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Richebourg1@icloud.com
Sujet : l’Etat a-t-il encore les moyens de lutter contre le chômage en économie mondialiser
Intro : Juglar, 1862: cycle J, cycle court, cycle majeure et cycle des a aires , le décrit mais sans l’analyser/
le théoriser —> existante de cycle eco
C’est seulement à partir de l’entre deux guerres quil y a d’intense recherche sur les cycles
- 1923 Joseph Kitchin —> cycle le + court : 42 mois, cycle des stocks, mineure
Selon Kitchin, le cycle des stocks est trop court pour amener une crise —> non problématique
—> De + depuis qq années il semble avoir disparu. Depuis 40 ans le Fordisme (recherche à constituer
des stocks) remplacé par Toyotisme (P° en ux tendu): 0 stock —> n du cycle, pertinent en fordisme
- Dés lors que son existence est reconnu (marxiste, schumpeterien) manifeste t il une dynamique optimal ou
sous optimal du Kisme ? Marxiste : sous optimal Schumpeterien : dynamique saine
Ce cycle est-il le produit du laisser faire des libertés individuelles (sachant qu’il contient une crise) ?
Ce que les keynésiens envisagent comme des leviers (budget/monnaie) contracycliques (lissage du cycle
juglar, atténuer la crise) sont quali és par les libéraux de pro-cycliques (déclencher les crises)
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I) Le cycle court, J
Entre 2007 et 2014 (USA) / 2016 (EU) : récession la plus longue jamais vue
- Q : en 2007, somme nous rentrer dans la stagnation séculaire ou une récession atypiques ?
A) Un cycle monétaire
A priori, si le J est monétaire, la Mo n’est pas neutre —> tout les libéraux n’expliquent pas monetairement le
J, mais ceux qui l’expliquent sont tous libéraux
HAWTRAY, Le commerce et le credit, 1928 : théorise le J. Il l’explique par la dynamique du credit au sein
d’un SMI où l’or joue un role (soit un GS, étalon or, ou GES)
stock . d′or . dl a . BC
TCOMM (taux de couverture or dla MM): × 100
MM
1816 : GB dans l’étalon or
1844, Bank charter ACT (Peel’s act, banking act)—> « les émissions marginal de monnaies duciaires
doivent avoir une contrepartie or strictement équivalente »
1848 (monopole de la banque de france, pas besoin du bank charter act), 1921 (Monopole de la banque
d’Angleterre —> nécessite d’un bank charter act, pour limiter les emissions)
% de la MM, convertible en or :
- Europe, 1913 (éclatement de l’étalon or), 70%, 1918, 20% (planche à billet pour nancer la guerre)
Armistice du 11 novembre 1918, on s’occupent de réorganiser le SMI —> Avril 1922, SMI de la conférence
de Genes, 1er GES (def : que qq convertibles en or, les devises clés : $ (monométallisme depuis 1900)/ le
RM en 1924, £ en 1925, et le FRF poincrarré en 1926) —> éclate en août 1931

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HAWTRAY : l’or joue un role majeur mener par 4 devises clés —> cycle s’explique monétairement
- Les BC n’ont d’autres choix que de monter les taux d’intérêt (préserver con ance et crédibilité).
—> …
8 juillet 1976: accords de Kingston en Jamaïque —> SMI de changes ottant: les BC se limitent à répondre
à la loi de l’o re et la dmd de Mo, les pays signataires renoncent à utiliser une référence métallique, a priori
l’or ne peut plus être une monnaie pour demain.
2011 : BC 2% des achats d’or dans le monde, 14% ojrd —> les banques préparent un dépassement des
accords de la Jamaïque —> de + en + d’économistes théorise la nécessité de revenir à une référence à l’or
1913 : toutes les monnaie convertible 1926 - 1931 : 4 monnaies Breton woods : 1 monnaies
Une monnaie est crédible s’il elle est émise par une BC crédible :
ROBERT LUCAS, 1972: une BC est crédible qd elle annonce sa volonté de lutter contre l’in ation et fait ce
qu’elle dit quelle ferait à LT. Taux d’intérêt de 0 depuis 2016 jusqu’à 2022 —> explosion dla MM —>
remonter les taux d’intérêt car l’in ation n’est pas compatibles avec la crédibilité
Fisher, Théories des grandes dépression par la dette et la dé ation, 1933: Une période de dépression est tjr
précéder par une période de prospérité.
