Cours1 Logique Et Raisonnement 2021

Logique et raisonnement
Chapitre 1:
Dr. Nesrine AZOUZ ABDELADHIM
Slim Bechikh
Nesrine AZOUZ ABDELADHIM 1 08/01/2013
12/10/2021July 16, 2014
Règles à RESPECTER
Assiduité
Au-delà d’un quota minimum d’absence  Non validité de matière
Aucun retard n’est accepté sans billet de retard fourni par l’accueil
Modalités d’évaluations
Participation
Contrôle continu: 2 épreuves écrites (1h)
Partiels de fin de semestre

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Plan du cours
• Logique;
 Logique des propositions;
 Logique des prédicats;
Épreuve 1
• Raisonnement;
 Raisonnement direct;
 Raisonnement par l’absurde;
Épreuve 2
 Raisonnement par récurrence;
 Intuition et contre exemple
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Quelques motivations : Langage formel et langage naturel
« la somme de la racine carrée du quotient de 27 par 3 et du

produit de 2 et 7 »
Complexité
La complexité des phrases qui rend les choses plus compliqués, il faut parfois
plusieurs lignes et une phrase complétement incompréhensible, pour dire quelque
chose qui peut se résumer par une simple équation.
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Prenons par exemple cette phrase:

« les étudiants viennent voir le prof s’ils n’ont rien compris »
ambiguïtés
les ambiguïtés du langage courant peuvent conduire à des erreurs, et surtout

une preuve se doit indiscutable par définition, ce qui est impossible lorsqu'il y a
des ambiguïtés.
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Lorsque l'on définit un langage formel, on doit définir deux choses qui
caractérisent ce langage :
Un alphabet càd un ensemble de symboles (comme dans le cas des langages
naturels),
Une syntaxe càd un ensemble de règles qui définit quels mots appartiennent
au langage formel.
Un mot (on dit aussi chaine de caractère) est
une suite ordonnée de symboles, ces symboles
appartenant à un alphabet.
Slim Bechikh
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Lorsque l'on définit un langage formel, on doit définir deux choses qui
caractérisent ce langage :
Un alphabet càd un ensemble de symboles (comme dans le cas des langages
naturels),
Une syntaxe càd un ensemble de règles qui définit quels mots appartiennent
au langage formel.
Un langage formel est un ensemble de mots de

longueur finie défini par un alphabet et une syntaxe.
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Calcul des propositions: ASSERTION
En logique classique, on appelle « proposition » ou « assertion » ou «

expression logique » ou parfois « expression bien formée », une
phrase qui a un sens pour laquelle, on peut affirmer qu’elle soit vraie
ou qu’elle soit fausse, pas les deux en même temps.
une proposition est tout simplement une affirmation
VRAIE FAUX
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le principe du tiers exclu : une proposition est soit vraie soit fausse mais
pas autre chose. On dit que la « valeur de vérité » d'une proposition est «
vraie » ou « fausse ».
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Remarques
(1) Une phrase optative (qui exprime un souhait, par exemple « ainsi-
soit-il ! »), impérative (« Viens ! », « tais-toi !») ou interrogative
n’est pas une proposition.
« Ainsi-soit-il ! » ne pouvant être ni vraie ni fausse, elle exprime

uniquement un souhait de locuteur.
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Remarques
(2) « Je mens » n’est pas une proposition ;
En effet, si quelqu’un dit « je mens » alors si il dit la vérité alors il

ment et si il ment il dit la vérité : c’est le paradoxe du menteur.
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A chaque assertion A on associe donc soit la valeur (valeur de vérité)

