Vous êtes sur la page 1sur 44

0

BANQUE DE QCMs
BANQUE DE QCMs

Droit médical
QCMs de la faculté de médecine d’Oran

2020 -2021
BANQUE DE QCMs 1

Droit médical

QCMs de la faculté de médecine d’Oran

Questions rassemblées et triées par cours à partir des sujets de


2013 à 2020

2020 -2021

-15/01/2021-
Préface

2
Voici le résultat du travail d’un groupe d’étudiants en 6 ème année
médecine 2020 -2021, lors de notre préparation de module « Droit
médical ». À fin d’unifier les efforts et le travail collectif entre nous. C’est
grâce au dévouement de chacun membre du groupe, et à la richesse de
leurs personnalité, que ce travail a été possible.
Je ne peux que être impressionné par ce que nous pouvons réaliser grâce
à « l’entraide », et la « coopération »

Travaillons ensemble et vivons ensemble…

Merci…

"‫"وتعاونوا على الب ّر والتّقوى وال تعاونوا على اإلثم والعدوان‬


"‫"زكاة ال ِعل ِم نش ُره‬
Index
Introduction 04
Instances de contrôle en médecine
Hiérarchie des lois 05

Exercice illégal de la médecine 08

Le secret médical 10

Règles de prescription 12 3

Les certificats médicaux 14

Le contrat médical 16

La réquisition 19

Responsabilité civile 22

Responsabilité pénale 26

Les prélèvements et transplantations 29


d’organes
De la déontologie médicale 32
Les règles de déontologie médicale
Toxicomanies : Aspects médico-légaux 36

Examen de TD 37
Introduction Instances de contrôle en médecine
Le préjudice patrimonial : cocher la ou les réponses fausses (section B 2019)
A. Représente toutes les dépenses causé par la faute du praticien
B. Est un préjudice pécuniaire
C. Est en rapport avec le caractère moral du dommage
D. Est en rapport avec le caractère matériel du dommage
E. Est en rapport avec le préjudice esthétique
Réponse : C E

4
Hiérarchie des lois
1. Les propositions suivantes concernent le domaine réglementaire : cocher la
réponse fausse (Section A 2020)
A. Les décrets présidentiels
B. Les arrêtés ministériels.
C. Les décrets exécutifs
D. La loi de santé
E. Les arrêtés interministériels
Réponse : D
2. Concernant la hiérarchisation des lois, toutes ces propositions sont fausses 5
sauf une laquelle (Section A 2020)
A. Le bloc de conventionalité est inférieur au bloc réglementaire
B. Le bloc constitutionnel est le plus supérieur
C. Les lois ordinaires sont inférieures au décret
D. Les lois organiques font partie du domaine réglementaire
E. Les ordonnances font partie du domaine réglementaire
Réponse : B
3. Dans la hiérarchie des lois : cochez la réponse fausse (section B 2019)
A. Le principe et qu'une norme doit respecter celle du niveau supérieur
B. La loi est la principale source de droit objectif
C. La loi sanitaire est une loi organique
D. Le bloc législatif concerne les lois ordinaires et les lois organiques
E. Le bloc de conventionalité concerne les traités et les conventions
Réponse : C
4. Dans la hiérarchie des lois cochez la réponse fausse (section B 2019)
A. La Constitution est la norme la plus supérieur
B. Le bloc législatif concerne les lois ordinaires et les décrets présidentiels
C. Le bloc de conventionalité concerne les traités et les conventions
D. Le principe est qu'une norme doit respecter celle du niveau supérieur
E. Les arrêtés font partie du domaine exécutif
Réponse : B
5. Dans la hiérarchie des lois : La réponse fausse (Section A 2019)
A. La loi est la principale source de droit objectif
B. Le principe est qu’une norme doit respecter celle du niveau supérieure
C. Le bloc de conventionalité concerne les traités et les conventions
D. Le bloc législatif concerne les lois ordinaires et lois organiques
E. La loi sanitaire une loi organique
Réponse : E
6. La hiérarchisation des lois : la réponse fausse (Section A 2019)
A. Est un Concept qui a été formulé par HANS KELSEN
B. Est l’un des principes d'un état de droit
C. Est constitué d'un bloc de conventionalité et constitutionnel
D. Est un classement de L’ensemble des normes juridiques.
E. Le domaine réglementaire est le domaine de l’exécutif
Réponse : C
7. Dans la hiérarchie des lois : la réponse fausse (Section B 2018 et Section A
2018)
A. La Constitution est la norme la plus supérieure
B. Le principe est qu'une norme doit respecter celle du niveau supérieur
C. Le bloc de conventionalité concerne les traités et les conventions
D. Le bloc législatif concerne les lois ordinaires et les décrets présidentiels
E. Les arrêts font partie du domaine exécutif
Réponse : D
8. Quel est le pouvoir chargé de proposer les lois en Algérie ? la réponse juste
(Section B 2017)
A. Pouvoir exécutif
6
B. Pouvoir législatif
C. Pouvoir médiatique
D. Pouvoir constitutionnel
E. Pouvoir judiciaire
Réponse : B
9. Parmi les sources du droit, la réponse fausse (Section A 2015)
A. Le droit inné
B. La jurisprudence
C. La coutume
D. L'instinct
E. Le droit écrit
Réponse :
10. Quelle est la réponse juste dans les affirmations qui suivent, la réponse juste
(Section A 2015)
A. La circulaire est un texte émanant du président de la République
B. Les arrêtés émanent du président de la République
C. Le décret émane du Walli
D. L’ordonnance fait la force d'une loi
E. Le décret émane du président de l'APN
Réponse :
Parmi les sources du droit quels sont les éléments constitutifs de la coutume ?
(Section B 2014)
A. Un caractère écrit
B. Un usage ancien
C. Le sentiment qu'elle soit obligatoire
D. Universel
E. Un caractère oral
Réponse :
11. Une proposition de loi a pour origine, la ou les réponses fausses (Section B
2014)
A. Le gouvernement
B. Le Parlement
C. Le pouvoir exécutif
D. La Cour suprême
E. Le Conseil constitutionnel
Réponse : B
12. La cour suprême est compétente, la ou les réponses justes (Section B 2014)
A. Pour casser les jugements pour en pourvoi de la cour
B. Pour rejuger les appels des tribunaux
C. Pour casser les arrêts et jugement du tribunal administratif
D. Pour statuer en pouvoir contre les arrêts des tribunaux et cours de toutes les
juridictions
E. Pour rejuger tous les pouvoirs en cassation de toutes les juridictions sauf
administratif
Réponse :