- QE
- 16 Sept 2008 (lendemain dla faillite de LB): la FED fais tomber les taux directeurs de 5,25% à 0,25
ZIRP : zero interest rate policy (politqiue monetaire proche de zéro): pour tout taux d’intérêt directeur < 1
WOODFORD: une BC pour éviter la dépress° doit tout faire: baisser les taux d’intérêts autant que possible
—> Pb : l’instrument du taux d’intérêt ne peut plus être utiliser, alors elle doit jouer sur les quantités, QE,
2500Mrd de $ entre 2009 - 2014 en USA (La BCE va faire du QE plus tardivement)
Rq : relance Obama 787 milliard de dollar —> QE 3 fois plus important que la relance budgétaire
—> la crise endogène —> Fisher: L’Etat n’est pas l’origine, il peut l’aggraver et être dla voie de sorti
Fisher : les temps de prospérité intenses génèrent des comportement nancier à risques sous 2 formes
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—> bulles nanciers (déconnex° sphère nancière et réelle) : 1922-1929 : P° augmente de 43%, DJ fois 4
Krach : période sur laquelle sur un marché nancer la demande est bcp plus faible que l’o re
—> les bancaires coupent le canal du crédit, d’autant plus que l’endettemt nominal se transforme
en surrentement réel —> e et Fisher : « la dé ation causer par la dette va réagir sur la dette »
Banquiers ne prêtent plus, m nancier fonctionne plus, entreprises contrainte de brader —> spirale
dé ationniste. Nature de l’endettement change: nominal en réelle, endettement solvable —> surendettemt
- le taux d’intérêt réel = taux d’intérêt nominal - taux d’in at° —> dé at° = a/ des taux d’intérêt réel
E et Fisher, à chaque fois que les prix baisse + vite que la dette nominal ne s’allège —> dette en terme
réelle montra. Fisher: « Chaque dollar de dette encore impayée deviendra plus lourd »
- oui (quantitativisme)
Fisher: Quantitativiste: relance monétaire —> in at° —> b\ dla dette réelle —> emprunt: C° + I —> reprise
Keynes : une a/ de la MM —> baisse du prix dla Mo —> a/ de l’invest —> multiplicateur ΔY = ΔI/s —>
création d’emploi et baisse du chômage, Pour lui il n’y a in ation qu’après le plein emploi des facteurs
Taux d’intérêt : 1,25% le depuis 14 Sept —> ont empruntent entre 2,5 - 3% avec une in at° de 6% —> on a
ojrd des taux d’intérêt de -3%
Entre la crise de 1929 et 1972 plus aucun économistes n’osera s’a rmer quantitativisme orthodoxe
68, Friedman —> théorie quantitativisme hétérodoxes ; la Mo fait reculer le chômage à CT, à LT cela
engendre que de l’in ation
Friedrich Hayek (1899 - 1992), Prix et production, 1931: sa théorie explicative du J et dla crise de 29
—> prix d’économie en 75 (non traduit avant) : Préface: j’ai publié cette ouvrage pour expliquer la crise de
29, et considère qu’il explique aussi la crise dans laquelle on est —> théorie des crises en général
- La crise est d’origine monétaire (rien à voir avec les chocs pétrolier): irresponsabilité des autorités
monétaires
L’école Autrichienne se distingue des Néo-C sur 3 points : pour comprendre HAYEK
- Néo-C ne sont pas des théoriciens de la css, pas du LT. Les autrichiens l’ont toujours été. Théorie
de référence c’est Eugene von BOHM BAWERK, où la css est assimilée à un detour de P°
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BOHM BAWERK, il existe des 3 types de biens :
- biens de C° (BC°): XVIII les H utilisent leurs forces pour transformer les rss naturels en BC°, pas de
PT (Bodin) —> dès XVIII ont cesse d’utiliser les moyens originels pour des biens de C° —> détour de P°:
Tant que les hommes était focaliser sur la C° il n’y avait pas de css —> épargne
—> il ne peut pas y avoir excès d’épargne mais excès de C° qui se manifeste par l’a aiblissent de
la css, car plus alimenter par l’épargne
WICKSELL: Walras a tort (m du K = m des fonds traitables et taux intérêt réel = prix du L, il ne peut pas être
in uences par le prix de la monnaie), marche du capital ≠ m fonds traitables, taux d’intérêt réel ≠ prix du K
- m des fonds traitables : Ofp (Mo + S), Dfp (I) —> taux d’intérêt réel (taux d’intérêt du marché)
• si S < I (création monastère) : rN > rM —> IM > IN —> monnaie non neutre
- La condit° de l’équilibre sur un m dépend pour Walras dépend dla variat° du prix sur ce m/ pour
les Autrichiens, elle dépend des prix relatif, du prix des BC° par rapport au prix des BI
• HAYEK : si équilibre au temps 1 (CT), S = I et que l’épargne a/ —> renoncement à la C° —> rM va baisser
en restant égal à rN —> le entreprises vont investir (dmd des BI) —> détour de P° s’allonge —> css
—> nv allocat° des rss qui quittent le secteur de BC° pour celui des BI (on notera
EBC° —> BI) —> le détour s’allonge —> css a/ —> Allocation optimale: l’éco o rira - de BC° (Ok, la dmd avait
baisser) et + de BI (Ok, la dmd avait a/)
—> la P° de BC° a/
Si l’allongement du detour de P° n’est nancé que par l’épargne (Mo non instrumentalisée, donc non
monétaire), la css sera saine et sans crise.
Instrumentalisat° de la Mo entre 1922 - 1929 —> css anormalement forte. FED a pratiqué des taux trop bas
Taux d’in ation annuel moyen en GB : 1921 - 1926 : politique dé ationniste —> - 1,6%
Régulationniste: si la Mo peut être instrumentalisé, c pas souhaitable, les crises dla régulat° sont nécessaire
Une crise de surP° peut naître d’un excès de C° et d’une faible épargne
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Le boom est arti ciel, c une css sans épargne (Entre 1922 - 29 le PIB mondiale double) —> La crise est
naturelle, la dépression est la contract° naturelle du detour e P°, toute richesse créée qui n’aurait pas du
l’être, est détruite. 29 - 32 : 200 000 faillites, « contraction naturelle du détour de P° » purge nécessaire
- Marxistes et keynésiens diraient que c’est une crise de surP° pouvant s’expliquer par un manque de dmd.
