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Sommaire
Conseils pour le travail de fluence en lecture ...................................................................... p. 2
Automatiser et perfectionner le décodage des syllabes et des mots ................................ p. 3
1. S’entraîner à lire les syllabes
2. S’entraîner à lire des mots
3. S’entraîner à lire des phrases
4. S’entraîner à lire des textes
Étudier un texte ..................................................................................................................... p. 4
1. Première lecture
2. Deuxième lecture
3. Troisième lecture
Lecture, ponctuation et intonation ....................................................................................... p. 5
1. Faire acquérir une lecture fluide à voix haute
2. Enseigner la ponctuation
Vocabulaire ............................................................................................................................ p. 9
Conseils pour le travail de fluence en lecture
Au CP, la fluence est un outil essentiel pour aider les élèves à consolider les acquis de la
lecture en les aidant à développer et à coordonner les quatre composantes de la lecture
courante :
• la précision,
• la rapidité de lecture,
• l’expression,
• la compréhension.
Nous conseillons des séances guidées d’enseignement aux stratégies de lecture par petits
groupes de 3 à 5 élèves, deux à quatre fois par semaine, à raison de 20 à 30 minutes chacune.
• Dire à l’élève qu’il doit lire le mieux possible jusqu’à ce qu’on lui dise de s’arrêter au
« stop ! » au bout d’une minute.
• Chronométrer dès le premier mot lu et stopper au bout de la minute.
• Utiliser la numérotation du nombre de mots par ligne à droite des textes.
• Relever le nombre d’erreurs ou de mots oubliés.
• Ne pas comptabiliser les hésitations si le mot est finalement bien lu.
Étudier un texte
1. Première lecture
Préparer la lecture du texte : travailler la révision de certains graphèmes, le décodage de
mots difficiles, le repérage des lettres muettes, la signification de certains mots (définitions),
et faire des liaisons, etc.
Faire une copie de mots pour acquérir l’orthographe lexicale, puis une dictée de phrases
reprenant les mots étudiés, pour mettre en œuvre les connaissances de l’écrit.
Faire une première lecture à voix basse.
Ils concerneront ensuite la prosodie (la courbe mélodique de la voix quand on parle :
intonation, rythme, accentuation, intensité) qui rendra la lecture expressive et aidera à en
percevoir le sens. Apprendre les signes de la ponctuation, les respecter, les lier à l’intonation,
permet de développer une intonation interprétative.
Dès le début de l’apprentissage, il est très important de rapprocher la lecture de la parole et
de la rendre vivante et attrayante. Si la lecture est ânonnée et inexpressive, elle motive peu
les élèves et peut les détourner de l’écrit.
Proposer aux élèves de lire « comme des acteurs » (éventuellement devant la classe) est
particulièrement utile pour atteindre cet objectif.
2. Enseigner la ponctuation
Prosodie et ponctuation vont de pair. À l’écrit, l’intonation est indiquée par la ponctuation.
Il faut lire de manière expressive pour captiver l’auditoire.
La ponctuation s’enseigne en premier lieu en lecture, puis en écriture.
À l’oral, la voix module : elle monte, elle descend, elle marque des pauses, des arrêts.
L’intonation et le rythme de la voix aident à concentrer son attention sur la compréhension
du discours.
À l’écrit, les signes de ponctuation donnent des informations importantes pour la lecture et
la compréhension du texte. Ils indiquent les pauses, les arrêts, les différentes intonations,
aident à séparer les phrases et leurs différentes parties, tout en aidant à exprimer sa pensée
et à transmettre ses émotions.
On veillera à proposer des phrases puis des textes dont le déchiffrage est acquis par les élèves
afin de ne pas avoir de surcharge cognitive.
On commencera par faire repérer les régularités des fonctions des signes de ponctuation dans
les textes.
→ Exemple : Le point à la fin des phrases déclaratives ou énonciatives.
