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NOTE DE CALCUL :

DESCENTE DES
CHARGES ET
DIMENSIONNEMENT
DE FONDATIONS
Date Indice Modification

NOM, CUMANT Scotty Groupe 29


Prénom [Classe]:
CUPITAN VEGA Sayuri Bâtiment B
ROMOACA CAZA Araceli
Adresse :
SOMMAIRE

I. INTRODUCTION ............................................................................... 1
II. OBJET DE LA NOTE DE CALCUL .................................................... 2
III. HYPOTHESES DE CALCUL ............................................................. 2
III.1. Règlements de calcul ................................................................. 2
III.2. Charges permanentes .............................. ................................. 2
III.3. Charges d’exploitation ................................................................ 4
III.4. Charges climatiques .................................................................. 4

IV. PRINCIPE DE DESCENTE DE CHARGES ....................................... 4


IV.1. Système porteur d’une structure ................................................. 4
IV.2. Données de départ ..................................................................... 5
IV.3. Choix de Zones ......................................................................... 5
IV.4. Mode de répartition ..................................................................... 6
IV.5. Bilan de charges ......................................................................... 7

V. CONTRAINTES DANS LES MUR ..................................................... 12


V.1. Hypothèses de calcul.................................................................. 12
V.1.i. Contrainte Maximale dans un mur .................................. 12
V.1.ii. Vérification de la résistance de la paroi .......................... 15

V.2. Application .................................................................................. 15


V.2.i. Coefficient du bloc ........................................................ 15
V.2.ii. Résistance nominale du bloc ........................................ 16
V.2.iii. Vérifications contraintes des murs ................................ 17

VI. DIMENSIONNENT DE LA FONDATION ........................................... 17


VI.1. Hypothèses de calcul.................................................................. 17
VI.1.i. Dimensionnement du largueur ........................................ 17
VI.1.ii. Procédure ....................................................................... 18
VI.1.iii.Dimensionnement de la hauteur ..................................... 18
9

VI.1. iv. Hauteur d’une semelle isolée........................................ 19


VI.2. Résultats des calculs .................................................................. 19
VI.2.i. Calcul de la largueur............................................................... 19
VI.2.ii. Calcul de la hauteur................................................................ 19

VII. PROFONDEUR D’ASSISE ................................................................ 20


VIII. PLAN DE FONDATION .....................................................................
IX. CONCLUSION ...................................................................................
PROJET TUTORÉ – SEMESTRE 2

I. INTRODUCTION

La descente de charges a pour objectif d’étudier le transfert des charges


dans la structure. L’objectif étant de connaitre la répartition et les
cheminements des charges sur l’ensemble des éléments porteurs de la
structure depuis le haut jusqu’aux fondations pour pouvoir déduire les
dimensionnes de fondations du bâtiment étudié que pour notre cas il s’agit
du bâtiment 10 avec un garage,

Les valeurs des charges de permanente et d'exploitation permettront de


dimensionner la fondation du bâtiment en prenant compte que les calculs de
structure sont réglementés par les Eurocodes.

VUE EN 3D DU BATIMENT

A gauche on voit tous les niveaux de notre bâtiment sachant que la


charpente de la toiture est représentée comme un plancher et à droite on
peut voir les fondations de notre bâtiment.

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PROJET TUTORÉ – SEMESTRE 2

II. OBJECTIFS

II.1. Déterminer les charges surfaciques permanentes de tous les éléments


et toutes les charges d’exploitation à prendre en compte et les charges
de neige.

II.2. Effectuer la descente de charge sur un ml de mur mitoyen à 2


logements, un ml de mur commun logement garage, ainsi que sur un ml
de mur de façade dans la zone plus sollicitée.

II.3. Déterminer les charges au niveau inférieur de la dalle RDC pour les
différentes actions prises en compte.

II.4. Déterminer les contraintes maxi dans les murs dans les 3 zones et
vérifier si elles sont admissibles.

II.5. Déterminer les dimensions transversales des semelles filantes sous


murs.

