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Conception Et Calcul Dun Centre Medical PDF
Conception Et Calcul Dun Centre Medical PDF
Elaboré par :
Slama Houssem
Frigui Khaled
Encadrés par :
Mme Bannour Hajer
Mr Rjeb Thamer
Finalement, Nous remercions toute personne qui n’a pas hésité de donner
de son mieux à chaque fois que l’occasion s’est présentée.
Merci….
Dédicace
Houssem
Dédicace
À mes sœurs
Khaled
Résumé :
Ce sujet traite l’étude de la structure en béton armé et des fondations d’un Centre Médical «
périmètre 2572 m² situé à la région de « Hamem Sousse - SOUSSE ». Après analyse des
bâtiment. Ensuite, on s’est penché vers le dimensionnement des différents éléments.( dalle,
Abstract :
This subject deals with the study of the reinforced concrete structure and the foundations of a
"Clinique H.Sousse" Medical Center composed of 3 basements, a ground garden, a ground floor
and 2 floors, perimeter 2572 m² located in the region of "Hamem Sousse - SOUSSE". After
analysis of the architectural distributions, a system of posts and beams was adopted as the
building frame. Then we looked at the sizing of the different elements. Finally, we have been
interested in the study of foundations, which depends on the resistance characteristics of the
INTRODUCTION GENERALE..................................................................................................... 1
BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................. - 82 -
Liste des figures
Le coefficient de sécurité b -
La contrainte limite de compression du béton 𝜎𝑏𝑐
̅̅̅̅ MPa
Le poids volumique du béton armé 𝜌𝑏 kN/m3
Coefficient de scellement s -
Le module d’élasticité Es MPa
Coefficient de fissuration -
La limite élastique fe MPa
La contrainte de calcul du béton fbu MPa
La contrainte de calcul de traction dans les aciers fsu MPa
longitudinaux
Introduction Générale
Ce mémoire de fin d’étude est consacré à l’étude d’un Centre Médical « Clinique H.Sousse »
composé de 3 sous-sols, un rez-de jardin, un rez-de-chaussée et 2 étages, de périmètre 2572
m² situé à la région de « Hamem Sousse - SOUSSE ». Ce projet est en cours d’élaboration par
le bureau d’étude Ribat Ingénierie.
Pour qu’on puisse aborder notre travail, des données architecturales et des données du sol ont
été fournies afin de pouvoir traiter ce sujet. Après la lecture des plans d’architecture on a pu
dégager les différentes solutions de conception : emplacement des poteaux, emploi des
structures courantes, (poutres continues …), choix du dallage.
Après l’élaboration des plans de coffrage pour les différents niveaux, nous avons pu dégager
les différents éléments de structure à étudier (le calcul manuel et la conception du ferraillage
sur le logiciel de calcul ARCHE). . Un calcul en béton armé a été effectué sur différents
éléments porteurs et une étude de stabilité d’un exemple d’ouvrage de soutènement a été
effectuée grâce aux données géotechniques. De ce fait, on a réalisé le calcul d’une dalle
pleine, d’une poutre continue, d’un poteau, d’une semelle et d’un mur de soutènement avec
les calculs de stabilité, Une comparaison des résultats analytique et numérique a été effectuée
afin de vérifier la validité des résultats obtenus.
Les étapes du travail sont décrites le long de ce rapport et de l’annexe ci-joint. Les différents
résultats ainsi trouvés sont reportés dans ce rapport.
I. Introduction :
Le bureau d’étude est en cours de réalisation de l’étude d’un Centre Médical « Clinique
H.Sousse » de périmètre 2572 m² situé à la région de « Hamem Sousse - SOUSSE »
II. Généralité :
Dans ce paragraphe on s’intéresse à décrire les différents étages pour donner une idée
générale sur la répartition d’espace adoptée dans ce projet :
Trois Sous-sols ; deux S-Sols à usage de parking pouvant accueillir 176 véhicules
et un S-Sol de différentes spécialités médicales (Pharmacie, Salle de Scanner,
Laboratoire…) et services (Cuisine, Stockage, Archive…)
Un Rez-de-Jardin (deux entrées principales, entrée service d’urgence et bureaux
de consultation …)
Un Rez-de-chaussée (Réception, administration, Cafeteria et salles de soins …)
Deux Etages (Salle d’Operations, Chambres et bureaux de consultation…)
Ainsi, le bâtiment mesure 24.6 mètres de hauteur comme indique la figure 2.
Circulation verticale :
Les entrées :
Il y a quatre entrées :
Deux entrées principales.
Une entrée de services d’urgence.
Une entrée de sous-sols.
I. Introduction :
Ce chapitre a consisté à étudier les plans d’architecture afin de réaliser les plans de coffrage
des différents niveaux et de choisir les éléments porteurs de la structure.
Ce choix doit tenir compte de plusieurs contraintes (architecturales, dimensionnement et
géotechniques) tout en essayant de choisir la solution optimale (simple, économique, et
réalisable) afin de faciliter l’exécution du projet et de réduire au minimum le coût de la
construction. Dans ce premier chapitre sera présenté le projet du centre médical avec les
données architecturales et la proposition du plan de coffrage réalisé sur AUTOCAD.
La conception est une tâche extrêmement complexe qui résulte d’un compromis entre
plusieurs facteurs :
Facteur Architectural
Facteur Economique
Facteur Esthétique
La phase de la conception est la phase la plus délicate dans le projet pour laquelle nous
avons consacré plus de temps, vu la complexité des différents plans architecturaux comme par
exemple le respect des places de parking, la circulation et les retraits relatif aux étages
supérieurs.
Une collaboration étroite entre l’architecte et l’ingénieur civil est primordiale dans la
conception. Un choix judicieux du système porteur permet la conception de la structure
porteuse et est choisi en respectant au mieux les règles de la conception.
