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1. Généralités ............................................................................................................................................. 2
1.1. Définition ...................................................................................................................................... 2
1.2. Mode de fonctionnement des murs ............................................................................................... 2
1.3. Fonctions des murs ....................................................................................................................... 3
1.4. Différents types de murs ............................................................................................................... 4
2. DTU ....................................................................................................................................................... 5
II. REVÊTEMENTS MURAUX .................................................................................................................... 6
1. Confort thermique.................................................................................................................................. 6
1.1. Types d’isolant pour les murs ....................................................................................................... 6
1.2. Résistance thermique viser pour l’isolation des murs ................................................................... 8
1.3. Isoler les murs par l'intérieur ......................................................................................................... 8
2. Confort acoustique ............................................................................................................................... 10
2.1. L’isolation phonique. .................................................................................................................. 10
2.2. Correction acoustique. ................................................................................................................ 14
2.3. Concilier isolation thermique et acoustique ................................................................................ 14
3. Sécurité incendie.................................................................................................................................. 15
3.1. Réaction au feu des matériaux .................................................................................................... 15
3.2. Choix du revêtement ................................................................................................................... 16
CHAPITRE II : Revêtements des sols ............................................................................................................... 18
1. Les différents types de sols ...................................................................................................................... 19
I. RAPPELS 00000000
1. Généralités
1.1. Définition
On entend par « murs » des ouvrages verticaux en béton ou en maçonnerie. Ils peuvent
être préfabriqués ou réalisés directement à leur emplacement définitif dans la construction.
1.3.2. Résistance
o Aux différentes charges permanentes (poids des éléments porteurs et non porteurs de
l’ouvrage) et variables (charges d’exploitation et climatiques comme la neige et le vent).
Solution : Il faut une couche résistante adéquate dans la paroi verticale suivant s’il s’agit
d’une paroi porteuse ou non.
o Aux séismes pour protéger les personnes et les biens.
o Aux infractions.
1.3.3. Isolation
o Thermique en limitant le plus possible le passage de la chaleur par la paroi dans le cas
d’une paroi séparant un local chauffé d’un local non chauffé. Pour les autres parois,
cette isolation est inutile. Solution : on utilise un isolant thermique si l’élément
résistant n’est pas isolant.
o Contre les bruits :
Aériens extérieurs (ex : trafic routier) et intérieurs (ex : télévision, chaîne,
chant…).
Solution : on emploie un isolant phonique ou une paroi lourde surtout pour les
murs de façade ainsi que ceux séparant deux logements.
D’impact (ex : planter un clou). Mais il est rare qu'il y ait des bruits d'impact sur
les parois verticales. Il n'est donc pas nécessaire d'isoler les parois verticales de
ces bruits d'impact.
o Contre l’incendie pour pallier la diminution des caractéristiques mécaniques des
matériaux sous la chaleur. Solution : On tient compte des normes exigeantes sur tous
les matériaux utilisés dans la paroi sur leur tenue au feu et on peut par exemple
augmenter les sections résistantes.
2. DTU
Les NF DTU sont des normes de travaux de bâtiment. Elles proposent des clauses types
pour les marchés de travaux mettant en œuvre des techniques et produits traditionnels, c’est-à-
dire couramment utilisés par la plupart des entreprises avec succès sur une période de recul
suffisante ; les NF DTU ne devraient pas en principe se référer à des produits bénéficiant d’Avis
techniques ou de documents techniques d’application (DTA).
Les NF DTU précisent les conditions techniques et contractuelles pour la bonne
exécution des ouvrages. Elles sont le fruit d’un consensus entre les diverses parties intéressées
: entrepreneurs, maîtres d’ouvrages, fournisseurs, architectes, bureaux de contrôle…
La NF DTU n’est pas un texte réglementaire, mais en cas de sinistre, les assurances
peuvent s’appuyer sur ses recommandations. Elle ne couvre pas les techniques très anciennes.
