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COURS DE MATHEMATIQUES

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COURS DE MATHEMATIQUES

TITRE DES COURS VOLUME SEMAINE OBSERVATIONS


HORAIRE N°
I-Opérations sur les nombres algébriques
Addition/soustraction/multiplication/division
II-Les puissances
Définitions /propriétés/puissances de 10
III-Racine carrée
Définition/Calcul d’une racine carrée
IV-Les fractions
Définition/opérations sur les fractions
V-Les proportions
Rapport de deux nombres /définition /propriétés/
grandeurs proportionnelles et inversement . 1
4H
VI-Les progressions
Progression arithmétique/géométrique
VII-Les logarithmes
Logarithmes décimaux/népériens/règles de calcul
VIII-Les triangles
Définition/triangles semblables/relations/théorèmes
Rapports et lignes trigonométriques
IX-Les repères 4H
Dans le plan/espace/coordonnées d’un point. 2

X-Les fonctions
Définitions/représentation graphique/généralités /
La fonction exponentielle
La fonction sinusoïdale
Mouvement circulaire uniforme
Mouvement sinusoïdal
Représentation graphique 4H 3

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OPERATIONS SUR LES NOMBRES ALGEBRIQUES :

Un nombre algébrique est caractérisé par sa valeur absolue et son signe.

Exemple : - 25 a pour valeur absolue 25 et pour signe -

Deux nombres qui ont la même valeur absolue et des signes contraires sont dits
opposés.

:
1 - ADDITION 

 Cas de nombres de même signe :

- on ajoute les valeurs absolues ,


- la somme a le signe commun.

Exemple : ( - 13 ) + ( - 7 ) = - 20

 Cas de nombres de signe contraire :

- on soustrait les valeurs absolues ,


- la somme a le signe du nombre ayant la plus grande valeur absolue.

Exemples : ( - 25 ) + 30 = 5
( - 10 ) + 10 = 0 ( la somme de deux nombres opposés est nulle)

2 – SOUSTRACTION 
:
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Pour soustraire un nombre , on ajoute son opposé ; ce qui nous ramène à l’addition.

Exemples : 5 - ( + 10 ) = 5 + ( - 10 ) = - 5

8 - (-3) = 8 + 3 = 11

( - 12 ) - ( - 9 ) = ( - 12 ) + 9 = -3

3 – MULTIPLICATION 

Pour multiplier deux nombres , on multiplie leurs valeurs absolues ;

 si les nombres sont de même signe , le produit est positif

Exemples : 3 x 4 = 12

( - 5 ) x ( - 2 ) = 10

 si les nombres sont de signe contraire , le produit est négatif

Exemple : 6 x ( - 4 ) = - 24

4 – DIVISION 

Pour diviser deux nombres , on divise leurs valeurs absolues ;

 si les nombres sont de même signe , le quotient est positif

Exemples : 5 = 2,5 ; -6 = 2
2 -3

 si les nombres sont de signe contraire , le quotient est négatif

Exemples : -4 = -2 ; 8 = -2
2 -4

L’inverse d’un nombre est le quotient de 1 par ce nombre

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Exemple : inverse de 10 : 1 = 0,1


10

LES PUISSANCES

1 – DEFINITIONS 

On appelle puissance nième d’un nombre a , le nombre défini par la relation :

a n = a x a x a --------- x a ( n fois )

n est l’exposant

a n se lit «  a puissance n » , sauf :

a 2  se lit «  a au carré »

a 3 se lit «  a au cube »

Exemple : 5 4 = 5 x 5 x 5 x 5 = 625

5 4 se lit «  5 puissance 4 »

Par définition :

a -n = 1
an

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2 – PROPRIETES 

a n . a m = a n+m

( a n ) m = a n.m

0
a = 1

an = a n–m
am

( a . b )n = an. bn

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RACINE CARREE

1- DEFINITION

La racine carrée d’un nombre a est le nombre qui , multiplié par lui-même donne a

a.a= b

√b = a
√b = b½

√bn = a n/2 √b2 = √b . √b = b 2/2 = b

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2 – CALCUL D’UNE RACINE CARREE

