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- Exode 22 v 16 – 17 :
« Si un homme séduit une vierge non fiancée, et couche avec elle, il la prendra pour sa
femme, en payant une dot (mahar : payer avec empressement). Si son père refuse absolument de
la lui donner, il paiera de l’argent selon la dot des vierges (mohar : sorte compensation). »
Avant tout propos, il est notable de signifier que le verset en lui-même est clair et simple à
comprendre. Il n’y a aucune ambigüité sur son interprétation.
Néanmoins, à cause de l’insistance de ‘‘Gédéon de la Tchétchouvah’’ qui corromps les bonnes
pratiques, nous avons voulu prouver selon les Ecritures, les traditions et la démarche d’une
démonstration logique (bien que modeste) inspirée par l’Esprit, qu’il a TORT.
En effet, si pour Gédéon, le sexe est la 1ère étape du mariage, quel est donc l’intérêt d’être « une
vierge fiancée » selon Deutéronome 22 v 23-24 ?
Explications :
Après avoir entendu à mainte reprise le Gédéon s’appuyer sur le verset ci-dessus pour persuader le
public que Dieu aurait recommandé le sexe avant la dot et les cérémonies, nous nous sommes
permis d’interroger les Ecritures et de faire une étude approfondie sur ce sujet selon que le Saint-
Esprit nous orientait afin de faire de la lumière.
Cependant, il est fort probable que pour les fanatiques de Gédéon, les non croyants et les personnes
illettrées ou non appliquées à la lecture des Ecritures, cette étude ne vaudra pas grande chose.
Ainsi, à vous, nous vous prions de bien suivre cette étude afin de comprendre et d’être situé
aisément.
Pour mieux comprendre ce verset, il convient de parcourir le chapitre concerné et les chapitres
connexes.
- Exode 20
Il s’agit du décalogue (les dix commandements) constituant les lois fondamentales que Dieu donna à
Moïse à Sinaï.
DGM Emmanuel. (+225) 07 87 27 61 89 / 01 52 30 33 90
- Exode 21
Il s’agit ici des lois relatives à la liberté et à la vie. Elles sont reparties comme suit :
a- Lois relatives à la liberté des serviteurs (Exode 21 v 1-11, 26-27)
b- Lois relatives aux homicides, aux lésions corporelles et propos injurieux (Exode 21 v 12-27)
c- Lois relatives aux dommages ou préjudices causés à la vie d’autrui (Exode 21 v 28-36)
- Exode 22
Dans ce chapitre, il s’agit des lois relatives au respect de la propriété d’autrui. Elles sont reparties
comme suit :
a- Lois relatives au vol, à l’abus de confiance et aux préjudices causés à la propriété d’autrui
(Exode 22 v 1 à 15)
b- Lois relatives aux vices du consentement (au dol dans notre cas) à l’égard de la propriété
d’autrui ou aux relations sexuelles prémaritales (Exode 22 v 16 à 17)
c- Lois relatives aux mœurs, à la bonne moralité et divers (Exode 22 v 18 à 17)
- Exode 23
Il s’agit ici des lois relatives aux affaires morales diverses et aux cérémonies religieuses.
Elles sont reparties comme suit :
a- Lois relatives aux affaires morales diverses (Exode 23 v 1 à 12)
b- Lois relatives aux cérémonies religieuses (Exode 23 v 13 à 19)
c- Exhortations et promesses (Exode 23 v 20 à 33)
NB : Les lois figurant aux chapitres 21 à 23 peuvent être considérées comme des conditions
suspensives des lois fondamentales.
1- Explication du verset
Exode 22 v 16 – 17 :
« Et si un homme séduit une vierge non fiancée, et couche avec elle, il la prendra pour sa
femme, en payant une dot. Si son père refuse absolument de la lui donner, il paiera de
l’argent selon la dot des vierges. »
Nous savons que la Bible dans son ensemble accorde un point d’honneur à la virginité de la fille
(Lév 21 v 13 ; Deut 22 v 14-20).
