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CONTRAT UNIQUE D’INSERTION (CUI)

(contrat de droit privé)

Entre les soussignés :

La commune / l’établissement de …………………………………………………………………


représenté(e) par M………………... agissant en qualité,…………………………………….

D'une part,

et

M ……………………………………………… né(e) à ………………………….. le


…………………………………………et demeurant à ……………………………………………,
le « co-contractant »;

D'autre part,

Vu le Code du travail ;
Vu la loi…………………………..

Il a été convenu ce qui suit :

ARTICLE 1 : OBJET
M …………………………………… est embauché par la ……………………………dans le
cadre d’un parcours emploi compétences en contrat d’accompagnement dans l’emploi
(CAE).

L’objet de ce contrat de droit privé est de favoriser le retour à l’emploi du co-contractant


rencontrant des difficultés particulières d’accès à l’emploi. Il est régi par les dispositions du
code du travail.

ARTICLE 2 : NATURE DE L’EMPLOI


Le co-contractant est embauché en qualité de …………………………………… (Qualification)
pour des activités répondant à des besoins collectifs non satisfaits, et sera chargé
notamment de :

- ……………………………
- ……………………………
(Décrire les missions et tâches confiées au salarié)

Il assurera ses fonctions sous l'autorité du directeur.

ARTICLE 3 : DURÉE
Le présent contrat de travail est conclu pour une durée déterminée du ……...
…………………………… au ……………………….

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(3 mois minimum / 9 mois maximum renouvellement inclus / dérogations possibles sous
conditions)

ARTICLE 4 : PÉRIODE D’ESSAI


Le présent contrat ne deviendra définitif qu’à l’issue de la période d’essai de ………… mois.
(Pour un CDD d'une durée supérieure à 6 mois : 1 mois maximum de période d’essai).

Pendant cette période, chacune des parties peut mettre fin au présent contrat sans
indemnité.

Toute suspension du présent contrat pendant la période d’essai prolongerait d’autant la


durée de cette période qui doit correspondre à un temps de travail effectif.

ARTICLE 5 : RÉMUNÉRATION
Le co-contractant est rémunéré sur la base du SMIC horaire au prorata du nombre d’heures
mensuelles effectuées. La rémunération évoluera en fonction de l’évolution du SMIC.
La rémunération est versée mensuellement.
ARTICLE 6 : COUVERTURE SOCIALE
Le co-contractant bénéficie du régime général de la sécurité sociale.

Il est affilié au régime de retraite complémentaire des salariés non titulaires des collectivités
territoriales.

ARTICLE 7 : DURÉE HEBDOMADAIRE ET HORAIRES DE TRAVAIL


Le présent contrat est un contrat de travail à temps plein/temps partiel, le co-contractant
effectue une durée hebdomadaire de service égale à ……. heures de travail effectif
(minimum 20 heures).

Les horaires du co-contractant sont les suivants :


- le …………..  de ……. heures à ………heures  et de ……….heures à
…………… heures
- le …………..  de ……. heures à ………heures  et de ……….heures à
…………… heures
- …

Le co-contractant et l’employeur sont d’accord pour modifier cette répartition des horaires à
l’initiative de l’employeur en cas de nécessité de service sans que cela ne constitue une
modification substantielle du contrat. Dans ce cas l’employeur s’engage à respecter un délai
de prévenance de 7 jours.

ARTICLE 8 : LIEUX DE TRAVAIL


Le co-contractant travaille dans les locaux de l'employeur situés …………….
………………………………………………

Le co-contractant pourra être amené à se déplacer en fonction des nécessités de service


liées à ses fonctions.

ARTICLE 9 : CONGÉS ANNUELS


Le co-contractant bénéficie en vertu des dispositions du Code du travail d’un droit à congés
payés dont la durée est déterminée à raison de deux jours et demi par mois de travail effectif.

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L’indemnité compensatrice de congés payés ne faisant l’objet d’aucune prise en charge par
l’Etat, la totalité des droits à congés du salarié devra être réalisée pendant la durée du
présent contrat.

