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Archéoastronomie

L’archéoastronomie, appelée aussi


paléoastronomie, résulte de la combinaison d’études Archéoastronomie
astronomiques et archéologiques. Elle revêt deux
facettes : d’une part elle cherche à expliquer les Partie de Astronomie
observations astronomiques passées, à la lumière des
connaissances actuelles ; d’autre part, associée à des
études archéologiques et ethnologiques, l’ethnoastronomie tente d’interpréter et de préciser un possible
usage astronomique de constructions anciennes tels que les mégalithes ou les géoglyphes de Nazca. Dans un
contexte inverse, elle peut contribuer à l'astronomie ordinaire qui peut trouver dans des textes anciens des
mentions d'événements astronomiques.

Sommaire
Observations astronomiques passées
Supernovæ historiques, « étoiles invitées »
Datation d'événements historiques par des événements astronomiques
Datation de phénomènes astronomiques par anciennes représentations: fresques et
peintures murales préhistoriques
Œuvres à vocation astronomique
Alignement astronomique
Art rupestre et pariétal
Archéoastronomie et astroarchéologie
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes
Bibliographie

Observations astronomiques passées

Supernovæ historiques, « étoiles invitées »

Chine : Les « étoiles invitées », ou les objets similaires à des étoiles qui apparaissent dans le ciel nocturne,
intéressaient beaucoup les Chinois qui les répertoriaient consciencieusement, et plus tard, toutes les
civilisations s'intéressant à l'astronomie. L’astronomie actuelle a pu parfois associer ces objets à des
évènements célestes transitoires tels que des comètes ou des supernovæ. On connaît à l'heure actuelle huit
événements historiques répertoriés pouvant vraisemblablement correspondre à des supernovæ, datant
respectivement de 185, 386, 393, 1006, 1054, 1181, 1572, 1604, auxquelles s'ajoute une supernova dont
l'explosion remonte à la seconde moitié du XVIIe siècle, sans doute aux alentours de 1667, mais qui n'a pas
1
1
été observée . De ces huit événements, cinq d'entre eux
(1006, 1054, 1181, 1572 et 1604) sont considérés avec
certitude comme ayant été des supernovæ, deux d'entre
eux (185, 393) sont considérés comme probables du fait
de l'identification considérée comme fiable du rémanent
associé à la supernova, et une (386) est considéré
comme possible, le rémanent n'ayant pas été identifié
avec certitude du fait des incertitudes de la position
exacte de l'étoile invitée.

SN 185, dans la constellation du Centaure,


est mentionnée uniquement dans des textes
chinois. Sa position n'est pas donnée avec
une grande exactitude, mais se situe
probablement entre les étoiles α et β du
Centaure. Quatre rémanents brillants de
supernovæ ont été identifiés dans cette
région, parmi lesquels G315.4-2.3 semble La Nébuleuse du Crabe, vestige de l'explosion
être le plus probable. d'une supernova, observée en 1054.
SN 386, dans la constellation du Scorpion, et
SN 393, dans la constellation du Sagittaire,
ont été observées par les astronomes chinois, et dont les rémanents n'ont pas été identifiés
de façon certaine, en particulier pour SN 386.
SN 1006, dans la constellation du Loup, est probablement la supernova historique la plus
brillante des temps historiques. Son éclat était tel que son observation a été rapportée par
tous ceux qui vivaient suffisamment au sud pour pouvoir l'observer. Elle a été visible pendant
plus d'une année.
SN 1054, dans la constellation du Taureau, est la supernova qui a donné naissance à la
nébuleuse du Crabe. La supernova, observée en 1054 en Chine et en Europe, a été
retrouvée au XVIIIe siècle par Charles Messier qui en a fait le premier objet de son catalogue
(M1). La connaissance exacte de l'âge du pulsar du Crabe permet de confronter les
observations actuelles aux modèles de pulsars jeunes, notamment par la mesure du
ralentissement de sa rotation.
SN 1181, dans la constellation de Cassiopée, a été observée au mois d'août 1181 par des
astronomes chinois et japonais. Elle est restée visible plus de six mois.
SN 1572, dans la constellation de Cassiopée, dite supernova de Tycho, a été observée par
Tycho Brahe le 11 novembre 1572, mais il semble qu'il n'ait pas été le premier à l'observer,
devancé au moins par W. Schuler de cinq jours.
SN 1604, dans la constellation d'Ophiuchus, dite supernova de Kepler, découverte par
Johannes Kepler le 9 octobre 1604, demeure à ce jour la dernière explosion de supernova
située dans la Voie lactée à avoir été observée.
SN 1667, dans la constellation de Cassiopée, est la supernova historique la plus
mystérieuse... car elle n'a pas été observée à l'époque de son explosion. Ce n'est qu'en
1947 que son rémanent a été observé dans le domaine radio, celui-ci étant en fait une des
sources radio les plus intenses du ciel. La raison pour laquelle la supernova n'a pas été
observée dans le domaine visible à l'époque de son explosion (estimée à 1667, mais parfois
datée de 1680 car l'astronome John Flamsteed pourrait y avoir fait référence cette année-là)
n'est pas connue à ce jour.