Nous avons choisi une couleur particulière pour les signes de ponctuation dans le cahier :
– le rouge pour les différents points , , , afin de rappeler aux élèves qu’il faut
faire une longue pause (référence au feu rouge où les voitures s’arrêtent) ;
– le vert pour la virgule, le point-virgule et les deux points , , afin de rappeler aux
élèves qu’il faut faire une courte pause (référence au feu vert).
a. Le point
En début de CP, nous apprenons que les phrases doivent commencer par une majuscule et se
terminer par un point. Mais il faut également répéter aux élèves : « Après un point, on met
obligatoirement une majuscule. »
Le point délimite une phrase dont l’action ou l’idée est achevée. Après un point, on baisse la
voix et on marque une grande pause (un silence) dans la lecture.
Dans le cahier, le point est matérialisé en rouge (comme les autres points). Pour l’intonation,
une flèche indique que la voix baisse.
→ Exemple : Elie va à la villa. Éva va à vélo.
(Deux phrases distinctes séparées par un point).
Faire remarquer qu’on ne met pas de point après un titre de texte, de livre, d’un nom d’auteur
à la fin d’un texte.
→ Exemple : Momo le mulot
b. Le point d’interrogation
Il se place à la fin de toute phrase qui exprime une demande. Il sert à questionner.
Demander aux élèves de repérer les mots de début de phrases interrogatives, en créer une
liste qui sera affichée en classe ou dans un cahier de lecteur, et remplie au fur et à mesure des
découvertes : Est-ce que, combien, comment, où, pourquoi, quand, qui. Faire remarquer
l’inversion du sujet : « Le sujet se trouve après le verbe. »
→ Exemples : Est-elle salée ? As-tu déjà vu un animal si énorme ?
L’intonation est montante à la fin de la phrase. Elle est matérialisée par une flèche montante.
Le mot interrogatif est accentué.
Exemples :
→ Lili a dévoré dix pommes ! = On accentue « dix » pour exprimer l’étonnement et la voix
résonne encore sur « pommes », en gardant la même intonation jusqu’au bout de la phrase.
→ Enfin des pommes ! = L’intonation est montante.
→ Trop tard ! = Cela exprime la déception, un regret, l’intonation baisse.
→ Quelle joie ! Quel magnifique spectacle ! = L’intonation est montante.
→ À peine sorti de la voiture, le chien très excité saute de joie et fait tomber Adrienne ! = La
voix baisse à la fin de la phrase.
Il se place également à la fin des phrases impératives exprimant un ordre, une interdiction,
un conseil, une demande, une invitation, un désir ou un souhait. L’intonation peut être
montante ou descendante.
(⚠les phrases impératives peuvent aussi se terminer par un point.)
Exemples :
→ Un ordre : Venez à table ! Taisez-vous ! Ça suffit ! Tu sors !
→ Une interdiction : Léo, ne vous balancez pas sur votre chaise !
→ Un souhait : Amusez-vous bien !
→ Un conseil : Écoute bien la maîtresse.
Demander aux élèves d’identifier les mots d’exclamation au début de la phrase : comme,
quelle, quel, que, qu’. En créer une liste qui sera affichée en classe et remplie au fur et à
mesure des découvertes.
En fonction du sens, l’intonation change : voix qui s’interrompt brutalement, voix en suspens,
etc.
→ Exemples : La fière Jasmine rêve…
e. La virgule
À l’intérieur d’une phrase, la virgule permet de faire de courtes pauses sans changer
l’intonation de la voix.
Elle permet de séparer des mots ou des groupes de mots.
→ Exemple : Lili, affamée, s’échappe du pré.
Elle sépare les différents éléments d’une énumération.
→ Exemples : Elle a acheté de la farine, du beurre, des œufs, de la levure et de la vanille.
Le matin, je me lève, je déjeune, je me lave, je m’habille et je pars à l’école.
La petite chatte se rue sur la barbe à papa. Elle la hume, se lèche les babines et la dévore.