II.6. En déduire les dimensions des semelles dans le cadre de l’application


de la méthode des bielles.

II.7. Déterminer à l’aide du rapport de sols la profondeur d’assise des


semelles filantes et effectuer la vérification finale de la contrainte
admissible au sol.

III. HYPOTHESES DE CALCUL

III.1. Règlements de calcul


Tous les calculs sont faits à partir des Eurocodes comme par exemple
pour le calcul des actions des structures soit les charges d'exploitation
et de neige, on a utilisé l'Eurocodes 1, de la même manière
l'Eurocodes 5 pour le calcul des structures en bois.

III.2. Charges permanentes


Les charges de toitures (lattis + tuiles) ont été transmises au niveau des
fermettes qui reposent sur les pannes sablières fixées sur les murs de
façades. La toiture est composée de fermettes et de liteaux sur
lesquels reposent des tuiles en terre cuite à emboîtement. On retiendra
une charge moyenne pour la toiture (hors éléments de doublage)
d’environ 0,6 kN/m² non projetés sachant que la toiture est inclinée de
35° sur l’horizontale.

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Dans la zone toiture charpente bois, le plancher haut est composé d’un
platelage en panneaux de particules bois (ép. 22mm) sur lambourdes
en sapin, d’une isolation thermique (40 cm de laine de verre, avec PV
type IBR revêtu kraft de marque Isover), et d’une sous-face en BA 13
(plaques de plâtre cartonné) vissés sur une ossature métallique légère
suspendue. On a reconduit ces hypothèses par défaut dans les zones
de garage.

Les murs extérieurs de façades ont été constitués de blocs en béton de


ponce 20cm mur extérieurs du logement montés à joints de mortier
allégé de granulats de ponce. De type COGETHERM. Le revêtement
extérieur sera un enduit chaux-ciment d’épaisseur moyenne finale de
15 mm. Certaines zones sont en plaquettes de briques. Panneaux de
doublage Polyplac (120 mm de polystyrène expansé gris avec une
plaque de plâtre de 13mm) sur murs extérieurs et panneaux de
doublage de type Calibel ou équivalent (isolant en laine de roche de 80
mm avec une plaque de plâtre de plâtre de 10mm) sur murs mitoyens
des logements (traitement sur une face seulement).

Les murs séparatifs mitoyens de logements jumelés ont été constitués


de blocs agglomérés de béton plein épaisseur de 20 cm montés à joints
croisés au mortier. Les murs séparatifs des garages ont été constitués
de blocs agglomérés béton creux épaisseur de 15 cm montés à joints
croisés au mortier. Le traitement des joints a été soigné, la maçonnerie
restant apparente dans le garage. Prévoir toutefois une face enduit.
Le plancher du RDC a été constitué d’une dalle portée, sans nervure,
armée dans les 2 sens. Elle a été coulée sur le terre-plein (non porteur)
qui sert de coffrage et prendra appui sur les longrines périphériques en
béton armé (ou murs de transition).

L'isolation a été constituée par des panneaux jointifs en polystyrène


expansé ancrés en sous-face de dalle. Epaisseur dalles RDC : 20 cm
en zones logement et 15 cm en zone garage. Pour les logements :
revêtements constitués d’une sous-couche acoustique mince
composée d'une nappe de fibres de verre surfacée d'un liant
bitumineux et d'un film plastique (type ASSOURCHAPE 19), d’une
chape en mortier de ciment (épaisseur 4 cm) et d’un carrelage grès
cérame scellé en pleine masse (environ 20 kg/m²).

Pour les garages : finition brute.


Le plancher du 1er étage est une dalle pleine en béton armé
d’épaisseur 23 cm, sans nervure et armée dans les 2 sens. Revêtement
de sol PVC multicouche, de type TRANSIT PLUS 2S3 sur l’ensemble
de l’étage.

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III.3. Charges d’exploitation


On n'a pas pris en compte d’aucune surcharge d’exploitation dans le
plancher haut de la zone charpente.
Les planchers ont été destinés à l’habitat individuel et les cloisons de
séparations intérieures sont constituées de 2 plaques de plâtre
montées sur rails type placostil (48 mm)

III.4. Charges climatiques


Les charges de neige sur les toitures ont été calculées à partir de
l’EC1.

