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FACULTE DE TECHNOLOGIE
DEPARTEMENT D’ELECTRONIQUE
Thème
Présenté par
ABDENOUR HEYFA
BEN AOUMEUR MOHAMED
Soutenu en Juin 2018, devant le jury composé de :
Mohamed
À mes parents « M. M »
Heyfa
Résumé
Un système OCDMA offre une meilleure performance du système en appliquant des codes
SAC-OCDMA basés sur différentes techniques de détection.
Par exemple, SPD donne la performance excellente parmi toutes les techniques de détection
de SAC.
Il est prouvé que le code MDW utilisant la détection directe fournit une meilleure
performance dans OCDMA.
Remerciements
Résumé
Remerciements
Introduction Générale 01
I.1.Introduction :………………………………………………………….…..03
I.2. Les techniques de multiplexage :……………………………..……….…04
I.2.1.La technique FDMA : …………………………………….……..….04
I.2.2. La technique WDMA :….……………………………………….…….05
I.6.2.Décodage :……………………………………………………………….12
I.10.Conclusion :………………………………………………………..……..17
III.1.Introduction :………………………………………………………..…..41
III. 2. Présentation du logiciel Optisystem :…………………………………41
III.2.1. Applications d’Optisystem :…………………………………………43
III.2.2. Principales caractéristiques du logiciel Optisystem………………..44
III.3.Critères et méthodes d’évaluer la qualité de transmission…………...44
Bibliographie :...………………………………………………………………57
Table Des Figures
Figure.III.7…………………………………...………………………………..53
Figure.III.8…………………………………………………………………….54
Figure.III.9…………………………………………………………………….55
Liste des Tableaux :
DEC Decoder.
ENC Encoder.
MZ Mach-Zehnder.
MD Multi diagnonal
RD Randon Diagonal
DS Direct Sequence
Introduction générale :
Plusieurs techniques d‘accès multiple existent afin d‘augmenter le trafic des données,
Comme la répartition en fréquence (FDMA), le multiplexage en longueur d‘onde (WDM), la
répartition dans le temps (TDMA), la répartition par code (CDMA).
Les travaux effectués dans le cadre de ce manuscrit portent sur l‘encodage et le décodage
à réseaux de Bragg pour l‘accès multiple. Le manuscrit est structuré en trois chapitres.
Le chapitre 1 est consacré à l‘étude des différentes techniques d‘accès multiples (FDMA,
WDM, TDMA, CDMA), nous sommes approfondi dans la technique CDMA optique ainsi
que ses différentes méthodes d‘accès (DS-OCDMA, SPE-OCDMA, SAC-OCDMA).
Dans sources optiques pour les systèmes de OCDMA incohérent, l'interférence d'accès
multiple (MAI; Multiple Access Interférence) est l'une des principales limitations dues à
l'utilisation des codes unipolaires. Pour réduire cet effet, plusieurs techniques sont proposées
pour éliminer la contribution des utilisateurs indésirables.
Dans le bras supérieur, un décodeur (DEC #i) est inséré. DEC #i a une réponse spectrale
identique à ENC #i. Dans l‘autre bras, un décodeur complémentaire (CDEC #i) à l‘explication
des bruits que l‘on observe lors de la détection d‘un signal incohérent.
L‘axe de notre travail où nous abordons le principe de base du code MD est conçu
en se basant sur une combinaison de matrices diagonales.
1
Introduction générale 2018
générale utilisée pour calculer le rapport signal-bruit pour les familles de codes MDW.
Le chapitre 3, porte sur la simulation sous OptiSystem, d‘un système SACOCDMA avec le
code 1D proposé en utilisant type de code MDW pour trois usagers.
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Les techniques de multiplexages 2018
I.1.Introduction
L‘OCDMA est une technique de multiplexage qui devient de plus en plus attrayante dans le
domaine des communications optiques.
Nous allons nous s‘intéresser aux diverses formes de CDMA en optique qui suscitent un
intérêt par leur possibilité d‘implémentation et par leurs efficacité. En général, deux
techniques de détection de base connues, à savoir cohérentes et incohérentes, sont largement
utilisées.
La bande passante des fibres optiques permet de concevoir des systèmes de transmission
de l'information à des débits élevés ; cependant, le traitement électronique des données à
l‘émission et à la réception impose des limitations en termes de débit dues aux composants
électroniques dont la bande passante est très inférieure à celle fournie par la fibre optique.
3
Les techniques de multiplexages 2018
Des techniques de multiplexage ont été développées pour les systèmes d'émission et de
réception permettant chacune de transmettre N signaux de débits D sur le même canal, ce qui
équivaut à la transmission d‘un signal de débit N×D : ce sont les techniques FDMA, TDMA,
CDMA.
La technique FDMA (Frequency Division Multiple Access) consiste à allouer une bande
de fréquence à chaque utilisateur comme cela est représenté sur la figure (I.1) A la réception,
un filtre sélectif accordé sur la fréquence de l‘utilisateur désiré permet de récupérer les
données
4
Les techniques de multiplexages 2018
résultats de ces modulations sont transmis sur une même fibre optique par l‘intermédiaire
d‘un multiplexeur WDM. Pour recouvrer les données émises, un filtre optique permet, en
réception, la sélection de la longueur d‘onde correspondant au signal à reconstituer.
