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Introduction
1-Définition le droit commercial :
Le dc est une branche du droit privé qui régit les opérations passées par les commerçant et dans l’exercice de leur
activité commercial
Le vocable commerce en globe 3 grand secteur économique à savoir le commerce proprement dit. La production par
les opérations industriel et artisan et finance c.-à-d. les opérations de banque. D’assurance
Mais l’agriculture n’est pas régie par le dc au Maroc il régit par le droit civil aussi les profession libéral (médecin,
avocat, notaire.) le dc ne régit pas tous les secteurs économiques.
2-Contenu du droit commercial :
A-Noyau dur : il comportement plusieurs élément :
Le commerçant les fonds de commerce. Actes de commerce. Les effets de commerce. Le droit des sociétés. Tous ces
éléments il régit par le dc.
B-métiers détachées : droit bancaire. Droit d’assurance. Le droit maritime.
C-matières liées : sont la comptabilité. La fiscalité. Droit pénal des affaires.
3-Les raisons d’être du droit commercial :
*la besoin de rapidité : par exemple la preuve soit acte de commerce preuve écrite. Ou acte du commerce preuve est
libre, cela veut dire que le commerçant ne peut pas à chaque opération à chaque acte juridique observe le formalisme
a si ou dans il a besoin de formule plus rapide.
*la besoin de sécurité : par exemple : le principe de solidarité, en matière civil la solidarité ne se présume pas c.-à-d.
quel n y’a pas de solidarité, en matière commerciale la solidarité se présume
Acte de solidarité (demande de remboursement total du crédit à un des commerçant).
4-Les caractéristiques du droit commercial :
Le droit commercial a plusieurs caractéristiques :
*est un droit envahissent dans la mesure ou la tendance a envahie au droit civil. Aujourd’hui le dc a des principes et
une terminologie spécifique au droit commerçant comme registre de commerce et comme fond de commerce.
*est un droit en perpétuel mouvement exemple la carte bancaire.
* est un droit international dans la mesure ou il prend une considération la dimension internationale c.-à-d. essaie de
suivre une révolution une échelle internationale parce que il doit s’intégré dans cette bague de mondialisation.
5-Les sources du droit commercial :
*les textes généraux : ce sont les textes qui règlement les relations commerciales d’une manière général et uniforme
-le droit civil (D.O.C.)
-code de commerce
*les textes spéciaux : ce sont les textes qui règlement une relation particulière ou un événement spécial
-dahir de 1955 pour le fond de commerce
-la loi 17-95 modifier par la loi sur les sociétés anonymes.

CHAPITRE 1 : ACTE DE COMMERCE


1 –Définition :
Dans le cadre de code de commerce pas de définition claire, et dans le code civil pas de définition
La créature de la commercialité dégage par la doctrine l’intension de spéculation il est lié à la notion de profit est donc
selon se certaine le commerçant sera celui qui recherche de profit
La commerçant est celui qui va effectuer des actes de commerce, il a un statut propre et sont dans l’obligation de
respecter certains engagements.
2-Classification des actes de commerce :
Les actes de commerce peuvent être classés en 4 catégories :
A- Actes de commerce par nature : ce sont par leur nature même des actes de commerce, ils sont prévus aux article 6
et 7 du code de commerce qui comprend plusieurs activités on peut opérer un regroupement en cinq rubrique :
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*activité de distribution : elle comprend des activités se rapportant à différents domaines en peut citer l’achat en vue
de le revendre.
Constitue une activité commerciale l’achat pour revendre; Lorsque les biens sont acquis dans les perspectives
de les revendre en réalisant un bénéfice ; on est en présence d’une activité de nature commerciale.
L’achat pour revendre suppose 3 éléments :
- un achat
- une revente
- un but spéculatif
En ce qui concerne les biens vendus ; le code cite les meubles corporels et incorporels ; la vente d’immeubles
en l’état ou après transformation.
*activité de production : ce sont l’activité industrielle ou artisanale.
Les activités de production qui sont des activités commerciales sont :
- L’activité industrielle ou artisanale
- La recherche de l’exploitation des mines et carrières (gisement de charbon ; pétrole ...)
- L’imprimerie et l’édition : l’éditeur est aussi un commerçant dans la mesure où il transforme un ouvrage
en série de volumes imprimés.
- Les bâtiments et les travaux publics : Par exemple les entreprises de construction immobilière...
*activité de service : on peut citer dans ce cadre le service de transport et l’organisation de spectacle public.
Les activités correspondant au secteur tertiaire se sont aujourd’hui considérablement diversifiées. Parmi les
activités de services de nature commercial. On peut relever plusieurs activités :
- Activités de transport de personnes ou de marchandises
- Activités de location portant sur des meubles
- Les établissements de spectacle public
*activité intermédiaire : il s’agit ici du courtage de la commission, les agences et les bureaux d’affaires.
Certains commerçants n’ont pas d’autres rôles que de faciliter à d’autres commerçants ou aux particuliers
l’exercice de leur activité sans leur fournir aucun objet matériel ; mais seulement en les aidants à conclure des
opérations qui leur sont nécessaires.
*activité financière : il s’agit des activités bancaires, des activités d’assurance et des activités de bourse.
B-Acte de commerce par la forme : sont : société anonyme, société à responsabilité limitée, société en nom collectif,
société en commandite simple, société en commandite par action
C-Acte de commerce par l’accessoire : ce sont des actes par nature civil mais qui deviennent commerciaux parce qu’ils
sont accomplis par un commerçant accessoirement à son activité commercial, exemple : achat d’un équipement par
un industriel.
D-Acte de commerce mixtes : ce genre d’acte fait intervenir un commerçant et un non commerçant, dans ce cas, l’acte
et commercial pour l’un et civil pour l’autre (commerçant) c’est le cas par exemple de touts les achats effectués auprès
des commerçants pour la consommation.
3-Les intérêts de la distinction entre acte de commerce et acte civil :
Se manifeste à plusieurs égards dans la mesure ou chacune de ces deux catégories d’actes est régie par un système
juridique différent c’est ce qu’on peut remarquer au niveau des règes de preuve pour acte civil la preuve est libre , en
acte commercial de preuve écrit , au niveau de solidarité pour acte civil la solidarité se présume ca veut dire il jeu
automatiquement , en acte commercial la solidarité ne se présume , et de la compétence judiciaire en acte civil la
compétence revient aux tribunaux de commerce , en acte commercial la compétence revient aux tribunaux ordinaire.

