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ARGUMENT CONTRE LES JUIFS

1-Pas de miracles :

Définissons d'abord ce qu'est un miracle. Le miracle est, selon Wikipédia, « un fait extraordinaire,
dépourvu d'explication scientifique, qui est alors vu comme surnaturel et attribué à une puissance
divine. Il est accompli soit directement, soit par l'intermédiaire d'un serviteur de cette divinité. ».
Les miracles ne sont pas à confondre avec les prodiges qui sont des événements surprenants qui
arrivent contre le cours ordinaire des choses, le « Petit Robert » nous dit que le prodige est un
« événement extraordinaire, de caractère magique ou supranaturel, invoquez un démon et il vous
fera un prodige.
Cette base étant pausé, juifs, où sont vos miracles ? Que vous cherchiez des jours, des mois, des
années, vous n'en trouverai pas chez vous qui ne datent d'avant l'arrivé de Notre Seigneur Jésus
Christ. Cela est la prouve la nature de votre déicide. Le christianisme, instauré par Notre Seigneur
Jésus Christ, est la seul religion à encore présenter des miracles, donc, à être porté par le Dieu
Unique.

2-Religion impraticable : (règles tordues du talmud)

3-Pas de sacrifices :

Plus de temples donc plus de sacrifices (pas de temple de Jérusalem qui est couvert par une
mosquée) quand les romains ont voulu le reconstruire (par 2 fois) sous l'empereur Julien l'apostat,
ils ont été empêché par des boules de feu qui tombaient du ciel (mais quand une mosquée a été
construite dessus, aucun problème (ça prouve que Dieu considère l'islam comme un moindre de mal
que le judaïsme)

4-Avec Deutéronome 28, on sait que Dieu a maudit votre peuple parce qu'il a été infidèle (si la
malédiction persiste c'est que vous êtes encore infidèle) :

''Mais si tu n'obéis pas à la voix de Yahweh, ton Dieu, pour observer et mettre en pratique tous ses
commandements et toutes ses lois que je te prescris aujourd'hui, voici toutes les malédictions qui
viendront sur toi et t'atteindront:
(...)
Vous ne resterez plus qu'un petit nombre, après avoir été nombreux comme les étoiles du ciel, parce
que tu n'auras pas obéi à la voix de Yahweh, ton Dieu. De même que Yahweh prenait plaisir à vous
faire du bien et à vous multiplier, ainsi Yahweh prendra plaisir à vous faire périr et à vous détruire;
et vous serez arrachés de la terre où tu vas entrer pour la posséder. Yahweh te dispersera parmi tous
les peuples, d'une extrémité de la terre à l'autre, et là, tu serviras d'autres dieux que n'ont connus ni
toi ni tes pères, du bois et de la pierre. Parmi ces nations mêmes, tu ne seras pas tranquille, et il n'y
aura pas un lieu de repos pour la plante de tes pieds; là Yahweh te donnera un cœur tremblant, des
yeux éteints, et une âme languissante.''
Votre infidélité a fait de vous un peuple apatride, vous voilà désormais dispersés dans le monde
entier et minoritaires dans chacun des pays que vous habitez.

5-L'Enfer existe :

L'enfer se doit d'exister puisque Dieu nous a fait libre. Libre de choisir le bien ou le mal. Choisir le
mal, et ainsi renoncer à Dieu pour le péché, représente une offense si grande à son créateur qu'un
châtiment doit être prononcé. En effet, Dieu est juste et fait la justice -
Psaume 9:17 « L'Éternel se montre, il fait justice... »

Sophonie 3:5 « Chaque matin il produit à la lumière ses jugements, Sans jamais y manquer.... »

Psaumes 11:7 « Car l'Éternel est juste, il aime la justice; Les hommes droits contemplent sa face »

…et il ne serait pas juste de ne pas punir d'iniques personnes pour leurs iniquités. Dieu est amour
parce qu'il nous laisse le temps de nous repentir et de gagner le ciel, mais aussi, parce qu'il respecte
notre choix quant à notre destination. Dieu veut notre bonheur et nous donne la possibilité de le
rejoindre (Ésaïe 55.10) mais nous garde temporairement sur Terre pour apporter une composante de
mérite à notre salut.

