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Français 7
20 févr. 08
Dans le poème “Il était une feuille” de Robert Desnos il s’agit d’un arbre qui
symbolise l’humanité. L’auteur fait une analogie entre la forme d’arbre et la chiromancie
(la practice d’examiner les rides de la paume pour prédire l’avenir). Desnos écrivait ce
poème vers 1936 pour le recueil « Fortunes ». Desnos participait au mouvement Dada,
ce qui était un « mouvement nihiliste en art et en littérature qui s’est rebellé contre la
presque rien de ponctuation. La même genre de vers n’est pas employé constamment ; il
y a cinq vers de dix syllabes, six vers de huit syllabes, onze vers de quatre syllabes, et un
vers de deux syllabes. Il n’y a pas de rime à la fin des vers, mais l’auteur répète la forme
des lignes 2, 3, et 4 et il remplace le mot « ligne » avec d’autres rimes riches et féminines,
Le début du poème, « Il était une feuille… » rappelle à une conte de fée, qui
de temps historique. Usuellement, les rides de la paume s’appellent « lignes », tandis que
le terme botanique pour les feuilles est « nervure ». Les trois lignes de la mains qui sont
décrive (la vie, la, chance, et le cœur) sont examinées en chiromancie. En addition, Le
mot « cœur » traite de partie centrale d’un arbre, aussi que le cœur humaine.
La cinquième, huitième, et quinzième vers sont au même forme que la premier,
qui utilise les petites lignes pour prédire le grand futur de quelqu’un.
répété, et créé l’idée que l’arbre est digne d’un cœur qui et « gravé, percé, transpercé ».
Le cœur gravé dans l’écorce est normalement un signe de l’amour entre les gens, donc,
l’absence d’un Coeur gravé fait allusion à l’absence de l’humanité. Le prochaine vers,
« Un arbre que nul jamais ne vit » (14), révèle qu’il n’y a personne partout pour voir
Les vers jusqu’à ligne 19 donnent un sens d’unité, parce qu’il sont liés par la
répétitions des mots et des phrases. Cette unité renforce l’impression d’isolation de vers
final. La forme des phrases qui commencent avec « Il était… » est reversé en ligne 19 :
« Au bout de ces racines, il était la Terre ». La Terre est sans autres choses, est il vient au
travers d’espace toute seule. La dernière ligne, « La Terre », isolé la Terre au sens
propre. Comment la Terre est seule dans le vers, la Terre est seule dans le ciel.
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