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REPUBLIQUE DU BENIN

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA


RECHERCHE SCIENTIFIQUE

UNIVERSITE NATIONALE DES SCIENCES, TECHNOLOGIE,


INGENIEURIE ET DES MATHEMATIQUES

INSTITUT NATIONAL SUPERIEUR DE TECHNOLOGIE


INDUSTRIELLE

Département : Génie Civil

Suivi des travaux de construction d’un Bloc


Technique de Prise en charge de la Tuberculose
et de ses Comorbidités au Programme National
contre la Tuberculose (PNT)

Lieu de stage : Centre National Hospitalier de Pneumo-Phtysiologie


Lazaret d'Akpakpa - Cotonou

Rédigé par : Tuteur de stage :


KELOME S. Jordan C. Roland GNANSOU
Spécialiste Génie Civil

Année académique : 2019-2020

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REMERCIEMENTS

Mes remerciements vont à l'égard de Mr SANDA Rachidi, Directeur Général de


l’Entreprise ASSAWO BTP et de tout son personnel pour m’avoir donné l’opportunité
d’effectuer ce stage.
Je témoigne ma gratitude envers Mr ABOUDOU SANDA Saroukou A., mon tuteur
de stage.
Je suis aussi reconnaissant envers tous nos professeurs de l'Institut National de
Science de Technologie Industrielle (INSTI) pour leur enseignement, leur
disponibilité et leur assistance au cours de nos activités académiques.
Pour finir, je remercie mes parents et proches pour le soutien qu'ils m’ont apporté
tout au long de ce stage.

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SOMMAIRE

REMERCIEMENTS……………………………………....………...2
SOMMAIRE …………………………………………………………3
INTRODUCTION …………………………………………………...4
I- Présentation des structures……………………….…...5
1 – Présentation de la DGHC
2 – Présentation de SILCO Sarl
II- Présentation et déroulement du
stage………………..6
1) But du stage……………………………………………………
6
2) Présentation du
projet………………………………………...6
3) Etat des lieux du chantier en début de
Stage……………….6
4) Présentation des tâches effectuées sur le
chantier………..7
III- Bilan et difficultés…………………………………….…
11
1) Bilan ……………………………………………………….…
11
2) Difficultés et suggestions…………………………………..12
CONCLUSION …………………………………………….………
13
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES………………………..... i
ANNEXES…………………………………………………………...ii

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INTRODUCTION

Ce rapport a été rédigé dans l’objectif de la validation de notre première année


universitaire en Génie Civil à l'Institut National de Science de Technologie Industrielle
de Lokossa.
Notre stage académique s’est déroulé du 23 Juillet au 31 Août 2019 au sein de
l’Entreprise ASSAWO BTP. Ce stage nous a amené à observer et contrôler les
activités sur un des chantiers de l’Entreprise ASSAWO BTP en l’occurrence celui
concernant la construction d’un bâtiment R+2 à usage d’habitation sis à Abomey-
Calavi, Quartier Aïtchédji.
Dans ce document sont présentés sommairement les travaux ayant eu lieu sur le
chantier durant la période de notre stage.
Après une brève présentation de l’Entreprise ASSAWO BTP, nous vous ferons l’état
des lieux du chantier à notre arrivée puis les principaux travaux effectués durant
notre séjour. Nous ferons enfin un bilan de cette expérience ainsi que les difficultés
rencontrées sans oublier les suggestions que nous proposons afin de les résoudre.

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I - Présentation des structures
1- Présentation de la DGHC
2- Présentation de SILCO Sarl

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II - Présentation et déroulement du stage

1 - But du stage
L'intérêt de ce stage est de :

- préparer l'étudiant aux déroulements des travaux sur le chantier ;


- permettre à l'étudiant non seulement de développer un esprit critique sur la
réalisation d'un bâtiment mais aussi proposer des solutions à la résolution des
problèmes techniques ;
- développer chez l'étudiant des connaissances appliquées en la matière ;
- observer l'exécution des différentes lois qui régissent la construction d'un
bâtiment ;
- permettre à l'étudiant de se familiariser avec le monde professionnel.