- Hayek: US rentre en 1920 en C° de masse, 1908 - 1927 : 15M de Ford T vendu, 1929 valeurs automobiles
décrochent le +. Explication par les taux directeurs et la créat° monétaire —> instrumentalisat° dla Mo —>
Temps 1: rN > rM —> I —> a/ dmd de B&S —> distors°: a/ BI/BC° —> a/ rente secteur BI/BC° —> EBC° —> BI
= boom —> déséquilibre dl’allocat° des rss —> a/ OBI = a/ DBI mais baisse OBC° ≠ C° forte (S < I, S faible)
Temps 2 : a/ forte dla P° de BC° sans a/ dla dmd (trop C° au temps 1 —> pas d’épargne, pas de report de
C°) —> crise généralisée de la surP°
• Que faire ? —> la relance budgétaire ne ferait que repoussé la contract° du détour en l’aggravant
USA sortent de la crise grace à la guerre, bon moyen de sortir de la dépression, on détruit les moyens de P°
All : janvier 33
1929 100
7 février 1992, trait de Maastricht : pour qu'un pays rentre dans l'euro faut quil rende sa BC indépendante
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Friedman, The role of monetary Policy, 1968: éviter l’instrumentalisat° dla Mo c rendre les BC
indépendantes et d’inscrire dans leur statut la règle d’or de Friedman:
ΔP ΔM ΔY
= −
P M Y
tau x . d′in f l at ion = tau x . d e . var i at ion . d e . MM − tau x . d e . cr oissa n ece . du . PIB
Libéraux : la monnaie n’est dmd que pour motif de transaction —> seule but : C° de B&S. mais il existe un
gap entre vouloir et pouvoir acheter —>
ΔM ΔY ΔP
Pour avoir = −−> = 0
M Y P
Politique possible: open market, intervent° dla BC sur le m monétaire pour modi é le taux d’intérêt de la Mo
Hayek: l’indépendance des BC n’apportera aucune garanti sur sa responsabilité/la non instrumentalisation:
Postulat : pas plus indépendant que la BCE, 3 articles dans ses statuts (traite de Maastricht), censé lui
donnés une tres forte indépendance donc éviter une instrumentalisation de la monnaie
Article 1 : « l’objectif prioritaire du SEBC (système européen des BC) est de veiller à la stabilité des prix »,
ΔP
cad = 0
P
Rapport Boskin, 1995: e et Boskin de surestimation des taux d’in ation d’environ 1,1%/an
Blanchar : Un taux d’in ation cible doit etre revue et portée entre 3 - 5% dans le but d’activer l’e et sher
ΔY
La BCE dit que le taux de css du PIB qui permettrait le plein emploi des facteurs est de 2,5% ( ), et elle
Y
dit que ce n’est pas son problème de le rechercher mais c’est les états
—> objectifs :
ΔP ΔM
- BCE : = 2% = 4,5 %
P M
ΔY
- Etats : = 2,5 %
Y
—> La BCE n’a pas à intervenir pour lutter contre le chômage
Loi HUMPHREY - HAWKINS, 1978: loi federal qui équilibre l’émiss° dla FED, dans les phases d’expans° J.
Risque d’in ation —> lutte prioritaire en remontant les taux d’intérêt directeur/ phases de récession J —>
lutte contre le chômage en baissant les taux
Article 103: « la BCE ne peut pas répondre aux injonctions des Etats dans la poursuite de sa mission »
Article 104: « Il interdit à la BCE de monétiser les dé cits des Etats membres »
—> la FED a put faire son QE sur le m obligataire primaire; la BCE doit se contenter du m secondaire
La BCE est la + indépendante car les allemandes et états nordiques l’ont voulu (1999 1er gouvernant dla
BCE : néerlandais VIsenberg (?)) Les 2 seuls Mo non dévalués pdt les 30G : mark et le orin néerlandais
—> et mm les allemands ont crut que l’indépendance arriverait à la non instrumentalisation (mm friedmann)



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Comment prévenir alors ?
—> m est un lieu de « catallaxie »: régulat° marchande optimale économique et sociale (interaction sociales)
—> donner la possibilité à toute banque de créer sa propre Mo —> La BCE a reconnu que Hayek est le
théoricien de la monnaie privée.
La concu entre les Mo obligera les banques à être vertueuse, a rendre sa monnaie rares —> responsabilité
—> la concu rendre impossible l’instrumentalisation de la Mo donc le boom.
ΔM ΔY ΔM ΔY
- si > —> in ation - si < —> dé ation
M Y M Y
Hayek: PA des unités monétaires s’élèvent : une MM moindre aura sur un plan macro un PA équivalent
1863, banking act américain : Mo uni é, y’avait 7000 banques qui pouvaient émettre leurs billets —>
anarchie monetaire : circulation d’énormément de Mo. L’absence de régulation n’a pas empêcher le take o
le plsu spectaculaire de tous.
Keynes : on peut pas s’en passer et elle doit être dans les mains de l’état pour la relance en temps de crise
Mm si Hayek aurait raison, on peut pas se passer des BC pour des raisons psychologique: ca nous rassure,
elle sont indispensable car on pense quelle sont indispensables —> Fonct° de préteur en dernier ressort
Il peut avoir un moment entre l’instrumentalisation et le moment où l’in ation est visible (fait calculer l’IPC)
Cela est d’autant plus vrai pour l’immobilier car il n’est pas pris en compte dans l’IPC
Rq: la règle d’or de Friedmann fonctionne à une condit°: la vitesse de circulat° dla Mo soit une constante
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Croissance éco :
Elle mute à mesure qu’elle dure —> extensive/ intensive - Industrielle/ tertiaire
Css (distinguo keynésien) : PIB réel ou PIB potentiel (in uencé par l’épargne)
Consomme : CI/ CF
Payer nature quand une entreprise créer un débouché, l’ambition est de produire plus
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Chez keynes : la sousC° est vient d’un manque de dmd pas de C°
Emploi en france : primaire 2% secondaire 19% (contient bâtiments 7%) tertiaire 79%
- a priori ce qui est marchand créer plus de produits que la non marchande
—> on la penser jusqu’au modèle endogène, Lucas : C° non marché sont génératrice d’e et externe et
d’une css illimitée
On épargne : ménages, entreprise (pro ts + amortissement, capacité d’auto nancement), l’ETAT (qd T > G,
avant la crise Covid 19 pays de la zone euro, c’est de l’épargne publique —> elle va être gérer par des
fonds publique —> transformer l’épargne vers des pays : donc on a X > M, un pays peut se retrouver
endettés par manque d’épargne)
Épargne :
Pour say (et les libéraux): l’épargne vient d’une volonté de s’enrichir —> forcément investi —> dépend du
taux d’intérêt seul —> arbitrage rationnel épargne - C°, entre C° immédiate et C° futur—> epargne
recherche de pro t
Keynes : il existe un arbitrage entre épargne productive et improductive —> dépend du taux d’intérêt
nominal : pas assez raisonnable pour raisonner en terme réel —> jai peur : épargne névrose
longue —> actif nancier —> aucune somme n’échappe au invest productive
- Malthus, La crise, 1796 : rejette la loi de say, « la richesse général et la richesse individuelle
niassent toujours de la demande e ective » —> keynes y voit le précurseur de sa theorie
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Les classique pensaient que S et I étaient uni par une relation d’identité, et les NéoC pensent qu’il sont uni
par une loi d’égalité.