CHAPITRE 2 : LES COMMERCANT


Sont les commerçants ceux qui exerce des actes de commerce et en font leur profession habituelle il faut que la
personne agisse en son propre nom
SECTION 1 : QUELLES SONT LES CONDITIONS RECQUISES POUR AVOIR LA QUALITE DE COMMERCANT ?
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Pour avoir la qualité de commerçant il peut avoir les conditions suivantes :


1-Exercice des actes de commerce par nature :
Il doit s’agir des actes de commerce par nature
2-Exercice à titre habituel ou professionnel :
*habituel : l’habitude implique la répétition des actes et des opérations concernées.
*professionnel : la profession suppose soit une entreprise organisée, soit au moins un fonds de commerce et une
clientèle.
3-Exercice à titre personnel :
Seul a la qualité de commerçant celui qui court le risque du commerce qui régit de façon indépendante c.-à-d. en son
nom et pour son compte personnel.
Exemple : les salaries sont pas des commerçant car ils agissent au nom et pour le compte d’autrui.
SECTION 2 : RESTRICTION (LIMITATION) OU A L4EXERCICE DE L’ACTIVITE COMMERCIAL :
Le principe qui domine est celui de la liberté du commerce et de l’industrie, c’est d’ailleurs un principe constitutionnel.
La liberté d’entreprendre est très étendue mais connait des limitations qui sont l’incapable, l’interdiction, et
l’incompatibilité
* l’incapable : c’est le cas du mineur et de l’incapable majeur.
A- mineur : la capacité commerciale coïncide donc avec la capacité civile celle-ci est fixée à l’Age de 18 ans
B-majeur : il s’agit des personnes qui ont atteint l’Age de majorité, mais qui ne sont pas capable de gérer leur
patrimoine en raison de maladies mentales (les déments) ou de prodigalité (les prodigues).
* l’interdiction : l’exercice de certaines activités est interdit par la loi, soit parce que l’état s’est réservé le monopole de
certains domaines, soit pour des considérations de moralité (exemple : interdiction de faire le commerce portant sur
certains produits, comme les stupéfiants).
* l’incompatibilité : est l’interdiction faite certaines personnes d’exercer le commerce en raison de leur fonction ou de
leur profession le législateur assure ainsi l’indépendance de la fonction publique on la dignité de certaines professions
libéral (médecin, notaire,)
SECTION 3 : OBLIGATION DU COMMERCANT.
Deux obligations spécifiques pèsent sur le commerçant, la publicité commerciale et la comptabilité commerciale.
Alla publicité commerciale :
Elle résulte de l’immatriculation au registre du commerce, ce dernier constitue en quelque sorte, l’état civil de
commerçant.
COMMENT PEUT ORGANISER DU REGISTRE COMMERCIALE ?
Conformément à l’article 27 du code de commerce «le registre commerciale est constitué par des registre locaux et un
registre central »
*le registre local : est tenu auprès du secrétariat greffe du tribunal compétent, il est placé sous la surveillance du
présidant du tribunal ou un juge qu’il désigne chaque année à cet effet, et le registre local se divise en deux parties le
registre chronologique et le registre analytique :
*registre chronologique : recueille toutes les demandes et déclarations d’inscription faites par les commerçants
dans l’ordre ou elles interviennent et l’établissement, la demande est constatée par en récépissé délivré au
demandeur et qui précise notamment la date, l’heure et le numéro de dépôt.
*registre analytique : est utilisé pendant la durée de l’exploitation pour l’enregistrement des renseignements
modificatifs et complémentaires.
*le registre central : reçoit toutes les déclarations des secrétariats greffe des tribunaux compétents, il est destiné en
vertu de l’article 33 du cc.