7
Exercice illégal de la médecine
1. Exercer légalement la médecine en Algérie : cocher la ou les réponses justes
(Section A 2020)
A. Toute personne remplissant les conditions prévues dans le code pénal
algérien
B. Toute personne remplissant des conditions prévues dans le Code civil algérien
C. Toute personne remplissant les conditions prévues dans la loi sanitaire
algérienne
D. Toute personne remplissant les conditions prévues dans le code de
déontologie médicale algérienne 8
E. Toutes les réponses sont justes
Réponse : C
2. En cas d'exercice illégal de la médecine en Algérie : cocher la ou les
réponses fausses (Section A 2020)
A. Le médecin risque des sanctions pénales
B. Les dispositions pénales sont prévues dans l'art 416 de la nouvelle loi sanitaire
algérienne
C. Les sanctions pénales sont prévues dans l'art 243 du code pénal algérien
D. La peine est une amende uniquement
E. La peine et une amende et/ou un emprisonnement
Réponse : D
3. Parmi les conditions d'exercice légal de la médecine en Algérie : cochez la
réponse fausse (section B 2019)
A. Être inscrit à l'ordre des médecins
B. L’aptitude physique et mentale
C. Avoir la nationalité algérienne ou étrangère
D. Ne pas avoir fait l'objet d'une peine infamante
E. Avoir un diplôme algérien des études médicales en médecine
Réponse : C
4. Pour exercer la médecine en Algérie, Il faut : la réponse fausse (Section B
2018)
A. Être titulaire du diplôme Algérien de Docteur en médecine.
B. Ne pas avoir fait l'objet d'une peine infamante.
C. Ne pas être atteint d'une infirmité ou d'un état pathologique incompatible
avec l'exercice de la profession
D. Être de nationalité Algérienne
E. Avoir plus de 30 ans d'âge.
Réponse : E
5. Un médecin libéral se fait suppléer par un autre confrère, ce dernier doit : la
réponse fausse (Section B 2018)
A. Être inscrit au conseil de l'ordre des médecins.
B. Être de la même spécialité.
C. Être inscrit à une association professionnelle.
D. Aviser la direction de la santé.
E. Exercer sous sa véritable identité.
Réponse : C
6. Les conditions d'exercice légal de la médecine en Algérie sont : la réponse
fausse (Section A 2018)
A. Être titulaire du diplôme algérien de docteur en médecine
B. Ne pas être atteint d'une infirmité incompatible avec l'exercice de la
profession
C. Être de nationalité algérienne seulement
D. Ne pas avoir été l'objet d'une peine infamante
E. Médecin étranger autorisé par décision du ministère chargé de la santé
Réponse :
7. L'exercice illégal de la médecine est : la réponse juste (Section B 2017)
A. Puni par le code pénal
9
B. Puni par le code de la santé
C. Puni par le code de déontologie
D. Défini dans l'article 213 de la loi sanitaire algérienne
E. Défini dans l'article 200 de la loi sanitaire algérienne.
Réponse : A
8. Pour exercer la médecine en Algérie, il faut : la réponse fausse. (Section A
2015)
A. Être titulaire du diplôme algérien de docteur en médecine
B. Ne pas avoir fait l'objet d'une peine infamante
C. Ne pas être atteint d'une infirmité ou d'un état pathologique incompatible
avec l'exercice de la profession
D. Être de nationalité algérienne
E. Avoir plus de 30 ans d'âge
Réponse : E
Le secret médical
1. Le secret médical : cocher la ou les réponses justes (Section A 2020)
A. Concerne uniquement le médecin
B. Concerne tous les professionnels de santé
C. Dans les dérogations absolues, le médecin est dans l'obligation de dévoiler le
secret médical
D. Dans les dérogations absolues, le médecin n'est pas obligé de dévoiler le
secret médical
E. La préservation du secret médical est levée après le décès du malade
Réponse : B C 10
2. Dans les dérogations relatives du secret médical : cocher la ou les réponses
fausses (Section A 2020)
A. Le médecin doit dévoiler le secret médical
B. Le médecin peut dévoiler comme il peut préserver le secret médical
C. Concernent les violences sur les personnes vulnérables
D. Concernent les cas d'avortement criminel
E. Concernent les cas de toxicomanies
Réponse : A C
3. Dans les dérogations relatives du secret médical : cocher les réponses justes
(section B 2019)
A. Le médecin doit dévoiler le secret médical
B. Le médecin peut dévoiler comme il peut préserver le secret médical
C. Il concerne les cas d'avortement criminel
D. Le médecin risque des sanctions si le secret médical est dévoilé
E. Il concerne les cas de toxicomanie
Réponse : B C E
4. En cas de violation du secret médical Cocher les réponses justes (section B
2019)
5. Le professionnel de santé ne risque pas des sanctions judiciaires
6. Le professionnel de santé risque de sanction pénale civile disciplinaire et
administrative
7. La peine de prison peut être couverte par l'assurance du praticien
8. Le dédommagement du malade est assuré par l'assurance du praticien
9. La sanction pénale est sous forme de pain de prison et ou une amende
Réponse : B D E
10. Certificats médicaux par son article : la ou les réponses fausses (Section A
2019)
A. Art 401
B. Art 301
C. Art 300
D. Art 201
E. Art 103
Réponse : A C D E
11. La violation de secret médical : la ou les réponses fausses (Section B 2018)
A. Est un crime puni par la loi
B. Est reconnu si les concerné fait partie des professions visées par la loi
C. Est puni s'il n'y a pas de dérogation légale à la divulgation
D. N'est pas reconnu comme tel s'il s'agit d'un avortement criminel
E. Est un délit
Réponse : A
12. Les dérogations absolues au secret médical sont : la ou les réponses fausses
(Section B 2018)
A. Crime contre la sureté de l'état
B. Maladies à déclaration obligatoire
C. Déclaration de naissances et de décès
D. Toxicomanie
E. Sévices à un mineur
Réponse : D
13. En cas de violation du secret médical la responsabilité du médecin est
engagée : la réponse juste (Section A 2018)
A. Sur le plan disciplinaire seulement
11
B. Sur le plan pénal seulement
C. Sur le plan pénal, civil et disciplinaire
D. Même s'il y a dérogation légal
E. Sur le plan administratif seulement
Réponse : C
Et administratif.
14. La violation du secret médical : la réponse fausse (Section A 2018)
A. Est une infraction prévue dans l'article 301 du Code pénal algérien
B. Ne concerne pas le médecin expert et le médecin de contrôle
C. Concerne tout ce que le médecin a vu, compris ou lui a été confiée dans
l'exercice de ses fonctions.