Solutions obtenues :
Pour bien conserver notre structure nous nous sommes basés sur les critères suivants :
-Respecter le plan architectural pour conserver l’aspect architectural.
-Assurer une bonne fonctionnalité des locaux
-Eviter les retombées dans les salles (mais c’est toléré dans les murs et dans les grands
espaces, ce qui est fréquent dans notre étude ; pour cela, on a essayé dans la mesure du
possible de faire en sorte que les éventuelles retombées soient cachées par les murs et les
cloisons).
-Prévoir une conception d’un plan de telle sorte que les poteaux sont superposés d’un étage à
l’autre.
-On a essayé d’éviter l’utilisation des poteaux implantés
-Prendre en considération l’exécution pour faciliter la tâche de main d’œuvre (coffrage).
-Le choix de sens des nervures se fait suivant la plus petite portée d’une surface coffrée.
-Prévoir des poteaux encastrés dans la fondation et articulés dans le plancher intermédiaire.
-Minimiser le nombre des poutres et des poteaux.
Concernant le choix de type du plancher nous distinguons deux types de plancher dont
nous citons les avantages et les inconvénients et leur domaine d’utilisation.
Une bonne conception est celle prenant globalement en compte tous ces facteurs et
contraintes.
Ce travail de conception a été effectué en première phase sur du papier où la superposition
des poteaux entre étages est assurée par un calque.
Une fois la conception est faite, on l’a fait traduire par le logiciel AUTOCAD en plans de
coffrage (Figure4 résume un exemple d’un plan de coffrage)
Les poutres présentent l’avantage d’être discrètes lors de faibles charges (poutre noyée), et
apparentes dans les cloisons lors de l’application des charges relativement fortes. De même
pour les poteaux, ces éléments sont facilement cachés dans les cloisons et les coins.
Ce système est utilisé pour avoir une grande variété de plan à travers la commodité qu’il offre
dans la répartition des cloisons et génère une grande liberté de surface. Cette structure est
beaucoup plus faible en poids que les voiles armés.
Le système porteur choisi est celui des poutres-poteaux pour sa stabilité, son aspect
économique et sa facilité d’exécution. Ainsi, les éléments porteurs horizontaux sont des
poutres et des nervures ; les éléments porteurs verticaux sont des poteaux. On a essayé de
prendre en considération les conditions suivantes :
- Eviter d’avoir des poutres traversant les pièces avec des retombées apparentes ce qui serait
esthétiquement inadmissible ; pour cela, on a essayé dans la mesure du possible, de choisir
la disposition des poutres de telle façon que les éventuelles retombées soient cachées dans
les cloisons le maximum possible.
- Il est de même pour l’emplacement des poteaux.
- Eviter d’adopter un sens unique pour toutes les nervures (à déconseiller en prévention
d’éventuelles actions sismiques).
- Minimiser la portée des poutres et des nervures.
Pour les sous-sols, on a utilisé des poutres avec des grandes portées pour la circulation libre
des véhicules et la conservation des places réservées au parking. Pour éviter ces grandes
portées dans les étages courants et pour la diversité au niveau de l’exploitation ainsi que la
différence entre les plans d’architecture, on a adopté la solution des poteaux naissants.
2. Types de planchers
On a choisi un plancher en dalle pleine dans les sous-sols pour des raisons de sécurité
incendie.
2.1 Planchers nervurés :
Par définition, les planchers sont dits nervurés en corps creux, lorsque, en coupe transversale
(perpendiculaire à la portée), leur section résistante prise en compte dans les calculs se
présente comme une succession de sections en T.
Les avantages :
Les corps creux présentent le double avantage d’une isolation à la fois thermique et
acoustique et offrent un faible poids propre ce qui a pour effet de diminuer les charges
permanentes.
Sur la figure 5, on peut distinguer un schéma d’une dalle nervurée.
Une dalle est un élément généralement rectangulaire dont l’épaisseur est petite par rapport
aux deux dimensions en plan .Ceci permet de rester dans le cadre de la théorie des plaques
minces faiblement fléchie.
Les avantages :
Les inconvénients :
- Poids important : ce qui augmenterait les charges au niveau des systèmes porteurs
(poteaux, fondations).
- Elle nécessite beaucoup de coffrage : exécution lente, peu économique.
3. Les joints :
Pour limiter les effets de retrait dus à la variation de la température, on a découpé l’immeuble
en 3 blocs. En effet le choix de l’emplacement des joints est prévu par l’architecte.
Un joint de dilatation est un espace entre deux portions d’une structure dont le but est de
permettre à chacune des parties des déplacements relatifs indépendamment l’une de l’autre. Il
permet, notamment, à la structure de se dilater en fonction de la température, des effets du
trafic et des effets propres à chaque matériau sans subir de gêne lors de ces déplacements.
Des joints de rupture doivent être prévus entre deux ouvrages voisins, lorsqu'ils subissent des
différences importantes de charge ou qu'ils subissent des différences de tassements. C'est
notamment le cas des bâtiments accolés n'ayant pas le même nombre d'étages ou de bâtiments
accolés assis sur un remblai d'épaisseur variable.
4. Type de fondations :
Les fondations dans un projet de génie civil, doivent être traitées avec un grand soin lors
de l’étude ou de l’exécution. Elle constitue une partie essentielle de l’ouvrage, puisque de sa
bonne conception et réalisation découle la bonne tenue et la stabilité de la superstructure.
Les fondations assurent la stabilité du bâtiment. Elles transmettent au sol le poids total de
l’ouvrage en le répartissant de manière à garantir une assise parfaite. Elles varient selon la
qualité du sol sur lequel le bâtiment doit être implanté, l’environnement, le type de l’ouvrage et
son utilisation.
