Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
(USIA-ESSIG)
1
Partie I : Les origines de la stratégie.
Le terme stratégie trouve son origine dans les mots grecs (stratêgos) « startos » qui signifie «
armée » « agos » qui veut dire « je conduis ».
D'après son étymologie, ce mot signifie donc : "l'art de conduire l’armée". La stratégie militaire
correspond à l’art de conduire des forces armées en vue de la victoire : il s’agit de réfléchir aux
voies et aux moyens qui sont nécessaires pour gagner.
La stratégie est l’art du général, l’art de celui qui mène les armées au combat
La stratégie militaire
Le grand théoricien militaire chinois Sun Tzu , auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus
ancien connu : L'Art de la guerre a décrit les principes de la guerre 500 ans av.J.C .SUN TZU.
L’art de la guerre. Flammarion, Paris, 1978
L'idée principale de l’œuvre de Sun Tzu « L’art de la guerre » est que l’objectif de la guerre est
de : Contraindre l’ennemi à abandonner la lutte, y compris sans combat, grâce à la tromperie,
l'espionnage et une grande mobilité
Le général prussien Karl von Clausewitz, a publié son Traité de la Guerre en 1832 dans lequel
il consacre une partie aux succès militaires de Napoléon. Selon Karl Von Clausewitz « la guerre
n’est que la poursuite de la politique mais par d’autres moyens »
Concentration des forces : met l’accent sur l’accumulation de moyens dans le temps et
l’espace pour assurer une supériorité décisive.
- Mobilité : la liberté d’action ou la capacité d’agir quelles que soient les circonstances.
2
- Économie des moyens : est la mise œuvre dynamique des moyens dans le but de rendre
l’action efficace. Dans les principes de la stratégie militaire, nous retrouvons tous les
ingrédients de.
- La stratégie d’entreprise : Les atouts, les ressources et compétences sur lesquels les efforts
vont idéalement s’appuyer (premier principe). L’adaptation au contexte concurrentiel,
technologique, social et de marché à laquelle il est nécessaire de procéder si l’entreprise
veut réussir (deuxième principe). La mise en œuvre efficace des moyens, sans laquelle la
stratégie demeurerait un vain exercice intellectuel (troisième principe).
3
Chapitre I : Le management de l’entreprise vue d’ensemble.
I- Notion de management :
Gérer c’est optimiser, atteindre les objectifs en minimisant les moyens mis en œuvre. »
→ Le terme « Gestion » peut se décliner dans différents contextes : gestion des ressources
humaines gestion de production
Le mot « direction » évoque la fixation d’un but et le maintien d’une trajectoire déterminée.
En management il s’emploie pour désigner une fonction qui regroupe un ensemble de décision
et d’actions : direction d’une organisation, d’une équipe.
Le terme « Direction » signifie la fixation des objectifs, mise en mouvement des hommes, prise
de décision, développement de la valeur économique d’une entreprise en tenant compte des
contraintes et des opportunités.
Le management : est l’ensemble des méthodes employées pour diriger, gérer une organisation
ou un projet en vue de la réalisation d’un objectif et en optimisant la mise en œuvre des
ressources matérielles et humaines.
1. Finalisation
2.Organisation
Définition des structures, des mécanismes de coordination, des organigrammes, des procédures,
des mécanismes de gouvernance de l’organisation, etc. Constitue l’ossature organisationnelle
et humaine du fonctionnement interne de l’organisation
4
3. Animation des hommes
Définir les mécanismes de gestion des ressources humaines. Suscite l’adhésion des personnes
aux finalités et aux modes d’organisation de la structure
4. Contrôle
Vérifie à la fois la cohérence entre les objectifs et les résultats, le respect des principes
d’organisation. Conduit aux mesures correctives et aux processus d’apprentissage
organisationnels internes.
Finalisation regroupe les activités relatives à la définition des objectifs, à leur hiérarchisation,
leur planification et leur déclinaison en plan d’actions, méthodes, normes….