Aussi, l'enfer se doit d'être éternel pour, 2 raisons :

-Dieu est infini, donc une offense à un être infini se doit d'être accompagné d'une peine infinie.

-La seule condition qui compte pour l'homme est la condition présente, ainsi si la peine infernale se
termine à un moment donné, alors, à ce moment précis, la condition de la personne serait un état
exempt de punition. Le résultat final de l'individu serait qu'il ne serait pas punit du tout. Par
conséquent, une punition qui ne serait pas éternelle ne serait pas une punition.

La peine infernal est une flamme, Dieu à choisi cela pour que le pécheur comprenne le mal que
représente la perte de Dieu et l'horrible péché.

6-Les Prophéties réalisées :

Toute les prophéties réalisées par Notre Seigneur Jésus-Christ prouvent la messianité du Fils de
l'homme. Toutes celle de l'Ancien Testament ont été accomplis par lui. Les regrouper dans leurs
entièretés prendrait un temps considérable, aussi c'est pour cela que j'en ai sélectionne quelques une
du prophète Isaïe, du roi et prophète David, et enfin du prophète Nathan.

Isaïe 57 :
"Mais lui, il a été transpercé à cause de nos péchés, broyé à cause de nos iniquités ; le châtiment qui
nous donne la paix a été sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions
tous errants comme des brebis, chacun de nous suivait sa propre voie ; et Yahweh a fait retomber sur
lui l'iniquité de nous tous. C'est pourquoi je lui donnerai sa part parmi les grands; il partagera le
butin avec les forts. Parce qu'il a livré son âme à la mort et qu'il a été compté parmi les malfaiteurs ;
et lui-même a porté la faute de beaucoup, et il intercédera pour les pécheurs."

Psaume 69, 22:


" Ils me font boire du vinaigre"
[Matthieu 27,34 : ils lui donnèrent à boire du vin mêlé de fiel; mais, l'ayant goûté, il ne voulut pas le
boire.]

Psaume 38, 12:


"Me proches se tiennent à distance"
Après que Jésus a rendu son dernier souffle, Matthieu et Marc racontent que des femmes gardent
distance. Luc fait la même allusion au psaume 38,12 lorsqu’il précise, qu’au moment de la mort de
Jésus, tous ses amis se tenaient à distance
[Luc 23,49 : Mais tous les amis de Jésus se tenaient à distance, avec les femmes qui l'avaient suivi
de Galilée et contemplaient tout cela.]

Psaumes 34 :
"Ils veillent sur tous ses os, pas un seul n'est brisé"
Jean rapporte que lorsque les soldats viennent chercher le corps de Jésus, ils ne lui brisent pas les
jambes L'évangéliste y voit un accomplissement du Ps 34,21 qui décrit le juste souffrant.

[Jean 19, 36 : Car ces choses sont arrivées afin que l'Écriture fut accomplie: "Aucun de ses os ne
sera rompu."]

Psaume 19 :
"ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique."

[-Matthieu 27, 35 : Quand ils l'eurent crucifié, ils se partagèrent ses vêtements en les tirant au sort,
afin que s'accomplit la parole du Prophète: "Ils se sont partagés mes vêtements, et ils ont tiré ma
robe au sort."

-Marc 15, 24 : L'ayant crucifié, ils se partagent ses vêtements, tirant au sort ce que chacun en
prendrait.

-Luc 23, 34 : Mais Jésus disait: "Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu'ils font." Se partageant
ensuite ses vêtements, ils les tirèrent au sort.

-Jean 19, 24 : Ils se dirent donc entre eux: "Ne la déchirons pas, mais tirons au sort à qui elle sera":
afin que s'accomplît cette parole de l'Écriture: "Ils se sont partagé mes vêtements, et ils ont tiré ma
robe au sort." C'est ce que firent les soldats.]

Psaume 110 :
Yahweh a dit à mon Seigneur : "Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis
l'escabeau de tes pieds."

[-Matthieu 26, 64 : Jésus lui répondit: "Tu l'as dit; de plus, je vous le dis, dès ce jour vous verrez le
Fils de l'homme siéger à la droite du Tout-Puissant et venir sur les nuées du ciel."

-Luc 22, 69 : Désormais le Fils de l'homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu."]

