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ELECANA
Une introduction à
l’électronique analogique
Denis Montaner
Objectifs de ce cours
8 séances de TD (1h30)
- les sujets des exercices seront disponibles à l’avance sur l’extranet
- les exercices seront à préparer à l’avance si possible
- les exercices seront également à travailler au cours de la séance
- certains exercices seront corrigés au cours de la séance
3 séances de TP (3h15)
- les sujets des préparations aux TP seront disponibles sur l’extranet pour vous
aider à revoir les notions qui seront abordées au cours de la séance de TP
- les TP seront évalués en cours de séance (compte rendu) , pas d’examen de TP
- QCM de 10 mn en début de séance
icam – ELECANA v3 – D. Montaner
Préambule 4
Organisation
Et en rappel :
vous n’êtes pas autorisés à boire ou manger dans les salles de travail
Remarque
I
+ +
+
E E
-
- -
ceci est une source de tension continue ceci est une source de courant continu
Partie A
L’amplificateur opérationnel
Chapitre 1
Généralités
1) L’électrotechnique
- depuis 200 ans
- concerne les machines tournantes (alternateurs, moteurs), transformateurs
- transformation de grandes puissances électriques
exemple : conversion énergie mécanique énergie électrique
- puissances > kW
2) L’électronique
- ‘assez’ récente (diode en 1904 ; transistor en 1948 ; circuit intégré en 1958)
Ch 1 – Généralités
3) L’électronique de puissance
- encore plus récente, depuis les années 80
- électronique analogique appliquée à de plus fortes puissances (kW Train Grande Vitesse...)
- convertisseurs d’énergie, généralement : E électrique E électrique
exemple : courant alternatif courant continu
- systèmes de commande de machines de fortes puissances
II Rappels d’électricité
1) Conventions d’orientation
Ch 1 – Généralités
u u
i et u de sens opposés i et u de même sens
2) Relations entre u et i
C’est une loi physique qui dépend de la nature du dipôle et de la convention choisie.
Ch 1 – Généralités
1
Rq : la tension aux bornes d'un condensateur en convention récepteur s'écrit donc : 𝑢(𝑡) = න 𝑖 𝑡 . 𝑑𝑡
𝐶
UAB = VA – VB = tension
= différence de potentiels entre les points A et B
A B Avantages
R UAB = R.I la tension UAB est entre les points A et B
I
la tension UAB est aux bornes de R ( traversée par le courant I )
UAB = VA - VB ( UAB est une différence de potentiels )
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II Rappels d’électricité
12
i2
Conservation de l’électricité = conservation du nombre de charges
i1 En un nœud du circuit : somme des courants entrants = somme des courants
i3
N sortants
En N : i1 + i2 = i3
Ch 1 – Généralités
Deux dipôles sont en série s’ils sont parcourus par le même courant, dans une même branche d’un
circuit
Deux dipôles sont en parallèle s’ils sont soumis à la même tension, s’ils sont connectés entre les deux
mêmes points d’un circuit
Loi des nœuds R1 et R2 sont en parallèle
A i i B
R0 i = i1 + i2 car soumises à la même tension UBC
i
B
i1 i2
i
𝑈𝐵𝐶 = 𝑉𝐵 − 𝑉𝐶 = 𝑅1 ∙ 𝑖1 = 𝑅2 ∙ 𝑖2
UBC R1 R2
Ch 1 – Généralités
i1 C i2
i
R3
Loi des nœuds
i1 + i 2 = i
i
M
M M
R2 et R3 ne sont pas en série
R0 et R3 sont en série car i2 dans R2 et i (= i1 + i2) dans R3.
car parcourues par le même courant i
de la maille. De même R1 et R3 ne sont pas en série.
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II Rappels d’électricité
14
C’est une relation qui très utilisée dans l’étude des circuits électriques et électroniques.
Elle découle des lois précédentes et concerne des dipôles en série alimentés par une tension.