Animation repose sur les qualités incitatives des managers et de l’entreprise, comme le
leadership, la motivation, la communication, la culture organisationnelle, …
Contrôle définit les critères de performances, mesure les écarts et met en place les actions
correctives lorsque cela est nécessaire.
1. Définition de la décision
Les étapes de processus de décision ont été formalisées par H. Simon et sont connues sous « le
modèle IMC ».
5
CHOIX Optimal : Une meilleure solution compte tenu des contraintes
« Dans le processus de décision, on choisit les alternatives censées fournir les moyens adéquats
d’atteindre les fins fixés »
Herbert Simon estime que la rationalité du décideur n’est en faite qu’une rationalité limitée.
Face à un problème, le décideur ne cherche pas forcément la solution optimale, il s’arrête
souvent à la première solution qu’il juge satisfaisant
3- Typologique de décisions :
Identification aisée des relations de cause à effet. Décisions répétitives, courantes, nécessitant
des informations simples Comme la paie des salaires, la facturation des commandes…
Les informations nécessaires sont plus ou moins fiables, difficiles à obtenir. Le choix entre
plusieurs solutions sans savoir si ce choix sera optimal.
Ces décisions reposent sur le processus mental du décideur, l’intuition et l’apprentissage jouent
un rôle majeur.
6
- Degré d’incertitude : avenir certain, incertain ou aléatoire.
Igor ANSOFF distingue les décisions selon leur niveau d’importance : stratégique, tactique,
opérationnelle
Igor ANSOFF distingue les décisions selon leur niveau d’importance : stratégique, tactique,
opérationnelle
Management stratégique :
• Ambigu/incertain
• Complexe
• Concerne l’ensemble de l’organisation
• Traite de problèmes fondamentaux
• Implications à long terme Management opérationnel
• Routinier
• Spécifique à chaque fonction
• Implication à Court terme
7
Le management stratégique : se définie comme l’ensemble de décision et actions ayant pour
résultat la formulation et exécution des stratégies conçues pour atteindre les objectifs de
l’organisation (John A Pearce II et Richard B Robinson, Junior)
Le management stratégique : est le niveau le plus élevé du management qui donne l'orientation
générale de l'entreprise. Le but du management stratégique est de :
2. Décisions administratives → Gestion des ressources et mise en place des structures (assurer
l’acquisition et le développement des ressources financières, matérielles et humaines).
Partie prenante
Partie prenante : « Tout groupe ou individu qui peut être affecté ou est affecté par les buts de
l’organisation … » (Edward Freeman – 1985)
8
Parties prenantes primaires ou principales, essentielles, qui ont une relation formelle
avec l’entreprise (clients, associés et actionnaires, prêteurs, salariés, fournisseurs,
collectivités).
Parties prenantes secondaires : qui influencent indirectement l’entreprise (groupes de
pression, associations, ONG, médias, agences de notation, …).
2. Mission de l’entreprise :
Propos fondamental de l’organisation, en rapport avec les valeurs et les attentes des parties
prenantes.
Que sommes-nous ?
Qu’est notre affaire ?
Que voulons-nous être ?
Dans quelle activité nous situons-nous ?
9
Exemple
Google : « Organiser les informations à l’échelle mondiale dans le but de les rendre
accessibles et utiles à tous »
British Airways « offrir une qualité de prestation inégalée, pour que BA soit toujours le
premier choix des clients »
Danone : « Apporter la santé par l’alimentation au plus grand nombre »
Les buts correspondent à des dimensions générales, sans horizon temporel défini.
Les objectifs sont des résultats que l’entreprise se propose d’atteindre à une date donnée
Buts et objectifs permettront tout à la fois de motiver le personnel, d’orienter les actions, de
bâtir une certaine image interne et externe de l’entreprise et de fournir une base d’évaluation
des performances.
N.B :
4. La stratégie :
Mise en place d’un cadre de référence pour la prise de décision : politiques, guides
d’action, codes de conduite…
Orienter et de canaliser les initiatives.
