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Institut numerique

INTRODUCTION
GENERALE
admin 11 ans ago

0. I. PROBLEMATIQUE

La problématique selon
Rayon QUIVY et Luc
COMPENHAUDT est « une
question de départ par
laquelle le chercheur tente
d’exprimer le plus
exactement possible ce qu’il
cherche à savoir, à élucider,
à mieux comprendre » (1) et
Marie Fabienne Fortin
ajoute qu’elle est « une
interrogation explicite
relative à un domaine que
l’on désire explorer en vue
d’obtenir de nouvelles
informations ».

L’éradication de la pauvreté
en Afrique subsaharienne
reste aujourd’hui l’un des
défis majeurs de la
communauté internationale.
Ces vingt-cinq dernières
années, le nombre de
pauvres a doublé, passant de
150 à 300 millions de
personnes dont la moitié
survit avec moins d’un dollar
par jour (L’Afrique solidaire
et entrepreneuriale, la
renaissance du mouvement
coopératif africain).
L’Afrique a besoin
d’entrepreneurs et de
capitalistes africains
prospères afin de tirer la
croissance de l’innovation et
de la productivité nécessaire
pour une réduction à long
terme de la pauvreté. Alors,
cette dernière reste encore
une préoccupation des pays
et des organismes
internationaux. C’est
pourquoi, à travers les OMD,
les nations unies se sont
engagées à réduire, de
moitié, l’extrême pauvreté
jusqu’à 2015(2).

En effet, la RDC émerge de


plus de 15 années de guerre,
marquées de désordres
civils, d’une inflation
vertigineuse et de crises
économiques. Bien que le
pays soit encore confronté à
des obstacles sérieux, il a
accompli récemment des
progrès non négligeables.
Sur le plan économique,
l’inflation a été maîtrisée et
le taux d’expansion de
l’économie est supérieur à 6
% depuis 2004 et sur le plan
politique, la première
élection présidentielle
démocratique s’est tenue en
2006. Le pays a également
relancé depuis 2001, la
coopération avec les
institutions de Bretons
Woods à travers la mise en
place des programmes
économiques suivis par les
services du FMI et appuyés
par la Banque mondiale et
les autres partenaires au
développement. Grâce à
cette assistance des réformes
économiques ont été initiées
dans les différents secteurs
de l’économie y compris le
secteur financier(3).
En effet, étant l’un des pays
le plus pauvre d’Afrique, la
République Démocratique
du Congo est aussi frappée
par une pauvreté absolue,
généralisée et même
multisectorielle. A sa
situation déjà précaire sont
venus s’ajouter l’échec des
programmes de stabilisation
et d’ajustement structurel
des années 1990, ensuite les
guerres de 1996 et de 1998,
avec les déplacements
massifs des populations
rurales vers les grands
centres, ont aggravé d’un
coup la pauvreté et la misère
de la population.

Toutefois, en dépit de toutes


les potentialités que regorge
la RD Congo sur tous les
plans, richesses naturelles
du sol et sous-sol, richesses
humaines, c’est-à-dire les
capacités intellectuelles,
l’esprit d’initiative, de
créativité et les capacités de
gestion, sa population vit
dans des conditions
infrahumaines. (4)

Néanmoins, malgré tous les


efforts conjugués par le
gouvernement, par son canal
de son programme de
reforme du secteur financier
national, de faire jouer à cet
important secteur de
l’économie son véritable rôle
dans le financement de la
croissance et de lutte contre
la pauvreté, le système
bancaire connaît toujours un
problème de
dysfonctionnement de la
fonction d’intermédiaire
financier en termes de
financement de crédit à
moyen et long terme (5).

La province du Sud-Kivu
n’est pas épargnée par tout
ce fléau économique connu
par l’ensemble du pays. Plus
particulièrement, au niveau
local, le territoire de Fizi
plus vaste que celui de
KABARE, la pauvreté résulte
du faible rendement des
activités socio-économiques
notamment l’agriculture,
l’élevage, la pêche
industrielle, l’artisan, le petit
commerce, l’éducation, la
santé, etc. Cette précarité
des conditions de vie devrait
attirer l’’intervention des
institutions d’appuis au
développement local entre
autres les organismes de
micro-finances afin de
mobiliser l’épargne et
d’octroyer de microcrédits à
cette couche sociale
abandonnée par les
institutions financières
classiques (6).