La Figure (I.2) illustre le fonctionnement d‘un tel système. La principale différence entre les
systèmes FDMA et WDM réside dans le fait qu‘en WDM les porteuses optiques sont
identiques et que les longueurs d‘ondes sont séparées par un filtre optique avant détection du
signal car la détection optique, incohérente, ne présente aucune sélectivité fréquentielle à la
fréquence intermédiaire.
La technique TDMA (Time Division Multiple Access) est basée sur la répartition des
ressources dans le temps.
Les utilisateurs partagent la même bande passante et émettent les données dans les différents
intervalles de temps ("time slot") qui ont été alloués (figure I.3). Le récepteur effectue
l‘opération de démultiplexage pour récupérer les données.
5
Les techniques de multiplexages 2018
De ce fait, tous les utilisateurs ont accès à la totalité de la bande, et ils sont distingués à la
réception par des codes distincts qui leurs sont propres.
6
Les techniques de multiplexages 2018
Cette technique, basée sur un multiplexage temporel, est utilisée pour les systèmes
électroniques dont les débits de transmission sont limités aux environs de 10 Gb/s à cause des
composants électroniques (figure I.5).
L‘OTDMA (Optical Time Division Multiple Access) qui a été développé au début des années
1990, permet de dépasser cette limite pour approcher des débits de l'ordre du Térabit par
seconde. A l‘émission, le système de transmission en OTDMA est composé des éléments
suivants :
Une source laser qui émet des impulsions optiques courtes de durée Tc appliquées à
l‘entrée d'un modulateur optique commandé par le signal de donnée de durée Td. Si l'on a N
utilisateurs, la relation existant entre ces deux durées est :
Td = N × Tc.
7
Les techniques de multiplexages 2018
8
Les techniques de multiplexages 2018
I.4.1. Direct Sequence OCDMA : le code est unipolaire. Il est uni‐dimensionnel et temporel.
I.4.2 Fast Frequency Hopping OCDMA : le code est unipolaire. Il est bi‐dimensionnel et à
chaque chip, on associe un intervalle temporel et une longueur d‘onde. ƒ
Le code est bipolaire. Il est uni‐dimensionnel et de façon très sélective, certaines composantes
spectrales des bits d‘information ne sont pas transmises suivant les sauts de phase du code à
implémenter.
Chaque technique est différente par rapport à l‘autre en termes de propriétés de corrélation de
familles de codes utilisés, de capacité de multiplexage, de difficulté d‘implémentation et du
niveau de sécurité qu‘elle offre.
La source optique est l‘un des composants clés d‘un système de transmission. Pour les
systèmes OCDMA, le choix de la source est lié directement à la nature du code à générer. Une
attention particulière doit être apportée à la bande passante offerte par la source optique ainsi
qu‘à ses propriétés de cohérence, la source peut être cohérente ou incohérente.
Grâce à sa simplicité et son bas coût, la source large bande est très utilisée dans les
systèmes de télécommunications optiques. Les LED‘s (Light Emitting Diodes) et les sources à
émissions spontanée amplifiée (à base d‘amplificateur de fibre optique dopé à l‘erbium EDFA
où d‘amplificateur à semi‐ conducteur SOA) sont des sources incohérentes présentant un
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Les techniques de multiplexages 2018
temps de cohérence quasiment nul. Ces sources sont largement utilisées pour réaliser un
codage fréquentiel (FE‐OCDMA) et un codage hybride ʺλ‐tʺ (FFH‐OCDMA). Elles
présentent une grande largeur spectrale fournissant ainsi toutes les fréquences nécessaires à de
tels codages. La seule limite de ce type de source est son bruit d‘intensité.
Le principal avantage d‘une source laser est qu‘elle ne présente pas de bruit d‘intensité
spontanée. Une source laser cohérente peut générer des impulsions de courte durée de
l‘ordre de quelques picosecondes jusqu‘à l‘ordre du femto seconde. La méthode la plus
simple utilisée pour obtenir un laser pulsé consiste à moduler en tout ou rien (modulation
OOK) l‘intensité continue d‘un laser (CW laser : continuons wave laser) pendant des
intervalles de temps de durée relativement courts. Les inconvénients de ce type de laser
résident en deux points : pertes d‘énergie lors du temps OFF de la modulation; la puissance
des impulsions générées ne peut pas dépasser la puissance du laser continu. Ce type de laser
pulsé ne délivre pas des impulsions de très courte durée temporelle. Ce type de laser a été
initialement utilisé pour le CDMA à étalement temporel (TS‐OCDMA) et pour le CDMA
fréquentiel FE‐CDMA
Dans cette section, nous allons voir comment l‘on procède pour effectuer l‘encodage d‘un
canal avec la technique du SAC-OCDMA. Ce processus d‘encodage assigne une empreinte ou
une signature spectrale unique aux données de l‘usager. Il faut savoir que dans les systèmes
fonctionnant sur le principe du SAC-OCDMA, l‘utilisation de la bande optique est partagée.
