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FICHES DE REVISION BAC 2017

LE TABLEAU D’AVANCEMENT

Équation chimique aA + bB → cC + dD
États du système Avancement Quantités de matière correspondantes
État initial (à t=0) 0 n(A)i n(B)i n(C)i n(D)i
En cours de transformation (t>0) X n(A)i – ax n(B)i – bx n(C)i + cx n(D)i + dx
État final (à t=0) xf n(A)i – axf n(B)i – bxf n(C)i + cxf n(D)i + dxf

Si la réaction directe est possible spontanément :

 n(A)i
 x 
n(A)i  ax  0 1
a
   si x1  x 2  xmax  x1 et A est le réactif limi tan t
ou n(B)i  bx  0 ou x  n(B)i
 2
b
Autre méthode :
n(A)i n(B)i
si  A est le réactif limitant et B est le réactif en excés.
a b

Exemple : pour la réaction d’équation 2I- + S2O82-  I2 + 2 SO42- si on nous donne l’un des graphes suivants :

n(I2)

16

n(I2) = x donc xf = nf(I2) = 4.10-4 mol dans cet exemple.


Dans cet exemple n0(I-) =16.10-4 mol et nf(I-) = 8.10-4 mol
Or nf(I-) = n0(I-) – 2xf on peut ainsi déterminer xf.

L’AVANCEMENT VOLUMIQUE Y

X
Y avec V : volume du système chimique. y est en mol.L-1.
V

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LA CINETIQUE CHIMIQUE

 LA VITESSE MOYENNE D’UNE REACTION CHIMIQUE :

Définition : est la variation par unité de temps de l’avancement pendant une durée donnée .
x (t 2 )  x (t 1 )
v moy 
t 2  t1
Unité de la vitesse d’une réaction chimique est mol.(unité de temps)-1

Attention : Si le graphe donné ne représente pas x en fonction du temps, il faut déterminer x à partir du graphe donné puis
calculer x aux instants donnés ( n’oublier pas que x(t=0)=0 ).
Exemple : on nous donne la réaction d’équation 2I- + S2O82-  I2 + 2 SO42- et le graphe de n(I-)=f(t) , on doit tout
n (I )  nt (I )
d’abord détermine x(t). on a n(I-)t = n0(I-) -2x  2x = n0(I-) – n(I-)t  x(t)  0 puis on calcule la vitesse
2
moyenne.

 LA VITESSE INSTANTANEE D’UNE REACTION CHIMIQUE :

Définition : est la dérivée par rapport au temps de l’avancement.


dx
v
dt
Attention :
* Si on a le graphe de x=f(t)  v=pente de la tangente à la courbe à l’instant voulu.

* Si on a le graphe de n(réactif)=f(t)  v(t1 )   1 dn(réactif )



1
.pente de la tangente à la courbe à t1.
coeff.stockio dt coeff.stockio

* Si on a le graphe de n(produit)=f(t)  v(t1 )  1 dn(produit)



1
.pente de la tangente à la courbe à t 1.
coeff.stockio dt coeff.stockio
Exemple :
on nous donne la réaction d’équation 2I- + S2O82-  I2 + 2 SO42- et le graphe de n(I-)=f(t) , on a n(I-)t = n0(I-) -2x si on
dn(I ) dx 1
dérive cette relation :  0  2.  pente de la tangente  2.v(t)  v(t)   .pente de la tangente.
dt dt 2

 LA VITESSE VOLUMIQUE D’UNE REACTION CHIMIQUE :


v(t)
VVOL (t)  sonunité mol.L1.(unité de temps) 1
Volume

 LES FACTEURS CINETIQUES :


 si elle augmente la réaction est plus rapide.
* Concentration des réactifs 
 si elle diminue la réaction est plus lente.
 si elle augmente la réaction est plus rapide.
* Température 
 si elle diminue la réaction est plus lente.
* Catalyseur, s'il est présent la réaction est plus rapide.


Attention :
Lorsqu’une réaction chimique se produit sans intervention du milieu extérieur, sa vitesse diminue au cours du temps à
cause de la diminution de la concentration des réactifs.

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ESTERIFICATION HYDROLYSE

 Équation générale de l’estérification : RCOOH + R’OH  RCOOR’ + H2O


 Donner le nom de chacun des esters suivants :
HCOOC2H5 CH3COOCH3 CH3COOC2H5
Méthanoate d’éthyle Éthanoate de méthyle Éthanoate d’éthyle

 Les caractères de la réaction sont : lente, limitée et athermique


 Le catalyseur de l’estérification est : acide sulfurique concentré
 Lors du dosage de la quantité d’acide restante au cours de la réaction d’estérification, l’équivalence acido-basique
est atteinte lorsque n(ac)t = nb  n(ac)0 – x =CbVb.  x=n(ester)t=n(ac)0 – CbVb.
 La fonction des concentrations relative à l’estérification :
nester neau
 
 Ester  Eau   V
.
V n
 ester eau
.n
 A cide  A lcool  n acide n alcool
. n acide .n alcool
V V
 Loi d’action de masse : à l’équilibre dynamique =K ; K constante d’équilibre (K=cte >0 toujours) qui ne dépend que
de la température.
Remarque l’estérification est une réaction athermique K ne varie pas lorsque la température varie donc :

 K  4 si l ' alcool est primaire


K  2,25 si l ' alcool est sec ondaire Attention Kesterification .Khydrolyse  1

Conditions d’évolution spontanée de la réaction :    K la réaction directe est possible spontan èment
  K la réaction inverse est possible spontan èment

Attention : La variation de la température n’a aucun effet sur l’équilibre du système chimique ( sur la composition du
système à l’équilibre dynamique ) car la réaction est athermique.
Dans le cas de l’estérification, la variation de température a seulement un effet cinétique sur la réaction, mais elle est sans
effet sur l’équilibre du système.

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EQUILIBRE CHIMIQUE – LOI DE MODERATION

 La fonction des concentrations


Pour l’équation chimique : aA + bB  cC + dD ; la fonction des concentrations :

C   D 
c d

 a b
A  B 
 La fonction usuelle des concentrations, si l’un des constituants du système chimique est un :


 liquide pur (lq ) ou
 solide pur ( sd ) ou sa concentration molaire est remplacée par 1
 solvant
 graphite ( gr ).
ou

dans l ' exp ression de 


1
Exemple : Pour l’équation Cu2+ + 2OH-  Cu(OH)2 (sd) ;   2
Cu 2  OH  
 Loi d’action de masse : à l’équilibre dynamique =K ; K constante d’équilibre (K=cte >0 toujours) qui ne
dépend que de la température.