Outre les facteurs signalés


ci-haut, on peut également
souligner l’absence totale des
intermédiaires financiers
chargés d’offrir les services
financiers de faible montant
(microcrédit) à tous ceux qui
en ont besoin.

Ensuite, l’accès aux crédits et


ou aux facteurs de
production l’une des
conditions efficaces à
l’insertion des pauvres dans
le circuit économique reste
encore utopique à FIZI, le
principal moyen qui
permettrait de résoudre ce
problème consisterait à
mettre sur pied une
institution de micro-finance
dans la politique de favoriser
la circulation des capitaux à
l’intérieur du territoire
national.

Eu égard à ce qui précède,


cette étude vise à déterminer
le choix technique et
économique optimal et
proposer les solutions mieux
adaptées pour juguler le
problème de la population.

C’est ainsi que nous


essayerons de répondre tout
au long de ce travail à la
question centrale suivante :

– Est-ce que ce projet est


financièrement et
économiquement faisable ?
– Quel est son apport sur les
conditions socio-
économiques de la
population locale ?
0.2. HYPOTHESES

Selon Alain BIROU,


l’hypothèse est «une
supposition de quelques
notions qui ne sont pas
actuellement prouvées et sur
lesquelles on fonde un
raisonnement ou un
développement » (7). Quant,
à MACE, l’hypothèse peut,
être envisagée comme étant
« une réponse anticipée que
le chercheur formule, à sa
question spécifique de
recherche » (8).

En effet, l’activité de micro-


finance serait faisable en
territoire de Fizi car on
observe une forte demande
et on sent la nécessité de
services financiers dans ledit
territoire. Cependant,
l’exploitation de ce secteur
d’activité dans ce dit
territoire contribuerait à
l’amélioration des conditions
de vie de la population.

0.3. CHOIX ET INTERET


DU SUJET
Le choix porte à ce sujet est
dicté par le fait que tout au
long de notre formation
universitaire, nous avions
appris qu’il serait noble de
devenir non pas quémander
l’emploi mais plutôt créateur
pour notre indépendance ou
notre épanouissement
personnel.

En effet, l’intérêt pour ce


travail s’inscrit dans le cadre
de permettre à tout
investisseur ou entrepreneur
jadis craignait d’investir à
Fizi, désiré de se lancer dans
les activités de micro-finance
de prendre une décision
rationnelle.

Néanmoins, ce projet
permettra aussi au territoire
de Fizi de se doter d’une
institution de micro-finance
capable de répondre aux
attentes des agents
économique en offrant des
services financiers adaptés à
leur besoin et de lutter
contre la pauvreté.
0.4. DEFINITION DES
OBJECTIFS

0.4.1. Objectif global

– Lutter contre la pauvreté


extrême de la population
locale

0.4.2. Objectifs spécifiques

– Accroître les revenus des


agents économiques
exerçant les activités dans ce
territoire ;
– Améliorer les conditions
de vie de la population ;
– Renforcer la capacité des
agents économiques à
exercer leurs activités de
manière optimale et
rationnelle ;
– Faire familiariser la
population locale à l’usage
des services financiers ;
– Accroître les recettes de
l’Etat.

0.5. ETAT DE LA
QUESTION

L’état de la question est


définit par WRIGHT MILLS
comme « tout travail, tout
choix d’études et des
méthodes en sociologie,
suppose une théorie du
progrès scientifique » (9).
Tout progrès scientifique est
cumulatif, il n’est l’œuvre
d’un homme, mais une
quantité de gens qui
révisent, qui critiquent, qui
ajoutent et élaguent. De ce
fait, il faut associer son
travail à ce qui a été fait et à
ce qui se fait. Il le faut pour
dialoguer, pour objectiver, il
faut annoncer ce qu’on a
observé de telle sorte que les
autres les vérifient.

Néanmoins, quelques
chercheurs ont effectués
leurs travaux sur ce secteur
que leurs travaux se
démarquent du notre. Nous
retenons particulièrement.