UAB UBC
A B C
R1 R2
i i i
E = UAM E R3 UCM
M i
M M
Ch 1 – Généralités
Avec : 𝑈𝐴𝐵 = 𝑉𝐴 − 𝑉𝐵 = 𝑅1 ∙ 𝑖
𝑈𝐵𝐶 = 𝑉𝐵 − 𝑉𝐶 = 𝑅2 ∙ 𝑖 𝐸 = 𝑅1 ∙ 𝑖 + 𝑅2 ∙ 𝑖 + 𝑅3 ∙ 𝑖 = 𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3 ∙ 𝑖
𝑈𝐶𝑀 = 𝑉𝐶 − 𝑉𝑀 = 𝑅3 ∙ 𝑖
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II Rappels d’électricité
15
7) Le pont diviseur de tension
𝐸 𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑′ 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
D’où : 𝑖= =
𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3 σ𝑗 𝑅𝑗 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒
𝐸 𝐸
Ainsi : 𝑈𝐵𝐶 = 𝑅2 ∙ 𝑖 = 𝑅2 ∙ De même : 𝑈𝐶𝑀 = 𝑅3 ∙ 𝑖 = 𝑅3 ∙
𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3 𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3
𝐸
et 𝑈𝐴𝐵 = 𝑅1 ∙ Règle du pont diviseur de tension
𝑅1 + 𝑅2 + 𝑅3
Cela fonctionne aussi pour une branche d’un circuit entre des éléments en série.
UCE
Car : 𝑈𝐶𝐸 = 𝑈𝐶𝐷 + 𝑈𝐷𝐸 = 𝑅1 ∙ 𝑖 + 𝑅2 ∙ 𝑖 = 𝑅1 + 𝑅2 ∙ 𝑖
𝑈𝐶𝐸
et donc : 𝑖=
𝑅1 + 𝑅2
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II Rappels d’électricité
16
8) Théorème de Thévenin
Conseil :
à vide = la charge (s’il y en a une) est débranchée ET et RT, définitions
à connaitre par cœur…
la charge = résistance ou une autre partie de circuit
Ch 1 – Généralités
Exemple
Dans le montage ci-dessous, on veut remplacer la maille fermée E0, R1 et R2 par une maille
ouverte, ET RT. On considère donc que la résistance R3 constitue la charge.
ET est la tension à vide vue de la sortie, donc vue des points A et B lorsque la charge R3 est
𝑅2 .𝐸0
débranchée d’où : 𝐸𝑇 = 𝑈𝐴𝐵 à 𝑣𝑖𝑑𝑒 =
𝑅1 +𝑅2
Ch 1 – Généralités
RT est la résistance équivalente vue de la sortie à vide de la portion de circuit à simplifier, donc
sans la charge R3, le générateur étant « éteint » (= remplacé par sa résistance interne),
d’où : 𝑅𝑇 = 𝑅𝐴𝐵 = 𝑅1 // 𝑅2
RT
Rinterne = 0
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II Rappels d’électricité
18
8) Théorème de Thévenin
Intérêt
Mise en cascade de montages (= étages) réalisant des fonctions.
- sa sortie -> une source de tension en série avec une résistance (Thévenin)
Rs R1 R2 R3
Chaîne de mesure
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II Rappels d’électricité
19
9) Théorème de Norton
R1 R1 R1
A A A
IN ICC ICC = IN RN
Ch 1 – Généralités
R2 R2
E0 E0
B B B
E0
E0 = R1.ICC IN = ICC = RN = R1 // R2= RT
R1
R1 R 2 E 0 R 2 E 0
Remarque : UAB (à vide) = RN.IN = ET
R1 R 2 R 1 R 1 R 2
Attention au sens des générateurs : même sens que UAB -> signe +
Ch 1 – Généralités
La tension entre deux points A et B d'un circuit linéaire est la somme algébrique des tensions que
produiraient entre A et B chaque générateur du circuit, les autres étant remplacés par leur
résistances internes.