Identité entre S et I (se note avec un égale à trois barres): le seul moyen d’investir c’était de disposer d’une
épargne, qui ne pouvait pas se faire sans accumuler —> soit acheter dla terre ou on fonde son entreprise
À mesure que les marche nanciers et que les banques se dvlp : il y’a dissociation des 2 actes, épargner
sans investir (dans une banques, sur les marchés nanciers) et on peut investir dans épargner (ex post)
Formule de la dette publique : Dt = Dt-1 + r.Dt-1 - s.pt (solde primaire au temps t, une années de budget)
35Mrd d’€ par an pour les interêt sur la dette ~ pour la dépense pour la défense
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4) Un cycle monétaire expliqué par les asymétries d’information et les anticipations adaptatives
Milton Friedman propose une théorie du J sur la critique de la courbe de Phillips de 1968
A.W. PHILLIPS, 1958, la relation taux de chômage, taux des salaires nominaux en GB, de 1861 et 1957 :
NAWRU :
—> niveau keynésien de lecture: les agents ne sont pas sensibles à l’évolution des salaires reels mais des
salaires nominaux —> les agents n’intègrent pas un degré de rationnalité su sant —> illusion monétaire
possible
—> courbe convexe y’a une asymptote : y’a une limite à la baisse des salaires nominaux —> NéoC : qd le
chômage montent faut que les salaires baissent pour autoréguler, donc y’a pas de rigidité salarial
Keynes : « le salaire dépend des forces historiques e social » —> pas des forces du marches mais les
syndicat, convention, tradition libéral ou pas
Modèle WS/PS : modèle de la NEK (SNOWER, LINDBECK) : y’a une partie du chômage dun pays qui
s’explique par la culture syndical (révolutionnaire ou réformiste). Les syndicats de culture révolutionnaire
font du mal au taux de chômage.
- pas pres au dialogue social, seule condition d’amélioration de la condition ouvrière est de
dépasser le capitalisme —> révolutionnaire
Ce passage n’est possible qu’a la condition de posée que la productivté du travail est constante
ΔP ΔW ΔY l ΔP ΔW
Wickselle : = − or si productivité du L constante alors on peut écrire =
P W Yl P W
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Ce que Tobin appelle le Nairu, FRiedmann le refuse : il l’appelle A, point pour lequel le taux de chômage est
naturel et ΔP/P vaut = 0 —> la Mo n’est pas instrumentalisée (elle l’est pour nacer les dé cit publique, de
61 à 68 au USA, 68 debut de la stag ation)
Pour friedmann, l’in ation ets d’origine monétaire, si y’a pas d’in ation alors la monnaie n’est pas
instrumentalisée, cad qd l’état ne nance pas monetairement le dé cit publique : cad pas de relance
monetaire, cad pas de relance budgétaire nacer monetairement
Le taux chômage naturel pour friedmann, letat n’y est pour rien :
- Chômage frictionelle : chômage résultant des délais normaux de recherche d’emploi, il n’est pas
conjoncturel mais structurel sur un plan macroéconomique, constant dans le temps, on le mesure à 4%,
cad que le plein emploi est à 4% —> seul chômage non résolvable
Un chômage structurel se rencontre chez HD, Keynes, ISLM —> résultant du gap entre PIB réel et potentiel,
cad celui que l’on combat en relançant par la demande.
Chômage moyen en France : 666$ 1250 au Danemark mais plus tenable car il est plus compliquer
d’être un free rider
Classique au sens de keynes : c un liberal qui croit que la monnaie est neutre —> l’o re creer sa propre
demande. Q : a-t-il rasion de ne pas se considérer en classique ?
Classique au sens de Marx : ceux qui pensent à la valeur travail au sens des classiques
Quand en 1968, friedmann critique la courbe de Philips, il va théoriser le J et en faire un cycle monétaire
(pas étonnnant, libéral)
- chômage volontaire : déjà chez malthus conséquence de la « paresse des hommes », NéoC :
l’homme en fait à une préférence naturelle pour le loisir, arbitrage entre L et loisir, avec un prix étant le taux
de salaire réel
- chômage d’adaptation : chômage qui résulte du non respect d’au moin une hypothese de la CPP
Absence de transparence du marché : je suis au chômage et je sais pas quil est disponible
L’homogénéité du facteur travail : je suis au chômage mais ma formation n’est aps al bonne
Ce chômage naturel est structurelle, aucun n’est résolvable par une relance. Friedmann : l’Etat est
convainque de pouvoir réduire le chômage par une relance, car ca fais 30 ans que les idées keynésiennes
dominent.
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New economics : nom donnée à la politique conjoncturelle pratiquer par les USA entre 61 et 68, 1ere fois
dans lhistoire accroissement de la dépense publique et une baisse de la scalité —> dé cit publique
considérable par la création monetaire :
ΔG > 0
ΔT > 0
Y=C+I+G
Y = c. (Y - T) + I + G
Il vaut mieux que le dé cit publique soit nacer par la dépense publique que par une baisse d’impôt
On y ajouter :
ΔY = - ΔT. s/v + (ΔI + ΔG1)/s + ΔG2 G1: par le de cit/ emprunt G2 : par de l’impôt
Le plus fait quon peut faire l’un ou lautre, soit baise de l’impôt et a/ par l’emprunt
Taux d’intérêt directeur américain sont à 1% en 1961, et il faudra attendre le 12 septembre 2001, pour que
les taux d’intérêts directeurs retombe à ce taux historiquement bas.