KALONDWA BASIMIKE
Claude (10) souligne ceci
dans son mémoire portant
sur « la faisabilité d’un
projet d’implantation d’une
unité de production des
bougies d’éclairage à Bukavu
» que la maîtrise et la
question de notre espace
physique, de nos ressources
humaines et financières,
axes centraux de la politique
de développement d’un pays
ou d’une région passe par la
promotion de la petite et
moyenne entreprise.

Son travail se démarque du


notre en ce sens que son
milieu d’étude est différent
du notre, puis il fait un
projet de production des
biens et non de services. En
plus, il ne fait pas ressortir
une analyse financière et
économique déterminant les
différentes rentabilités du
projet.

Pour cela, il ajoute qu’en


tenant compte des variations
de certains paramètres
économiques et de leurs
fluctuation, une façon de
gerber rationnellement les
incertitudes que cette étude
amène, à confirmer que le
projet ne serait plus rentable
sous l’hypothèse de la
réduction du prix de vente
unitaire d’une bougie
d’éclairage et l’augmentation
de salaire ainsi que les
charges sociales.

SALEH IDI Emmanuel (11) «


Projet de création d’une
banque du type Grameen au
sud Kivu », qui après avoir
constaté que les pauvres sont
pratiquement exclus des
institutions bancaires
traditionnelles, il propose la
création d’une banque du
type Grameen qui
s’adapterait mieux à
l’environnement du Sud-
Kivu. C’est une alternative
intéressante pour faire face
au problème de pauvreté, de
la jouissance des avantages
de microcrédits par une
grande partie de la
population défavorisée.
L’adhésion de groupe cible
est une stratégie primordiale
pour la bonne marche de
cette banque au Sud-Kivu.

Carine MUNGANGA
NAWEZA (12) « Projet de
valorisation d’une
exploitation agricole : cas de
la ferme LUSHOMBO », Son
étude s’intéresse au secteur
de l’élevage de bovin laitier.
La filière laitière de la ville
de Bukavu étant
traditionnelle, son mode
d’organisation le plus
souvent informel, évolue
dans un contexte difficile.
Elle analyse dans quelle
mesure la valorisation de la
production laitière actuelle
peut être menée afin d’en
augmenter le rendement. Au
bout de cette étude, elle
révèle que ce projet est
réalisable.

BURUME NSIMIRE
Guilaine (13), nous
démontre dans son « étude
de faisabilité d’un projet
d’implantation d’une unité
de production des sachets
plastiques à Bukavu » qu’il
se pose un problème lié à la
difficulté
d’approvisionnement en
sachets plastiques sur le
marché à Bukavu et il insiste
que ces produits ont toujours
été importés et parfois même
sans une grande valeur
qualitative. L’objet de son
travail étant d’analyser la
faisabilité de l’implantation
d’une unité de production
des sachets, elle montre
comment cette activité de
production des sachets serait
réalisable étant donné que
l’importance de la demande
et les quantités des sachets
importés et vendus. Son
travail ne présente pas les
mêmes réalités que le notre
car qu’il traite un projet à
caractère industriel. D’où le
marché est différent.

WILONDJA NYONGOLA
Bienfait (14), nous dit dans
son « étude d’implantation
d’une unité de fabrication
des chaussures hommes en
cuir dans la ville de Bukavu
» que compte tenu du relief
de Bukavu montagneux et le
climat de forte pluie, les
chaussures sont d’une
grande importance pour se
protéger contre la poussière,
la boue et autres micro-
organismes pouvant
occasionner un nombre de
maladies. Cependant, les
analyses faites dans ce
travail ne justifient pas la
réalité des choses car la
valeur actuelle nette qui
devrait être de 479876,53
USD au lieu de 364343,49
USD n’est pas le seul critère
de décision pour apprécier
un projet ensuite, il devrait
aussi vérifier le taux de
rentabilité interne par
rapport au taux interne
bancaire.

MUSHAGALUSA MIGABO
(15), dans son travail titré «
étude de faisabilité d’un
projet d’entreprise de
transport des briques : Axe :
Bukavu – Nyangezi »
démontre que le transport
en tant qu’acte économique
s’étend comme un service
qui crée une utilité dans le
temps et dans l’espace, par le
transfert physique des biens
et des personnes d’un lieu à
l’autre. Considérait cette
assertion, il y a lieu de
préciser que tout transport
en tant qu’offreur de servie
droit comme tout autre
producteur maximiser son
projet.