vraie noté V, soit la valeur (valeur de vérité) fausse noté F.
Arbre de choix Table de vérité
V A
A F
F V
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Remarque :
Pour deux proposition A et B, on a : 22 = 4 possibilités
· A faux et B faux V A B
· A faux et B vrai V
F V V
· A vrai et B faux A B
V V F
· A vrai et B vrai. F
F F V
F F
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Calcul des propositions: Connecteurs logiques
Si A est une assertion et B est une autre assertion, nous allons définir
de nouvelles assertions construites à partir de A et de B.
A ? B
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Calcul des propositions: Connecteurs logiques
Connecteur logique
Un connecteur est un symbole ou un mot qui lie deux propositions, et
qui permet d’obtenir une nouvelle proposition dont la valeur dépend
des valeurs des deux anciennes propositions.
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Connecteurs logiques: « Non » (négation)
« Non » (négation)
C'est le connecteur le plus simple de tous. Considérons une proposition
A. La proposition « non A » est vrai si A est faux, et fausse si A est vrai.
Ce connecteur s’écrit symboliquement ¬A
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Connecteurs logiques: « Non » (négation)
« Non » (négation)
C'est le connecteur le plus simple de tous. Considérons une proposition
A. La proposition « non A » est vrai si A est faux, et fausse si A est vrai.
Ce connecteur s’écrit symboliquement ¬A
On peut illustrer cela dans un table de vérité

A ¬A
V F
F V
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Connecteurs logiques: « Ou » (disjonction)
« Ou » (disjonction)
La « disjonction » ou « somme logique » est le connecteur qui, à tout
couple de propositions (A, B) associe la proposition (A ou B), vraie si
l’une au moins des propositions A et B est vraie, fausse si A et B le sont.
Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˅ » (A ˅ B)
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« Ou » (disjonction)
La « disjonction » ou « somme logique » est le connecteur qui, à tout
couple de propositions (A, B) associe la proposition (A ou B), vraie si
l’une au moins des propositions A et B est vraie, fausse si A et B le sont.
Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˅ » (A ˅ B)

On peut illustrer cela dans un table de vérité A B A˅B
V V V
F F F
V F V
F V V
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A B A˅B
V V V
F F F
Par exemple Si : V F V
F V V
• A est l’assertion « Cette carte est un as »
• B est l’assertion « Cette carte est cœur »
Alors quand est-ce que l’assertion « A ou B » est vraie ?
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Considérons les deux phrases suivantes :
• Auparavant, les étudiants qui ont perdu sa mère ou son

père, bénéficient un tarif plein pour les bourses
d’études. « ou inclusif »
A B A˅B
V V V
F F F
V F V
F V V
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Considérons les deux phrases suivantes :
• Pendant la fête organisée par l’IA School, les étudiants

(de l’ IA School) ou les anciens élèves de l’ IA School
peuvent entrer gratuitement. « ou exclusif »
A B A˅B
V V F
F F F
V F V
F V V
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Connecteurs logiques: « Et » (Conjonction)
« Et » (Conjonction)
La « conjonction » ou « produit logique » est le connecteur qui, à tout
couple de propositions (A, B) associe la proposition (A et B), vraie si les
deux propositions A et B sont vraie, fausse sinon.
Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˄ » (A ˄ B)
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« Et » (Conjonction)
La « conjonction » ou « produit logique » est le connecteur qui, à tout
couple de propositions (A, B) associe la proposition (A et B), vraie si les
deux propositions A et B sont vraie, fausse sinon.
Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˄ » (A ˄ B)

On peut illustrer cela dans un table de vérité A B A˄B
V V V
F F F
V F F
F V F
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Par exemple Si :
• A est l’assertion « Cette carte est un as »
• B est l’assertion « Cette carte est cœur »
Alors quand est-ce que l’assertion « A et B » est vraie ?
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Connecteurs logiques: « si... alors » (conditionnel matériel)
« Si... Alors » (conditionnel matériel)

L’assertion « A ⇒ B » se lit en français « A implique B ».
Elle se lit souvent aussi « si A est vraie alors B est vraie » ou « si A alors B ».
A ⇒ B fausse dans le cas où A est vrai et B fausse, vraie dans les autres cas.
Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇒» (A ⇒ B)
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Connecteurs logiques: « si... alors » (conditionnel matériel)
« Si... Alors » (conditionnel matériel)

L’assertion « A ⇒ B » se lit en français « A implique B ».
Elle se lit souvent aussi « si A est vraie alors B est vraie » ou « si A alors B ».
A ⇒ B fausse dans le cas où A est vrai et B fausse, vraie dans les autres cas.
Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇒» (A ⇒ B)