I = I1 + I2 UAB = R3.I = U1 + U2
Ch 1 – Généralités
E1 I A E1 I1 A I2 A
R2 R2 R2
R3 V UAB R3 V1 U1 R3 V2 U2
R1 R1 R1
E2 E2
B B B
Um
Tension sinusoïdale : u(t) = Um.cos(w.t+j)
T
f : fréquence, en hertz
U0 + Um 7
Tension sinusoïdale avec offset : u(t) = U0 + Um.cos(w.t+j)
Ici, U0 = 3 et Um = 4
Rappels :
1 𝑇
Valeur moyenne = <u(t)> = න 𝑢 𝑡 . 𝑑𝑡 ⇒ <u(t)> = 𝑈0
Ch 1 – Généralités
𝑇 0
1 𝑇 2 2
𝑈𝑚 2
Valeur efficace = Ueff 2=
න 𝑢 𝑡 . 𝑑𝑡 ⇒ Ueff = 𝑈0 +
2
𝑇 0
U U m : module
θ arg U : argument
U Um a 2 b2 I U
θ arg U arctg m
tgθ
b Im U
Re U a Re U
z1 z 2 a1 a 2 j b1 b 2
z1 z2 a1 a 2 e jb1 b 2
z1 a1 jb1 b 2
e
z2 a 2
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II Rappels d’électricité
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13) Rappels sur les complexes
b
Si z a j b alors θ arctg
a
-b b
Si z a j b alors θ arctg soit θ arctg
a a
b b
Si z a j b alors θ π arctg soit θ π arctg
-a a
-b b
Si z a j b alors θ π arctg soit θ π arctg
-a a
Relations particulières
Ch 1 – Généralités
2
z a 2 b2 z a 2 b2 z 2
z1 z
z1 z2 z1 z2 1
z2 z2
1 z
arg -argz1 arg 2 arg z2 - argz1
z1 z1
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II Rappels d’électricité
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13) Rappels sur les complexes
Dérivation – intégration
u(t) = tension sinusoïdale : u t U m e jωt j
j ω U m e jωt j j ω u t
du
dt
1 jωt j ut
ut dt j ω Um e
Ch 1 – Généralités
j ω
1 1
u t R it j ω L it it
C j ω u(t)
1
u R i j L ω i i (passage en notation complexe)
j C ω
1 1
u (R j L ω )i u R j L ω i
j C ω
Ch 1 – Généralités
j C ω
1
u R j L ω i
C ω
gain en tension
On définit le gain en tension Av (ou amplification en tension) comme le rapport de vs sur ve en
grandeurs algébriques :
vs
Av Av est sans dimension
ve
|Av| <1 : le montage est atténuateur, vs<ve Rq : si Av < 0 alors
is vs i s
gain en courant : Ai gain en puissance : Ap A v Ai
ie ve ie
H(j.w) = fonction de transfert harmonique = rapport des tensions complexes de sortie et d’entrée :
us
H j ω
ue
Remarques :
Exemple : circuit RC
1 i
u e t u R t u C t R i t it dt R
C
ue C us
1 1 1
ue R i i R i
jω C jCω
1 1 1
u s t u c t it dt it us i
C jCω jCω
us i 1 1
H jω
1
H jω
u e jCω 1 1 jRCω 1 jRCω
R i
jCω
Ch 1 – Généralités
1
A v H jω
1 1 1
Av
1 jRCω 1 jRCω 1 RCω2 1 RCω 2
j us Déphasage de la tension de sortie par rapport à la tension d’entrée
ue
ArgH jω Arg
1
j us Arg 1 jRCω arctgRCω j us arctgRCω
ue 1 jRCω ue
3) Représentation de Bode
L’utilisation de la fonction logarithme permet de représenter la réponse du circuit sur une très
grande plage de fréquences.
Définitions :
on appelle
Exemple : reprenons le cas de l’exemple précédent (circuit RC) pour lequel nous avions
déterminé l'expression de la fonction de transfert harmonique H(jw) :
1
H jω H jω
us 1
H jω
ue 1 jRCω 1 j2fRC
A v_max
A v f c
1
or A v f H j ω
2 1 2 π f R C 2
Ch 1 – Généralités
A v_max 1 1
donc A v f c
2 2 1 2 π f c R C 2
1
Soit, en ne conservant que la solution positive : f c (en Hertz, Hz)
2πR C
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III Gains et fonction de transfert harmonique
34
4) Représentation réelle et représentation asymptotique
f 1 j fc
H j ω
f f
• f ou f >> fc 1 1 j j soit
Ch 1 – Généralités
fc fc fc f f
j
fc
d'où G = 20.Log||H(j.w)|| 20 Log f c 20 Log f
f fc
f
donc pour f , G - avec G 20 Log
fc
or, dans un repère semi-logarithmique,
la pente est donnée en décibels par décade (dB/déc) ou en décibels par octave (dB/oct)
une décade : 250 Hz 2500 Hz une octave : 400 Hz 800 Hz
fa 10.fa fb 2.fb
la pente se détermine dans la partie linéaire de la courbe, c’est à dire ‘loin’ de fc (f >> fc ou f << fc)
f
Dans l’exemple traité, pour f >> fc, G 20 Log
fc
Ch 1 – Généralités
f f
G1 20 Log 1 G 2 20 Log 2
fc fc
f f f f f
p G 2 G1 20 Log 2 20 Log 1 20.Log 1 c 20 Log 1 or f2 = 10.f1 (une décade)
fc fc fc f 2 f2
f1 1
donc p 20 Log 20 Log 20 Log10 20
10 f1 10
p = - 20 dB/déc
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III Gains et fonction de transfert harmonique
36
4) Représentation réelle et représentation asymptotique
- étude de la phase
1
H jω
1
soit H j ω or j = Arg[H(j.w)]
1 j2fRC f
1 j
fc
donc
f
1
f arctg f
Arg 1 j arctg c
f
j Arg f
1 j f fc 1 c
f c
Ch 1 – Généralités
•f0 j arctg0 0
π
•f j arctg
2
fc π
• f = fc j arctg arctg(1)
fc 4
1 décade
G (dB)
fc
f1 f2 = 10.f 1 f
Gmax
Gmax - 3
DG = 20 dB
G2
j
fc f
0
-/4
-/2
1 module = 1 décade
0 0 0 0 0 0 0 0 0 00 00 000 104
100 200 1000 2000 104 2.104 105 2.105 106
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39
Partie A
L’amplificateur opérationnel
Chapitre 2
L’amplificateur opérationnel
I Présentation de l’A.Op.