2 - Présentation du projet

a) Fiche technique et Plan du chantier


Projet : Construction d’un bloc technique pour la prise en charge intégrée de
la tuberculose et des comorbidités
SIS A : PNT; Abokicodji; Akpakpa
Maitre d’ouvrage : Programme Nationale de lutte contre la Tuberculose
Architecte :
Bureau d’études techniques :
Date :

b) Matériels utilisés
 Les planches de coffrage
Les coffrages en bois sont utilisés pour le coffrage des semelles, poteaux, poutres,
longrines, etc…. Bien que les planches en bois soient légères et peu chères, elles
demandent un peu de temps pour leur mise en œuvre et peuvent être à l’origine de
certaines imperfections. Une fois le ferraillage mis en place, on coule le béton, on le
vibre à l’aide d’un vibreur et on décoffre une fois que le béton frai devient sec.
Les planches de bois utilisées ont 30cm de largeur ; 2,5 cm d’épaisseur et de 3 à 4
m de longueur.
 Vibrateur

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C’est un appareil qui produit des vibrations. La vibration du béton assure un bon
remplissage des coffrages et un bon enrobage des armatures tout en donnant au
béton sa compacité maximale.
 Bétonnière
C’est une machine qui assure le mélange des granulats, du ciment et de l’eau
de gâchage afin de préparer le béton liquide. La bétonnière utilisée sur le
chantier est une bétonnière à axe horizontal et à cuve basculante.

c) Matériaux utilisés
 Ciment
Le ciment utilisé est CEM 32,5R.

 Sables et gravier
Le sable utilisé est composé de petits grains et de peu de poussière. Les graviers
utilisés sont des graviers roulés dont les grains de riz et les gros grains.
 Poutrelles
Ce sont des petites poutres préfabriquées en béton armé ou précontraint. Ce sont
des éléments d’une série de poutres parallèles et régulièrement espacées formant
l’ossature d’un plancher.
 Hourdis
L’hourdis est une couche de remplissage de maçonnerie (aussi appelé entrevous)
utilisés pour la dalle.
 Agglos
Les agglos utilisées sont des parallélépipèdes rectangles. Elles sont montées à joints
de mortier épais pour réaliser des murs porteurs.
 Aciers
Les aciers employés sont de qualité haute adhérence Fe 400.

d) Moyens du Chantier
e) Hiérarchie du chantier
f) Réunions de chantier

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3 – Etat des lieux du chantier en début de Stage

4 - Présentation des activités effectuées


a) Implantation
L’implantation est l’opération qui consiste à reporter sur le terrain, suivant les
indications, d’un plan, la position de bâtiments, d’axes ou de points isolés dans un
but de construction ou de repérage.
Nous avons pu assister à l’implantation de deux semelles isolées S26 (X02;Y01-02)
220 x 220 x 50 ; S28(X02 ; Y08-11) 210 x 210 x 40. Nous avons su ici utilisés les
coordonnées des semelles données sur le plan de fondation pour implanter ces
semelles grâce à des chaises

b) Terrassement
Les travaux de terrassement désignent l’ensemble des opérations de mise en forme
d’un terrain liées à l’édification d’une construction (nivellement du sol, fouille pour
l’exécution des fondations).
A ce niveau nous avons principalement assisté aux fouilles pour la réalisation des
fondations (radier et semelles). Compte tenu de l’épaisseur de chaque fondation et il
faut fouiller jusqu’à 2,45m ; 2,2m; 2m en dessous du terrain naturel respectivement
pour le radier partiel 1, 2, et 3; la semelle S26 et la semelle S28.
Les déblais issues de ses fouilles ont étés utilisés comme remblai dans des salles
réalisées jusqu’au niveau du chaînage bas (0,51m au-dessus du terrain naturel) pour
le bâtiment en utilisant le compactage hydraulique pour chasser les vides et obtenir
une surface stable.

c) Fondations
Les fondations désignent les ouvrages enterrés sur lesquels repose une
construction. Les fondations assurent la stabilité du bâtiment. Elles transmettent au
sol le poids total de l’ouvrage en me répartissant de manière à garantir une assise
parfaite. On distingue deux principaux types de fondations selon la profondeur à
laquelle elles se situent : les fondations superficielles et les fondations profondes.
Les fondations du bloc technique, à construire, sont des fondations superficielles :
semelles isolées, semelles continue et radiers partiels.
Les semelles sont des éléments de fondation en béton armé ou non. La semelle
filante est située sous tous les murs porteurs : elle peut être renforcée par des
armatures si les charges qu’elle reçoit est importantes.

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La semelle isolée est une fondation située sous un poteau. Nous avons assisté à la
mise en œuvre des semelles S26 et S28.