Psaume 42 :
"Pourquoi es-tu abattue, ô mon âme, et t'agites-tu en moi ?"

[-Matthieu 26, 38 : Et il leur dit: "Mon âme est triste jusqu'à la mort; demeurez ici et veillez avec
moi."
-Marc 14, 34 : Et il leur dit: "Mon âme est triste jusqu'à la mort; restez ici et veillez."]

Psaume 22 :
"Tous ceux qui me voient se moquent de moi ; ils ouvrent les lèvres, ils branlent la tête :
"Qu'il s'abandonne à Yahweh ! Qu'il le sauve, qu'il le délivre, puisqu'il l'aime ! " "

[-Matthieu 27, 39-40 : Et les passants l'injuriaient, branlant la tête et disant: "Toi, qui détruis le
temple et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même! Si tu es Fils de Dieu, descends de la croix!"

-Marc 15, 29-30 : Les passants l'insultaient, en branlant la tête et disant: "Ah! Toi qui détruis le
temple et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, et descends de la croix."]

Psaume 22 :
"Ma force s'est desséchée comme un tesson d'argile, et ma langue s'attache à mon palais ; tu me
couches dans la poussière de la mort."

[Jean 19, 28 : Après cela, Jésus sachant que tout était maintenant consommé, afin que l'Écriture
s'accomplît, dit: "J'ai soif."]

Psaume 22 :
"Car des chiens m'environnent, une troupe de scélérats rôdent autour de moi; ils ont percé mes pieds
et mes mains"

Le Christ crucifié.

De plus, les généalogies de La Très Sainte Vierge Marie (Luc 3, 23-38) et du Très Saint Patriarche
Saint Joseph (Matthieu 1, 1-17) nous montrent bien que Notre Seigneur Jésus-Christ est bien le
digne héritier du roi David. L'ascendance davidique de Notre Seigneur est même double. Joseph et
Marie avaient pour ancêtres deux des fils de David : Le Roi Salomon, dont la descendance est
relatée dans l’Évangile de Saint Matthieu, et Nathan dont la postérité a été décrite par Saint Luc.
Ces deux lignées se rejoignirent saliquement avec Zorobabel. Cela implique aussi que Notre
Seigneur Jésus-Christ est le dernier Roi légitime des Juifs par un effet d’alliances faisant rejoindre
en Joseph et Marie sa mère la descendance de David par le droit du SCEPTRE et du SANG. Notre
Seigneur Jésus-Christ mourut sur la Croix reconnu comme Roi légitime de Juda. La promesse de
Dieu à David (que l'on trouve dans 2 Samuel 7 et dans 1 Chronique 17, 11-14) à donc pour
dépositaire Notre Seigneur Jésus-Christ.

7-La Kabbale est une fraude :

Que nous disent les Kabbalistes :


Avant que Dieu se fût manifesté, lorsque toutes choses étaient encore cachées en lui, il était le
moins connu parmi tous les inconnus. Dans cet état, il n'a pas d'autre nom que celui qu'exprime
l'interrogation. « Il commença par former un point imperceptible : ce fut sa propre pensée ; puis il se
mit à construire avec sa pensée une forme mystérieuse et sainte; enfin, il la couvrit d'un vêtement
riche et éclatant : nous voulons parler de l'Univers dont le nom entre nécessairement dans le nom de
Dieu » Tout philosophe sérieux demandera : Que veut dire ce vase aussi resserré qu'un point? Que
veut dire : a II commença par former un point imperceptible, qui fut sa propre pensée? » Que veut
dire : « II se forma une source? » Ce ne pouvait être ni un vase matériel, ni un point mathématique,
ni une source d'eau. — Ce fut sa pensée, I'Ensoph commença donc à penser. Si de toute éternité il
n'avait pas pensé, comment a-t-il pu commencer à penser, puisque dans l'éternité il n'y a ni
succession, ni de d'abord, ni d'ensuite, pas de passé, pas de futur?

La raison demande : Comment l'Infini a-t-il pu penser sans intelligence, puisque l'Intelligence n'est
que la troisième des Séphiroth supérieures? Comment désirer sans volonté? Ce n'est pas
l'intelligence qui émane de la pensée, mais la pensée qui émane de l'intelligence, et ce n'est pas la
volonté qui émane du désir, mais le désir qui émane de la volonté. Est-ce avec ce renversement de
l'ordre psychologique existant entre l'intelligence et la pensée, et entre la volonté et le désir, que le
paganisme débute dans sa philosophie?Quelle audace des Juifs kabbalistes d'offrir une telle doctrine
antirationnelle a des hommes qui savent penser !