On peut illustrer cela dans un table de vérité A B A⇒B
V V V
F F V
V F F
F V V
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Connecteurs logiques: «si et seulement si » (équivalence)
«si et seulement si » (équivalence)

L’assertion « A ⇔ B » se lit en français « A est équivalent à B ».
Elle se lit souvent aussi «A équivaut à B » ou «A si et seulement si B ».
et veut dire : « A le mème valeur de vérité que ».
Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇔» (A ⇔ B)
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«si et seulement si » (équivalence)

L’assertion « A ⇔ B » se lit en français « A est équivalent à B ».
Elle se lit souvent aussi «A équivaut à B » ou «A si et seulement si B ».
et veut dire : « A le mème valeur de vérité que ».
Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇔» (A ⇔ B)

On peut illustrer cela dans un table de vérité A B A⇔B
V V V
F F V
V F F
F V F
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on écrira « A ⇔ B » ou « A ⇒ B » uniquement lorsque ce sont des assertions

vraies.
Par exemple:
Si l’on écrit « A ⇔ B » cela sous-entend « A ⇔ B est vraie ».
Attention rien ne dit que A et B soient vraies. Cela signifie que A et B sont
vraies en même temps ou fausses en même temps.
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Langage de la logique propositionnelle
Nous pouvons définir maintenant le langage de la logique propositionnelle.

Alphabet & Syntaxe
L’alphabet de la logique propositionnelle est constitué :
1) d’un ensemble des formules atomiques

2) des connecteurs : ˅ ˄ ⇒ ¬ ⇔
3) des séparateurs (parenthèses) : « (» et «) »
Les parenthèses sont utiles dans les formules logiques

¬A ˅ B est différente de la formule ¬ (A ˅ B)
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Nous pouvons définir maintenant le langage de la logique propositionnelle.

Alphabet & Syntaxe
La syntaxe se définit comme suit :
1) Si A est une formule atomique alors A est une formule
2) Si A est une formule alors ¬A est une formule
3) Si A et B sont des formules alors A ˅ B est une formule
4) Si A et B sont des formules alors A ˄ B est une formule
5) Si A et B sont des formules alors A ⇒ B est une formule
6) Si A et B sont des formules alors A ⇔ B est une formule
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Deux propositions atomiques A et B sont dits logiquement équivalentes

Si elles ont la même valeur de vérité.
Deux propositions complexes sont logiquement équivalentes

Si elles ont la même évaluation
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Logique propositionnelle: Tautologie
On appelle « tautologie » ou « expression valide » ou « loi de la logique

propositionnelle », toute formule composée qui est toujours vraie, quelle que
soit la valeur de vérité des propositions atomiques qui la compose.
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Exemples de tautologies :
Identité A⇔A
A⇒A
Double négation A ⇔ ¬¬A
Idempotence A ⇔ (A ˅ A)
A ⇔ (A ˄ A)
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Commutativité A˅B⇔B˅A
A˄B⇔B˄A
Associativité ((A ˅ B) ˅ C) ⇔ (A ˅ (B ˅ C))
((A ˄ B) ˄ C) ⇔ (A ˄ (B ˄ C))
Distributivité (A ˅ (B ˄ C)) ⇔ (A ˅ B) ˄ (A ˅ C)
(A ˄ (B ˅ C)) ⇔ (A ˄ B) ˅ (A ˄ C)
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Absorption (A ˅ (A ˄ B)) ⇔ A
(A ˄ (A ˅ B)) ⇔ A
Loi de De Morgan ¬ (A ˅ B) ⇔ (¬A ˄ ¬B)
¬ (A ˄ B) ⇔ (¬A ˅ ¬B)
Conditionnel matériel (A ⇒ B) ⇔ (¬A ˅ B)
(A ⇒ B) ⇔ ¬(A ˄ ¬B)
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Démonstration:
Loi de De Morgan ¬ (A ˄ B) ⇔ (¬A ˅ ¬B)
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Exemple de démonstration:
Il suffit de comparer les deux assertions « ¬ (A ˄ B) » et « (¬A ˅ ¬B) » pour