La fondation (semelle et gros béton) est dimensionnée à l’ELS selon les conditions de
portance du sol et son ferraillage est dimensionné à l’ELU.
en béton armé, qui reprend les charges d'un organe de structure d'une construction et
III. Modélisation :
descente des charges est faite, on exporte les poteaux de l’Arche ossature vers l’Arche poteau
généralement le même dimensionnement pour les poteaux supportant des charges proches.
I. Introduction :
L’étude et le dimensionnement des éléments de la structure sont menés suivant les règles
techniques de conception et de calcul des constructions en béton armé selon la méthode des
états limites (B.A.E.L91).
II. Caractéristiques des matériaux :
1. Caractéristiques des bétons :
Dosage en ciment : 350 Kg/m3.
Classe du ciment : CPA45.
La résistance du béton à la compression à 28 jours : fc28=22MPa.
La résistance à la traction du béton à 28 jours :
ft28 = 0.6+0.06 fc28=1.92MPa.
Le module de déformation longitudinal instantané du béton à 28 jours pour une durée
d’application des charges inférieure à 24 heures :
Ei28 =11000 3√𝑓𝑐28 = 30822MPa.
Le module de déformation différé du béton à 28 jours pour les charges de longue durée
d’application :
𝐸𝑖28
Ev28 = = 10274MPa.
3
Le coefficient prenant en compte la durée d’application des charges : θ=1 si t > 24 heures
Le coefficient de sécurité : b =1.5.
0.85𝑥𝑓𝑐28
La contrainte de calcul du béton : fbu = = 12.46MPa.
𝜃𝛾𝑏
̅̅̅̅=
La contrainte limite de compression du béton :𝜎 𝑏𝑐 0.6x fc28=13.2MPa.
1
▪ En FTP : 𝜎̅𝑠 = min (2 𝑓𝑒 ; 90√𝜂𝑓𝑡28 )
2
▪ En FP : 𝜎̅𝑠 = min (3 𝑓𝑒 ; 110√𝜂𝑓𝑡28 )
I. Introduction :
L’évaluation des charges a pour but de déterminer les charges et les surcharges revenant à
chaque élément porteur au niveau de chaque plancher.
1. Plancher terrasse :
2. Plancher intermédiaire :
3. Murs et cloisons :
Charges d’exploitation
Nature du local Charges (KN/m²)
Chambres 1,5
Circulations internes 2,5
Circulations générales 4
Bureaux 2,5
Circulation des voitures 4
Locaux de réserves, dépôts ou stockage 3à6
Sanitaires 1.5
Salles d'opérations, salles de plâtres, salles de 3.5
travail
1.1Introduction :
Il s’agit d’étudier un panneau de dalle intermédiaire continue rectangulaire située au
plancher haut du 3éme sous-sol (Figure 10)
𝑙 3.69
α= 𝑥 = =0.69 ≥ 0.4
𝑙𝑦 5.3
1.2Détermination de l’épaisseur h0 :
Pour une dalle qui porte dans les deux sens nous avons :
l 3.69
h0=40x = 40 =0.092m On prend h0=10cm
d’habitation": (lorsqu’ils sont inclus dans les bâtiments d’habitation des garages pouvant
réunir 5 véhicules automobiles au moins (ou de plus de 100 m²) doivent être séparé du reste
L’épaisseur minimale pour que la dalle résiste pendant 2h est donnée par la formule
suivante :
α θ .Δ θ .(l'w +l'e )
h min =
2.Ω R
∆θ 2×Ωr 2×0.1
× 10−2 = = =24.23
hmin 10−3 ×(l′w +l′e ) 10−3 ×(0.8×3.69+5.3)
valeurs de hmin
𝐡𝐦𝐢𝐧 ∆𝛉
× 𝟏𝟎−𝟐
𝐡𝐦𝐢𝐧
22 23.2
24 19.9
G = 9.4KN/m2
{
Q = 2.5KN/m2
1.3.1.1 A l’ELU :
1.3.1.2 A l’ELS :
Les moments fléchissant agissants sur le panneau de dalle en travée et sur appuis sont :
Le calcul des armatures longitudinales est réalisé pour une section rectangulaire de
largeur unitaire, travaillant à la flexion simple. La totalité de calcul sera représentée dans le
tableau suivant :
Sens lx Sens ly
μ bu =
b×d 2 ×f bu
Asc(cm²) 0 0 0
α = 1,25× 1- 1-2μ bu 0.0229 0.0099 0.0153
- Bande suivant ly :
12ℎ0 : 𝑅𝐿
Aymin={ 8ℎ0 : 𝑓𝑒 = 400𝑀𝑃𝑎 Dans notre cas fe = 400MPa Aymin=8h0=2cm2/m
6ℎ0 ∶ 𝑓𝑒 = 500𝑀𝑃𝑎
- Bande suivant lx :
3−𝛼
Axmin= Aymin× = 2.31cm2/m
2
b) En travée sens ly :
Charge répartie + FPP l'espacement : Sty min (4h0 ; 45cm) = 45 cm
𝐴𝑡𝑦 = 2cm²/m
{ Soit4HA10 (3.14cm2/m) et Syx=33cm
Sty ≤ 45𝑐𝑚
Sur appuis :
𝐴𝑎𝑥 = 0.99cm²/m
{ Soit 4HA8 (2.01cm2/m) et Syx=25cm
Stx ≤ 33𝑐𝑚
22.55𝐾𝑁
𝑣𝑥 =
{ 𝑚
𝑣𝑦 = 20.22𝐾𝑁/𝑚 ≤ 𝑣𝑥 (𝑣é𝑟𝑖𝑓𝑖é𝑒)
Pour les dalles coulées sans reprise de bétonnage sur leurs épaisseurs, on n’a pas
besoin des armatures transversales, si on vérifie :
0.07×𝑓𝑐28 0.07×22
𝜏𝑢
̅̅̅ = = 1.026𝑀𝑃𝑎
𝛿𝑏 1.5
𝑣𝑢𝑚𝑎𝑥 22.55×10−3
𝜏 u= = = 0.100≤ ̅̅̅
𝜏𝑢 (vérifiée)
𝑏×𝑑 1×0.225
Les armatures transversales ne sont pas nécessaires.