D. Constitue une infraction même après le décès du malade
E. Ne constitue pas une infraction s'il y a dérogation légale
Réponse : B
15. Le secret médical : la réponse juste (Section B 2017)
A. Il concerne tout ce que te médecin a vu, compris ou lui a ôté confié dans
l'exercice de ses fonctions
B. Il ne concerne que le personnel médical et para médical soignant
C. Le médecin expert peut divulguer les secrets qui lui en été confiés
D. N’est pas une obligation après le décès du malade
E. La réquisition ne constitue pas une dérogation légale au secret.
Réponse : A
16. Les éléments constitutifs du délit de violation du secret médical, la réponse
juste (Section B 2017)
A. Le fait révélé doit avoir le caractère de secret
B. La révélation volontaire avec dérogations légales
C. La révélation constitue l'élément légal de l'infraction
D. La personne occasionnant le délit doit être tenue au secret médical
E. Réponse B et C juste
Réponse : A !
17. Parmi les propositions suivantes concernant le secret médical, laquelle est
exacte ? (Section A 2015)
A. Sa violation en cas d'avortement provoqué est punie par le code pénal
B. Le secret médical n'est pas obligatoire de secrétaire médicale
C. Le secret est limité au diagnostic de l'affection dans souffle passion
D. Le patient ne peut délier son médecin du secret médical
E. Le médecin est délié du secret médical après le décès de son patient
Réponse : E
Règles de prescription
1. Parmi ces mentions contenues dans une ordonnance, lesquelles sont
facultatives ?
Cocher les réponses justes (Section A 2020)
A. La date
B. Le nom et la signature du médecin
C. Titres universitaires ou hospitaliers
D. Le sexe du malade
E. Le nom du médicament
Réponse : C D 12
2. La prescription médicale : cocher la ou les réponses fausses (Section A 2020)
A. Est un acte médical
B. Peut être effectué par les étudiants en médecine
C. Peut être effectuée en s’aidant de l'outil informatique
D. Est un acte anodin
E. Peut ne pas être signé par le médecin
Réponse : B D E
3. Lors de la rédaction d'une ordonnance, le médecin doit : cocher les réponses
justes (section B 2019)
A. Inscrivez son nom et adresse ainsi que sa signature dans certains cas
exceptionnels
B. Inscrire le nom du médicament sa présentation et son mode d'administration
C. Inscrire l'âge et le poids des enfants
D. Utiliser un carnet à souche pour les médicaments du tableau A
E. Inscrire impérativement, ses titres universitaires ou hospitaliers
Réponse : B C
4. La prescription de médicaments appartenant au tableau C : cocher les
réponses fausses (section B 2019)
A. N’est jamais renouvelable
B. Nécessite le nom du malade et du médecin
C. L’étiquetage du tableau et vert
D. La durée du traitement est de sept jours
E. Regroupe des substances à effet toxicomanogène
Réponse : A D E
5. Parmi les caractères d’une ordonnance correctement rédigée : la ou les
réponses fausses (Section A 2019)
A. Elle doit être rédigée sur papier propre et non froissé
B. Elle doit être claire et lisible
C. Elle doit être impérativement manuscrite
D. Elle doit comprendre les mentions obligatoires
E. Elle ne peut pas être réalisée en s’aidant de l’outil informatique
Réponse : C E
6. Prescription de médicaments appartenant au tableau C : la ou les réponses
justes (Section A 2019)
A. Est renouvelable à volonté
B. Nécessite le nom du malade et du médecin
C. La durée du traitement dépend de la pathologie
D. L'étiquetage du tableau est rouge
E. Le médecin est tenu a utilisé un carnet à souches
Réponse : A B C
7. La prescription de médicaments appartenant au tableau C : la ou les
réponses fausses (Section B 2018)
A. Est non renouvelables
B. Est d'une durée limitée à 1 semaine
C. Nécessite le nom du malade et du médecin
D. Le médecin n'est pas tenu d'inscrire sa prescription sur un carnet à souches
E. L’étiquetage du tableau est rouge
Réponse : A B E
8. Parmi les caractères d'une ordonnance correctement rédigée : la ou les
réponses fausses (Section B 2018)
A. Elle doit être rédigée sur un papier propre et non froissé
13
B. Elle doit être claire et lisible
C. Elle doit être manuscrite
D. Elle ne doit pas comprendre obligatoirement le nom du médecin
E. Elle doit être réalisée impérativement en s'aidant de l'outil informatique
Réponse : C D E
9. Parmi les caractères d'une ordonnance correctement rédigé, la réponse
fausse (Section A 2015)
A. Elle doit être rédigée sur papier propre et non froissé
B. Elle doit être claire et lisible
C. Elle peut être manuscrite
D. Elle doit comprendre l’identité du médecin
E. Elle doit être réalisée impérativement en s’aidant à l'outil informatique
Réponse : E
Les certificats médicaux
1. Un médecin donne à un travailleur un certificat à remettre à son employeur.
Certificat ne doit pas comporter : la ou les réponses Justes (Section A 2019)
A. Le diagnostic de l’affection responsable
B. La durée d'arrêt du travail
C. Le nom du malade
D. La date de l'examen du patient
E. Le nom du médecin
Réponse : A
2. Un certificat médical doit comprendre : la ou les réponses justes (Section A 14
2018)
A. L’adresse professionnelle du Praticien rédacteur
B. La mention “ remis en mains propre d'une personne en âge de minorité”
C. La signature manuscrite du patient
D. L’identification du médecin rédacteur
E. La qualité professionnelle du demandeur
Réponse : A D E
3. Un certificat médical pour coups et blessures doit être obligatoirement datée
du jour : la ou les réponses fausses (Section A 2018)
A. De la survenue du fait qu'il décrit
B. Du commencement de l'incapacité totale de travail (ITT)
C. De l'examen du blessé
D. De la date de réquisition des autorités
E. De la fin de la capacité totale de travail (ITT)
Réponse :
4. Un certificat médical : les réponses justes (Section B 2017)
A. Ne peut être délivré qu'après examen du malade.
B. Peut-être antidaté
C. Sa rédaction peut être obligatoire ou facultative
D. Ne peut être remis à un incapable majeur.
E. Doit comporter l'identité du médecin rédacteur et du malade.
Réponse :
5. En cas de mort naturelle, le certificat médical de constatation de décès
permet : les réponses fausses (Section B 2017)
A. De pratiquer une autopsie.
B. D'inhumer le corps.
C. De poser un obstacle médicolégal à l'inhumation.
D. De confirmer que la mort est réelle et constante.
E. De mentionner que la mort est violente
Réponse :

