélioration de la productivité est obtenue par une
______________________________________________________________________________________ et
l'élargissement des biens offerts sur le marché correspond à une
______________________________________________________________________________________.
L'innovation doit donc être intégrée à l'entreprise grâce à la Recherche-Développement qui est une fonction
vitale pour la compétitivité. La RD a pour but
______________________________________________________________________________________.
L'enrichissement et la protection du patrimoine technologique de l'entreprise peut mettre en oeuvre :
- la ______________________________________________________________________________________ :
surveillance de la concurrence
- la sauvegarde et protection des innovations à l'aide des
______________________________________________________________________________________
Pour définir sa stratégie technologique, l'autre grande question à laquelle doit répondre une firme est de
savoir si elle doit rechercher ou non une avance technologique.
En effet, la décision d'innover donc de procéder à des investissements coûteux en recherche-développement
n'est pas toujours
très opportune. Il est parfois plus judicieux d'adopter une
______________________________________________________________________________________ que de
prendre un risque en cas d'échec de l'innovation.
En d'autres termes, faut-il être l'initiateur d'une innovation dans l'une ou l'autre des activités créatrices de
valeur ou faut-il
attendre que d'autres aient lancé cette innovation ?
En terme d'image de marque, la stratégie
d'______________________________________________________________________________________ est
certainement la meilleure. Par contre, la stratégie de "suiveur" est incontestablement plus pertinente pour
tirer profit de
l'______________________________________________________________________________________ de
ceux qui ont pris de l'avance. En bref, il vaut mieux parfois imiter pour éviter des investissements coûteux en
recherche-développement ou pour mieux s'adapter aux besoins réels du client.
2. C'est une manœuvre stratégique qui s'appuie sur la recherche du coût le plus bas par rapport à la
concurrence. A quelle option stratégique correspond cette définition ?
a) la strategie de differenciation
b) la strategie de domination par les couts
c) la strategie de differenciation
d) la strategie de focalisation
e) la strategie d'impartition
5. Ces stratégies de domination par les coûts sont bien adaptées à des domaines d'activité où :
a) L'entreprise génère une part de marché suffisante pour la mettre à l'abri des attaques des concurrents
b) L'effet d'expérience est fort
c) La différenciation des produits est faible
d) La concurrence porte principalement sur les prix et les coûts
e) L'entreprise est capable d'engendrer une demande solvable importante
6. Les enseignes de la grande distribution intégrée (Auchan...) fonde leur stratégie concurrentielle sur la
différenciation : faibles prix d'achat, économies d'échelle pour les coûts de distribution, frais généraux faibles
par rapport au chiffre d'affaires...
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
7. Quel rapport y a-t-il entre la spécialisation d'une entreprise et la domination par les coûts ?
La spécialisation permet d'améliorer la productivité (ex. économies d'échelles, savoir-faire...) et donc
d'abaisser les coûts de façon à dominer les concurrents par des services connexes (SAV, prêt de matériel...)
plus complets et plus performants.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
8. C'est l'ensemble des procédés permettant à une entreprise de singulariser ses produits par rapport à ceux
des concurrents et/ou d'élargir la gamme offerte à la clientèle par des particularités apportées aux divers
modèles.
A quelle option stratégique correspond cette définition ?
a) la strategie de domination par les couts
b) la strategie de focalisation
c) la strategie de differenciation
d) la strategie d'alliance
e) la strategie d'impartition
12. Quels sont les avantages des stratégies de différenciation pour l'entreprise ?
a) réseau de commerçants indépendants qui écoulent les produits
b) impossibilité de comparaison directe avec les concurrents
c) élément de concurrence accrue sur le marché
d) attrait particulier des produits
e) possibilité de réaliser une communication commerciale spécifique
13. Certaines conditions doivent être satisfaites pour que la stratégie de différenciation débouche sur un
avantage concurrentiel durable. La stratégie mise en place doit être :
a) Défendable à long terme : générer une part de marché suffisante pour mettre l'entreprise à l'abri des
attaques des concurrents
b) Si l'avantage procuré par la présence sur un seul segment est supérieur à celui qu'aurait procuré une
présence sur plusieurs segments
c) Si la présence de l'entreprise sur un segment permet de mieux répondre à la demande
d) Significative : perceptible par l'acheteur
e) Economiquement viable : capable d'engendrer une demande solvable importante
1. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à une stratégie d'impartition ?
a) C'est la prise de participation, la prise de contrôle, et la constitution d'un groupe.
b) C'est l'association, dans un but stratégique bien précis, de plusieurs entreprises qui restent indépendantes,
voire concurrentes.
c) C'est la coopération entre plusieurs entreprises partenaires qui ont des potentiels complémentaires : la
coopération interentreprises.
d) Ces stratégies sont souvent utilisées pour l'acquisition d'entreprises dans le cadre d'une OPA.
2. L'entreprise qui fait appel à des partenaires cherche à :
4. A quelle notion correspond le cas suivant : une PME souhaitant exporter utilise le réseau commercial d'une
grande entreprise déjà bien implantée à l'étranger.
a) le portage ou piggy back
b) la concession
c) la cession de licence
d) le partenariat inter-entreprises
e) le maillage
5. La concession, la franchise industrielle et commerciale, la cession de licence : reposent sur des transferts de
technologie et de savoir-faire.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
7. Les stratégies d'impartition peuvent déboucher sur la création de structures communes. Laquelle ou
lesquelles parmi les propositions suivantes ?
a) société en copropriété ou joint-venture
b) SAS
c) GEIE
d) société en multipropriété
e) coopérative
9. Une société en multipropriété (joint-venture), c'est une co-entreprise constituée par deux ou plusieurs
entreprises de nationalités différentes qui créent une filiale commune.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
11. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles correspondent à des formes de partenariat entre
entreprises ?
a) fourniture spéciale : l'entreprise partenaire réalise un produit précis pour l'entreprise et en conserve la
propriété industrielle et sa marque
b) concession exclusive (concession sélective mais qui s'accompagne d'une clause d'exclusivité)
c) cotraitance ou coproduction : c'est la partage de la réalisation d'un produit ou d'un projet (ex. grands
chantiers de travaux publics)
d) contrat de franchise
e) sous-traitance ou externalisation (choix du faire-faire)
13. La sous-traitance de capacité permet d'augmenter la flexibilité de l'entreprise afin de faire face aux
variations de la demande et de réduire les coûts variables.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
16. Dans le secteur automobile par exemple, les sous-traitants doivent obligatoirement coopérer pour réaliser
le produit commandé par le donneur d'ordres. A quelle forme d'impartition correspond cet exemple ?
a) L'intégration verticale
b) La sous-traitance
c) L'externalisation
d) La cotraitance
e) La subordination
17. STRATEGIE D'INTEGRATION VERTICALE : quelle(s) est (sont) elle(s) parmi les propositions
suivantes :
a) les stratégies de pénétration du marché
b) les stratégies d'expansion du marché
c) les stratégies de redéploiement
d) les stratégies de filière
e) les stratégies de dégagement
18. C'est l'enchaînement des activités complémentaires qui permettent de passer d'une même matière à des
produits finis distincts. A quelle notion correspond cette définition ?
a) une filiale
b) une filière
c) une filiation
d) une filature
e) une société mère
19. Les stratégies de filière (intégration verticale) : quelles sont ses caractéristiques ?
a) Intégration en amont : intégrer des entreprises qui ont une position antérieure dans la filière (ex.
fournisseurs)
b) Intégration en aval : intégrer celles qui ont une position ultérieure dans la filière (ex. clients producteurs
ou distributeurs)
c) Lorsque l'entreprise exerce ses activités sur un métier arrivé au stade de la maturité, l'adoption d'une
stratégie de filière est inutile
d) Une entreprise a le choix entre plusieurs positions dans la filière verticale : conception - fabrication -
commercialisation
e) L'adoption d'une stratégie de filière doit pouvoir amener l'entreprise à s'étendre géographiquement sur
l'ensemble de son marché pertinent.
20. Une stratégie d'intégration verticale se justifie si l'entreprise espère augmenter sa rentabilité, son
efficacité ou son contrôle et si sa branche d'activité est appelée à un fort taux de croissance.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
21. Quels sont les avantages qui procure la stratégie d'intégration verticale à l'entreprise ?
a) pouvoir limité sur le marché
b) sécurité des approvisionnements ou des débouchés
c) contrôle partiel ou total de la filière
d) intégration facile de l'entreprise achetée
22. Lorsque des entreprises s'associent tout en restant indépendantes, il s'agit de stratégies d'impartition
lorsqu'au contraire elles se regroupent, il s'agit de stratégies d'intégration.
a) vrai
b) faux
23. Durant les deux dernières décennies, la pratique des accords interentreprises s'est considérablement
développée. Les contrats d'agrément, de franchise, de concession et de sous-traitance foisonnent.
a) vrai
b) faux
24. Les accords interentreprises sont la plupart du temps des contrats commerciaux de distribution. Ces
accords peuvent également intervenir dans le domaine de la production.
a) vrai
b) faux
25. La franchise est la forme la moins contraignante des contrats de distribution dans la mesure où elle
implique l'intégration partielle du franchisé à un réseau ainsi que sa soumission facultative aux techniques de
vente du franchiseur.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
26. La concession se définit comme un contrat par lequel une entreprise concède à une autre entreprise
indépendante, en contrepartie d'une redevance, le droit de se présenter sous sa raison sociale ou sa marque
pour vendre des produits ou des services.
a) vrai
b) faux
27. La franchise s'accompagne généralement d'une assistance technique du franchiseur et d'une adhésion
totale du franchisé au concept de vente mis en place par le franchiseur.
a) faux
b) vrai
32. La sous-traitance correspond à un choix économique de production qui consiste, pour un donneur d'ordre
a confier totalement ou partiellement à une autre entreprise un certain nombre d'activités.
a) vrai
b) faux
34. Le sous-traitant doit réaliser le travail conformément au plan et spécifications précisées par le donneur
d'ordre dans un cahier des méthodes. Le donneur d'ordres précise au sous-traitant les spécifications du
produit et les normes à respecter.
a) vrai
b) faux
35. Le donneur d'ordre exerce fréquemment un effet de domination sur le sous-traitant : très souvent, le sous-
traitant n'a qu'un ou plusieurs clients dont chacun représente un fort pourcentage de son chiffre d'affaires.
a) vrai
b) faux
36. Si l'on considère que l'activité du sous-traitant est très spécialisée (ce qui l'empêche de s'orienter vers
d'autres débouchés), on peut être amené à constater la fragilité des entreprises qui sont dans cette situation.