Les différentes signatures spectrales ne sont donc pas orthogonales entre elles, c‘est-à-dire
que deux signatures spectrales distinctes ont des fréquences en commun. Il en découle une
chose fondamentale : il est impossible d‘extraire les données contenues dans un canal par un
simple filtrage optique en SAC-OCDMA, contrairement aux systèmes WDM. Le but du
décodage consiste en l‘extraction du signal parmi tous les signaux en utilisant la signature
spectrale comme discriminateur la figure(I.6) suivent représente la Technique de codage
spectral.
10
Les techniques de multiplexages 2018
I.6.1 Encodage :
Une source large bande (cohérente ou incohérente) émet un spectre ayant une densité
spectrale de puissance F (ν) que nous pouvons subdiviser en L cases fréquentielles (frequency
bins). L désigne la longueur du code. C‘est sur ces L tranches spectrales que nous allons
réaliser l‘encodage spectral par le biais d‘un encodeur (ENC). L‘ENC assigne une signature
spectrale unique à chaque usager en occupant w cases fréquentielles parmi les L disponibles.
W désigne le poids du code. Puisque l‘utilisation de la technique du SAC-OCDMA implique
un partage d‘un certain nombre de cases fréquentielles entre deux codes disctincts, nous
utiliserons le symbole L pour indiquer le nombre de cases communes. L désigne donc la
corrélation croisée. A la figure (I.7) (a), le code spectral choisi est « 0010110 » pour l‘ENC de
l‘usager #i. Nous désignerons l‘usager #i comme l‘usager désiré. Nous présentons aussi à la
figure (I.7) (b), le code de l‘usager #j « 0101100 » qui correspond à la signature d‘un
interférent. Pour cette section nous garderons toujours la nomenclature suivante :
11
Les techniques de multiplexages 2018
Comme nous pouvons le voir sur ces figures, nous avons choisi le cas particulier d‘un code
de longueur L = 7, de poids w = 3 et L = 1 pour illustrer le principe de fonctionnement.
Évidemment, la valeur de L, w et de L varie selon la famille de code
Figure I.7. Principe de l’encodage spectral SAC-OCDMA (a) pour usager désiré avec
code #i ; (b) pour un interférent avec le code #j
Choisie, mais le principe d‘encodage reste le même. Une fois le principe d‘encodage vu, nous
allons dans la partie suivante expliquer en détail comment fonctionne le décodage.
I.6.2.Décodage :
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Les techniques de multiplexages 2018
Nous présentons à la figure (I.8) la structure d‘un décodeur pour un système SACOCDMA
permettant de détecter le signal de l‘usager ayant le code #i. Cette structure est composée d‘un
coupleur 1 × 2 non sélectif en fréquence. Dans le bras supérieur, un décodeur (DEC #i) est
inséré. DEC #i a une réponse spectrale identique à ENC #i. Dans l‘autre bras, un décodeur
complémentaire (CDEC #i) est inséré. Le composant CDEC #i a une réponse spectrale
complémentaire à DEC #i. Cela signifie simplement que son code spectral sera le complément
binaire de celui du DEC #i, soit « 1101001 »
Un atténuateur α est également inséré pour ajuster la détection balancée avec pré- cision.
Une photodiode balancée (ou détection équilibrée) est utilisée. Cela permet de faire la
soustraction des photocourants générés sur chacune des photodiodes tel que :
= − (I.1)
Dans les deux paragraphes suivants, nous présenterons le fonctionnement de ce système pour
les codes présentés plus haut ainsi que le fonctionnement du récepteur dans un cas plus
général. Nous verrons que dans les deux cas, il sera possible de produire un signal de
moyenne nulle lorsque les interférents seront actifs et ce quel que soit leur nombre.
13
Les techniques de multiplexages 2018
Le principe de l‘étalement de spectre est défini par la relation de C .E. Shannon qui exprime
la capacité maximale C du canal perturbé par un bruit additif gaussien
) (I.2)
N : la puissance du bruit.
Cette relation montre que, pour transmettre sans erreur une quantité d‘information C, il faut
utiliser une bande B étroite et un fort rapport S/N, ou un large bande B et un faible rapport
S/N. l‘idée de l‘étalement de spectre consiste donc à émettre un signal de bande passante
largement supérieure à celle du signal utile
∑ (I.3)
∑ (I.4)
14
Les techniques de multiplexages 2018
Dans le cas d‘une transmission asynchrone, une propriété sur l‘intercorrélation de signaux
déphasés est nécessaire
∑ (I.5)
Il existe de nombreux codes étudiés et utilisés pour le CDMA, que nous pouvons séparer en
deux familles :
• D‘une part les séquences pseudo-aléatoires comme les séquences de longueur maximales,
les codes Gold ou les séquences Kasami, qui possèdent les propriétés adéquates d‘auto
corrélation mais une intercorrélation non nulle.