Le radier est un système de fondation constituée d’une dalle épaisse en béton armé,
réalisé sous l’ensemble de la construction. On peut réaliser des
radiers partiels lorsque plusieurs poteaux sont concentrés dans une même zone.
Nous avons assisté à la mise en place du :
- radier partiel 1 (radier partiel situé en dessous du hall du RDC) : en utilisant
les coordonnées des poteaux représentés sur le plan de fondation, on
implante à l’aide des chaises la position de chacun des trois poteaux P3
(15x30), des deux poteaux P1 (15x15) et P2 (15x20), des deux poteaux P5
(30x30) et du poteau P7 (15x40). On implante par suite les points donnant la
forme du radier. On passe ensuite à la fouille jusqu’à la profondeur de 2,45 m.
On établit par suite le coffrage du radier. On coule le béton de propreté
dosé à 150 kg/m3 sur 5cm d’épaisseur. On met en place le ferraillage inférieur
du radier tout en mettant en place les distanciers pour l’enrobage des aciers.
Les poteaux sont disposés le long du ferraillage suivant les axes
d’implantations. Le ferraillage supérieur du radier est ensuite placé, il est
séparé du ferraillage inférieur par des chevaliers. On coule par suite le béton
de fondation dosé à 300 kg/m3 sur une épaisseur de 40 cm. On met en place
le coffrage des poteaux du radier après la prise du béton pour préparer leur
coulage.

- radier partiel 2 (radier partiel situé sur le côté sud-est de la surface de


construction) : en utilisant les coordonnées des poteaux représentés sur le
plan de fondation, on implante à l’aide des chaises la position de chacun des
trois poteaux P3 (15x30) et d’un poteau P4 (20x30). On implante ensuite les
points définissant la forme du radier. La fouille est effectué jusqu’à 2,45 m. On
établit par suite le coffrage du radier. On coule le béton de propreté dosé à
150 kg/m3 sur 5cm d’épaisseur. On place les distanciers de 5cm sous le
ferraillage inférieur avant de passer à la mise en place des poteaux suivant
leurs coordonnées. Les chevaliers sont placés avant de mettre le ferraillage
supérieur. On coule par suite le béton de fondation dosé à 300 kg/m3 sur une
épaisseur de 40 cm. On met en place le coffrage des poteaux du radier après
la prise du béton pour préparer leur coulage.

- radier partiel 3 (radier partiel situé sur le côté nord-est de la surface de


construction) : en utilisant les coordonnées des poteaux représentés sur le
plan de fondation, on implante à l’aide des chaises la position de chacun des
deux poteaux P5 (15x30). On implante ensuite les points définissant la forme
du radier. La fouille est effectué jusqu’à 2,45 m. On établit par suite le coffrage
du radier. On coule le béton de propreté dosé à 150 kg/m3 sur 5cm
d’épaisseur. On place les distanciers de 5cm sous le ferraillage inférieur avant
de passer à la mise en place des poteaux suivant leurs coordonnées. Les

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chevaliers sont placés avant de mettre le ferraillage supérieur. On coule par
suite le béton de fondation dosé à 300 kg/m3 sur une épaisseur de 40 cm. On
met en place le coffrage des poteaux du radier après la prise du béton pour
préparer leur coulage.

d) Chaînage et Longrine
 Les longrines
Les longrines sont des poutres en béton armé reposant sur des fondations
ponctuelles (plots, puits ou pieux) et supportant un voile de remplissage ou un mur
en maçonnerie.
Pour la mise en œuvre d’une longrine, il faut réaliser le ferraillage de celle-ci, le
mettre en place et la coffrer avant de couler le béton.
Le ferraillage est réalisé en respectant la disposition des différentes barres d’aciers
pour les armatures du béton. Le ferrailleur mesure la longueur de la longrine sur le
terrain et coupe les aciers en fonctionnant de la longueur obtenue. Une fois les
longrines mis en place entre les poteaux provenant des fondations. On vérifie la
position des aciers de renforts sur le plan de la longrine et on les attache ensuite à
l’intérieur au niveau du cadre de la longrine. La position des renforts d’aciers dépend
entre autres de la position des différentes poutres que relie la longrine. Lorsque ces
renforts sont placés ont met en place les distanciers pour respecter l’enrobage du
béton, le coffreur passe ensuite pour réaliser le coffrage en bois. Le béton coulé pour
les longrines est dosé à 350 kg/m3.
Parmi les activités réalisées au cours de notre stage nous avons pu participer au
ferraillage, coffrage et coulage :
- des longrines de fondations LG21 (15x20), LG22 (15x30), LG23 (15x50) en
dessous la cage d’escalier se situant au sud-est au niveau du plan du RDC.
- des longrines intermédiaires LGI14 (15x30), LGI15 (15x30), LGI16 (15x30) ,
LGI17 (15x30), LGI18 (15x30), LGI19 (15x30), LGI20 (15x30), LGI21 (15x30),
LGI22 pour le hall se situant au RDC

