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Selon l’origine :
• Plâtres issus des gypses naturels :
- Gypse issus de carrières -> +ieurs étapes => plâtre : forme déshydratée
- 10-15% d’impuretés
• Plâtres synthétiques : fabrication industrielle :
CLASSIFICATION Sulfate de sodium + chlorure de calcium/carbonate de calcium
- 99% de pureté
- Structure cristalline mieux ordonnée = bonne propriétés physiques
Autres classification :
Plâtre de Paris β : à empreinte
Plâtre de Pierre α :
- type 1 : dur
PLATRE
• Expansion volumique : favorable pour l’insertion des couronnes en bouches => surdimenssione
PROPRIETES CHIMIQUES
légèrement le modèle
• Expansion linéaire : défavorable pour les Bridges => écarte les piliers les uns des autres / leur
situation réelle => source d’erreur
Facteurs de variation :
• Facteurs physiques :
Facteurs physiques Proportionnalité avec EP
Température IP
Rapport eau/poudre IP
Temps de spatulation P
• Facteurs chimiques :
- Accélérateurs de prise (sulfate de potassium/ chlorure de sodium) : EP↓
- Introduction du gypse : EP↑
III Grossissement des ++↓ Eau Cristaux non gênés => eau
cristaux, contacts et ++ rapprochement des comprimée vers l’ext
début de l’expansion de
particules mais contraction Particules ++ séparées au fur et à
prise contrariée par le passage mesure que les cristaux
vers l’ext des cristaux grossissent
grossissants EP bcp ++ sensible
IV/V Expansion de prise +++ ++ Expansion de prise ++++ Expansion de prise
lors de la prise sous l’eau Cristaux gênés s’engrènent + Cristaux grossissent+ librement
/ dans l’air tôt au début puis engrainement
• Facteurs de variation : moment d’immersion/addition d’eau + durée et qté d’eau
Rapport eau-poudre :
- Mélange trop liquide : EP ↓ + TP ↑ + plâtre poreux/fragile
- Mélange épais : EP ↑ + TP ↓ + dureté
- Rajout d’eau au cours du malaxage : EP ↑↑↑ + dureté ↓
▪
▪ Vibration
▪ Consistance mastic
PLATRES ▪ Rapport eau/poudre ↓
TECHNIQUE DE PIERRES Propriétés mécaniques +++
MISE EN Variations dimensionnelles - - -
OEUVRE
• Ratio plâtre/eau : Respect des proportions
Utilisation balance + éprouvette
• Saupoudrage : Plâtre dans l’eau, jamais l’inverse
Utilisation eau T° ambiante
Plâtre doit être verser lentement
CONSIGNES A
• Imbibition : Respect du temps (1-2min) = chq cristal de plâtre est recouvert d’eau + bulles d’air
RESPECTER
Echappent =/ bulles d’air restent emprisonnées et apparaissent dans l’empreinte
Hydratation du plâtre se fait par saturation progressive sans spatulation
• Mélange :
Outils propres
Mélange mécanique sous vide = meilleurs propriétés + absence de bulles
STOCKAGE Endroit sec + Utilisation 3mois après ouverture
Revêtements compensateurs : matériaux de réplique utilisés pour la confection de moules utilisés en fonderie
UTILISATION EN de précision + susceptible de compenser les variations de volume des maquettes en cire et des matériaux
DENTISTERIE utilisés pour leur reproduction
Revêtement =
o Substrat réfractaire (silice) expansion thermique
COMPOSITION
o Liant (plâtre, silicique ou phosphate) résistance mécanique du moule
LES REVÊTEMENTS
Expansion thermique :
PHYSIQUES Paramètres Proportionnalité avec ET
Rapport dihydrate/silice P
Rapport eau/poudre IP
Additifs : chlorure de sodium/potassium ET quartz ↑
+ acide borique
Rapport cristobalite/quartz : 75%/25% ET ↑
Resistance à la compression :
Paramètres :
o Intrinsèques : rapport massique silice/plâtre
MECANIQUES o Extrinsèques : rapport eau/poudre
Résistance pyroscopique :
Montée en T° trop rapide craquelures nécessiter de bien contrôler le chauffage du moule
Silicate Acide silicique = élément de base obtenu par hydrolyse du silicate d’éthyl :
d’éthyl Silicate d’éthyl + 4H2O Acide silicique + Ethanol
COMPOSITION
Produit comportant 2 liquides : silicate de sodium + acide dilué = acide silicique :
Silicate de Silicate de sodium/ HCl dilué + 3H2O Acide silicique + 2NaOH (soude)
sodium
La soude ↓ la résistance pyroscopique
Ces revêtements sont rarement employés temps de durcissement +++ long que celui des liant plâtre ou
phosphate
Poudre =
A LIANT PHOSPHATE
Paramètres intrinsèques :
o Rapport eau/poudre+ T° ambiante + Temps de malaxage + Conservation des
revêtements
Expansion thermique :
PROPRIETES Paramètres de l’ET :
Paramètres Proportionnalité avec ET
Granulométrie du quartz + cristobalite : P
taille des grains
PHYSIQUES Rapport eau/poudre IP
Additifs : chlorure de sodium/potassium ET du quartz ↑
+ acide borique
Rapport cristobalite/quartz : expansion diff selon les proportions
EP + ET = Expansion totale de 1,5-2,5%
o Propriétés :
- Coef de dilatation thermique +↓
CLASSIFICATION Cires végétales
- Intervalles de T° ↑
(selon l’origine)
- Solides à T° ordinaire, plastiques à chaud
- Insolubles dans l’eau, solubles dans alcool chaud + solvants organiques
