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Etude technique de la
tomate sous serre :
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Rapport de stage 2009/2010
I. GENERALITE SUR LA BOTANIQURE DE LA TOMATE :
1. Taxonomie :
Famille botanique : solanacées
Nom scientifique : Lycopersicum esculentum
Origine : Amérique du sud.
2. Description botanique :
La plante de tomate est une plante annuelle, herbacée, sensible au froid, à des
feuilles composées, alternes, longues de 10 à 25 cm.les fleurs sont petites jaunes, le fruit
est sous forme de baie charnue, dont les graines sont petites (250 à 350 graines par
gramme). Après le stade cotylédonaire, la plante produit 7 à 14 feuilles composées avant
de fleurir. Son système racinaire est de type pivotant à tendance fasciculée, il peut
atteindre un mètre de profondeur.
3. Exigences pédoclimatiques :
Le gel et les vents chauds (chergui) compromettent la production de la tomate ; la
température est très exigée pour une meilleure croissance de la plante.
a) Les températures :
Les températures optimales sont :
-températures diurnes : 20-25°C
-températures nocturnes : 13-17°C
-températures du sol : 14-18°C
b) Humidité relative :
-Une humidité relative de 75% est jugée optimale.
-Une humidité relative trop élevée entraîne une végétation luxuriante, elle favorise aussi
le développement des maladies.
-l’aération matinale permet de réduire l’humidité de l’air
c) La lumière :
Est un facteur écologique fondamental. Elle intervient dans de nombreux
phénomènes physiologiques, notamment la photosynthèse.
d) Le sol :
Doit être meuble, profond, aéré et bien drainé ; son ph est sans importance majeure.
e) La salinité :
Dépend du stade de la culture ; toutefois, elle doit être maintenue entre 1.5 et 3
mmhos/cm.
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II. Conduite de la culture de tomate :
1. Matériel végétale utilisé:
Prestyla (tomate ronde) greffées sur le porte greffe BEAUFORT qui se caractérise par :
-Une résistance et tolérance aux maladies et aux parasites du sol
- Une vigueur du plant et un enracinement sont importants.
- Une bonne affinité avec les variétés utilisées.
- Une haute production et une bonne qualité en période froide tout au Long de la culture.
-une absorption et assimilation d’eau et d’éléments minéraux très satisfaisante dans les
périodes difficiles.
2. Opération culturales:
b. Préparation du sol :
Cette technique est très importante, car elle contribue à la réussite de la culture.
Elle est faite comme suit :
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Compost épandu :
Mouillage du sol, a fin d’ameublir le sol, et faciliter les opérations du travail du sol,
une pré irrigation par aspersion a eu lieu, avec une dose d’eau de 70L/m².
Mouillage du compost
Confection des billons :
C’est une technique utilisée pour toutes les cultures maraîchères, elle consiste à
faire des billons de 15 a 20 cm de hauteur, 80cm de largeur, et une longueur qui varie avec
la nature des serres .Elle est faite a l’aide d’une charrue à socs .En suite on effectue un
passage par les râteaux et les sapes afin de niveler le sol.
Le but de cette technique est :
- Créer un milieu favorable au développement des racines ayant une grande rétention
aux éléments minéraux.
- Assurer l’azote aux jeunes plantules.
- assurer la disponibilité du phosphore.
- Assurer la répartition du P2O5 et K2O dans la couche labourée.
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d. Paillage plastique :
Juste après l'installation des rampes d'irrigation et les gaines de la désinfection du
sol, il faut procéder au paillage qui consiste à couvrir les banquettes par un film
plastique de couleur noir. Cette opération présente plusieurs avantages pour la culture :
Eviter le développement des mauvaises herbes;
Limite les pertes en eau par évaporation;
Diminuer le contact entre le plant et les fruits avec le sol cependant
diminué les possibilités de contamination;
Garder une température du sol relativement élevée autour des racines.
Le paillage est également nécessaire pour la désinfection du sol.
Eviter le contact entre le sol sain et le sol non traité.
Augmenté la température du sol.
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Paillage plastique
e. Désinfection du sol :
En général, la désinfection du sol se fait vingt jours
avant la transplantion, dans l’exploitation KHMAISS, on a
procédé à deux produits : Tripicrine et Dorlon au lieu du
bromure de méthyle qui cause des problèmes de toxicités
au niveau de la plante et de l’environnement.