Conditions d’évolution spontanée de la réaction :    K la réaction directe est possible spon tan èment
  K la réaction inverse est possible spon tan èment
Remarque importante : K est indépendante de la composition molaire initiale du système chimique tandis que f varie
lorsqu’on modifie cette composition initiale.

 Loi de modération :
* La concentration de l 'un des constituants  affecte 
 Les facteurs d’équilibre : * La pression ( si le système renferme au moins un gaz )  affecte 
* La température ( si la réaction n 'est pas athermique )  affecte K

 Énoncé de la loi de modération : Si dans un système chimique initialement en équilibre, une perturbation
fait varier

  soit latempérature à pression cons tan te pour un système fermé ;


  soit la pression à température cons tan te pour un système fermé ;
  soit la concentration d 'une entité chimique à température cons tan te pour un système ouvert .
La réaction évolue dans le sens qui tend à modérer la variation du facteur d’équilibre.

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LES FORCES COMPAREES DES ACIDES ET DES BASES

 Acide fort - acide faible et base forte - base faible :


Le taux d’avancement final de la réaction de dissociation dans l’eau d’un(e) :


 acide : f 
10 pH

 C
10 pH  pKe

 base : f 
C
Un acide ou une base est fort(e) si f =1
Un acide ou une base est faible si f <1.
 Constante d’acidité Ka et constante de basicité Kb :

La constante d’acidité d’un couple acide/base AH/A- est K a 


 Forme basique . H 3O   A    H 3O   .

 Forme acide   AH 
 Forme acide . OH    AH  OH  
La constante de basicité d’un couple acide/base AH/A est K b 
-

 Forme basique   A  
Ka.Kb = [H3O+].[OH-] = Ke.

pKa   logKa et Ka  10pKa et pKb   logKb et Kb  10pKb enfin pKa  pKb  pKe

 Comparaison des forces des acides entre eux et des bases entre elles :

Cas des acides :


 L’acide le plus fort est celui qui a le pKa le plus petit
 À même concentration, l’acide le plus fort est celui qui a le pH le plus petit
 À même pH, l’acide le plus fort est celui qui a la concentration molaire la plus petite
Remarque : si suite à une dilution, la quantité de matière d’ions H3O+ ne varie pas, l’acide est fort.

Cas des bases :


 La base la plus forte est celle qui a le pKa le plus grand
 À même concentration, la base la plus forte est celle qui a le pH le plus grand
 À même pH, la base la plus forte est celle qui a la concentration molaire la plus petite
Remarque : si suite à une dilution, la quantité de matière d’ions OH- ne varie pas, la base est forte.

Attention :
Suite à une dilution d’une solution d’acide (ou basique ) le pKa ne varie pas ( car le pKa d’un couple acide-base ne dépend
que de la température) : donc suite à une dilution, le caractère d’un acide ( ou d’une base ) ne varie pas s’il est fort il reste fort
et s’il est faible il reste faible.
Suite à une dilution d’une solution d’acide faible (ou de base faible ) f augmente : la dilution favorise l’ionisation d’un
acide faible ( ou d’une base faible).

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pH DES SOLUTIONS AQUEUSES

10 pH
 Pour un acide fort : f = 1   1  10 = C 
-pH
pH= - logC
C
 Pour un acide faible faiblement ionisé :
Avancement
État de la réaction
volumique
AH + H2O  A– + H3O+
État initial (t=0) y=0 C excès  0
État final yf C – yf excès yf yf

Ka 
 A   H 3O  
 AH  
 A     H 3O   10 pH
   
avec  AH C  y f C (1 f ).
Ka 
102 pH
C (1   f )
102 pH 1
Si l’acide est faiblement ionisé 1- f =1 donc K a  d 'ou pH  ( pK a  log C )
C 2

10 pH  pKe
 Pour une base forte : f = 1   1  10
pH-pK
e=C  pH= pKe + log C
C
 Pour une base faiblement ionisée :
Avancement
État de la réaction
volumique
B + H2O  BH+ + OH-
État initial (t=0) y=0 C excès  0
État final yf C – yf excès yf yf

Ka 
 B   H 3O  
 BH  
avec  BH    OH   10 pH  pKe et  H 3O   10 pH
     
 B C  y f  C (1 f ) or la base est faiblement ionisée donc 1 f 1 d ' ou  B C .

C .10 pH 1
Ka  pH  pK e
d 'ou pH  ( pKa  pKe  log C )
10 2
Attention :
- Pour les acides faiblement ionisés :
y f2 C 2 f2 C  f2
Ka    pour un acide faiblement ionisé K a  C f2
C  yf C C f 1  f
- Pour les bases faiblement ionisées on peut montrer que : K a  K e .
2
Cf
 Effet de la dilution sur le pH d’une solution aqueuse :
 C1  C0
- La dilution : Solution mère : 
 C0
Dilution N fois
V0  Solution fille :  V1 VN
0 Veau

C V
Au cours d ' une dilution C0V0  C1V1 or C1  0 d ' ou V0  1
N N
Après une dilution N fois, le pH d’une solution :
 d’acide fort : pH '   log C  pH '  pH  log N .
N
 d’acide faible pH '  ( pKa  log C )  pH '  pH  1 log N .
1
2 N 2
 de base forte : pH '  pKe  log C
 pH '  pH  log N .
N
 de base faible : pH '  1 ( pKa  pKe  log C )  pH '  pH  1 log N .
2 N 2

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REACTIONS ACIDE-BASE

Acide fort – Base forte Acide faible – Base forte Acide fort – Base faible

 La courbe admet un seul point  La courbe admet deux points d’inflexion,  La courbe admet deux points
d’inflexion, c’est le point le point d’équivalence E et le point de d’inflexion, le point d’équivalence E et le
d’équivalence E. demi-équivalence E1/2. point de demi-équivalence E1/2.

 pHE = 7 la solution est neutre à  pHE > 7 la solution est basique à  pHE < 7 la solution est acide à
l’équivalence. l’équivalence. l’équivalence.

 pH acide  log Ca 1 1
* pH acide  ( pKa  log C a ) * pH base  ( pKa  pKe  logC b )
2 2
pH E  7 1 C aV a 1 CV
* pH E  ( pKa  pKe  logC ) avec C  * pH E  ( pKa  logC ) avec C  b b
2 V a  V bE 2 V b  V aE