La sous-traitance est donc source de vulnérabilité.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
STRATEGIE D'INTERNATIONALISATION
1. L'internationalisation est une stratégie de développement d'une entreprise en dehors de son marché
national. Elle peut s'exprimer :
2. Quelles sont les deux attitudes qu'une entreprise peut avoir face à l'internationalisation ?
a) attitude singulière
b) attitude d'ouverture
c) attitude d'attente
d) attitude défensive
e) attitude offensive
3. Une des raisons stratégiques de l'internationalisation est qu'elle permet de répartir les risques entre
plusieurs pays. Parmi les risques et motifs suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) conjoncture économique, variation monétaire (taux de changes flottants)
b) risque de dépendance (par la diversification géographique pour l'écoulement des produits ou
l'approvisionnement)
c) éliminer la présence d'intermédiaires et leur rémunération
d) concurrence (quelquefois moins forte sur les marchés extérieurs que sur le marché national)
e) phases du cycle de vie (un produit en phase de maturité sur le marché national peut être en phase de
croissance ailleurs)
4. De quels avantages l'implantation d'unités de productions dans les pays étrangers permet-elle de bénéficier
?
a) du bas niveau des salaires (d'une main-d'œuvre bon marché)
5. Une des raisons stratégiques de l'internationalisation est qu'elle permet de procurer des avantages
confidentiels.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
6. La baisse des coûts de production due à la délocalisation permet d'augmenter les ventes, donc de réaliser
des économies d'échelle au niveau de la production, des approvisionnements, de la mercatique, de la
recherche développement et des ressources financières. Qu'est-ce que des économies d'échelle ?
a) augmentation de coût de production unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité
de production
b) diminution de coût de production unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité de
production
c) diminution de prix de vente unitaire obtenues grâce à une augmentation des dimensions de l'unité de
production
d) augmentation de coût de production unitaire obtenues grâce à une diminution des dimensions de l'unité de
production
e) diminution de coût de production unitaire obtenues grâce à une diminution des dimensions de l'unité de
production
7. Certaines raisons de l'internationalisation sont liées au marché de base de l'entreprise. Parmi les motifs
d'internationalisation suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) Les conditions de production freinent la croissance et le profit
b) La concurrence est très limitée
c) L'existence de filiales de distribution
d) Saturation du marché national ou difficulté de gagner des parts de marché supplémentaires (situation
oligopolistique) donc besoin d'élargissement des marchés
e) La réglementation limite de développement de l'entreprise
9. Certaines raisons de l'internationalisation sont liées aux facteurs liés aux marchés étrangers. Parmi les
motifs d'internationalisation suivants, lequel ou lesquels acceptez-vous ?
a) saturation du marché national ou difficulté de gagner des parts de marché supplémentaires (situation
oligopolistique) donc besoin d'élargissement des marchés
b) la concurrence s'internationalise (ouverture des marchés, l'entreprise ne peut plus considérer son marché
national comme le seul marché, il faut occuper le terrain là où se trouve les clients mais aussi les concurrents)
c) les imperfections des marchés (l'entreprise peut être obligée de s'implanter dans un pays pour avoir le
droit d'y écouler sa production : réglementations tarifaires, administratives ou protectionnistes)
12. Comment évaluer la capacité concurrentielle de l'entreprise pour chaque pays dans lequel elle
souhaiterait s'implanter ?
a) par sa connaissance du marché du pays
b) par la connaissance des instances politiques et gouvernementales du pays
c) par sa maîtrise des arguments du plan de marchéage (prix, produit, distribution, communication) dans le
pays
d) par sa maîtrise des conditions d'offre dans le pays
e) par la connaissance de la culture du pays
14. Certains pays imposent des démarches administratives très lourdes pour protéger leurs entreprises
nationales en restreignant l'accès au marché. Peut-on considérer qu'il s'agit d'un risque fiscal ?
a) oui
b) non
15. QUEL PRODUIT CHOISIR ? L'entreprise doit-elle standardiser son produit ou doit-elle l'adapter ?
Avec quelle(s) affirmation(s) êtes-vous d'accord ?
a) si l'entreprise peut faire accepter des différents pays des produits peu différenciés : elle dégage
d'importantes économies d'échelle. ex. coca-cola, MacDo, jeans Levis, électronique grand public
(globalisation de la production)
b) dans certains cas, il y a une nécessité d'adapter le produit ou les techniques de commercialisation aux
spécificités de l'environnement. ex Danone vend ses yaourts à l'unité en chine, où ils sont consommés sur
place dans la rue. Ni des demandeurs, ni les ménages ne sont suffisamment équipés en réfrigérateurs pour
envisager les modes de distribution employés ailleurs. La texture et le goût ont également dus être adaptés
(localisation de la production)
c) il y a une nécessité d'adapter le produit ou les techniques de commercialisation aux spécificités de
l'environnement uniquement quand le régime politique du pays d'accueil l'impose.
17. Le choix du mode de pénétration résulte d'un compromis entre la recherche d'une plus grande maîtrise
des opérations et la nécessité de limiter les investissements requis.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
18. L'importance des ressources consacrées par l'entreprise définit les options possibles et le rythme de
développement international.
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
19. LES STRATEGIES D'EXPORTATION : quelles sont-elles, quels sont leurs objectifs ?
a) exportation directe pour maîtriser les débouchés
b) exportation filtrée pour choisir ses revendeurs et distributeurs
c) exportation contractuelle pour contrôler la diffusion
d) exportation concertée pour limiter les coûts et bénéficier de la compétence de partenaires
e) exportation indirecte pour limiter les risques
20. Les strategies d'investissement direct ou l'implantation a l'etranger : quels sont les objectifs recherchés ?
a) satisfaire la demande locale
b) augmenter les transactions sur les produits finis
c) matérialiser la présence de l'entreprise hors de son pays d'origine
d) assurer la sécurité des approvisionnements en matière première
21. Qu'est-ce qu'une société dont plus de 50 % du capital est détenu par la société mère et qui prend la
nationalité du pays dans lequel elle est implantée ?
a) une succursale
b) une filiale
c) une filière
d) une concession
e) une firme multinationale
23. A quel(s) type(s) d'entreprise (ou de firme) correspond la définition suivante : c'est le dernier stade de
développement international. C'est une entreprise dont l'activité s'exerce dans de nombreux pays et qui
poursuit une stratégie mondiale à partir d'un centre de décision unique.
a) entreprise multinationale
b) entreprise mondiale
c) entreprise transfrontalière
d) entreprise supranationale
e) entreprise transnationale
24. Quelles sont les caractéristiques des firmes multinationales (EMN ou FMN) ?
a) part des ventes réalisées sur le territoire national en priorité
b) nombreuses filiales à l'étranger
c) détention multinationale du capital financier
d) cotation des titres sur une seule place boursière (dans son pays d'origine)
e) organisation mondiale des activités (production, distribution...)
La stratégie est restée longtemps le domaine réservé des militaires. " la stratégie choisit le terrain, le moment
et les moyens à engager ". Dans les années 50, les gestionnaires ont introduit le concept de stratégie dans le
domaine des entreprises.
Les entreprises éprouvent de plus en plus de difficultés à maîtriser leur environnement. L'économie se
mondialise et la concurrence s'exacerbe au niveau international. C'est la raison pour laquelle les entreprises
modernes cherchent à anticiper et, quelquefois à influencer leur environnement. Pour cela, elles doivent
définir et appliquer des stratégies.
choix stratégiques décisions tactiques défensive diversification écrémage moyens matériels et humains
objectifs objectifs généraux offensives orientations de politique générale pénétration plan de marchéage
politique spécialisation stratégies
LA PLANIFICATION
La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet
d'_______________________________________________________ les situations futures. Planifier consiste à
_______________________________________________________ et à
_______________________________________________________.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier, c'est concevoir
un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en œuvre de stratégies et d'élaboration
de _______________________________________________________ destinés à les réaliser.
c) la _______________________________________________________ :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour l'élaboration de la
planification opérationnelle et des budgets.
d) la _______________________________________________________ :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement pouvant avoir un
impact sur l'entreprise. L'objectif est d'_______________________________________________________
importants qui auront une répercussion sur l'évolution de la firme.
Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le futur, trop de
formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des coûts importants,
_______________________________________________________.
Pourtant la planification a plusieurs intérêts. Elle oblige les dirigeants et le personnel à une réflexion
stratégique, elle permet de _______________________________________________________ et
d'_______________________________________________________. Elle permet aussi de rechercher la
meilleure utilisation des facteurs de production.
diagnostic plan opérationnel actions anticiper anticiper des difficultés futures anticiper les
changements budget budgets business plan choisir une ou des stratégies contrôle des réalisations
externe flexible formaliser leur mise en œuvre interne la planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité
l'audit le contrôle budgétaire le contrôle de gestion management par projet management stratégique
mesures correctives orientations générales plan opérationnel plan stratégique plan stratégique plans
d'activité prévision prévisionnelles programmes d'action programmes d'actions prospective
prospective réaction saisir des opportunités scénarios scénarios d'anticipation du futur veille
stratégique
Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont dû procéder à des
restructurations. Une trop grande _____________________________________ hétérogène de leur activité
(concentration _____________________________________) avait montré les limites de cette stratégie
(_____________________________________, _____________________________________...).
Les _____________________________________ sont essentiellement financières qui ont pour objet d'éviter
une crise de trésorerie et la mise en liquidation de l'entreprise.
Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la situation particulière
de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).
absence de synergie activités à risques conglomérale déficitaires dégagement dégager des liquidités
diversification endettement équilibre financier facteur de survie métier de base peu rentables plans de
réduction des coûts recentrage rentabilité restructuration sauver l'entreprise de la liquidation stratégies de
survie survie
LES CHOIX STRATEGIQUES : SPECIALISATION OU DIVERSIFICATION ?
3. La stratégie de spécialisation : l'entreprise approfondit son savoir-faire dans un domaine connu mais prend
le risque d'être plus vulnérable aux évolutions environnementales.
a) vrai
b) faux
4. La stratégie de diversification, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des domaines proches
a) vrai
b) faux
6. LA SPECIALISATION : définition ?
a) c'est la stratégie par laquelle une entreprise limite son activité à des produits fondés sur des technologies
multiples
b) l'entreprise concentre tous ses efforts sur un domaine d'activité particulier
c) l'entreprise cherche à atteindre le meilleur niveau de compétence possible et d'en faire un avantage
concurrentiel décisif
7. RAISONS DE LA SPECIALISATION ?
9. La spécialisation a pour objectif d'augmenter ses parts de marchés au détriment de ses concurrents : il
s'agit d'une stratégie offensive ou stratégie d'acquisition
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
10. Lorsque le métier de l'entreprise est en phase de déclin : elle doit chercher des segments encore rentables
a) je suis d'accord
b) je ne suis pas d'accord
11. Si le métier de base est encore rentable et a des perspectives d'évolution : l'entreprise doit adopter une
stratégie de diversification
a) je ne suis pas d'accord
b) je suis d'accord
12. A quelle(s) phase(s) du cycle de vie du métier la stratégie de spécialisation suivante est-elle adaptée ?
stratégie offensive (ou stratégie d'acquisition)
a) le démarrage
b) le déclin
c) la maturité
d) le décollage
e) l'expansion
a) cela consiste à ajouter des produits nouveaux aux produits actuels de l'entreprise
b) cela consiste à ajouter des métiers nouveaux aux activités actuelles de l'entreprise
c) l'entreprise cherche à multiplier les domaines d'activité sans liens particuliers entre eux
16. Lorsqu'une entreprise dégage des profits importants, elle peut en réinvestir une partie dans d'autres
activités qui lui permettront d'augmenter sa rentabilité : de quel type de diversification s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de redéploiement
c) diversification de placement
d) diversification de survie
e) diversification de subsistance
17. Certaines entreprises éprouvent le besoin de conforter leur position sur un marché instable notamment
dans des activités complémentaires : de quel type de diversification s'agit-il ?
a) diversification de confortement
b) diversification de placement
c) diversification de redéploiement
d) diversification de survie
18. L'entreprise s'oriente vers des secteurs plus porteurs pouvant assurer une reconversion de l'entreprise.
Les produits leaders perdront de leur importance au profit de nouvelles fabrications : de quel type de
diversification s'agit-il ?
a) diversification de placement
b) diversification de survie
c) diversification de confort
d) diversification de redéploiement
19. La diversification :c'est une stratégie très répandue car elle permet :
a) d'améliorer la rentabilité en prévenant le risque de déclin de la demande des produits habituellement
proposés par l'entreprise
b) d'atteindre la taille critique ou masse critique donc une position confortable sur le marché
c) d'améliorer la rentabilité en s'orientant vers de nouveaux marchés ou de nouveaux produits plus porteurs
d) de répartir et donc de réduire les risques liés à la conjoncture par des compensations entre produits ayant
des cycles différents
e) de créer des effets d'expérience grâce à la concentration des forces et des moyens de l'entreprise
1. Elle consiste à développer un avantage concurrentiel sur un petit nombre de segments ou sur un segment
unique. Elle vise à donner un avantage qui porte sur le prix et/ou sur une différenciation perçue commun
unique par cette cible restreinte. A quel(s) type(s) de stratégie correspond cette définition ?
a) stratégie de segmentation
b) stratégie de croissance interne
c) stratégie d'impartition
d) stratégie de spécialisation
e) stratégie de focalisation
2. La stratégie de focalisation correspond à la volonté de créer une (mot à trouver... ) sur le marché.
a) concentration
b) spécialisation
c) niche
d) segmentation
e) alliance
4. L'activité de l'entreprise peut se focaliser sur un type de clients. De quel type de stratégie s'agit-il ?
a) stratégie d'écrémage
b) stratégie de créneau
c) stratégie de marge
d) stratégie de niche
e) stratégie d'élargissement de gamme
5. L'activité de l'entreprise peut se focaliser sur un type de produits. De quel type de stratégie s'agit-il ?
a) stratégie de créneau
b) stratégie d'écrémage
c) stratégie de marge
d) stratégie de niche
e) stratégie d'élargissement de gamme
a) maîtrise un savoir-faire
b) souhaite éliminer la concurrence
c) ne dispose pas de moyens suffisants pour couvrir tout le marché
d) souhaite développer la recherche-développement
e) ne souhaite pas dépasser une certaine taille
7. L'entreprise qui adopte une stratégie de focalisation peut réussir à créer un avantage concurrentiel si :
a) Elle élimine les concurrents présents sur le marché sur lequel elle décide de se positionner
b) Sa présence sur un segment permet de mieux répondre à la demande (en terme de prix ou différenciation)
c) Elle passe des accords de coopération avec les concurrents présents sur son marché
d) Les coûts sont inférieurs à ceux nécessaires pour une non-focalisation
e) L'avantage procuré par la présence sur un seul segment est supérieur à celui qu'aurait procuré une
présence sur plusieurs segments
12. Les stratégies de niche et de créneau sont particulièrement adaptées aux (mot à trouver...) qui se
positionnent ainsi sur un segment stratégique.
a) artisans
b) PME
c) grandes entreprises
d) firmes multinationales
e) sociétés coopératives
13. De nombreux segments du marché sont ignorés par les grandes entreprises. La croissance interne est ainsi
possible pour des entreprises de petite taille spécialisées sur des segments particuliers de clientèle, ou (mot à
trouver...) ou (mot à trouver...) qui ne peuvent être couverts par les grandes entreprises. Retrouvez parmi les
propositions suivantes les 2 expressions manquantes.
a) des marchés dominés par les coûts
b) des marchés génériques
c) des créneaux de produits
d) des niches de marché
e) des filières
14. A quel terme correspond la définition suivante : elle a pour but de recentrer l'entreprise sur son activité
première afin de rédéfinir ses missions.
a) spécialisation
b) focalisation
c) impartition
d) segmentation
e) survie
15. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) affirmation(s) est(sont) adaptée(s) à la stratégie de niche ?
a) une niche est un micro-marché porteur sur lequel il existe une concurrence importante
b) lorsque des entreprises s'associent tout en restant indépendantes, il s'agit de stratégies de niches
c) une niche permet à l'entreprise qui s'y positionne de rentabiliser pendant un certain temps ses
investissements en l'absence de concurrents importants
d) l'avantage est de pouvoir pratiquer des marges élevées car l'offre est réduite
e) la stratégie de certaines entreprises consiste à occuper un monopole sur certaines niches
16. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) affirmation(s) est(sont) adaptée(s) à la stratégie de
focalisation ?
a) l'entreprise cherche à concentrer ses efforts sur un créneau porteur
b) l'entreprise a la volonté d'acquérir un avantage concurrentiel grâce aux prix pratiqués
c) l'entreprise tente de conserver son leadership sur le segment stratégique qu'elle domine et contrôle
d) l'entreprise cherche à concentrer ses efforts sur une niche unique objet de toute son attention
e) l'entreprise aspire au développement de son marché : extension du marché pour toucher une cible plus
large
1. (a) (c)
2. (a) (b) (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b)
6. (a) (b) (c)
7. (b) (c) (d) (e)
8. (a) (b)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (b) (c)
11. (a) (b) (e)
12. (a) (b) (e)
13. (a) (b)
14. (c)
15. (a) (d)
16. (a) (b)
L'ENTREPRISE CITOYENNE
L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.
L'entreprise doit apporter sa contribution au développement économique et social. Dans un contexte de crise
économique et d'intensification de la concurrence la première fonction de l'entreprise n'est- elle pas de
survivre et si possible de dégager du profit même si cette priorité s'exerce au détriment des salariés, clients ou
partenaires ? Cette vision traditionnelle est aujourd'hui remise en cause par de nombreux auteurs et les
problèmes d'environnement, d'exclusion, tout comme la persistance du chômage ont conduit à l'émergence
d'un nouveau concept : "la responsabilité sociale de l'entreprise".
De fait, il ne s'agit nullement de faire le procès de l'entreprise en tant qu'organisation ou agent économique.
L'objectif est de montrer que l'entreprise est citoyenne et que son rôle ne se limite pas à la création de
richesses et qu'elle doit, dans son propre intérêt et dans celui de la société, tenir compte de l'intérêt général
dans tout processus de décision et dans toute action entreprise.