IV. PRINCIPE DE DESCENTE DE CHARGES

Le principe de distribution et de transfert des charges dans une structure,


dont l’objectif étant de connaitre la répartition et les cheminements des dites
charges sur l’ensemble des éléments porteurs de la structure a été utilisé de
la façon suivante :

IV.1. Système porteur d’une structure :


La structure composée de tous les éléments porteurs est appelée
système porteur. Il correspond au squelette du bâtiment. Le reste
constitue l’enveloppe du bâtiment. On détermine les charges qui
s’appliquent sur chaque élément de la structure, cela nous permet
de les dimensionner jusqu’à la fondation qui est l’élément porteur
de notre structure.

Fig.1. Schéma principe de descente de charges

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Nous allons déterminer les poids (charges permanentes) de tous


les éléments, et concernant les surcharges d’exploitation on prend
Q = 150Kg/m² puisque on a un bâtiment d’habitation.

IV.2. Données de départ :


La masse volumique du béton est prise égale à 2500kg/m3.
La masse volumique des briques perforés en béton de 20 cm (murs
porteurs) est 320Kg/m3.
La surcharge d’exploitation est prise égale à 150kg/m² par étage.

IV.3. Choix de Zones


Pour appliquer cette descente on démarque les zones prises en
compte pour effectuer la descente de charges (Les zones sont
prises dans le même emplacement pour le 1er étage et RDC). Fig.2

Fig.2. Désignation de zones à faire la descente de charges

 Zone 1 : Mur Jumelé Garage


 Zone 2 : Mur Mitoyen Sud
 Zone 3 : Mur façade Est – Ouest

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IV.4. Mode de répartition


Vu qu’on est en train de dimensionner la semelle filante au-dessous
des voiles on prend alors 1m de toute la longueur du mur et donc,
on amène les charges sous forme de charge ponctuelle et on
procède la descente de charges

Fig.3 Mode de répartition de descente de charges

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IV.5. Bilan de charges

Tableau 1. Récapitulatif des charges permanentes liées aux


poids des éléments

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Tableau 2. Récapitulatif des charges d’exploitation liées aux poids


des éléments

Charge de la neige
Extrait de l’Eurocodes 1 pour les charges de neige

Bâtiment 10

Bâtiment 11

On a calculé la quantité de neige qui tombe(Sk) selon l’Eurocodes


sachant que l’on a une pente de 0.7%. Donc S*=0,1 KN/m^2

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Fig.4. Départements appartenant à plusieurs régions

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Fig.5. Carte de neige

On a calculé les charges de neige sur le sol selon l’Eurocodes sachant


que le bâtiment se trouve à Dannes située dans
le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Donc
Sko=0,45 KK/m^2

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Fig.6. Coefficients de forme

On a calculé le coefficient de forme(µ1) sachant que l’on a α=35°


Fig.7. Majoration de la charge de neige en fonction de
l’altitude

On a calculé la majoration sachant que notre zone se trouve dans une


altitude min 4m et max. 160m. Donc ∆S1=0 et ∆S2=0

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Tableau 4. Récapitulatif des charges de neige appliquées au


bâtiment
Eurocode 113 Charge de neige
Charge de neige
KN/m^2
Charge des neiges sur le sol Sko 0,45
Charges de neige exceptionnelle ou
Sad 0,00
accidentelles
Valeur caractérisant l’influence de l’altitud
∆AS1 0,00
˂200m
Sk 0,45
Charge de neige en toiture
KN/m^2
Coefficients de forme 0,8(60 – α) /30 u1 0,67
Lorsque les conditions d’abri quasi permanentes
de la toiture, dues aux bâtiments voisins,
Ce 1,00
conduisent à empêcher pratiquement le
déplacement de la neige par le vent.
Propriétés thermique Ct 1,00
Majoration quand la pente ˂5% s 0,00
Les charges de neige pour les situations de
S1 0,30
projet durables et transitoires S1 = µiCeCtSk +s
Les charges de neige pour les situations de
SA 0,00
projet accidentelles SA= µiCeCtSad + s
Majoration quand la pente ˂5% S* 0,10
Charge de neige total sur le bâtiment(KN/m^2) S=S1+SA+S* 0,40