V V
* pH E1/2  pKa et au po int E 1/2 on aV b  bE * pH E1/2  pKa et au po int E 1/2 on aV a  aE
2 2
H3O+ + OH-  2H2O AH + OH-  A- + H2O B + H3O+  BH+ + H2O
K=
1
 10 pKe  104 la réaction est K=
1
 10 pKe  pKa  104 la réaction est totale K=
1
 10 pKa  104 la réaction est
Ke Kb Ka
totale totale
Au point d’équivalence Au point d’équivalence Au point d’équivalence
CaVa = CbVbE on a une solution de sel CaVa = CbVbE on a une solution de sel à CaVaE = CbVb on a une solution de sel à
à caractère neutre (Na+ + Cl-) +
caractère basique (Na + A )-
caractère acide (BH+ + Cl-)
Il n’y a pas de point de demi- Au point de demi-équivalence, on a une Au point de demi-équivalence, on a une
équivalence solution tampon de pH=pKa solution tampon de pH=pKa
L’indicateur coloré
 Définition : est un couple acide-bas faible dont la teinte de sa forme acide et différente de celle de sa forme basique
 Rôles d’un indicateur coloré :
 Un indicateur coloré permet d’encadrer le pH d’une solution aqueuse.
Exemple : zone de virage de quelques indicateurs
Indicateur Teinte acide Zone de virage Teinte basique
BBT pH<6 : couleur jaune 6≤ pH ≤ 7,6 : couleur verte pH≥7,6 couleur bleue
.. pH<8 : incolore 8≤ pH ≤ 10,2 : couleur rose pH≥10,2 rose violacé
Une solution S donne une couleur bleue avec le BBT et elle est incolore avec .. d’où
S + BBT → bleue donc pH≥7,6
S + . → incolore donc pH≤8 7,6≤ pH ≤ 8.
 L’indicateur adéquat à un dosage est tel que sa zone de virage contient le pH à l’équivalence : pHE
appartient à la zone de virage.
La solution tampon
Au point de demi-équivalence E1/2 on a une solution tampon, son pH :
*ne varie pas suit à une dilution modérée.
*diminue très faiblement suite à une addition modérée d’un acide.
*augmente très faiblement suite à une addition modérée d’une base.
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LES PILES

 Définition d’une pile : est un dispositif qui permet de produire du courant électrique à l’aide d’une réaction chimique
spontanée
 Le rôle du pont salin : assure la continuité du circuit et l’électroneutralité des deux compartiments
 Présentation d’une pile : On peut présenter une pile soit par
 Son schéma  Son symbole :
M 1 M 12 (C 1 ) M 22 (C 2 ) M 2

:
 Son équation associée :  Sa fem : E= VbD – VbG = VbM2 – VbM1. en
M 1 (sd )  M 22 M 12  M 2 (sd ) circuit ouvert.
 Réaction possible spontanément :
 Si la fem E>0 ; la réaction directe se produit spontanément :
 Si la fem E<0 ; la réaction inverse se produit spontanément :
 Fonctionnement d’une pile :
 Lorsque E>0  VM2 – VbM1 >0  VM2 > VbM1.
 b.M 2  b   M 2   2e  M 2  la masse de M 2 
 M 2 
2

 b.M  b    2 2     
  1
M  M  2e  la masse de M1  M1 
2

1 1 
 Lorsque E<0  VM2 – VbM1 <0  VM2 < VbM1.
b .M 2  b   M  M 22   2é  la masse de M 2 
 M 2 
2

b .M  b    22       2 
  1
M  2é  M  la masse de M 1   
1 1  M 1 
 Déplacement des ions K+ et Cl- dans le pont salin :
Traitons un cas : lorsque E>0 ; on a
 * Pour assurer l 'électroneutralité de la demi  pile M 22  / M 2

  M 2 
2

 les ions K  se dirigent vers ce compartiment
  
  2
  *Pour assurer l 'électroneutralité de la demi  pile M 12  / M 1
 M 1  

 les ions Cl se dirigent vers ce compartiment
 La fem d’une pile :
 M12 
EE  0 0,06
n
log   E 
0 0,06
n
log
 M 2 
2
0
avec nE: nombre 
fem s tan dard de la pile.
d ' électrons transférés

 La constante d’équilibre K d’une pile :


À l’équilibre dynamique : =K et E=0 V 
E0
E0
E  0, 03log K  0  E  0, 03log K 
0 0
 log K  K  10 0,03
0, 03
 Le potentiel standard d’un couple rédox : est la fem de la pile formée par
l’électrode normale à hydrogène placée à gauche et le couple rédox placé à
droite
 Classification électrochimique des couples rédox :
Le couple rédox qui a le potentiel standard le plus grand a le pouvoir oxydant le plus
fort ( donc le pouvoir réducteur le plus faible ).
 La fem standard d’une pile :
La fem standard de la pile M1 M12 (C1 ) M 22 (C2 ) M 2 est :
E°= E°(M22+/M2 )– E°( M12+/ M1 )

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LES AMIDES (SCIENCES EXPERIMENTALES SEULEMENT)

 Formule générale
O  Formule brute :
R-C Masse molaire :
N-R1
CnH2n+1ON
R2 M = 14n + 31
 Formule générale :
 Les trois types d’amides :
Amide non substitué Amide monosubstitué Amide disubstitué
O O O
R-C R-C R-C
N-H N-H N-R2
H R1 R1
R1≠H R1 et R2 sont ≠ de H
Remarque : substituer veut dire remplacer.
- Monosubstitué veut dire un seul atome d’hydrogène, lié à l’atome d’azote, est remplacé par un groupe
alkyle R1. ( alkyle : méthyle -CH3 ; éthyle -C2H5 ; propyle -C3H7).
- Disubstitué veut dire deux atomes d’hydrogène, liés à l’atome d’azote, sont remplacés par deux groupes
alkyles R1 et R2.
 Nomenclature :
 Amide non substitué :

2-méthylpropanamide

 Amide monosubstitué :

N-méthyl,2-méthylpropanamide

Remarque : Pour avoir le nom d’un amide substitué il suffit d’écrire le nom de l’amide non substitué correspondant puis
ajouter la substitution à gauche.
 Préparation d’un amide non substitué (par déshydratation d’un carboxylate d’ammonium).
R  COONH4  RCONH 2  H2O
Carboxylate d 'ammonium Amide non substitué Eau

 Hydrolyse d’un amide


 En milieu basique :
 Amide non substitué : R  CONH 2  Na   OH   RCOONa  NH 3  gaz 
Amide non substitué Soude Carboxylate de sodium
Ammoniac

 Amide N-substitué : R  CONHR '  Na  OH   


RCOONa  R ' NH 2 gaz 
Amide N substitué Soude Carboxylate de sodium
A min e

 En milieu acide :
 Amide non substitué : R  CONH 2  H3O   Cl   RCOOH  NH 4Cl
Amide non substitué Acide chlorhydrique Acide carboxylique Chlorure d 'ammonium