Les NF DTU sont en grande majorité élaborées et révisées par le BNTEC (Bureau de
normalisation des techniques et équipements de la construction du bâtiment), animé par les
unions et syndicats de métiers de la FFB. De ce fait, les entrepreneurs participent pleinement à
leur élaboration.
La mise en œuvre des produits principaux nécessaires à la réalisation d’un ouvrage
faisant l’objet d’une NF DTU nécessite parfois certains produits secondaires non normalisés,
mais qui doivent être décrits pour éviter les sinistres. Lorsque qu’il n’est pas possible de décrire
les essais à effectuer sur le produit et le résultat à obtenir à l’issue de ces essais, il est toléré
d’exiger exceptionnellement que le produit bénéficie d’un Avis technique pour cet emploi.
1. Confort thermique
Pourquoi isoler les murs des habitations ? Dans une habitation, la deuxième source de
déperdition de la chaleur après la toiture provient d’une mauvaise isolation des murs. Pour
améliorer le confort d’une habitation, il est nécessaire d’investir dans une isolation performante
qui réduira efficacement les ponts thermiques. Cet investissement sera rapidement compensé
par les économies réalisées sur la facture énergétique.
1.1.Types d’isolant pour les murs
En fonction de la nature de l'isolant
Il n'y a pas d’isolant unique pour toutes les applications (toiture, murs, sols). Certains
isolants de par leur nature, leur fabrication, leurs caractéristiques, leurs performances et leur
présentation (rouleaux, panneaux ou vrac) ont des applications plus ou moins dédiées. Ainsi un
isolant pour les murs devra présenter une tenue mécanique indispensable pour prévenir le
tassement de l’isolant dans le temps.
Pour chaque application, il est impératif de vérifier que les caractéristiques et
performances du produit correspondent au niveau exigé par les règles de l’art ou les
réglementations pour l’application.
En dehors de ces caractéristiques à vérifier au cas par cas et produit par produit, le
tableau ci-après synthétise les usages courants et traditionnels pour les différentes familles de
produits :
En fonction du conditionnement
On choisira également un matériau isolant en fonction de ses caractéristiques : rigide,
semi-rigide ou souple. En effet, un isolant souple sera destiné à l'isolation des planchers de
combles perdus, alors que pour les combles aménagés, il est obligatoire de poser un isolant
semi-rigide et en murs, on s'orientera vers un isolant rigide ou semi-rigide avec une bonne tenue
mécanique. À titre indicatif, voici un tableau qui présente, pour les laines minérales, les
différentes applications en fonction des caractéristiques et du conditionnement.
o Application de l'isolant directement sur le mur. Celui-ci pourra être collé ou projeté ;
o Utilisation d'une structure secondaire ;
o Utilisation d'une contre-cloison maçonnée, afin de recréer un peu d'inertie.
Inconvénients
Système à structure
Avantages
Inconvénients
2. Confort acoustique
Pour un meilleur confort acoustique d’une pièce (chambre, salle de bains, séjour…), il
existe deux notions essentielles à prendre en compte. D’une part, l’isolation acoustique ou
phonique qui permet de se protéger des bruits provenant de l’extérieur de la pièce ; d’autre part,
la correction acoustique qui permet de réduire la réverbération sonore dans cette pièce via les
murs, le plafond ou le sol.
Isolation phonique ou correction acoustique ?
Si dans la cuisine, les voix ou les bruits de vaisselle résonnent, vous avez besoin de correction
acoustique.
De votre chambre, vous entendez les bruits de la cuisine : c’est une isolation phonique de
chambre qu’il vous faut.
N.B. : Selon la structure architecturale de la pièce et sa destination, il faut considérer les deux
approches pour obtenir un confort acoustique optimal. En effet, du traitement adapté de ces
modes de propagation du bruit dépendra la performance acoustique globale de la pièce.
2.1.L’isolation phonique.