• D‘autre part les codes orthogonaux comme les codes d‘Hadamard — Walsh ou les codes
Gold orthogonaux, pour lesquels la condition d‘orthogonalité est respectée dans le cas
d‘émissions synchrones
Cette section se consacre à l‘explication des bruits que l‘on observe lors de la détection d‘un
signal incohérent. Nous allons décrire les trois bruits principalement observés dans les
systèmes utilisant des sources incohérentes soit :
Le bruit thermique,
Le bruit de grenaille,
Le bruit d‘intensité.
Nous allons voir que c‘est le bruit d‘intensité qui limite ultimement les performances des
systèmes.
15
Les techniques de multiplexages 2018
(I.6)
T : la température en [˚K].
La puissance de ce bruit ne varie pas avec la tension moyenne V. Il est donc le bruit
dominant à basse tension et donc à basse puissance optique.
Il obéit à une statistique de Poisson. La variance de ce bruit poissonien est définie par :
= e · ∆f · V × . (I.7)
16
Les techniques de multiplexages 2018
Cela engendre des fluctuations aléatoires sur la valeur de V puisque des termes de battement
entre les différentes composantes fréquentielles sont créés.
I.10.Conclusion :
Ce chapitre présente une brève description des différents types d‘accès multiple qui
peuvent être appliqués aux télécommunications : FDMA, WDMA et la TDMA, et en
particulier l‘accès par répartition de code CDMA avec ses grands avantages. Nous avons
aussi étudié les différents types de CDMA optique (temporelle (DC-CDMA), spectral de
phase (SPE-CDMA) et spectral d‘amplitude (SAC-CDMA)), ainsi que les codeurs optique.
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L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
L'accès multiple par répartition optique de code (OCDMA) est une technique prometteuse
pour un réseau d'accès optique permettant de prendre en charge un grand nombre d'utilisateurs
en utilisant la fréquence disponible sans délai, Atténuer les liens et fournir un
approvisionnement flexible.
Dans le système SAC-OCDMA, la détection est considérée comme l'un des processus
importants pour concevoir le système émetteur et récepteurs pour l'amélioration de la
performance du système.
Bien que ces techniques de détection peuvent supprimer l'AMI, mais souffrent de la mauvaise
qualité du signal, ce qui est une grande limitation des techniques de détection existantes.
Le Double Poids Modifié (MDW) a été appliqué avec une technique de soustraction
complémentaire et a réussi à réduire l'effet de l'IAM mais
la qualité du signal est toujours médiocre. Compte tenu de cette limitation du code MDW
avec une technique de détection complémentaire.
C‘est la technique la plus utilisée à ce jour, son principe étant assez simple.
signature spectrale à la l‘aide d‘un multiplexeur comme l‘illustre la figure (II .1)
18
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Cependant cette méthode impose une contrainte : aucune longueur d‘onde ne doit
Le principe est d‘utiliser une cascade de deux AWGs 1×N comme le montre la
figure (II.2) . À la sortie de chaque branche du premier AWG, nous retrouvons une
tranche spectrale déterminée.
En branchant uniquement certaines fibres aux N entrées du deuxième AWG, il est ainsi
possible d‘obtenir un code spectral.
Cette technique est intéressante, car elle utilise des composants déjà éprouvés sur
19
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
le terrain dans les systèmes WDM mais nécessite tout de même deux AWGs à
(PRBS) est codé par un code non-retour à zéro (NRZ). Par la suite, cette séquence
est modulé optiquement par une source optique large bande de l‘usager à l‘aide
4réseaux de Bragg uniformes (FBGs), avec des longueurs de Bragg différentes, sont
utilisés pour obtenir les trois signatures, une à chaque usager (Voir figure II.3).
20
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
C'est la technique la plus simple pour la mise en œuvre, il est montré dans les
exemples précédent que seulement la longueur d‘onde spectrale de l‘utilisateur désiré dans le
domaine optique est filtrée .
Néanmoins, cette technique est seulement applicable à des codes où ces (chips) longueurs
spectrales ne se chevauchent pas avec d‘autres chips d‘un autre canal.
La partie transmission est similaire à celle de la détection spectrale directe SDD dans les
21
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
comme suite :
) ∑ (II.1)
̅ ) ∑̅ )
̅ (II.3)
̅ )
d‘un signal SAC-OCDMA, nous allons présenter le différent type de bruits qui affectent
les performances d‘un système optique utilisant des sources à large bande.
22
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Le signal optique reçue est décoder par le décodeur, qui a une réponse spectrale identique au
codeur prévu pour que les données être reçu.
Le reste du signal à partir du décodeur est ensuite transmis au décodeur soustractif (s-
décodeur) pour annuler les signaux avec des signatures incompatibles exp interféreurs.
Un grand nombre de codes ont été proposées pour les réseaux SAC-OCDMA (OOC,
KS, EDW, MFH, MQC, RD, MDW…..etc.).
souvent trop longue (par exemple: pour le OOC, KS et les codes EDW), la
construction de code est limité par le paramètre de code par exemple: pour les
codes MQC et MFH, alors que la corrélation croisée augmente usuelle avec
code de RD). Dans addition, les codes suggérés dans les travaux ne peuvent pas
23
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
corrélation croisée qui annule l'AMI, (2) la flexibilité dans le choix des
comme le MQC un, (3) une conception simple, (4) le soutien d'un plus grand
II.4.1.1.Critères du code MD :
facilement augmentés.