Exemple : √60025
 on partage le nombre en tranches de deux chiffres à partir de la droite.
(à partir de la virgule pour les nombres décimaux).
 on extrait la racine carrée de la première tranche à gauche, soit 6.(on
recherche le plus grand nombre entier qui, multiplié par lui-même donne 6 ou
le nombre inférieur le plus proche)
 le nombre 2 est le premier chiffre de la racine
 on élève 2 au carré et on retranche 4 de 6
 on abaisse la tranche suivante soit 00
 on cherche le chiffre qui, disposé à droite du 4donne un nombre qui, multiplié
par ce chiffre donne200 ou le nombre inférieur le plus proche
 ce chiffre est 4
 on retranche 176 de 200
 le 4 est le deuxième chiffre de la racine
 on abaisse la tranche suivante, soit 25
 on multiplie les deux premiers chiffres de la racine par 2 soit 24 . 2 =
48
 on cherche le chiffre qui, disposé à droite de 48 donne un nombre qui,
multiplié par ce chiffre donne 2425 ou le nombre inférieur le plus proche. Ce
chiffre est 5
 le chiffre 5 est le troisième chiffre de la racine
 on retranche 2425 de 2425 et le résultat est 0
 la racine carrée du nombre 60025 est 245 : c’est un carré parfait.

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LES FRACTIONS

1- DEFINITION 

Une fraction est une partie d’un tout, pris comme unité.
On divise l’unité en D parties égales et on prend N de ces parties.

On réalise ainsi la fraction N de l’unité choisie.


D

N s’appelle le numérateur

D s’appelle le dénominateur

Une fraction décimale a un dénominateur 10 , 100 , 1000 ….

Elle peut s’écrire sous la forme d’un nombre décimal.

Exemple :
3 = 0,3 ; 4560 = 45,6 ; 362 = 0,362
10 100 1000

2- OPERATIONS SUR LES FRACTIONS 

On ne change pas la valeur d’une fraction si on multiplie ou si on divise le


numérateur et le dénominateur par le même nombre .

Cette propriété permet de simplifier les fractions.

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Elle permet aussi de réduire plusieurs fractions au même dénominateur.

Exemple :
4 = 4 x 3 = 12
5 5x3 15

96 = 32 x 3 = 32 = 8 x 4 = 8
36 12 x 3 12 3x4 3

3- ADDITION ET SOUSTRACTION DES FRACTIONS 

Avant de faire la somme ou la différence de plusieurs fractions, il faut les


réduire au même dénominateur.

Pour réduire des fractions au même dénominateur , on cherche leur plus petit
commun multiple (PPCM),puis on multiplie les deux termes de chaque fraction
de façon à leur donner ce commun multiple comme dénominateur commun.

Exemple :

Soit les trois fractions : 2/3 . 3/8 . 5/12

Multiples de 3 : 3 6 9 12 15 18 21 24 27 30 …
Multiples de 8 : 8 16 24 32 40 48 …
Multiples de 12 : 12 24 36 48 60 …

24 est donc le PPCM de 3 , 8 , 12

Pour avoir le dénominateur commun 24 dans les 3 fractions, on multiplie leurs


termes respectivement par :

8 : 2 =2x8 3 : 3 = 3 x 3 2 : 5 = 5x 2


3 3x8 8 8x3 12 12 x 2

la somme des fractions est :

16 + 9 + 10 = 16 + 9 + 10 = 35
24 24 24 24 24

4- MULTIPLICATION 

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Pour multiplier une fraction par un nombre, on multiplie le numérateur par ce nombre.
On simplifie s’il y a lieu.

Exemple :
3 x 4 = 12 = 6
2 2

Pour multiplier deux fractions, on multiplie les numérateurs entre eux et les
dénominateurs entre eux. On simplifie s’il y a lieu.

Exemple :
3 x 4 = 3 x 4 = 12 = 3 x 4 = 3
5 8 5 x 8 40 10x4 10

5- DIVISION

Pour diviser une fraction par un nombre, on divise le numérateur par ce nombre, ce
qui revient à multiplier le dénominateur par ce nombre.

Exemple :
6 : 4 = 6 : 4 = 6 = 3 x 2 = 3
7 7 7x4 7x2x2 14

Pour diviser une fraction par une fraction, on multiplie la première par l’inverse de la
seconde.

Exemple :
5 : 2 = 5 x 3 = 15
7 3 7 2 14

6- DIVISIBILITE 

 Un nombre est divisible par 2 quand il est terminé par un zéro ou par un
chiffre pair.

 Un nombre est divisible par 5 quand il est terminé par un zéro ou par 5.

 Un nombre est divisible par 4 ou par 25 quand il terminé par deux zéros ou si
le nombre formé par ses deux derniers chiffres est divisible par 4 ou par 25.