But
L’isolation phonique a pour but de réduire la transmission des bruits d'un local à un autre. Pour
être efficace, elle doit être traitée de manière globale en prenant en compte
Il existe des indices acoustiques pour caractériser chaque type de bruit selon sa nature
(bruit aérien intérieur ou extérieur, bruit de choc ou bruit d'équipement).
Par exemple, en termes de bruits aériens, l’indice d’affaiblissement acoustique
Rw(C,Ctr) caractérise la quantité de bruit arrêtée par une paroi de construction (mur, plancher,
sol, plafond, fenêtre, porte, etc.). Il est mesuré en laboratoire et ne prend en compte que les
transmissions directes d’un bruit (transmission à travers une paroi sans prendre en compte les
transmissions par les parois latérales). Plus Rw est grand, plus la paroi isole.
Les parois n'arrêtant pas de la même manière les différents types de bruits, la valeur de
Rw est corrigée selon les sources de bruit. Les performances de la paroi sont donc mesurées
selon deux coefficients d’adaptation : C pour le bruit rose ; Ctr pour le bruit route.
Définition :
Bruit rose : simule les bruits aériens émis dans le bâtiment (bruit de télévision,
conversations, musique, etc.) ;
Bruit route : simule les bruits aériens extérieurs émis par les infrastructures de
transports routiers, ferroviaires, etc. et plus riches en basses fréquences.
Les parois simples : elles ont une structure homogène et sont composées d’un seul
matériau (béton, brique, parpaing, béton cellulaire). Elles sont d’autant plus
performantes pour l’isolation acoustique qu’elles sont lourdes et étanches à l’air : elles
s’opposent ainsi aux transmissions de bruit par leur masse ;
Les parois doubles : elles sont constituées de deux parois, symétriques ou pas, séparées
par une couche isolante. Il peut s’agir de deux plaques de plâtre entre lesquelles est fixé
un isolant acoustique ou d’un mur contre lequel on applique un doublage acoustique fait
Si la paroi n’est pas étanche à l’air (briques mal jointes, parpaings mal montés), un gain
d’isolation acoustique sensible peut être obtenu en réalisant un enduit plâtre ou ciment.
Si la paroi n’apporte pas une isolation acoustique satisfaisante au bruit (de voix, de
télévision…), il faut procéder à son renforcement, selon l’un des trois procédés suivants.
Ce sont des produits industriels finis, disponibles prêts à l’emploi chez les négociants et dans
les magasins spécialisés. Ils sont constitués d’un panneau de laine minérale ou de polystyrène
expansé élastifié, de 40 à 100 mm d’épaisseur collé sur une plaque de plâtre. La performance
acoustique varie selon le produit isolant et l’épaisseur. Plus la couche isolante est épaisse plus
la performance acoustique est élevée. Le renforcement acoustique est obtenu par collage sur la
paroi initiale. Ces produits, fixés sur le mur existant par des plots de mortier-colle, seront
réservés aux murs verticaux, plans et en bon état. Si ce n’est pas le cas, voyez les procédés
suivants.
Ils se réalisent sur place à partir de profilés métalliques, qui constituent l’ossature, d’une lame
d’air remplie partiellement d’isolant (laine minérale ou mousse acoustique) et de plaques de
plâtre. Pour un bon résultat, l’épaisseur minimale requise est de 10 cm (montage compris) et
l’étanchéité entre plaques et en périphérie doit être soignée. Cette technique d’isolation
acoustique s’applique aussi pour les plafonds.
Dans celles-ci, une contre-cloison, en brique, carreaux de plâtre, blocs de béton cellulaire,
désolidarisée du gros œuvre par une bande élastomère (d’épaisseur 5 mm et de largeur égale à
l’épaisseur de la cloison enduite) permet également une amélioration sensible.
L’épaisseur totale du complexe de doublage (isolant + parement) va de 5 à 12 cm.