V. CONTRAINTES DANS LES MUR

V.1. Hypothèses de calcul

V.1.i. Contrainte Maximale dans un mur


Extrait de Règlement français (DTU 20.1) [32] :
« La contrainte C de compression admissible (supposée
uniforme) en partie courante d’une paroi porteuse s’obtient en
divisant la résistance nominale R du matériau élémentaire, qui
constitue le mur, telle qu’elle résulte des essais d’écrasement
selon les normes en vigueur par un coefficient N appelé global
de réduction.
𝑅
𝐶=
𝑁

Où N est fonction de la position de la charge (centrée ou


excentrée) et du type de produit de base constitutif de la
maçonnerie, et de l’élancement ».

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a. Coefficient global de réduction N


N prend des valeurs comprises entre 6 et 11. Le coefficient N
est à la fois coefficient de comportement et coefficient de
sécurité.
Ce coefficient N est donné en fonction de l’élancement du
mur, donc :

 Notion d’Élancement :
L’élancement est le rapport entre la distance verticale
entre planchers, et l’épaisseur brute du mur porteur.

 Élancements inférieurs ou égaux à 15


Pour des élancements ne dépassant pas 15, les valeurs
du coefficient N pour les différents matériaux sont
indiquées dans le Tableaux 5.

Le coefficient de sécurité proprement dit, qui tient compte de la


dispersion des résistances du matériau, de l’exécution, de
l’accroissement accidentel des surcharges, etc. est de l’ordre de
3.
Le rapport entre la résistance à l’écrasement d’un élément du
matériau utilisé et la résistance d’un élément de paroi complet
(en général de hauteur d’étage) exécuté avec ces mêmes
matériaux dépend des matériaux employés, de la hauteur libre
de la paroi et du monde de chargement (centré ou excentré).

Tableau 5. Cas de maçonneries montées à joint épais de mortier

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b. Résistance Nominal R
Le deuxième élément dont on a besoin est la résistance
nominale R du matériau élémentaire, qui constitue le mur,
telle qu’elle résulte des essais d’écrasement selon les normes
en vigueur.

Les classes de résistance nominale des blocs destinés à être


enduits et de ceux destinés à rester apparents sont indiquées
dans le Tableau 6 ci-dessous.

Tableau 6. Cas de maçonneries montées à joint épais de mortier

La classe représente la contrainte de rupture exprimée en


bars (B40=40 bars= 4 MPa).
Quatre-vingt-quinze pour cent des blocs fabriqués dans une
classe donnée doivent présenter une résistance à
l’écrasement égale ou supérieure à cette valeur (fractile 0,05)
et aucun résultat ne doit être inférieur à 80% de la valeur de
la classe.

Les lettres B, L, P, LP signifient :


- B : blocs en béton de granulats courants ;
- L : blocs en béton de granulats légers ;
- P : blocs apparents en béton de granulats courants ;
- LP : blocs apparents en béton de granulats légers.

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V.1.ii. Vérification de la résistance de la paroi sous charges verticales

La vérification des contraintes est à effectuer à mi-hauteur


(Section I-I).

Pour une charge répartie uniforme, avec e épaisseur du mur, la


vérification suis la formule de la Fig. 4

Fig.7. Vérification résistance des murs au chargement vertical

V.2. Applications

V.2.i. Coefficient global


Pour les trois murs où on a fait l’analyse correspondante, il
s’agit de mur fait en blocs plein et blocs creux, et donc du
Tableau 5, on reste avec le coefficient N = 6.