L’injection de ces deux produits se fait par des
opérateurs qualifiés avec une pompe d’injection
(140L/heure) au niveau de la porte rampe principale, après
l’injection du produit ; il est recommander de rincer le
réseau d’irrigation pendant 1heure pour éviter la précipitation du produit au niveau des
goutteurs.
NB : Il est interdit aux ouvriers d’entrée aux serres désinfectées.
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Bande jaune
i. Transplantation :
En pépinière, et durant une période de quatre semaines, les jeunes plantules ont subi
un programme riche: Semis, greffage, traitements phytosanitaires, arrosages, et
acclimatation, sont tous des opérations qui ont abouti au développement des jeunes
plantules pour atteindre la phase de transplantation.
Avant de commencer cette opération, on procède à une pré- irrigation pour faire pousser
les produits de désinfection du sol vers le fond, aussi bien pour faciliter le développement
des racines et humidifier le sol.
NB : Il faut faire très attention, au moment de la plantation à ne pas endommager les
plants ou de couvrir leur partie greffée avec le sol afin d'éviter les risques de pourriture de
collet.
Les plants sont placés en quinconce prés des goutteurs, avec une conduite sur deux
bras avec un inter ligne de 1.60m et inter plant de 0.40m.
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Transplantation
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k. Entretien de la culture:
i. Palissage :
NB :
Le palissage doit se faire en évitant l'enroulement de la ficelle sur les bouquets
floraux et d'éviter de palisser entre le début et la fin de la journée ceci pour éviter la
cassure des plantes.
La ficelle doit être désinfecte avant son installation.
ii. Ebourgeonnage
L'ébourgeonnage consiste à supprimer touts les bourgeons qui naissent à l'aisselle
des feuilles afin de favoriser la croissance apicale qui est le point de départ de la tige. A
cela s'ajoute la suppression des bourgeons qui prennent naissance à l'extrémité des
bouquets afin d'éviter la compétition vis-à-vis de la nutrition et la lumière.
L'ébourgeonnage est pratiqué manuellement en évitant la blessure de la tige ou la
présence des plaies qui peuvent constituer des foyers de développement des
champignons ainsi que la désinfection des mains par l'eau de Javel a lieu pour éviter la
dissémination de certaines maladies fongiques et bactériennes telle que la bactériose.
iii. Effeuillage :
Cette opération est nécessaire pour une culture de tomate sous serre, afin d'avoir
une bonne circulation de l'air au niveau de la plante, ce qui permet :
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Consiste à enlever les feuilles basales et les feuilles malades, car elles favorisent
le développement des agents pathogènes, c’est une opération nécessaire, car elle
permet de :
Favorise la nouaison des bouquets de la base et garantir une meilleure coloration des
fruits.
Améliorer la circulation de l’air dans la partie basale des plants, ce qui permet
d’éviter le développement des maladies.
Obtenir un bon entretien et une récolte facile.
Elle se fait de 6 à 8 fois durant le cycle de la plante.
iv. Couchage :
Lorsque les plantes ont atteint le fil de fer, les ouvriers munis d’échasses procèdent au
couchage des plantes de manière à ce que le bras de la même plante soit couché dans le
même sens que l’autre bras. Cette opération se fait au fur et à mesure de la croissance des
plants et la maturité des fruits pour faciliter la récolte et maintenir tous les plants à la
même hauteur.
Ces soins culturaux sont indispensables pour conduire une culture de tomate sous serre
le long de son cycle, en optimisant son état physique, son milieu, son microclimat et par
conséquent sa production qui doit répondre à toutes les normes exigées par le client.
N.B : Les déchets ne doivent pas rester longtemps à l’intérieur de l’abri serre,
surtout pendant les périodes froides et humides, car ils constituent une véritable menace
pour la culture, source de développement des champignons et ravageurs.
v. Eclaircissage :
Cette opération se pratique rarement sur la variété pristyla qui ne dépasse pas 7
fruits par bouquet.
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Thermomètre
vii. Ecimage :
viii. Désherbage :
Le désherbage est effectué manuellement en arrachant les mauvaises herbes qui
poussent autour des pieds de la tomate. Les adventices qui poussent dans les passages et à
l’extérieur des serres sont éliminés à la sape. Cette opération s’effectue une fois par
semaine
ix. Pollinisation :
Sachant que cette opération est d’une importance capitale pour assurer une bonne
production et surtout un bon rendement, sa pratique est de rigueur ; on a procédé à
diverses méthodes pour assurer la fécondation du maximum de fleures possible ; Il s’agit
en effet de deux méthodes mécaniques et d’une biologique avec la mise en place des
bourdons pollinisateurs :
Vibration:
Il consiste à libérer les grains de pollen issus des étamines pour faciliter leur
dissémination dans l’air surtout leur dépôt sur les stigmates. Cette opération est effectuée
manuellement à l’aide des bâtonnets.