 Amide N-substitué : R  CONHR'  H 3O   Cl   RCOOH  R ' NH 3Cl


A mide N  substitué A cide chlorhydrique A cide carboxylique Chlorure d ' alkylammonium

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PASSAGE ENTRE LES DERIVES D’ACIDES (SCIENCES EXPERIMENTALES


SEULEMENT)

 Les dérivés d’acides :

Dérivé d’acide Ester Chlorure d’acyle Anhydride d’acide Amide


O O O O O
Formule R-C R-C R-C
générale :
O-R’ Cl R-C -O- C-R N-R1
R2
Formule brute CnH2nO2 CnH2n-1ClO CnH2n-2O3 CnH2n+1ON
Masse molaire M=14n+32 M= 14n+50,5 M=14n+46 M= 14n + 31
O O O O O
CH3-C CH3-C CH3-C
O-CH3 Cl CH3-C -O- C-CH3 N-H
Exemple
Éthanoate de Chlorure Anhydride H
méthyle d’éthanoyle éthanoïque Éthanamide

 Préparation d’un ester :




 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' hydrogène
 R C Cl HCl
 Alcool Ester
 O
  R 'OH  R CO
O  R ' 
 Anhydride d ' acide Acide carboxylique

 R C O C  R R COOH

O O
 Préparation d’un amide :
 Nonsubstitué :


 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' hydrogène
 R C Cl HCl
 Ammoniac Amide non substitué
 O
  NH 3  R C  NH 2 
 Anhydride d ' acide Acide carboxylique
 O
 R C O C  R R COOH

O O

 Monosubstitué :


 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' hydrogène
 R C Cl HCl
 A min e primaire Amide monosubstitué
 O
  R ' NH 2  R C  NHR ' 
 Anhydride d ' acide Acide carboxylique
 O
 R C O C  R R COOH

O O

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PASSAGE ENTRE LES DERIVES D’ACIDES (SCIENCES EXPERIMENTALES


SEULEMENT) (SUITE)

 Disubstitué :


 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' hydrogène
 R C Cl HCl
 A min e sec ondaire Amide disubstitué
 O
  R ' NHR "  R C  NR ' R " 
 Anhydride d ' acide Acide carboxylique
 O
 R C O C  R R COOH

O O

 Remarque importante :
 Si l’ammoniac est en excès on obtient le résultat suivant :


 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' ammonium
 R C Cl NH 4Cl
 Ammoniac Amide non substitué
 O
  2 NH 3  R C  NH 2 
 Anhydride d ' acide Carboxylate d ' ammonium
 O
 R C O C  R R COONH 4

O O

 Si l’amine est en excès on obtient le résultat suivant :




 Chlorure d ' acyle Chlorure d ' alkylammonium
 R C Cl R ' NH 3Cl
 A min e primaire Amide monosubstitué
 O
  2 R ' NH 2  R C  NHR ' 
 Anhydride d ' acide Carboxylate d ' alkylammonium
 O
 R C O C  R R COONH 3R '

O O

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FICHES DE REVISION BAC 2017

LE CONDENSATEUR

 Définition d’un condensateur : Un condensateur est constitué de deux armatures métalliques séparées
par un isolant.
 Tension aux bornes d’un condensateur :

C
q
V
C F

-6 -9 -12
Remarque : - On utilise le microfarad ( µF = 10 F), le nanofarad ( nF = 10 F ) et le picofarad ( pF = 10 F ).
I .t
- Si l’intensité du courant est constante (I=cte, générateur de courant), on a : q=I.t d’où u C 
C

 Énergie emmagasinée Ec dans un condensateur :

C est en F
1 
E C  C .uC avec uC est en V
2

2 E est en J
 c

 Capacité d’un condensateur plan :

S est en m 2

 .S e est en m
C  avec 
e C est en F
 est en F .m 1


Remarque : la permittivité électrique relative  r  avec  0  8,85.10 12 u.s.i .
0

 La tension de claquage : est la tension maximale que peut supporter un condensateur.

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LE DIPÔLE RC

 Équation différentielle :

Attention : on doit représenter les flèches des tensions avant d’établir l’équation différentielle.
u R  u c - uG = 0 donc :
du C
RC  u C  E équation différentielle
dt
de la ch arg e d 'un condensateur en u C

 Solution de l’équation différentielle :


* La solution de l 'équation différentielle s 'écrit u C  A  Be t
( A , B et  des cons tan tes positives )
* A t  0;u C (o )  0 (le condensateur est initialement vide )
 A  Be 0  0  B   A d 'ou u C  A  A e t
du C
*cette solution vérifie l 'équation différenti elle : RC  uC  E
dt
RC (0   A e t )  A  A e t  E
RC  A e t  A  A e t  0  A e t (RC   1)  A  E ;
 1 1
 RC   1  0 car A .e  0 d ' ou  
 t

 RC 

 A  E
t t
 
u C  E  Ee 
 E (1  e 
)

 Expression et graphe de uC ; uR et i :


t

t
uR E  t
uc  E(1  e  ) uR =E  uC=Ee 
i=  e
R R
uR(V) i(A)
uc
E
E E=URmax Imax 
R

t(s) t(s)
E
0 0 0
X
t(s) 0 + t(s) 0 + t(s) 0 +
E E
uc(V) 0 E uR(V) E 0 i(A) 0
R R

Attention : En régime permanent Cl’intensité du courant est nulle dans le circuit : donc en régime permanent, le condensateur
I ouvert.
se comporte comme un interrupteur
C
 La constante de temps  :
E
 Définition : La constante de temps d’un dipôle RC est =RC, elle nous renseigne sur la rapidité de la charge et
S condensateur.
de la décharge d’un
 Détermination de la constante de temps  :

D
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E
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o 1ère méthode (utilisation de la tangente à l’origine) : on peut montrer que  est l’abscisse du point
d’intersection de la tangente à la courbe de uc (t)[de même pour uR(t), i(t) et q(t)] à la date t=0 avec
l’asymptote (lorsque t+).

uR(V)
Tangente E=uRmax
uc(V
)
Tangente
E=Uc
max Asymptote
Point Asymptote
t(s)
d’intersection 0

Point
t(s)
d’intersection
0 

o 2ème méthode (lecture graphique) : uc(V)


er
1 cas : à partir du graphe de uc(t)
Pour t=, quelle est la valeur de uc ? 4

uc()  E(1  e )  E(1  e1)

0, 63.E car e1 0, 37
2,52
Exemple :
On a E= 4 V d’où 0,63.4 =2,52 V donc l’abscisse du point d’ordonnée 2,52 V est égale à 
2ème cas : à partir du graphe de uR(t) t(s)
0

Pour t=, quelle est la valeur de uR ?
 uR(V)
1
uR()  E.e  E.e

0, 37.E
4
Exemple :
On a E= 4 V d’où 0,37.4 =1,48 V donc l’abscisse du point d’ordonnée 1,48 V est égale à .