toutes les valeurs possibles de A et B.
• Si A est vrai et B est vrai alors « (A ˄ B) » est vrai donc « ¬ (A ˄ B) » est
faux ;
• D’autre part (¬A) est faux, (¬B) est faux donc « (¬A ˅ ¬B) » est faux.
A B ¬ (A ˄ B) (¬A ˅ ¬B) ¬ (A ˄ B) ⇔ (¬A ˅ ¬B)
V V F F V
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Contraposition (A ⇒ B) ⇔ (¬B ⇒ ¬A)
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Equivalence matérielle (A ⇔ B) ⇔ (A ⇒ B) ˄ (B ⇒ A)
(A ⇔ B) ⇔ (A ˄ B) ˅ (¬A ˄ ¬B)
Exportation-importation ((A ˄ B) ⇒ C) ⇔ ((A ⇒ B) ⇒ C)
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Loi de Peirce ((A ⇒ B) ⇒ A) ⇒ A

Modus Ponens (A ⇒ B) ˄ A ⇒ B
Modus Tollens (A ⇒ B) ˄ ¬B ⇒ ¬A
Modus Barbara (A ⇒ B) ˄ (B ⇒ C) ⇒ (A ⇒ C)
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Logique propositionnelle: antilogie
On appelle « antilogie » ou « contradiction » toute formule composée, qui est

toujours fausse quel que soit la valeur de vérité des formules qui la compose.
On dit également que cette formule est « insatisfaisable ».
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Logique propositionnelle: antilogie
On appelle « antilogie » ou « contradiction » toute formule composée, qui est

toujours fausse quel que soit la valeur de vérité des formules qui la compose.
On dit également que cette formule est « insatisfaisable ».
Exemples :
A ¬A A ˄ ¬A
A ˄ ¬ A est une contradiction. V F F
F V F
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Logique propositionnelle:
Exemple :
Traduisez les propositions suivantes en langage propositionnel.
On note p : les chiens aboient et q : la caravane passe.
• Si la caravane passe, alors les chiens aboient.
• Les chiens n’aboient pas.
• La caravane ne passe pas ou les chiens aboient.
• Les chiens n’aboient pas et la caravane ne passe pas.

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Exemple:
Compléter les pointillés par le connecteur logique qui s’impose ⇒, ⇔, ⇐:
1. x ∊ R x2 = 4 …….. x = 2;
2. z ∊ C z = 𝑧𝑧̅ …….. z ∊ R;
3. x ∊ R x = π …….. e2ix = 1.
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Exemple:
A l’aide de la méthode des tables de vérité, dites si les formules suivantes

sont des tautologies.
((p ⇒ q) ∧ (q ⇒ r) ⇒(p ⇒ r)
((¬ p ⇒ q) ∧ (¬ p ⇒ ¬ q)) ⇒ p
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Exemple:
Soit P, Q, R des propositions. Dans chacun des cas suivants, les

propositions citées sont-elles la négation l'une de l'autre ?
1. (P et Q) ; (non P et non Q) ;
2. (P ⇒ Q) ; (non Q ⇒ non P) ;
3. (P ou Q) ; (P et Q).
Slim Bechikh
12/10/2021July 16, 2014
Exemple:
Soit a, b, c des réels. Ecrire la négation des propositions suivantes :
1. a ≤ -2 ou a ≥ 3 ;
2. a ≤ 5 et a > -1 ;
3. a ≤ 5 ou 3 > c ;
Slim Bechikh
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Exemple:
Dans chaque cas, y a-t-il équivalence entre la proposition A et la proposition B
? Donner l’implication vraie, s’il y en a une.
A : Pour toute porte, il existe une clé qui l’ouvrant.