- Résistance à l’hydrolyse + oxydation
o Cérides
= Cires d’abeille
Cires animales o Mêmes propriétés que les cires végétales
- T° de fusion = 65°C
- Cassante T° ambiante, plastique T° buccale
o Réactions chimiques conduites par l’homme
Cires
= polyéthylènes, T° fusion = 100-105°C
synthétiques
= polyoxyéthylènes + éthylènes glycopolymères, T° fusion = 37-63°C
Cires à modeler = cires roses
Cires dites de fonderie = cires bleues ou vertes
CLASSIFICATION
Cires collantes = cires jaunes
(selon la
Cires d’occlusion
destination)
Mélanges à empreinte thermoplastiques réversibles « anciens »
Mélanges à empreinte thermoplastiques réversibles « modernes »
Cires dentaires = mélange de cires où domine les cires naturelles permet de régler les propriétés essentielles :
Intervalle de ramollissement
Coef de dilatation thermique
Propriétés mécaniques
Fluage
Contraintes internes
Ductilité
Température = rôle +++
Variation = changement d’état : liquide solide
Ne jamais chauffer la cire jusqu’à FUSION
Perd ses propriétés + s’évapore N’est plus utilisable en clinique
2 types :
Cires d’occlusion - Cires chargées de poudre métallique : Enregistrement d’occlusion
aluminium (aluwax), cuivre, bronze
(coprwax) ↓ fluage par effet de friction
CIRES DENTAIRES
Mélanges à
UTILISATION ET = Cire à mouler
empreinte
PREPARATION Bourrelets destinés à l’enregistrement d’occ en PA
thermoplastiques
Cire abeille + résine Abandonnées comme matériau d’empreinte
réversibles
Forme : plaques circulaires, rouge/brune rétraction+++ au refroidissement
anciens
Types : Stent’s et Godiva
= Pate de Kerr
Ciments, colles
D’ASSEMBLAGE
Alliages, céramiques, composites, amalgames, résines
DE RESTAURATION
Méthyle-Méthacrylates PMMA
+++ utilisée
Forme : liquide/poudre Facile à utiliser
Propriétés optiques +++ :
transparence Solide Instabilité de la teinte
Propriétés chimiques +++
LES RESINES DENTAIRES
Mesures préventives :
- Respect du dosage
- Bien finir et polir les prothèses en résine
- Minimiser le temps de séjour en bouche
Alliage = mélange 2 ou + métaux dans le but de modifier leurs prorpiétés
➢ Alliages précieux
➢ Alliages non précieux = revêtements phosphate/ silice +++
Alliages à base de titane
AP ANP TITANE
Selon carat = 1/24eme de la masse totale de ➢ Pure :
l’alliage millième de la masse ➢ Selon la composition : Ti + O + Fe…
A base de nickel : Ni, Cr 4 types :
Selon couleur = jaune ou blanche non Résistant haute T° 1 4 prop méca +++, +++ teneur O,Fe
significative de la teneur en Or Toxicité liée au Ni
PC unitaire ou plurale ➢ Alliages à base de titane
Classification AFNOR : 3 types :
A base de cobalt : Co, Cr
TYPE
Mou Inlay/onlay Rigidité +++ < 882°C = alpha résistance mécanique
CLASSIFICATION I
Tolérence bio +++ +++
TYPE
Moyen Inlay/onlay/couronne Chassis métallique + CC ou CCM >882°C = beta + plastique, résistance
II
mécanique ---, sensibilité T°
TYPE
Dur Couronne ➢ Selon l’utilisation : CC, CCM, bridges,
III
PAPC A 882°C Alpha beta (formes
TYPE
Très dur Bridges ➢ Selon propriétés spécifiques : allotropiques) transus B
IV
corrosion, oxydation, mordançage,
propriétés mécaniques Hybride : alpha + B
Mélange tertiaire :
- Argent(Ag)+++ : réaction avec Hg
CONSTITUTION - Etain(Sn) : dureté + résistance à la compression
- Cuivre (Cu) : contrôle de réaction Ag + Hg
Amalgame HCSC
Expansion de prise +++ par :
- Humidité du milieu buccal : salive
- Excès Hg
PHYSIQUES
-
Champ opératoire : protection contre humidité
Elimination du Hg en excès
La résistance :
A la compression e > 1,5 mm
Au cisaillement pas d’angle vif
PROPRIETES
Le fluage : déformation lente, progressive, irréversible d’un corps soumis à une contrainte constante
et répétée
MECANIQUES Fluage + corrosion détérioration marginale
Esthétique : ↓↓↓
Toxicité :
Libération du Hg minéral = vapeurs de Hg
- Lors de la mise en œuvre clinique (dépose d’amalgame, condensation, polissage)
- A la T° buccale
Précautions :
- Aspiration chirurgical/ ventilation
- Pas de contact avec Hg
- Utilisation système préposées
- Récupération des déchets
3. Anesthésie
4. Isolement champs opératoire
absence d’humidité
digue ou rouleaux de cotons + aspiration salivaire
performances optimales + protection patient et praticien + meilleure visibilité + rétraction tissus mous
5. Protection complexe P-D : ZOE, HC, CIV
6. Mise en œuvre :
PROTOCOLE o Trituration : mélange poudre + Hg avec amalgamateur
OPERATOIRE phase plastique
o Condensation : par +++ apports dans tous les détails de la préparation + avec précision
adaptation du matériau aux parois et bords ↓ fluage
Indice de réfraction :
➢ Proche des tissus dentaires avoisinants
➢ Condition d’un effet esthétique ++
Translucidité et opacité :
ESTHETIQUES ➢ Translucidité : permet la pénétration diffuse de la lumière