CHAPITRE 3 : LA NOTION DE FONDS DE COMMERCE

1 –Définition :
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Le fonds de commerce est l’ensemble d’éléments corporelles et incorporelles destinés à l’exploitation d’une
activité ou d’une entreprise, il permet d’une part au commerçant de protéger leur clientèle contre les attaques
des concurrents et donner à celle-ci la plus grande stabilité et d’autre part au créancier une meilleur garanti de
leurs intérêts
2-Les éléments du fonds de commerce :.

*éléments corporels :
-Les marchandises : tous les objets mobiliers destinés à être vendus sans ou avec transformation (stocks), si le
commerçant est propriétaire des immeubles, ils ne font jamais partis du fond de commerce.
-Le matériel et l’outillage : tous les biens corporels qui servent à l’exploitation du fonds, ces biens peuvent avoir
des valeurs importantes.
*éléments incorporels :
-La clientèle : aptitude du commerçant à regrouper un certain nombre de clients
-L’achalandage : une forme, une partie de la clientèle qui tient plus à la situation du fonds qu’a la personne
même du commerçant.
-le nom commercial : est la dénomination sous laquelle est connu et exploité un fonds de commerce
-Enseigne : c’est la désignation de fonds de commerce, c’est un nom attaché au FC.
-Le droit au bail : Le bail d’un bien est un contrat par lequel l’une des parties cède à l’autre la jouissance d’un
bien mobilier ou immobilier pendant un certain temps, moyennant n prix déterminé par l’autre partie s’oblige à
lui payer.
Ici se pose une problématique juridique concernant les commerçants, ces derniers ne sont pas propriétaires des
locaux, ils en sont locataires.
La protection du commerçant est venue par le DAHIR du 24 Mai 1995, cette règlementation spécifique avait
pour principal objectif la protection du fonds de commerce et des locataires contre les évictions abusives.
Propriété commercial : Le droit accordé aux locataires commerçants d’obtenir le renouvellement de son bail
arrivé à expiration, ou à un défaut d’indemnité compensatrice pour le préjudice qui lui ai causé pour le refus du
bailleur.
Les hypothèses prévues par le procureur :
- Renouvellement du contrat
- Indemnité d’éviction
En cas de refus de renouvellement du contrat, le locataire a droit à une indemnité d’éviction.
Conditions du renouvellement du bail commercial.
Le procureur pose 3 conditions :
- L’existence d’un contrat de bail
- Exploitation personnelle
- Immeuble à usage commercial, industriel ou artisanal (pour ne pas avoir de confusion entre les immeubles
d’habitations et ceux à usage commerciale)
Exercice de renouvellement du bail de commerce.
1- Initiative de renouveler le bail commercial
L’initiative de renouveler le bail commercial, peut provenir soit du bailleur, soit du locateur, si l’initiative vient
du bailleur aucun problème ne survient, mais si celle-ci émane du locataire le législateur part de deux
hypothèses.
- Le refus
- L’acceptation du renouvellement
Lorsque le bailleur refuse le renouvellement du contrat celui-ci doit motiver sa décision et présenter les motifs
de son refus et les notifié au locataire commerçant, ce dernier a un délai de 30 jours pour saisir le président du
tribunal, dans ce cas le président du tribunal interviendra en tant que juge conciliateur et non en tant que juge
coercitif, il essaiera de concilier entre les deux. Ici deux cas se présente, le premier est un PV de conciliation (le
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problème est résolue) le deuxième est un PV de non conciliation, dans ce cas le locataire a encore un délai de 30
jours à côté du PV de NC pour faire une demande introductive d’instance (une activité en justice)
Le cas du refus peut être avec ou sans indemnité.