3. Sécurité incendie00000000
3.1.Réaction au feu des matériaux
Définition de la norme EN 13501-1 : la réaction au feu est le comportement d’un produit qui,
dans des conditions spécifiées, alimente par sa propre décomposition un feu auquel il est
exposé.
Le système de classement distingue les catégories de classification suivantes.
Produits de construction
Visés par le décret du 8 juillet 1992. Ces produits de construction sont traités à l’annexe 1 de
l’arrêté du 21 novembre 2002. Ces produits sont soit les revêtements de sol, soit les autres
produits.
Ils font l’objet des classements suivants (classes) :
o Classement des revêtements de sol : A1FL, A2FL, BFL, CFL, DFL, EFL, FFL
(« FL » est l’abréviation du terme anglais floor)
o Classement des autres produits : A1, A2, B, C, D, E, F
Matériaux d’aménagement
Non visés par le décret du 8 juillet 1992, mais dont les conditions d’emploi sont visées par le
règlement de sécurité contre l’incendie. Ces matériaux d’aménagement sont traités à l’annexe
2 de l’arrêté du 21 novembre 2002.
Ils font l’objet des classements suivants (catégories) :
CLASSES SYMBOLES
NON COMBUSTIBLES M0
NON INFLAMMABLES M1
Difficilement** M2
COMBUSTIBLES
INFLAMMABLES Moyennement** M3
Facilement** M4
NON CLASSÉS NC
Remarques
o Un matériau traditionnel est dit incombustible si son pouvoir calorifique = 0
o *Un matériau ne peut être classé M0 que si son pouvoir calorifique ≤ 2,5 MJ/kg et s’il
est par ailleurs classé M1.
o ** Appellation non réglementaire.
3.2.Choix du revêtement
Application de peinture
Supports non isolants classés M0 revêtus :
o quantité de peinture brillante < 0,35 kg/m2 humide* : M1 ;
o quantité de peinture mate ou satinée < 0,75 kg/m2 humide* : M1 ;
o quantité de peinture épaisse entre 0,5 kg/m2 et 1,5 kg/m2 humide : M2 ;
o quantité d’enduit pelliculaire entre 0,5 kg/m2 et 1,5 kg/m2 humide : M2 ;
o quantité de revêtements plastiques épais (NF.P 74-202-1 – DTU 59-2) en
extérieur entre 1,5 kg/m2 et 3,5 kg/m2 humide : M2.
Supports inertes :
o quantité de peinture brillante < 0,10 kg/m2 humide en intérieur : M0 ;
o quantité de peinture mate ou satinée < 0,40 kg/m2 humide en intérieur : M0 ;
o quantité de peinture brillante < 0,15 kg/m2 humide en intérieur : M0 ;
o quantité de peinture mate ou satinée < 0,65 kg/m2 humide en intérieur : M0 ;
Supports non isolants classés M1 ou M2 revêtus :
o quantité de peinture brillante < 0,35 kg/m2 humide* : M2 ;
o quantité de peinture mate ou satinée < 0,50 kg/m2 humide* : M2
Le carrelage est robuste, facile d'entretien et peut embellir toutes les pièces de la maison grâce
à une multitude de motifs, de styles, de formats et d'aspects proposés.
o Hygiénique, entretien facile ;
o Résistant dans le temps ;
o Des formats adaptés à toutes les tailles de pièces : de la mosaïque au format XXL.
Carrés, rectangulaires, octogonaux ;
o Des couleurs et aspects selon les goûts : de tons pastels et clairs.
1.2.Le parquet
Le parquet est un investissement dans la durée. Il résiste au temps et peut être rénové plusieurs
fois. Il existe plusieurs types de finitions pour le parquet.
o Sans finition (brut) : permet d'être personnalisé (cire, huile, vitrificateur…). ;
o Vitrifié ou verni : brillant ou mat, facile d’entretien, résistant, limite les rayures ;
Bon à savoir :
Il existe plusieurs niveaux de résistance aux chocs, au poinçonnement, rayures et produits
chimiques.
