Analyse texte/musique Die stille stadt (Rich.

Demehl)

Cette pièce est le poème "La ville silencieuse" de l'auteur Richard Dehmel.

Dehmel est né en 1863 à Wendisch-Hermsdorf, Mark Brandenburg. Le poème a été

composé entre 1879 et 1920, Est également l'auteur de poèmes tels que “la nuit
transfigurée”, "le songe de joseph".

Il été marié à madame Ida Dehmel, qui fut très engager artistiquement

“Après avoir créé la ligue des artistes allemandes d'Allemagne du Nord (Bund Niederdeutscher
Künstlerinnen) aux côtés de l'historienne de l'art Rosa Schapire, elle fonde entre 1926 et 1927
“

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ida_Dehmel

Sur la base de la date d'origine du poème ou des données de vie de l'auteur, le texte
peut être attribué à l'ère moderne. L'écrivain Dehmel est un représentant typique de
l'époque mentionnée. Le poème de 76 mots se compose de 15 vers avec un total de 3
strophes. Le poète Richard Dehmel est également l'auteur de poèmes tels que “la nuit
transfigurée”.

Le texte se présente comme une grande description d’un village, le vocabulaire

employer est avant tout descriptif .

On parle en réalité ici d’une métaphore du sentiment de dépression, thème courant de

poésie germanique.

Les montagnes symbolisent un sentiment d'enfermement, le brouillard de confusion,

d’absence de lumières ( étoiles ), tout cette grande métaphore sert en réalité une fin
optimiste, les voix des enfants symbolise évidement l’espoir mais peut être plus
précisément l'appel religieux, les cœurs d’enfant ayant un fort charactère sacré.

On observe 3 parties musicales appuyant le texte.

Une première partie lente et gracieuse partant du ré de descendant lentement la

tessiture pour appuyer la mélancolie du texte.

Secondement une accélération du tempo servant d’élément déclencheur, les presques

chromatismes servent la mise en tention du propos et servent la future résolution...

Dernièrement une accalmie progressive, le dialogue devient plus doux entre le piano et
la voix, on module en majeur, les phrases s’allongent, et c’est sans voix que le clavier
fais passer le message de l’auteur et invite a l’espoir.

Ce poème est donc une gracieuse ôde a l’espoir, le texte dialogue directement avec la
composition, la fin du poème prenant sens après les dernières paroles.