Les rôles économique et social de l'entreprise ne sont pas dissociables. En fabriquant des biens et en
fournissant des services, elle procure des emplois à la population active et distribue des revenus. Elle organise
le travail humain en fonction des qualifications qui lui sont nécessaires : elle contribue donc à orienter la
formation des individus. Elle est également le principal centre d'innovation, entraînant le progrès technique.
Elles influencent plus ou moins sensiblement les besoins et les styles de vie par les publicités, les points de
vente, qui révèlent des besoins et en modifient la hiérarchie. Elles modèlent la vie des régions par leur secteur
d'activité, leur taille (aide au développement local…). Elles apportent une contribution à la résolution de
grands problèmes de société (lutte contre le chômage et l'exclusion…).
L'entreprise n'a plus pour seule finalité de satisfaire ses actionnaires, ses clients, ses salariés, elle doit
également se comporter comme le ferait un bon citoyen et faire preuve de solidarité. Elle est concernée par le
chômage, l'exclusion sociale, les problèmes de la région… et elle doit contribuer à trouver des solutions.
A ces rôles traditionnels, l'on peut ajouter de nouveaux rôles que se doit de tenir une entreprise qui se veut
citoyenne.
La responsabilité sociale de l'entreprise consiste à procurer du travail contre une rémunération des salariés
(donc il y a redistribution de la valeur ajoutée). Elle recouvre également la formation, il s'agit de former pour
préserver l'employabilité des salariés (adaptation, évolution des qualifications, plans de carrière...). On peut
aussi lui reconnaître un nouveau rôle social. Celui d'insérer : on parle alors d'insertion dans la société par la
reconnaissance sociale, l'épanouissement personnel et professionnel, l'aide aux travailleurs en difficulté, aux
handicapés, aux chômeurs de longue durée.
Créatrice de marchés nouveaux : dépollution, recyclage des matériaux (le décret d'avril 1992 sur le recyclage
des emballages est une contrainte légale), nouveaux matériaux…
Source de préoccupations par les risques potentiels que toute activité fait courir à l'environnement :
pollution, destruction de la couche d'ozone par les CFC (chlorofluorocarbones), effets négatifs de certains
produits chimiques (CFC, engrais, pesticides…)
L'entreprise qui n'intégrera pas les préoccupations écologiques dans sa réflexion risquera de se heurter aux
réactions agressives d'une partie de ses clients et de l'opinion publique (produits bio, refus des OGM..). Au
contraire, celle qui en aura conscience et trouvera des solutions au-delà de ce que la loi exige, se créera une
image d'entreprise citoyenne toujours positive (ex. Leclerc qui a incité les consommateurs à utiliser des sacs
réutilisables et a développé une campagne de communication sur ce thème).
Elle a également un rôle primordial à jouer concernant l'aménagement du territoire. Il faut éviter que des
zones se désertifient alors que d'autres deviennent des zones urbaines trop denses. Les entreprises
bénéficieront donc d'incitations fiscales pour s'installer dans les régions menacées d'exode ou seront
pénalisées en cas d'installation dans des endroits trop urbanisés.
Sa responsabilité culturelle n'est pas à négliger pour organiser des manifestations culturelles en partenariat
avec les grands acteurs culturels (opéras….) ou promouvoir les arts et les lettres (restauration de monuments,
conservation du patrimoine…).
Traditionnellement, on oppose le parrainage qui met en oeuvre des techniques de communication agressives
destinées à améliorer la notoriété de l'entreprise et le mécénat qui vise plutôt à agir dans le sens d'une
meilleure insertion de l'entreprise au sein de son environnement. Le mécénat fait appel à des techniques plus
douces et conduit l'entreprise à soutenir essentiellement des projets culturels.
L'entreprise influence donc la société et aujourd'hui elle est considérée comme étant un agent économique
socialement responsable : on parle d'entreprise citoyenne. Ainsi l'entreprise citoyenne se sent concernée par
les grands problèmes économiques et sociaux de notre temps et contribue à leur solution. Elle doit en
particulier agir contre le chômage, l'exclusion sociale et même le retard de développement du tiers monde.
En définitive, l'entreprise citoyenne est celle qui place l'intérêt de l'être humain devant toute autre
préoccupation. L'entreprise doit être au service de l'homme et non le contraire.
On parle de la responsabilité sociétale de l'entreprise qui concilie son intérêt et celui de la société.
L'ENTREPRISE ET L'ETHIQUE
L'entreprise, acteur économique fondamental de la société libérale, s'est progressivement muée en acteur
social et politique. Les années 90 ont vu l'apparition de l'éthique d'entreprise et de l'entreprise citoyenne.
L'éthique est-elle une nouvelle idéologie ? Est-ce une nouvelle mode managériale ? Est-ce un enjeu réel ou un
plan de communication de plus ?
L'éthique des affaires est une "réflexion sur les pratiques d'affaires dans lesquelles sont impliquées les
valeurs des individus, des entreprises et de la société". Il ne s'agit pas seulement d'interdits à respecter (abus
de position de force…) mais de valeurs positives à promouvoir (ex. transparence de l'information, respect des
salariés…).
Définition de l'EBEN (European Business Ethic Network) : "L'éthique n'est pas un ensemble de principes
figés mais une ouverture d'esprit conduisant à la réflexion continue dans la recherche du bien (commun et
individuel)".
Déontologie : c'est l'ensemble des règles qui régissent le fonctionnement et les pratiques d'une profession
(codes de déontologie).
L'éthique recense les principes généraux de l'entreprise et la déontologie les comportements à adopter
concrètement.
Tom Watson qui fonda IBM en 1914 préconise une charte d'éthique sur les bases suivantes :
· Respect de l'individu au sein de l'organisation
· Le service à la clientèle est un gage de qualité
· La perfection
Donc une culture d'entreprise basée sur l'éthique.
L'ETHIQUE EN PRATIQUE :
INTERETS DE L'ETHIQUE
C'est devenu une obligation car l'image ternie des entreprises doit être revalorisée (abus de biens sociaux,
fraudes, délits d'initié, respect des salariés…) et les modifications de l'environnement l'imposent (pouvoir des
consommateurs, interventions des écologistes et des syndicats…).
- devenir une entreprise éthique se justifie à des fins de stratégie commerciale et communication externe :
c'est un vecteur stratégique de la communication d'entreprise (être en phase avec le client, restaurer un
climat de confiance afin d'optimiser les relations commerciales…)
- c'est un instrument d'amélioration des performances de l'entreprise (donner une dimension plus motivante, source
d'innovation et de modernisation, assurer une meilleure cohésion du personnel…)
LES STRATEGIES DE CROISSANCE : caractéristiques et directions de la croissance
D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (_______________________________________) qui ont
habituellement un effet plus immédiat.
A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un _______________________________________ à partir duquel elle bâtit sa
réflexion stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible
Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être _______________________________________, c'est-à-dire non seulement
adaptée au scénario auquel on croit, mais aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se
produiraient des évènements importants (le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).
1. (a) (b)
2. (a) (b)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (b) (e)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (c)
8. (d)
L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.
La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.
Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.
D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.
La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.
Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).
Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).
La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)
A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible
Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).
1. (d)
2. (b)
3. (a) (b)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a) (b) (e)
9. (a) (b) (c)
10. (a) (c)
11. (a) (c)
DECISION ET POUVOIR
1. (a) (c)
2. (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b) (c)
6. (a) (b)
7. (a) (b) (e)
8. (a)
9. (b) (c)
10. (a) (b) (e)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
INFORMATION ET PRISE DE DECISION
1. (a) (b)
2. (a) (b)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b) (c)
7. (b)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a)
16. (a) (b) (c)
17. (d)
18. (a) (b) (c)
STRUCTURES D'ENTREPRISES
1. (c) (e)
2. (a)
3. (b)
4. (b)
5. (b)
6. (a) (c)
7. (a)
8. (a)
9. (a) (b)
10. (a)
La structure d'une organisation est l'ensemble des dispositifs par lesquels une entreprise répartie, coordonne
et contrôle ses activités.
Chaque entreprise est amenée à se poser la question souvent : quelle structure choisir ? Afin d'effectuer son
choix, elle doit tenir compte de sa spécificité, de son histoire, de sa culture, de sa taille. Elle doit prendre en
compte différents critères.
Pour Henri FAYOL l'unité de commandement est indispensable. La structure hiérarchique repose sur le
principe d'unicité de commandement : chaque salarié ne dépend que d'un seul chef. Elle a été directement
calquée sur la hiérarchie militaire. Cette structure est simple, mais trop rigide, particulièrement pour les
grandes entreprises.
La structure fonctionnelle, préconisée par TAYLOR, défend au contraire le principe de pluralité des
supérieurs hiérarchiques pour un même salarié : l'autorité est divisée par fonction, ce qui peut poser des
difficultés de coordination des activités.
La structure hiérarchico-fonctionnelle conduit à partager l'autorité entre des chefs opérationnels qui
commandent, et des chefs fonctionnels, qui conseillent.
Les structures décentralisées (par produit, secteur...) se caractérisent par une autonomie de chaque division
de l'entreprise.
La décentralisation implique un partage du pouvoir. Elle a pour but d'apporter une réponse rapide à un
problème local. Exemple: Nestlé, "un esprit mondial, un engagement local".
Préconisée par GALBRAITH au début des années 70, la structure matricielle est parfaitement adaptée au
changement. Elle part du principe que chaque salarié dépend simultanément d'un chef de produit et d'un
responsable fonctionnel.
Les structures tayloriennes ne considèrent l'ouvrier ou l'employé que comme un exécutant alors que les
formes organisationnelles plus récentes cherchent, au contraire, à stimuler la participation, l'implication, les
idées des participants.