 Pour trouver le PGCD de deux nombres, on divise le plus grand nombre par le
plus petit : si la division est exacte, le plus petit nombre est le PGCD cherché ;
dans le cas contraire, on divise le plus petit nombre par le reste de la première

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division puis ce premier reste par le nouveau reste et ainsi de suite jusqu’à ce
qu’on trouve un reste nul.

Le dernier reste employé comme diviseur est le PGCD cherché.

Exemple :
1250 : 60 = 20 reste 50

60 : 50 = 1 reste 10

50 : 10 = 5 reste 0

10 est donc le PGCD de 1250 et 60

 Le PGCD de plusieurs nombres décomposés en leurs facteurs premiers est le


produit des facteurs premiers communs à tous ces nombres ; ces facteurs
premiers étant pris avec leur plus faible exposant.

Exemple :
3780 = 22 x 33 x 5 x 7

2970 = 2 x 33 x 5 x 11

126 = 2 x 32 x 7

Leur PGCD est donc : 2 x 32 = 18

 Le PPCM de plusieurs nombres décomposés en leurs facteurs premiers est le


produit de tous les facteurs premiers , communs ou non, chacun d’entre eux
étant affecté de son plus fort exposant.

Exemple :
3780 = 22 x 33 x 5 x 7

2970 = 2 x 33 x 5 x 11

126 = 2 x 32 x 7

Leur PPCM est donc : 22 x 33 x 5 x 7 x 11 = 41580

 On reconnaît qu’un nombre a est divisible par un nombre b à ce que tous les
facteurs premiers entrant dans la décomposition du nombre b figurent avec
des exposants au moins égaux dans la décomposition du nombre a .

Exemple :

7140 = 22 x 3 x 5 x 7 x 17

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170 = 2 x 5 x 17

7140 est divisible par 170 car tous leurs facteurs premiers du nombre 170 figurent
dans ceux de 7140.

Donc : 7140 : 170 = 42

LES PROPORTIONS

1- RAPPORT DE DEUX NOMBRES 

On appelle rapport de deux nombres a et b quelconques, le quotient de a par b

On note le rapport : a
b

Les rapports ont les mêmes propriétés que les fractions.

2- DEFINITION D’UNE PROPORTION 

Une proportion est l’égalité de deux rapports.

a = c
b d

a et d sont les extrêmes

b et c sont les moyens

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3- PROPRIETES DES PROPORTIONS 
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Dans une proportion, le produit des extrêmes est égal au produit des moyens.

Vérification : réduisons les deux termes de la proportion au même dénominateur

axb=cxd
bxd bxd

ces deux rapports ont le même dénominateur ; ils sont donc égaux.
On a alors l’égalité :

axd = cxb

à partir de cette égalité, on peut écrire aussi bien :

a = c que a = b
b d c d

Ces trois écritures sont équivalentes.

Elles permettent de calculer l’un des termes de la proportion connaissant les trois
autres.

Exemple :
a = 5 => a = 3 x 5 = 15 = 2,14
3 7 7 7

Règle :
a = c = a+c = a-c
b d b+d b–d

Cette propriété permet de calculer deux nombres proportionnels connaissant leur


somme ou leur différence.

Exemple : trouver les deux nombres qui sont proportionnels à 2 et 5 et dont la


somme est 32.

On écrit :
a = b = a + b = mais a + b = 32
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3 5 3+5

a = 32 a = 32 x 3 = 12
3 8 8

b = 32 b = 32 x 5 = 20
5 8 8

4- GRANDEURS PROPORTIONNELLES 

On dit que deux grandeurs A et B sont proportionnelles si , quand A varie, B varie de


telle sorte que le rapport des valeurs prises simultanément par A et B reste constant.

A1 = A2 = A3 = ---------------- = Cte
B1 B2 B3

On écrit alors :

A = B x Cte

5- GRANDEURS INVERSEMENT PROPORTIONNELLES

On dit que deux grandeurs C et D sont inversement proportionnelles si, lorsque C


varie, D varie de telle sorte que le produit des valeurs prises simultanément par C et
D reste constant.