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Bourdons pollinisateurs :
x. Récolte :
La récolte se fait manuellement. Cependant lors de la récolte certaines précautions
sont nécessaires de prendre comme respect de la coloration et garder fruit avec le
pédoncule pour Prestyla.
Précautions qu’il faut prendre lors de la récolte sont :
Eviter de blesser les fruits.
Respecter la coloration demandée.
Mettre les fruits dans des caisses d’une façon homogène.
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Remarque :
Pendant toutes les opérations culturales (palissage, effeuillage, ébourgeonnage…) et
pour des mesures d’hygiène, les ouvriers doivent désinfectés les mains avant et après
chaque opération, à l’entrée et à la sortie des serres, ainsi que les outils de travail. Cette
opération se fait à l’aide de l’eau de javel 12°.
Station de tête
En ce qui concerne la station de fertigation, l’exploitation (KHMAISS C) dispose
des équipements suivants :
3 injecteurs d’engrais.
2 pulvérisateurs à dos (15littres)
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8 filtres à disque (2216 disques).
Programmateurs
1 CE mètre.
1pH mètre.
1 bassin d’accumulation.
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Bassin d’accumulation
b. Besoin hydrique de la culture:
La tomate est une plante assez sensible à la fois au déficit hydrique et à l'excès d'eau.
Un déficit hydrique, même de courte durée, peut réduire sérieusement la production. De
même, un excès d'eau, notamment aux stades de faible consommation peut provoquer
l’asphyxie des racines et le dépérissement total des plants. Les stades où les besoins en eau
sont critiques se situent entre la floraison, la nouaison et le grossissement des fruits. En
effet, un stress hydrique au stade floraison provoque une coulure des fleurs et une
mauvaise nouaison.
Il est recommandé d’assurer une bonne alimentation hydrique durant tout le cycle de la
culture. Un stress hydrique qui précède ou suite à une irrigation normale entraîne des
éclatements des fruits qui deviennent par la suite prédisposés aux attaques de maladies et
ravageurs.
Les besoins de la tomate sont liés au climat, au stade des plantes et leur état
végétatif. Cependant elle est très sensible aux déficits hydriques pendant les stades de
formation des bouquets et aussi pendant le grossissement des fruits.
Au cours de mon stage la quantité de l’eau apportée à disposition de la plante a été
une décision prise de la part du chef de culture sans pratiquer ni la méthode des
Rayonnement globales, ni utiliser le lysimètre ou tensiomètre. Mais en réalité c’était des
observations visuelles continues sur des différents aspects :
Climat (tempéré, couvert ou pluvieux).
Etat d’humidité du sol.
Stade physiologique de la plante.
Aspect et comportement des plants en générale.
Le tableau suivant montre les doses d’irrigation apportées à la plante pendant la
période de stage.
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Tableau 7: «Les doses d’irrigation apportée à Khmaiss C »
PF2 21 210
F2F6 29 435
F6F8 15 450
F8R2 10 900
R2R12 50 1500
2.Fertigation :
La fertigation est une technique qui consiste à répondre aux besoins de la plante en eau
et en éléments nutritifs. Cette technique demande une connaissance des caractéristiques
physiques et chimiques de l'eau et du sol. Elle permet d’apporter à la plante non seulement
la quantité d’eau nécessaire à son développement mais aussi la quantité supposée exacte
ou suffisante en éléments et en produits phytosanitaires préconisés par des normes.
Le respect des besoins de la plante en eau et en éléments nutritifs selon les
différents stades va garantir une assimilation satisfaisante nécessaire au bon
développement de la plante.
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b. Contrôle de la Fertigation :
La maîtrise de l’irrigation fertilisante est fonction de 3 paramètres
Pour bien maîtriser l'irrigation fertilisante, trois paramètres doivent être pris en
considération :
Acidité :
La tomate est une plante tolérante en ce qui concerne le ph, mais afin d'assurer
l'assimilation de l'ensemble des éléments minéraux nécessaires à la croissance de la plante
et ainsi avoir le meilleur rendement possible, le pH des apports doit être compris entre 5,5
et 6,5. Un pH différent de ces valeurs peut inhiber l’assimilation de certains éléments
nutritifs par la plante.