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En effet, le juif tant à l’époque du judaïsme ancien qu’à notre époque considère la séduction comme
le fait d’employer procédures et méthodes non violentes pour arriver à ses fins. C’est une action
purement intentionnelle et volontaire dans l’optique d’atteindre un objectif.
Dans le cadre de la loi juive, il convient de préciser que la fille vierge non encore fiancée (jeune fille
vierge) demeure toujours la propriété du père. Cette règle démontre que la sexualité des filles devrait
être entièrement contrôlée par les pères (ou les parents).
Dans ces conditions, le fait donc d’exclure le consentement des parents avant de coucher avec la fille
constituerait un manque de respect à l’égard de sa propriété et un dommage (mais non un crime).
Maintenant, voyons la définition du mot « séduire » utilisé dans le contexte en hébreu. Ce dernier est
traduit par l’expression « Pathah ; [paw-thaw'] » Strong N°6601 et veut dire :
Nous pouvons trouver aussi des synonymes très étroits avec le contexte du verset et faire des
analyses.
a- « Cuwth ; [sooth] » Strong N°5496 :
Job 31 : 27
Et si mon coeur s'est laissé séduire (Pathah) en secret, Séduire Pour adorer les astres
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Si ma main s'est portée sur ma bouche (ma main s'est portée sur
ma bouche)
Ps 78 : 36 Mais ils le trompaient (Pathah) de la bouche, Et ils Tromper Par la langue (Ils lui
lui mentaient de la langue ; mentaient de la langue)
Prov 1 : 10 Mon fils, si des pécheurs veulent te séduire (Pathah), Séduire Par des pécheurs
Ne te laisse pas gagner.
Celui qui répand la calomnie dévoile les secrets ; Ne Ses lèvres pour
Prov 20 : 19 te mêle pas avec celui qui ouvre (Pathah) ses lèvres. Ouvrir calomnier
Osée 2 : 14 C'est pourquoi voici, je veux l'attirer (Pathah) et la Attirer Pour faire comprendre
conduire au désert, et je parlerai à son coeur. dans la douceur et
convaincre
Esaïe 36 : 14 Ainsi parle le roi : Qu'Ezéchias ne vous Abuser Par le mensonge et les
abuse (Nasha') point, car il ne pourra vous délivrer. fausses promesses
Je dis : Ah ! Seigneur Eternel ! Tu as donc
Jérémie 4 : 10 trompé (Nasha') ce peuple et Jérusalem, en disant : Tromper Par de bonnes paroles
Vous aurez la paix ! Et cependant l'épée menace pour être dominé
leur vie.
Car ainsi parle l'Eternel des armées, le Dieu d'Israël :
Ne vous laissez pas tromper (Nasha') par vos
Jérémie 29 : 8 prophètes qui sont au milieu de vous, et par vos Tromper Par le mensonge et les
devins, n'écoutez pas vos songeurs dont vous fausses promesses
provoquez les songes !
DGM Emmanuel. (+225) 07 87 27 61 89 / 01 52 30 33 90
Ainsi parle l’Eternel : Ne vous faites pas
Jérémie 37 : 9 d’illusion (Nasha'), en disant : Les Chaldéens s’en Illusionner Être dans l’illusion par
iront loin de nous ! Car ils ne s’en iront pas. le mensonge
David Martin - Exode 22.16 Si quelqu’un suborne une vierge non fiancée, et couche avec elle, il faut qu’il
1744 -MAR la dote, la prenant pour femme.
Ostervald - Exode 22.16 Si quelqu’un suborne une vierge qui n’était point fiancée, et couche avec elle,
1811 -OST il faudra qu’il paie sa dot et la prenne pour femme.
Nous constatons qu’à travers tous ces mots, les contextes mis en évidence dans leur ensemble
révèlent la péjoration ou le sens défavorable du mot « Séduire ».
Quand bien même cette théorie pourrait être un peu plus réaliste, elle n’est pas pertinente et ne peut
tenir pour un argumentaire dans la mesure où :
Selon le contexte des lois énumérées, la démarche indiquée pour s’acquérir de la vierge ne
constitue pas un droit à appliquer, mais une mise en garde contre le non-respect de la
propriété d’autrui (un dommage qu’il fallait réparer immédiatement),
Bien avant et après cette loi, aucune application n’a été relatée dans les Ecritures (sauf : viol
(Genèse 34 v 2), prostitution (Genèse 38 v 14-26))
Bien avant et après cette loi, la dot et les cérémonies ont été pratiquées avant que l’homme ne
découvre la nudité de la vierge comme faisant bonne coutume.