C1 x D1 = C2 x D2 = C3 x D3 = --------- = Cte

C x D = Cte ou C = Cte
D
On écrit alors :

Pour traduire le fait qu’une grandeur A varie proportionnellement à B et de façon


inversement proportionnelle à C , on écrit :
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A = Bexclusive
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l’autorisation
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Exemple : Ecrire la formule qui traduit le fait que la grandeur f est :


 Proportionnelle à une dimension d
 Proportionnelle à une distance a
 Inversement proportionnelle à une autre distance ( F – a )

On écrit : f = d x a
F- a

LES PROGRESSIONS

1-PROGRESSION ARITHMETIQUE 

C’est une suite de nombres qui se déduisent les uns des autres : chaque nombre se
calcule en ajoutant au précédent un nombre constant nommé la raison r de la
progression.

Pour définir une progression arithmétique, on donne le premier terme u1 et la raison


r (qui peut être positive ou négative).

u1 , r u2 = u1 + r

u3 = u2 + r
.
.
.
.
le terme de rang n est :

un = u n-1 + r

Exemple :

Ecrire les 5 premiers termes de la progression arithmétique définie par :

u1 = 3 , r = 7

u2 = u1 + r = 3 + 7 = 10

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u3 = u2 + r = 10 + 7 = 17

u4 = u3 + r = 17 + 7 = 24

u5 = u4 + r = 24 + 7 = 31

u6 = u5 + r = 31 + 7 = 38

2-PROGRESSION GEOMETRIQUE

C’est une suite de nombres qui se déduisent les uns des autres : chaque nombre se
calcule en multipliant le terme précédent par un nombre constant positif nommé la
raison q de la progression.

Pour définir une progression géométrique, on donne le premier terme u1 et la raison


q.

u1  , q u2 = u1 x q

u3 = u2 x q
.
.
.
.
le terme de rang n est :
un = u n-1 x q

Exemple :

Ecrire les 5 premiers termes de la progression géométrique définie par :

u1 = 5 , q = 3

u2 = u1 x q = 5 x 3 = 15

u3 = u2 x q = 15 x 3 = 45

u4 = u3 x q = 45 x 3 = 135

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u5 = u4 x q = 135 x 3 = 405

u6 = u5 x q = 405 x 3 = 1215

LES LOGARITHMES

1- LOGARITHMES DECIMAUX OU DE BASE 10 

Ils sont basés sur la comparaison :

 D’une progression arithmétique de raison r = 1


 Et d’une progression géométrique de raison q = 10

Faisons correspondre les termes deux à deux en écrivant :

1 = log 101

2 = log 102

. .

. .

. .

n = log 10n
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Remarques :

 Le logarithme d’un nombre n’existe que si ce nombre est positif.


 Le logarithme d’un nombre compris entre 0 et 1 est négatif.
 Le logarithme décimal d’un nombre est l’exposant de la puissance de 10 qui
définit ce nombre.

Conclusion :
Les règles de calcul sur les logarithmes seront les mêmes que celles sur les
puissances, soit :

Log ( a x b ) = log a + log b

Log a = log a - log b


b

log a n = n log a

L’utilisation des logarithmes permet de remplacer :

 Une multiplication par une addition


 Une division par une soustraction
 L’élévation à une puissance par une multiplication.

Ces règles de calcul sont valables quel que soit le système de logarithmes choisi.

2- LOGARITHMES NEPERIENS 

Le système de logarithmes népériens a pour base le nombre e.

Définition du nombre e :


n
e = limite de 1 + 1 quand n = 1 + 1 + 1 + 1 + 1 +…….1
n 1 ! 2 ! 3 ! 4 ! n !

le symbole n ! désigne le produit 1.2.3.4.5….n ( on dit factorielle n )


et 3 ! = 3.2.1 , 4 ! = 4.3.2.1. etc.…

en effectuant l’opération on trouve e = 2,718281828

Ce système a une importance capitale car, la fonction logarithme népérien est


la fonction réciproque de la fonction exponentielle.

Les logarithmes népériens sont basés sur la comparaison :

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 D’une progression arithmétique de raison r = 1


 Et d’une progression géométrique de raison q = e

a = en => n = ln a

ln 1 = 0 car e0 = 1

ln e = 1

Fonction exponentielle :

y=ex
La fonction exponentielle est définie par

On démontre que e x = 1 + x + x2 + x3 + ……..xn


1 ! 2 ! 3 ! n !

ex est la somme des termes de cette série quand on fait n = ∞

Pour x = 1 la fonction exponentielle devient: y = e 1 = e = 1 + 1 + 1 + 1 +….1


1! 2! 3! n!
on retrouve la valeur définissant le nombre “e”

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GEOMETRIE

1-TRACAGE ET MESURE D’UN ANGLE 

Il est plus pratique de tracer un angle dont le sommet coïncide avec le centre d’un
cercle.
La circonférence étant divisée en parties égales, l’angle peut être mesuré par le
nombre de divisions à l’intérieur de celui-ci.
Généralement, un cercle est divisé en 360 parties égales, appelées degrés « ° ».
L’unité légale de mesure d’angle est le radian « rad ».
L’angle θ tracé au centre d’un cercle de rayon r sous-tend un arc de cercle de
longueur s.
L’angle θ en radians est défini comme étant le rapport de s sur r , soit :

θ=s
r

θ est un nombre pur, puisque s et r ont une dimension de longueur.

