« Liberté, Égalité, Fraternité » ce sont 3 grandes valeurs humanistes que René Char parle avec

beaucoup d’insistance dans son poème.

Premièrement René Char évoque dans son poème un pays de Liberté. D'une part le pays étant sortie
de la guerre en 1945 libre. René Char évoque la liberté du pays dès son titre « Qu'il vive », l'auteur
veut évoquer dans son titre que maintenant que le pays est libre que nous pouvons renaître et être
libres. Les oiseaux sont aussi libres comme les Hommes, ils peuvent voler comme ils veulent sans
avoir peur. D'autre part, René Char montre aussi la Liberté dans les symboles du printemps comme
avec sa courte phrase « Les branches sont libres de n'avoir pas de fruits » les branches sont aussi
libres de leurs droits. Le pays aussi est en pleine renaissance, maintenant libéré de la guerre, le
poète le site dans le mot « l'aurore » l'aurore qui oppose la nuit donc le mort dans la littérature, et le
jour donc l'aurore qui dans la littérature et signe de renaissance, de vie. René Char évoque la notion
de Carpe Diem dans sa courte phrase « Le verre de fenêtre est négligé », Carpe Diem qui signifie
mieux vaut passer du temps à vivre pleinement de la vie que de s'occuper de choses inutiles comme
nettoyer les verres des fenêtres.

Ensuite René Char évoque l’égalité qui a entre les Hommes mais aussi la Nature. Dans son poème il
évoque l’égalité avec la phrase « Les oiseaux mal habillés », comme le pays venait tout juste de
sortir de la guerre les Hommes étaient blessés, mal habillés, avait parfois la tête défigurée. Les
oiseaux étaient aussi égaux aux Hommes ils étaient eux aussi blessés, parfois n'avaient plus de
pattes, plus d'ailes, et parfois étaient en train de mourir sur le bord de la route. L'auteur évoque aussi
l'égalité de chacun de nous dans « Il y a des feuilles, beaucoup de feuilles, sur les arbres de mon
pays » le poète l'évoque aussi dans « Les branches sont libres de n'avoir pas de fruits » l'égalité est
aussi présente dans ces deux vers car les arbres de son pays sont aussi perdus, mais aussi déréglé il
n'y a plus de saisons en sortant de la guerre c'est pour cela que les branches ont beaucoup de
feuilles, de branches, mais pas de fruits comme l'aurait voulue la saison.

Enfin, René Char évoque la Fraternité et la solidarité de son pays. Il l'évoque dans certaines phrases
comme « On ne questionne pas un homme ému » l'auteur en disant ça veut faire passer le message
de la solidarité car les Hommes se respectent entre eux, ils sont tous triste et au plus bas après la
dure épreuve du deuil que touts humains ont été obligé de surmonter. René Char évoque la fraternité
avec l'absence du mal intentionnel « On ne croit pas à la bonne fois du vainqueur » tous les
Hommes sont à la même hauteur pas d'Hommes au-dessus et n'y en dessous. La fraternité est
présente tout au long du poème car René Char regroupe tous les hommes, les femmes et les enfants
dans le déterminant « on » ou alors « Hommes ». Le pays malgré la guerre est solidaire pour
reconstruire le pays ensemble comme nous le montre dans son dernier vers « Dans mon pays, on
remercie ».