Il existe également d'autres mentions d'étoiles invitées, en -532, -204, -134, -77, -76, -48, -47, -5, 61, 64, 70,
85, 101, 107, 125, 126, 222, 247, 290, 304, 329, 369, 396, 402, 421, 437, 483, 537, 541, 561, 641, 684, 722,
829, 837 (deux fois), 877, 891, 900, 911, 1011, 1035, 1065, 1069, 1070, 1073, 1074, 1138, 1139, 1163,
1175, 1203, 1224, 1240, 1356, 1388, 1404, 1430, 1431, 1437, 1460, 1584 et 1592 (quatre fois), mais qui
sont aujourd'hui considérées comme des novae ou des comètes.

Datation d'événements historiques par des événements astronomiques

Il est à l'inverse possible de dater précisément des événements historiques qui sont situés par rapport à des
événements astronomiques dont la date peut être parfaitement reconstituée aujourd'hui, comme les éclipses
de Soleil ou de Lune, ou le passage de certaines comètes (comète de Halley, notamment). L'exercice
demeure difficile dans de nombreux cas. Il n'existe ainsi pas de consensus sur l'événement astronomique à
l'origine de la fameuse étoile des Rois mages, mentionnée dans l'Évangile selon Matthieu qui aurait annoncé
la venue au monde de Jésus-Christ. Plusieurs hypothèses ont été proposées, allant d'une occultation de
Jupiter par la Lune en l'an -6, ou une triple conjonction Jupiter-Saturne la même année. Une conjonction
Jupiter-Régulus en l'an -3 pourrait également correspondre à l'événement en question, mais sa description
est trop peu précise pour que la question puisse être tranchée, d'autant qu'il n'y a pas d'autres témoignages
disponibles sur cet événement. Les historiens et astronomes modernes considèrent que « du fait de la nature
légendaire du récit, il est douteux que l'étoile de Bethléem puisse fournir une quelconque indication sur
2
l'année de naissance de Jésus » .
3
En revanche, l'éclipse de Soleil prétendument prédite par Thalès en
l'an 585 av. J.-C. est parfaitement bien datée et permet de ce fait de
situer précisément toute la chronologie de cette époque par rapport à
notre calendrier.

Datation de phénomènes astronomiques par


anciennes représentations: fresques et peintures
murales préhistoriques
équinoxe vu du site de Pizzo Vento
La Nébuleuse de Mérope, considérée comme un rémanent de à Fondachelli-Fantina, Sicile
supernova, pourrait bien avoir été vue, à l'époque de Sumer, comme
une supernova, se présentant à ce moment-là comme un anneau
d'étoiles soudainement très brillantes, autour d'un centre lumineux (qui ne l'est pas resté très longtemps,
quant à lui, puisqu'il a explosé). On peut le constater sur un sceau mésopotamien en argile où l'on voit les
Pléiades et la supernova. [réf. nécessaire]

Œuvres à vocation astronomique

Alignement astronomique

Selon Geoffrey Cornelius et Paul Devereux, les alignements astronomiques de monuments anciens ne sont
pas rares : « Plus d'un site archéologique antique présente des preuves irréfutables d'un alignement avec des
phénomènes tels les levers de Soleil aux solstices et équinoxes, les couchers de Lune aux maxima et minima
de déclinaison et, parfois, avec les étoiles ou les planètes. L'archéoastronomie est l'étude scientifique de ces
alignements. Il fallait tout d'abord placer un repère au centre du monument. Ensuite, pour trouver le nord
géographique, on notait les points de lever et de coucher d'une étoile, puis on cherchait le point médian. Les
points de lever et de coucher du Soleil aux solstices, ainsi que les maxima et minima de déclinaison de la
Lune étaient, pense-t-on, localisés par une série de repérages au moyen de pieux, des points de lever et de
coucher à l'horizon sur une période donnée. On dressait alors des marqueurs permanents pour indiquer
certains points d'intersection. Avec le temps, la science du ciel dut permettre de bâtir un monument sans
4
attendre les 18,6 ans d'un cycle lunaire complet » .