Outre cette faute grossière contre la logique et la psychologie, il y a le péché originel de tout
système panthéistique, que les francs-maçons doivent aveuglément et implicitement admettre, s'ils
veulent mériter le nom de francs-maçons. Dans tous ces systèmes c'est le passage de l'Infini au fini
qui présente au penseur sérieux l'aspect d'une manœuvre
frauduleuse. Salomon, une grande autorité invoquée par les maçons, dît à Dieu : « Vous réglez
toutes les choses avec nombre, poids et mesure. » C'est dans le nombre, dans la mesure et dans le
poids qu'il faut chercher la différence entre l'Infini et le fini; car en Dieu, il n'y a ni nombre, ni
poids, ni mesure. Dans l'Infini ces catégories sont élevées au-dessus d'elles-mêmes, et se perdent
dans une unité supérieure. Expliquons cette vérité fondamentale, puisque « la ligue des hérétiques
(dit le pape Innocent III dans un sermon
contre les Albigeois) doit être détruite par une instruction (idole; car le Seigneur ne veut pas la mort
du pécheur, mais qu'il se convertisse et qu'il vive ». Il n'y a pas de nombre actuellement infini; ce
que nous concevons comme nombre infini est la grandeur indéfinie
ou la série interminable des nombres. Tout nombre, quelque grand ou petit qu'il soit, peut être
augmenté et multiplié, diminué et divisé; mais aucune division de l'unité ne saurait le réduire au
zéro, ni aucune multiplication relever à l'infini actuel. Entre tout nombre actuel
et le nombre infiniment grand, ainsi qu'entre le nombre un et sa fraction infiniment petite, il y a une
distance absolument infinie et infranchissable. Pour franchir cet abîme entre un nombre actuel et le
nombre infiniment grand, il faut avoir recours a un nombre d'une nature supérieure, qui contient en
lui-même tous les nombres possibles. C'est le nombre divin : c'est le Un infini,— c'est l'unité de
Dieu.
De même, pour franchir la distance infinie entre un nombre actuel et le nombre infiniment petit, il
faut avoir recours à l'anéantissement de tous les nombres : au zéro, au néant.
Un point mathématique n'a pas d'extension, il ne peut être ni divisé ni grossi. Entre deux points,
placés a une distance quelconque, il est donc impossible de placer successivement un nombre
suffisant de points pour en former une ligne. Le nombre possible de points entre deux points est
infini; et l'infini ne saurait jamais être compté par des nombres successifs. Si vous voulez
comprendre le nombre actuellement infini de ces points, ayez recours à une chose supérieure, à la
ligne. La ligne embrasse d'un seul coup le nombre infini de tous les points possibles entre ses deux
limites. Un nombre actuellement infini, auquel on arriverait par addition ou multiplication, est
évidemment une impossibilité. Affirmer son existence serait non moins déraisonnable que de faire
un point mathématique d'une certaine longueur, ou une ligne mathématique d'une certaine largeur,
ou une surface mathématique d'une certaine épaisseur. Ceci est tellement clair et évident, qu'on voit
de suite la fausseté de l'assertion suivante : le nombre des grains de sable, des étoiles, des atomes est
actuellement infini ; infini le nombre des minutes, des années, des périodes ou des évolutions que le
monde doit avoir parcourues ou subies, en supposant qu'il ait existé de toute éternité. La
conséquence de ce raisonnement si lucide et si simple
est celle-ci : il est absolument faux, illogique et déraisonnable, d'affirmer que les évolutions passées
de l'univers sont en nombre infini; que la matière, sujette aux successions du temps, existe de toute
éternité;—enfin, que tout ce qui peut être mesuré, compté et pesé, est éternel, dans le sens strict de
ce mot.
Si nous ne voulons pas déraisonner, ni nous laisser éblouir par un lycopode sophistique quelconque,
déclarons-le fermement : l'éternité antérieure de l'univers est une fable absurde ; la doctrine
kabbalistique concernant l'Ensoph qui commença à penser, et celle des Yédas concernant Brahme
qui commença à désirer, brisent l'éternité en lui donnant un passé et un futur; elles sont par
conséquent des inventions antirationnelles, des tromperies, dont le but est visible, si Ton veut bien
en examiner et juger les conséquences.