Les structures classiques ressemblent à une pyramide par le grand nombre de niveaux hiérarchiques.
Inspirées du modèle militaire : découpage des tâches très poussé (parcellisation des tâches), responsabilités
précises, circuits d'information essentiellement par la voie hiérarchique.
Les structures plates ou horizontales développent : l'esprit d'équipe, la responsabilisation, les relations moins
hiérarchisées, le raccourcissement du processus de décision, la motivation, la diffusion des informations à
tous les niveaux, le passage d'une logique de poste à une logique de compétence.
D'après la théorie de la contingence : il n'existe pas de structure universelle mais, au contraire, la structure
doit être adaptée aux particularités de la situation de l'entreprise : sa taille, sa stratégie, son
environnement,etc. L'entreprise est ainsi soumise à différents facteurs qui influencent sa structure.
La technique : il existe des structures adaptées à chaque technologie (ex. production en petites séries,
production en masse). En modifiant l'accès à l'information, les technologies de traitement et de transport de
l'information (internet, réseaux informatiques) remettent en cause toutes les structures d'organisation.
L'environnement : il est changeant, l'entreprise doit changer sa structure en fonction de celui-ci (ex.
aujourd'hui, il faut réagir vite face aux marchés -mondialisation, ouverture des frontières, concurrence
accrue - donc structure décentralisée)
L'âge : effet d'expérience risque d'entraîner un effet de pesanteur. Quand l'entreprise vieillit, le changement
est difficile à mettre en oeuvre
La stratégie : quand on a une stratégie, il faut modifier la structure pour l'appliquer mais la structure de
l'entreprise doit aussi être prise en compte dans l'élaboration de sa stratégie.
Il n'y a pas une structure meilleure que d'autres, optimale, mais des structures satisfaisantes, à un moment
donné dans un contexte donné et pour une entreprise donnée.
La gestion de projet est mise en oeuvre par une équipe pluridisciplinaire. Elle remet en cause le principe de la
division fonctionnelle du travail : l'organisation n'est pas linéaire et rigide, mais au contraire, tous les
éléments sont en interaction et en relation.
La structure par projet essaie de répondre aux objectifs de flexibilité et de réactivité nécessaires dans le
contexte actuel.
Il s'agit de regrouper en équipes des personnes en fonction de leurs compétences pour un programme donné,
pour une durée déterminée, quelle que soit leur position hiérarchique et leur rattachement à une fonction. Un
chef de projet, autonome, est responsable de l'équipe qui disparaît avec la réalisation du projet. L'objectif est
de décloisonner pour réaliser un objectif commun.
Devant leur perte d'efficacité, leur manque de flexibilité et de réactivité, certaines grandes entreprises
centralisées sont réorganisées en petites unités et une partie du pouvoir de décision a été transférée aux unités
et cadres opérationnels. Pour être encore plus efficace, la décentralisation des pouvoirs s'accompagne de la
mise en place de liens transversaux.
Aujourd'hui, la structure interne d'une entreprise doit pouvoir évoluer rapidement afin de s'adapter aux
changements de son environnement, aussi les hommes sont appelés à travailler en équipes évoluant et se
recomposant en permanence. D'où la nécessité du décloisonnement et de la transversalité et l'apparition de
structures en réseau.
De nouvelles formes d'organisation interne de l'entreprise sont ainsi apparues :
- structure plate : diminution du nombre de niveaux hiérarchiques
- pyramide inversée : des clients opérationnels (ex. un atelier de fabrication, un réseau de vendeurs...) vers la
direction
L'entreprise se structure maintenant en fonction du marché.
pyramide inversée : il s'agit plutôt d'une nouvelle manière de penser les relations de travail dans l'entreprise
pour améliorer l'efficacité, la productivité et la flexibilité. L'adoption de ce type de structure correspond
souvent à la nécessité d'organiser l'entreprise dans un souci d'orientation des actions en fonction des
impératifs du marché. La pyramide inversée est donc une organisation fondamentalement anti-taylorienne.
On trouvera donc beaucoup moins de niveaux hiérarchiques, le travail se fera en équipe et on cherchera à
responsabiliser les individus et à mieux reconnaître leur travail.
La pyramide inversée apparaît donc très efficace pour mobiliser la créativité dans la mesure où elle se fonde
sur une meilleure prise en compte du facteur humain dans l'entreprise.
Les multiples partenariats, alliances, coopérations ou franchises développés par les firmes conduisent à
envisager l'entreprise comme une "entreprise-réseau". Il s'agit d'une stratégie de "maillage" qui permet à
l'entreprise de rester centrée sur son métier, et de confier une partie de son activité à des partenaires
extérieurs avec lesquels elle constitue peu à peu un réseau.
Ce processus est favorisé par les progrès de circulation de l'information (réseaux informatiques, EDI,
internet).
Les réseaux d'entreprises existent sans liens capitalistiques (ex. fusion, prise de participation) nécessaires
mais aussi grâce à l'EDI, aux autoroutes de l'information qui permettent de modifier totalement les relations
fabricant/fournisseur/client.
Les structures deviennent plus adaptables (ex. notion d'entreprise virtuelle, exemple du e-commerce).
REMARQUE : le "reengineering"
Analyse menée au sein d'une organisation afin de repenser sa structure et son fonctionnement en fonction des
processus nécessaires à son activité. Ce n'est pas un nouveau modèle de structure ou une amélioration ponctuelle
mais une refonte complète de l'organisation pour améliorer la qualité, le service et réduire les coûts.
L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE
L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier les ressources existantes dans
l'entreprise qui pourront être comparées à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou étude de processus doit également s'interroger sur le
potentiel d'évolution des ressources.
Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité
Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.
Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de qualité)
- à une évaluation des compétences de son personnel : définition des tâches à effectuer, quelles sont les
compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du taux de rotation du personnel, du
nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation
A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.
Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la gestion prévisionnelle de l'emploi et de
compétences
de l'entreprise.
La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur l'étude de financement du développement de
l'entreprise :
- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement (fonds propres ou
endettement)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (bénéfice, taux de marge, capacité d'autofinancement) doit également être
étudiée puisqu'elle contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable l'étude de la solvabilité et de la liquidité
Définition : souplesse d'une firme. Capacité à s'adapter aux évolutions externes sans crise majeure.
L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'adaptabilité de son organisation et la fluidité de ses ressources
humaines et matérielles.
En développant sa flexibilité et sa réactivité, elle cherche à réduire l'impact d'un événement, son délai de
réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.
La réactivité, c'est la capacité de la firme à reconfigurer en temps réel ses ressources afin de faire face aux
changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un système de veille afin de pouvoir suivre les évolutions
de
l'environnement, et la conception d'un système de production flexible afin de pouvoir s'adapter au plus vite
aux évolutions.
Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations décentralisées avec peu de niveaux hiérarchiques.
LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL
a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)
- La flexibilité de l'emploi : ajustement des effectifs selon les variations conjoncturelles de la demande ;
réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La flexibilité des horaires : aménagement du temps de travail pour répondre aux besoins (horaires
journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La flexibilité des rémunérations : individualisation des rémunérations pour tenir compte de la concurrence
et des performances individuelles (surtout pour les cadres)
b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays
L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité
1. (b)
2. (a)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (c) (d)
5. (a) (b)
6. (d)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a) (b)
17. (a)
18. (c)
19. (a)
20. (b)
21. (a) (c) (d)
22. (a) (b) (c)
23. (a) (b)
24. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE PRODUCTIVE : les modes de production
1. (a)
2. (a) (b) (c)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a)
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b)
16. (a) (b) (c)
17. (b)
L'ACTIVITE PRODUCTIVE :
l'évolution de la production : qualité, flexibilité, productivité
1. (b)
2. (a)
3. (a) (b) (c)
4. (a) (c) (d)
5. (a) (b)
6. (d)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a) (b)
17. (a)
18. (c)
19. (a)
20. (b)
21. (a) (c) (d)
22. (a) (b) (c)
23. (a) (b)
24. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES D'APPROVISIONNEMENT
1. (a)
2. (a) (c)
3. (a)
4. (b) (d)
5. (a)
6. (a) (b)
7. (a)
8. (b) (c)
9. (a) (b)
10. (a) (b)
11. (a)
12. (a)
13. (a) (b) (c)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a)
17. (a) (b) (c)
18. (a)
19. (a) (b)
20. (a) (b)
21. (a) (c) (e)
22. (a) (b) (c)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIVITES DE LOGISTIQUE
1. (d)
2. (c) (d)
3. (a) (b)
4. (a)
5. (a)
6. (b) (c)
7. (a)
8. (a) (b)
9. (a) (b)
10. (a) (b) (c)
11. (a) (b) (e)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : les choix financiers
1. (a) (c)
2. (a) (c) (d)
3. (a)
4. (a)
5. (a) (b) (e)
6. (a)
7. (a) (b) (c)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a)
12. (a) (c)
13. (a) (b) (e)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
L'ACTIVITE FINANCIERE : l'équilibre financier
1. (a)
2. (a) (b)
3. (a)
4. (a)
5. (a)
6. (a)
7. (a) (b) (d)
8. (a)
9. (a) (e)
10. (a)
11. (a) (b) (c)
12. (a)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a)
16. (a) (b) (d)
17. (a)
18. (a) (c)
19. (a) (b)
20. (a) (b)
21. (a)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA MERCATIQUE (ESPRIT ET DEMARCHE)
1. (b) (d)
2. (b)
3. (a) (c)
4. (a) (b)
5. (a) (b) (d)
6. (a) (b) (d)
7. (a) (e)
8. (a) (b)
9. (a) (b) (e)
10. (a) (b)
11. (b) (c)
12. (a)
13. (a) (e)
14. (a) (b)
15. (a) (b)
16. (a)
17. (a)
18. (c)
19. (a) (b)
20. (a) (d)
21. (a) (b)
22. (a) (b) (d)
23. (a) (b)
24. (a) (b) (c)
25. (a) (c) (d)
26. (a) (b) (c)
27. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le prix
1. (b) (c)
2. (c)
3. (b) (c) (d)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (d)
7. (a)
8. (a)
9. (a)
10. (a)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b) (d)
15. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : le produit
1. (a)
2. (b) (c) (d)
3. (b) (c)
4. (a)
5. (c)
6. (a) (b) (d)
7. (a) (b)
8. (a) (b)
9. (a) (b)
10. (a) (b)
11. (a) (b)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (a) (c)
16. (a) (b)
17. (a) (b)
18. (a) (b)
19. (a) (b) (d)
20. (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : la communication commerciale
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LES ACTIONS MERCATIQUES : distribution, plan de marchéage
1. (a) (b)
2. (a)
3. (a)
4. (a)
5. (a) (b)
6. (a) (b) (e)
7. (a) (b)
8. (a) (b)
9. (a) (b)
10. (a) (b)
11. (a) (b)
12. (a)
13. (a) (b) (d)
14. (a) (b) (c)
15. (a) (b) (d)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH
1. (b)
2. (b) (c)
3. (a) (c)
4. (a) (b) (c)
5. (a)
6. (b)
7. (a) (b)
8. (b) (c) (e)
9. (a) (c)
10. (a)
11. (a) (b)
12. (b) (c) (e)
13. (a) (b)
14. (a) (b)
15. (b)
16. (a) (c)
17. (a) (b)
18. (a) (b)
19. (a)
20. (a) (b)
21. (a) (c)
22. (a) (c) (e)
23. (a)
24. (a) (b)
25. (a) (b) (c)
26. (a) (b) (d)
27. (a) (b)
28. (a) (b)
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES :
les fondements de la GRH - la GPEC
ECONOMIE D'ENTREPRISE
LA PRATIQUE DE LA GRH : le dialogue social
1. (b)
2. (a) (b)
3. (a) (b) (d)
4. (b) (c)
5. (b) (c) (d)
6. (a) (b) (c)
7. (a) (b)
8. (a) (b) (c)
9. (a)
10. (b) (c)
11. (b) (d)
12. (a) (b)
13. (a) (b)
14. (a) (b) (e)
15. (a) (b) (d) (e)
16. (a)
17. (a)
18. (a) (b)
19. (a) (b)
ANALYSE CONCURRENTIELLE
La réflexion stratégique reste avant tout une affaire d'intuition et de logique mais il n'en demeure pas moins
qu'il existe des outils d'aide à la décision très efficaces dans ce domaine.