On fait fonctionner tout les facteurs, multiplicateur dans la new economics —> mais bientôt la stag ation
TCAM mondiale = 5%
Critique par friedmann de la courbe de Phillips : 3 types de courbe de Philips chez Friedmann , cad 3 types
de relation in ation - chomage
En A que du chômage structurel : ΔG > 0 —> ΔG = ΔMM —> in ation (proportionnelle à la création
monetaire car ici ΔY/Y = 0) —> baisse de taux de salaire réel —> entreprise embauche —> recul du
chômage + expansion juglar (ΔY = F(K, ΔL)
Au point B, MT : les salaries prennent compte que leurs salaires reels ont diminuer, donc ils revendiquent à
recevoir un rétablissement de leurs salaires reels —> les salaires nominaux vont a/ au taux d’in ation —>
les salariés embaucher entre A et B car les salairs vont retrouver leurs niveaux naturel
À LT on se retrouve à C : le chômage retrouve son niveau naturel, mais avec de l’in ation d’origine
monetaire
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Friedmann : la situation n’est pas pire à LT (mm chomage) et elle etait meillure à CT et MT donc l’Etat à
raison de relancer —> meme phénomène : C —> D —> E —> …
La volonté d’accepter à CT l’in ation pour résorber le chomage : la courbe devint de plsu en plus vertical,
l’in ation augmente sans faire reculer le chômage
—> courbe de Philips à LT : il n’y a plus moyen d’arbitrer entre in ation et chômage
La monnaie n’est pas neutre à CT mais elle devient à LT —> quantitativiste hétérodoxes
À mesure que le cycle juglar dur moins il est perceptible : les anticipations adaptatives intègrent par
dé nition un certain degré de rationalité, le fait qu’ils ont déjà commis des erreurs par le passé. Plus les
salariées ont ete victimes de l’illusion monétaires moins ils en seront victimes, la prise e conscience est plsu
rapide. A LT il n’y a plus d’illusion monétaire, donc il n’y a plus de cycle juglar.
Lucas propose une théorie qui s’oppose à Friedmann, en 1972 : or on retrouve chez Lucas les
anticipation adaptatives (posée par Friedmann) + asymétrie d’information entre entreprise et employées =
anticipation rationnelles : cad que l’entreprise est plus vite capable de percevoir l’in ation que le salarié
car c’est la marge de l’entreprise —> le salarié peut-être victime de l’illusion monetaire le chef de
l’entreprise non
Intérêts:
- Cette théorie colle parfaitement avec le contexte historique qui la vue naître. Après des années de Golden
years —> premiere éco à rentrer en stag ation. Les autres pays dvlp n’entreront en stag ation qu’en 1974 à
cause du choc pétrolier
- Depuis 1929 : plus aucun économiste libéral n’avait osée s’a rmer quantitativste, renouveaux du
qunatitativisme, cette fois hétérodoxe, avant quil ne reparaissent sous une forment orthodoxes 4 ans pares
avec Lucas
Limites :
- il a pas eu de chance : il dvlp une théorie annonçant la n du juglar, 5 ans avant qu’il ne reparaissent: à
partir de 1974 la css des pays dvlp redevient tres volatile, cad cyclique.
- Friedmann, est le premier mais el seul qui théorise la stag ation. 1976, Aglietta, regulation et crises du
Kisme : explique la stag ation d’origine réel (à partir de 65 dans les dvlp, les salaires en termes réels a/ plsu
vite que la productivité, remise en cause du compromis fordiste) :
A/ (Sal/ VA) —> les entreprises pour préserver leurs marge n’ont d’autre choix que d’augmenter les prix :
Aglietta pensent que par la seul a/ des Sal/ Va on peut expliquer l’a/ de l’in ation et le chomage, ici
phénomène réels et non monétaires.
Pompidou : « le jour où en france il y’a aura 500 000 chômeurs se sera la révolution » (moe)
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Entre 1968 - 73 (avant le choc pétrolier) : dans les pays dvlp, le nombre de chômeurs triple, de 10 à 30M —
> renforce Aglietta
Friedmann : L’Etat a les moyens pour lutter contre l’essentiel du chomage naturelle. Il aurait etet d’accords
avec Hartz 1, 2 et 3 mais pas 4. Capitalisme et liberté, 1962 : sa théorie de la justice social (=/ NéoC :
justice marchande : la méritocratie et la CPP, si je vaut mieux je part et si moins je suis virée) principe de
l’impôt négatif, le m ne peut pas etre juste : chacun génère des externalités positifs, chacun ets productif au
dela de ce qui mesurable. De plus il y a des individu improductive et leurs inné cacité n’est pas le résultat
d’un défaut de mérite (personne en situation de handicap) -> L’Etat doit etre un ETta socail en s’appuyant
sur le principe de l’impôt négatif : principe de justice social reposant sur :
- crainte —> paresse : trappe à inactivité —> rendre compatible justice social et incitation au travail,
laide social doit décroître avec l’augmentation des revenus des lactivité mais moins vite.
1 janvier 2010 : RMI remplace le RSA —> le montant est le meme 430€/ mois
- RMI : quand je travail, on soustrait ce que je gagne, donc inutile de travail pour 350$ par ex
L’ANPE fondée en 1967 : l’ambition etait de servir d’internats sent entre l’o re et la demande L
Lois Hartz entre 2002 - 2005 : 4 lois de déréglementation du marche du travail par un gouvernement SPD
(Gérard, SCHRODER, conseiller Peter Hartz)
- Loi Hartz 1, 2002 : forte coercition sur les chômeurs, un chômeur qui se voit proposer un poste dans
une distance allez - retour 250km, n’a pas le droit de refuser sinon suspension des alloc chomage. Pour les
chômeurs de long durées, si un poste au dessus de 250km, obligation de déménager.