Il a souvent été affirmé que les mégalithes sont d’anciens « observatoires ». 5000 ans av. J.-C. le peuple de
Nabta Playa a édifié le plus ancien mégalithe à vocation astronomique connu. Les recherches ont montré
qu’il s’agissait d’un calendrier préhistorique marquant précisément le solstice d’été.

Les mégalithes des Îles Britanniques font aussi l’objet de


nombreuses études. En 1909, sir Norman Lockyer remarqua que le
tumulus de Newgrange (3200 av. J.-C., en Irlande) est orienté vers le
solstice d'hiver. Pendant les années 1960, Alexander Thom fit des
recherches approfondies sur ces mégalithes et publia un livre :
5
Megalithic sites in Britain . Expliquant sa théorie sur les mégalithes,
il montre également, statistiques à l’appui, que beaucoup de
monuments en Grande-Bretagne sont orientés de manière à pouvoir
être utilisés comme calendriers. Selon sa théorie très discutée, les
Stonehenge.
monuments marquent des points de l’horizon où le Soleil, la Lune et
les principales étoiles se lèvent à des moments particuliers de
l’année (solstices d’été, d’hiver, les équinoxes, …).

Le cas de Stonehenge, dès 3100 av. J.-C., est encore discuté aujourd'hui. Comme d’autres mégalithes, il est
aligné d’une façon particulière par rapport aux solstices : lever de soleil au solstice d'été, lever de lune au
solstice d'hiver (maximum de déclinaison), lever de lune au solstice d'hiver (minimum de déclinaison), lever
de soleil au solstice d'hiver, lever de lune au solstice d'été (maximum de déclinaison), coucher de lune au
solstice d'hiver (minimum de déclinaison).

Le site mégalithique de site archéologique de Calçoene, situé dans la forêt amazonienne du Brésil, semble
être un observatoire astronomique ressemblant étrangement à celui de Stonehenge.

Les Grandes Pyramides d’Égypte furent alignées sur les points cardinaux. Robert Bauval a fait remarquer
que leur disposition rappelle celle des étoiles du Baudrier d’Orion : le conduit Sud de la Grande Pyramide
fut aligné avec Zêta dans le Baudrier d'Orion.

L'helléniste Jean Richer a conduit une étude érudite extrêmement fouillée, étayée sur l'irrécusable
témoignage des monuments (temples et sanctuaires) mais aussi sur celui des monnaies et des symboles d'une
multitude d'éléments figurés, montrant, de façon indiscutable, la géographie sacrée du monde grec. Il
constate que « les Phéniciens, les Hittites, les anciens Grecs, les Étrusques, les Carthaginois et les Romains
ont tissé un réseau de correspondances entre, d'une part, le ciel (et en particulier la course apparente du soleil
6
dans le zodiaque) et d'autre part, la terre habitée par les hommes et les cités qu'ils édifient ». Une carte de
Grèce montre un alignement remarquable entre les trois lieux sacrés de Delphes, Athènes et Délos, ligne qui
se prolonge jusqu'au sanctuaire de Camiros sur l'île de Rhodes. Habitués à se repérer sur les étoiles, les
Anciens connaissaient bien ces alignements remarquables ; avec une roue zodiacale centrée sur Delphes, il
7
semble établi que les Grecs aient voulu faire de leur pays la vivante image du ciel . Car « les peuples qui
adoptèrent le zodiaque chaldéen ou qui constituèrent, à son imitation, une série de douze signes, ont tous
8
divisé leur pays en douze régions et en ont confié le gouvernement à douze chefs ». Plusieurs textes de
9
Platon dans les Lois et la République corroborent cette théorie de la division du pays en douze régions
mises en relation avec les dieux du zodiaque.