6. La rédaction d'un certificat médical est faite, la réponse juste (Section A 2015)
A. Sur papier libre non signé
B. Uniquement sur formulaire préétabli et dûment signé
C. Uniquement sur papier libre dûment signé
D. Sur papier libre ou formulaire préétablit et dûment signé
E. Obligatoirement à la demande d'une autorité judiciaire
Réponse :
7. Un certificat de complaisance engage la responsabilité, la réponse juste
(Section A 2015)
A. Uniquement pénal
B. Uniquement civil
C. Uniquement pénal et disciplinaire
D. Uniquement pénal et civil
E. Pénal, civils et disciplinaire
Réponse :

15
Le contrat médical
1. Le contrat médical : cocher les réponses fausses (section B 2019)
A. Personnel
B. De travail
C. De subordination
D. Caractère civil
E. Résiliable
Réponse : B C
2. Les conditions de formation du contrat médical : cocher les réponses justes
(section B 2019) 16
A. Capacité des contractants avec consentement
B. Obligation des contractants sans cause légitime
C. Incapable majeur avec son consentement
D. Obligation des moyens et informations du patient
E. Capacité des contractants avec objet licite
Réponse : A C D
3. Le contrat médical : cocher la ou les réponses fausses (Section A 2020)
A. Personnel
B. Résiliable
C. Synallagmatique
D. Caractère civil
E. De travail
Réponse : E
4. Le contrat médical : la ou les réponses justes (Section A 2019)
A. Suppose la subordination du médecin à son patient
B. Peut être rompu à tout moment et dans toutes les circonstances
C. Est un accord de volonté entre le médecin et son patient
D. Est un contrat de travail
E. N’engage aucune obligation entre le praticien et le malade
Réponse : C
5. Pour former un contrat médical : la ou les réponses fausses (Section A 2019)
A. Le médecin doit remplir les conditions légales d’exercice de la médecine
B. Le consentement est donné par le tuteur légal d’un mineur
C. La cause doit être licite
D. Le consentement des deux parties est facultatif
E. L’objet doit être licite
Réponse : D
6. Le contrat médical est : la ou les réponses justes (Section B 2018)
A. Un contrat de travail seulement dans l'exercice public de la médecine
B. Un accord de volonté qui engendre des obligations seulement pour le
médecin
C. Un contrat réciproque
D. Un contrat qui peut être rompu à tout moment par le médecin
E. Un accord qui cesse normalement après la fin de l'affection
Réponse : C E
7. Quelles sont les conditions de formation du contrat médical : la ou les
réponses justes (Section B 2018)
A. La capacité juridique du médecin
B. Un consentement libre et éclairé
C. Un objet licite
D. Une cause licite
E. Toutes les réponses sont fausses
Réponse : A B C D
8. Le contrat médical : la réponse juste (Section A 2018)
A. Suppose une subordination du médecin au patient
B. Est un accorde d’obligation non réciproques
17
C. Est un accord de volonté qui engendre une obligation
D. Est similaire au contrat de travail
E. Fait l'objet de dispositions particulières dans le Code civil
Réponse :
9. La pollicitation est en rapport avec le caractère : la réponse juste (Section A
2018)
A. Civil du contrat
B. Synallagmatique du contrat
C. Personnel du contrat
D. Innomé du contrat
E. Résiliable du contrat
Réponse :
10. Le consentement aux soins : les réponses fausses (Section B 2017)
A. Est obligatoire avant chaque acte médical
B. Doit être donné seulement par le malade majeur
C. Peut être donné par un enfant
D. Doit être donné par le malade môme en cas d'urgence
E. Est facultatif en cas d'urgence.
Réponse :
11. Le contrat médical est : la réponse juste (Section B 2017)
A. Un accord do volonté entre te médecin et les parents du patient majeur
B. Est une convention qui engendre des obligations entre te médecin et ses
patients
C. Suppose la subordination du médecin à ses patients
D. A fait l'objet d'une disposition spéciale dans le code civil Algérien
E. Est une convention par laquelle seul le médecin s'oblige envers ses patients
Réponse :
12. Le consentement aux soins, réponse fausse (Section A 2015)
A. Est un élément fondamental du contrat médico juridique
B. Est un élément fondateur du contrat médical
C. Justifie la légitimité de l'acte médical
D. Rend l’acte médical pénalement justifié
E. Est une obligation déontologique
Réponse :
8. Le contrat médical est, la réponse juste (Section A 2015)
A. Un accord de volonté entre le médecin et les parents du patient majeur
B. Est une convention qui engendre des obligations entre le médecin et ses
patients
C. Suppose la subordination du médecin à ses patients
D. A fait l'objet d'une disposition spéciale dans le Code civil algérien
E. Est une convention par laquelle seul le médecin s'oblige envers ses patients
Réponse :
13. Un patient veut consulter un médecin hospitalier, la réponse juste (Section A
2015)
A. Il peut choisir le médecin selon la confiance qu'il lui inspire
18
B. Il peut choisir le médecin selon ses capacités
C. Le contrat médical se forme automatiquement entre les deux parties
D. Il peut rompre le contrat médical à tout moment
E. Il doit obéir au principe des soins selon le cadre organisationnel de l'hôpital
Réponse :
14. L’information du malade doit être faite en toute circonstance, la réponse juste
(Section A 2015)
A. Au cours d'un entretien individuel ou non
B. Dans le cadre même de l'urgence
C. Même si le patient refuse d'être informé
D. Hormis le cas où il y a une possibilité de l'informer
E. Hormis le cas d'un mineur ou d'un incapable majeur
Réponse :
La réquisition
1. À propos de la réquisition judiciaire : Cocher la ou les réponses fausses
(Section A 2020)
A. Elle est de la compétence d'un inspecteur de police, officier de police
judiciaire.
B. Elle est de la compétence d'un gendarme, officier de police judiciaire
C. Elle doit être seulement écrite.
D. Elle peut être refusée en raison d'une surcharge de travail.
E. Elle n'est pas urgence
Réponse : C D E 19
2. La réquisition à un médecin : Cocher les réponses justes (Section A 2020)
A. Il s'agit d'un acte médico-légal urgent.
B. Tout docteur en médecine autorisé à exercer sur le sur le territoire national
peut être requis
C. Elle a une forme spéciale
D. Le médecin doit répondre à la mission et rien qu'à la mission
E. Le refus de déférer à une réquisition de l'autorité publique constitue un délit
Réponse : A B D E
3. Les circonstances de la réquisition à un médecin sont les suivantes : cocher la
ou les réponses fausses (section B 2019)
A. L’examen des victimes de violences sexuelles
B. L’examen des personnes suspectes d'imprégnation alcoolique
C. L’examen des personnes âgées lors d'un contrôle médical périodique
D. L’examen de cadavre dans la mort et violente, suspecte ou inconnu
E. La levée de corps
Réponse : C
4. La réquisition judiciaire : cocher les réponses justes (section B 2019)
A. Elle n'est pas urgente
B. Elle est de la compétence d'un gendarme, officier de la police judiciaire
C. Elle peut être refusée en raison d'une surcharge de travail
D. Elle est un document écrit
E. Aller de la compétence d'un inspecteur de police, officier de police judiciaire
Réponse : B D E
5. à propos de la réquisition judiciaire : la ou les réponses justes (Section A 2019)
A. Elle est de la compétence d’un inspecteur de police, officier de police
judiciaire
B. Elle est de la compétence d’un gendarme, Officier de police judiciaire
C. Elle est un document écrit
D. Elle peut être refusée en raison d’une surcharge de travail
E. Elle n’est pas urgente
Réponse : A B C
6. La réquisition à un médecin : la ou les réponses fausses (Section A 2019)
A. Il s’agit d’un acte médico-légal urgent
B. Tout docteur en médecine autorisé à exercer sur le territoire national peut
être requis
C. Elle a une forme spéciale
D. Le médecin doit répondre à la mission et rien qu’à la mission
E. Le refus a déféré à une réquisition de l’autorité public constitue une
contravention
Réponse : C E
7. Le médecin peut refuser de déférer aux réquisitions de l'autorité judiciaire
dans tous les cas suivants sauf un lequel : (Section B 2018)
A. Elle est occupée par une autre urgence
B. La mission dépasse ses compétences
C. Il existe un lien de parenté en lui et la victime
D. Il n'est pas requis de façon nominative
E. Il présente une inaptitude physique
Réponse : D
8. L’Autorité qui n’est pas doté du pouvoir de réquisitions est : la ou les réponses
fausses (Section B 2018)
A. Le commissaire de police ou les officiers de police judiciaire
20
B. L'huissier de justice
C. Le maire ou le wali
D. Le procureur de la république
E. Le greffier près le Tribunal ou la cour.
Réponse : B E
9. La réquisition, la ou les réponses justes (Section B 2014)
A. Autorise le médecin de violer le secret médical
B. Contient l'article de procédure civile
C. Est toujours écrite
D. Est nominative ou non
E. Le refus d’y déférer constitue un délit ou une contravention selon les cas
Réponse :
10. La réquisition : la réponse fausse (Section A 2018)