La doctrine de la création ex nihilo, la seule raisonnable et vraie :

Si Ton prétend que la difficulté signalée d'un passage rationnel de l'Infini au fini se trouve de même
dans la doctrine de la création ex nihilo, on se trompe; car d'après cette doctrine, ce n'est pas
l'essence divine qui passe de l'Infini au fini, de l'éternité au temps; le monde n'est pas tiré de la
substance divine par une émanation quelconque, le faisant ainsi égal de Dieu, mais il est créé du
néant, et par conséquent il n'est nullement delà même essence que Dieu.
Pour façonner un monde d'une matière préexistante, une puissance finie suffit. Pour créer un monde
du néant, une puissance infinie est requise. Plus une puissance est grande, moins elle requiert de
matière pour en former quelque chose. La puissance de l’Éternel est infiniment grande ; donc elle
ne requiert pour créer ce monde qu'une matière infiniment petite, c'est-à-dire nulle, le néant. Former
quelque chose du néant s'appelle proprement créer.
Il est vrai que : ex nihilo nihil fit. Mais dans la création il n'y a pas seulement le nihilum, le néant; il
y a en outre le Tout-Puissant, et il n'est pas vrai de dire qu'avec le néant et le Tout-Puissant, rien ne
peut être fait; il est faux de dire : Ex nihilo nihil fit a Deo. Ensuite, le néant n'est pas la matière que
le Tout-Puissant aurait employée pour former l'univers : il n'est que le point de départ de l'œuvre
créée par la puissance divine. Dieu seul peut créer. La création requiert une puissance infinie.
Et si vous demandez pourquoi Dieu n'a-t-il pas créé l'univers plus tôt? je réponds qu'il l'a en effet
créé plus tôt et en même temps plus tard; parce que le plus tôt et le plus tard ne sont qu'un seul
moment dans l'éternité. Le temps a commencé avec le monde.

Et Dieu, qu'a-t-il donc fait avant de créer le monde?


Réponse. — Il n'y avait pas d'avant : cet avant coïncide, dans l'éternité, avec l'après. Le monde a été
créé au commencement.

Mais avant la création du monde, n'y avait-il donc pas un temps infini?
Réponse. — Non, il n'y avait aucun temps; un temps infini est une absurdité, et ce temps indéfini,
que nous nous imaginons avant la création, est une pure fiction. Mais quel est donc le passage de
l'éternité au temps, de l'immensité à l'espace, de l'infini au fini, de la divinité à la créature ?
Ce n'est pas un changement quelconque en Dieu lui-même, ce n'est pas une émanation, une
diminution, un développement, une évolution de l'intérieur de Dieu ; mais
c'est un commencement de ce qui n'existait pas. Cette transition, ce saut, ce passage de l'infiniment
petit au monde de l'extension veut dire ceci : il n'y a eu de changement que
dans la créature, sortie du néant et de la pure possibilité, pour commencer à exister en réalité.
L'éternité, l'immensité, l'infinité, la toute-puissance sont restées immuables
comme toujours!
Dans le dogme de la création il n'y a aucune contradiction, aucun non-sens, comme dans toutes les
doctrines panthéistiques sans exception; il n'y a aucune dérogation à la majesté divine, comme dans
la Kabbale juive, ni aucune superstition, comme dans l'adoration de l'«Architecte de l'Univers»,
dont les francs-maçons se rendent coupables, — espérons-le, sans le vouloir.