Des alignements astronomiques ont été mentionnés par l'archéologue amateur anglais Alfred Watkins, un
des pionniers de la géographie sacrée, qui avait découvert, en étudiant les sites sacrés de son terroir, le
Herefordshire, qu'on pouvait aussi associer aux alignements astronomiques une grande variété de sites :
églises, chapelles, calvaires, tumuli, carrefours antiques, arbres sacrés, sources… Ceci n'est pas réellement
surprenant car de nombreux lieux de culte pré-chrétiens ont été christianisés par la suite mais les chrétiens
n'ont pas fait que reprendre à leur compte les anciens lieux de culte néolithiques, celtes ou romains ; il
semble bien qu'ils connaissaient et qu'ils ont perpétué la tradition d'implanter les lieux de culte en fonction
de critères astronomiques. On constate en effet que certains alignements datent de l'époque chrétienne : on
peut par exemple trouver, à proximité de certaines églises, des chapelles qui se trouvent alignées sur le lever
solaire de la fête du saint auquel l’église principale est dédiée. Les édifices eux-mêmes sont souvent orientés
vers le lever solaire à une date précise. Dans la cathédrale de Chartres (XIIIe siècle), à midi, au solstice d'été,
le Soleil traverse d'un rayon une portion de verre clair dans le vitrail consacré à Saint Apollinaire, dans la
partie Ouest du transept Sud. On peut donc en conclure que cette tradition astronomique, qui remonte à la
Préhistoire, s'est poursuivie à l'époque celtique, à la période gallo-romaine puis au Moyen Âge et même
après.

Art rupestre et pariétal

L'archéoastronome Chantal Jègues-Wolkiewiez, en utilisant un


clinomètre qui détermine la pente de la roche, et un compas de
relèvement émet l'hypothèse que les gravures sur les roches de la
vallée des Merveilles ou les peintures de 126 sur les 130 grottes
ornées ou gravées (notamment la grotte de Lascaux) et abris sous
roche qu'elle a examinées sont orientées en fonction des levers du
10
soleil à l'équinoxe ou au solstice . Néanmoins, cette interprétation
11
est accueillie avec scepticisme par la communauté scientifique .

Certaines croyances liées aux constellations semblent très anciennes


car largement répandues parmi les peuples autochtones du monde.
La Grande Ourse serait ainsi liée au mythe d'une chasse cosmique
depuis le Paléolithique supérieur au moins. Le proto-récit aurait pris
la forme d'un cervidé poursuivi jusqu'au ciel par un chasseur, et s'y
12
transformant en constellation .
Stèle du « Chef de tribu » de la
Archéoastronomie et astroarchéologie vallée des Merveilles : poignards et
chef seraient orientés en fonction de
positions précises du soleil.
L'archéoastronomie ne doit pas être confondue avec
l'astroarchéologie dont les buts sont ésotériques ou astrologiques ou
ufologiques ; elle est d'ailleurs classée dans les pseudosciences.
Néanmoins on peut parfois rencontrer dans des sites internet américains ou anglais le mot astroarchaeology
pour désigner l'archéo-astronomie.

Voir aussi

Articles connexes
Astronomie pré-télescopique
Pyramides de Gizeh et constellation d'Orion
Cromlech du Petit-Saint-Bernard
Metsamor-Taronik (35-40 km d'Erevan), vestiges néolithiques de Mezamor, musée
archéologique (1968),
Astronomie mégalithique
Liens externes
L'Archéoastronomie (http://perso.orange.fr/jean-paul.cornec/archeoastronomie.htm)
Chantal Jègues-Wolkiewiez (http://www.archeociel.com)