10
La stratégie permet de positionner l’activité globale de l’entreprise dans son
environnement.
11
CHAPITRE II : Définition et particularités du management stratégique.
Le management stratégique est le niveau le plus élevé du management qui donne l'orientation
générale de l'entreprise.
Volet planification
Élaborer la stratégie de l’entreprise, c’est choisir les domaines d’activités dans lesquels
l’entreprise entend être présente et allouer des ressources de façon à ce quelle s’y maintienne et
s’y développer. « Strategor HEC »
12
Se développer.
S'engager dans de nouvelles activités.
Se retirer de certaines activités.
La stratégie, selon son niveau d’application, est ainsi différente : plus conceptuelle lorsque c’est
l’ensemble de l’entreprise qui est concernée, plus orientée marché et concurrence lorsque nous
parlons des activités et enfin, opérationnelle et orientée vers l’action quand ce sont les fonctions
qui sont touchée.
Le modèle « LCAG » (Learned, Christensen, Andrews & Guth 1965 - École du design -
Harvard), également connu sous l’acronyme « SWOT » est un Modèle centré :
13
3. Création et évaluation de toutes les possibilités d’action (= stratégies)
5. Choix des manœuvres stratégiques en fonction des ressources et mise en œuvre des stratégies.
(Identification des différents Domaines d'Activité. Stratégique(DAS) sur lesquels est présente
l’entreprise)
Étape III : Le choix d'une stratégie générique (stratégie d'activité (business strategy)) pour
l'entreprise sur chacun de ses segments
3. La segmentation stratégique :
Cette première étape vise à identifier, au sein de l’activité globale de l’entreprise qui se présente
souvent comme un ensemble confus de produits, de marchés, de technologies, d’outils de
production, etc., les ensembles pertinents homogènes du point de vue de la formulation de la
stratégie, et donc de l’allocation des ressources, à partir desquelles on pourra construire la
réflexion stratégique.
14
3.1. Définition d’un DAS
Un DAS regroupe des activités qui mettent en œuvre les mêmes compétences et qui se
caractérisent par la même combinaison de facteurs clés de succès (FCS).
La notion de FCS renvoie donc à une compétence, une ressource, un actif qui permet à
l’entreprise de réussir à réaliser l’activité mieux que ses concurrents
Exemple dans l’industrie du luxe, les FCS sont la notoriété, la stylique, le réseau de distribution
Types de besoins.
Produits
Clientèles,
Zone géographiques.
Technologies.
Canaux de distribution
15
Rôle de la segmentation stratégique pour l’analyse et la prise de décision
Sur chaque DAS l’entreprise doit obtenir la combinaison idéale de facteur clés de succès afin
de générer un avantage concurrentiel. Chaque DAS peut faire l’objet d’une stratégie spécifique.
La segmentation marketing s’appuie sur le constat qu’un marché est rarement homogène, et
qu’il se compose d’un ensemble d’acheteurs aux besoins, aux modes d’achat et aux
comportements différents. La segmentation marketing induit le marketing mix : caractéristiques
des produits, publicité, distribution, force de vente et politique de prix.
La segmentation stratégique
Concerne les activités de l’entreprise considérée dans son ensemble. Vise à diviser ces activités
en groupes homogènes qui relèvent :
- De la même technologie
- Des mêmes marchés
- Des mêmes concurrents
Permet de révéler :
- Des opportunités de création ou d’acquisition de nouvelles activités
- Des nécessités de développement ou d’abandon d’activités actuelles.
Provoque des changements à moyen et long terme
La segmentation marketing
Vise à diviser les acheteurs en groupes caractérisés par les mêmes besoins, les mêmes
habitudes, les mêmes comportements d’achat.
Permet d’adapter les produits aux consommateurs, de sélectionner les cibles
privilégiées, de définir le marketing mix.
Provoque des changements à court et moyen terme.