➢ Opacité : empêche la pénétration diffuse de la lumière
Aptitude au polissage :
PROPRIETES ➢ Surface lisse + brillante
➢ Composites micro-chargés et hybrides récents +++
Toxicité directe :
➢ Elément résineux +++
➢ Composites pauvres en charges minérale +++ dangeureux
➢ Diverses substances irritantes
✓ Fonctions libres cétone + alcool (BIS-GMA)
BIOLOGIQUES ✓ Polyuréthanes
✓ Epoxy
➢ Autres éléments : nature carie, étendue, prox pulpaire, epaisseur de la dentine résiduelle,
polymérisation incomplète
Adhérence chimique :
Liaison ionique + covalente
Adhérence mécanique :
➢ Biseau
ADHERENCE A ➢ Effet de mordançage :
ADHERENCE A L’EMAIL
LA DENT Solution aqueuse acide : acide phosporique à 37% au contact de l’émail pendant 60s
Infractuosités Agent mouillant de ↓ viscosité s’y insinue
Adhérence physico-chimique :
➢ Coexistence des 2 constituants : organique et inorganique
➢ Liaison : adhésif (agent de liaison)
➢ Dentine seule/émail + dentine
ADHERENCE A LA
Structure moléculaire des agents de liaison :
DENTINE
2 extrémités :
➢ Groupe méthacrylate réaction chimique phase organique du composite
➢ Groupe réactif liaison chimique élement organique ou inorganique du tissu dentaire
Echecs cliniques
Matériau sensible à la technique de mise en œuvre
Le choix dépend du nombre et valeur des dents à remplacer + préférences du patient (Age, moyens économiques…)
But : rétablir la fonction + esthétique
Dent où la racine naturelle est utilisée comme support d’une PC
o Unitaire : support une seule couronne
Pilier
o 2pilliers de part et d’autre de l’édentement : support d’un bridge
o Implant
Réduction coronaire occlusale + périphérique quantifiée = Elimination couche d’émail + partie de la
Préparation dentine par usure (fraises)
(Ou Taille) Ménager l’espace
Homothétique
Inclinaison des parois convergentes vers la face O 6°-16°
Dépouille Prise d’empreinte sans déformation du matériel
Insertion + désinsertion de la couronne
TERMINOLOGIE ET
Limite marquant la fin de la préparation au niveau cervical
NOTIONS
Limite cervicale o Différentes formes cliniques : simple dépouille, congé ou épaulement
FONDAMENTALES o Différentes positions : supra, juxta ou infra-gingivale
Moignon Reliquat de la couronne après préparation de la dent pilier = résultat d’une taille
Empreinte Enregistrement en négatif du moignon (préparation) + environnement buccale
Reproduction en positif des éléments enregistrés par l’empreinte en plâtre (généralement)
Modèle
Réplique de l’arcade dentaire du patient
Pièce Provisoire, inlay core, chape, biscuit Réalisé au labo de prothèse
prothétique Diff matériaux : résine, composite, alliage, céramique
Fixation de la couronne sur sa préparation de façon intime par un matériau : provisoire définitif
Assemblage o Scellement = ciment
o Collage = colle
1. Examen clinique + radiologique
2. Préparation
ETAPES D’UNE 3. Empreinte Labo : modèle + pièce prothétique
REHABILITATION PC 4. Provisoire (résine)
5. Essayage (chape, biscuit) Labo : finition
6. Assemblage
Couronne prothétique = s’encastrer sur le moignon avec le max de précision
Rapport avec le moignon Bord cervical sans hiatus + sur-contour
INTEGRATION Gencive marginale + papille inter-dentaire non comprimés
INTRA-BUCCALE D’UNE Rapport avec les dents naturelles
Points de contact inter-dentaires rétablis
COURONNE DENTAIRE adjacentes
Engrainement fonctionnel + physiologique
Rapport avec les dents antagonistes
Contacts équilibrés + vérifiés en statique + dynamique
Incrustation intra-coronaire
RESTAURATIONS Face O (tranchée) + P (boite)
PROTHETIQUES Inlay Pas de préparation périphérique
UNITAIRES CAVITAIRES Alliage, composite, céramique
Restitution forme + rapports + fonction
Incrustation intra-coronaire
Tout/partie de la face L + O + P
Onlay
Préservation de la face V
Alliage, composite céramique
Tenon radiculaire de longueur + épaisseur + forme codifiée se prolongeant par un moignon coronaire
RESTAURATIONS Inlay Core RCR Dent délabrée, espace suffisant
PROTHETIQUES Coulée (alliage) ou Foulée (tenon en fibre)
UNITAIRES CORONO-
RADICULAIRES Tenon radiculaire en alliage fait corps avec la couronne en une seule pièce
Dent de Richmond
Dent délabrée, manque d’espace verticale
Remplacement de 1-2 dents absentes en prenant appui sur les dents piliers de part et d’autre de
RESTAURATIONS
Bridge l’édentement peut prendre appui sur un coté = Porte-à-faux
PROTHETIQUES PLURALES Ancrage + travée
PRINCIPE DE LA CHAINE DE FONDERIE POUR COURONNE COULEE
La fonderie par fronde = procédé de confection des pièces prothétiques dentaires (mise en forme alliages)
INTRODUCTION +++ utilisée mais concurrencé par la CFAO (usinage)
Autres : frittage, électrodéposition, façonnage
ETAPES CLINIQUES ETAPES DE LABORATOIRE
Examen clinique = indication