L'analyse concurrentielle constitue, avec l'analyse technologique et l'analyse organisationnelle un de ces
outils.
L'analyse concurrentielle constitue un élément essentiel de l'analyse stratégique. Centrée sur les rapports
entre l'entreprise et ses marchés, ses concurrents et ses clients, l'analyse concurrentielle consiste à
appréhender les activités stratégiques de l'entreprise de manière à faciliter la formulation des options
stratégiques possibles.
Pour Michael Porter la stratégie a pour objet de déceler les voies et les moyens que l'entreprise doit mettre en
oeuvre pour s'assurer un avantage concurrentiel défendable sur longue période. Il est donc nécessaire
d'étudier l'univers concurrentiel de chaque secteur d'activité intéressant l'entreprise.
Certains modèles d'analyse sont très connus. Un cabinet de consultants américains a élaboré une méthode
d'analyse de ces domaines d'activités fondée sur une représentation graphique. Il s'agit du modèle du BCG
(Boston Consulting Group) : analyse des activités de l'entreprise en termes de "portefeuille d'activités".
Le portefeuille d'activités est l'ensemble des domaines d'activités sur lesquels agit l'entreprise.
Les "dilemmes" : il s'agit des secteurs dont la croissance est forte. Cette croissance est, toutefois, conditionnée
à des investissements très importants, notamment en marketing, recherche-développement et production.
Les "vedettes" : les produits "vedettes" connaissent une forte part de marché ; ce sont donc également des
domaines à croissance forte qui permettent de dégager d'importantes liquidités (permettant ainsi de
pratiquer une politique d'autofinancement pour les nombreux investissements encore nécessaires au
développement de ces produits).
Les "vaches à lait" : les "vaches à lait " correspondent aux domaines d'activités qui sont parvenus à un stade
de maturité. La rentabilité des produits "vaches à lait" est très forte mais, peu à peu la croissance de la
demande ralentit et les investissements deviennent faibles. Par ailleurs, un domaine d'activité ne peut rester
éternellement "vache à lait", à plus ou moins long terme, l'entrée d'un domaine dans cette catégorie laisse
présager la phase de déclin.
Les "poids morts" : ce sont souvent d'anciens produits "vaches à lait". On désigne sous cette appellation les
activités condamnées à disparaître car devenues inutiles pour l'avenir de l'entreprise. Leur contribution à la
croissance est, bien entendu, totalement nulle.
Après examen du portefeuille de domaines d'activités, il sera donc possible de formuler un diagnostic sur la
situation de l'entreprise en termes de forces et de faiblesses. C'est l'analyse des déséquilibres qui révélera les
faiblesses de l'entreprise.
Autre modèle : le modèle du cycle de vie des produits qui est devenu un véritable classique.
A partir du moment où l'on part de l'hypothèse qu'un produit vit, cette vie sera différente pour chaque
produit. Les différentes phases que l'on distingue, à savoir le lancement, le développement (ou croissance, ou
expansion), la maturité et le déclin doivent être adaptées pour chaque type de produit analysé.
La phase d'études se caractérise par des investissements très importants en recherche-développement, une
concurrence nulle ou quasiment nulle, la stratégie adoptée est donc une stratégie de développement.
La phase de lancement se caractérise, au contraire, par la nécessité de procéder à des investissements en
communication et par une stratégie d'implantation. L'avantage concurrentiel est ici obtenu par l'innovation.
La phase d'expansion nécessite des investissements en capacité dans la mesure où la concurrence s'exacerbe,
il s'agit alors d'adopter une stratégie de croissance.
La phase de maturité impose des investissements en productivité en raison des innovations possibles de la
concurrence et de manière à maintenir un avantage concurrentiel par rapport à des produits innovants
nouvellement apparus sur le marché. Il s'agit ici d'une stratégie d'adaptation.
La phase de déclin implique la mise en oeuvre d'une politique de désinvestissement dans la mesure où la
concurrence s'exerce sur des produits de substitution. Il s'agit donc d'une stratégie de désengagement.
Un bref rappel : on parle de "métier d'une entreprise" lorsque l'on évoque l'ensemble des compétences
qu'elle met en oeuvre et qu'elle combine pour servir des marchés.
On parle d'effet de synergie lorsque le regroupement de deux activités permet d'obtenir un résultat supérieur
à la somme des résultats que fourniraient ces deux activités séparément.
Comme il est coutume de le dire, en matière de synergie, 1+1 peut être égal à 10.
Les entreprises recherchent des synergies de manière à augmenter leur efficacité donc leur compétitivité. Les
stratégies d'impartition (stratégies de partenariat et d'alliance) ou les stratégies de rapprochement ont pour
but de créer des effets de synergie.
La masse critique se définit comme le la taille optimum que doit avoir une entreprise d'une branche donnée, à
un moment précis, afin de prospérer sur un marché.
ANALYSE CONCURRENTIELLE
1. (a)
2. (b)
3. (a)
4. (c)
5. (b)
6. (c) (d)
7. (a)
L'ANALYSE ORGANISATIONNELLE
L'analyse organisationnelle consiste à détecter, dans le potentiel de ressources de l'entreprise, ses points
faibles et ses points forts.C'est l'ensemble des méthodes permettant d'étudier les ressources existantes dans
l'entreprise qui pourront être comparées à celles des concurrents.
Le potentiel de ressources détermine la compétitivité de l'entreprise. Destinée à la prise de décisions
engageant le long terme, l'analyse organisationnelle ou étude de processus doit également s'interroger sur le
potentiel d'évolution des ressources.
Il faut donc :
- Inventorier les ressources
- Évaluer ces ressources
- Apprécier la compétitivité
Chaque ressource ne peut être considérée isolément car les ressources sont complémentaires.
Critère qualitatif : identification des temps d'arrêt, pannes des machines, attentes d'outils et de pièces,
volume de pièces défectueuses (notion de qualité)
- à une évaluation des compétences de son personnel : définition des tâches à effectuer, quelles sont les
compétences
requises pour effectuer ces tâches ? le personnel possède-t-il ces compétences ?
- à une évaluation des comportements : étude du taux d'absentéisme, du taux de rotation du personnel, du
nombre de
conflits et de jours de grève
- à une évaluation des résultats en matière de formation
A long terme, l'entreprise cherche à adapter son potentiel humain, en nombre et en niveau de compétences,
aux besoins nécessaires pour mettre en oeuvre une stratégie.
Elle va optimiser les ressources existantes par la promotion interne, la formation et la communication interne
ou bien avoir
recours au recrutement ou à des licenciements. Ceci s'intègre dans la gestion prévisionnelle de l'emploi et de
compétences
de l'entreprise.
