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A. Le modèle quantique implique que, quelle que soit l’énergie envoyée sur un atome, on peut
exciter un électron (c’est-à-dire, le faire passer d’une couche à une autre de plus grande
énergie)
B. La configuration électronique ci-dessous correspond à celle d’un atome de carbone dans son
état stable
C. La configuration électronique ci-dessous correspond à celle d’un atome de chrome (Cr) dans
son état stable
D. Le nombre quantique principal apparaît dans la formule de l’énergie des couches atomiques
E. La sous-couche 4d a pour nombres quantiques n = 4, l = 2 et -2 ≤ m ≤ 2
A. La liaison hydrogène entre 2 bases C et G est plus difficile à casser que la liaison de π-π stacking
entre ces mêmes bases
B. L’interaction de π-π stacking nécessite obligatoirement que les 2 molécules soient polaires
C. Les bases C et G forment entre elles des liaisons hydrogène parce qu’elles sont chargées
D. Un dipôle instantané peut apparaître à cause des fluctuations rapides de la densité
électronique
E. La cytosine (C) est à la fois donneuse et accepteuse de liaison hydrogène
Question 7 : Thermodynamique
A. La réaction (2) est exothermique dans le sens inverse
B. La réaction H2 + ½ O2 ⇄ H2O a une enthalpie standard de -286 kJ.mol-1
C. La réaction (1) est exothermique dans le sens direct
D. ∆H10 = -542 kJ.mol-1
E. On peut écrire ∆G10 = ∆H10 -T∆S10, où G, H et S sont des fonctions d’état
Question 8 : Thermodynamique
A. Deux molécules HF ne peuvent pas se lier par des liaisons hydrogène
B. Dans HF, la charge partielle sur les atomes est d = 0,2
C. La formation de HF à partir de la réaction (1) augmente l’ordre
D. ∆G10 = 490 kcal.mol-1
E. La réaction (1) est spontanée dans le sens direct
di-anion tri-anion
Structure chimique de la bétanine
A + A ⇄ B
Sans un deuxième temps, on teste un catalyseur solide (Mn2O3) pour accélérer cette réaction.