NC +VCC Vs Offset
Amplificateur +VCC
2 8 7 6 5
e- - 7
opérationnel 6 µA 741
µA 741 Vs
= 3
Ch 2 – L’amplificateur opérationnel
e+ + 4 1 2 3 4
A.Op. -VCC Offset e - e + -VCC
(ALI)
Composant physique Symbolisation Représentation
6 Vs µA 741
µA 741 6 : borne de sortie du signal
3 4 1 2 3 4
e+ +
7 : tension d’alimentation continue positive
-VCC Offset e - e + -VCC
détrompeur 1 : borne de réglage de l’offset
+VCC 5 : borne de réglage de l’offset
7 encoche rond texte
2
e- - 8 : borne non-connectée (selon le modèle !)
6
∞ Vs
e+ 3 +
4 -
-VCC +
Symbolisation +VCC -VCC Vs
normalisée e- e+ En principe, pour ne pas
française alourdir inutilement le
schéma, on ne représentera
= composant unidirectionnel pas les alimentations
∞ = amplification infinie continues de l’A.Op.
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II Repérage des bornes
42
2) Entrée non-inverseuse
entrée e- reliée à la masse
tension d’entrée appliquée en e+
En tensions continues, le produit ve.vs est positif
+
-
ve et vs sont de même signe ve vs
3) Borne de sortie
𝑉𝑆𝑎𝑡 + = 𝑉𝐶𝐶 + - 1
d’alimentation de l’A.Op.
Vs e = tension d’entrée
𝑉𝑆𝑎𝑡 + A = Amplification en mode différentielle
différentiel de l’A.Op.
elimite- elimite+ e
A > 0 (sans dimension)
𝑉𝑆𝑎𝑡 - Exemple:
saturation zone de saturation |VCC| = 15 V |VSat| = 14 V
basse linéarité haute
Vs = 𝑉𝑆𝑎𝑡 - Vs = A.e Vs = 𝑉𝑆𝑎𝑡 + µA741 : A = 2.105 |elimite| = 70µV
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III L’amplificateur opérationnel idéal
44
- le régime de commutation
a - le régime linéaire
régime stable
proportionnalité entre la tension d’entrée e et la tension de sortie vs = A.(e+ - e-) = A. e
assuré par la rétroaction d’une partie la tension de sortie sur l’entrée inverseuse
= réaction négative = contre-réaction
e+
+ contre-réaction
e- - =
e- R2 rétroaction de vs sur e-,
Ve R1 Vs assurée par R2
=
réaction négative
b - le régime de commutation
régime instable un effet cumulatif entraîne la tension de sortie Vs vers Vsat+ ou Vsat-
pas de proportionnalité entre tension d’entrée et de sortie que 2 valeurs possibles pour Vs
Ch 2 – L’amplificateur opérationnel
2 situations :
- A.Op. en boucle ouverte (BO) = pas de rétroaction de Vs sur une entrée
- réaction ou réaction positive = rétroaction de Vs sur e+
réaction
e- e-
- - =
Boucle Ouverte
e+ + e+ +
rétroaction de vs sur e+,
=
e+ R3 assurée par R3
pas de
Ve Vs Ve R4 Vs =
rétroaction de vs
réaction positive
Partie A
L’amplificateur opérationnel
Chapitre 3