- Loi Hartz 2, 2003 : déréglementation du contrat de L, on crée un nouveau contrat de L, le mini job,
rémunérer 400€ par mois pour un mi-temps, 800 pour un temps plein et sur ce contrat l’entreprise est exonéré
de cotisation patronal, « dé ation salarial »
- Loi Hartz 3, 2004 : jusque la les fonctionnaire était payer (comme ojrd en France) à l’ancienneté (+
diplôme obtenu), il seront désormais payer au mérite (mécanisme concurrentiel dans la fonction publique)
- Loi Hartz 4, 2005 : forte opposition, réforme de l’indemnisation du chômage pour inciter au L, le parti
reconnaît le chomage volontaire, lutte contre la « paresse naturelle » :
• Manque d’homogenité :
• Manque de mobilité :
L’Etat a les moyens d’étendre les recherche des chômeurs au dela peut etre meme de ces ambitions : ce n’est
pas le chômeur qui sait ce qu’il mérite mais le marché
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- gauche française : récuse l’idée de chômage volontaire
- RSA socle : RSA si le montant du L = 0, 550€/ mois pour une personne seul
- RSA e ectif = RSA socle - 38% des RP —> incitation à sortir de l’inactivité
- L* = 550/ 0,38
Le RSA est le premier dispositif social en France s’appuyant sur le principe d’impôt négatif
Rq : ce qui est juste est ce qui considérer comme juste par la société
En 1996, Bill Clinton : les vende caires du Medicare/ Medicaid test de dépistage —> si adicte drogue ou
alcool —> suspension des aides
L —> L
Il faut que lhomme sortent de sa satisfaction des besoins présent au lieu des futur pour qu’une css naissent
Hayek, Droit, législation et Liberté, chap 4 le mirage de la justice social: sur la justice social « je n’ai rien vue
parce qu’il n’y a rien à voir », il faut dvlp une théorie de l’ajustice —> il n’y a pas de justice car il n’y a pas
d’injustice, il y a une propension naturelle de l’homme à reporter sur autrui les causes de ses échecs. Les
hommes quali e d’injustice les csq de decisions individuelles dont il est impossible de dire d’elle si elles
sont juste ou non.
Penser qu’une entreprise détruise des emplois c’est penser qu’il est injuste qu’elle en creer ailleurs : et ce
qui la pousse à la faire c’est la volonté du clients d’avoir le meilleure produits au meilleure prix, ceci serait
aussi injustice —> absurde.
—> volonté de friedmann de donner a tous un revenu et l’indépendance des BC sont des folie pour Hayek
Pour bcp de libéraux, Friedmann (Hayek, Lucas) est trop keynesiens, donne trop de place à l’Etat.
5) L’approche de Lucas de J
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- nouvelle conception des anticipations : anticipations rationnelles : les agents ont une parfaite
connaissance de l’économie (pratique), alors tout ce qu’ils anticipent se réalisent, ils ne peuvent pas se
tromper, pourtant ils peuvent être tromper par un Etat/ autorité monétaire qui cherche à bene cié d’un
« e et de surprise » dont il peuvent être tromper qu’une fois
Lincoln que Lucas reprend : « on peut tromper quelqu’un tout le temps, tout le monde une fois, mais pas
tout le monde tout le temps » EN DÉMOCRATIE (Lincoln) EN ECONOMIE (LUCAS), on parle de l’ETAT
Lucas : distinguer ce que les autorités monétaires annonce et ce qu’elle font, et si elle font ce quelle avait
dit qu’elle ferait, la monnaie sera neutre.
Si l’état annonce la relance monétaire et font la relance monétaire —> les agents vont anticiper l’in ation à
taux de la création monétaire (fort les agents) —> revendique immédiatement l’a/ des salaires nominaux —>
taux ΔSal nominaux = taux Δprix
—> (w/p) stable —> taux de chômage stable —> pas de croissance : la relance est inutile, la Mo est neutre
L’Etat aussi est une entité rationnelle, il anticipe que s’il annonce ce qu’il va faire, la Mo sera neutre —>
aucune utilité. Le seul moyen est de tromper la pop, voir d’annoncer le contraire —> « e et de surprise » —
> les agents vont être surpris, certain plus que d’autres, parce que Lucas est d’accord avec Friedmann,
asymétrie d’information entre salarié et chef d’entreprise —> comme chez Friedmann : gap (peut etre
jusqua 3ans, une phase d’expansion J) entre le moment ou les chefs d’entreprise prennent conscience de
cette tromperie et le moment ou les salariés en prennent conscience —> on passe de A à A’, au bout de qq
années de baisse de PA des revendications naissent, on veut rétablir les salaires réelles —> les emplois
créent sont détruit —> B
Et selon Lucas « Lincoln, tout le monde rien qu’une fois » car perte de con ance, les agents vont tout de
meme anticiper la relance de sorte que l’in ation a/
Or sans récurrence y’a pas cycles, c’est pas une théorie explicative du J
Intérêts :
- Entre 77 - 82, dans la NEC va naître une fracture entre les partisans d’une approche monetaire du J
(Lucas) et les partisans d’une approche en terme réel (le cycle J serait explicable par des chocs d’o re/ de
productivité, KYDLAND et PRESCOTT + PLOSSER)
Théorie RBC : théorie des cycles réels, cycle des a aires explique en terme réel
- Lucas devient avec cette explication (qui ne fonction pas) le théoricien des politique des crédibilité
monétaire (con ance synonyme de crédibilité) : politique de crédibilité synonyme de politique de règle, et
antonyme de politique discrétionnaire (qui ne butent sur aucune contrainte, aucune règle, qui donnent
l’occasion à l’Etat de dépenser à discrétion (sans limite) et démettre de la Mo à discrétion)
- politique de crédibilité monétaire : si l’Etat annonce et fait, ca ne fonctionnera pas —> annoncer la
rigueur et faire la rigueur, s’y conformer durablement
Comment obtenir de la crédibilité ? Et surtout Comment une BC qui a tromper les agents peut-elle obtenir
de la crédibilité ?