 Les chaînages
Le chaînage est un renfort continu en béton armé afin de rendre plus rigide une
construction en maçonnerie. Ils sont des éléments de liaison entre les différents
composants du gros œuvre (murs, planchers, poteaux). Ils servent à solidariser les
éléments verticaux (murs, poteaux) et horizontaux (planchers).
Après l’élévation des murs de soubassement, on effectue un chainage horizontal
appelé chainage bas qui ceinture le bâtiment. Les détails sur ce chainage ont été
inscrits sur les détails de structure : c’est un chainage de section (15x20).
Une fois les murs (pignons, façades et refends) montés jusqu’au niveau supérieur
des portes et fenêtres (2,61m au-dessus du terrain naturel), on réalise le chainage
linteau.
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e) Elévation des mûrs
Nous avons pu assister à l’élévation des murs de soubassement, de refend et des
pignons à l’aide d’agglos pleins de 40x20x15 solidarisés entre eux par des joints de
mortier de 2cm d’espacement en suivant un appareillage bien précis.

f) Poteaux
Ce sont des éléments porteurs chargés de reprendre les charges et surcharges
issues des différents niveaux pour les transmettre au sol par l’intermédiaire des
fondations.

g) Poutres
Les poutres sont des éléments porteurs horizontaux chargés de reprendre les
charges et les surcharges se trouvant sur les planchers pour les retransmettre aux
poteaux.

h) Puisards
Le puisard est un trou creusé dans le sol et rempli de pierres qui facilite l’infiltration
de l’eau dans le sol. Ils sont aussi assez souvent utilisés pour évacuer dans le sol les
eaux de pluies récupérées sur le toit afin d’éviter que le terrain soit gorgé d’eau
autour d’une construction après chaque pluie.
Les puisards réalisés sont des puisards de 2m de rayon et 3m de profondeur. Après
que la fouille est effectuée, on fait un montage circulaire d’agglos de 40x20x15 en
respectant les 4m de diamètre et on fait leur élévation sur 3m pour rejoindre le terrain
naturel.

i) Dalles
C’est un ouvrage porteur horizontal en béton armé ou précontraint, d'épaisseur faible
par rapport à ses autres dimensions, formant un plancher ou un dallage selon le type
d'appui.

j) Voiles

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III - Bilan et difficultés
1) Bilan
Ce stage a été pour nous de confronter nos connaissances techniques avec la réalité
sur le terrain.
Nous avons entre autres pu comprendre le mode opératoire général de la mise en
œuvre d’un élément de structure en béton armé qui s’effectue en 3 étapes (le
ferraillage, le coffrage et le coulage) :
 Le ferraillage des éléments de structure en béton armé est précisé dans les
détails des pièces graphiques. Ce dernier renseigne sur l’espacement entre
les cadres ; la présence d’épingle ou d’étrier ; l’enrobage ; le type d’acier
(haute adhérence, ronds lisses) ; le diamètre des barres d’aciers à utiliser ; la
position des différents des barres de renforts ; ainsi que les dimensions de
l’élément. Une fois le ferraillage réalisé, il faut mettre en place les distanciers
pour respecter l’enrobage de futures armatures.

 Le coffrage est réalisé avec des planches en bois mises en œuvre en fonction
de l’élément porteur à couler. Les planches en bois doivent épouser la forme
de l’élément désiré. Il faut s’assurer de la rectitude du coffrage pour que
l’élément reste dans son axe et supporte convenablement les charges
exercées sur elle.

 Le béton à couler se fait suit un dosage précis qui est indiqué dans les fiches
techniques. On doit arroser le coffrage pour permettre au béton de glisser
correctement. Une fois le coulage achevé on utilise le vibrateur à béton pour
assurer une bonne compacité du béton.
Nous avons aussi pris connaissance de certaines techniques utilisés en génie civil
pour suivre les travaux accomplies :
 L’usage du niveau d’eau permet de marquer une même altitude sur différents
éléments. Cette technique est en fait une application des propriétés
physiques des fluides (comme l’eau) en utilisant un tuyau rempli avec de
l’eau et en plaçant un bout au niveau voulu tout en variant la position du
second bout jusqu’à trouver l’altitude voulue sur ce dernier.