16
Chapitre III : STRATÉGIQUES ET ENVIRONEMENT
L’entreprise ne peut pas travailler à vue. Quelle que soit l’étape de son existence elle doit :
➢ Un homme,
➢ Une idée,
➢ Un marché.
Compte tenu de la mortalité des entreprises, les stratégies de création sont particulières :
La phase d’une durée de 3 à 5 ans est une phase critique dans laquelle l’entreprise va tester ses
compétences tant au niveau productif que commercial. L’entreprise peut faire un diagnostic
externe pour connaître les opportunités et les contraintes, mais elle ne peut réaliser qu’un faible
diagnostic interne : elle sait qu’elle peut s’appuyer sur le métier de son créateur surtout si ce
dernier a une idée qui correspond bien à la demande du marché et a la volonté de réussir. Elle
connaît son financement, mais elle ne sait pas s’il va suffire pour les acquisitions
d’investissement et pour la couverture du besoin en fonds de roulement (pas de base d’analyse
financière) car il sera fonction du chiffre d’affaires et des conditions de stockage, de règlement
des clients et des fournisseurs. Elle ne sait pas comment vont réagir ses salariés (pas de
base d’analyse humaine), elle ne sait pas si son organisation va être optimale (pas de
base d’analyse organisationnelle) ; Elle connaît par contre la technologie des matériels
qu’elle compte acquérir mais n’en mesure peut-être pas les limites par manque
d’expérience. Elle ne sait pas comment va réagir le marché et la concurrence (pas de base
17
d’analyse concurrentielle) même si elle a effectué une étude de marché. Ainsi certaines
entreprises vont immédiatement réaliser le chiffre d’affaires et le bénéfice escomptés mais ce
n’est pas un gage de durabilité. En effet, combien d’entreprises appartenant à la « nouvelle
économie » ont eu une activité « feu de paille » et ont disparu du marché. D’autres entreprises
par contre vont devoir attendre pour récolter les fruits de leurs efforts. Ainsi Roland
Moreno qui a conçu la carte à puce a mis quelques années à rentabiliser son innovation car le
marché n’était pas prêt à utiliser son processus. On sait qu’il a eu raison de patienter et de
déposer et financer des brevets. Dans cette phase de création l’entreprise doit porter son
attention sur les points suivants et mettre donc en place des stratégies correspondantes.
18
Dirigisme ou partage des L’entrepreneur va-t-il C’est plus une méthode de
responsabilités ? être un dirigeant management qu’une
autocrate1 ou au stratégie.
L’organisation contraire un manager qui Mais à s’occuper d’organiser
délègue ? l’entreprise le manager risque
d’être moins vigilant dans ses
décisions stratégiques.
Accepte-t-on les pertes Doit-on limiter les pertes Va-t-on mettre en place une
pour les premières années ou les considérer comme stratégie de pénétration de
? Peut-on supporter un passage obligé marché en cassant les prix
financièrement aboutissant ensuite à des pour
les pertes les premières résultats positifs. faire du chiffre d’affaires et
années. prendre des parts de marché
La gestion tout
en acceptant les pertes ?
L’entreprise a-t-elle les
moyens financiers pour
mettre en place une stratégie
de domination par les coûts
?
1. Autocratie : Méthode de direction d’une entreprise autoritaire.
Les problèmes sont différents car l’entreprise est sur le marché, elle connaît mieux le
marché (offre des concurrents, demande des consommateurs, environnement mouvant). Elle
peut faire un diagnostic interne et externe. À partir de ses réalisations, elle peut fixer des
objectifs plus réalistes. Les problèmes générés sont liés à des questions de ce type qui vont
exiger des stratégies différentes :
19
Champs ou domaines Stratégies Difficultés, alternatives
Activité et produit Spécialisation continue ou L’entreprise peut-elle commencer à se
diversification ? diversifier dans des activités différentes
ou au contraire complémentaires ?
