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1. L’individu au travail
Recherches sur la personne au W : sujets divers comme la personnalité, la motivation, les valeurs et
les attitudes, la satisfaction au travail, le stress, la gestion de carrière.
− Leurs positions éthiques varient selon les circonstances. Les valeurs qui comptent à leurs yeux
sont l’ambition, la bonne humeur, la serviabilité, l’obéissance, la maîtrise de soi, une vie
confortable, la joie
Leadership stratégique : théories du milieu des A 1980 se focalisant sur la création de sens et de
projet pour l’organisation)
activités consistant surtout à prendre des décisions stratégiques, communiquer une vision du
futur, développer des structures organisationnelles, infuser un système de valeurs dans la
culture organisationnelle.
Burns J.M. (2003). Transforming Leadership : A New Pursuit of Happiness, New York,
Atlantic Monthly Press.
Leadership charismatique (terme du sociologue Max Weber au XIXe siècle) qui sensibilise
émotionnellement ceux qui l’entourent, lesquels ont tendance à s’identifier à ce leader et à s’inspirer
de sa vision.
concept / approche plus récente visant à s’écarter des conceptions dichotomiques du leadership
(orienté vers la tâche ou vers la relation, participatif ou autocrate, transactionnel ou
transformationnel, etc.).
Plusieurs auteurs affirment que le leader efficace a besoin de maîtriser de façon équilibrée et
simultanée des attitudes apparemment contradictoires (capacité de décision et de réflexion, vision
large et attention aux détails, changements importants et ajustements limités, orientation vers la
performance et vers les personnes).
Denison D., Hooijberg R. et Quinn R.E. (1995). « Paradox and performance : Toward a
theory of behavioral complexity in managerial leadership », Organization Science, 6 (5),
524-540.
3. structure organisationnelle
Les études et rapports d’enquête établis suite à des catastrophes d’origine humaine (accidents dans
les centrales de Three Miles Island, Tchernobyl, dans l’usine de produits chimiques de Bhopal,
naufrage de bateaux, etc.) ont conduit à réviser la croyance selon laquelle la responsabilité d’un
accident réside essentiellement dans l’erreur humaine ponctuelle ayant déclenché l’événement.
Si un employé fait une légère erreur, il évite d’en parler à son supérieur, de peur d’être
sanctionné : résultat, il n’y a pas d’apprentissage organisationnel à partir des erreurs,
processus considéré aujourd’hui comme essentiel.
Par opposition expression d’entreprises à « haute fiabilité »: caractérisées par une culture de
la transparence, fondée sur le principe qu’il vaut mieux signaler immédiatement une erreur
plutôt que l’ignorer ou la dissimuler.
L’opérateur n’y est plus considéré comme une source potentielle négative d’erreurs, mais
comme une source de fiabilité et d’enrichissement.
Bibliographie
CLOT Y. (2008). Le Travail sans l’homme ? Pour une psychologie des milieux de travail et de vie, La
Découverte, Paris.
COHEN-SCALI V. (2004). Les Métiers en psychologie sociale et du travail, évaluer les individus et
intervenir en entreprise, Paris, In Press.
DULUC A. (2008). Leadership et Confiance, Développer le capital humain pour des organi- sations
performantes, Paris, Dunod.
LANCRY A. et LEMOINE C. (dir.) (2004). La Personne et ses rapports au travail, Paris, L’Har- mattan.
PAILLÉ P. (2003). Changement organisation- nel et mobilisation des ressources humaines, Paris,
L’Harmattan.
SCHUTZ W. (2006). L’Élément Humain : Comprendre le lien estime de soi, confiance et performance,
Paris, Dunod.
5. SITES INTERNET