Salinité :
La conductivité électrique présente la concentration globale en éléments minéraux de
la solution, elle dépend de l'époque de la culture, du stade végétatif et de l'hybride cultivé.
La mesure de l’CE du sol se fait au niveau de la ferme 1 fois par semaine par la
méthode qui consiste à bien mélanger un volume du sol prélevé d’une serre après on
prend 2/3 de l’eau distillé et 1/3 du sol, puis mesurer le mélange de l’eau et le sol on
utilisant l’CE mètre.
NB : Il faut à chaque fois laver l’CE mètre pour avoir de bon résultat.
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Les solutions mentionnées dans le tableau correspondent respectivement aux stades
phrénologiques suivants :
a. Le premier stade : ‘phase de démarrage’
Durée du stade : 15 jours
Raisonnement de l’équilibre :
Durant ce stade, on a intérêt à améliorer la croissance végétative des plantules et le
développement du système racinaire dont le phosphore joue un rôle essentiel. Donc, il est
indispensable d’apporter une solution nutritive enrichie en :
-Calcium : pour aider les racines à absorber les éléments nutritifs apportés.
-Phosphore : pour bien installer les racines.
-Magnésium : pour influencer l’absorption et la translocation du phosphore.
-Azote : un élément clé de la formation des tissus.
La conductivité électrique (CE) de la solution d’apport doit être maintenu plus basse
(1,8-2,5 mmhos/cm).
b. Le deuxième stade : ` F1 – F4 ’
Durée du stade : 21 jours ;
Equilibre : 1-0,84-1,51-0,8-1,1.
Raisonnement de l’équilibre :
Lors de ce stade, on assiste à l’entrée en phase générative où la floraison est importante.
Donc il faut augmenter les teneurs en phosphore, en magnésium et en potasse.La
conductivité électrique (CE) est maintenu entre 2,2 et 2,7mmhos/cm.
c. Le troisième stade : `F5 – R2 ’
Durée de la phase : 15 jours
Equilibre : 1-0,61-3,07-0,9-1,3.
Le raisonnement de l’équilibre :
C’est lors de ce stade que les fruits des premiers bouquets commencent à mûrir.
L’équilibre varie considérablement car les exigences de la plante en potassium sont de plus
en plus importantes. Et le rapport K/N augmente en faveur de cet élément, pour assurer le
grossissement du fruit.
En plus, les plants sont en pleine croissance végétative et générative qu’il faut maintenir
par des apports de calcium, de magnésium et de nitrate. La CE de la solution d’apport doit
être maintenue (2,5-2,8mmhos/cm).
d. Le quatrième stade : ‘ R2 - FIN DU CYCLE ’
De la floraison F8 jusqu’à la fin de la compagne.
Durée de la phase : plusieurs mois.
Equilibre : 1-0,5-3,47-0,8-0,6.
Le raisonnement de l’équilibre :
Lors de cette phase, la plante est en pleine production, donc on doit établir un
certain équilibre entre la végétation et la charge en fruits. Pour se faire, on augmente les
teneurs en calcium et en potassium, et on diminue les quantités de phosphore pour éviter
l’antagonisme entre les éléments.
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La CE est fortement liée aux conditions climatiques ambiantes. Lors des périodes
froides (les mois 11 et 12), elle doit être élevée car les besoins en éléments nutritifs sont
importants et la consommation en eau est réduite. Hors ces périodes, elle doit être
rectifiée en fonction de la CE de la solution du sol.
La CE de la solution d’apport doit être maintenue (2,7-3 mmhos/cm).
4. Engrais utilisés :
Tableau 8 : « Les quantités d’engrais utilisées selon différents stades de
développements de la tomate »
Stade I II III IV
engrais P F1 F4 R2 R2
F1 F4 Fin
Quantité Quantité Quantité Quantité
(kg/ha/j) (kg/ha/j) (kg/ha/j) (kg/ha/j)
Nitrate de 3 7,5 12 14
potasse
Sulfate de 2,5 3,5 5 7
potasse
Ammonitrat 2,5 2 2 2
e
MAP 2,5 3 3,5 3
Acide 1 1,5 2 2
nitrique
Sulfate de 1,5 2,5 4 4
magnésie
EC 1.8 à 2,5 2,2 à 2,7 2,5 à 2,8 2,7 à 3
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Tableau 9 : « Les équilibres utilisés »
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