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Lucas distingue la crédibilité :
- Historique : crédibilité dont béné ce une BC qui a lutter durablement contre l’in ation
2) Pourquoi en faut-il ?
3) Des crises de crédibilité ne pourraient -elle pas naître de la recherche absolue de crédibilité ?
A partir de 1979, les USA lutte contre l’in ation —> 20% record de taux d’intérêt américain —> casser la
création monétaire —> $ devient tres fort dans les 80’ - 90’
En 1999, qd on rentre dans le 1999, ca fait 75 ans que l’Allemagne lutte contre l’in ation depuis 1923.
1960 - 1970 : doute sur la contre partie or des billets —> on se sépare du dollar
Dans les années 60 - 70 —> qd on vend le $ on acheter de l’or (mais à partir de 71 c’est ni) et le mark qui
sort renforce des 30G de BW
Et surtout Comment une BC qui a tromper les agents peut-elle obtenir de la crédibilité ?
1ere piste —> article 1 - 103 - 104 : doté la BC de statut l’obligeant à donner la priorité à la lutte contre
l’in ation, ces statut entre en fonction le 1 janvier 1999. Dans le traite de Maastricht, le 7 février 1992. Dans
Maastricht on trouve :
2eme piste —> pour une Mo qui manque de crédibilité : attachée sa Mo à une Mo forte
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1991: Argentine adopte sur conseils du FMI une politique monétaire, le currency board (son théoricien est
Lucas) :
But du currency board —> crédibilité monétaire —> attirée les capitaux : pour pro ter de la globalisation
Dollar ambe dans les 90’ —> le peso se renforce et devient une monnaie surévaluer —> compliquer
d’exporter surtout si pays en dvlpmt à compétitivité-prix —> Marris
—> La crise grecque de 2010 est de même nature, c’était pas crédible quelle rentre dans l’€
Zone monétaire (ZM): ensemble de pays partageant des mécanismes de change xe voire irrévocable
Système de change xe: une Mo est attachée à une Mo, en 44 à BW le $ est attaché au franc pour un taux de change de $
= 5,55 franc, mais réévaluat° et dévaluat° possible: ajustement de taux change rare (sinon le xe ne sert à rien) mais existe
Système de change irrévocable : il ne peut pas y avoir des ajustement de taux de change
Il ne peut y avoir d’ajustement dans la zone mais il peut y avoir sortie du système (Grèce)
Mundell, 1961 : 2 pays ne peuvent partager des règles de change en commun que s’il leurs economies se
ressemble —> théorie des ZMO : zone monétaire optimal
Une zone monetaire est optimale qd en son sein il existe des mécanismes permettant de lutter contre des
chocs asymétriques.
Chocs asymétriques : qd une région de la zone connais un déséquilibre reel que d’autre ne connaissent pas
EU : certains bcp de chômage certains peu, certains BTC élevée d’autre faible
L’Allemagne regagne depuis 2002 des emplois industriels (seul de la zone euro, 2002 lois Hartz)
19% en 2002 —> 20% ojrd et les autres en perdent : 12% en France
Un taux de change doit être révélateur des fondamentaux des économies de la ZM, mais ca ne peut etre le
cas ssi il sont homogène —> Bernard Marris
En 1961, qd il ecrit, La CEE venait de naître (1957), et il n’existe pas encore en intrazone européenne de
système de change xe.
1972 : serpent monetaire européen : les Mo européen sont attachées au dollar (BW pas encore éclater, 19
mars 1973) et ils peuvent varies de plus ou moins 25% relativement au cours pivot —> les Mo € sont
attachés au $ mais aussi entre elles et peuvent varier de 1,125 entre elles (2x moins) : la xité entre
europenen est plus forte —> 1er system de change xe —> Début de ce qui va devenir la zone €
27 mars 1957 traité de Rome —> CEE, l’Europe était entrain de se former
Mundell S’il prenait l’envie au européen de creer une zone monétaire, elle serait optimal, il était optimiste
—> pk le pensait - il ? Alors que ojrd avec un système de change irrévocable on ne l’est pas
A cette époque l’Europe économique c’est 6 pays : Italie, france, RFA, Belgique, Luxembourg, pays bas
(ojrd 27) —> le taux de change ne peut pas être révélatrice des fondamentaux
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Des pays sont d’autant plus capable de construire entre eux un system de change xe qu’économiquement
il se ressemble.
- 1972 - 1976 : serpent monétaire européen —> on s’appuie dessus pour élaborer :
Une des conditions de Maastricht : un pays peut rentrer dans l’euro c’est que la Mo du pays ait apparut pdt
au monis 2 ans au SME
Grace : monnaie : Drackme a appartenu au SME moins dramatique que la Grèce dans la zone € : car au
moins dans un système de change xe (SME) on peut dévaluer, donc on peut toujours lutter contre la
surévaluation. Si on peut plus dévalué c’est la crise.
Grèce : 0,47$
L’entrée dans la zone euro (19 pays) se fait par référendum, en france oui à 50,5%
Pour qu’un pays sorte de l’€, elle ne peut se faire que par référendum
B) Ou un cycle réel ?
Les libéraux (Hayek, Friedmann) font du J le produit de l’oscillateur de la Mo, la crise est monétaire, le m
n’est pas responsable. Chez Fisher, le m a une part de responsabilité, les autorités monétaires aussi.
Ici le J sera le produit de mécanisme réel endogène a marché de sorte qu’il est possible/ nécessaire de
pratique des politique contracycliques.
1) L’oscillateur
La mm année Harrod utilise les e et multiplicateur et accélérateur pour expliquer les déséquilibre cumulatif.
