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Cours de Gestion de Maintenance Niveau 1 Min
Cours de Gestion de Maintenance Niveau 1 Min
Ier Année
Filière : Maintenance Industrielle
COURS DE GESTION DE LA
MAINTENANCE
Edition 2014
GESTION DE LA MAINTENANCE 1ère Année
MI
STRATEGIES PEDAGOGIQUES
CONTENU DU COURS
I. LA FONCTION MAINTENANCE DANS L’ENTREPRISE OU LE
PROCESSUS MAINTENANCE DE L’ENTREPRISE
I.1 Généralités ;
I.2 Situation du service maintenance dans l’entreprise ;
I.3 Structure d’une organisation de maintenance ;
I.4 Structure des activités de l’atelier de maintenance ;
I.5 Management de la maintenance ;
I.6 Politique de maintenance ;
I.7 Stratégie de maintenance.
I.8 Niveaux de maintenance.
I.9 Échelons de maintenance (endroit où les interventions sont
Effectuées)
- Saisie des comptes rendus d'intervention, des fiches de suivi, des fiches
d'expertise ;
- Elaboration des documents de suivi des machines permettant de
constituer le dossier historique ;
Chapitre 1
I.1 GENERALITES
Depuis que l’homme conçoit et fabrique des objets, il s’attache à son aspect de
durabilité. Plus l’objet est fiable, meilleur il est. Cette idée survit bien dans une société
envahie par le jetable. Il a donc toujours fallu faire durer le matériel et pour cela,
l’entretenir.
Jusqu’en 1950, la fonction «entretien » était considérée comme un mal nécessaire. Elle ne
gérait pas son budget qui était pris en charge par l’exploitant. Ce dernier pouvait ainsi juger
de l’efficacité du service entretien des manières suivantes :
Quand il n’y avait pas de panne, l’entretien ne se justifiant pas, son coût devenait exorbitant.
En revanche, les défaillances de l’outil de production étaient perçues comme la résultante de
l’incompétence du service entretien, voire de la fatalité ;
Ordonnancement
Préparation
La préparation des interventions de maintenance doit être considérée comme une fonction à part
entière du processus maintenance. Toutes les conditions nécessaires à la bonne réalisation d’une
intervention de maintenance seront ainsi prévues, définies et caractérisées. Une telle préparation
devra bien sûr s’inscrire dans le respect des objectifs généraux tels qu’ils sont définis par la
politique de maintenance : coût, délai, qualité, sécurité,…
Quel que soit le type d’intervention à réaliser, la préparation sera toujours présente. Elle sera :
- implicite (non formalisée) : dans le cas de tâches simples, l’intervenant assurera lui-même,
par expérience et de façon souvent automatique la préparation de ses actions ;
- explicite (formalisée) : réalisée par un préparateur, elle donne lieu à l’établissement d’un
dossier de préparation structuré qui, faisant partie intégrante de la documentation
technique, sera utilisé chaque fois que l’intervention sera réalisée. Il sera donc répertorié
et conservé sous réserve de mises à jour ultérieures.
Ordonnancement
Réalisation
La réalisation consiste à mettre en œuvre les moyens définis dans le dossier de préparation dans
les règles de l'art, pour atteindre les résultats attendus dans les délais préconisés par
l'ordonnancement.
Gestion
La fonction gestion du service maintenance devra être capable d'assurer la gestion des
équipements, la gestion des interventions, la gestion des stocks, la gestion des ressources
humaines, et la gestion du budget.
Voici la liste des différentes tâches dont un service maintenance peut avoir la responsabilité :
Les installations, les équipements, tendent à se détériorer dans le temps sous l'action de causes
multiples : usures, déformations dues au fonctionnement, action des agents corrosifs (agents
chimiques, atmosphériques, etc.).
Ces détériorations peuvent provoquer l'arrêt de fonctionnement (panne); diminuer les capacités de
production; mettre en péril la sécurité des personnes; provoquer des rebuts ou diminuer la qualité;
augmenter les coûts de fonctionnement (augmentation de la consommation d'énergie, etc.);
diminuer la valeur marchande de ces moyens.