Refus avec indemnité d’éviction : le refus du bailleur donne un droit au locataire.


Quand est ce que le bailleur peut refuser mais soit obliger de verser une indemnité d’éviction ?
Si le locataire respecte toutes les clauses du contrat, le bailleur dans ce cas est obligé de payer une indemnité.
Pour calculer cette indemnité, on prend en considération la baisse du fonds de commerce à cause de la perte de
la clientèle
Refus sans indemnité d’éviction :
Le refus sans indemnité d’éviction peut être dans les cas suivants :
- Motif grave ou légitime (le locataire ne respecte pas les clauses du contrat)
- L’immeuble menace ruine (le locataire dans ce cas garde une garanties d’être prioritaire chez le bailleur).
- Reprise du local pour habitation personnel.
En cas de renouvellement du bail commercial :
Il peut y avoir une révision au sujet de la durée ou du prix « le montant du bail à renouveler doit correspondre à
la valeur locative équitable » Article 24.
Ceci dit la valeur équitable est établie en termes d’expertise :
- La surface du local.
- Les dimensions des vitrines
- L’emplacement
- L’état de l’équipement.

Parce que le fonds de commerce est un bien, une valeur patrimoniale, il devient susceptible d’opérations
juridiques qui manifestent de son utilité économique ; Vente, apport en société….
Celui-ci présente une valeur économique importante, sa vente doit respecter des règles visant à informer
l’acheteur et à organiser la publicité de la vente.
3-Les Operations sur le fond du commerce :
La vente du fond du commerce
Ales condition de validité :
Les conditions de fond de la vente du FC :
 Le consentement: doit exister, être valide et exempt des vices (erreur, violence, dol, maladies et cas
analogues)
 La capacité: les parties doivent être atteintes de la majorité, la capacité d ‘exercer le commerce n’est
pas obligatoire dans la vente du fonds de commerce car l’acquisition de ce bien n’entraîne même pas
nécessairement sa gestion par l’acheteur.
 L’objet: le fonds de commerce, doit exister effectivement au moment de la mutation
 Le prix: doit exister et consister dans une valeur sérieuse, Le caractère dérisoire ne peut que
dissimuler une donation ou une fraude fiscale

Les conditions de forme de la vente du FC :


 L’exigence de l’écrit: toute vente de fonds de commerce est constatée par acte en la forme
authentique ou sous seing privé (sauf pharmacie) (Art 81 du CC) L’acte doit mentionner certaines
mentions obligatoires:
. L’exigence de l’écrit a pour finalité de protéger l’équilibre des droits des parties, ainsi que pour la
protection des tiers et de leurs droits mentionner deux catégories d’information.
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 La publicité de l’acte de vente: Dépôt au greffe: expédition de l’acte notarié ou un exemplaire de


l’acte sous seing privé doit être dans les 15 jours de sa date déposé au secrétariat-greffe du tribunal
du ressort duquel est exploité le fonds.
 Inscription au registre du commerce: Un extrait de cet acte est inscrit au registre de commerce.
L’extrait contient au minimum les mentions utiles pour l’information des tiers.
 Insertion dans la presse: L’extrait inscrit au registre de commerce est publié en entier et sans délai
par le secrétaire-greffier, aux frais des parties, au bulletin officiel et dans un journal d’annonces
légales. Cette publication est renouvelée à la diligence de l’acquéreur entre le huitième et le
quinzième jour après la première insertion.
Blés effets de la vente :
Les obligations du vendeur :
Le vendeur a une obligation et la responsabilité de transférer la propriété du fond vendu. Le transfert prend
aussi la forme de mise en possession et de la jouissance paisible de l’ensemble des éléments du fond vendu.
C’est ce que l’on désigne par la clause de non concurrence ou de non rétablissement.
Les obligations d’acheteur :
 l’acquéreur s’oblige à payer le prix de la chose achetée.
 Le privilège du vendeur: pour en bénéficier le vendeur doit l’inscrire dans les 15 jours à compter de
la date de l’acte de vente au registre du commerce auprès du secrétariat greffe du tribunal dans le
ressort duquel se trouve le fonds de commerce. Ce privilège du vendeur est consolidé par les droits
de suite et de préférence.
 Action résolutoire: permettant d’effacer juridiquement, d’annuler rétroactivement le contrat de
vente du fonds de commerce, en cas de défaillance de l’acquéreur à son obligation de paiement.
Les obligations des créanciers du vendeur :
Pour protéger les droits des créanciers, 4 mécanismes sont mis au point par le législateur :
 Le dépôt: une expédition de l’acte notarié ou un exemplaire de l’acte sous seing privé dans les 15
jours de sa date doit être déposé au secrétariat-greffe du tribunal dans le ressort duquel est exploité
le fonds.
 La publicité: extrait d’acte est publié au registre de commerce et au BO et journal d’annonce légal.
 L’opposition: les créanciers font opposition non pas à la vente du FC, mais au paiement de son prix
au vendeur.
 La surenchère: tout créancier qui estime que le prix de vente est insuffisant peut se déclarer
surenchérisseur et propose de payer le prix déclaré majoré d’un sixième du prix des éléments
incorporels.

