Vous êtes sur la page 1sur 3

Pourquoi Avatar le dernier maître de l’air c’est le plus grand ouvrage de l’histoire de

l’animation occidentale

L’animation occidentale nous a donnons grands travaux a la fois dans le domaine de la


comédie et du drame, nous avons pleuré avec les multiples fins de Futurama, nous avons ri
avec les choses folles des Animaniacs. Mais combien animations nous ont donné la
sensation de nous submerger dans un monde vivant et dynamique, où les personnages
grandissent avec nous tout a long de leur voyage et font face à des dilemmes moraux,
politiques et existentiels sans cesser d’être un dessin animé pour les enfants ?

En ce qui me concerne, très peu dessins animés parviennent à générer une expérience si
enrichissant et attachant comme l’animation de Nickelodeon de 2005 Avatar : le dernier
maître de l’air.

Les raisons pour lesquelles je l’affirmer sont plusieurs : premier, la création d’un univers
avec ses propres cultures, histoire, faune, géographie, conflits politiques et spiritualité.
Deuxième, le développement des personnages avec ses nuances claires et obscures.
Troisième, la propposition de questions philosophique complexes mais révélatrices.

La création d’un univers unique : Le monde d’Avatar est basé sur l’idée d’équilibre, dans il
existent quatre nations qui maîtrisent les quatre éléments: les tribus de l’eau, qui vivent aux
pôles de la terre, leur culture est basé dans les Inuits d’Amérique du nord et ils peuvent
manipuler l’eau á volonté. Le royaume de la terre, qui sont basées aux chinoises et peuvent
maîtriser le control de la terre. La nation du feu, inspire dans le japon impérial et qui
manipulent le feu á volonté. Les nomades de l’air, ils vivent dans des temples aux coins du
monde, voyagent d’un a l’autre sur les bisons volants, sa culture est inspiré des moines
bouddhistes du Tibet et ils maîtrisent le control de l’air a volonté. Seul l’avatar,
qui se réincarne dans chacune des nations après sa mort, peut maîtriser les quatre éléments
et servir de pont entre le monde humaine et les monde des spirits.
L’animation est située dans la guerre de 100 années, lorsque la nation du feu a envahi la
majeure partie du monde et éradiqué les nomades de l'air, entre lesquelles est né le dernier
avatar. Miraculeusement, l’avatar survit au génocide en se figeant dans un iceberg,
maintenant, il est le dernier maître de l’air et seul il peut vaincre le seigneur du feu.
Le développement des personnages : Avatar n’est pas conforme avec personnages plaines
et stéréotypes. Le meilleur exemple est le prince Zuko, il commence l’histoire en étant le
méchant, banni par son propre père, le seigneur du feu, il
doit trouver le dernier maître de l'air pour regagne son honneur et reviens dans sa nation
comme un héros. Au début il est plein de colère et il ne se soucie que de l'approbation de
son père, donc il fera n’importe quoi pour attrapaer l’avatar. Quand finalement il a ce qu’il
veut tant, il comprendre que l'approbation des autres n'est pas importante lorsque vous êtes
infidèle à vos propres idées. Donc le prince Zuko
décide d'entraîner l'avatar pour vaincre son père et être en mesure de rendre son honneur à
la nation du feu et de laisser le monde en équilibre. Le personnage explorez de nombreuses
nuances de sa personnalité au fil des trois saisons.

La proposition de questions philosophique complexes mais révélatrices : L’avatar élevé par


les moines de l'air, croit que toute vie est sacrée, donc il ne veut pas tuer le seigneur du feu,
même si le monde entier a besoin de lui pour le faire, cela irait à l'encontre de ses principes,
l’avatar doit trouver la réponse, parce que l’équilibre du monde dépend de lui ¿ Tuer le
seigneur de feu et sauver le monde? ¿ Ou il y a autre reponse?

Pour conclure, Avatar : le dernier maître de l’air ne traite pas son public enfant comme des
idiots, franchit les barrières de l'âge, étant une œuvre qui capte également les personnes
âgées, enseigne les facettes de la guerre et son impact sur les gens et nous fait rire aussi, ses
personnages sont profond, attachant et surtout, humaines. L’univers qu’a crée est simple
mais magique, grand et vivant, c’est un monde avec la capacité de donner vie a autres
histoires.

Finalement, ne sont pas plusieurs les ouvrages d’animation occidentale qui oser tant avec
un public enfantin, tout cela fait pour moi et toute une génération d’Avatar : le dernier
maître de l’air, la plus grande ouvrage de l’animation occidentale.

Juan Alejandro Salazar Lizcano

Vous aimerez peut-être aussi