B : Il existe une clé, pour toute porte, la clé ouvre la porte.
A : Pour tout x 𝜖𝜖ℝ, il existe y 𝜖𝜖ℝ, y < x

B : Il existe y 𝜖𝜖ℝ, pour tout x 𝜖𝜖ℝ, y < x.
Slim Bechikh
12/10/2021July 16, 2014
Exemple:
Nier la proposition : “tous les habitants de la rue du Havre qui ont les yeux
bleus gagneront au loto et prendront leur retraite avant 50 ans”.
Slim Bechikh
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Logique et raisonnement

Dr. Nesrine AZOUZ ABDELADHIM

Au-delà d’un quota minimum d’absence  Non validité de matière

Contrôle continu: 2 épreuves écrites (1h)

Partiels de fin de semestre

« la somme de la racine carrée du quotient de 27 par 3 et du

Prenons par exemple cette phrase:

les ambiguïtés du langage courant peuvent conduire à des erreurs, et surtout

Un langage formel est un ensemble de mots de

En logique classique, on appelle « proposition » ou « assertion » ou «

une proposition est tout simplement une affirmation

« Ainsi-soit-il ! » ne pouvant être ni vraie ni fausse, elle exprime

(2) « Je mens » n’est pas une proposition ;

En effet, si quelqu’un dit « je mens » alors si il dit la vérité alors il

A chaque assertion A on associe donc soit la valeur (valeur de vérité)

Arbre de choix Table de vérité

Ce connecteur s’écrit symboliquement ¬A

Ce connecteur s’écrit symboliquement ¬A

On peut illustrer cela dans un table de vérité

Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˅ » (A ˅ B)

Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˅ » (A ˅ B)

• B est l’assertion « Cette carte est cœur »

Alors quand est-ce que l’assertion « A ou B » est vraie ?

Considérons les deux phrases suivantes :

• Auparavant, les étudiants qui ont perdu sa mère ou son

Considérons les deux phrases suivantes :

• Pendant la fête organisée par l’IA School, les étudiants

Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˄ » (A ˄ B)

Ce connecteur s’écrit symboliquement « ˄ » (A ˄ B)

• A est l’assertion « Cette carte est un as »

• B est l’assertion « Cette carte est cœur »

Alors quand est-ce que l’assertion « A et B » est vraie ?

« Si... Alors » (conditionnel matériel)

Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇒» (A ⇒ B)

« Si... Alors » (conditionnel matériel)

Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇒» (A ⇒ B)

«si et seulement si » (équivalence)

Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇔» (A ⇔ B)

«si et seulement si » (équivalence)

Ce connecteur s’écrit symboliquement «⇔» (A ⇔ B)

on écrira « A ⇔ B » ou « A ⇒ B » uniquement lorsque ce sont des assertions

Nous pouvons définir maintenant le langage de la logique propositionnelle.

1) d’un ensemble des formules atomiques

Les parenthèses sont utiles dans les formules logiques

Nous pouvons définir maintenant le langage de la logique propositionnelle.

Deux propositions atomiques A et B sont dits logiquement équivalentes

Deux propositions complexes sont logiquement équivalentes

On appelle « tautologie » ou « expression valide » ou « loi de la logique

On appelle « tautologie » ou « expression valide » ou « loi de la logique

On appelle « tautologie » ou « expression valide » ou « loi de la logique

Il suffit de comparer les deux assertions « ¬ (A ˄ B) » et « (¬A ˅ ¬B) » pour

Contraposition (A ⇒ B) ⇔ (¬B ⇒ ¬A)

Loi de Peirce ((A ⇒ B) ⇒ A) ⇒ A

On appelle « antilogie » ou « contradiction » toute formule composée, qui est

On appelle « antilogie » ou « contradiction » toute formule composée, qui est

On note p : les chiens aboient et q : la caravane passe.

• Si la caravane passe, alors les chiens aboient.

• Les chiens n’aboient pas.

• La caravane ne passe pas ou les chiens aboient.

• Les chiens n’aboient pas et la caravane ne passe pas.

Compléter les pointillés par le connecteur logique qui s’impose ⇒, ⇔, ⇐:

A l’aide de la méthode des tables de vérité, dites si les formules suivantes

Soit P, Q, R des propositions. Dans chacun des cas suivants, les