Préparation + empreinte
Fusion à la flamme :
Fusion électrique :
Chalumeau
Résistance électrique
FONDERIE OU COULEE Fonte des alliages et Incontrôlé + irrégulier
T° réglable + homogène
PAR CIRE PERDUE coulée Porosité
- Déposer le revêtement
- Examiner la pièce prothétique
Manipulation après
- Sectionner la tige de coulée
coulée - Contrôler l’ajustage sur le MPU
- Traitement thermique (homogénéisation)
Forgeage Façonnage d’une feuille en papier sur le MPU n’est plus utilisé
Frittage Condensation d’une poudre d’alliage sur le MPU + chauffage (or pur)
CONCEPTION D’UNE
CHAPE METALLIQUE Electrodéposition Dépose de couche métallique par l’action du courant électrique dans un bain électrolytique
Glaçage Application d’une glaçure de surface Améliorer l’état de surface + masquer les défauts
1. Empreinte optique
2. Choix de la couleur
3. Conception de la couronne sur le logiciel
4. Fabrication par une machine fraiseuse
Spectrophotomètres +++
LES PRINCIPES DE PREPARATION POUR PROTHESE UNITAIRE
Préparation dentaire = forme géométrique de réduction dentaire destinée à recevoir une construction prothétique
INTRODUCTION But : ménager le volume nécessaire au matériau de restauration
Conditionner le résultat final de la restauration prothétique
PRINCIPES BIOLOGIQUES
Prophylaxie et prévention :
Précautions pour - Supprimer trace de carie
préserver la vitalité - Eviter agressions pré et post-prothétique :
pulpaire Anesthésie : vigilance du praticien +++
Echauffement : fraises usées, irrigation non efficace, résine provisoire
Agressions mécaniques : vibrations lors du fraisage, séchage intempestif
Agressions chimiques : substances de nettoyage toxiques, monomère des résines acryliques
Electrogalvanisme : présence de +2 métaux de nature différente en bouche A éviter
Percolation marginale : joint dento-prothétique +++
Occlusion réglée éviter les microtraumatismes pulpaires
Evaluation parodontale parodonte pathologique traitement parodontal pré-prothétique
parodonte sain trop fin chirurgie muco-gingivale parodonte épais traitement prothétique
Bilan parodontal
systémique Type de parodonte :
- Fin + festonné = esthétique + sensible
- Epais + peu festonnée = peu esthétique + résistant
Au préalable :
• Assainissement de la cavité buccale :
Motivation à l’HBD, détartrage, surfaçage, suppression de ce qui retient la plaque dentaire
• Chirurgie parodontale pré-prothétique si nécessaire :
Élongation coronaire, comblement des crêtes
Conception de la prothèse :
• Intégration parfaite dans le contexte parodontal :
Respect du profil d’émergence : profil du 1/3 cervical dans le prolongement de la racine sans
sur/sous-contour
Joint dento-prothétique étanche
Contacts proximaux, embrasures
Etat de surface : céramique +++
Pas de sur-occlusion ajustement occlusal
Traitement parodontal initial : détartrage-surfaçage
Chirurgie parodontale :
Absence de papille inter-dentaire : sinon point noir OU sur-contour
Excès tissulaire en balcon de la gencive marginale favorise rétention de la PD
PC sur parodonte Atteinte de la furcation : amputation ou hémisection radiculaire
réduit
Modification de forme :
Hygiène facilitée par les sillons de stimulation + gouttières marquant les zones furcatoires
Les limites cervicales : +apicales, - mutilantes mais suffisantes Limite simple ou mini-congé
PRINCIPES MECANIQUES
• Prothèse scellée :
Précision d’adaptation dans la zone cervicale = +++ rétention
Surface lisse avec ligne de finition nette
Etat de surface
• Prothèse collée :
Etat de surface +++ important micro-rétentions (mordançage – sablage)
Surface non lisse
Stabilisation + rétention
Géométrie de la Réduction occlusale homothétique = suivre l’inclinaison des pans + versants des cuspides
préparation Les arêtes entre les pans = émoussées
STABILISATION Les sillons au centre = peu profonds
↑ la stabilisation d’une préparation courte + massive OU avec excès de dépouille
Moyens annexes
Rainures, boites, puits, cannelures
L’élément prothétique est soumis à des forces occlusales, sa résistance est influencée par :
L’épaisseur ménagée lors de la réduction
RESISTANCE L’importance des contraintes
MECANIQUE Matériau utilisé : composite, métal, céramique
Absence d’angle vifs
Equilibration occlusale
= zone de transition entre partie préparée et partie non préparée
Loge le bord prothétique qui doit être :
En parfaite continuité anatomique et esthétique de la dent
Résistant aux forces occlusales
Définie par sa forme + situation
Respecte le profil d’émergence
Permet un hiatus réduit comblé par le ciment
Varie avec la nature du bord prothétique :
Limite simple :
o Econome en substance mais difficile a lire
o Simple mise de dépouille de la préparation
o Dent au parodonte réduit
L’épaulement droit :
Forme o 90° / surface dentaire