Faire remarquer aux élèves qu’à la fin d’une énumération, on ne place pas une virgule mais le
mot de liaison « et ».
f. Le point-virgule
Le point-virgule indique une pause plus importante que la virgule et la voix baisse un peu. Il
sert à séparer deux propositions ayant une relation logique entre elles.
→ Exemples : Léa a chassé le chat ; il a filé.
Julie prépare le fil, un petit sac d’appâts et la canne à pêche ; puis elle part sur la route de la
mare.
g. Les deux-points
Les deux-points servent à introduire une énumération, une explication, de citer ou
d’introduire les paroles de quelqu’un. On ne met pas de majuscule après deux-points.
L’intonation ne change pas et on marque une courte pause.
→ Exemples : Il lui dit : « Tu ne m’échapperas pas ! »
Il allume sa lampe : le fantôme s’enfuit !
Papa aide Camille à réviser le fonctionnement de l’appareil photographique : la mise au point,
le cadrage, le déclic.
Certains mots sont à la fois définis et illustrés (les élèves ont parfois besoin d’une image pour
compléter une définition).
Les mots illustrés sont signalés par l’icône
Afin d’être utilisables en classe, les illustrations sont mises à disposition sur des flashcards
imprimables, indépendamment de la liste de vocabulaire. Comme cette dernière, elles suivent
l’ordre des leçons. La pagination y est signalée et le code couleur correspondant aux
différentes périodes est repris.
Le lilas
Être affalé : se laisser lourdement tomber par exemple sur un lit, sur un canapé.
Synonyme : avachi.
Le fût : la partie du tronc d’un arbre dépourvue de branche, entre le sol et la première
grosse branche. C’est aussi un tonneau.
Mimer : imiter quelqu’un, reproduire un sentiment, une action par des gestes, des
expressions du visage, sans parler.
La mule
Le mulot
Le lasso
La mie
Le lama
Le salami
Lille
L’ara : un perroquet au plumage très coloré à dominante rouge ou verte, avec une longue
queue et un bec puissant et crochu.
Rare : (1) Qui ne se produit pas souvent. → Exemple : une maladie rare.
Mots de la même famille : rareté, rarement, rarissime
Contraires : courante, fréquente
(2) Qu’on ne voit pas souvent. → Exemple : un livre rare qui n’existe qu’en peu d’exemplaires.
Synonymes : original, unique
(3) Qu’on ne trouve pas en grande quantité → Exemple : L’eau est rare dans le désert.
L’arôme : une odeur agréable d’un fruit, d’un légume, d’une boisson, d’une fleur.
Mot de la même famille : aromatisé, aromate, aromatique.
Synonyme : un parfum.
Proche : (1) Qui est à une petite distance. → Exemple : L’école est proche de la maison.
(2) Qui est peu éloigné dans le temps. → Exemple : Ta fête d’anniversaire est proche de Noël.
Synonymes : voisin, avoisinant.
Contraires : éloigné, lointain.
Le porche : la partie couverte à l’entrée d’un bâtiment ; il peut servir à s’abriter de la pluie.
La marée : le mouvement des eaux de la mer qui montent (la marée haute) et qui
descendent (la marée basse) deux fois par jour.
Amarré : attaché un point fixe avec des cordages, des amarres. On amarre les bateaux dans
un port.
Il pépie : il pousse des petits cris, des pépiements. C’est le langage des oiseaux, des poussins.
Lili épie : verbe épier. Lili observe attentivement le chat sans se faire voir. Le chat épie la
souris, la pie.
Synonymes : surveiller, espionner.
La ramure : ce sont les branchages d’un arbre. C’est aussi les bois d’un cerf, le renne.
L’armure
Le port
Le porc
Le pré
Le dojo : salle où l’on pratique les arts martiaux (judo, karaté, etc.)
Une bûche : un gâteau que l’on déguste à Noël. C’est aussi un morceau de bois coupé
destiné à être brûlé dans une cheminée ou un poêle à bois.
Une jarre
Le javelot
Le maharadja
Le char
Le jar/l’oie
Un tatami
Un canif
Un canal
Une lotte
Un calamar
Un caniche
La Corse
Un débat : une discussion sur un sujet où chaque participant donne son avis.