La dimension financière dans l'analyse stratégique repose sur l'étude de financement du développement de
l'entreprise :
- L'étude de l'endettement : fournit de précieuses indications sur les formes de financement (fonds propres ou
endettement)
qui s'offrent à l'entreprise
- La rentabilité de l'entreprise (bénéfice, taux de marge, capacité d'autofinancement) doit également être
étudiée puisqu'elle contribue également au financement de la croissance
- Les ralentissements de l'activité économique (phases de récession ou de stagnation) placent la survie de
l'entreprise au
centre des préoccupations des dirigeants et rendent indispensable l'étude de la solvabilité et de la liquidité
Définition : souplesse d'une firme. Capacité à s'adapter aux évolutions externes sans crise majeure.
L'entreprise a besoin de flexibilité afin de répondre aux modifications de l'environnement pour assurer le
maintien de ses
objectifs. Elle obtient de la souplesse par l'adaptabilité de son organisation et la fluidité de ses ressources
humaines et matérielles.
En développant sa flexibilité et sa réactivité, elle cherche à réduire l'impact d'un événement, son délai de
réponse à cet
événement et le coût de cette réponse.
La réactivité, c'est la capacité de la firme à reconfigurer en temps réel ses ressources afin de faire face aux
changements de
son environnement. Cela nécessite la mise en place d'un système de veille afin de pouvoir suivre les évolutions
de
l'environnement, et la conception d'un système de production flexible afin de pouvoir s'adapter au plus vite
aux évolutions.
Pour faire face aux changements, l'entreprise doit être organisée selon une structure simple : mise en place
d'organisations décentralisées avec peu de niveaux hiérarchiques.
LA FLEXIBILITE DU TRAVAIL
a) Flexibilité quantitative : évaluer le degré de flexibilité sociale dont dispose la firme pour faire face aux
variations conjoncturelles de l'activité (variations saisonnières, pointes ou réductions de l'activité)
- La flexibilité de l'emploi : ajustement des effectifs selon les variations conjoncturelles de la demande ;
réduction des effectifs résultant des gains de productivité
- La flexibilité des horaires : aménagement du temps de travail pour répondre aux besoins (horaires
journaliers variables, annualisation du temps de travail)
- La flexibilité des rémunérations : individualisation des rémunérations pour tenir compte de la concurrence
et des performances individuelles (surtout pour les cadres)
b) flexibilité qualitative :
- La mobilité des individus : changement d'emploi, de qualification professionnelle, de région, de pays
L'ANALYSE TECHNOLOGIQUE
L'analyse technologique : c'est l'ensemble des méthodes permettant d'évaluer le potentiel technique d'une
entreprise, son savoir-faire, son positionnement technologique, sa capacité de recherche et d'innovation. C'est
l'évaluation de la position de l'entreprise face aux nouvelles technologies tant au niveau des produits que du
processus de production.
PORTER a montré que le potentiel de performance d'une technologie suit une courbe en S en fonction des
ressources investies.
Un processus de production, fondé sur une technologie particulière, est caractérisé par un cycle de vie
technologique :
- La mise au point : elle exige de forts investissements en recherche développement
- L'industrialisation : c'est la maîtrise technologique, importants gains de productivité
- La maturité technologique : stabilisation des procédés et des coûts
A chaque stade, il faut une stratégie adéquate ce qui veut dire que l'entreprise doit savoir gérer les ruptures
entre 2 technologies (quand une technologie 1 arrive à maturité, elle est remplacée par une technologie 2) :
est-il justifié de continuer à investir ou
est-il préférable d'investir dans des technologies de substitution émergentes ?
En effet, la technologie devient un des fondements essentiels de la compétitivité ; c'est pourquoi elle
représente pour l'entreprise
un axe primordial de sa stratégie. Les analyses financières et mercatiques ne suffisent plus à la firme pour
définir sa stratégie.
Le couple produit -- marché qui a longtemps servi de clé d'analyse pour définir les axes stratégiques doit être
complété par une composante technologique. Aujourd'hui, c'est plutôt le vecteur Technologie -- Produit --
Marché qui doit permettre d'appréhender
la structure des marchés et les stratégies des firmes présentes sur ce marché.
La prévision technologique constitue un exercice désormais obligatoire pour définir les stratégies.
Le cabinet Arthur D. Little propose une répartition des technologies en trois grandes catégories :.
- Les technologies de base.
- Les technologies clés.
- Les technologies émergentes.
.
- Les technologies de base sont des technologies dont l'entreprise a la maîtrise mais dont la concurrence a
également la maîtrise. Leur impact concurrentiel n'est donc pas très significatif.
- Les technologiques clés sont celles dont l'entreprise a la maîtrise mais pas la concurrence. Leur impact
concurrentiel est, bien entendu, beaucoup plus fort que celui des technologies de base. L'avantage qui en
résulte pour l'entreprise est certain.
- Les technologies émergentes sont des technologies en développement appelées à remplacer à terme les
technologies clés.
Le cycle de vie des technologies se caractérise donc par une transformation des technologies émergentes en
technologies clés
et une transformation des technologies clés en technologies de base.
L'entreprise cherche donc à gérer les innovations actuelles et potentielles en améliorant, en enrichissant, en
protégeant son patrimoine technologique.
La fonction MRT (Management des Ressources Techniques) pourrait permettre d'optimiser, d'enrichir et de
protéger ce potentiel technologique.
Traditionnellement, l'on distingue 2 types d'innovations : innovation de produits et innovation de procédés en
leur affectant un but économique différent - l'amélioration de la productivité est obtenue par une innovation
de procédé et l'élargissement des biens offerts sur le marché correspond à une innovation de produits.
L'innovation doit donc être intégrée à l'entreprise grâce à la Recherche-Développement qui est une fonction
vitale pour la compétitivité. La RD a pour but la mise en place d'une nouvelle méthode de fabrication ou
l'élaboration d'un prototype.
L'enrichissement et la protection du patrimoine technologique de l'entreprise peut mettre en oeuvre :
- la veille technologique : surveillance de la concurrence
- la sauvegarde et protection des innovations à l'aide des brevets
Pour définir sa stratégie technologique, l'autre grande question à laquelle doit répondre une firme est de
savoir si elle doit rechercher ou non une avance technologique.
En effet, la décision d'innover donc de procéder à des investissements coûteux en recherche-développement
n'est pas toujours
très opportune. Il est parfois plus judicieux d'adopter une "attitude de suiveur" que de prendre un risque en
cas d'échec de l'innovation.
En d'autres termes, faut-il être l'initiateur d'une innovation dans l'une ou l'autre des activités créatrices de
valeur ou faut-il
attendre que d'autres aient lancé cette innovation ?
En terme d'image de marque, la stratégie d'innovation est certainement la meilleure. Par contre, la stratégie
de "suiveur" est incontestablement plus pertinente pour tirer profit de l'expérience de ceux qui ont pris de
l'avance. En bref, il vaut mieux parfois imiter pour éviter des investissements coûteux en recherche-
développement ou pour mieux s'adapter aux besoins réels du client.
Classiquement, l'entrepreneur doit opter pour un objectif de productivité lié à une production en série
homogène, ou pour un
objectif de souplesse permettant de répondre aux besoins précis de la clientèle.
Si bien qu'en période de saturation de la demande, les entreprises se trouvent face à deux contraintes
contradictoires : pour préserver ou accroître leur part de marché, elles cherchent à adapter leurs produits
aux désirs esthétiques ou techniques particuliers à certains clients mais cette recherche est contraire aux
principes de la production de masse qui privilégient les
séries longues.
Le conflit entre ces deux contraintes, adaptation à la demande et séries longues, commence à être
partiellement résolu avec
les techniques issues de l'électronique.
La technologie influe donc sur l'avantage concurrentiel quand elle joue un rôle important dans les coûts de
production ou la différenciation d'une firme par rapport aux autres.
En fait les relations entre la technologie et l'avantage concurrentiel sont réciproques.
La maîtrise d'une technologie peut assurer un avantage concurrentiel certain et l'avantage concurrentiel peut
favoriser
l'émergence de nouvelles technologies. Une sorte de cercle vertueux est ainsi mis en évidence.
L'entreprise est un système ouvert qui survit et se développe dans un environnement en constante évolution,
porteur de menaces et d'opportunités.
La connaissance de l'environnement constitue donc une étape essentielle dans la démarche du diagnostic
stratégique que toute équipe dirigeante effectue avant de formuler la stratégie d'ensemble pour l'entreprise.
Tous les facteurs externes à l'entreprise (externalités) qui l'influencent ou sont influencés par son action
constituent son environnement. L'entreprise doit donc analyser les variables-clés de son macro-
environnement car la concurrence est mondiale, et de son micro-environnement car la source de sa
compétitivité se situe au niveau local.
D'une façon générale, les mutations du macro-environnement affectent indirectement l'entreprise, à l'inverse
de celles qui touchent à son propre environnement (micro-environnement) qui ont habituellement un effet
plus immédiat.
La connaissance de l'environnement oriente donc les choix stratégiques. L'entreprise doit adapter sa stratégie
aux changements de réglementations techniques (normes européennes), écologiques (labels), commerciales,
fiscales (harmonisation de la TVA en UE) et sociales.
Il s'agit d'identifier les facteurs clés de succès : l'entreprise doit maîtriser l'évolution de ses facteurs clés
(transformation de l'environnement, actions de la concurrence).
Le benchmarking (ou étalonnage) contribue à réaliser un diagnostic de l'entreprise. Il s'agit de l'analyse des
performances de l'entreprise sur un facteur clé de réussite donné. C'est la recherche d'une base de
comparaison qui permettrait à l'entreprise d'améliorer ses performances (ex comparaison avec une
entreprise concurrente).