Il faut vérifier :
𝑀𝑠𝑒𝑟
𝜎𝑏𝑐 = × 𝑦1 < ̅̅̅̅
𝜎𝑏𝑐 = 0.6 × 𝑓𝑐28 = 13.2𝑀𝑃𝑎
𝐼𝑠𝑟ℎ
En travée :
Sens Lx :
𝑏 2 1
𝑦1 + 15𝐴𝑠𝑡 × 𝑦1 + 15𝐴𝑠𝑡 × 𝑑 = 𝑦12 + 15 × 1.49 × 10−4 𝑦1 − 15 × 1.49 × 10−4 × 0.225
2 2
=0
𝑦1 = 0.029𝑚
𝑏 3 1
𝐼𝑆𝑅𝐻 = 𝑦1 + 15𝐴𝑠𝑡 (𝑑 − 𝑦1 )2 = × 0.0293 + 15 × 3.14 × 10−4 (0.225 − 0.029)2
3 3
= 0.93 × 10−4 𝑚4
𝜎𝑏𝑐 = 0.06 × 𝑓𝑐28 = 0.06 × 22 = 13.2𝑀𝑃𝑎
̅̅̅̅
8.385 × 10−3
𝜎𝑏𝑐 = × 0.029 = 2.41𝑀𝑃𝑎
0.93 × 10−4
𝝈𝒃𝒄
̅̅̅̅̅ 13.2 13.2 13.2
vérification
Arrêt de Barres :
En travée :
Pour des raisons constructives les armatures sont filantes dans le sens lx et Ly.
Sens lx, on alterne 2HA10 (/ml) filants
2HA10 (/ml) arrêtées à 0.1x3.69=0.369m
Soit 40cm
Sens Ly, on alterne 2HA10 (/ml) filants
2HA8 (/ml) arrêtées à 0.1x5.3=0.53m
Soit 55cm
Sur appuis :
𝑀𝑎 = 0.5𝑀0
𝑙𝑠 = 40𝜙
1 𝑀𝑎 0.32
𝑙1 = 𝑀𝑎𝑥 { = 𝑀𝑎𝑥 { = 1.02𝑚
[0.3 + ] 𝑙𝑥 1.032
4 𝑀0
𝑙𝑠
0.32
𝑙2 = 𝑀𝑎𝑥 {𝑙1 = 𝑀𝑎𝑥 { = 0.51𝑚
0.51
2
e) Vérification de la flèche :
3
h0 = 0.0375
80
≥ Max M 8.385
lx tx
= = 0.0375
{20M0 20 × 11.18
0.25
= 0.0677 > 0.0375 (𝑜𝑘)
3.69
On traite, à titre d’exemple, par un calcul détaillé une poutre continue à trois travées. Il
s’agit d’une poutre du plancher haut du 2éme sous-sol. Elle est soumise à des charges
uniformément réparties provenant de la dalle et des charges ponctuelles provenant de poteau
naissant.(Figure16)
Mau= 0. 5 M0u
AvecM0uest le moment maximal en travée de référence (isostatique, soumise aux mêmes
charges que la travée étudiée).
l l l
-Pour limiter la flèche de la poutre, on doit avoir ≤h≤ on prend
16 12 12
4.9
ℎ1 = = 0.4
12
5.53
ℎ2 = = 0.46
12
6.98
{ℎ3 = 12 = 0.58
𝑙1 4.9
= = 0.88
𝑙2 5.53
𝑙2 5.53
= = 0.79 < 0.8 (𝑛𝑜𝑛 𝑣é𝑟𝑖𝑓𝑖é𝑒)
{𝑙3 6.98
La méthode de Caquot minorée est applicable
Principe de la méthode :
Dans la méthode de Caquot Minorée en réduisant par le coefficient 2/3 les moments sur
appuis dus aux charges permanentes.
2.2. Évaluation des charges :
Charges réparties :
Pour les 3 travées on a :
G=9.4 KN/m2
Q=2.5KN/m2
G= (R1× 9.4)/2 + (R2 × 9.4)/2
Q= (R1× 2.5)/2 + (R2 × 2.5)/2
Charge ponctuelle :
𝐺 = 595𝐾𝑁
Travée 3{
𝑄 = 272𝐾𝑁
2.3. Calcul des sollicitations :
Correction des charges :
Le poids de chaque travée est : gpoutre= bh =25× 0.5 × 0.8 = 10𝐾𝑁/𝑚
N° Travée 1 2 3
Mi=𝑀𝑖𝑟é𝑝 + 𝑀𝑖𝑐𝑜𝑛𝑐
Avec
′2 +𝑘 .𝑃 .𝑙 ′2
𝑘𝑤 .𝑃𝑤 .𝑙𝑤 𝑒 𝑒 𝑒
𝑐𝑜𝑛𝑐
𝑀3𝑢 =− ′ +𝑙 ′
𝑙𝑤 𝑒
1 𝑎𝑤 𝑎𝑤 𝑎𝑤
𝑘𝑤 = ′
(1 − ′ ) (2 − ′ )
2.125 𝑙𝑤 𝑙𝑤 𝑙𝑤
1 𝑎𝑒 𝑎𝑒 𝑎𝑒
𝑒𝑡 𝑘𝑒 = ′
(1 − ′ ) (2 − ′ )
2.125 𝑙𝑒 𝑙𝑒 𝑙𝑒
𝑃×𝑙𝑖2
Avec µ(x)i=𝑀0𝑖 = 8
l
V0 (x)=P rép × -x
2
Pour ce cas de charge on va représenter un calcul détaillé des sollicitations et les autres cas
seront de la même façon.