1,48

t(s)
0 

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L’INDUCTION MAGNETIQUE

 L’induction magnétique :

Toute variation de champ magnétique à proximité d’une bobine en circuit fermé produit un courant induit. Le
phénomène s’appelle : Induction magnétique.
L’élément qui crée le champ magnétique est inducteur et la bobine est l’induit
 La Loi de Lenz

Le sens du courant induit est tel qu’il s’oppose par ses effets à la cause qui lui a donné naissance
 L’auto-induction

Lorsque la bobine est à la fois l’inducteur et l’induit le phénomène s’appelle : Auto-induction


Une bobine traversée par un courant électrique variable est le siège d’une auto-induction
L’auto-induction traduit l’opposition d’une bobine à toute variation de courant dans le circuit.

 La f.e.m d’auto-induction

* di en A
di * dt en s
e  L *L en henry (H)
dt
* e en V

 La tension aux bornes d’une bobine

L,r
di i
uB  L  ri uB
dt

 L’énergie magnétique emmagasinée dans une bobine :

1
Li avec  * L en Henry (H)
* i en A
EL 
2
pour avoir EL en J

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LE DIPÔLE RL

 L’équation différentielle :
d’après la loi des mailles :
uR0 + uB = E
di L
L  (R  r)i  E avec  
dt Rr
 Solution de l’équation différentielle
di
La solution de l’équation différentielle L  Ri  E s’écrit sous la forme i(t)  A  Bet avec A, B et  sont des
dt
constantes positives qui dépendent des caractéristiques du circuit. On trouve :
t
E
i(t)  (1  e  )
Rr
 Expression et graphe de i(t), uR0(t) et de uB(t)

t t t
E RE rE E
i(t)  (1  e  ) i(t)  (1  e  ) i(t)   e
Rr Rr Rr Rr
i(A) uR0 (A) uB(V)
E E
E
R0  r R0E
R0  r

rE
t(s) R0  r t(s)
t(s)
0 0
0
t(s) 0 + t(s) 0 + t(s) 0 +
E RE rE
i(A) 0 uR0(V) 0 uB (A) E
Rr Rr Rr

 La constante de temps 

 Définition :
La constante de temps  est une grandeur caractéristique du dipôle RL, elle nous renseigne sur la rapidité de l’établissement
du courant.

Attention :
* En régime permanent, la bobine se comporte comme un résistor car :
dIp
i  Ip  cte donc uBP  L  rIp  0  rIp  rIp
dt
* Lorsqu’il s’agit d’une bobine idéale ( bobine purement inductive ou inductance pure r=0 )

di
uB  L
dt

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LE DIPÔLE RLC EN REGIME AMORTI

 Équation différentielle
D’après la loi des mailles(K est en position 2) :
di d2q (R  r) dq q
uB + uR + uC =0 L  ri  Ri  uc  0    0
dt dt 2 L dt LC
 Non conservation de l’énergie totale d’un circuit RLC série
1 2 1 2
L’énergie totale E = Ec + EL =  cuc  Li .
2 2
dE
On trouve :  i( (R  r)i)   (R  r)i2
dt
dE
 0 donc E est décroissante. L’énergie totale d’un circuit RLC série diminue au cours du temps à cause de
dt
l’énergie dissipée par effet joule dans les résistances.
 Régime pseudopériodique :
uc(V)

R=R R=R2>R1
1

T T est la pseudo période


En augmentant R le nombre d’oscillations diminue puis on passe au régime pseudopériodique.
 Régime apériodique :

 Calcul de l’énergie perdue pendant une durée t=t2 – t1


Edissipée = E(t1) – E(t2).
Exemple :
u1
u2

t1
t2

on prend t1 = 0 s et t2 = 35 ms. En ces deux dates, uC est maximale donc EC est maximale d’où EL est nulle (car
duc du
lorsque uc est maximale = 0 or i  C c donc i=0 d’où EL = 0).
dt dt
1 1
 A t1 , E1 = EC(t=t1) = Cu12 et à t=t2 on a E2 = EC(t=t2) = Cu22
2 2
1
donc l’énergie dissipée par effet joule dans (R + r) ou perdue est égale à Edissipée = E1 – E2 = C(u12  u22 ) .
2

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LE DIPÔLE LC (OSCILLATIONS ELECTRIQUES LIBRES NON AMORTIES)

 Équation différentielle :
d’après la loi des mailles ( K1 est ouvert et K2 est fermé) : la décharge du condensateur dans
une inductance pure.
d2uC uC
uc + uL = 0 donne  0.
dt 2 LC
Équation différentielle des oscillations électriques libres non amorties de pulsation propre 0
1
tel que 02  et de période propre
LC
2
T0   2 LC
0
 Solution de l’équation différentielle
L’équation différentielle précédente a pour solution : uC(t) = UCmaxsin(0t + uc)
 Relation entre i(t) et q(t) :
Imax  C0UCmax 0Qmax
du
i (t )  C c = =C0UCmaxsin(0t + uc)= Imaxsin(0t + i) d’où : {   
  q 

dt i uc
2 2
Remarque :

q   Qmax  i  0
 et i   Imax  q  0 C  uC  0 V. càd lorsque :
ou uC   UCmax  i  0
 le condensateur est complètement chargé, la bobine est vide.
 le condensateur est vide, le courant dans la bobine atteint sa valeur extrêmale.

 L’énergie totale du circuit est constante :


E = EC + EL
1 1 dE 1 1 2
= C.uc2  Li2 et  0 donc E=constante = C.uc2 max  0 = 0  L.Imax donc E = Ecmax = ELmax
2 2 dt 2 2

 Graphes des énergies :

E=Ecmax
E(J) Avec q=/2 =ELmax
Ec
E=Ecmax Ec EL
=ELmax EL
E
E i(A)
0
t(s)
0
E(J)

Ec
EL
E
2
i (A)
0

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LES OSCILLATIONS ELECTRIQUES FORCEES

 Équation différentielle :
di 1
D’après la loi des mailles : uB + uR + uc = u avec u=Umsin(t + u)  L  (R  r)i   i.dt  u(t)
dt C
 Solution de l’équation différentielle :
L’équation différentielle précédente a pour solution i(t) =Imsin(t+i).
 Construction de Fresnel
1ère fonction : (R  r)i  V1((R  r)Imax ; i ).
di 
2ème fonction : L   V2 (LImax ; i  )
dt 2
1 I 
3ème fonction :  idt  V3 ( max ; i  )
C C 2
4 fonction : u(t) 
ème
 V(Umax ; u ) .