Dans tous les cas ces détériorations engendrent des coûts directs ou indirects supplémentaires.
Le service maintenance, comme le service de sécurité, devient une interface entre toutes les
entités qui composent l'entreprise.
Direction générale
(Management)
La technologie des matériels actuels implique une compétence technique polyvalente. Les
frontières entre les domaines mécanique, électrique, hydraulique, pneumatique, informatique ...
ne sont pas évidentes sur une machine compacte.
Une polyvalence au niveau de la gestion est aussi indispensable, ainsi que la maîtrise des
données techniques, économiques et sociales.
Le profil du technicien de maintenance, est celui d’un homme de terrain, de contact et d’équipe,
Dans les petites entreprises, même aujourd'hui, tous les métiers de dépannage sont sous
l'autorité d'un seul contremaître. On propose parfois que le groupage se fasse soit par domaines,
soit par métiers, soit par une combinaison des deux. Pourtant, avec la croissance de taille
actuelle des usines, et par conséquent l'introduction de nombreuses complications, le
département peut être correctement divisé en groupes plus spécialisés. Pour obtenir la meilleure
organisation de l'équipe, les fonctions de maintenance peuvent être classées comme suit :
9
GESTION DE LA MAINTENANCE 1ère Année
MI
Fig. 1.3 Organisation de la section entretien dans une entreprise de fabrication de taille moyenne.
FONCTION
MAINTENANCE
Choisir et adopter la
politique de maintenance
optimale
I.6.1 DEFINITION
Avec une politique de maintenance et une bonne stratégie on ne subit plus la panne car
elle est prévue et le contrôle budgétaire reste un contrôle normal, car dans la stratégie, on aura à
calculer la probabilité d'apparition des pannes et leurs conséquences pour ne plus les subir et l'on
cherchera à rentabiliser toute action d'entretien. La maintenance sera donc amenée à considérer
alors les :
- Prévisions à long terme : liées à la politique de l'entreprise permettant
l'ordonnancement des charges, des stocks, des investissements en matériel.
- Prévisions à moyen terme :la volonté de maintenir le potentiel d'activité de
l'entreprise conduit à veiller à l'immobilisation des matériels à des moments qui
perturbent le moins possible le programme de fabrication. Dès lors il faut fournir
nécessairement et suffisamment tôt le calendrier des interventions de maintenance.
Celle-ci ayant une influence sur l'ordonnancement des fabrications.
- Prévisions à court terme : dans ce cas le service de maintenance s'efforcera à
réduire les durées d'immobilisation du matériel et les coûts de ses interventions.
Sachant que les réductions des coûts et d'immobilisation ne sont possibles que si
le matériel et les interventions ont fait l'objet d'une étude préalable, il est donc
nécessaire de préparer le travail et d'étudier les conditions de fonctionnement, les
défaillances possibles et les conditions d'exécution des interventions. Le service
technique lié à cette fonction doit fournir toutes les informations qualitatives et
quantitatives susceptibles d'influencer les politiques particulières de l'entreprise.
Sachant que les responsables opérationnels n'ont pas le pouvoir de définir la politique, nous
pouvons dire qu'elle relève des décisions de la direction générale. Un certain retard a été pris dans
ce domaine, trop peu de directions sont informées de l'existence d'outils d'aide à la décision ou de
l'élaboration de doctrines permettant la réalisation d'une maintenance efficace et économique. Une
politique de maintenance peut s'articuler et s'organiser autour du concept suivant :
Ce concept implique des moyens définis, compris, admis et réalisables par l'équipe de maintenance.
La mise en place d'une politique de maintenance implique :
- Equilibre structurel des trois fonctions techniques, pour un produit donné il faut assurer :
l'étude, la production et la maintenance de l'outil de production ;
- Centralisation dans un atelier spécialisé des moyens lourds (4ème et 5ème niveau de
maintenance) ;
- Décentralisation sur site d'équipes techniquement polyvalentes ;
- Développement des fonctions « méthodes et ordonnancement de maintenance ».