À l’ELU : P=1.35G+1.5Q
À l’ELS : P=G+Q
Moments en travées :
Moments en travée :
Moments sur appuis 3èmecas de charge
travée 1 travée 2 travée 3
Le calcul sera développé uniquement pour la 1ère travée, le reste sera résumé dans un tableau.
Dimensionnement à l’ELU :
𝑀𝑢 = 200.36 ; d=0.8 m ; b=0.5m
𝑀𝑢
µ𝑏𝑢 = = 0.089 ≤ µ𝑙𝑖𝑚 = 0.39 𝐴𝑠𝑐 = 0
𝑏0 𝑑2 𝑓𝑏𝑢
𝛼 = 1.25(1 − √1 − 2µ𝑏𝑢 = 0.116
𝑍 = 𝑑(1 − 0.4𝛼) = 0.686
𝑀𝑢 0.20036
𝐴𝑢 = = × 104 = 8.39𝑐𝑚²
𝑧𝑏 × 𝑓𝑒𝑑 0.34 × 347.83
Soit 5HA16=10.05cm²
Vérification à l’ELS :
1értravée :
𝜎𝑏𝑐 = 0.06 × 𝑓𝑐28 = 0.06 × 22 = 13.2𝑀𝑃𝑎
̅̅̅̅
𝑏 2
𝑦 + 15 × 𝐴𝑠𝑡 𝑦1 − 15 × 𝐴𝑠𝑡 𝑑 = 0
2 1
0.5 2
𝑦 + 15 × 8.39 × 10−4 𝑦1 − 15 × 8.39 × 10−4 × 0.45 = 0
2 1
→𝒚𝟏 = 𝟎. 𝟏𝟖𝒎
𝑏 3
𝐼𝑆𝑅𝐻 = 𝑦1 + 15 × 𝐴𝑠𝑡 × (𝑑 − 𝑦1 )2 = 43.95 × 10−4 𝑚4
3
𝑀𝑠𝑒𝑟 0.145
𝜎𝑏𝑐 = × 𝑦1 = × 0.18 = 5.94𝑀𝑃𝐴 < 13.2𝑀𝑃𝐴
𝐼𝑆𝑅𝐻 43.95 × 10−4
Vérifiée
α
à l'ELU
Asc(cm²) 0 0 0
ISRH/A (10 m )
σ bc(MPa) 5.94 4.92 13.02
µ 0.051 0.126
dimensionnement
0.0663 0.169
α
z (m) 0.7 1.09
Asc(cm²) 0 0
4 4 36.12 287.74
à l'ELS
ISRH/A (10 m )
σ bc(MPa) 5.31 9.58
σ bc ≤ σbc
vérifiée vérifiée
3.97 3.97
Amin(cm²)
vérifiée vérifiée
C.N.F
Amin≤Achoisi
Astfinal 5HA14 6HA20+6HA16
Vérification du béton :
Travée 1 :
L’effort tranchant maximal :𝑉𝑢𝑀𝑎𝑥 = −249𝑘𝑁
5ℎ 5 × 0.8
𝑉𝑢𝑟𝑒𝑑 = 𝑉𝑢𝑚𝑎𝑥 × (1 − ) = −249 × (1 − ) = −181.24𝑘𝑁
3𝑙 3 × 4.9
La contrainte tangentielle :
|𝑉𝑢𝑀𝑎𝑥 | 249
𝜏𝑢 = = = 0.691𝑀𝑃𝑎
𝑏0 𝑑 0.5 × 0.72
Contraint limite : Fissuration peu préjudiciable ⇒
𝑓𝑐28
0.2
𝜏𝑢 𝑙𝑖𝑚 = 𝑀𝑖𝑛 {
̅̅̅̅̅̅̅ 𝛾𝑏 = 2.93𝑀𝑃𝑎
5𝑀𝑃𝑎
𝜏𝑢 < ̅̅̅̅̅̅̅
𝜏𝑢 𝑙𝑖𝑚
Donc le béton est vérifié vis-à-vis la contrainte tangentielle de cisaillement
Pourcentage minimal des armatures transversales :
0.4
𝑠𝑢𝑝 { 𝜏𝑢 × 𝑏0
𝐴𝑡 𝐴𝑡 2 0.4 × 0.5
≥ ( )𝑚𝑖𝑛 = = = 8.51𝑐𝑚²
𝑆𝑡 𝑆𝑡 𝑓𝑒𝑡 235
𝑣𝑢𝑟𝑒𝑑 181.24
𝜏𝑢𝑟𝑒𝑑 = = = 0.503𝑀𝑃𝑎
𝑏0 𝑑 0.5 × 0.72
(4 × 25) + 13 = 245𝑐𝑚
Et on procède par symétrie pour la deuxième demi travée
Désignations T1 T2 T3
G D G D G D
|𝑽𝒎𝒂𝒙
𝒖 |(kN) 184.91 244.54 24.22 354.85 1063.35 759.52
|𝑽𝒓𝒆𝒅
𝒖 |(kN) 134.6 178 17.62 258.29 774 552.84
- Appui intermédiaire :
𝑀𝑎𝑥 |𝑀𝑢𝑀𝑎𝑥 |
|𝑉𝑢,𝐺 |−
𝐴𝑔,𝐺 = 𝑍
𝑓𝑠𝑢
𝑀𝑎𝑥 |𝑀𝑀𝑎𝑥 |
|𝑉𝑢,𝐷 | − 𝑢𝑍
𝐴 =
{ 𝑔,𝐷 𝑓𝑠𝑢
|𝑽𝑴𝑨𝑿
𝑼 |(KN) |𝑴𝑴𝑨𝑿
𝑼 | AGmin (cm²) AGréelle (cm²)
Appui intermédiaire :
2𝑣𝑢𝑚𝑎𝑥 0.8𝑓𝑐28
𝜎𝑏 = ≤ ̅̅̅
𝜎𝑏 =
𝑎𝑏0 𝛾𝑏
Avec :
|𝑣𝑢 𝑑 |
𝑣𝑢𝑚𝑎𝑥 = 𝑚𝑎𝑥 {
|𝑣𝑢 𝑔 |