La veille stratégique recouvre l'ensemble des techniques mises en place par l'entreprise pour détecter, le plus
tôt possible, les signes précurseurs de changements importants de son environnement pouvant déstabiliser
son activité et permettre d'anticiper ainsi les risques. C'est le "radar" de l'entreprise. Quelques exemples :
- surveillance des besoins des clients : veille commerciale
- recherche d'informations sur les concurrents : veille concurrentielle
- recherche d'innovations, de nouveaux produits : veille technologique
- veille environnementale sur le web (cyber veille)
A partir des informations collectées, l'entreprise s'efforce d'obtenir une vision cohérente des enjeux futurs.
Pour ce faire, elle élabore un scénario d'évolution de l'environnement à partir duquel elle bâtit sa réflexion
stratégique.
Scénario : représentation cohérente et simplifiée d'un futur possible
Sa stratégie sera donc conçue en fonction du scénario auquel elle croit, en considérant les incertitudes qui
subsistent.
Une bonne stratégie doit être flexible, c'est-à-dire non seulement adaptée au scénario auquel on croit, mais
aussi susceptible de permettre de changer d'orientation au cas où se produiraient des évènements importants
(le scénario doit prévoir des solutions et options alternatives).
STRATEGIE D'INTERNATIONALISATION
1. (c) (d)
2. (d) (e)
3. (a) (b) (d) (e)
4. (a) (b) (d) (e)
5. (b)
6. (b)
7. (a) (d) (e)
8. (a)
9. (b) (c)
10. (b) (c)
11. (a) (b) (d)
12. (a) (c) (d)
13. (a) (b) (c) (d) (e)
14. (b)
15. (a) (b)
16. (b) (c) (d)
17. (a)
18. (a)
19. (a) (d) (e)
20. (a) (c)
21. (b)
22. (b) (c) (e)
23. (a) (e)
24. (b) (c) (e)
Les entreprises éprouvent de plus en plus de difficultés à maîtriser leur environnement. L'économie se
mondialise et la concurrence s'exacerbe au niveau international. C'est la raison pour laquelle les entreprises
modernes cherchent à anticiper et, quelquefois à influencer leur environnement. Pour cela, elles doivent
définir et appliquer des stratégies.
La réflexion stratégique consistera à déterminer clairement des objectifs et à formuler les stratégies à mettre
en oeuvre.
La stratégie sert à matérialiser les orientations de politique générale prises par l'entreprise. Au niveau
stratégique, les objectifs doivent être définis clairement avant de procéder à la formulation indispensable des
moyens matériels et humains à mettre en oeuvre.
Le terme politique désigne les orientations globales, les objectifs généraux pris par les entreprises au regard
de l'environnement dans lequel elles évoluent.
Les décisions tactiques correspondent en quelque sorte aux décisions de gestion courantes prises par
l'entreprise.
Il s'agit ici de la mise en oeuvre, au jour le jour, des choix stratégiques.
Les stratégies offensives ont pour but la croissance de l'entreprise et le développement de ses parts de marché
dans le but d'atteindre, si possible, une situation voisine de celle de monopole.
La stratégie peut-être offensive en terme de produits (lancement de nouveaux produits, création de nouvelle
gamme, etc.).
Théoriquement la stratégie défensive consiste à s'adapter aux circonstances ou à imiter les comportements
d'une entreprise dominante sur un marché. Cette stratégie a donc pour but de permettre à l'entreprise de
rester concurrentielle.
La stratégie de spécialisation est généralement liée à la maîtrise d'une technologie. L'entreprise approfondit
son savoir-faire dans un domaine connu mais prend le risque d'être plus vulnérable aux évolutions
environnementales.
La stratégie de diversification, quant à elle, consiste à élargir ses activités dans des domaines totalement
différents.
La stratégie de pénétration consiste pour l'entreprise à s'efforcer d'occuper une position dominante sur un
marché. L'entreprise analysera les éléments de son plan de marchéage (prix, produit, communication,
distribution) et les adaptera en fonction des objectifs qu'elle a déterminés.
La stratégie d'écrémage consiste à cibler une clientèle précise. Elle s'accompagne généralement d'une
stratégie d'hyper-spécialisation sur un produit ou un service déterminé
LA PLANIFICATION
La planification est un apport de souplesse dans la gestion de l'entreprise car elle permet d'anticiper les
situations futures. Planifier consiste à choisir une ou des stratégies et à formaliser leur mise en œuvre.
La planification est l'action qui marque la volonté de l'entreprise d'agir sur le futur. Planifier, c'est concevoir
un futur désiré et les moyens d'y parvenir. C'est un processus de mise en œuvre de stratégies et d'élaboration
de programmes d'actions destinés à les réaliser.
On distingue 2 types de plans. Le plan stratégique : concerne l'ensemble de l'entreprise, influence son
développement, définit les orientations générales (organisation, structure, activités), s'inscrit dans le moyen et
le long terme. Le plan opérationnel : précise les actions à entreprendre pour chaque fonction et service de
l'entreprise afin d'atteindre les objectifs prévus dans les plans stratégiques, concerne le court terme. Les
programmes d'action précisent les objectifs à atteindre, les actions à mettre en œuvre, les résultats à
atteindre, les planning de réalisation.
Les années 80 voient l'ère du management stratégique. L'entreprise doit développer une capacité de réaction,
le plan devient plus flexible. Il est plus en phase avec les besoins du personnel qui souhaite prendre part à la
définition et la réalisation de la stratégie.
L'élaboration du budget consiste à chiffrer les plans d'action en dépenses et recettes prévisionnelles pour
l'année à venir, correspondant à chaque unité opérationnelle ou fonctionnelle de l'entreprise (budget
publicitaire, d'investissement…).
c) la prévision :
C'est partir du passé et du présent pour explorer l'avenir. Elle est indispensable pour l'élaboration de la
planification opérationnelle et des budgets.
d) la veille stratégique :
C'est un système qui permet de repérer tous les signaux en provenance de l'environnement pouvant avoir un
impact sur l'entreprise. L'objectif est d'anticiper les changements importants qui auront une répercussion sur
l'évolution de la firme.
Différentes critiques sont émises vis-à-vis de la planification. Il est difficile d'anticiper le futur, trop de
formalisme dans la mise en place des plans peut entraîner des rigidités et des coûts importants, la
planification ne doit pas s'opposer à la flexibilité.
Pourtant la planification a plusieurs intérêts. Elle oblige les dirigeants et le personnel à une réflexion
stratégique, elle permet de saisir des opportunités et d'anticiper des difficultés futures. Elle permet aussi de
rechercher la meilleure utilisation des facteurs de production.
Aujourd'hui, on assiste à un renouveau de la planification grâce au management par projet qui permet de
définir le contenu technique du projet, le détail des coûts et des délais dans le cadre de l'enveloppe fixée dans
un cahier des charges, de déterminer les responsabilités et de contrôler et de mettre en place les outils de
contrôle de l'avancement du projet.
le contrôle de gestion : il permet de maîtriser la gestion d'une entreprise (dépenses, réalisations). Il peut
s'appuyer sur les budgets, la comptabilité générale et analytique.
le contrôle budgétaire : permet de suivre l'évolution des projets, de contrôler les écarts (entre objectifs
atteints et moyens utilisés) et d'entreprendre des actions correctives.
Les crises économiques ont dévoilé les faiblesses de nombreuses grandes entreprises qui ont dû procéder à des
restructurations. Une trop grande diversification hétérogène de leur activité (concentration conglomérale)
avait montré les limites de cette stratégie (absence de synergie, endettement...).
Une réorganisation s'imposait pour améliorer la rentabilité. Elle s'est souvent traduite par un recentrage des
activités de ces entreprises sur leur métier de base. La technique utilisée est simple, il s'agit de vendre des
actifs généralement déficitaires ou peu rentables (locaux, entreprises sans rapport avec le métier de base...),
afin de dégager des liquidités qui seront réinvesties dans son activité d'origine.
Ainsi, en se désengageant d'activités à risques, peu rentables, déficitaires, voire excédentaires mais éloignées
de son métier d'origine, l'entreprise assure le redémarrage de secteurs qu'elle connaît parfaitement. Leur
maîtrise lui assurera des parts de marché plus importantes.
La stratégie de survie repose sur un constat d'échec économique et sur le risque de voir l'entreprise
disparaître. Il ne s'agit plus d'élaborer des stratégies de développement de son activité mais tout simplement
de sauver l'entreprise de la liquidation. Pour y parvenir, le chef d'entreprise mettra en oeuvre tous les
moyens dont il dispose.
Elle consiste donc à engager des actions de redressement de façon à rétablir l'équilibre financier et la
structure financière de l'entreprise (plans de réduction des coûts, compression des effectifs...).
Les stratégies de survie sont essentiellement financières qui ont pour objet d'éviter une crise de trésorerie et
la mise en liquidation de l'entreprise.
Ainsi le dégagement de certaines activités pourra lui procurer les fonds nécessaires à une restructuration. Des
alliances judicieuses ou des contrats de partenariat avec des entreprises financièrement saines ou avec
d'autres voulant bénéficier de son savoir-faire dans tel ou tel domaine assureront la pérennité de son
entreprise. Si la situation financière de l'entreprise le lui autorise, une diversification généralement tournée
vers des produits proches pourrait lui permettre de pénétrer des marchés porteurs vers lesquels elle orientera
ses activités. Une politique de gamme bien ciblée peut être un facteur de survie non négligeable.
Bien évidemment, l'ensemble de ces stratégies seront ou non réalisées en fonction de la situation particulière
de chaque entreprise (taille, notoriété, possibilités de financement).
1. (e)
2. (c)
3. (b) (c) (d)
4. (b)
5. (d)
6. (a) (c) (e)
7. (b) (d) (e)
8. (a) (c) (d)
9. (a) (d) (e)
10. (c)
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