Dans les Ecritures, l'acceptation ou le refus d'une demande en mariage est exclusivement dans le
pouvoir du père ou dans celui de son mandataire en tenant compte de l’âge de la fille (Genèse 24 v 50
; 2 Samuel 13 v 13 ; Cant 8,8-10).
L'autorité du père (des parents) joue un rôle prépondérant sur les filles en âge de se marier. Il suffit
d’observer les cas qui abondent dans les Ecritures relativement à la demande en mariage faite aux
parents de la jeune fille sans même qu’elle ne soit consultée au préalable et de même pour l’homme
qui se voit rarement sollicité. Parfois, le père (les parents) guide le choix même de son fils.
Mariage d’Ismaël : Agar prend une femme pour Ismaël (Genèse 21 v 21)
Mariage d’Isaac : Abraham envoie fiancer Rébecca pour Isaac (Laban y était) (Genèse 24 v 50-53)
Mariage de Jacob : Isaac envoie Jacob épouser l'une de ses cousines (Genèse 28 v 1-2)
Mariage d’Esaü : Ésaü, tient compte d’Isaac pour choisir sa femme (Genèse 28 v 8-9)
Mariage de Sichem : Hamor demande Dina en mariage pour Sichem (Genèse 34 v 4,6,8)
Mariage d’Er : Juda prend une femme (Thamar) pour Er (Genèse 38 v 6)
Mariage d’Acsa : Caleb décide d’un homme (Othniel) pour Acsa (Josué 15 v 16)
Mariage de Samson : Samson sollicite ses parents pour une Philistine (Juges 14 v 2-3)
Mariage Mérab & Mical : Saül décide du mariage de ses filles (1 Samuel 18 v 17,19,21,27 ; 25 v 44)
En ce qui concerne le paiement que devrait effectuer le séducteur suite au probable refus du père, il
correspond à une amende qui n’a de sens que dans l’usage d’une mauvaise procédure de mariage.
Au regard de ce qui précède, nous comprenons qu’une fille vierge non encore fiancée est la
propriété des parents et qu’avant toute relation sexuelle (et même toute démarche s’inscrivant dans
le cadre du mariage) les parents doivent d’abord donner leur assentiment.
2- Analyse syntaxique
Mon analyse se fera autour de l’expression « SI » qui intervient dans notre verset comme une
conjonction introduisant un système hypothétique portant sur l’avenir (potentiel du futur) :
Si p (protase), q (apodose)
Protase : partie de la phrase qui contient la subordonnée conditionnelle et prépare la conséquence ou la conclusion
Apodose : partie de la phrase qui indique la conséquence ou la conclusion
Exemple : S'il pleut [protase], je ne pourrai venir vous voir [apodose] / Si j'insiste [protase], il viendra [apodose]
Nous devons savoir que l’emploi de cette dernière dans une phrase guide son interprétation. Mais
avant de continuer, analysons un peu les propos de Gédéon de la Tchétchouva :
« Cette loi est intervenue dans le but de recadrer la pratique du mariage qui la précédait (mariage
d’Abraham, d’Isaac, Jacob, etc…) ».
Attention ! Il convient de faire la différence ici. La pratique du mariage est fondée sur deux
éléments : le choix de la femme (ou de l’homme) et la procédure du mariage. Alors, dire que c’est
toute la pratique du mariage qui devrait être recadrée, cela n’est pas fondé par les Ecritures.
En effet, il est de toute évidence qu’au regard de l’ensemble des lois relatives au mariage (ou à la vie
de couple), le recadrage s’applique aux liens de parenté (Lévitique 18 v 6 : Nul de vous ne s’approchera
de sa proche parente pour découvrir sa nudité : je suis l’Éternel) comme ce fut le cas d’Abraham et Sara
(sa demi-sœur), Isaac et Rébecca (sa cousine), Jacob et ses deux femmes (Rachel et Léa, ses
cousines).