Un boa : un serpent de grande taille qui vit sur le continent américain, qui n’est pas
venimeux.
Bâbord : le côté gauche d’un bateau quand on regarde vers l’avant. Le marin crie : « Terre en
vue à bâbord ! »
Contraire : tribord.
Un mobile : un objet de décoration ou d’art qui a des éléments mobiles qui bougent au
moindre courant d’air.
→ Exemple : Les parents ont installé un mobile au-dessus du berceau de leur enfant.
Un téléphone mobile est le nom donné au téléphone portable.
La brebis : la femelle du bélier, un mouton mâle. Son petit s’appelle l’agneau. Son cri est le
bêlement.
La tribu : un groupe de plusieurs familles issues d’un même ancêtre, ayant la même langue,
vivant dans la même région ou se déplaçant ensemble, partageant les mêmes croyances et
dirigées par un même chef.
→ Exemple : Les Indiens d’Amérique vivaient en tribus.
Elle hume : verbe humer. Aspirer par le nez pour sentir une odeur.
→ Exemple : La chatte hume le parfum de la barbe à papa.
Synonyme : respirer.
Un tuba
Un bar
La semoule : petits grains ronds de blé ou d’autres céréales (semoule de maïs, de manioc).
→ Exemple : On fait du couscous avec de la semoule de blé dur et des gâteaux de semoule au
caramel avec de la semoule de blé fine.
Une souche : la partie du tronc qui reste dans la terre quand un arbre a été coupé.
Un soupir : une expiration d’air forte et prolongée quand une personne exprime une
émotion forte.
→ Exemple : Léa a réussi à finir tous les calculs avant la récréation, elle pousse un soupir de
soulagement.
La foudre : une décharge électrique qui se produit lors d’un orage, accompagnée d’éclairs et
de tonnerre.
Une louche
Un clou
Un hibou
Le gui
La gourde
Le colza : une plante à fleurs jaunes très odorantes, que l’on cultive pour ses graines
dont on extrait de l’huile.
L’agriculture : tous les travaux pour cultiver la terre et élever des animaux pour leur viande
ou leur lait.
Mots de la même famille : un agriculteur, une agricultrice, agricole (tout ce qui sert à
l’agriculture : les terres agricoles, les engins agricoles : tracteur, moissonneuse batteuse).
Une trappe : un panneau mobile qui ferme l’ouverture d’un plafond pour monter, par
exemple, au grenier.
Un astre : la Lune et le Soleil, les étoiles, les planètes, les comètes sont des astres.
Un diamètre : un segment de droite qui passe par le centre d’un cercle et le partage en deux
parties égales.
Un blini, des blinis : une petite crêpe qui se déguste chaude accompagnée de poisson fumé,
de caviar, etc.
Un hublot : une petite fenêtre de forme arrondie et étanche que l’on trouve sur les bateaux,
les avions, les vaisseaux spatiaux.
Le flot : une grande quantité. (1) Pour la mer, on parle des flots. → Exemple : Le voilier
navigue sur des flots calmes.
Mettre à flot un bateau, c’est le mettre à l’eau, le faire flotter.
(2) Pour des larmes, on dit verser des flots de larmes, un torrent de larmes.
(3) Pour des voitures se déplaçant en masse sur l’autoroute, on dit des flots de véhicules sur
l’autoroute.
Synonyme : une foule.
Un zébu
Une grenade
Une grue
L’anis : une plante très parfumée dont le fruit est utilisé pour parfumer des bonbons
ou des boissons. Le « s » s’entend à la fin du mot.
Mot de la même famille : anisé.
Une lame
Une allergie : si une personne est allergique à un aliment, son corps le reconnaît dès qu’elle
en mange. Il se sent attaqué et peut réagir très fort pour se défendre. On peut aussi être
allergique à quelque chose qu’on respire dans l’air.
Un dard : c’est comme une minuscule aiguille que certains insectes (guêpes, moustiques,
etc.) utilisent pour piquer.