* Le code doit être pratique et peut être mis en œuvre à l‘aide des
dispositifs optique.
24
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
données élevé.
comme d'habitude dans l'algèbre lin-oreille, l'identité (ou unité) matrice de taille
N comme une matrice N par N carré avec des composants de l'unité sur sa
diagonale principale et composantes nulles ailleurs. Elle est notée comme IN, si
la taille est sans importance. Finalement, il peut être défini comme suit:
IN peut être affiché comme IN =diag (1,1,……,1). Le offert la matrice orthogonale est une
matrice carrée avec des valeurs réelles dont les lignes et les colonnes incluent des vecteurs
unitaires orthogonaux.
Ici, toutes les permutations de la corrélation croisée la fonction est requise car leur
total est exactement égal à zéro .
25
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Donc si Xij est une entrée de X et Y ij est une entrée de Y, une entrée du produit C = XY
est N donnée par Cij=∑ pour le code des séquences X= (x1, x2, x3, xn) et
Y = (y1, y2, y3,yn), la fonction de corrélation croisée peut être représenté par
Étape 1
Tout d‘abord nous créons une séquence de matrices diagonales on utilisant des
valeurs spécifiques de poids (W) et nombre de lignes (K). Selon ces valeurs,
nous avons des ensembles i et jw. Ici, K et W sont des chiffres positifs. Par
Etape 2 :
Les séquences MD sont calculées pour chaque matrice diagonale basée sur les
)
Relations Si jw={ (II.5)
[ ] [ ] [ ] [ ]
26
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Étape 3 :
MD= (II.9)
[ ]
Dans la matrice de base donnée par l'équation. (II-8), les lignes précisent le
N=K*W (II.10)
jw = 1, 2, 3, 4.
= , = , = , = (II.11)
[ ] [ ] [ ] [ ]
La séquence de code MD pour chacune des matrices diagonales est définie par
27
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
== 4*4 (II.12)
[ ]
MD= (II.13)
[ ]
Ou K=5 et N =20.
Ainsi que le mot de code pour chaque utilisateur, selon ci-dessus serait comme suit:
Le mot de code={
Le code MD offre une plus grande flexibilité dans le choix des paramètres W et
K et, en même temps que la conception simple, si on les compare avec les autres
codes comme ceux MAC et RD, ce qui peut donner à un plus grand nombre
Les nouvelles familles des codes proposé sont référés comme WD .ils peuvent être construire
par les étapes suivantes :
Etape 1 :
28
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
* +
La notice H1de séquence a chips de combinaison de 1, 2,1 pour les trois colonnes (i.e. 0+1,
1+1, 1+0).
Étape 2:
Une simple technique de cartographie est utilisée pour augmenter le nombre des codes
comme suite :
[ ]
[ ]
N=3K
N=
29
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
N= + (II.14)
L‘objectif terme du :
Kth
1 0 0 0 0 1 1
2 0 0 0 1 1 0
3 0 1 1 0 0 0
4 0 1 0 0 0 0
Noter que Ci est le nombre De code dans colonne de plus il représente la position spectrale
de chips quand i est 1, 2,3….N. dans la construction de la séquence code DW, la position
spectrale du poids, C1, K pour le premier poids et C2, K pour le deuxième poids du K de
l‘usager qui sont donnés par :
= (II.15)
= (II.16)
Quel quand que N est dans l‘équation (II.14) .marquer que la position spectrale du
deuxième poids C 2,K est toujours le même que la longueur minimale du code ,N(marqué
dans le tableau2)tandis que le premier poids C 1,k est toujours devant la première position .
30
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Il est important que la position de poids est entretenu en pairs , pour que le nombre bas des
filtres peut être utiliser dans le codeur et le décodeur ,par ici, un filtre par la bande passante
doublée de la largeur chip peut être utilisé , au lieu de 2 différents filtres ,fait le système
facile et moins couteux pour le mettre en place .
Le code poids MDW peut devient n‘import quel nombre plus grand que 2.
Etape 1 :
La matrice de base pour les codes MDW aussi consiste de la matrice K x N dépendant la
valeur du poids de code.
2-B consiste par la matrice 1 x 3n contenant la matrice de base [X2] pour chaque trois
colonne.
31
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
4-D est la matrice n x n constitué de la matrice de base [X3] arrangé comme figure (II.7) :
Et , W=2, 4,6,…R
Est constitué de :
Il y a deux composants de base dans la matrice de base des codes MDW qui sont :
Equation (II.17) et (II.18) représente la matrice de base pour le code MDW, quel quand que
NB la colonne (représente la base de longueur de code), et KB la ligne (représente le
nombre de base d‘usager).