Souvent plus économique, facile à poser et à entretenir, le sol en PVC s'est modernisé
en devenant déco avec ses nombreux coloris, ses motifs originaux et ses imitations de matière.
Idéal pour des petites pièces ou en rénovation.
En rouleau, le sol pvc existe en largeur de 2, 3 ou 4 m.
Bon à savoir : choisir l'épaisseur de son sol PVC en fonction de la pièce.
Une couche d'usure moindre (0,12 à 0,20 mm) pour un bureau ou une chambre
Une couche d'usure épaisse (0,30 à 0,35 mm) dans la cuisine.
o Facile à entretenir (aspirateur). Certaines moquettes sont traitées en surface contre les tâches
et les salissures ;
o Isolante, elle absorbe les sons, réduit les bruits d'impact et de vibration. Agréable et chaude
sous les pieds ;
o Selon l'épaisseur de la moquette, elle peut se poser sur tous les supports et anciens
revêtements.
Bon à savoir : aujourd'hui, la plupart des moquettes sont traitées anti-acariens et anti-allergènes.
Décoratif, les sols en fibres naturelles ont des qualités et des aspects différents (droit, natté,
chevrons...).
o Le Jonc de mer : résistant, peu sensible aux taches et, imputrescible, tissage en
chevrons ;
Composés de fibres naturelles, ils rendent la pièce saine et procurent un climat positif. Leur bon
pouvoir isolant permet une régulation de l'humidité et une bonne absorption des chocs et des
bruits.
La pose flottante convient pour les sols stratifiés, lames et dalles pvc à clipser, parquets
contrecollés et certains parquets massifs.
o La pose flottante est rapide et facile ;
o Elle s'effectue directement sur un carrelage, une dalle béton ou même une moquette rase ;
o Le support doit être plan, propre, stable, sain et sec.
2.2.Pose auto-adhésive
La pose auto-adhésive convient pour les lames et dalles auto-adhésives, ainsi que pour certains
rouleaux de PVC et de moquette.
o Les rouleaux de moquette et de PVC se posent avec un adhésif double-face ;
o Les lames et dalles PVC auto-adhésives se collent sur l'ancien sol ;
o Elles se découpent au cutter et se posent très facilement.
2.4.Pose collée
Elle convient pour le carrelage, le parquet, les sols naturels (jonc de mer, sisal) ainsi que certains
rouleaux de PVC et de moquette.
o La plupart des parquets massifs s’installent en pose collée ;
o Pour les moquettes, sols naturels (jonc de mer, sisal) et rouleaux de PVC, il faut choisir
une colle adaptée, spécifique à chaque type de revêtement.
Le carrelage, le stratifié et les sols pvc sont les sols les plus faciles à entretenir. Ils se nettoient
avec une serpillère et un produit d'entretien adapté.
Bon à savoir : il existe des produits spécifiques pour les différents types de carrelage (carrelage
émaillé, non émaillé, marbre, etc.…).
3.2.Entretenir un parquet
Le parquet se nettoie à l'aide d'un aspirateur, et d'une serpillère bien essorée. Évitez de laver
un parquet à grande eau.
La moquette s'aspire régulièrement pour la débarrasser des saletés. Lorsque la moquette est
très sale, optez pour un nettoyage à sec (poudre) ou un shampouinage.
Les sols naturels ne se lavent pas, ils s'aspirent régulièrement. Le jonc de mer a besoin d'être
humidifié de temps en temps.
Guide Acoustique ISOVER, Guide « Isoler son logement du bruit » de l’Ademe (2014),
https://www.toutsurlisolation.com/comment-choisir-un-isolant-pour-les-murs/
https://conseils-thermiques.org/contenu/isolation-mur-interieur.php/
https://www.isover.fr/guides/isolation-des-murs-par-linterieur/
https://www.isover.fr/guides/isolation-acoustique/