Un polisson : un enfant turbulent, espiègle (qui aime jouer des tours sans méchanceté) et
désobéissant.
Des coléoptères : des insectes qui ont les ailes au repos protégées par deux ailes plus dures,
comme les coccinelles, les scarabées, les hannetons.
Un potiron
Un lombric
Un scarabée
Des embruns : des fines gouttelettes d’eau de mer emportées par le vent.
La figue : le fruit à la peau verte ou violette qui pousse sur un figuier. On mange les
figues fraîches ou sèches.
Des anchois
Un nichoir
Un chamois
Un kaki
Un koala
Un kimono
Une mite
La lavande
Un tympan : une membrane au fond de l’oreille qui permet d’entendre les sons par
vibration.
Des cymbales
Un cou-de-pied
Un castor
Un écran interactif : un écran sur lequel tu peux agir avec ton doigt ou un stylet.
Un spinosaure
Un allosaure
Un artichaut
Un fossile
Des rillettes : une charcuterie de petits morceaux de porc, de lapin, d’oie ou de volaille cuits
dans la graisse.
Se saisir : attraper d’un geste vif, rapide, ce qui est à portée de main.
→ Exemple : Mathieu se saisit de sa lampe.
Marcher à pas feutrés : on doit cette expression aux gens qui, au XXe siècle, utilisaient des
patins de feutre pour avancer sur le parquet. Cela permettait en même temps de le lustrer,
le faire briller. De nos jours, on a gardé cette expression pour exprimer une marche
silencieuse, sans bruit.
Le faisceau de sa lampe : tous les rayons lumineux partant de la lampe de Mathieu sont
dirigés vers le bruit.
Une chenille
Un gorille
Un carillon
Des ingrédients : plusieurs produits qu’on met dans un mélange, par exemple pour faire un
gâteau.
Un scaphandrier
Un nénuphar
Une gazelle
Une groseille : un petit fruit rond, rouge ou rosé, au goût acide, qui pousse en grappes
sur un groseillier.
→ Exemple : Au goûter, Papi me prépare des tartines à la gelée de groseilles.
Une myrtille : un petit fruit rond bleu-noir qui pousse dans les montagnes sur un
arbrisseau sauvage qui s’appelle le myrtillier.
Un treuil : un appareil muni d’un câble, d’un cordage qui s’enroule autour d’un
cylindre pour soulever ou tirer de lourdes charges.
Entailler : faire une coupure, une encoche dans le bois ou la pierre, en enlever une partie.
C’est aussi une coupure faite avec un instrument tranchant.
→ Exemple : en coupant sa viande, Léa s’est légèrement entaillé le doigt avec le couteau.
Une caille
Un œillet
Du cerfeuil
Du fenouil
Un chevreuil
S’exclamer : parler d’une voix forte, par exemple quand on est très content ou quand on est
surpris.
Se retenir : avoir envie de faire quelque chose, mais se contrôler pour ne pas le faire.
→ Exemple : se retenir de rire.
Un noyer : un grand arbre qui produit des noix et dont on utilise le bois pour faire des
meubles.
Un citoyen : une personne qui a la nationalité d’un pays et qui a certains droits et certains
devoirs à respecter.
→ Exemple : À 18 ans, les Français ont le droit de vote. En votant, ils exercent ainsi leur
responsabilité de citoyen.
Un écuyer : une personne qui sait monter à cheval. Autrefois, l’écuyer accompagnait le
chevalier et lui portait l’écu (le bouclier des soldats au Moyen-âge).
→ Exemple : Au cirque, l’écuyère montre aux spectateurs des exercices de voltige.
Le bowling : un jeu de quilles que l’on fait tomber avec une grosse boule lancée sur
une piste.
Un paysagiste : un artiste qui représente ou qui peint des paysages. C’est aussi un architecte
ou un jardinier qui crée des jardins, des espaces verts ou des parcs.
La bruyère
Un kayak
Un wapiti
Une lyre