𝜎𝑏 :Contrainte de compression dans le béton
𝑎 = 𝑏𝑝 − 𝑐𝑡 − 2.5𝑐𝑚 ∶ 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙′𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖
𝑏𝑝 : 𝑙𝑎𝑟𝑔𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑢𝑡𝑟𝑒
Avec :{ 6𝑚𝑚
𝑐𝑡 : 𝑚𝑖𝑛 { = 6𝑚𝑚
𝑒𝑛𝑟𝑜𝑏𝑎𝑔𝑒
0.8𝑓𝑐28
𝜎𝑏 =
̅̅̅ = 11.73𝑀𝑃𝑎
𝛾𝑏
Vérification de la flèche :
Vérification de la flèche
Travée 𝐡 𝐥 𝐡 𝐌𝐭 𝐀 𝟒. 𝟐
𝐥 𝟏𝟔 𝐥 𝟏𝟎 × 𝐌𝟎 𝐛𝟎 × 𝐝 𝐟𝐞
0.163 0.0306 0.163 0.0761 0.00233 0.0105
1 ℎ 𝑙 ℎ 𝑀𝑡 𝐴 4.2
≥ 𝑂𝐾 ≥ OK ≤ 𝑂𝐾
𝑙 16 𝑙 10 × 𝑀0 𝑏0 × 𝑑 𝑓𝑒
0.144 0.0345 0.1446 0.047 0.0018 0.0105
2 ℎ 𝑙 ℎ 𝑀𝑡 𝐴 4.2
≥ 𝑂𝐾 ≥ OK ≤ 𝑂𝐾
𝑙 16 𝑙 10 × 𝑀0 𝑏0 × 𝑑 𝑓𝑒
0.114 0.0436 0.114 0.072 0.0019 0.0092
3 ℎ 𝑙 ℎ 𝑀𝑡 𝐴 4.2
≥ 𝑂𝐾 ≥ OK ≤ 𝑂𝐾
𝑙 16 𝑙 10 × 𝑀0 𝑏0 × 𝑑 𝑓𝑒
On calculera dans cette partie un poteau du sous-sol qui est soumis à des charges
verticales centrées.
Charge permanente :
Charge d’exploitation :
- Q=qxS
Evaluation de charges :
Généralement, un poteau de l’étage intermédiaire reçoit outre son poids propre, l’effet
du poteau au-dessus et les réactions des poutres et des raidisseurs de l’étage en question sous
𝑮 = 𝟓𝟗𝟕 𝑲𝑵 𝑵𝒖 = 𝟏𝟐𝟏𝟑. 𝟗𝟓 𝑲𝑵
La descente de charge nous a donné : { {
𝑸 = 𝟐𝟕𝟐 𝑲𝑵 𝑵𝒔 = 𝟖𝟔𝟗 𝑲𝑵
Etant donné que ce poteau est un poteau de rive et appartient à une poutre continue, l’effort
𝑁𝑢 = 1213.95 𝐾𝑁
normal devient (N=Nx1) : {
𝑁𝑠 = 869 𝐾𝑁
Choix de la section :
𝜃=1
f e 400MPa
f c 28 22MPa
2√3.lf
𝜆= = 35.27
𝑎
√12×𝑙𝑓
a≥ Avec lf est la longueur de flambement ; lf =K×l0
35
√12×2.24
a≥ =22 cm
35
k ∗ β ∗ 𝑁𝑢
Br ≥
θ ∗ fbu 0.85 ∗ fsu
0.9 + 100
2
1 0, 2 si 50
35
2
0,85 si 50 70
150
35 2
Dans ce cas : 𝛽 = 1 + 0.2 ∗ (35) = 1.2
𝐵𝑟 = (𝑎 − 0.02) ∗ (𝑏 − 0.02)
Alors
𝐵𝑟 0.0952
𝑏= + 0.02 = + 0.02 = 0.496𝑚
𝑎 − 0.02 0.2
On choisit b=50cm
𝑁𝑢 = 1222.75 KN
Br = (0.22-0.02)×(0.5-0.02)=0.096 m2
Br f bu 0.096∗12.47×103
Nb =1× = 1330.13 KN
0.9 0.9
1.1×1.2×1222.75−1330.13
A= × 10−3 =0.96× 10−3
0.85×347.82
A =9.6 cm2
4𝑐𝑚⁄𝑚 𝑑𝑒 𝑝é𝑟𝑖𝑚è𝑡𝑟𝑒
Amin = max { 𝐵
0.2 ×
100
𝑆𝑁 0.8778
σbc = 𝐵+15𝐴=0.11+15×12.31×10−4=7.89 MPa ≤ 13.2
(Vérifié)
3.3.3. Armatures transversales :
ɸ𝑚𝑎𝑥
𝑙
= 4𝑚𝑚 ≤ ɸ𝑙 ≤ 12mm
3
Soit Φt = 6 mm
Soit : St l’espacement en zone courante.
Sr l’espacement en zone de recouvrement.
lr longueur de recouvrement.
ls longueur de scellement.