L'Ensoph comme Vide ou Néant absolu :

C'était une astuce vraiment diabolique de séparer l'essence infinie des trois personnes,
nécessairement subsistantes en elle d'une manière absolument inséparable. La raison humaine est
surprise et éblouie de cette pensée aussi fausse que hardie, et facilement elle cède la place à
l'imagination, dont l'auteur de cette fraude gigantesque peut dorénavant se jouer sans difficulté, pour
s'introduire lui-môme dans la sainte Trinité et être « semblable au Très-Haut ». Ce n'est que le
premier pas qui coûte; on l'a fait.
Avant d'apprécier cette doctrine fondamentale de la philosophie juive, remarquons les divers titres
non moins mystiques que pompeux dont la Kabbale désigne la Première Cause.
L'Ensoph est « l'Occulte des occultes », « l'Innommé » , « le Mystère des mystères », « la
Cause des causes » , « l'Ancien des anciens » , « le Vieux des jours », le « Tout », le «Non-Ètre » ,
le « Néant », le « Rien », etc. Il est représenté par un cercle vide qui doit être l'origine des dix
Séphiroth. Quoique lui-même ne soit pas un des nombres, il donne la valeur aux nombres. L'Arabe,
influencé par l'hébreu, nomme le zéro çafar, et le désigne par un cercle qui est, comme l'Infini de la
Kabbale, sans commencement, sans fin, et vide dans son intérieur. L'Ensoph et les dix Séphiroth
constituent ensemble le nombre mystique onze.
Philosophiquement, l'Être infini n'est pas en vide, mais, au contraire, la plénitude de l'Etre. La
Kabbale, en dépouillant l'idée de Potre de toutes les formes réelles, n'a gardé que l'idée abstraite de
Vexistence sans aucune substance. Elle confond, comme Hegel après elle, l'être qui désigne
l'existence et l'être qui désigne l'essence ou la substance. On ne peut admettre qu'une même chose,
sous le même rapport, soit et ne soit pas en même temps. Violer ce principe de la logique, c'est
renoncer à la raison même. Si par « être » la Kabbale entendent l'existence, il est absurde de dire
que la Première Cause, l'Ensoph, existe en même temps et n'existe pas; s'ils entendent la substance
ou essence, il est également absurde de dire que la Première Cause, l'Ensoph, est une substance et
en même temps n'en est pas une. Ils donnent un double sens au mot être quand ils affirment
que la Première Cause est en même temps « l'Être » et le « Non-Être ». Selon eux, il est « l' Être »
parce qu'il existe, et le « Non-Être » parce qu'il est vide de toute forme substantielle. « On entend
par le Non-Être, dit le Sepher Jetzirah, ce qu'on ne
conçoit ni par sa cause ni par son essence; c'est, en un mot, la cause des causes; c'est elle que nous
appelons le Non-Être primitif, parce qu'elle est antérieure à l'univers »
En vidant l'Infini de toute forme substantielle, il reste dans notre esprit, qui fait cette opération
d'abstraction, l'idée de l'existence. L'existence sans aucune substance n'est donc qu'une pure
abstraction qui n'existe nulle part, excepté dans la pensée de celui qui fait l'abstraction. Elle ne
pouvait donc pas avoir existé avant qu'il n'existât un être substantiel et intelligent. 11 est donc faux
que l'Ensoph, l'Être primordial absolu, ce vide infini, ait été la Première Cause de tout ce qui existe.
C'est par ce sophisme, en jouant sur le mot être, que la Kabbale, l'ancienne et la nouvelle, a pu se
donner une base philosophique.
En vérité, entendue comme Existence vide et purement abstraite, l'Ensoph n'est absolument rien, le
Rien ou le Vide absolu, incapable de désirer, de se révéler, etc. .
La Kabbale n'a donc ni raison ni logique en l'affirmant.

L'Ensoph comme plénitude absolue de l'être.