A. Est obligatoire pour tout médecin autorisé à exercer
B. Concerne uniquement les médecins légistes et les experts
C. Contient une mission à caractère médico-légale
D. Concerne des actes médicaux urgents
E. Peut être orale ou écrite
Réponse :
11. Toutes ces autorités de réquisitionner le médecin sauf laquelle : (Section A
2018)
A. L'officier de police judiciaire
B. Le procureur de la République
C. Le juge d'instruction
D. L'huissier de justice
E. Le wali ou le maire
Réponse :
12. Le Dr X refuse de déférer à une réquisition : la réponse juste (Section B 2017)
A. Il ne risque rien, il est libre d'exécuter ou non une réquisition
B. Il doit déférer à cette réquisition sous peine de poursuites pénales
C. Il risque uniquement une sanction disciplinaire par l'Ordre des médecins
D. II se fait remplacé par un contigus qu'il juge plus compétent pour que la
réquisition soit exécutée
E. Il n'a pas le droit de refuser quand il est le médecin traitant.
Réponse :
13. Une réquisition judiciaire : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Est un document écrit
B. Relève de la compétence d'un officier de police judiciaire
C. Peut être récusé si la mission dépasse les compétences du médecin
D. N'est pas motivée par une urgence
E. Concerne les médecins diplômés, autorisés exercer
Réponse :
14. La réquisition concerne : La réponse fausse (Section A 2015)
A. Tous médecins autorisés à exercer en Algérie
B. Obligatoirement un médecin légiste
C. Tout dentiste autorisé à exercer en Algérie
21
D. Un médecin expert
E. Un médecin urgentiste ou un médecin légiste
Réponse :
15. Les réquisitions judiciaire vise à : la réponse fausse (Section A 2015)
A. Éviter la capacité de travail
B. Constater un décès
C. Examiner un gardé à vue
D. Examiner une victime d'agression ou sexuelle
E. Procédé à un placement d'office
Réponse :
Responsabilité civile
1. La responsabilité du praticien hospitalier dans le secteur public, du fait de son
activité médicale, est engagée : cocher la ou les réponses fausses (Section A
2020)
A. S'il commet un délit ayant occasionné un dommage
B. En cas de faute de service
C. En cas de faute personnelle
D. En cas d'infection nosocomiale
E. Sur le plan pénal et civil en cas de faute détachable du service
Réponse : B D 22
2. La responsabilité civile d'un praticien est engagée dans la ou les propositions
suivantes : cocher la ou les réponses justes (Section A 2020)
A. En cas d'un délit ou d'un quasi délit
B. En cas de faute de service
C. En cas d'obligation de moyens non fournie par le service public
D. En cas de dommage imputable ou non à une faute déclarée par le malade
E. En cas de faute intentionnelle ou involontaire.
Réponse : A E
3. La responsabilité médicale administrative : cochez la réponse fausse (section
B 2019)
A. Est engagé en cas de litige entre l'hôpital et la malade
B. Est engagé pour une faute de service
C. Est réparable par l'hôpital pour faute ou pour faute de l'agent hospitalier
exerçant à titre public ou privé
D. Résulte de l'inexécution d'obligation médicale ou chirurgicale
E. Concerne les établissements de santé publique.
Réponse : C
4. Parmi les propositions suivantes concernant la responsabilité médicale civile
les quels sont fausses (section B 2019)
A. Elle peut être contractuelle ou délictuelle
B. Elle résulte d'un quasi-délit quand la faute est une négligence
C. Elle résulte d'un délit quand la faute est même non intentionnelle
D. Elle d'écoute d'une responsabilité pénale quand elle est délictuel
E. Elle est contractuelle si la violation d'obligation est volontaire
Réponse : C E
5. Le manque d'une ou certaines obligations, engage la responsabilité
contractuelle du médecin, laquelle ou lesquelles : (Section A 2019)
A. Insuffisance dans l'examen clinique
B. Absence du recueil du consentement même dans le cadre d’une urgence.
C. Violation du secret médical
D. Absence de recours à un médecin spécialiste
E. Ne pas se conformer aux données actuelles de la science
Réponse : D E
6. La responsabilité administrative est engagée dans l'une ou les conditions
suivantes : (Section A 2019)
A. Une faute en rapport avec un manque de moyens
B. Une faute prouvée par le malade
C. Une présomption de faute
D. Une faute de l'agent hospitalier exerçant par contrat dans une clinique privé
E. Une faute on rapport avec des complications survenant après une
vaccination
Réponse : A C E
7. La responsabilité civile contractuelle : la réponse fausse (Section B 2018)
A. Résulte d'obligations en rapport avec le contrat médical
23
B. Se trouve engagée même en cas de violation involontaire d'obligations du
contrat médical
C. Résulte d'une responsabilité pénale
D. Résulte d'un non engagement du praticien de prodiguer les soins conformes
aux données acquises de la science
E. Résulte d'obligations de diagnostic ou thérapeutique non remplies par le
praticien
Réponse : C
8. La responsabilité civile délictuelle : la réponse fausse (Section B 2018)
A. Peut résulter d'un délit ou d'un quasi délit
B. Elle découle d'une faute pénale volontaire ou involontaire
C. Peut-être en rapport avec une imprudence
D. Peut-être en rapport avec une négligence
E. Résulte d'un délit quand la faute est intentionnelle
Réponse : B
9. La responsabilité administrative : la réponse fausse (Section B 2018)
A. Se trouve engagée dans le cas de faute par inexécution d'obligations relative
à l'acte médical ou chirurgical
B. Résulte d'un litige entre l'hôpital public et le patient
C. Elle est indemnisable par l'hôpital en cas de faute de service
D. Elle indemnisable par l'hôpital public même si la faute est détachable du
service
E. Elle est indemnisable par le praticien en cas de faute personnelle
Réponse : D
10. Quels éléments font retenir la responsabilité civile du médecin (Section B
2014)
A. Une faute civile
B. Un dommage corporel consécutif à un acte médical inadapté
C. Un dommage moral, par la faute du médecin
D. Une relation de cause à effet entre le geste médical et les séquelles
corporelles
E. Une infraction au code pénal sans conséquences dommageables pour le
patient
Réponse :
11. Dans les propositions suivantes, une seule est fausse laquelle (Section A 2018)
A. La responsabilité contractuelle se trouve engagé même si la violation est
involontaire
B. La responsabilité délictuelle résulte d'une faute intentionnelle
C. La responsabilité quasi-délictuelle résulte d'une faute volontaire
D. La responsabilité contractuelle se trouve engagée par le manquement
d'obligations
E. La responsabilité civile délictuelle découle de la responsabilité pénale
Réponse :
12. La réparation d'une faute civile est à la charge : la réponse fausse (Section A
2018)
24
A. Médecin dans le secteur privé
B. De l'hôpital dans le secteur public
C. Du médecin quand la faute est détachable du service
D. De l'hôpital public que la faute soit de service ou on est détachable
E. N'est pas couverte par les assurances dans le secteur public
Réponse : D
13. La responsabilité médicale administrative : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Est engagée en cas de litige entre l'hôpital et ta malade
B. Est engagée pour une faute de service
C. Est réparable par l'hôpital pour faute de l'agent hospitalier exerçant à titre
public ou privé
D. Résulte de l'inexécution d'obligations médicales ou chirurgicales
E. Concerne les établissements de santé publique
Réponse : C
14. Les infections nosocomiales : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Engagent la responsabilité de l'hôpital
B. Constituent une faute présumée
C. Constituent une responsabilité sans faute
D. N'excluent pas la responsabilité des professionnels de santé
E. Concernent tous les établissements de santé.
Réponse :
15. La responsabilité quasi délictuelle est engagée : la réponse juste (Section B
2017)
A. En cas de faute intentionnelle
B. En cas de violation même involontaire d'obligations relatives à l'acte médical
C. Fait suite à toute infraction au code pénal
D. Résulte d'une responsabilité administrative
E. Résulte d'une faute involontaire.
Réponse : E
16. Si la responsabilité civile d'un médecin privé et retenue, la réponse juste
(Section A 2015)
A. Il aura à répondre à ses actes devant un tribunal répressif
B. Il aura à répondre à ses actes devant un tribunal administratif
C. Il aura à payer des dommages et intérêts à son patient devant le tribunal civil
D. Il sera sanctionné uniquement sur le plan disciplinaire
E. Il aura à indemniser son passion et à subir des sanctions pénales
Réponse :
17. Le dossier médical hospitalier : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Peut-être communiqué au médecin traitant désigné par le malade ou la
famille
B. Peut ne pas comporter l'identité et la signature du médecin traitant
C. Peut-être communiqué au malade sur sa demande écrite
D. Peut être saisi par un juge d'instruction
E. Peut engager la responsabilité médicale du médecin traitant.
Réponse : B