CHAPITRE 4 : LES REGLES DE CONSTITUTION COMMUNES AUX DIFFERENT FORMES DE SOCIETE


COMMERCIALE

1-Définition de la société :
DOC (982) la société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes mettent en commun leurs biens ou
leur travail on tous les deux à la fois en vue de partager le bénéfice qui pourra en résulter.
2-Les conditions de la constitution :
A-conditions de fond : on a deux condition de fond
*générale : consentement+capacité+objet+causes
*spécifique :
A-deux ou plusieurs personnes :
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On principe deux ou plusieurs personnes mais on exception SARL (a associé unique), SA au Maroc (5
actionnaire).
Blés notions d’apports :
-apport en numéraire : sont les argent
-apport en nature : du bien autres que l’argent
-apport en industrie : expérience professionnel, compétence.
Coparticipation aux résultat de l’exploitation :
Soit le partage des bénéfices permet de distingue entre société et l’association, ou soit contribution aux pertes,
le partage se fait proportionnellement à l’apport qui fait par chacun.
D-l ’Affectation societatis :
C’est la volante connu de collaborer (tous associent) sur un pied d’égalité à la réalisation de l’objet pour lequel
la société a été constitue
Le juge dit qu’affectio societatis dans le contrat de société
B-Conditions de forme : les statuts (contrat écrit) il comporte tous les renseignements concernent les associes et
concernent la société personne morale.
C-Conditions de publicité :
-dépôt d’un exemplaire des statuts au secrétaire greffe du tribunal compétent.
-la publication d’un extrait des statuts dans un journal d’annonce légale.
-l’immatriculation au registre du commerce.
La responsabilité revient aux associes parce que pour la personne morale la société n’est pas encore né.
L’immatriculation qui marque la naissance de la personne morale.
3-Naissance et disparition de la personne morale :
*1 ère élément d’identification de la personne morale :
*dénomination sociale : qui permet de distingue entre deux personne morale
C’est un moyen pour éviter la confusion
*siège sociale : c’est là où la société à ces principaux organe d’administration et de direction
*nationalité : d’une société à une règlementation précise à la réglementation d’un pays
*existence juridique propre : c’est le critère du siège social
*patrimoine : c’est également d’identification de la personne morale.
A-Dissolution de personne morale :
Ca veut dire que la personne morale va disparité
B-quelle sont les causes de la dissolution :
En peut répartir les causes en 3 catégories
*légales : est prévus par la loi
Exemple : réalisation de l’objet pour lequel la société a été constitué / l’expiration de la durée arrive des termes
*volontaires : la volante des associes
*judiciaires : conflit grave entre associes
-est ce qu’avec ces causes il y a fin de personne morale ?
La dissolution c’est pas les disparitions de société cela veut dire que la société va disparité après la dissolution il
y a la liquidation de la société.
C-la liquidation de la société :
-réaliser l’actif de la société (vendre les biens de la société et récupérer ces créanciers)
-réaliser le passif (c.-à-d. la société va payer ces dettes il va privilège d’abord, va payer les créanciers, ensuite les
associes, si le reste un boni de liquidation sera répartie proportionnellement à l’apport qu’était par les associes
4-La classification des sociétés commerciales :
*on a la société civil est exercé activité civil (société de participation)
*on a la société commerciale qui existe activité commerciale et on situe la société commerciale par la forme
Il y a deux type de société commerciale :
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A-société de personne (exemple : SNC) :


*caractéristique de la SNC :
-intuitu personae (ca veut dire la confiance entre les associes).
-les associes ont la qualité de commerçant
-la cession des parts sociale est conditionnée par l’unanimité.
-responsabilité indéfinie solidaire et une responsabilité illimitée
B-société de capitaux (exemple :SA) :
*caractéristique de SA :
-intérêt de l’élément capital
-la qualité de commerçant n’existe pas où les associes
-cession libre des actions
-responsabilité limitée
LA SARL
*caractère de société de personne :
-liberté limitée au niveau de la cession des parts sociale à la majorité
*caractère de société de capitaux :
-les associes n’ont pas la qualité de commerçant
-responsabilité limitée

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