Mais en ce qui concerne la procédure de mariage (fiançailles et mariage), elle demeure intacte. Or, la loi
éditée dans notre verset d’étude (Exode 22 v 16-17), ne se rapporte pas à une pratique qui subsistait
d’alors. Le peuple d’Israël venant de sortir d’Egypte, il s’agit tout simplement de l’établissement
d’une mesure corrective se rapportant à une éventualité ou l’avenir (comme c’est le cas dans les
chapitres 21 à 23 généralement) et non d’une loi qui présenterait la procédure à suivre pour le
mariage comme le prétend Gédéon.
Maintenant, voyons où nous mène la mesure corrective à travers le « Si ». La grammaire précise que
si l’apodose « q » est au futur ou au futur antérieur ou au présent à valeur de futur ou à l’impératif,
l’hypothèse porte sur l’avenir (potentiel du futur). https://www.cnrtl.fr/definition/SI
Exemple :
Il est facile de comprendre selon la formule suivante : si la chose arrive, voici ce qu’il faut faire
[Cause] [Nécessité]
Or, la nécessité désigne ce qui doit être, ce qui ne peut pas ne pas être. Ce à quoi on ne peut
échapper.
Par déduction donc, il est plus raisonnable et clair de confirmer que ce verset vient pour proposer des
mesures correctives (nécessité : sanction, correction) s’il arrivait que la pratique du mariage soit
mise en cause (cause : mauvaise action). C’est une loi qui instruit sur la sanction et non un
encouragement.
Mariage d’Abraham : La bible ne relate pas. Mais, sa femme Sara était sa demi-sœur. Gen 20 v 12.
Mariage de Sichem et Dina (fille de Jacob) (5) : Genèse 34 (cas de viol mais recadré)
v.1 - Concernant la fille : Et Dina, la fille de Léa, qu’elle avait enfantée à Jacob…
v.2 - Viol de la fille (6) : Et Sichem, fils de Hémor, … la vit, l’enleva, coucha avec elle et lui fit violence.
v.3 – Réparation (7) : Son âme s’attacha à Dina, …il chercha à gagner le cœur de la jeune fille par ses paroles.
v.6 - Présence des parents de la fille : Et Hémor, père de Sichem, sortit pour parler à Jacob.
v.8 - Autorité du père de l’homme : Et Hémor leur parla ainsi… donnez-la-lui, je vous prie, pour femme
v.12 - Proposition de dot : Imposez-moi une forte dot (1) et de grands présents (2) … et donnez-la- moi pour femme.
v.13 - Accord des parents de la fille : Les fils de Jacob répondirent à Sichem et à Hémor…qui agréèrent leurs dits
v.19 – Dot (1) : Et le jeune homme ne tarda pas à faire la chose, car il était épris de la fille de Jacob
v.26 - Déplacement de la fille chez l’homme : … ils prirent Dina de la maison de Sichem et sortirent.
NB : Mohar : sorte de compensation entre l’homme et les parents de la fille.
(1) (2)
Mattan : dons ou présents de l’homme à la
fille. (5) (6) (7) Un cas de viol qui a été régularisé mais a fini tragiquement (voir aussi Deut. 22 v 28-29).
ou personnes) des parents à leur fille (1 Rois 9 v 16 ; Josué 15 v 19 ; Juges 1 v 15 ; Genèse 31 v 14-15).
comme l’acte qui engagerait les fiançailles (2 Samuel 3 v 14-15 ; 1 Samuel 25 v 44 après enlèvement de
Mical par Saül). C’est donc à juste titre que nous faisons la différence entre les fiançailles et la
consommation du mariage (nuit de noce). En effet, on pouvait fiancer la fille sans encore l’avoir récupérée
(Deut. 20 v 7). (13)Aucun récit ne se rapporte à la consommation du mariage, mais nous pourrons tenir compte de la
coutume. Par ailleurs, on pourrait constater que Mical habitait soit dans la maison de David (elle reçue l’information
par quelqu’un et en informa David), soit dans la maison de son père (elle reçue l’information directement et en informa
David) (1 Samuel 19 v 11).
« Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie (au départ vierge), sa mère,
ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu'ils eussent
habité ensemble ».
« Mais Joseph, son époux, étant juste, et ne voulant pas l’exposer à la honte, résolut de la répudier
secrètement ».
Questions :
Quelle est la différence entre « une vierge non fiancée » (Exode 22 v 16-17) et « une vierge
fiancée » (Deut. 22 v 23) ?
Bien-sûr il trouvera certainement une différence. Mais faisons la différence selon les Ecritures.
Une vierge non fiancée : C’est la propriété de la famille, des parents. Elle est réservée vierge pour
l’homme qui fera la joie de son cœur et de sa famille. Ainsi, elle témoigne
de son propre honneur et de celui de sa famille ( Genèse 34 ; Cantique 8 v 8 ;
(Deut. 22 v 28-29).
Il faut cependant reconnaitre que les fiançailles (union des âmes) selon les Ecritures, bien que
considérées comme la première étape du mariage, ont la même valeur juridique et spirituelle que le
mariage consommé (union des corps) (Osée 2 v 19-20). Ainsi, l’on n’a pas le droit de divorcer tout
comme c’est pour l’acte de mariage. C’est la civilisation occidentale qui a perverti le sens de ce mot.
Aussi, il est indispensable de souligner que les termes « vierge » et « fiancée » vont de pair, et ne
sont aucunement dissociable dans la mesure où pour être fiancée, il faut être vierge.
Mais y’a-t-il un moment pour être fiancé et un moment pour consommer le mariage ?
« Et qui est l'homme qui s'est fiancé une femme (['Aras] : fiançailles) et ne l'a pas encore prise
([laqach] : prendre possession, c’est-à-dire : cohabiter et consommer le mariage) ? Qu'il s'en aille et retournes
chez lui, de peur qu'il ne meure dans la bataille et qu'un autre ne la prenne » (Deut. 20 v 7)
Ce verset montre qu’il y’a un temps pour fiancer la fille (vierge) et un temps pour la récupérer (pour se
réjouir). Dans ce contexte de la guerre, il était autorisé à ceux qui n’avaient pas encore consommé
leur mariage (pris possession) et ceux qui étaient nouvellement marié (Deut. 24 v 5) de se libérer.
NB : Selon Deutéronome 22 v 13-21, le mariage devait être consommé et la virginité de la fille devait être prouvée au
cas où il aurait eu diffamation.
CONCLUSION : Il serait plus intéressant de laisser à chacun de tirer sa propre conclusion après
la lecture de cet exposé si long et ennuyant semble-t-il, mais nous vous donnons notre part de vérité :
Gédéon est un bon érudit et serviteur de Dieu, mais tout comme Apollos qui bien qu’étant versé
dans les Ecritures, mais a été instruit plus exactement, il faut savoir se soumettre (Actes 18 v 24,16).
La Bible recommande les fiançailles dans sa valeur d’origine (avec la dot) avant la
consommation du mariage (le sexe).
Documents à lire :
https://wikipredia.net/fr/Erusin
https://jewishencyclopedia.com/articles/3229-betrothal
https://www.persee.fr/docAsPDF/adh_0066-2062_1993_num_1993_1_1839.pdf
https://excerpts.numilog.com/books/9782307173526.pdf
https://archipel.uqam.ca/7242/1/D2752.pdf
https://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1935_num_79_2_76595#:~:text=Le%20mohar%20ne%20consiste%20pas,fut%20le%20cas%20de%20Jacob .
https://bazhum.muzhp.pl/media/files/The_Biblical_Annals/The_Biblical_Annals-r2014-t4-n1/The_Biblical_Annals-r2014-t4-n1-s9-41/The_Biblical_Annals-r2014-t4-n1-s9-
41.pdf
https://wikipredia.net/fr/Erusin#cite_note-JewEncBet-1
https://sfcbelgium.net/wp-content/uploads/2019/01/D%C3%A9roulement-du-mariage-juif-%C3%A0-l%C3%A9poque-de-J%C3%A9sus.pdf