Produit Différenciation L’entreprise a-t-elle les moyens
techniques et financiers de se
différencier de la concurrence ?
Production Sous-traitance ou au contraire L’entreprise doit-elle acquérir de
intégration nouveaux moyens de production pour
augmenter sa capacité ou substituer la
production à la sous-traitance ?
Financement Fonds propres ou fonds Comment l’entreprise peut-elle financer
extérieurs son développement :
En privilégiant l’augmentation de
capital ou par le recours à l’emprunt ?
Si elle choisit l’augmentation de capital
ouvre-t-elle son capital à des étrangers
au risque de perdre le contrôle
Internationalisation L’entreprise veut-elle étendre son
ou maintien marché avec la nouvelle organisation
d’un périmètre local, que cela suppose
régional ou national
Distribution L’entreprise veut-elle pénétrer le marché
intensive ou en étoffant ses réseaux de
sélective ? distribution
2. Les choix stratégiques pour une entreprise implantée depuis plusieurs années sur le
marché
20
➢ Son financement : la CAF (capacité d’autofinancement) a permis de consolider l’assise
financière et les futures CAF permettent d’assurer le remboursement d’emprunts
dont les montants ne sont pas disproportionnés par rapport aux capitaux propres
➢ Son appareil productif et sa maîtrise des technologies. L’analyse technologique montre
des indicateurs au vert.
L’entreprise va mettre en place une planification de ses stratégies qui lui permettra de gérer
l’avenir. Elle pourra programmer diverses stratégies :
Mais même si tous les indicateurs sont au beau fixe, l’entreprise devra se méfier de
l’environnement. C’est pourquoi la planification devra sans cesse être remise à jour et des
décisions stratégiques nouvelles pourront voir le jour indépendamment des actions planifiées.
Rien n’est jamais acquis.
b. L’entreprise connaît des difficultés car son marché lui échappe en partie
Si la situation est dramatique l’entreprise doit lancer une stratégie de survie en liquidant des
actifs (cession d’une partie de ses activités) afin de financer son redéploiement. Elle effectuera
un recentrage sur le métier d’origine qu’elle maîtrise bien. On dit qu’elle renoue avec ses
facteurs clés de succès. Elle peut également essayer de trouver un nouveau produit innovant
pour relancer la machine et obtenir un monopole temporaire qui lui permettra d’engranger de
nouveaux profits donc de nouvelles liquidités. L’entreprise Apple malgré l’excellence des
produits fabriqués et une clientèle d’inconditionnels a connu des périodes de croissance
importante ponctuées de périodes de revers d’activité. Les difficultés techniques à
transférer des fichiers issus d’un ordinateur PC sur un ordinateur Apple ou vice versa et un prix
21
élevé du fait de l’importance des frais en recherche et développement pour mettre au
point des modèles sophistiqués, performants ont dissuadé ses clients les plus fidèles de
renouveler leurs acquisitions. En effet, sur le marché en pleine évolution des PC, les leaders,
challengers et suiveurs se sont fait une guerre sans merci ce qui a contribué à réduire les prix
de vente sur le marché permettant à de nouveaux consommateurs l’accès à ce produit devenu
indispensable avec l’arrivée d’Internet. Apple a conservé néanmoins la même politique
de produit de haute qualité en créant de nouveaux modèles d’ordinateurs de bureau,
d’ordinateurs portables encore plus performants et au design novateur sans oublier la
compatibilité avec les fichiers enregistrés sur les PC concurrents. Il reste également le leader
du marché en matière de système d’exploitation OSX ILife et d’applications professionnelles.
En parallèle, l’entreprise s’est intéressée au marché de la musique numérique (téléchargement
de musique en ligne Itunes, Music Store et baladeurs numériques). L’entreprise a renoué
avec la croissance en retrouvant ses clients inconditionnels et en attirant de nouveaux clients
séduits par ces nouvelles prestations de musique numérique.
22
Exercices d’applications
23
Exercice 1
Exercice 2
24