 La lecture des plans de fondations, de ferraillage, des longrines et des


poutres pour s’assurer de l’exécution des différents éléments en conformité
avec les plans consultés.

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 L’établissement de l’avant-métré pour savoir la quantité de matériaux
nécessaire pour la réalisation d’un ouvrage

 L’établissement du taux d’avancement des travaux pour suivre l’évolution du


chantier (le taux de travaux effectués). Il permet ainsi de détecter la
progression du chantier dans ses différents secteurs par rapport au planning
d’exécution des travaux.

 Les dispositions constructives concernant les fenêtres pour réaliser un


chainage allège qui est en fait une poutre en béton armé d’une épaisseur de
10 cm pour éviter la formation de fissure dans le mur au cours du temps à
cause de la baie pratiqué dans le mur.

 La prise du niveau d’un élément en absence d’un niveau à bulle en utilisant


la position décrite à cause de la gravité d’un fil de plomb raccorder à une
brique, suspendue en l’air, grâce à un clou .

 Le compactage hydraulique grâce à l’eau pour chasser les vides dans les
remblais

 La vérification, depuis la fondation, des distances entre axes entre les


poutres pour s’assurer qu’il n’est pas d’écart de la part des axes après la
mise en place des longrines, murs de soubassement, murs en élévation,
chainages, poutres,…,etc. Ces écarts sont responsables des différences de
mesures entre ceux indiqué dans les plans et le bâtiment construit.
.

2) Difficultés et suggestions

Dans l’ensemble, notre stage s’est très bien déroulé. Cependant nous notons
quelques difficultés telles que :

- des tuyaux de plomberie cassés au cours des travaux sur le chantier ;


- des enduits avec des épaisseurs dépassant les 1,5 cm entrainant une
consommation rapide du stock de ciment ;
- des murs qui avant le revêtement ne respectait pas l’équerre ;
- des murs construits avant notre arrivée sur le chantier et qui n’ont pas bien été
dressés ;
- des enduits comprenant des impuretés à cause de l’utilisation d’un grillage
déchiré qui n’a pas été remarqué plus tôt.

Aussi suggérons-nous face à ces difficultés :


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- de sensibiliser les ouvriers à recourir au chef chantier lorsqu’il rencontre des
problèmes dans l’exécution des travaux ;
- de mettre à la disposition des maçons des grillages (tamis) plus résistant et au
besoin de renouveler ;
- de suivre rigoureusement l’utilisation des matériaux pas les ouvriers.

CONCLUSION
Ce stage a été pour nous une opportunité de découvrir les réalités du monde du
génie civil. Il nous a permis :

- d’appliquer nos connaissances théoriques acquises à l’Université ;


- d’observer l’exécution des opérations telles que le crépissage, le dallage, le
revêtement en pierres taillées, les travaux de plomberie et d’électricité ;
- d’acquérir un savoir-faire du monde des ouvriers.

La construction d’un bâtiment nécessite l’association de professionnels de différents


secteurs. Le chef chantier coordonne les activités sur le chantier et s’assure de leur
bon déroulement. Il doit faire preuve de patience et de rigueur afin d’accomplir son
travail.
Une chose est claire, les acquis de ce stage nous permettront à l’avenir de mieux
affronter d’autres réalités du vaste monde des BTP et d’être plus aguerri face à de
nouveaux défis.

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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

 www.google.com
 Personnes ressources
 Glossaires, les 8 CAUE de Midi-Pyrénées et Pauline REDOULÈS, Septembre
2015
 https://fr.scribd.com/doc/126719104/Expose-Etudiants-Planchers-Dallages-
Procedes-Generaux-de-Construction-2, 19 septembre 2019 15h51
 Guide du Maçon, Holcim (Belgique), Juin 2018
 https://plomberie.ooreka.fr ,28 août 2019 11h
 https://www.btp-cours.com ,28 août 2019 11h
 https://www.btp-cours.com/2018/11/lalimentation-electrique.html ,28 août
2019 11h
 http://pays-loudunais.com/bricolage/Ma%E7onnerie%20techniques%20de
%20base.pdf, 28 août 2019, 19 septembre 2019

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ANNEXES

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