La longueur de l’arc d’un cercle complet étant sa circonférence 2πr , l’angle qui sous-
tend cet arc est :

2πr = 2π rad = 360 °


r
d’où

1 rad = 360° = 57,3°


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2-THEOREMES

 Si deux droites se croisent , les angles opposés par le sommet sont


égaux.

 Lorsque deux droites parallèles sont coupées par une sécante , les
angles alternes-internes sont égaux.

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 Si les côtés correspondants de deux angles sont perpendiculaires entre


eux, les angles sont égaux.

 La somme des angles intérieurs d’un triangle est égale à 180°.

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 Si les angles intérieurs de deux triangles sont égaux, les triangles sont
semblables.

 Deux triangles qui ont un angle commun et deux côtés parallèles sont
semblables.
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Leurs angles sont égaux deux à deux


Leurs côtés sont proportionnels.

TRIGONOMETRIE

Un triangle rectangle est un triangle ayant un angle droit de 90°.

Dans un triangle rectangle, le côté opposé à l’angle droit est appelé hypoténuse.
L’hypoténuse est le plus grand côté du triangle rectangle.

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Tous les triangles rectangles ayant le même angle θ sont semblables.

1-THEOREME DE PYTHAGORE 

Dans un triangle rectangle, le carré de l’hypoténuse est égal à la somme des


carrés des côtés de l’angle droit.

AC2 = AB2 + BC2

2-RAPPORTS TRIGONOMETRIQUES 

sinus θ = côté opposé


hypoténuse

sin θ = BC
AC

cosinus θ = côté adjacent


hypoténuse

cos θ = AB
AC

tangente θ = côté opposé


côté adjacent

tg θ = BC
AC
Remarques :

 L’hypoténuse étant le plus grand côté, les sinus et cosinus sont


inférieurs à 1.
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 sin2θ + cos2θ = 1

 tg θ = sinθ
cosθ

 cotg θ = 1
tg

Angles en 0 π/6 π/4 π/3 π/2 π 3π/2


radians 
Angles en 0 30° 45° 60° 90° 180° 270°
degrés 
Sinus de 0 ½ √2/2 √3/2 1 0 -1
l’angle 
Cosinus 1 √3/2 √2/2 ½ 0 -1 0
de l’angle 
Tangente 0 √3/3 1 √3 ∞ 0 -∞
de l’angle 

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LES REPERES

On repère les points de l’espace par rapport à des axes constituant un repère.

Un axe est une droite orientée sur laquelle on a défini un vecteur unitaire :

IuI=1

1-DANS LE PLAN

On appelle repère cartésien, l’ensemble de deux axes concourants ayant chacun un

vecteur unitaire : u , v

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Un repère cartésien est normé lorsque les vecteurs unitaires u et v ont la même
longueur :

u = v

On utilise habituellement un repère cartésien orthonormé qui est l’ensemble de


deux axes perpendiculaires dont les vecteurs unitaires ont la même longueur.

2-DANS L’ESPACE

Un repère cartésien orthonormé est constitué par trois axes perpendiculaires


deux à deux formant un trièdre direct et dont les vecteurs unitaires ont la même
longueur.

x'x est l’axe des abscisses


y’y est l’axe des ordonnées
z’z est l’axe des côtés

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3-COORDONNEES D’UN POINT DANS UN PLAN

Pour repérer un point M, on projette M sur chaque axe :


 la mesure algébrique de OA est l’abscisse de M
 La mesure algébrique de OB est l’ordonnée de M
Ici : OA = +3
OB = +1,5

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LES FONCTIONS

1-DEFINITION 

On dit qu’une grandeur y est fonction d’une variable x quand la valeur de y est
déterminée à partir de la valeur de x , soit par :
 une formule,
 un tableau de mesures,
 un abaque.