o Facile à réaliser et à lire
o Couronnes céramiques
LIMITE CERVICALE
L’épaulement à angle interne arrondi :
o Epaulement droit + arrondissement de l’angle interne
o Congé large + aplatissement de l’angle externe
o CCC/CCM avec joint céramique dent
Le congé : +++
o Simple, large ou quart de rond
Supra-gingivale : au-dessus de la crête gingivale
Facilement accessible
Favorable au parodonte
Pas esthétique
Juxta-gingivale : au niveau de la crète gingivale
Situation
Situation de compromis
Pas recommandée rétention de plaque
Intra-sulculaire : dans le sulcus
0,5mm de la crête gingivale
2,5-3mm de la crête osseuse respect de l’espace biologique
PRINCIPES OCCLUSO-FONCTIONNELS
L’équilibre occlusale révèle de principes géométriques associés à des contrôles neurologiques qui établissent un système de fonction + protection de
l’appareil manducateur à 2 niveaux :
L’organe dentaire
L’arcade dentaire
Les faces occlusales = parties actives : mastricatrices, stabilisatrices(calage), orientatrices (guidage)
ORGANE DENTAIRE Doivent être respectés + restaurés correctement
Les arcades répartissent et dirigent les contraintes des forces occlusales équilibre optimal + protection du système
Continuité de l’arcade bonne stabilité des dents + meilleure répartition des contraintes
Les arcades doivent être curvilignes dans les 3 plans :
• Plan horizontal : plan de l’arcade
• Plan sagittal : courbe de Spee
ARCADE DENTAIRE • Plan frontal : courbe de Wilson
PRINCIPES ESTHETIQUES
• Les 3 étages
• Parallélisme entre les 3 lignes horizontales de référence
La face
• Symétrie faciale
• Profil
• En bonne santé esthétique +++
• Les festons gingivaux des incisives centrales : symétriques, canines : même niveau ou + apicaux,
latérales : jamais + apicaux que les canines
La gencive Festonnage parallèle à la ligne bi-pupillaire suit la courbure de la lèvre
ANALYSE DU SOURIRE • Sont considérés comme disgracieux :
Récessions gingivales, papilles inter-dentaires = triangle noir, irrégularité du feston gingival,
excès de l’épaisseur de la gencive
Les lèvres Ligne de sourire, mouvement des lèvres, bord incisal, exposition des dents au repos
• Proportions
• Agencement
Les dents
• Couleur et texture
• Personnalisation
Objectif Apparence naturelle = meilleur résultat esthétique
Réduction V suffisante pour créer l’espace nécessaire au matériau cosmétique
Maintien de la vitalité pulpaire dent dépulpée = dyschromie
Impératifs Face V des dents accessibles au sourire intacte
Choix de la teinte des dents antérieures / aux dents adjacentes
Céramique = matériau cosmétique, couleur stable dans le temps esthétique +++
Restauration céramo-métallique :
Bords en céramique sans joint métallique (joint céramique-dent)
RETABLISSEMENT DU
SOURIRE Facettes collées :
Modification forme + position + aspect de surface
Thérapeutiques Reproduction des caractéristiques d’un émail naturel
prothétiques Mimétisme + métamérisme parfaits
esthétiques
Restaurations tout céramique :
Esthétique +++
Nécessite de maitriser les particularités de préparation pour CCC
Demandent un technicien habile + expérimenté
Influencées par le mode d’assemblage
INCONVENIENTS AVANTAGES
CONTRE-INDICATIONS INDICATIONS
Exigence esthétique +++
INDICATIONS Lésions inter-radiculaires Protection des dents délabrées postérieures
+ Lyse osseuse diminuant le rapport couronne/racine Améliorer la fonction occlusale
CONTRE-INDICATIONS clinique Restaurer la face occlusale des dents égressées
Parodontie non stabilisée Moyen d’ancrage de Bridge
Racines faibles + courtes Support de crochets/attachement en PA partielle
Hauteur coronaire faible au sein d’un occlusion serrée
DEMARCHE CLINIQUE
✓ Désorganisée
✓ Débris divers
Nécrotique ✓ Prolongements odontoblastiques +++ Total Total
détruits
✓ Paroi tubulaire déminéralisée
✓ Déminéralisée
✓ Trame organique altérée
Infectée
CARIE DE LA DENTINE ✓ Canalicules dilatés ++ Total Total
(ou d’invasion)
✓ Micro-org dans les tubules
✓ Destruction partielle des tubules
✓ Début de déminéralisation
Toxines = déminéralisation partielle Partielle avec
Affectée - Total
✓ Structure organique résistante précaution
Trame organique + tubules conservés
= zone de dentine transparente
Sclérotique ✓ Oblitération des tubuli / dentine - - -
péricanaliculaire
Zone de dentine en voie de minéralisation
✓ Sécretion de dentine réactionnelle
Réaction pulpo-
✓ Epaisseur des parois minérales
dentinaire
✓ Ralentit le processus carieux
CARIE DU CEMENT Cément mis à nu + mince + peu minéralisé carie étendue
CARIE A MARCHE ✓ Sujet jeune tubulis ouverts
CLINIQUES
RAPIDE ✓ Sécretion de dentine atubulaire mauvaise protection
✓ Sujet âgé tubulis partiellement minéralisés
FORMES
CARIE A MARCHE
✓ Sécretion de dentine réactionnelle à qualité variable : bonne ou mauvaise