- Maintenance préventive ;
- Maintenance corrective ;
- Méthodes de maintenance ;
- Gestion des stocks et approvisionnements ;
- Gestion des ressources humaines (gestion des carrières et de la formation technique
et méthodologique) ;
- Gestion des activités et des dépenses.
La stratégie de maintenance doit être clairement identifiée et partagée par les clients, car
certains ne comprennent pas toujours pourquoi on va externaliser telle ou telle fonction. En
revanche, il y a bien sûr des fonctions qui ne sont pas externalisables, comme les méthodes et la
gestion des ressources humaines (sauf dans le cas d’une externalisation globale).
Définition : Actions simples nécessaires à l’exploitation et réalisées sur des éléments facilement accessibles en toute
sécurité à l’aide d’équipements de soutien intégrés au bien.
Intervenant : L’utilisateur du bien
Niveau 1
Exemples en préventif : Ronde de surveillance d’état ; Graissages journaliers ; Manœuvre manuelle d’organes mécaniques
; Relevés de valeurs d’état ou d’unités d’usage ; Test de lampes sur pupitre ; Purge d’éléments filtrants ; Contrôle
d’encrassement des filtres.
Exemples en correctif : Remplacement des ampoules ; Ajustage, remplacement d’éléments d’usure ou détériorés, sur des
éléments ou composants simples et accessibles.
Définition : Actions qui nécessitent des procédures simples et/ou des équipements de soutien (intégrés au bien ou
extérieurs) d’utilisation ou de mise en œuvre simple.
Intervenant : Personnel qualifié
Un personnel est qualifié lorsqu’il a reçu une formation lui permettant de travailler en sécurité sur un bien présentant
certains risques potentiels, et est reconnu apte pour l’exécution des travaux qui lui sont confiés, compte tenu de ses
connaissances et de ses aptitudes.
Niveau 2
Exemples en préventif : Contrôle de paramètres sur équipements en fonctionnement, à l’aide de moyens de mesure
intégrés au bien ; Réglages simples (alignement de poulies, alignement pompe-moteur, etc.) ; Contrôle des organes de
coupure (capteurs, disjoncteurs, fusibles), de sécurité, etc. ; Détartrage de surface de ruissellement (tour aéroréfrigérante) ;
Graissage à faible périodicité (hebdomadaire, mensuelle) ; Remplacement de filtres difficiles d’accès.
Exemples en correctif : Remplacement par échange standard de pièces : fusibles, courroies, filtres à air, etc. ;
Remplacement de tresses, de presse-étoupe, etc. ; Lecture de logigrammes de dépannage pour remise en cycle ;
Remplacement de composants individuels d’usure ou détériorés par échange standard (rail, glissière, galet, rouleaux,
chaîne, fusible, courroie,…).
Définition : Opérations qui nécessitent des procédures complexes et/ou des équipements de soutien portatifs, d’utilisation
ou de mise en œuvre complexes.
Intervenant : Technicien qualifié
Exemples en préventif : Contrôle et réglages impliquant l’utilisation d’appareils de mesure externes aux biens ; Visite de
maintenance préventive sur les équipements complexes ; Contrôle d’allumage et de combustion (chaudières) ; Intervention
Niveau 3
de maintenance préventive intrusive ; Relevé de paramètres techniques d’état de biens à l’aide de mesures effectuées
d’équipements de mesure individuels (prélèvement de fluides ou de matière,…).
Exemples en correctif : Diagnostic ; Réparation d’une fuite de fluide frigorigène (groupe de froid) ; Reprise de calorifuge
; Diagnostic d’état avec usage d’équipements de soutien portatifs et individuels (pocket automate, multimètre) ;
Remplacement d’organes et de composants par échange standard de technicité générale, sans usage de moyens de soutien
communs ou spécialisés (carte automate, vérin, pompe, moteurs, engrenage, roulement,…) ; Dépannage de moyens de
production par usage de moyens de mesure et de diagnostics individuels.
Définition : Opérations dont les procédures impliquent la maîtrise d’une technique ou technologie particulière et/ou la mise
en œuvre d’équipements de soutien spécialisés.