Il souligne qu’à Bukavu, il


observe deux faits : le
premier est la prolifération
des chantiers de
construction en matériaux
durables et la difficulté
d’approvisionnement en
brique, matériel de
construction principal. Ce
dernier étant des biens, est
dû à la rareté et ou à la
vétusté des camions de
transport des briques sur cet
axe : de plus, ceux qui
existent ont des capacités de
tonnage fort limités pour
fournir en briques tous le
chantier. D’où implanter une
entreprise de transport des
briques dans cet axe précité
serait une solution aux
problèmes dus à
l’approvisionnement en
briques.

0.6. METHODOLOGIE

Alain BIROU définit la


méthodologie comme étant «
une discipline qui réfléchit
au processus rationnel d’une
pensée méthodiques, elle
élabore les concepts de base
et les instruments rationnels
qu’une méthode doit
employer pour arriver à un
but (16). C’est donc
l’ensemble de méthodes et
techniques dont le bon usage
doit conduire à
l’organisation, a
l’interprétation et a
l’exploitation d’un tout
cohérant par la raison.

0.6.1. Méthode

Selon Madeleine GRAWITZ,


« la méthode est l’ensemble
des opérations intellectuelles
par lesquelles une discipline
cherche à atteindre les
vérités qu’elle poursuit, les
démontre et les vérifie. C’est
donc toute tentative
d’explication rattachée à une
théorie appliquée à la réalité
» (17).

0.6.1.1. METHODE DES


EFFETS

Elle nous a permis


d’analyser et de calculer
économiquement et de
mesurer l’intérêt du projet
du point de vue local, dans
les calculs qui sont
présentés, les avantages
relatifs au projet et les
rapprochés aux coûts. De ce
fait, cette méthode nous a
permis d’analyser certains
effets du projet sur la
collectivité en termes du
bien-être social et
économique.

0.6.2. Techniques

Pour récolter les données,


nous avons recouru à
l’observation participative, à
l’entretien, à l’enquête par
questionnaire et, à la
technique documentaire.

0.6.2.1. LA TECHNIQUE
D’OBSERVATION
PARTICIPATIVE

Elle nous a permis de vivre


seul le terrain, les
phénomènes que nous
visons à connaître ou à
étudier, c’est-à-dire à
participer aux événements
non en tant qu’un individu
isolé du groupe, mais en tant
que membre du groupe (18).
C’est grâce à notre présence
en territoire de Fizi durant
une période de treize ans.

0.6.2.2. LA TECHNIQUE
D’ENTRETIEN

L’entretien est une «forme


de communication établie
entre deux personnes ayant
pour but de recueillir
certaines informations
concernant un objet précis.
C’est donc « un procède
d’investigation scientifique
utilisant des informations
relative avec le but fixé (19).

Nous avons fait recours à


cette technique parce que
nous posions des questions à
nos enquêtés et y
répondaient
immédiatement.

0.6.2.3. LA TECHNIQUE
DOCUMENTAIRE

Le choix de l’utilisation de la
technique documentaire est
justifié selon Madeleine
GRAWITZ « parce qu’elle
permet au chercheur
d’analyser les réalités se
trouvant dans les documents
afin de compléter ce que l’on
trouve sur le terrain ». (20)

Cette technique nous a


permis aussi d’expliquer les
différentes sources écrites et
nous a aidés également
d’approfondir notre
réflexion sur les données
issues de l’entretien et de
l’observation.

0.7. DELIMITATION DU
SUJET
Notre travail est axé dans le
territoire de Fizi et porte sur
l’étude de faisabilité d’un
projet d’implantation d’une
institution de Micro finance.
Quant à la limitation dans le
temps, les données chiffrées
de 5 ans, nous servirons de
base des calculs projetés
dans le temps, les résultats
de ces calculs nous
permettrons de mener
l’étude de faisabilité du dit
projet sur une durée de 5 ans
(durée de vie du projet).