Notes
1. Christine Kronberg, « Supernovae observed in the Milky Way: Historical Supernovae », (17
avril 2005) [lire en ligne (http://www.seds.org/Messier/more/mw_sn.html)]
2. Nothaft 2011, p. 22 : « Due to the legendary nature of the account, it is doubtful whether the
star of Bethlehem can provide any useful indication of the year of Jesus' birth » - R.M. Jenkins
« The Star of Bethlehem and the Comet of AD 66 » pdf (http://www.bristolastrosoc.org.uk/uploa
ded/BAAJournalJenkins.pdf) dans Journal of the British Astronomy Association, juin 2004,
n°114, pp. 336–43
3. Il est clairement démontré que, quoi qu'en dise Hérodote, Thalès n'a pas pu prédire cette
éclipse (cf. Éclipse solaire) correspond bien à la chronologie attestée par ailleurs et permet de
la préciser.
4. Geoffrey Cornelius et Paul Devereux, Le Langage des étoiles, trad., Gründ, 2004, p. 240-242.
5. (en) Thom, Alexander. Megalithic Sites in Britain. Oxford : OUP, 1967.
6. Jean Richer 1983, p. 24.
7. Jean Richer 1983, p. 36.
8. Jean Richer 1983, p. 49-50.
9. Les Lois, livre V, 738 b-c et 745 b-745 e ; livre VI, 771 a-771 c ; voir aussi La République, livre
IV, 427 b-c.
10. Lascaux, le ciel des premiers hommes, documentaire sur Arte, 2007.
11. Neyret, F. (2007) - « "Lascaux, le ciel des premiers hommes" ou La scientifique indépendante,
le reporter et la chaîne culturelle » (http://evasion.imag.fr/~Fabrice.Neyret/debats/zetetique/BA
CKUP/104-analyse-du-documentaire-l-lascaux-le-ciel-des-premiers-hommes-r.html), novembre
2007, 029, p. 12-16.
12. Julien d'Huy, Un ours dans les étoiles : recherche phylogénétique sur un mythe préhistorique (h
ttps://www.academia.edu/3226058/Un_ours_dans_les_etoiles_recherche_phylogenetique_sur_
un_mythe_prehistorique._-_Prehistoire_du_sud-ouest_20_1_2012_91-106), Préhistoire du
sud-ouest, 20 (1), 2012: 91-106; A Cosmic Hunt in the Berber sky : a phylogenetic
reconstruction of Palaeolithic mythology (https://www.academia.edu/3045718/PREPRINT_A_C
osmic_Hunt_in_the_Berber_sky_a_phylogenetic_reconstruction_of_Palaeolithic_mythology._L
es_Cahiers_de_lAARS_15_2012_), Les Cahiers de l'AARS, 15, 2012.

Bibliographie
(en) David H. Clark & F. Richard Stephenson, The Historical Supernovae, Pergamon Press,
Oxford, 1977 (ISBN 0-08-020914-9)
Geoffrey Cornelius et Paul Devereux, Le Langage des étoiles. Un guide illustré des mystères
célestes (The language of Stars and Planets, 1996), Gründ, 2004.
Rita Gautschy, Michael E. Habicht, Francesco M. Galassi, Daniela Rutica, Frank J. Rühli,
Rainer Hannig; A New Astronomically Based Chronological Model for the Egyptian Old
Kingdom. Journal of Egyptian History 2017, vol. 10 (2), 69-108. DOI: 10.1163/18741665-
12340035 (http://booksandjournals.brillonline.com/content/journals/10.1163/18741665-12340
035)
Frédéric Lequevre, Galaxies à Lascaux : Les merveilles de l'archéoastronomie, Sophia-
Antipolis, Book-e-book, coll. « Une chandelle dans les ténèbres », mars 2016, 70 p.,
14 × 21 cm (ISBN 978-2-37246-013-2, notice BnF
no FRBNF45012035 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb45012035h.public), présentation en ligne (https://ww
w.book-e-book.com/livres/135-galaxies-a-lascaux-9782372460132.html))
Yaël Nazé, Astronomies du passé : De Stonehenge aux pyramides mayas, Belin, 2018
(1re éd. 2009) (ISBN 978-2-410-01141-8, présentation en ligne (https://www.belin-editeur.com/astronomies-d
u-passe), lire en ligne (https://books.google.fr/books?id=iplPDwAAQBAJ))
Jean Richer, Géographie sacrée du monde grec : croyances astrales des anciens Grecs,
Paris, Guy Trédaniel, 1983, 334 p. (ISBN 978-2-85707-123-5, notice BnF
no FRBNF37463775 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37463775t.public))
(en) Clive L.N. Ruggles (dir.), Handbook of archaeoastronomy and ethnoastronomy,
Springer, 2015 (ISBN 9781461461418,
DOI 10.1007/978-1-4614-6141-8 (https://dx.doi.org/10.1007%2F978-1-4614-6141-8))

F. Richard Stephenson & David H. Clark, Applications of Early Astronomical Record,


(en)
Adam Hilger Ltd, Bristol, 1978 (ISBN 0-85274-342-4)

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