Umax
Im 
 L’amplitude : 1 2
(R  r)2  (L  )
C

 Le déphasage  =u - i :
1 1
L  L  Rr
tg  tg(u  i )  C sin   sin(u  i )  C cos   cos( u  i ) 
Rr Z Z

Um U 2 U 1 2
 L’impédance Z : Z     (R  r)2  (L  )
Im I 2 I C

 La résonance d’intensité :

A la résonance d’intensité :
 Im est maximale.
 N  N0    0 .

 Um=(R+r)Im, Z est minimale Z= R+r

 u =i,  = 0 ; u(t) et i(t) sont en phase.


 A la résonance d’intensité, uc est en quadrature retard par rapport à u(t).
La courbe de variation de
La puissance moyenne consommée par le circuit est P  U.I.cos(u  i )  (R  r).I 2
I=f(N), (Courbe de
résonance).
1 L
Le coefficient de surtension Q  . si Q > 1 il y’a surtension et si Q < 1il n’ y’a pas surtension.
Rr C

Attention : on a : * u(t) est toujours en avance de phase % à uC(t).


* Z > R  Z.Imax > R.Imax donc Umax est toujours supérieure à URmax.
* A la résonance d’intensité Etotale = cste et le circuit se comporte comme un dipôle LC.

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ANALOGIE ELECTROMECANIQUE (SCIENCES EXPERIMENTALES)

 L’analogie électromécanique :
- Tableau d’analogie :

- Analogie électromécanique :

Umax
 L’amplitude de l’intensité Imax : Im 
1 2
(R  r)2  (L  )
C

I Umax Fmax
 L’amplitude Qmax : Qm     Xm 
max

1
(R  r)2 2  (L2  )2 h2 2  (m2  k)2
C

(R  r) h
 Le déphasage :
tg   tg(    )   tg( F  x ) 
K  m2
u uC
1
 L2
C

(R  r)2 h2
 r   
2
0  r   2
0
2L2 2m2

(R  r)2 h2
 Nr  N0   Nr  N02 
2

82L2 8  2m 2

Im2 Vm2
 P  (R  r).  Pmec h
2 2

Um 1 2 Fm K
 Z  (R  r)2  (L  )  Zmec   h2  (m   )2
Im C Vm 

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OSCILLATIONS MECANIQUES LIBRES NON AMORTIES

R
 Équation différentielle Le solide n’est pas soumis à une force de frottement T

d2 x K P
R.F.D: P  T  R  ma ce qui donne  x0 i x
dt 2 m x’
O x
Équation différentielle des oscillations mécaniques libres non amorties de pulsation
K 2
propre 0 tel que 02  et de période propre T0   2
m
m 0 K

 Solution de l’équation différentielle


L’équation différentielle précédente a pour solution : x(t)  Xmax sin(0 t  x )
Vmax 0 Xmax
On peut avoir de même l’expression de v(t) 
dx
dt
 Vmax sin( 0 t  v ) avec : {  x 

v
2
Remarque :
 x   Xmax ; v  0 c.à.d lorsque le solide atteint l’une de ses positions extrémales, sa vitesse s’annule.
 v   Vmax ; x  0 c.à.d lorsque le solide passe par sa position d’équilibre, sa vitesse est maximale.
v  Vmax si le solidepassepar saposition d' équilibre en se dirigeant dansle sens positif (x(t) )
{ v  Vmax
si le solide passe par saposition d' équilibre en se dirigeant dansle sens négatif (x(t) )

 Conservation de l’énergie totale de l’oscillateur :


E = Ep + Ec. avec Ep énergie potentielle élastique du système :{solide + ressort} et EC énergie cinétique du solide.
1 2 1 dE
E Kx  mv 2 ;  0 donc E  cte.
2 2 dt
Remarque :
1 2
 x   Xmax ; v  0 E KXmax  0 d’où E  Ep
2 max

1
 v   Vmax ; x  0 2
E  0  mVmax d’où E  ECmax
2
 Graphes des énergies

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OSCILLATIONS MECANIQUES LIBRES AMORTIES

 Équation différentielle :
Dans cette partie, le solide est soumis à une force de frottement du type visqueux (appliquée par un fluide). Cette force est
exercée par le liquide et elle a pour expression f  hv avec h, constante positive : coefficient de frottement (h est en Kg.s-1)
d2 x dx
R.F.D :P  R  T  f  ma ce qui donne m 2
h  Kx  0
dt dt
 Influence de l’amortissement
On répète la même expérience en augmentant la valeur du coefficient d’amortissement h, on obtient les graphes suivants :
x(m)
Pour un amortissement faible, on obtient le régime
Régime apériodique h=h3 >h2 Régime pseudopériodique h=h1
pseudopériodique, en augmentant
l’amortissement (la valeur de h) :
- Le nombre d’oscillations diminue.
- Le pseudo période augmente. t(s)
- On passe du régime pseudopériodique au
régime apériodique.

Régime pseudopériodique h=h2 >h1

 Non conservation de l’énergie totale du système :{solide + ressort} :


dE
  hv 2  0
dt
D’où l’énergie totale du système diminue au cours du temps à cause de l’énergie dissipée par les frottements.

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OSCILLATIONS MECANIQUES FORCEES (SECTION MATHEMATIQUES)

 Équation différentielle :
Dans cette partie, le solide est soumis à une force de frottement du type R
visqueux (appliquée par un fluide). Cette force est exercée par le liquide et T f F
elle a pour expression f  hv avec h, constante positive : coefficient de P x
frottement (h est en Kg.s-1) et à une force excitatrice F(t)=Fmsin(t +F ) x’
O Fig1
d2 x dx
R.F.D :P  R  T  f  F  ma ce qui donne m 2  h  Kx  F(t)
dt dt
 Solution de l’équation différentielle
L’équation différentielle précédente a pour solution x(t) =Xmsin(t+x). Pour avoir une solution complète de x(t) on
doit avoir l’expression de Xm et celle de
x.
 Construction de Fresnel
Kx   V1(KXm ; x ) .
dx 
h   V2 ( hXm ; x  )
dt 2
2
dx
m 2   V3 (m2 Xm ; x  )
dt
F(t)  Fm sin(t  F ) 
 V(Fm ; F )

 L’amplitude Xm
Fm
Xm 
h2 2  (K  m2 )2
 Le déphasage  =F - x

h
tg  tg( F   x ) 
K  m2
 La résonance d’élongation (ou d’amplitude)
En faisant varie la fréquence de la force excitatrice, l’amplitude Xm atteint sa
valeur maximale, on dit alors que l’oscillateur est en résonance d’élongation.
A la résonance d’amplitude Xm est maximale :
Fm est constante donc h22  (K  m2 )2 est minimale .
d h2 2  (K  m 2 )2 
 0 on trouve
d
h2 h2
r  02  ou rN  N 2
 .
8  2m2
0
2m2
 Cas particuliers : 1er cas :Absence de l’amortissement (h=0)
 < 0  > 0
Fm 2
m Xm F = x F 2
m Xm x
KXm Fm KXm
x x

 =F - x = 0  =F - x = 
Fm
Xm 
K  m2

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- 2ème cas : Valeur limite de h pour avoir la résonance d’élongation :
h2 h2 K
Pour avoir résonance d’élongation, il faut que 02   0 donc  02 ; h2  2m2 02 ; h2  2m2 ; h  2mK  hlimite
2m2 2m2 m

Attention : On a :
* toujours F(t) est en avance de phase % à x(t).
* à la résonance de vitesse, l’oscillateur se comporte comme un oscillateur libre non amorti.