32
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
=3∑ =9
= +1=3
A =[X1]= [000]
2.B : consiste par la matrice 1 x 3n contenant la matrice de base [X2] pour chaque trois
colonne.
B= [[X2],[X2]]=[ 011011]
Le code MDW de base est noté par (9, 4,1) est montré par :
33
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Figure II.8 : la base MDW code avec la longueur de code 9, le poids 4 et in-phase idéale
de corrélation croisée
Noté que la structure du code DW de base est similaire, H1 est toujours maitrisé avec une
modification légère par lequel le double pair poids est motionné dans un sens d‘autoriser
juste deux chevauchement de chip dans chaque colonne.
Ainsi, les 1, 2,1 chip combinaison est maintenue pour chaque trois colonne comme dans le
code de base DW c‘est très important de maintenir λ=1.
La même cartographie technique pour ce qui est du code DW est utilisée pour augmenter le
nombre d‘usager.
L‘exemple nous preuve qu‘on peut augmenter le nombre d‘usager de 4 à 6 tandis que le
poids est fixé à 4.
Un code MDW avec le poids de 4, noté par (N, 4,1) pour n‘importe quel poids N donné, peut
Kth
1 0 0 0 0 1 1 0 1 1
2 0 1 1 0 0 0 1 1 0
3 1 1 0 1 1 0 0 0 0
34
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
La largeur spectrale totale Δv de système DW et MDW est gouverné par la longueur du code
N.
Δv = ΔFN (II.19)
L‘équation (II.19) est toujours validée pour le système de code DW et MDW parce que le
nombre K d‘usager multiplexé dans un fibre commun, la longueur totale du code est
spéctralement gouvernée comme un évident par les tableaux (1) (2).
dans notre analyse, nous avons considéré l'effet du bruit d'intensité incohérente 〈 〉bruit de
tir et bruit thermique〈 〉aussi bien.
le schéma de détection considéré pour l'analyse est basé sur la technique de détection
complémentaire utilisant FBG suivi par photo-détecteur.
quand les champs de lumière incohérent sont mélangés et accents sur un photo-détecteur, le
bruit de phase des champs provoque un terme de bruit d'antenniste dans la sortie du photo-
détecteur.
)
=∫ (II.20)
*∫ ) +
Où G (v) désigne la densité spectrale de puissance à bande latérale unique (SPD) de la source
thermique.
35
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
le facteur Q suggère le SNR minimum requis pour obtenir un BER spécifique pour un signal
donné.
le SNR d'un signal électrique est défini comme le signal moyen au bruit
d'obscurité du récepteur et de l'amplification les bruits sont négligés dans l'analyse du système
proposé) donné
e - Charge d'électron
B - Electrical bandwidth
Kb - Constante de Boltzmann
les propriétés de corrélation croisée du code MDW utilisant l'opération NAND de la partie de
détection diffère de la technique de soustraction complémentaire.
Dans cette technique, le système a réalisé de meilleures performances en termes de bruit PIIN,
bruit de tir, rapport de un à deux et taux d'erreur sur les bits.
le schéma de détection NAND basé sur les propriétés du code MDW est expliqué dans
l'équation(II.22).
∑ ̅̅̅̅
) ̅ (i). (i)={ { (II.22)
36
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Par conséquent, les hypothèses suivantes sont prises en compte pour l'analyse du système
telles que: A) chaque source lumineuse est idéalement non polarisée et son spectre est plat sur
la bande passante [.......] où v0 la fréquence optique centrale est et DV est la bande passante
optique exprimée en hertz
la densité spectrale de puissance des signaux optiques reçus par thr peut être écrite:
) ∑ ∑ ) ) (II.23)
Où est le pouvoir effectif d'une source à large bande au recevoir, K est les utilisateurs
actifs et N est la longueur du code MDW, est le bit de données de l'utilisateur Kth qui est
"1" ou "0".
) * )+ * )+
* + (II.24)
37
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
Paramètre Value
U(v)=,
La puissance totale de l'incident à l'entrée des codes PIN 1 et 2 est donnée par:
∫ ) )) (II.25)
∫ ) ) ) (II.26)
Dans les équations ci-dessus, est le bit de données de l'utilisateur Kth porte la valeur de "1"
ou "0".
I= -
I=𝓡 )) ) )
I= ) ) )
I= ) )] (II.27)
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L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
⁄ (II.28)
Ici, est l'efficacité quantique, e est la charge d'électrons, h est la constante de Planck,
〈 〉 ) * + (II.29)
〈 〉= + (II.30)
∫ )
∫ )
∫ )
∫ )
∫ ) ∫ )
〈 〉 [∫ ) ∫ ) ]
∫ ) ∫ )
〈 〉 *∫ ) ∫ ) +
〈 〉 ) ) ) )
〈 〉 (II.31)
39
L’encodage de l’amplitude spectrale d’un système optique 2018
* ) ) +
SNR= (II.32)
) ) ) ) ) )
L'équation (II.32) est l'équation générale utilisée pour calculer le rapport signal-bruit pour les
familles de codes MDW. En utilisant l'approximation gaussienne, le taux d'erreur sur les bits
(BER) peut être exprimé comme (Wei et Ghafouri, 2002).