0.8. DIFFICULTES
RENCONTREES

Comme tout travail


scientifique, le notre n’a pas
été épargné par quelques
écueils. Lors de la sa
réalisation, nous nous
sommes heurtés à des
difficultés dont les
remarquant sont les
suivantes :

– le manque de
documentation suffisante
dans ce domaine spécifique à
la Micro Finance ;
– la réticence de certains
enquêtés lors de la récolte
des données sur le terrain
d’où il a fallu patienter en
passant de temps pour voir
si le questionnaire a été
complété ; donc la récolte
des informations n’était pas
aisée ;
– la réticence de certaines
institutions financières lors
de la récolte des
informations relatives à la
naissance de celles-ci d’où il
a fallu patienter en passant
de temps pour voir si on
peut être reçu ; donc la
récolte des informations
n’était pas aisée ;
– d’autres sont liées à la
distance entre le lieu du
travail et celui de récolte des
données. Compte tenu de
l’enclavement et de
l’immensité du territoire de
Fizi, nous étions obligés de
parcourir plusieurs
kilomètre à moto et d’autres
à pied et à vélo. Cependant,
nous étions exigés de
dépenser les ressources
financières.

0.9. SUBDIVISION DU
TRAVAIL

Hormis l’introduction et la
conclusion, le présent travail
comprend trois chapitres. Le
premier est consacré au
cadre théorico-conceptuel. A
son sein, nous définissons
les concepts, donnons aussi
les généralités sur
l’institution de Micro
Finance. Quant au second, il
est focalisé sur l’analyse
proprement dite du projet. A
son sein, nous donnons les
conditions juridiques,
présentons le territoire de
FIZI, présentation de l’IMF
et la matrice SWOT de l’IMF.
Quant au troisième chapitre,
nous traitons de l’analyse
financière, économique et de
sensibilité du projet.

1 R. Quivy et L.
Compenhaudt, cité par F.
DEPELTEAU, la démarche
d’une recherche en sciences
humaines : de la question de
départ à la communication
des résultats, Québec,
Agymynarquis, 2000, page
11, page 111.
2 ONU, l’Objectif du
Millénaire pour le
Développement.
3 Diagnostic du cadre
réglementaire et politique
sur l’accès aux services
financiers en République
démocratique du Congo.
5 RD Congo, Ministère du
plan, Idem.
6 RDC, DSCRP, Juillet,
2006, p. 16.
7 .A. BIROU, Dictionnaire
pratique de sciences sociales,
2eme édit des ouvriers,
Paris, 1968, page 163.
8 .MACE cité par
DEPELTEAU, Op.cit, page
163
9 MATAYABO, cité par
BIRINGANINE NKUNZI in
Analyse de l’efficacité
externe du système éducatif
en milieu rural : Cas de
l’institution technique
vétérinaire (ITV/MAKA),
Mémoire, UOB, FSEG, 2006,
p. 3
10 KULONDWA BASIMIKE,
Faisabilité d’un projet
d’implantation d’une unité
de production des bougies
d’éclairage à Bukavu, Inédit
mémoire, UCB, 2008,.
11 SALEH IDI Emmanuel«
Projet de création d’une
banque du type Grameen au
sud Kivu », mémoire, inédit,
UCB, 2004-2005
12 Carine MUNGANGA
NAWEZA« Projet de
valorisation d’une
exploitation agricole : cas de
la ferme LUSHOMBO »,
mémoire, inédit, UCB,
2008-2009.
13 BURUME NSIMIRE,
étude de faisabilité d’un
projet d’implantation d’une
unité de production des
sachets plastiques à Bukavu,
Inédit mémoire, UCB, 2004
– 2005.
14 WILONDJA NYONGOLO,
projet d’implantation d’une
unité de fabrication des
chaussures hommes en cuir
dans la ville de Bukavu,
Inédit mémoire, UCB, 2007
– 2008.
15 MUSHAGALUSA
MIGABO, étude de
faisabilité d’un projet
d’entreprise de transport des
briques : Axe Bukavu –
Nyangezi : Mémoire Inédit,
UCB , FSEG, 2008 – 2009.
16 .A. BIROU, op.cit, page
210, page 211
17 .M.GRAWITZ, Méthodes
des sciences sociales, paris,
Dalloz, 2000.page 351, page
352
18 M. GRAWITZ, Ibidem.
19 M. GRAWITZ, idem.
20 M. GRAWITZ, op.cit,
page 118

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d’implantation d’une
institution micro-finance en
territoire de Fizi : Cas de
BARAKA
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