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V.2.ii. Résistance Nominale de bloc


- Mur sous zone 1 :

- Mur sous zone 2 : Bloc béton en ponce

- Mur sous zone 3 :

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Donc :
Pour les murs sous chaque zone on a :
- CZone 1 : 4/6 = 0,67 MPa
- CZone 2 : 4/6 = 0,67 Mpa
- CZone 3 : 8/6 = 1,33 MPa

V.2.iii. Vérifications contraintes des murs

Tableau 7. Vérifications contraintes sous les murs


Contrainte Max dans les murs
Zone 1 : Mur mitoyen Garage
Q1 0,010

e1 0,200

Vérification
0,030 0,667 OK! B40

Zone 2: Mur façade Nord


Q2 0,030
e2 0,200

Vérification
0,151 0,667 OK! L40

Zone 3 : Mur mitoyen


Charges sur mur (Q3) 0,040
e3 0,200

Vérification
0,178 1,333 OK! B80

VI. DIMENSIONNEMENT DE FONDATION

VI. 1. Hypothèses de calcul

VI.1.i. Dimensionnement de la largeur de semelle

Quand on veut dimensionner les semelles sous un bâtiment,


premièrement on doit assurer que la portance du sol soit suffisante
pour supporter la charge maximale (celle qui est sous le mur de la
zone la plus sollicitée) –Valeur soulignée en rouge Tableau 4–
amenée depuis le haut de la construction jusqu’au niveau de la
fondation.

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Avec ce propos on a employé le principe de dimensionnement pour


une semelle isolée qui peut aussi s'appliquer pour une bande de 1m
(Fig.5) de longueur pour les semelles filantes (méthode traitée en
cours).

Fig.8. Vérification résistance des murs au chargement vertical

VI.1.ii. Procédure
Et la procédure à suivre pour le dimensionnement de largeur
semelles isolées détaillée ensuite (Fig. 6). Où q dans notre cas
corresponde à la contrainte admissible au sol.

Fig.9. Méthode de dimensionnement de la largeur d’une semelle isolée

VI.1.iii. Dimensionnement de la hauteur de la semelle isolée


Dans ce cas la formule de Fig. 7 est conçue pour une semelle
isolée mais on peut se servir d’elle en prenant une bande de 1m
de notre semelle filante de sorte qu’en faisant une similitude
entre les deux cas, on tombe sur le fait que les dimensions de
notre bande de 1m de mur sont analogues à celles du poteau
dans la formule.

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VI.1.iv. Hauteur d’une semelle isolée


Vue qu’un côté des deux éléments sont égaux, on reste avec la
formule

Fig.10. Méthode de dimensionnement de la hauteur d’une semelle


isolée

VI. 2. Résultats des calculs

VI.2.i. Calcul de la largeur :


Pour nous les données sont :
S = Bx1 Nu= 8500 daN q= 0,2 MPa
Dimensionnement B 42 cm

Alors, pour mettre en place les fondations on fait des trous dans
le terrain et donc, il nous faut une pelleteuse, c’est alors où on
arrondi la dimension initiale des fondations pour être d’accord
avec les dimensions commerciales de la machine.
Bref, on reste pour la largeur des fondations en :
Dimensionnement B 50 cm

VI.2.ii. Calcul de la hauteur

Elément a (mur)/A (semelle) b (mur)/B (semelle)


Mur 20 cm 1m
Semelle 50 cm 1m

- Vue qu’un côté des deux éléments sont égaux, on reste avec
la formule :
𝐴 − 𝑎′
𝑑≥
4
𝑑 ≥ 7,5 𝑐𝑚
ℎ = 12,5 𝑐𝑚

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- On voit que la valeur est trop faible pour la semelle, c’est donc
qu’on ne choisit pas de diviser par 4. On reste donc :
𝑑 ≥ 30 𝑐𝑚 ℎ = 35 𝑐𝑚
- Finalement on obtient :

Fig.11 Dimensions finales de la Semelle


filante sous tous les murs du bâtiment

VII. PROFONDEUR D’ASSISE

On a déterminé la profondeur d'assise sachant que le niveaux finis de rez-


de-chaussée est 39,67 et notre bâtiment est B10. Donc la profondeur
d’assise est de 0,7m.