LENTE ✓ Sensibilité dentinaire réduite ou nulle
✓ Observé dans deux cas :
CARIE ARRETE Cavité largement ouverte
Cavité proximale après élimination de la dent causale
✓ Classification topographique situation carie sur la dent
✓ Système codifiant les cavités d’obturation en rapport avec les matériaux utilisés à l’époque : or / amalgame
✓ Cavités stéréotypées avec forme de contour résistance du matériau
Approche chirurgicale
Sillon occ + fossettes des M
CLASSIFICATION DE Classe I Sillons V + P
BLACK Cingulum des I + C
Classe II Face proximale des M + PM
Classe III Face proximale des I + C ne touchant pas le bord I
Classe IV Face proximale des I + C touchant le bord I
Classe V Cavités cervicales M PM I C, côté V + L
Classe VI Lésions bord incisif + pointes cuspidiennes
CLASSIFICATIONS
✓ Film non exposé = transparent exposition fixation d’argent noir
✓ Exposition de volume et non de surface
✓ Densité de structure densité de volume irradié
✓ Tissus durs (email, dentine) = radio opaque
✓ Tissus lâche (pulpe) = radio-clair
RADIOGRAMME RETROALVEOLAIRE ✓ Radio de la dent + apex + tissus de soutien (desmodonte)
✓ Observation simultanée des couronnes des dents max + mand dent avec son antagoniste
✓ On mord sur une petite ailette de film (bite-Wing)
✓ Dépistage précoce de la carie en face P
RADIOGRAPHIE RETRO-CORONAIRE ✓ Limité pour les lésions initiales des faces O superposition d’une grande qté de tissus dentaire en L et V
Distance objet-film - - - déformation - - -
+++ noir +++ visibilité du gris (dégradé)
Film +++ perpendiculaire sur la surface
= mordu occlusale
RADIOGRAMMES OCCLUSAUX ✓ Dents incluses
✓ Corps étrangers
✓ Carie = maladie infectieuse destruction tissus minéralisés de la dent
DEFINITION
✓ 4 facteurs : bactéries, hydrates de C, susceptibilité individuelle, temps
DENTAIRE
CARIE DE LEMAIL
✓ Evolution jct A-D tissue dentinaire pulpe
✓ Parlante réponses douloureuses à des stimulations ph + ch + T°
HISTOLOGIE DE LA CARIE CARIE DE LA
✓ Dentine cariée = cône base dans la jct A-D
DENTINE
✓ Cône = 3 zones = dentine opaque, transparente, interne apparement normale
CARIE DU CEMENT ✓ Forme particulière récession gingivale
STADE 0 ✓ Lésion sup sans cavitation pas de traitement invasive traitement préventif
INTERET EN
STADE 1 ✓ Lésion débutante 1/3 ext radio clarté traitement préventif + intervention conservatrice +++ (obturation adhésive)
OC
STADE 2 ✓ Lésion modérée 1/3 médian (sans fragiliser les struct cusp) radio clarté cavité relativement conservatrice (obturation adhésive)
STADE 3 ✓ Lésion étendue 1/3 interne (avec) radio clarté intervention restauratrice des tissus résiduelles
EMAIL DENTINE
✓ Tissu calcifié le + dur de l’organisme couvrant la dentine ✓ Tissu calcifié occupant le + grand V de la dent
coronaire ✓ Entoure la pulpe sauf au niveau de l’apex = foramen apical +
✓ Membrane semi-perméable (échanges ioniques) = canaux secondaires
phénomène de minéralisation et de déminéralisation en fct ✓ Parcourue par +++ micro-canaux voie de pénétration
du taux d’acidité de la salive directe vers la pulpe +++ vsx
✓ Origine : améloblastes ✓ Origine : odontoblastes
Email + dentine = barrière entre le milieu buccal et la pulpe
✓ Minéraux = 96%
➢ Cristaux d’hydroxyapatite +++
✓ Minéraux = 50%
➢ Sels de Ca + P
➢ Cristaux d’hydroxyapatite +++ sous forme de
➢ Carbonate CO3
plaquettes hexagonales + courte + aplati que l’E
✓ Matrice organique = 2%
➢ Phosphate de Ca non cristallisé ---
➢ Produits de dégradation des proteines de l’E =
✓ Matrice organique = 30%
COMPOSITION CHIMIQUE amélogénine, énamélines…
➢ Collagène type 1 +++ (90%)
➢ Lipides
➢ Glycoproteines
✓ Eau = 2%
➢ Proteoglycanes
➢ Libre, autour des cristaux
➢ Lipides
➢ Incorporé aux protéines
✓ Eau = 20%
✓ Ions = variés (fluor…), incorporés + absorbés par les
cristaux
✓ Dure + cassante + translucide + blanche ✓ Translucide + blanche jaunâtre
CARACTERES PHYSIQUES ✓ E moyenne = 1,5mm varie en fct de la topographie ✓ + minéralisé que l’os, - minéralisé que l’E
(cuspides…) ✓ Radiographie = - radio opaque
Dentine primaire et secondaire :
✓ Jonction amélo-dentinaire : ✓ Dentine circumpulpaire :
➢ Pourtour de la couronne = trajet festonné bonne ➢ Tissu homogène entoure la pulpe
cohésion entre les 2 tissus ➢ Présence de tubuli dentinaires : pulpe à travers la
➢ Au collet = trajet rectiligne dentire email ou la jct cémento-dentinaire
STRUCTURES
HISTOLOGIQUES ✓ Lamelles de l’email : ✓ Dentine périphérique :
➢ Fissures droites de substances hypo minéralisées ➢ 1ère couche à se former
➢ Perpendiculaire : email dentine ➢ Couronne : immédiatement sous l’E = manteau
➢ Voies d’échanges E-D dentinaire
➢ Racine : immédiatement sous le cément = couche
hyaline d’Hopewell Schmith
✓ Buissons de l’émail : Dentine tertiaire :