Les dates de congés sont à définir en accord avec le responsable hiérarchique et selon les
nécessités du service.

ARTICLE 10 : CONGÉS MALADIE ET ACCIDENT DU TRAVAIL


En cas d’arrêt de travail pour maladie ou accident du travail, le co-contractant perçoit des
allocations journalières prévues par le régime général de la sécurité sociale ainsi qu’un
complément de rémunération à la charge de l’employeur dès lors qu’il justifie d’un an
d’ancienneté et des conditions posées du code du travail.

ARTICLE 11 : ACTIONS D’ACCOMPAGNEMENT ET DE FORMATION, TUTEUR ET RÉFÉRENT


Le co-contractant s’engage à suivre toutes les actions d’accompagnement, de formation, de
tutorat et de validation des acquis prévues et concourant à son insertion professionnelle.

A ce titre, il bénéficiera d’un accompagnement par M …………………………… référent


désigné par le directeur de l’entreprise et chargé d’assurer le suivi du parcours d’insertion
professionnelle, et par M …………………………………… tuteur désigné au sein de la
collectivité employeur.

ARTICLE 12 : PÉRIODES D’IMMERSION


Le cocontractant pourra réaliser des périodes d’immersion auprès d’un ou de plusieurs
autres employeurs.

Chaque période d’immersion, qui fera l’objet d’un avenant écrit au présent contrat, ne pourra
excéder une durée d’un mois. La durée cumulée de l’ensemble des périodes d’immersion
effectuées au cours du contrat d’accompagnement dans l’emploi ne pourra représenter plus
de 25 % de la durée totale du contrat.

ARTICLE 13 : SUSPENSION DU CONTRAT


Les cas de suspension du contrat de travail sont les mêmes que ceux prévus pour les
salariés de droit commun dans le cadre des dispositions du code du travail.

S’y ajoute la possibilité, à la demande du salarié, de suspendre le contrat afin de lui


permettre :
- d’effectuer une période d’essai afférente à une offre d’emploi visant une embauche à
contrat à durée indéterminée ou à durée déterminée au moins égale à six mois. En
cas d’embauche à l’issue de cette période d’essai, le contrat est rompu sans préavis.
- d’effectuer une évaluation en milieu de travail ou une action concourant à son
insertion professionnelle prescrite par le Pôle Emploi.

Toute suspension du contrat doit être impérativement signalée au la direction des ressources
humaines dans un délai de 7 jours maximum.

ARTICLE 14 : RUPTURE DU CONTRAT D’ACCOMPAGNEMENT DANS L’EMPLOI AVANT SON TERME


Le présent contrat de droit privé est régi par les dispositions légales et réglementaires
relatives aux contrats d’accompagnement dans l’emploi, par les dispositions du code du
travail et le cas échéant, par des dispositions conventionnelles applicables.

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A l’initiative de l’employeur : sauf accord des parties, le présent contrat de travail ne pourra
être rompu avant l’échéance du terme qu’en cas, de faute grave du salarié ou de force
majeure.

A l’initiative du salarié : le présent contrat de travail pourra être rompu à tout moment en vue
d’être embauché pour un contrat à durée indéterminée, pour un contrat à durée déterminée
d’au moins six mois ou pour suivre une formation conduisant à une qualification.

Le contrat peut également faire l’objet d’une rupture à l’initiative du salarié et de l’employeur
lorsque cette rupture résulte d’un accord clair et non équivoque entre les parties.

Toute rupture du contrat doit être impérativement signalée à la direction des ressources
humaines.

ARTICLE 15 : RENOUVELLEMENT DU CONTRAT


Après l’accord exprès de la direction des ressources humaines, le présent contrat peut être
renouvelé par écrit sans pouvoir excéder la durée maximale prévue le code du travail.

ARTICLE 16 : CONTESTATIONS
Les litiges relatifs à l’exécution du présent contrat de droit privé relèvent de la compétence du
conseil des prud’hommes territorialement compétent.

Fait à …………………
Le ………………………

Le co-contractant, Contractant

Nom, prénom, signature Nom, prénom, signature

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