25
Responsabilité pénale
1. Parmi ces propositions une ne constitue pas une infraction pénale : (Section A
2020)
A. La stérilisation volontaire sans nécessité médicale
B. L'euthanasie
C. L'usage légal des stupéfiants
D. Essai thérapeutique sans autorisation
E. Le non-respect du secret médical
Réponse : C
2. Refus d'obtempérer à une réquisition ne constitue pas une infraction pénale 26
lorsque : cocher la réponse fausse (Section A 2020)
A. La victime n'est pas en danger
B. Lorsqu'il y a une incapacité morale
C. Si le médecin est seul aux urgences
D. En cas d’incompétence avouée
E. Lorsque le médecin est malade
Réponse : A
3. Parmi ces propositions une est vraie : (Section A 2020)
A. La responsabilité de l'interne n'est pas engagée en cas d'infraction pénale lors
de son stage à l'hôpital.
B. Le non-respect de secret professionnel ne constitue pas une infraction pénale
C. L'assistance à une personne en danger nécessite l’autorisation d'exercice de
la médecine.
D. L'avortement thérapeutique doit être réalisée avant 12 SA.
E. Le médecin et délier de secret médical en cas de réquisition judiciaire.
Réponse : E
4. La responsabilité pénale du médecin est engagée : cochez la réponse fausse
(section B 2019)
A. Amputation d'un membre sans consentement
B. Violation du secret médical
C. Avortement clandestin
D. Non déclaration d'une maltraitance à un détenu
E. Infections nosocomiales
Réponse : E
5. La responsabilité pénale du médecin est engagée dans les situations
suivantes : la ou les réponses fausses (Section A 2019)
A. Non-respect de l’obligation de moyen
B. Avortement criminel
C. Violation du secret médical
D. Non-assistance à personne en danger –
E. Refus d'obtempérer à une réquisition.
Réponse : A
6. La responsabilité pénale du médecin : la réponse fausse (Section B 2018)
A. Est engagé lorsqu'il commet une infraction dont la répression est prévue par la
loi
B. Elle a pour but la sanction de son auteur
C. Elle engendre des sanctions à type d'emprisonnement et indemnisation du
malade
D. Elle est personnelle et ne peut être couverte par une assurance
E. Est engagée lorsqu'il délivre de faux certificats
Réponse : C
7. Le médecin est tenu de se porter dénonciateur, et ainsi de déroger au secret
professionnel prévu par le code pénal en cas de, la ou les réponses justes
27
(Section B 2014)
A. Déclaration de naissance
B. Toxicomanie
C. Accident de travail
D. Avortement illicite
E. Service envers un mineur
Réponse :
8. Un médecin généraliste effectue un avortement criminel dans un hôpital
public, il sera traduit devant, la ou les réponses justes (Section B 2014)
A. Un tribunal criminel
B. Un tribunal délictuel
C. Un tribunal administratif
D. Une cour d'appel
E. Un tribunal supérieur
Réponse :
9. Un médecin incapable de prêter assistance à personne en péril par son
action personnelle a été responsable de son décès, la ou les réponses justes
(Section B 2014)
A. Est poursuivi pour homicide volontaire
B. Est poursuivi pour le délit d'abstention fautive
C. Est poursuivi pour homicide involontaire
D. Et poursuivi pour le crime d'obtention fautive
E. Toutes les réponses sont fausses
Réponse :
10. Lorsque la responsabilité pénale du médecin est engagée : la réponse fausse
(Section A 2018)
A. La victime peut demander réparation du dommage subi on se constituant
partie civile
B. Le médecin peut encourir l'emprisonnement ou une amende
C. L'infraction doit être prévue par un texte de loi qui provient du domaine
législatif ou exécutif
D. Sa suppose une abolition de discernement de la part du médecin
E. L'infraction est commise soit sous forme d'action ou sous forme de mission
Réponse :
11. La non-assistance à personne en danger : la réponse juste (Section A 2018)
A. Est une infraction rentrant dans le cadre des délits
B. Engage seulement la responsabilité du médecin sur le plan pénal et
disciplinaire
C. Est un délit prévu par la loi pénale
D. Les réponses (A) et (C) sont justes
E. C’est un délit même s'il y a risque pour le médecin ou autrui
Réponse :
12. La responsabilité pénale du médecin : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Est engagée Lorsqu’il commet une infraction dont la répression est prévue par
la loi
28
B. Elle engendre des sanctions à type d'emprisonnement et indemnisation du
malade
C. Elle a pour but la sanction de son auteur
D. Elle est personnelle et ne peut être couverte par une assurance
E. Est engagée en cas de délivrance de faux certificats
Réponse :
13. Les éléments constitutifs du délit d'abstention fautive sont : la réponse juste
(Section B 2017)
A. Un élément légal représenté par le défaut d'assistance
B. Il faut que la personne ait été en péril qu'elle soit vivante ou morte
C. Absence du risque ni pour son auteur ni pour un tiers
D. Un élément matériel représenté par la loi
E. Le médecin doit être témoin direct du péril
Réponse :
14. Parmi les délits qui engagent la responsabilité pénale du médecin, la réponse
fausse (Section A 2015)
A. Non-assistance à personne en danger
B. La violation même involontaire du secret médical
C. Les faux certificats médicaux
D. Les coups et blessures involontaires
E. L’euthanasie
Réponse :
Les prélèvements et transplantations d’organes
1. Les prélèvements et transplantation d'organes : cocher la ou les réponses
fausses (section B 2019)
A. Sont interdit par la loi sanitaire algérienne dans tous les cas
B. Sont interdit par la religion musulmane
C. Sont autorisées à des fins thérapeutiques
D. Peuvent parfois faire l'objet d'une transaction financière
E. Ne sont autorisés qu'à des fins diagnostics
Réponse : A B D E
2. Le prélèvement d'organes sur personne décédée, cocher la ou les réponses 29
fausses (section B 2019)
A. Peut se faire avant la constatation du décès
B. Peut être effectuée en cas de coma prolongé
C. Ne peut se faire sans le consentement de la famille du donneur
D. Ne peut se faire qu’à des fins thérapeutiques
E. Doit être réalisé le plus rapidement possible
Réponse : C E
3. Le consentement d'un donneur d'organe vivant : la ou les réponses justes
(Section A 2019)
A. Peut être donné oralement.
B. Est facultatif chez un mineur ou un incapable majeur
C. Est obligatoire avant le prélèvement de l’organe.
D. Peut être donné par la famille d'un donneur majeur
E. Doit être donné par écrit
Réponse : C E
4. Les prélèvements et transplantations d'organes : la ou les réponses fausses
(Section A 2019)
A. Sont Interdits par la loi sanitaire Algérienne dans tous les cas.
B. Sont Interdits par la religion musulmane.
C. Sont Autorisés à des fins thérapeutiques
D. Peuvent parfois faire l'objet d'une transaction financière.
E. Ne sont autorisé qu'à des fins de diagnostic.
Réponse : A B D E
5. Un prélèvement d'organes à visée thérapeutique est envisagé sur le corps
d'un homme adulte décédé, quelles conditions parmi les suivantes doivent
être réunies pour l'effectuer ? la ou les réponses justes (Section A 2018)
A. Que l'hôpital où le prélèvement va être effectué soit autorisé par les instances
concernées
B. Un consentement de la famille, même s'il y a un refus confirmé du défunt de
son vivant.
C. Que le défunt et donner son consentement écrit préalablement au décès
D. Le consentement de la famille en l'absence de toute opposition écrite du
défunt de son vivant
E. Le dessin ne doit pas porter une infection grave transmissible
Réponse :
6. Quelles sont parmi ces éléments, ceux du diagnostic d'une mort
encéphalique (mort cérébrale) chez une personne sur laquelle un
prélèvement d'organes est envisagé ? la ou les réponses justes (Section A
2018)
A. Présence d'une tache verte abdominale de putréfaction
B. Absence de respiration spontanée confirmée par une épreuve d'hypercapnie
C. Un myosis bilatéral
D. Abolition de tous les réflexes du tronc cérébral
E. 2 EEG plats à 04 heures d'intervalle
Réponse :
7. Le diagnostic de la mort encéphalique en vue d'un prélèvement d'organes sur
30
une personne décédée est posé par : les réponses fausses (Section B 2017)
A. Absence totale de la conscience et d'activité motrice spontanée
B. Deux ECG plats aréactifs à 04 heures d'intervalle
C. Absence de respiration spontanée vérifiée par une épreuve d'hypercapnie
D. Présence de quelques réflexes du tronc cérébral
E. Deux EEG plats aréactifs à 04 heures d'intervalle
Réponse :
8. Pour qu'un prélèvement d'organes à but thérapeutique puisse avoir lieu, des
conditions particulières doivent être réunies, la réponse fausse (Section A
2015)
A. L’équipe médicale constatons le décès doit être différente de celle qui
effectue le prélèvement
B. L’autorisation du tuteur légal est nécessaire si le défunt est mineur ou
incapable majeur
C. On doit obligatoirement vérifier si aucune opposition ne se fait avant le décès
du donneur
D. Le défunt doit avoir donné son consentement avant son décès
E. L’autorisation de la famille est nécessaire si le défunt de son vivant n'a pas
exprimé par écrit une volonté contraire
Réponse :
9. Pour qu'un prélèvement d'organes à but thérapeutique puisse avoir lieu, des
conditions particulières doivent être réunies, là où les réponses justes (Section
B 2014)
A. L’équipe médicale constatons le décès doit être différente de celle qui
effectue le prélèvement
B. L’autorisation du tuteur est nécessaire si le défunt est mineur ou incapable
majeur
C. Le registre des oppositions doit être examiné afin de vérifier qu'aucune
opposition au prélèvement n'a été faite
D. Le défunt doit avoir donné son consentement avant le décès
E. L’autorisation de la famille du défunt est nécessaire, si la personne de son de
son vivant n'a pas exprimé par écrit une volonté contraire
Réponse :
10. Par qui doit être effectué le constat de décès d'un sujet en état de commande
est passé ? (Section B 2014)
A. Deux médecins et un médecin légiste
B. Le directeur le directeur de l'hôpital en présence d'un chef de service
hospitalier
C. Le médecin assistant du service en présence de son chef de service
D. L’interne pour l'externe du service
E. Un spécialiste en électroencéphalographie
Réponse :