BER= (√ ) (II.33)
Tous les résultats théoriques sont calculés en utilisant les équations (II.32) et (II.33). Les
paramètres typiques sont utilisés pour le calcul est indiqué dans Tableau 1.
II.5.CONCLUSION :
Un nouveau code Spectral Amplitude Coding. Optical Code Division Multiple Access.
(SAC-OCDMA) été étudié et proposé pour le système de transmission optique
OCDMA. L'analyse est effectuée en calculant le rapport
signal sur bruit (SNR) et le taux d'erreur binaire (BER), en tenant compte de l'effet du bruit de
grenaille, PIIN et sources de bruit thermique. Afin d'évaluer la performance du code proposé,
les résultats numériques obtenus à partir de l'implémentation de ce code sont comparés à ceux
De cette comparaison, il est constaté que le code SAC-OCDMA est le meilleur en termes de
BER par rapport aux codes MD et MDW. En outre, la simplicité dans la construction de code
40
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
III.1. INTRODUCTION
Dans ce chapitre, nous allons présenter l‘ensemble du travail de simulation que nous
avons effectué dans le but d‘évaluer les performances d‘un système SAC-OCDMA avec la
détection photodiode unique SPD, utilisant le code MDW et à l‘aide du simulateur
Optisystem.
Dans un premier temps, nous présentons une brève description des différentes
applications et caractéristiques du logiciel Optisystem. Aussi nous représentons les critères de
qualité qui sont utilisés pour mesurer les performances du système SAC-OCDMA ; le taux
d‘erreur binaire (BER: Bit Error Rate), le diagramme de l'œil du signal, et le facteur de qualité
(Q). Nous exposons ensuite les différents résultats obtenus afin de déterminer les avantages
apportés par les codes proposés.
41
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
L‘OptiSystem teste et optimise pratiquement n‘importe quel type de liaison optique il est basé
sur la modélisation réaliste des systèmes de communications par fibre optiques.
OptiSystem est un outil qui permet aux scientifiques et aux ingénieurs de modéliser, simuler,
analyser et concevoir tout module de traitement du signal, allant du dispositif le plus
élémentaire, au système complet de communication. OptiSystem est un environnement
interactif qui allie des outils numériques efficaces à des fonctionnalités graphiques puissantes
et une interface utilisateur conviviale.
La démarche à suivre se décompose en deux étapes :
Construire le schéma bloc.
Analyser le schéma.
Dans notre mémoire nous avons opté pour un logiciel de simulation des systèmes de
communications optique innovants qui conçoit, teste et optimise pratiquement n‘importe quel
type de liaison optique dans la couche physique d‘un large éventail de réseaux optiques, il
s‘agit d‘Optisystem qui est un simulateur basé sur la modélisation réaliste des systèmes de
communications par fibre optiques.
42
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
43
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
symbole « 1 » émis ou vice versa. On définit alors le taux d‘erreurs binaires ou Bite Errer
Rate en anglais (BER) correspondant au nombre d‘erreurs sur le nombre de bits
transmis pendant la durée de la mesure :
= (III.1)
Le facteur de qualité est le rapport signal sur bruit électrique en entrée du circuit de décision
du récepteur. Le signal mesuré à l‘entrée du canal de l‘oscilloscope contient une contribution
due au signal utile ainsi qu‘un apport en bruit dû à l‘ensemble des éléments de la
chaîne de transmission. Dans le diagramme de l‘œil qui retrace le signal mesuré, le signal
utile est représenté par les niveaux moyens 𝜇1 et 𝜇0.
Le bruit représente les déviations des puissances optiques autour de ces niveaux moyens, il est
quantifié en combinant les écarts-types 𝜇0.On définit donc le facteur Q à partir de relevé du
diagramme de l‘œil par :
Q= (III.2)
* ( )+ (III.3)
√
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
) ∫ ) (III.4)
√
Il est souvent utilisé plutôt que le taux d‘erreur binaire dès lors que le taux d‘erreur
binaire est trop faible pour être mesuré. En effet, plus le taux d‘erreur binaire est faible, plus
le temps de mesure est long pour une même précision sur la mesure .Expérimentalement, le
taux d‘erreur binaire n‘est par conséquent pas toujours mesurable directement.
Le facteur de qualité est fréquemment utilisé pour quantifier la qualité d‘une liaison ; un
facteur de qualité de 6 correspond à un taux d‘erreur binaire de 10-9.
46
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
[ ] [ ]
Les longueurs d‘ondes pour les codes utilisés varient entre 1550 nm à 1556.4 nm
pour 9 longueurs d'ondes avec un espacement de 0.8 nm.