Intervenant : Technicien ou équipe spécialisée
Exemples en préventif : Révisions partielles ou générales ne nécessitant pas le démontage complet de la machine ;
Analyse vibratoire ; Analyse des lubrifiants ; Thermographie infrarouge (installations électriques, mécanique,
thermique,…) ; Relevé de paramètres techniques nécessitant des moyens de mesure collectifs (oscilloscope, collecteur de
Niveau 4
données vibratoires) avec analyse des données ; Révision d’une pompe en atelier, suite à dépose préventive.
Exemples en correctif : Remplacement de clapets de compresseur ; Remplacement de tête de câble en BTA ; Révision
d’une pompe en atelier spécialisé suite à dépose préventive ; Réparation d’une pompe sur site, suite à une défaillance ;
Dépannage de moyens de production par usage de moyens de mesure ou de diagnostics collectifs et/ou de forte complexité
(valise de programmation automate, système de régulation et de contrôle des commandes numériques, variateurs,…) ;
Reprise de clôture extérieure ; Remplacement d’une porte et mise en peinture ; Réparations de fissures et défauts
d’étanchéité ; Reprise de fuite de toiture.
reconstruction, etc.
Intervenant : Constructeur ou société spécialisée
Exemples : Révisions générales avec le démontage complet de la machine ; Reprise dimensionnelle et géométrique ;
Réparations importantes réalisées par le constructeur ou le reconditionnement de ses biens ; Remplacement de biens
obsolètes ou en limite d’usure.
Il est important de ne pas confondre les niveaux de maintenance avec la notion d’échelon de
maintenance qui spécifie l’endroit où les interventions sont effectuées. On définit généralement
trois échelons qui sont :
Bien que les deux concepts de niveau et d’échelon de maintenance soient bien
distincts, il existe souvent une corrélation entre le niveau et l’échelon. Les opérations de niveaux
1 à 3, par exemple, s’effectuant sur site, celles de niveau 4 en atelier, et celles de niveau 5 chez
un spécialiste hors site (constructeur ou société spécialisée). Si cela se vérifie fréquemment
(dans le domaine militaire par exemple), il convient cependant de ne pas en faire une généralité.
On peut rencontrer en milieu industriel des tâches de niveau 5 effectuées directement sur site.
Chapitre 2
Entretient : Ensemble des travaux ayant pour but de maintenir dans leur état initial des
ouvrages ou équipements existants sans changer leur usage ou leur fonction.
Organisation :
Défaillance : Cessation de l'aptitude d'un bien à accomplir une fonction requise.
Relation client- fournisseur :
Client : Personne physique ou morale qui commande un produit ou un service ou les deux
pour satisfaire un besoin.
Fournisseur : Un fournisseur est une personne physique ou morale qui satisfait le besoin
d’un client en lui apportant un produit ou un service ou les deux.
Réparation : Remise en état, de façon durable, dans le but de supprimer ou de réduire les
conséquences de la vétusté, de l’usure ou du désordre, d’un équipement n’assurant plus dans
des conditions acceptables la fonction qui est la sienne.
Maintenabilité : Aptitude d’un équipement à être maintenu ou rétabli dans un état dans
lequel il peut d’accomplir une fonction requise, lorsque la maintenance est accomplie dans
des conditions données, avec des procédures et des moyens prescrits.
Disponibilité : aptitude d’un bien à être en état d’accomplir une fonction requise dans des
conditions données, à un instant donné ou durant un intervalle de temps donné, en supposant
que la fourniture des moyens extérieurs nécessaires est assurée.
La sécurité sur le lieu du travail implique que l'on prévoie une protection contre les accidents
en informant le travailleur des risques possibles. La loi rend obligatoire la pose de pictogrammes et
l'étiquetage des produits.