ANALOGIE : RESONANCE D’INTENSITE  RESONANCE DE VITESSE

 Tableau d’analogie :

Um Fm
 L’amplitude de l’intensité Imax : Im   Vm 
1 2 K
(R  r)2  (L  ) h2  (m  )2
C 

1 K
L  m 
tg  tg(u  i )  C  tg(F  v )  
 Déphasage : :
Rr h

 r  0

Im2 Vm2
 P  (R  r).  Pmec  h
2 2

Um 1 2 Fm K
 Z  (R  r)2  (L  )  Zmec   h2  (m   )2
Im C Vm 

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ANALOGIE : RESONANCE D’ELONGATION  RESONANCE DE CHARGE


(SECTION MATHEMATIQUES)

 Tableau d’analogie :

Fmax Imax Umax


 Amplitude : Xm   Qm 


h2 2  (m2  k)2 1
(R  r)2 2  (L2  )2
C

h (R  r)
 Le déphasage :
tg(F  x )   tg  tg(u  uC ) 
K  m2 1
 L2
C

h2 (R  r)2
 Pulsation à la résonance r  02   r  02 
2m2 2L2

h2 (R  r)2
 Fréquence à la résonance Nr  N0   Nr  N02 
2

8  2m 2 82L2

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ONDES

 Définition d’une onde : est le phénomène qui résulte de la propagation d’une succession d’ébranlements.
 une onde est transversale si la direction de la
vibration est orthogonale à celle de la propagation.
 une onde est longitudinale si la direction de la
vibration est identique à celle de la propagation.
 La longueur d’onde 
La longueur d’onde  est la distance parcourue par
l’onde pendant une période temporelle T.
V
  T.V 
N
 Onde progressive
Une onde qui se propage dans un milieu ouvert est dite progresive.
 Élongation d’un point de la corde ( ou loi horaire de mouvement) :
 est le temps mis par l’onde pour atteindre le point M
D’après le principe de propagation :
x
Pour 0  t  ; y M (t)  0 avec 
:{Pour t   ;y M (t)  y S (t ) a sin( t 
V
2x
S )

 Diagramme de mouvement d’un point M de la corde d’abscisse
xM donnée : sinusoïde de temps
x
Pour 0  t  ; yM (t)  0 avec 
{Pour t  ;y (t)a sin(t  2x M
 S )
v


M

 Aspect de la corde à une date t1 donnée : sinusoïde des espaces.


On note xF : abscisse du front d’onde à la date t1 ( ou distance parcourue par l’onde à la date t1). xF = V.t1.
Pour x  x F ; y t1 (x)  0
{Pour 0  x  x ; y (x)a sin(t  2x   )

F t1 1 S

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 Propagation d’une onde sinusoïdale à la surface de


l’eau

Stroboscopie
N  kN e avec k  *
 Im mobilité apparente

N kN e avec k  *
 Ralenti direct

N kN e avec k  *
 Ralenti inverse

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INTERACTION ONDES-MATIERE

I- La diffraction :
La diffraction est la modification du trajet d’une onde et par suite de sa forme, au voisinage
d’une fente ou d’un obstacle

II- La réflexion : (Section maths seulement )


La réflexion est le brusque changement de direction d'une onde à l'interface de deux milieux
de propagation. Après réflexion l'onde reste dans son milieu de propagation initial avec i=r ; i : angle
d’incidence et r : angle de réflexion.
et =’ ;  : longueur de l’onde incidente et ’ : longueur de l’onde réfléchie.

III- La transmission : (Section maths seulement )


La transmission est le passage d’une onde d’un milieu propagateur à un autre avec changement de
célérité mais sans changement de direction.(la direction de l’onde incidente est orthogonale à la surface
de séparation des deux milieux propagateurs.)

IV- La réfraction (Section maths seulement )


La réfraction d’une onde est le changement de sa direction de propagation et de sa célérité, au niveau
de la surface de séparation de deux milieux de propagation.

V- Milieu dispersif :
Un milieu dispersif tout milieu dans lequel la célérité d’une onde périodique varie avec sa
fréquence.

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SPECTRE ATOMIQUE

 Expérience de Franck et Hertz


 Dispositif expérimental :

 Principe de l’expérience :

On fait varier l’énergie cinétique Ece et on règle le compteur de sorte à


compter le nombre d’électrons qui l’atteigne avec l’énergie cinétique
Ece.
NC
L’étude expérimentale a permis de tracer en fonction de Ece
Ne
 Interprétation :
- Pour Ec< 4,9 ev : il se produit un choc élastique entre l’atome et l’électron au
cours duquel l’électron garde son énergie donc tous les électrons arrivent au
capteur.

- Pour Ec≥ 4,9 ev : il se produit un choc inélastique entre l’atome et l’électron au


cours duquel l’électron cède une 4,9ev de son énergie à l’atome, donc il y’a des électrons qui n’arrivent pas au
capteur.
 Conclusion : L’expérience de Franck et Hertz met en évidence la quantification du transfert d’énergie entre
un atome et le milieu extérieur

 Spectres atomiques
 spectre d’émission :
- dispositif expérimental :

- Spectre d’émission de l’atome de mercure :

 spectre d’absorption :
- dispositif expérimental :

- Spectre d’absorption de l’atome de mercure :

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 Les niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène :

pour un niveau d’énergie de l’atome d’hydrogène d’ordre n l’expression de son énergie


E0
En   avec E0  13, 6 ev
n2

 Définitions :
 L’état fondamental est : l’état d’énergie
minimale

 La transition est : le passage de l’atome d’un


niveau d’énergie à un autre

 L’émission est : le passage de l’atome d’un


niveau d’énergie plus haut à un niveau d’énergie plus
Absorption
bas.
Etats excités
 L’absorption est : le passage de l’atome d’un
niveau d’énergie plus bas à un niveau d’énergie plus Emission
haut . Etat fondamentale
 L’énergie d’ionisation est : l’énergie minimale
qu’il faut fournir à un atome, pris dans son état
fondamental, pour arracher un électron.