2-REPRESENTATION GRAPHYQUE 

Il est pratique d’avoir une représentation graphique, un abaque, des valeurs de y en


fonction de x.
Pour cela, on définit deux axes de coordonnées :
 l’axe horizontal, ou axe des abscisses, où l’on portera les valeurs de x,
 l’axe vertical, ou axe des ordonnées, où l’on portera les valeurs
correspondantes de y.
On indique sur chaque axe l’unité choisie.
x est la variable, y est la fonction.
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On écrit :

y = f(x)

3-GENERALITES 

 Une fonction est croissante si, à des valeurs croissantes de x correspondent


des valeurs croissantes de y.
 Une fonction est décroissante si, à des valeurs croissantes de x
correspondent des valeurs décroissantes de y.
 Une fonction est du premier degré si son équation est de la forme :

y = ax + b

( a, b, constantes )

sa représentation est une droite qui passe par l’origine si b=0

 Une fonction est du deuxième degré si son équation est de la forme :

y = ax2 + bx + c

sa représentation graphique est une parabole .

 Une fonction est dite périodique quand elle reprend la même valeur y à des
intervalles réguliers de la variable x.

4-LA FONCTION EXPONENTIELLE

Elle est définit par la formule :

y = ex

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e = 2,718… , base des logarithmes népériens.

On a y = 1 pour x = 0

La fonction exponentielle est la fonction réciproque de la fonction logarithmique


népérienne.

y = ln x <=> x = ey

Deux fonctions réciproques ont deux courbes symétriques par rapport à la


première bissectrice.

5-LA FONCTION SINUSOIDALE

On appelle fonction sinusoïdale, la fonction qui peut s’écrire sous la forme générale :

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y = sin (kx ± Ф)

ou bien :

y = cos (kx ± Ф)

Elle est un cas particulier de la fonction périodique.


Elle est la représentation mathématique des phénomènes simples tels que :

 Le déplacement d’une bouée à la surface de la mer,


 Le mouvement d’un pendule autour de sa position d’équilibre,

Elle permet les calculs relatifs aux courants électriques alternatifs.


Elle traduit les phénomènes de vibration de la matière tels que la propagation d’une
onde ultrasonore, ou encore, la propagation des ondes électromagnétiques tels
les rayons X et γ.

6-MOUVEMENT CIRCULAIRE UNIFORME 

Soit un point M qui se déplace à vitesse constante sur le cercle de rayon R.


Le rayon OM fait avec le rayon d’origine OA un angle θ variable au cours du temps.

 L’arc AM est proportionnel à l’angle θ

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Arc AM = Rθ

θ est exprimé en radians

 Pour un tour complet, le point M décrit la circonférence, soit :

2πR = arc AA

L’angle au centre vaut 2π radians

 La vitesse curviligne de M est égale à :

I v I = d (arcAM)= R.dθ
dt dt

 On appelle vitesse angulaire ω, l’angle dont tourne le rayon OM par unité de


temps.

ω = dθ
dt

ω s’exprime en radians par seconde

 A tout moment, l’angle θ peut s’écrire :

θ = ωt

Et le point M passe par la même position à intervalles de temps réguliers.

 On appelle période T , le temps mis pour faire un tour.

T = 2π
ω

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T s’exprime en secondes.

 La fréquence F, est le nombre de tours effectués en une seconde.

F= 1 = ω
T 2π

Ou bien :

ω = 2πF = 2π
T

F s’exprime en hertz (Hz)

7-MOUVEMENT SINUSOIDAL 

Lorsque le point M décrit la circonférence de rayon R , le point S se déplace sur le


segment B’B alternativement de haut en bas et de bas en haut.

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Dans le triangle OMC :

sinθ = CM = OS
OM R
D’où :

OS = R sinθ

Mais le point S est repéré par son ordonnée y = OS qui est une fonction du
temps, puisque θ est une fonction du temps.

Si M est en A à l’instant t = 0 , le mouvement de S s’exprime par la formule :

y = R sin ωt

Si le point M n’est pas en A à l’instant t = 0 , l’équation du mouvement de S devient :

y = R sin ( ωt +Φ)
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y = R sin ( 2πt + Φ )
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T
Ou bien :
y = R sin (2πF.t + Φ )
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y s’appelle élongation instantanée


R s’appelle élongation maximale
( ωt +Φ) s’appelle phase
Φ s’appelle phase à l’origine (+Φ :avance et – Φ :retard de phase)
ω s’appelle pulsation

8-REPRESENTATION GRAPHIQUE 

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