Quelques exemples :
Emplacement et direction d'une sortie habituelle Chemin vers un poste de secours ou un dispositif
de sauvetage
Direction d'une sortie de secours vers la gauche Téléphone pour le sauvetage et les premiers
secours
Chapitre 3
NOM IMAGE
Le mètre ruban
Réglet métallique
Équerre de menuisier
Niveau à bulles
Crayons marqueur
III.1.2) Couper
Scie égoïne
Scie à métaux
Scie sauteuse
Scie circulaire
Meuleuse d'angle
Cutter
Pince coupante
Pince à dénuder
Jokari
III.1.3) Serrer
Pince universelle
Pince plate
Pince coudée
Pince étau
Pince brucelles
Pince multiprise
III.1.4) Frapper
Marteau
Burin
Burin électrique
III.1.5) Visser
Tournevis
NOM IMAGE
Visseuse-deviseuse
Clé allen
Clé à molette
Clé mixte
Clé à pipe
III.1.6) Ranger
III.1.7) Maintenir
NOM IMAGE
Établi pliant
Serre-joint
Etau
III.1.8) Souder-Dessouder
NOM IMAGE
Fer à souder
Station de soudage
Station de dessoudage
III.1.9) Se Protéger
NOM IMAGE
Gant
Lunettes
Casque
Chapitre 4
LE SUIVIS DU MATERIEL
Cette fiche servira de guide, base impérative pour épargner dans le sens de préserver
les équipements. La maintenance fondamentale de premier ou deuxième niveau occasionne certes
des charges mais évite la fréquence des pannes fortuites et donc se traduit par un accroissement du
taux de fiabilité, d'exploitation et de sécurité.
Chapitre 5
V.1) CONCEPTS
L’application de la réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident
ou d’une défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive
conditionnelle ou systématique.
La maintenance d’amélioration :
L’amélioration des biens d’équipements consiste à procéder à des modifications, des
changements, des transformations sur un matériel.
Les améliorations à apporter peuvent avoir comme objectif:
l'augmentation des performances de production du matériel,
l'augmentation de la fiabilité (diminuer les fréquences d'interventions),
l'amélioration de la maintenabilité (amélioration de l'accessibilité des sous-systèmes
et des éléments à haut risque de défaillance),
la standardisation de certains éléments pour avoir une politique plus cohérente et
améliorer les actions de maintenance,
l'augmentation de la sécurité du personnel.
La reconstruction
Remise en l’état définit par le cahier des charges, qui impose le remplacement des pièces
vitales par des pièces d’origines ou des pièces neuves équivalentes.
La modernisation
Remplacement d’équipements, accessoires et appareils ou éventuellement de logiciel,
apportant grâce à des perfectionnements techniques n’existant pas sur le bien d’origine , une
amélioration de l’aptitude à l’emploi du bien.
La sécurité
La sécurité est l'ensemble des méthodes ayant pour objet, sinon de supprimer, du moins de
minimiser les conséquences des défaillances ou des incidents dont un dispositif ou une installation
peuvent être l'objet, conséquences qui ont un effet destructif sur le personnel, le matériel ou
l'environnement de l'un et de l'autre.
- Aéronautique et Espace,
- Agroalimentaire,
- Automobile,
- Chimie et pharmacie,
- Energie et environnement (production et distribution d'électricité, de
gaz et d'eau),
- Fabrication de matériels ferroviaires et navals,
- Fabrication de machines et équipements,
- Fabrication d'équipements électriques et électroniques (hors
informatique et télécoms),
- Fabrication de produits non métalliques (hors caoutchouc et
plastiques),
- Fabrication d'équipements de télécommunications,
- Industrie du caoutchouc & des plastiques,
- Industrie textile, habillement et du bois,
- Autres industries manufacturières,
- Fabrication de matériel informatique,
- Métallurgie (hors nucléaire),
- Nucléaire,
- Pétrole.
Secteurs connexes
- Ingénierie, études techniques et maintenance,
- Construction (installation électrique, bâtiments industriels…),
- Commerce,
- Transports et communications,
- Activités juridiques (Droit de la propriété intellectuelle dans
l'industrie),
- Activités de services aux industriels (management, audit, qualité…)
V.7.1) Définition
Un contrat de maintenance est un contrat par lequel un prestataire s'oblige contre
rémunération à exécuter de manière indépendante un travail déterminé par le maître de l'ouvrage.