Fig.12. Plan masse niveaux

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Fig.13. Niveaux d’assisse

VIII. PLAN DE FONDATION

VIII.1. Maquette des fondations jusqu'au-dessus des murs du 1er étage


(Annexe 1).

VIII.2. Coupe horizontale pour réaliser le plan de fondation (Annexe 2).


VIII.3. Coupes verticales sur la hauteur du bâtiment (Annexe 3,4).

IX. MODELISATION DU PLANCHER


IX. 1. Hypothèses de calcul
- On isole une bande de 1,00 m de largeur du plancher haut du
rez-de-chaussée pour analyser
- On fait une modélisation mécanique des charges et type
d’appuis.
- L’action de mur sur les plancher se représente comme une force
ponctuelle.
- L’action du poids du plancher se représente comme une force
répartie sur lui.

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IX. 2. Bilan de Charges


Fondation sous Mur Mitoyen
Charge permanente
Détail et épaisseur épaisseur Total Cumulé
Description de l'élement L l H q unité
(cm) (m) (daN) (daN)
la toiture (hors éléments de doublage) 3,06 1 60 daN/m2 183,6 183,60
Toiture charpente bois
platelage en bois:lame sur lambourde en sapin 22mm 0,022 3,06 1 410 daN/m3 27,6012 211,20
isolation thermique:laine de verre 40 cm 0,4 3,06 1 4,72 daN/m² 14,4432 225,64
sous-face en BA 13 3,06 1 9,3 daN/m2 28,458 254,10
Mur mitoyen Etage 1
Panneaux de doublage de type Calibel et plaque de Laine de roche de 80
plâtre mm et platre d'ép.13mm 0,093 1 2,5 119 daN/m3 27,6675 281,77
* blocs agglomérés de béton plein 400X200X200 20 cm 0,2 1 2,5 270 daN/m2 675 956,77
un enduit chaux ciment 15 mm 0,015 1 2,5 200 daN/m2 500 1456,77
Plancher Etage 1
dalle pleine en béton armé 23 cm 23 1 1 25 daN/m3 575
Fondation sous Mur facade Est - Ouest -Nord
Charge permanente
Détail et épaisseur épaisseur Total Cumulé
Description de l'élement L l H q unité
(cm) (m) (daN) (daN)
la toiture (hors éléments de doublage) 3,06 1 60 daN/m2 183,6 183,60
Toiture charpente bois
platelage en bois:lame sur lambourde en sapin 22mm 0,022 3,06 1 410 daN/m3 27,6012 211,20
isolation thermique:laine de verre 40 0,4 3,06 1 4,72 daN/m² 14,4432 225,64
sous-face en BA 13 3,06 1 9,3 daN/m2 28,458 254,10
Mur exterieur façade
* Blocs en béton de ponce 0,2 1 2,5 154 daN/m2 385 639,10
Enduit chaux ciment 0,015 1 2,5 200 daN/m3 7,5 646,60
120 mm de polystyrène
expansé gris et 13 mm
Panneaux de doublage Polyplac et plaque de plâtre de plâtre 0,133 1 2,5 121 daN/m2 302,5 949,10
Plancher Etage 1
dalle pleine en béton armé 23 cm 23 1 1 25 daN/m3 575
Charge d'exploitation
Détail et épaisseur épaisseur Total Cumulé
Description de l'élement L l H q unité
(cm) (m) (daN) (daN)
Les planchers sont destinés à l’habitat individuel - - 3,06 1 20 daN/m2 61,2 61,20
Constituées de 2
plaques de plâtre
Les cloisons de séparations intérieures
montées sur rails type
placostil ép. 48 mm 0,048 3,06 1 50 daN/m2 153 214,20
* Charge de la neige 3,06 1 3,000 daN/m2 9,18 223,38
gau Pg (Mm) 1456,77
gau Pq (Mm) 223,38
droi Pg (Mf) 949,10
droi Pq (Mf) 223,38
qg 575

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X. CONCLUSION

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