➢ Zones peu calcifiées : jonction AD irradiant en ✓ Dentine sclérotique :
touffes partie profonde de l’E ➢ Dentine minéralisée formée dans la lumière des tubulis
➢ ++ proteines - - résistantes propagation carie +++ dentinaire :
o Minéralisation diffuse entourant un prolongement
✓ Bandes de Hunter-Shreger : odontoblastique agression
➢ Coupe longitudinale = alternance bandes claires / bandes o Calcification des prolongements cytoplasmiques +
sombres en lumière réfléchie contenu tubulaire avec l’âge
➢ Zones claires = prismes trans. = diazonies Réduction perméabilité dentinaire
➢ Zones sombres = primes long. = parazonies
✓ Tubulis dentinaires :
✓ Stries de Retzius : ➢ Micro canaux
➢ Hypo minéralisés ➢ Renferment les prolongements odontoblastiques
➢ Lignes de croissance apposition en couche de l’E ➢ Lorsqu’on touche 1mm de dentine on touche 30-40 000 c/
➢ Phases de repos de formation de l’E de la pulpe
LA PERMEABILITE AMELAIRE
Email présente des pores (ordre du nanomètre) chargées (-) sur leur surface
Voies de diffusion pour diverses molecules : ext-int ou inversement
Perméabilité amélaire sélective des cations (+) Impliquée dans le mécanisme de déminéralisation, influant sur le flux des ions en provenance de la
lésion carieuse
Le transport des ions + molécules à travers l’émail est régi par +++ facteurs :
✓ Propriétés structurales de l’E
✓ Physicochimie de l’E
✓ Réactivité des espèces diffusantes avec le minéral amélaire phénomène d’absorption + échange d’ions
✓ L’hydroxyapatite forme de cristaux impurs à l’intérieur de l’E
✓ La phase liquide = eau % variable selon diff conditions
Role +++ dans la physiologie de l’hydroxyapatite
Contenue dans les pores phase de transport pour la diffusion de petites molécules + ions
ROLE DE LA STRUCTURE
2 paramètres contrôlent le rapport eau libre/eau liée :
AMELAIRE
➢ Changement T° + force ionique = changement de coeff de diffusion
➢ Après éruption perméabilité couche la + externe de l’E peut être altérée :
+ élevée = déminéralisation
+ faible = minéralisation post éruptive
✓ Diffusion des ions dans l’E
PERMEABILITE ✓ Création d’un potentiel d’action grâce à 3 facteurs :
SELECTIVE Vitesse de diffusion diff des cations + anions
Nature + Concentration des ions
✓ Lésion carieuse résultat d’un processus dynamique :
➢ Substances solubilisantes (acides) à l’intérieur de l’E
➢ Produits solubilisés (phase minérale) hors de l’E
✓ Facteurs de variation de la vitesse de formation d’une carie sont :
La solubilité de la phase minérale
La perméabilité de l’E
La porosité de l’E augmente après exposition aux acides des micro-org déminéralisation
PERMEABILITE ✓ Milieu buccal = siège de modifications physico-chimiques échanges ioniques permanents équilibre instable
AMELAIRE Métabolisme des hydrates de C par les micro-org produits de dégradation acides ↓pH perte d’ions minéraux de l’E
+ création de sites de déminéralisation
LE MECANISME DE
DEMINERALISATION • En situation d’équilibre :
/REMINERALISATION Fluides salivaires présentant des phosphates + carbonates = pouvoir tampon diffusion à travers la plaque dentaire
↑pH ions minéraux (Ca2+, PO2-) reprécipitent sur l’E modification de la composition des couches les + externes de l’E
processus de déminéralisation-reminéralisation
• En situation de déséquilibre :
Persistance de facteurs pathogènes = phases de déminéralisation +++, non compensées par des phases de
reminéralisation apparition de lésions initiales dans les zones +++ micro-org +++ acide
Dislocation des cristaux superficiels + élargissement des espaces inter-cristallins ↑ porosité + diffusion facile des acides
en profondeur de la lésion
PERMEABILITE DENTINAIRE
✓ Existence de microcanaux = tubulis traversant la dentine de part et d’autre
Voies de transport taille ordre du micrometre
Ouverture + contenu influencent les mouvements de fluide+molécules
✓ Les échanges hydro-ioniques tubulis-pulpe sont aussi dépendants de : la nature + la perméabilité de la couche odontoblastique
✓ Tubulis + prolongements odontoblastiques + fluide :
Transport des proteines + phosphates calciques dentinogenèse, MEC de la dentine
Transport d’ions + molécules tout au long de la vie
✓ Dentine péritubulaire = couche +++ minéralisé qui entoure les tubulis ↑ en épaisseur avec
LA STRUCTURE l’âge dentine sclérotique
PERMEABLE DE LA LES TUBULIS DENTINAIRES ✓ Dentine intertubulaire = entre les tubulis-dentine péritubulaire corps de la dentine
DENTINE
✓ Les microbranches (nm)= s’étendent à angle droit à partir des tubulis dentine périphérique
++ abondantes dans dentine radiculaire différence de progression des caries dans la
couronne + racine voies de diffusion non identiques
Système de canalicules de diff tailles, abondants, ++ intriqués effet sur la perméabilité
de la dentine
