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Dr ALI MAJDOUB
LE 26 MARS 2015
PRÉAMBULE
AUCUN DES NOUVEAUX ANTIBIOTIQUES
PK/PD favorable
Cycling/mixing
E-S-K-A-P
HISTOIRE DES ATBs
1941- 1960 : peni G ,V macrolide VANCO 1956
Sterpto phénicolés COLIMYCINES 1947
Tetra
RESISTANCES
1960 – 1970 : Peni M ,A C1G AC fucidique 1963
quinolones genta rifampicine 1969
amino peni à large spectre 1965
RESISTANCES
1970 – 1980 : VANCO CARBOXY , UREIDO
COLI AMIKA
AC NALIDIXIQUE A FORTE DOSE PHOSPHO
RIFAMPICINE C2G
• Relais oral
• ERV
• PK/PD
LE LINÉZOLIDE
U-100592 éperézolide
U-100766 linézolide
Biodisponibilité 100%
entérocoquel
Antibiotique temps-dépendant, effet post antibiotique 02 h,
DES RESISTANCES
L’élimination du linézolide est principalement urinaire (85 %),
directe (30 %), ou sous forme de métabolites inactifs par
mécanisme oxydatif (50 %) .Seulement 10 % est excrété dans
les selles sous forme de métabolites.
Au total 65 % est éliminé sous forme de métabolites inactifs.
DIFFUSION
Gee T, Ellis R, Marshall G, Andrews J, Ashby J, Wise R. Pharma- cokinetics and tissue penetration of linezolid following multiple oral
doses. Antimicrob Agents Chemother 2001;45(6):1843—6.
600 mgx2/j IV ou PO
Association?
INDICATIONS
• Hors AMM
Relais oral d’infections chroniques à SARM (notamment endocardites ,infections
osseuses, pied diabétique et infection du système nerveux centrale
Mais surveillance NFS une fois par semaine et traitement ne dépassant pas 28 jours
Diep BA, et al. Effects of linezolid on suppressing in vivo production of staphylococcal toxins and improving survival outcomes in a
rabbit model of methicillin-resistant Staphylo-coccus aureus necrotizing pneumonia. J Infect Dis 2013;208(1):75—82.
LES GLYCO, GLYCOLIPO ET LIPO PEPTIDES
Molécules Firme
Daptomycine Novartis
Dalbavancine Pfizer
Oritanvancine Targanta
Télavancine Astellas
DAPTOMYCINE Cubicin®
Surveiller CPK+++
MÉCANISME D’ACTION
Bactéricide Concentration-dépendant
Synergie avec aminosides ++
Effet post-antibiotique prolongé (dose dépendant 04 h en moyenne)
Faible diffusion dans le LCR chez l’animal (5-6%)
Mais efficacité dans modèle animal de méningite à SASM et à
pneumocoque péni-R
INDICATIONS
Dalbavancine (BI-397):
semi-synthétique proche de la teicoplanine
Conserve une bonne activité sur les staphylocoques intermédiaires
aux glycopeptides, pas mieux que teicoplanine vis-à-vis des VRE
Très longue demi-vie (1000 mg à j1 suivie d’une seconde de 500 mg à j8)
Concentration au niveau du foie et du rein, avec une élimination urinaire
(40%sous forme inchangée)et biliaire
Contrairement au autres glycopeptides elles apparait comme concentration-
dépendante. action synergique avec l’oxacilline et la gentamicine sur le SARM
Antibiotique non néphrotoxique mais risque de : candidoses orales, troubles
digestifs(diarrhée, constipation et nausées), céphalées et fièvre
télavancine (TD6424):
PK/PD
EI
Nausées/vomissements chez un quart des patients,mais nécessitant
rarement l’arrêt du traitement
La dose de 50 mg n’est pas optimale pour le traitement des pneumonies
,les patients sont sous dosé et les résistances ainsi que les échec sont
fréquents. La dose optimale ?
Les modèles de simulation MONTE
CARLO
Pour les infection intra abdominales
et les infection des tissus moues la
dose de 100 mg /12h reste mieux
adapté
LES CARBAPENEMES
la stabilité des carbapénèmes aux β-lactamases est due à la trans-orientation
des atomes d’hydrogène en C5 et C6 et à la présence d’une chaîne hydroxyethyl en
C6 au lieu de la chaîne acylamino des pénicillines et des céphalosporines
L’AVENIR
Actif sur la paroi bactérienne par liaison et
TEIXOBACTIN inhibition du lipide II précurseur de peptidoglycane
structure
AVENIR ?
CONCLUSION