 Interprétation du spectre d’émission

 Lorsque l’atome passe d’un niveau d’énergie plus haut En à un niveau plus bas Ep (n>p), l’atome émet de
l’énergie sous forme de photons avec :

En – Ep  W  photon  avec n  p.
hc hc
En – E p  h   E n – E p  
 (En  Ep ).1,6.10 19

 Interprétation du spectre d’absorption

 Lorsque l’atome passe d’un niveau d’énergie plus haut En à un niveau plus bas Ep (n<p), l’atome absorbe de
l’énergie sous forme de photons avec :

* Si En  Wphoton  0 le photon est absorbé et l'atome est ionisé.


* Si En  Wphoton  Ep avec p  n rien ne se passe.
* Si En  Wphoton  Ep avec p  n le photon est absorbé et l'atome est excité.
hc
Attention : Wphoton (en ev ) 
.1,6.10 19

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LES REACTIONS NUCLEAIRES

 Le noyau atomique :
 Z : nombre de protons

Symbole du noyau : AZ X avec A : nombre de nucléons  nombre de protons  nombre de neutrons
A  Z : nombre de neutrons

 L’équivalence masse énergie : Relation d’Einstein

1u  931, 5Mev .C 2  E (en Mev )  m .931.5 Mev



E  mC 2 si on nous donne  27 27
1u  1, 66.10 Kg  E (en J )  m .1, 66.10 .(3.10 ) en J

8 2

1 eV = 1,6.10-19 J et 1 MeV = 1 méga eV = 106 eV = 1,6.10-13 J.

 L’énergie de liaison El (ZA X ) d’un noyau :

E L (AZ X )  ( Zm p  (A  Z )m n  m ( AZ X ) )C 2
E L ( AZ X )
L’énergie de liaison par nucléon W ( X ) d’un noyau :W ( X ) 
A A
Z Z
A

Le noyau le plus stable est celui qui a l’énergie de liaison par nucléon la plus grande.

A2- les réactions nucléaires spontanées : la radioactivité


 Les trois types de radioactivité :
 La radioactivité  ( 42 He ) :
 A  A ' 4
A
X est un noyau radioactif  : A
X → A'
Y + 42 He avec exemple 
 Z  Z ' 2
Z Z Z'

 La radioactivité  - ( 01e ) :
A  A'
A
X est un noyau radioactif - : A
X → A'
Y + 0
1 e avec 
 Z  Z ' 1
Z Z Z'

 La radioactivité  + ( 10 e ) :
A  A'
A
X est un noyau radioactif  +: A
X → A'
Y + 0
e avec 
 Z  Z ' 1
Z Z Z' 1

 Le rayonnement  (photon) :
Lorsqu’un noyau fils est créé dans un état excité, il se désexcite en émettant un photon  :
A'
Z' Y *  ZA''Y  00 
 Loi de décroissance radioactive :
Soit N0 le nombre initial de noyaux dans une substance radioactive( à t=0) et N le nombre de noyaux à l’instant
 t
t>0 et dN est la variation de nombre de noyaux pendant une durée dt : dN= -Ndt d’où N (t )  N 0e
dN
 L’activité A d’une substance radioactive A :
dt
L’activité d’une substance radioactive est le nombre de désintégrations produites par seconde
-λt
A= .N= =λN 0 e =A 0 e
-λt

Son unité est le Becquerel ( Bq) lorsque  est exprimée en s-1

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Remarque : le nombre de noyaux dans un échantillon de masse m d’une substance radioactive est :
m
N N avec N le nombre d’Avogadro et M masse molaire. (N=6,02.1023)
M
m echantillon mechantillon (en Kg )
Autre méthode N  
m noyau m noyau (en u ).1, 66.1027
A2- les réactions nucléaires provoquées :
 La fission nucléaire est une réaction nucléaire provoquée au cours de laquelle un noyau lourd se divise
en deux noyaux de masses comparables.

 La fusion nucléaire est une réaction nucléaire provoquée au cours de laquelle deux noyaux légers
fusionnent pour former un noyau plus lourd.

 Énergie d’une réaction nucléaire spontanée ou provoquée :

E=(mi - mf ).C2


 Si mf < mi  E>0  on a perte de masse d’où gain d’énergie : l’énergie est libérée

 Si mf >mi  E<0  on a gain de masse d’où perte d’énergie : l’énergie est consommée

Les multiples et les sous multiples


Les multiples Les sous multiples
1 K = 1kilo = 103 1 c = 1 centi = 10-2
1 M = 1 méga = 106 1 m = 1 milli = 10-3
1 G = 1 giga = 109 1 µ = 1 micro = 10-6
1 T = 1 téra = 1012 1 n = 1 nano = 10-9
Les multiples et les sous multiples 1 p = 1 pico = 10-12

Exemples : Exemples :
m= 0,5 Kg = 0,5.103 g V= 40 mL=40 cm3 = 40.10-3 L
N= 2,4 MHz = 2,4.106 Hz q= 2,4 µC = 2,4.10-6 C
d= 15 cm = 15.10-2 m
Les unités
Chimie Physique
Grandeur Unité Grandeur Unité
Masse g Masse Kg
Volume L Distance x m
Masse molaire g.mol-1 Vitesse V m.s-1
Quantité de matière ou nombre de mole Mol Accélération m.s-2
Concentration molaire ou molarité mol.L-1 Force N
Taux 
Vitesse instantanée ou moyenne Mol.(unité de temps)-1 s
-1 -1
Vitesse volumique mol.L .(unité de temps) Tension U V
L’intensité I A
 et K Sans unité Énergie J
Ka , pKa , Kb , pKb et pH Sans unité Puissance W
f Sans unité Fréquence Hz
Fem V Impédance mécanique Zméc Kg.s-1
Masse volumique g/mL ou g/cm3 Coefficient de frottement h Kg.s-1
Densité Sans unité Raideur K N.m-1
Résistance R 
Impédance Z 
Inductance L H
Capacité C F

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Chimie Physique
Grandeur Unité Grandeur Unité
Période T s
Coefficient de surtension Q Sans unité
Longueur d’onde  m
Phase initiale  rad
1 ev 1,6.10-19 J
1Mev = 106 ev 1,6.10-13 J
h = hc/ J
1u 931,5 Mev/c2
1u 1,66.10-27 Kg
Constante radioactive  (unité de temps)-1
Activité radioactive Bq (becquerel)

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