Le vrai Être infini, tel que les philosophes de bon sens le comprennent, n'est pas le Vide absolu de
toute essence, mais la plénitude absolue, de l'Être; toutes les réalités possibles y sont comprises dans
leur degré infiniment parfait.
Voilà la véritable idée de Dieu. Elle s'obtient, non en faisant disparaître les qualités substantielles
des êtres créés, mais en leur enlevant toutes bornes, toutes limites; ainsi
l'idée de la substance appartient également à la créature et au Créateur, mais d'une manière
essentiellement différente.
De cette sorte, l'Être infini est infiniment grand et absolument simple, comprenant en sa substance
toutes les perfections possibles dans un degré éminent et infini. Cet être absolu est, en raison de son
infinité, incapable de se diviser en produisant de son sein des Séphiroth plus ou moins limitées,
comme des rayons d'une lumière primordiale, ou comme des fleuves d'une source première,qui
s'affaiblissent et diminuent à proportion de leur éloignement, pour s'éteindre finalement et se tarir
complètement. En outre, dans l'Être réellement infini, l'Intelligence et la Volonté existent de toute,
éternité, non dans un état
latent non encore développé, mais dans leur perfection et énergie complètes, infinies et
immuablement actives. Si donc la Kabbale juive ou hégélienne veut considérer l'Ensoph, non
comme un zéro vide, c'est-à-dire comme la pure Existence abstraite de toute substance, mais plutôl
comme la plénitude de toute Substance possible, elle doit s'expliquer philosophiquement : il lui faut
des arguments tirés de la raison, et non pas seulement des images de la mer ou de la lumière, qui ne
sont pas infinies; elle doit nous démontrer qu'il n'est pas contre la nature même de l'Infini de
détacher de sa substance une parcelle quelconque, de faire jaillir de son sein une seule goutte ou une
seule étincelle, si petite soit-elle, sans affirmer implicitement la composition de l'Infini, sans
soutenir que par ses émanations cet Infini n'est ni amoindri en lui-même, ni augmenté en dehors de
lui, ni divisé dans son être, ni multiplié par de nouveaux êtres! Qu'elle nous explique comment les
formes émanées, les Séphiroth, ne constituent pas, si elles restent dans le sein de l'Ensoph, des
formes en lui-même, et qu'elles ne cessent pas d'être divines, si elles sortent de son intérieur. Il n'y a
pas de réponse philosophique à ces questions. Il suffit de les poser pour renverser tous les systèmes
panthéistiques et kabbalistiques. L'idée de Dieu est la plénitude infinie de toutes les perfections
possibles. L'idée de l'Ensoph kabbalistique est ou le Vide absolu, le Néant infini, un Zéro parfait, ou
un Être infini divisible, ce qui est une contradiction évidente. Dieu est l’Être suprême; l'Ensoph est
une abstraction purement mentale, une idole imaginaire, sottement adorée par les Juifs
kabbalistiques et les francs-maçons comme Cause Première.

8-Le dieu du Talmud n'est pas l’Éternel :

Le dieu du talmud n'est pas le vrai, il n'est pas bon et incite à commettre des iniquités.

Extraits du Talmud:

Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent
qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif.

Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs.
Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les
ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.

Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on
nomme porcs.

Dans Sanhedrin 11:1 : Tous les Israélites sont vertueux et hériteront la vie éternelle.”

Baba Bathra 10b : Les actes de l’Israël sont vertueux, mais les Gentils ( les chrétiens, musulmans,
non-juifs) sont capables seulement du péché.”

Kiddushin 49b déclare que : Les israélites possèdent 90 % de toute la sagesse, les Autres 10 % sont
dispersées parmi les Gentils.”

Sanhedrin 58b : “un Gentil qui frappe un Juif mérite la mort. frapper un Juif est dans les yeux de
Dieu l’attaque de la Présence Divine.”

Sanhedrin 37a : “ Quiconque détruit un seul Israélite, est considéré avoir détruit le monde entier “

Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare
les Non-juifs à des bêtes impures ».

Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente
dans une comparaison.

Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Même si un non-juif à la même apparence qu’un juif,
il se comporte envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.

Yebamoth 63a sur la Genèse 2:23 : “Adam avait des rapports sexuels avec tous les animaux dans le
Jardin d’Éden.”

Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme si
vous mangiez avec un chien.

Talmud, Yebamoth 98a: Tous les enfants des goyims (non-juifs) sont des animaux

Talmud, Zohar II 64b : Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour
les cochons, quand ils sont malades des intestins.

Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame

Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire
condamner un Non-juif.

Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un
Non-juif.
Talmud, Baba Mezia 24a: Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le
lui rendre

Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice
équitablement.

Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure(le taux d’intérêt) peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur
les apostats.

Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par
un Non-juif.

Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire.

Talmud – Babha Kama 113a: Les non-juifs ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la
disposition d’Israël.

Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double
sens, outout autre subterfuge.

Talmud, Abhodah Zarah 4b: vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains.

Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des Goym (chrétiens)devrait être abattu.

Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si
quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut
vite retirer l’échelle.

Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs)
revient à la même chose qu’une offrande à dieu.

Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort.

Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.

Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu.

Talmud, Iore Dea 158, 1 : En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas des ennemis, un juif ne
doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle. « Un Akum(non-juif) qui
n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un
danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins
qu’il ne te promette de te donner de l’argent ».

Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de
tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand
l’intention était d’abattre un animal.

Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres sous entendu des Non-juifs.

Talmud, Pesachim 49b : Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des
péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat.

Selon le Rabbin Eliezer : ” Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un membre du peuple de la
Terre (Traduction de Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de l’expiation
des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat “.Ses disciples répondirent : ” Rabbi ! Vous
devriez plutôt dire ‘de sacrifier’ un Goï (chrétien ou musulman, impur, non-juif). ” Mais il répliqua :
” En aucune façon ! Car le sacrifice nécessite une prière pour demander à dieu de l’agréer, alors
qu’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un.

Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif
vole d’un non-juif, il peut le garder.
Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme
frapper dieu.

Talmud, Sanhedrin 59a : Les Goyms qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël,
commettent un crime qui réclame la peine de mort.

Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un


péché.

Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.

Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les
idolâtres.

Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement.

Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif.

Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu.

Les non-juifs sont impurs:

Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.

Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah(sales, impures) depuis leur
naissance.

Zohar I, 131a : Les goyim souillent le monde. Le juif est un être supérieur.

Jalkut Rubeni Gadol 12b : Les âmes des goyim proviennent d'esprits impurs qu'on nomme porcs.

Babha Bathra 54b : La propriété d'un goy appartient au premier juif qui la réclame.

Badha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c'est pour tromper ou faire condamner
un goy.

Abhodah Zarah 54a : L'usure peut être pratiquée sur les goyim ou sur les apostats.

L’Éternel est bon et ne peut faire le mal.

Voici le Dieu miséricordieux de vos pères, celui que vous avez abandonné :

Osée 11 :

Quand Israël était enfant, je l'aimai, et dès l'Egypte, j'ai adressé des appels à mon fils. On leur a
adressé des appels et ils se sont détournés. Ils ont offert des sacrifices aux Baals, et de l'encens aux
idoles. Et moi, j'apprenais à marcher à Ephraïm, je les prenais par les bras, et ils n'ont pas compris
que je les soignais. Je les menais avec des cordeaux d'humanité, avec des liens d'amour; j'ai été pour
eux comme celui qui aurait soulevé le joug de dessus leurs mâchoires, et je me penchai vers lui et je
le fis manger. Il ne retournera pas au pays d'Egypte, et Assur, lui, sera son roi, parce qu'ils n'ont pas
voulu se convertir. L'épée sera brandie dans ses villes ; elle brisera les verrous et dévorera, à cause
de leurs desseins. Mon peuple est décidé à se séparer de moi ; on les appelle en haut, mais aucun
d'eux ne lève les yeux. Comment te délaisserais-je, Ephraïm, te livrerais-je, Israël ? Comment te
laisserais-je devenir comme Adma, te rendrais-je comme Séboïm ? Mon coeur se retourne en moi,
et toutes ensemble, mes compassions s'émeuvent. Je ne donnerai pas cours à l'ardeur de ma colère,
je ne détruirai pas de nouveau Ephraïm. Car je suis Dieu, moi, et non pas homme: au milieu de toi
est le Saint, et je ne viendrai pas dans ma fureur. Ils iront après Yahweh ; comme un lion, il rugira.
Quand il rugira, lui, ses fils accourront tremblants, de l'Occident. Ils accourront, tremblants comme
un oiseau, de l'Egypte, et comme une colombe, du pays d'Assur; et je les ferai habiter dans leurs
maisons, -oracle de Yahweh.

Jérémie 6, 16 :
Ainsi dit l’Éternel : Tenez-vous sur les routes, regardez et informez-vous des sentiers d’autrefois,
quelle est la bonne voie pour y marcher et trouver du repos pour vos âmes. Mais ils ont répondu :
Nous n’y marcherons pas !

Source :
-Zohar
-« La kabbale, ou, La philosophie religieuse des Hébreux », d'Adolphe Franck
-« La Franc-maçonnerie: synagogue de satan » de Leo Meurin
-Bible (ancien et nouveau testament)
-Talmud

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