✓ Prolongement odontoblastiques formation de dentine secondaire + sclérotique
↓ perméabilité + ↑ distances de diffusion
CONTENU DES TUBULIS ✓ Lamina limitans divise les tubulis en s’étendant sous forme de septa entraver le
DENTINAIRES mouvement du fluide + diffusion
LA STRUCTURE ✓ Collagène = interieur des tubulis + dentine interne formé par les prolongements
PERMEABLE DE LA odontoblastiques intra-tubulaire réduction le flux du fluide + perméabilité
DENTINE
✓ Les échanges hydro-ioniques tubulis-pulpe sont aussi dépendants de : la nature + la
perméabilité de la couche odontoblastique = barrière variable + sélective
LA BARRIERE ✓ Perméabilité altérée lors d’une :
ODONTOBLASTIQUE ➢ Inflammation pulpaire + déplacement des fluides à l’intérieur des tubulis
aspiration des odontoB + rupture des connections interc/
➢ Mécanisme de réparation après rupture de la couche
= transport actif
LA DIFFUSION
= mouvement compartiment ↑C ↓C
= mouvement en masse de liquide dans les tubulis à cause d’un différentiel de pression (lorsque
MECANIMES IMPLIQUES la dentine est exposée)
LA FILTRATION P pulpaire > dentine périphérique flux de liquide vers l’int
Dentine âgée = épaisseur ↑ conductance hydraulique ↓
Dentine jeune = épaisseur ↓ conductance ↑
✓ Dentine sensible = perméable
✓ Nerfs pulpaires fonctionnent normalement
THEORIE ✓ Couplage entre stimuli douloureux + activation des nerfs pulpaires mouvement de fluide au travers la dentine +
HYDRODYNAMIQUE DE activation de mécanorécepteur
LA SENSIBILITE
DENTINAIRE Théorie hydrodynamique = activation des afférences nerveuses par des mouvements de fluides dentinaires en réponses à
différents types de stimuli flux de fluide dentinaire de la pulpe surface tissulaire s’oppose à la diffusion pulpe des
toxines
PHENOMENES DE DENTITION ET MORPHOGENESE DES ARCADES DENTAIRES
= croissance + modelage des bases osseuses maxillaires + mandibulaires en rapport avec les phénomènes de dentitions
MORPHOGENESE DES
= s’étale sur une vingtaine d’année avec phases d’activité + phases de stabilité (=sans modification apparente de la denture)
ARCADES DENTAIRES = débute depuis la formation de la lame dentaire
ERUPTION DENTAIRE
Processus physiologique englobe les phénomènes accompagnant le mouvement de la dent
Depuis le site germinatif intra osseux initial apparition dans la CB mise en occlusion
DEFINITION Processus complexe + bilatéral + symétrique + étalé dans le temps
• Croissance radiculaire :
Hypothèse liée à la prolifération épithéliale de la gaine de Hertwig + prolifération pulpaire et
MECANISME l’apposition dentinaire
D’ERUPTION Dent sans racine fait éruption
CONCEPTION UNI Irradiation ou chirurgie : inhibition de formation radiculaire éruption se poursuit
FACTORIELLE
• Rôle des tissus desmodontaux :
Contraction collagène extrac/
Traction des fibroblastes desmodontaux fibres non encore développées tant que la dent ne fait
pas éruption
Pression hydrostatique des fluides tissulaires + vasculaires ablation chirurgicale des T
périapicaux + vascularisation péri apicale n’affecte pas l’éruption
• Remodelage de l’os alvéolaire :
Apposition osseuse dents sans éruption chez rats avec ostéopétrose
Résorption osseuse peu d’ostéoclastes pas de résorption osseuse pas d’éruption
Résorption osseuse crée le chemin éruptif nécessaire à l’éruption canal gubernaculaire pour dents
MECANISME successionnelles
D’ERUPTION
+++ facteurs :
CONCEPTION Croissance radiculaire accélération processus
MULTIFACTORIELLE Traction ligament desmodontal
Remodelage osseux régulé par le follicule
• Durée = 2ans
• Première dent 6ème mois
Phase de constitution de la • Occlusion entre arcade 3 ans
denture temporaire Deux types d’arcades :
Type 1 : diastèmes simiens
ETAPES
• Durée = 4ans
• Se termine avec apparition 1ère MP OU l’expulsion d’une I
• Présence de diastèmes inter incisifs = diastèmes de Bogue
Phase de denture temporaire
Absence = présomption de dysharmonie dento-maxillaire
stable • Arcades temporaires = forme demi-cercle régulier
• Repère occlusion canines
• Rôles du système dentaire mis en place : Développement de la mastication + massif facial
• Age : entre 6-8ans
• Apparition de la 1ère molaire permanente = la dent de 6 ans + remplacement des incisives
Fermeture des espaces simiens
• Types d’arcade :
o Type 1 : la 6 en mésioclusion
o Type 2 : rapport cuspide à cuspide des 6
Phase de constitution de
• Séquence d’éruption :
denture mixte Mand : 1 6 2
Max : 6 1 2
• Déficit d’espace compensé par :
Diastèmes inter-incisifs + simiens
↑ Largeur d’arcade par une vestibulo version des incisives P / incisives T
Elargissement dû à la croissance, ↑ largeur inter canine au cours du remplacement des incisives
REMANIEMENT PHYSIOLOGIQUE Usure occlusale + faces proximales mésialisation discrète des dents tout au long de la vie