40 𝑐𝑚
𝑆𝑡 ≤ 𝑚𝑖𝑛 {𝑎 + 10 𝑐𝑚 = 32 𝑐𝑚
15 𝜙𝑙𝑚𝑖𝑛 = 21 𝑐𝑚
Donc
𝑆𝑡 = 21 𝑐𝑚
ɸ𝒎𝒂𝒙 𝒇
lr =0.6×ls =0.6 𝒍
× 𝝉𝒆
𝟒 𝒔
Avec
𝜏𝑠 = 0.6 ∗ 𝜓𝑠2 ∗ 𝑓𝑡28 = 0.6 ∗ 12 ∗ 1.92 = 1.152 𝑀𝑃𝑎
𝜙 .𝑓
𝑙 𝑒 1,4×400
𝑙𝑟 = 0,6 𝑙𝑠 = 0,6× 4×𝜏 = 0,6 × 4×1.152 = 72.9𝑐𝑚
𝑠𝑢
4.1. Introduction :
Les fondations sont les éléments de transition entre les éléments porteurs d’une construction
(Poteaux, voiles…) et le sol.
Le dimensionnement sera mené selon la méthode des bielles qui suppose que sous l'action
des charges appliquées sur la semelle, ou peut considérer cette dernière comme une succession
des bielles de béton travaillant en compression, inclinées et transmettant aux aciers inférieurs
des efforts de traction.
Dans le cas général on suppose que la semelle soit homothétique avec le poteau, c'est-à-
dire :
𝐴 𝑎
=
𝐵 𝑏
𝑏.𝑆
A et B sont déterminés par A=B≥ √
𝑎
Avec : Pser = 2465 kN et σsol = 3 bars = 0.3 MPa , on utilise le gros béton sous la semelle on
remplace donc σsol par σGB= 6 bars = 0.6 MPA
2.465
S= = 4.11 m²
0.6
0.3∗4.11
A≥ √ = 1.57 m soit A=1.6 m
0.5
0.5∗4.11
B≥ √ = 2.61 m soit B=2.7 m
0.3
Vérification :
𝑃𝑠𝑒𝑟 2.5352
B=2.7m ≥ √ = √ =2.05 m
𝜎𝑠𝑜𝑙 0.6
(Vérifié)
P’= (Charge initiale appliquée sur la semelle + son poids propre) 1.05
Le poids propre de la semelle est estimé à 0.05 de la charge appliquée
P’ = 2535.2 x 1.05 = 2661.96 kN
Pour que les dimensions du gros béton soient homothétique il faut que :
𝐴 𝐴′
=
𝐵 𝐵′
𝐴′ = 3𝑚 𝑒𝑡 𝐵′ = 4𝑚
→( )
𝐻 = 1.5𝑚
𝑃′𝑢 0.045𝑥𝑓𝑐28
Il faut que 𝜏 = ≤ 𝜏𝑙𝑖𝑚 =
𝑈𝑐 𝑥 ℎ 𝛾𝑏
𝑎2 𝑥𝑏2
Avec P’u=Pu * (1 − )
𝐴𝑥𝐵
→ Pas de poinçonnement.
Dimensionnement :
A(m) : 1.60
B(m) : 2.70
SEMELLE da(m) : 0,60
db(m) : 0,60
h(m) : 0,65
A'(m) : 3.00
GROS BETON B'(m) : 4.00
H(m) : 1,50
4.6.2. Espacement :
𝐵 − 2 × 𝑒𝑛𝑟𝑜𝑏𝑎𝑔𝑒 (2.7 − 2 × 0.05)
𝑆𝑡 = = = 0.28𝑚
(𝑛 − 1) 10 − 1
5.1 Introduction :
5.3 Chargement :
La contrainte de poussée :
de sol :
𝜋 𝜙
𝐾𝑎 = 𝑡𝑔2 ( − ) = 0.333
4 2
𝜎𝑎 = 𝐾𝑎 × 𝛾𝑠𝑜𝑙 × 𝐻 + 2𝐶√𝐾𝑎 = 0.333 × 18 × 3.55 = 21.27𝑘𝑁/𝑚
due à Q :
𝑄 = 𝑞 × 𝐾𝑎 = 2.5 × 0.333 = 0.83 𝐾𝑁/𝑚
Butée :
1
𝐾𝑏 = =3
𝐾𝑎
𝑏 = 𝐾𝑏 × 𝛾𝑠𝑜𝑙 × 𝐻 ′ = 3 × 18 × 0.55 = 29.7 𝐾𝑁/𝑚
Vérification au renversement :
Force de poussée de sol :
P2=Ka.q.H
Force de buttée :
𝐤𝐍 Effort
ELS 𝛄( 𝟑 ) H(m) L(m) 𝐃𝐢𝐬𝐭 /𝐀 (𝐦) 𝐌/𝑨 (𝐤𝐍. 𝐦)
𝐦 vertical (kN)
N1 25 3.55 0.30 26.62 0.65 17.30
N2 25 0.35 1.40 12.25 1.50 18.37
N3 25 0.35 0.50 4.37 0.25 1.09
N4 18 3.20 1.40 80.64 1.50 120.96
N5 18 0.2 0.55 1.8 0.25 0.45
Qv -- -- 1.40 3.5 1.50 5.25
𝑏 × ℎ′ ℎ′ 29.7 × 0.55²
𝑀𝑏𝑢𝑡é𝑒 = × = = 1.49𝑘𝑁. 𝑚
2 3 6
𝑯 𝑯