31
De la déontologie médicale
Les règles de déontologie médicale
1. Les règles de déontologie médicale s'imposent : cocher la ou les réponses
fausses (Section A 2020 et Section B 2017)
A. Aux étudiants en médecine
B. Aux pharmaciens
C. Aux médecins libéraux uniquement
D. Aux médecins hospitaliers
E. Conformément au code de déontologie 32

Réponse : C
2. Parmi les devoirs du médecin : cocher la ou les réponses fausses (Section A
2020)
A. Le respect et la défense de sa profession
B. Le perfectionnement de ses connaissances
C. La pratique d'acte d’euthanasie pour soulager les souffrances des patients
incurables.
D. Le respect du secret professionnel
E. La pratique d'avortement à la demande de l'intéressé.
Réponse : C E
3. La déontologie médicale est : crocher les réponses justes (section B 2019)
A. L'ensemble de principe éthique et d'usage que le médecin doit respecter
B. L’ensemble de règle prévu par la loi sanitaire
C. L’ensemble de règles qui régissent la profession de médecine
D. L’ensemble d'articles prévus par le code pénal
E. L’ensemble des règles médico juridique régissant la profession médicale
Réponse : A C
4. Le médecin exerçant à titre privé et astreint aux obligations suivantes : cocher
les réponses justes (section B 2019)
A. Respecter le secret professionnel
B. Informer le malade sur son état de santé
C. Pratiquer un avortement à la demande de l'intéressé
D. Respecter la notion de libre choix du médecin par le malade
E. Entreprendre des traitements pouvant faire courir au malade un risque
Réponse : A B D
5. Parmi les missions de la section ordinale régionale des médecins : crocher la
réponse fausse (section B 2019)
A. Défend l'intérêt socio-économique des médecins inscrits
B. Assurer l'inscription des médecins au tableau de l'ordre
C. Exercer la compétence disciplinaire
D. Contrôler la conformité des conditions d'installation et d'exercices
E. Assurer la défense de l'honneur est l'indépendance de la profession médicale
Réponse : A
6. L'euthanasie active est : la ou les réponses justes (Section A 2019)
A. Autorisée pour les malades atteints d'une pathologie incurable
B. Permise par le conseil national d'éthique sous certaines conditions
C. Un homicide.
D. Un droit du malade
E. Pratiquée après consentement du patient
Réponse : C
7. Parmi tes devoirs du médecin : la ou les réponses fausses (Section A 2019)
A. Le respect et la défense de sa profession
B. Le perfectionnement de ses connaissances
C. La défense de la santé publique
33
D. Le respect du secret professionnel
E. La pratique d'avortements à la demande de l'intéressée.
Réponse : E
8. Quelles sont les obligations du médecin face à son malade ? La ou les
repenses Justes (Section A 2019)
A. Obligation de moyens et de résultats dans tous les cas.
B. Obligation de diagnostic
C. Obligation de soins.
D. Obligation d'information et d'obtention de consentement
E. Obligation de se conformer aux données actuelles de la science
Réponse : B C D E
9. Le conseil de déontologie médicale, la ou les réponses fausses (Section A
2019)
A. Est une société savante
B. Joue le rôle d'un syndicat
C. Défend les intérêts des médecins inscris
D. L'inscription des médecins à cette instance est obligatoire
E. Est un organe de contrôle de la profession de médecine
Réponse : A B C
10. Le devoir de confraternité, la ou les réponses justes (Section A 2019)
A. Est un devoir primordial en médecine
B. S'exerce dans l’intérêt du malade
C. Implique la défense d'un confrère injustement attaqué
D. Impose qu'il est permis de médire d'un confrère
E. Engage qu'il est admis de détourner la clientèle d'un autre confrère
Réponse : A C
11. Dans sa relation avec les autres confrères, le médecin : la réponse fausse
(Section B 2018 et Section A 2018)
A. Prend la défense d'un confrère injustement poursuivi
B. Cherche de se réconcilier à l'amiable en cas de différent avec un collègue
C. Doit maintenir des relations de confiance mutuelle
D. Est autorisé dans l'intérêt du malade de subtiliser la clientèle d'un collègue
incompétent
E. Doit maintenir des relations de Bonne confraternité dans l'intérêt du malade
Réponse : D
12. La déontologie médicale est : la réponse Juste (Section B 2018 et Section A
2018)
A. L’ensemble de règles prévues par la loi sanitaire
B. L’ensemble de principes éthiques
C. L’ensemble d'articles prévus par le code pénal
D. L’ensemble de règles qui régissent la profession de médecine
E. L’ensemble des règles médico-juridiques régissant la profession médicale
Réponse : D
13. Il est strictement Interdit à tout médecin : la réponse fausse (Section B 2018)
A. D’assumer accessoirement des taches d'enseignement i
B. D’exercer une activité incompatible avec l'éthique professionnelle
34
C. De quitter son poste en cas de catastrophe naturelle.
D. De révéler le secret médical.
E. D’exercer tous les jours l'activité complémentaire.
Réponse : A
14. Durant l'exercice de ses fonctions, il est interdit à tout médecin privé : la
réponse fausse (Section B 2018)
A. D’utiliser des procédés publicitaires
B. D’attirer la clientèle par des procédés anti déontologiques
C. De poser des panneaux indicateurs sur la voie publique
D. De faire une annonce par voie de presse lors de son installation
E. De ne pas respecter la tarification en vigueur.
Réponse : D
15. Le consentement écrit est obligatoire, la ou les réponses fausses (Section B
2014)
A. Dans le prélèvement d'organes
B. En cas de recherche biomédicale
C. Dans le cas d'une sérologie HIV
D. En cas de refus de soins
E. Dans le cas de don de sang
Réponse :
Des soins peuvent-être prodigués et sans consentement seulement dans le cas, la
ou les réponses justes (Section B 2014)
A. Du gréviste de la faim
B. Des personnes hospitaliers sous la contrainte
C. Des mineurs
D. Des majeurs incapables
E. Toutes les réponses sont justes
Réponse :
16. Concernant la section ordinaire régionale des médecins : la ou les réponses
fausses (Section A 2018)
A. L'inscription est obligatoire
B. Défend des intérêts socio-professionnels de ses adhérents
C. Exerce le pouvoir disciplinaire en 1ère instance.
D. Veille au respect des règles déontologiques par tous les praticiens inscrits.
E. Veille au respect des règles éthiques par tous les praticiens inscrits.
Réponse : B
17. Parmi les devoirs du médecin : la réponse fausse (Section B 2017)
A. Le respect et ta défense de sa profession
B. Le perfectionnement de ses connaissances
C. La défense de !a santé publique
D. La pratique d'avortements à la demande de l'intéressée
E. Le respect du secret professionnel.
Réponse : D
18. Le consentement aux essais cliniques, la réponse juste (Section A 2015)
A. Être écrit ou oral
B. Être écrit par le médecin
C. Peut-être attesté par un tiers inconnu
35
D. Être écrit par le tuteur légal d'un incapable majeur
E. Peut-être attesté par écrit par une personne incarcérée
Réponse :
19. Le consentement écrit est obligatoire dans tous les cas suivants sauf un
(Section A 2015)
A. Un prélèvement d'organes
B. Un don de gamètes
C. Le refus de soins
D. Une interruption thérapeutique de la grossesse
E. Une recherche biomédicale
Réponse :
20. Un médecin libéral se fait suppléer par un autre confrère, ce dernier doit :
réponse fausse (Section A 2015)
A. Être inscrit au conseil de l'ordre des médecins
B. Être de la même spécialité
C. Être inscrit à une association professionnelle
D. Aviser la direction de la santé
E. Exercer sous sa véritable identité
Réponse :
21. Dans sa relation avec les autres confrères, le médecin, la réponse fausse
(Section A 2015)
A. Prend la défense d'un confrère injustement poursuivi
B. Cherche de se réconcilier à l'amiable en cas de différent avec un collègue
C. Doit maintenir des relations de confiance mutuelle
D. Est autorisé dans l'intérêt du malade de subtiliser la clientèle d'un collègue
incompétent
E. Doit maintenir des relations de bonne confraternité dans l'intérêt du malade
Réponse :
Toxicomanies Aspects médico-légaux
1. Au cours d'une cure de désintoxication, ordonnée par le parquet, le médecin
traitant : cocher la réponse fausse (Section A 2020)
A. Fait parvenir au procureur de la République un certificat médical indiquant la
date du début et la durée probable de cette cure.
B. Contrôle le déroulement de la Cure
C. Informe régulièrement le Procureur de la République compétent de la
situation de la personne en cure.
D. Remet à l'intéressé un certificat médical attestant qu'il a suivi la cure, une
copie est transmise au Procureur de la République avec le consentement de 36
l'intéressé au terme de la cure de désintoxication.
E. Informe immédiatement le Procureur de la République, en cas d'interruption
de la cure de désintoxication par l'intéressé.
Réponse : D
2. La définition stricte de la toxicomanie, selon l’OMS, correspond à : Cocher la
réponse fausse (Section A 2020)
A. Une envie irrépressible de consommer le produit
B. Une tendance à augmenter les doses
C. Une dépendance psychologique sans dépendance physique
D. Des conséquences émotives néfastes
E. Des conséquences économiques
Réponse : C
3. Une cure de désintoxication : la réponse fausse (Section B 2018)
A. Est une mesure préventive à l'égard des toxicomanies.
B. Peut être ordonné par le juge d'instruction
C. Peut être ordonné par le juge des mineurs
D. Se fait dans un établissement public sous -surveillance médicale stricte
E. Se fait dans un établissement spécialisé privé sous contrôle de la justice
Réponse : E
4. Pour prévenir contre les toxicomanies, les médecins : la ou les réponses justes
(Section A 2018)
A. Doivent signaler des patients toxicomanes
B. Peuvent délivrer des ordonnances de complaisance facilitant l'usage de
psychotropes.
C. Délivrent des ordonnances selon les règles strictes prévues par la loi en
vigueur.
D. Inciter les patients toxicomanes à se soumettre à une cure de désintoxication
E. Doit vérifier l'identité du patient avant la prescription de morphine.
Réponse :
5. En cas de dépendance toxicomaniaque : la réponse juste (Section B 2017)
A. Il n'y a aucune perturbation du fonctionnement social et affectif
B. Il existe une dépendance physique et psychique
C. Le fonctionnement intellectuel est préservé
D. Il n'existe qu'une dépendance physique avec phénomène de tolérance
E. Il n'existe aucune complication médicale ou psychiatrique
Réponse :
Epreuve pratique Droit médical Section A 2020
Vous êtes de garde aux urgences (UMC) Du CHU d'Oran et vous recevez un jeune
homme âgé de 30 ans, travaillant comme ouvrier dans un chantier en construction
et qui a subi une chute accidentelle dans son lieu de travail occasionnant pour lui
un traumatisme locomoteur, Sachant que ce dernier n'est pas déclaré par son
employeur à l'assurance.