Longueur
d’onde 1 2 3 4 5 6 7 8 9
(nm)
La bande (BL) fournis par une source lumineuse blanche (white light source) :
BL = [1556.4-1550] =6.4 nm
Le code est composer de 9 longueur d‘onde c'est-à-dire qu‘on doit disposer de 9 ondes de
largeur Δv = 6.4/9 = 0, 71111 nm
= c/f⇨ f = c /
fmin = c / max ⇨ fmin = (3*108) / (1556.4 * 10-9)
fmin = 192,7525 * 1012Hz = 192.7525THz
fmax = c / min ⇨ fmax = (3*108) / (1550 * 10-9)
47
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
Dans le logiciel Optisystem le BL est par défaut 640 GHz avec un débit de 10Gbit/s, donc il
faut calculer le débit nécessaire pour un BL de 796.3 GHz, ce qui est fait par la relation :
0,64 THz → 10 Gbit/s
0,7963THz → Débit nécessaire
Le debit nécessaire = [0,7963 * 1012 * 10 * 109] / [0,64 * 1012] = 12.442 Gbit/s
III.5. Description du système SAC-OCDMA
Au fond de cette partie, nous allons présenter et interpréter les résultats de simulation liés à
un système SAC-OCDMA à détection direct opérant dans la région de 1553.2 nm de longueur
d‘onde
Les données générées à l'aide d'un générateur de séquences binaires pseudo-aléatoires (PRBS)
sont modulées optiquement avec un modulateur externe (Modulateur Mach-Zehnder : MZM),
générant des signaux OOK-NRZ à un débit de 622Mb\s.
48
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
Figure III.5.Schéma block d’un émetteur de système SAC-OCDMA utilisant le code MDW.
Le récepteur est composé d'un décodeur basé s sur la détection SPD. Le signal désirer est
détecté par une photodiode PIN dont la valeur du courant d'obscurité est de 10 nA et son
coefficient de bruit thermique est de 1.8 × 10-23 W / Hz), filtré par un filtre Bessel passe-bas
d'ordre 5 (fréquence de coupure de 0.8 fois la fréquence du rythme)[2, 3] . On place au bout
de notre chaine un analyseur pour chaque utilisateur, qui nous donne le taux d‘erreur binaire
TEB, le facteur Q, et le diagramme de l‘œil.
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
Figure III .6 : Schéma block d’un récepteur de système SAC-OCDMA utilisant le code MDW et
la détection SPD.
Les paramètres et les valeurs utilisés pour la détections SPD est répertories dans le tableau.III.2.
Tableau .III.2 Représentation logique de l'annulation d'interférence pour le code MDW
(premier utilisateur).
50
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
Mots de code
(DEC ● I1) { }
1
∑ )
̅̅̅̅̅̅ { }
(I1 ● I2) { }
(I1 ● s-DEC) { }
1
∑ )
∑ )- ∑ ) 1-1=0
51
Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
FigureIII.7
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
FigureIII.8
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
FigureIII.9
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Simulation d’une configuration SAC-OCDMA 2018
III.6. CONCLUSION :
En fin, L‘SAC-OCDMA reste une très bonne solution pour le partage des ressources de la
fibre optique, en ajustant les paramètres et les composants du système on peut atteindre des
débits très élevée sur des distances relativement considérables.
L'analyse est effectuée en calculant le rapport signal sur bruit (SNR) et le taux d'erreur
binaire (BER), en tenant compte de l'effet du bruit de grenaille, PIIN et sources de bruit
thermique.
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Conclusion générale 2018
Conclusion générale :
Dans cette contribution, une technique SPD a été proposée pour les systèmes SAC-OCDMA
incohérent.
La performance améliorée offerte par la technique proposée est basée sur l'élimination de
PIIN et MAI dans le domaine optique.
Cela permet de demander une seule photodiode à utiliser plutôt que deux photodiodes
Comme dans les approches de détection de soustraction typiques, conduit à un récepteur à bas
prix pour chaque utilisateur.
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Bibliographie 2018
Bibliographie
[1] Victor Girondin « Etude et modélisation d‘un modulateur à électro-absorption pour des
applications de transmission radio sur fibre de signaux ULB aux fréquences centimétriques -
Simulation système et caractérisation d'une liaison radio sur fibre à modulation externe »,
THESE DE DOCTORAT DE L‘UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE, 2016
[5] Aberrou Aicha, khelif Karima,‖ Codage ZCC en 2 Dimensions (W/P) pour Les Systèmes
de Communication Optique SAC-OCDMA‖, Mémoire De fin d‘étude pour l‘obtention du
diplôme Master en Télécommunication,2016
[7] Ruchita Bajpai1, Dr. Neelam Srivastava2,‖ Performance Enhancement of SPD Technique
in SAC-OCDMA Systems‖, 1 (Electronics Department, Institute of Engineering and
Technology, Lucknow, India) 2 (Professor, Electronics Department, Institute of Engineering
and Technology, Lucknow, India).
[8] Melle. Khater Yamina Melle Djemel Mounira, « Polarisation en Mode Dispersion dans le
Système SAC-OCDMA » Mémoire de fin d‘étude Pour l‘obtention de diplôme de master,
2017.
[9] Rasim A.K, Hilal A.F , SA, Aljunid, M.S Razalli « Anew two dimensional spectral/spatial
multi-diagonal code for noncoherent optical code division multiple access (OCDMA)
57
Bibliographie 2018
58