𝟏. 𝟑𝟓𝑷 𝟑 + 𝟏. 𝟓 𝑸. 𝟐 ≤ 𝟎. 𝟗 ( ∑ 𝑵𝒊. 𝒅𝒊 + 𝑴𝒃𝒖𝒕𝒕é𝒆 )
120.27+7.04≤0.9.(163.42+1.49)
127.31≤148.42
Il faut que :
∑𝑀𝑟𝑒𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑛𝑡 127.31
≤ 0.9 = 0.85𝑘𝑃𝐴 < 0.9
∑𝑀𝑠𝑡𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑠𝑎𝑛𝑡 148.42
Vérifiée
Vérification au glissement :
Vérification au poinçonnement :
Excentricité :
𝑀𝑠𝑡𝑎𝑏 148.42
𝑒/𝐴 = = = 1.15𝑚
𝑁 129.18
Milieu de la semelle :
𝐿 𝑀 𝐿
𝑒=| − |<
2 𝑁 6
2.2 2.2
= − 1.15 = 0.05𝑚 < = 0.36
2 6
5.4 Calcul des contraintes :
a) À l’ELS :
Contrainte Majeur :
𝑁 6𝑒 129.18 6 × 0.05
𝜎1 = (1 + ) = (1 + ) = 66.72𝑘𝑃𝐴
𝑆 𝐿 2.2 2.2
Contrainte Mineur :
𝑁 6𝑒
𝜎2 = (1 − ) = 50.71𝑘𝑃𝐴
𝑆 𝐿
𝜎1 < 𝜎𝑠𝑜𝑙 = 300𝑘𝑃𝐴
b) A l’ELU :
𝑁 = 174.4𝑘𝑁. 𝑚
𝑒⁄ = 148.42 = 0.85𝑚
𝐴 174.4
𝑒⁄ 𝑙 𝑀 2.2
𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 = | − | = − 0.85 = 0.25𝑚
2 𝑁 2
Contrainte à l’ELU :
𝑁 6𝑒 174.4 6 × 0.25
𝜎1 = (1 + ) = (1 + ) = 133.32𝑘𝑃𝐴
𝑆 𝐿 2.2 2.2
𝑁 6𝑒
𝜎2 = (1 − ) = 25.22𝑘𝑃𝐴
𝑆 𝐿
𝜎1 < 𝜎𝑠𝑜𝑙 = 300𝑘𝑃𝐴
𝑏 𝑏 𝑏2 𝑏3
𝑀𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑛 = (𝜎1 (1 − ) + 𝜎2 ) + (𝜎1 − 𝜎2 )
𝐵 𝐵 2 3𝐵
0.5 0.5 0.52 0.53
𝑀𝑢𝑝𝑎𝑡𝑖𝑛 = 133.32 × (1 − ) + (25.22 × )× + (133.32 − 25.22) × )
2.2 2.2 2 3 × 2.2
= 106.5𝑘𝑁. 𝑚
0.5 0.5 0.52 0.53
𝑀𝑠𝑝𝑎𝑡𝑖𝑛 = 66.72 (1 − ) + (50.71 × ( )) × + (66.72 − 50.71) ×
2.2 2.2 2 3 × 2.2
= 53.3𝑘𝑁
𝑀𝑢 106.5
𝛾= = =2
𝑀𝑠𝑒𝑟 53.3
𝜇𝑙𝑢 = 0.394
106.5 × 10−3
𝜇𝑏𝑢 = = 0.086
1 × 0.3152 × 12.47
𝜇𝑏𝑢 < 𝜇𝑙𝑢 ; 𝜇𝑏𝑢 < 0.394 A’=0
𝑧𝑏 = 0.3𝑚
106.5 × 10−3
𝐴𝑢 = × 104 = 10.2𝑐𝑚2
0.3 × 347.83
Soit 4HA20=12.57m²
𝑏𝑡 𝑏𝑡 𝑏𝑡3
𝑀𝑢𝑡 = 1.35 × [(𝐺 × 𝑏𝑡 ) + (𝛾𝑠𝑜𝑙 × 𝑏𝑡 × 𝐻) + 1.5 × 𝑄] × − 𝜎2 − (𝜎1 − 𝜎2 ) ×
2 2 6𝐵
1.4 1.4
𝑀𝑢𝑡 = [1.35 × (2.5 × 1.4) + (1.8 × 1.4 × 3.20) + 1.5 × 0.83] × − × 25.22
2 2
1.43
− (133.32 − 25.22) × = −27.45𝑘𝑁. 𝑚
2.2 × 6
𝑏𝑡 𝑏𝑡 𝑏𝑡3
𝑀𝑠𝑒𝑟𝑡 = [(𝐺 × 𝑏𝑡 ) + (𝛾𝑠𝑜𝑙 × 𝑏𝑡 × 𝐻) + 𝑄] × − 𝜎2 − (𝜎1 − 𝜎2 ) ×
2 2 6𝐵
1.4 1.43
𝑀𝑠𝑒𝑟𝑡 = [(2.5 × 1.4) + (1.8 × 1.4 × 3.20) + 0.83] × − (66.72 − 50.71) ×
2 6 × 2.2
1.42
− (50.71 × ) = −44.34𝑘𝑁. 𝑚
2
𝑀𝑢
𝛾= = 0.61
𝑀𝑠𝑒𝑟
𝜇𝑙𝑢 = 0.394
27.45 × 10−3
𝜇𝑏𝑢 = = 0.0225
1 × 0.3152 × 12.47
𝜇𝑏𝑢 < 𝜇𝑙𝑢 ; 𝜇𝑏𝑢 < 0.394 A’=0
𝑧𝑏 = 0.311𝑚
27.85 × 10−3
𝐴𝑢 = × 104 = 2.57𝑐𝑚2
0.311 × 348
Soit 4HA10=3.14cm²
5.7 Etude du fût :
A l’ELU :
𝐻 𝐻 𝐻
𝑀𝑢 = 1.35 × [𝑃𝑡 ( − 𝑒𝑠 ) + (𝐺 × − 𝑒𝑠 )] + 1.5 [𝑄( − 𝑒𝑠 )]
3 2 2
3.55 3.55
𝑀𝑢 = 1.35 × [21.27 × ( − 0.35) + (2.5 × − 0.35] + 1.5
3 2
3.55
× [(0.83 × ( − 0.35)] = 30.51𝑘𝑁. 𝑚
2
𝐻 𝐻 𝐻
𝑀𝑠𝑒𝑟 = [𝑃𝑡 ( − 𝑒𝑠 ) + (𝐺 × − 𝑒𝑠 )] + [𝑄( − 𝑒𝑠 )]
3 2 2
Conclusion :
ANNEXE
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