1. dans ce cas-là, vous êtes autorisé à exercer en qualité de : (cocher la ou les


réponses fausses)
a. Médecin résident ; 37
b. Interne ;
c. Médecin généraliste ;
d. Médecin spécialiste ;
e. Externe stagiaire.
Réponse : B E
2. votre conduite avec l'équipe médico-chirurgicale est : (cocher la ou les
réponses justes)
a. De renvoyer le malade car ça ne révèle pas de l'urgence ;
b. De déclarer l'accident ;
c. Respecter la volonté du patient sur la déclaration de l'accident ;
d. Examiner le malade tout en lançant des examens complémentaires ;
e. La déclaration de cet accident de travail constitue une violation du secret
médical ;
Réponse : B D
3. ce patient bénéficiera à sa sortie : (cocher la ou les réponses fausses)
a. D'un certificat médical descriptif ;
b. D’un carton de suivi ;
c. Un certificat médical de constatation avec fixation de l’ITT ;
d. D'un rapport médical ;
e. D'un certificat médical de constatation avec fixation de l’IPP ;
Réponse : C E
4. Sur le plan médico-légal ce patient sera pris en charge : (cocher la ou les
réponses justes)
a. Sur réquisition ;
b. Après dépôt de plainte auprès d'une autorité judiciaire ;
c. A la demande ;
d. Il bénéficiera d'un certificat médical initial de constatations de blessures ;
e. Il sera pris en charge même en absence de son dossier médical.
Réponse : A B D
5. L'indemnisation de ce patient se fera : (cocher la ou les réponses justes)
a. Par voie judiciaire ;
b. Par voie administrative ;
c. Lors de la consultation médico-légale initiale ;
d. Après estimation du traumatisme et fixation de l’ITT ;
e. Lors de l'expertise médico-légale.
Réponse : A D E
TD Droit médical Section A 2019
Un homme âgé de 65 ans, aux antécédents d'une hépatite virale B , se présente à
votre bureau de consultation le 30/10/2018 Pour lui établir un certificat médical de
constatation initial, sachant qu'il a été victime d'un accident sur la voie publique le
25/10/2018, votre examen médical vous a permis de constater chez lui .
 Un traumatisme crânien avec une fracture pariétale droite et hématome
extra dural objectivés sur un cliché scannographique cérébral et certifiés par
un rapport du médecin neurochirurgien.
 Multiples ecchymoses et excoriations du visage, des membres supérieurs et de
la région lombaire. 38

1. Ce certificat doit comporter : (les réponses justes)


A. L'identité du médecin et son adresse Professionnelle.
B. La signature du malade.
C. La date de l'examen du malade.
D. La signature du médecin.
E. La mention de la maladie virale que porte le malade.
Réponse : A C D
2. Cinq jours après la consultation le patient décède suite à la survenue d'une
hémorragie et un œdème du cerveau Vous êtes amené à lui établir un
certificat médical de constatation de décès, vous devez renseigner la partie
du document destinée à l'officier de l'état civil (la réponse juste) :
A. Mort naturelle.
B. Mort violente.
C. Mort de cause indéterminée.
D. Obstacle médico-légal à l'inhumation.
E. Toutes les réponses sont justes.
Réponse : B
3. Cette partie nominative du certificat du décès a pour objectif (la ou les
réponses justes).
A. L'inhumation du corps.
B. D'établir des statistiques sur les causes de la mort.
C. De permettre la délivrance d'un acte de décès.
D. La prévention contre les maladies contagieuses.
E. L'ouverture d'une enquête judiciaire.
Réponse : A C E
4. La 2ème partie du certificat du décès (la ou les réponses fausses)
A. Est nominative.
B. Est anonyme.
C. Comprend la cause directe du décès.
D. Comprend la cause initiale du décès.
E. Est destinée au procureur de la république.
Réponse : A E
5. Concernant l'autorisation d'inhumation du défunt, elle est délivrée par : (la
réponse ou les réponses fausses)
A. Le procureur de la république.
B. L'officier de l'état civil.
C. L'officier de police judiciaire
D. Le directeur de l'hôpital
E. Le maire
Réponse : B C D E

39
Epreuve pratique - Droit médical Section A 2018
Un homme Age de 60 ans, aux antécédente d'une hépatite virale B, se présente en
consultation Médico-légale, ce jour le 21/06/2019 pour lui établir un certificat
médical de constatation initial, sachant qu'Il a été victime d'un accident de la voie
publique le 23/04/2010 ou votre examen vous u permis de constater chez lui :
• Un traumatisme crânien avec une fracture et hématome extra dural objectivés sur
un écho scannographie cérébral et certifié par un rapport du médecin neuro-
chirurgien.
• Multiples ecchymoses et excoriation du visage, des membres supérieurs et de la
région lombaire.
40

1. Ce certificat doit comporter : la ou les réponses fausses :


A. Identité du médecin et son adresse professionnelle.
B. Signature du malade.
C. La date do l'examen du malade.
D. La signature du médecin
E. La mention do la maladie virale que porte la malade.
Réponse : B E
2. Cinq Jours après la consultation le patient décède suite à la survenue d'une
hémorragie et un œdème du cerveau. Vous êtes amené à lui établir un
certificat médical de constatation de décès, vous devez renseigner la partie
du document destinée à l'officier do l'état civil : (la réponse Juste) :
A. Mort naturelle.
B. Mort violente.
C. Mort de cause indéterminée.
D. Obstacle médico-légal à l'inhumation
E. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse : B
3. Cette partie nominative du certificat du décès a pour objectif : la ou les
réponses fausses
A. L'inhumation du corps.
B. D’établir des statistiques sur les causes de la mort
C. De permettre la délivrance d'un acte de décès.
D. La prévention contre les maladies contagieuses.
E. L'ouverture d'une enquête judiciaire.
Réponse : B E
4. La 2ème partie du certificat du décès : la ou les réponses justes
A. Est nominative
B. Est anonyme.
C. Comprend la cause directe du décès.
D. Comprend la cause initiale du décès.
E. Est destinée au procureur de république.
Réponse : B C D
5. Concernant l'autorisation d'inhumation du défunt, elle est délivrée par : la
réponse juste
A. L'officier de l'état civil.
B. Le maire.
C. Le directeur de l'hôpital
D. Le procureur de la république.
E. L'officier de police judiciaire.
Réponse : D

41
42

BON COURAGE
BANQUE DE QCMs
43

15-01-2021

Vous aimerez peut-être aussi