Samuelson utilise la meme année, les même mécanisme pour expliquer des déséquilibre alternatif
(expansion, récession)
Samuelson, Les interaction entre l’e et multiplicateur et le principe d’accélération, 1939 : tente d’expliquer
le J grâce aux e et multiplicateur et accélérateur.
ΔK = I = v. ΔY (o re)
C’est l’interagir entre ces deux égalité que Samuelson apl l’oscillateur
Samuelson :
- Le multiplicateur est un mécanisme qui apparaît du cote de la dmd, mécanisme de CT, qui est
rééquilibrant, cad qui fait naître des débouchés
- L’accélérateur est un mécanisme qui apparait du cote de l’o re, mécanisme de LT, qui est déséquilibrant
car v > 1 —> le potentiel productive se dvlp plus vite que les débouché
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Rien ne dis que c sera assez élevé pour compenser le surcoût de potentiel générer pas l’accélérateur. Il faut
étudier le niveau de l’un par rapport à l’autre et non séparément, pour savoir s’il est possible d’échapper à
la crise
Les entreprise investissement par rapport à l’évolution des débouchées sur le m, et l’investissement qu’elle
vont faire naître dépend de v
Meme si les débouchés ne progresse pas, y’aura de l’investissement de remplacement (I0 = amortissement,
investissent seulement pv). Donc il existe une part de l’investissement, I0, quil apl « investissement
autonome », indépendant de la situation éco. Mais dans I0, il y a aussi la dépense publique qui ne dépend
pas non plus des actions des agents.
= 0
Donc Ye = c. Ye + I0
donc Ye (1-c) = + I0
—> Ye = I0/s
Le PIB d’équilibre dépend de l’e et multiplicateur et de l’investissement autonome dans le quel il y a pour
l’essentiel de la dépense publique, donc elle doit être le moyen de rééquilibre, donc de lutter contre les
crise, lisser le cycle J
Il doit y avoir des équilibre entre accélérateur et multiplicateur, il distingue 4 « trajectoire de croissance » en
fonction des niveaux relatifs de c et de v :
- c > v : c fort, v faible, à cahque fois que le PIB s’élève, la C° tente d’à/ toujours moins vite (loi
psychologique). Ne pas parler cet etat stationnaire : Samuelson pense que ce cas ne dure que quelque
années, c’est une situation conjoncturelle de stagnation du PIB, si jamais la css n’était tiré que par la C°
- v proche de c à des niveaux faible : croissance tirée par aucun moteur, pas d’impulsion
Rapport Meadows, 1972, conclusion : « chaque jour pendant laquelle se poursuit la croissance
exponentielle rapproche notre écosystème mondiale de ses limites ultimes de sa croissance », il s’inquiète
de la croissance économique et démographique
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Il faut attendre 1952 pour qu’un économistes, Hicks, montre quil est possible d’expliquer le J par
l’oscillateur en encadrant les trajectoires de la croissance par des butoirs, appeler alors butoirs de Hicks.
- PIB e ectif
- PIB plancher : le pire, fonction de l’investissement autonome, dans le pire cas on arrête de
consommer et d’investir. C’est un plancher de demande.
- PIB plafond, qui permettrait le plein emploi des FDP : le meilleur. Il résulte et depned du plein
emploi des facteurs, abondance des facteurs. Il est fonction du PIB potentiel.
T1 : moment ou le pire a été atteint, les ménages ne consomme plus, les entreprise se content de
renouveler. Et il n’est pas possible que les ménages et entreprise renoncent indé niment à la C° et
l’investissement.
- soit les ménages se mettent à consommer —> les entreprises se mettent à investir —>
accélérateur.
- soit les entreprise vont se remettre à investir —> multiplicateur —> a/ le PIB —> ménages se
remettent à consommer.
En T2 : les revenus stagne, les débouchés aussi, les entreprises réduisent les investissements —>
multiplicateur négatif —> baisse de la C° —> les entreprise contract toujours plus l’investissement jusqu’au
moment ou le minimum est atteint (I0) —> on passe à T3, meme situation que T1
Il est alors possible d’expliquer le J par l’oscillateur en encadrent la croissance par des butoirs.
Intérêts :
- L’Etat n’a pas d’in uence sur le PIB plafond mais il a le pouvoir d’in uencer le PIB plafond —> il peut
rapprocher le PIB plancher au PIB plafond, par un accroissement de G, dépense structurelle, tendancielle
—> il est possible de lisser le cycle juglar : lutter contre la gravité des crises
L’ambition est moins d’expliquer le J que d’appeler à une intervention de l’Etat, des politique
contracyclqiues
Limites:
- Hypothses : le taux de css du PIB plafond est le même que le taux de css du PIB plancher. Sort d’où ? Ils
ont des déterminants di érents de sorte quil pose une hypothèse loin d’être une évidence. Et si la volonté
étatique de rapprocher le PIB plafond de plancher avait pour csq la baisse du plafond : une a/ de G doit
être nancer, par l’impôt: et si trop l’impôt tue l’impôt (LAFFER), cad avait pour csq de rendre les facteurs
plus rare.
Le théorème de Ricardo - Barro, 1974 —> donc oui, l’augmentation tendancielle de la dépense publique va
augmenter l’impôt
Ricardo, 1817 : est ce que l’accroissement de la dépense publique génère une a/ d’impôt : distingue CT et
LT :
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- A CT, l’Etat dispose de 3 mode de nancement de dépense publique :
1 - Impôts : ΔG = ΔT
3 - Emprunt : ΔG = ΔE
- A LT :
- ΔT > 0
Théorie d’équivalence de Ricardo : A LT, les 3 modes de nancement sont équivalent : le seul choix de
l’Etat c’est sit les augmenter ojrd ou demain
Theorme de Riccardo - Barro (NEC comme Lucas) : il intègre dans le théorème l’hypothèse des
anticipations rationnelles de Lucas : les agents savent qu’en ultime recourt l’Etat doit accepter d’à/ les
impôts de sorte que l’annonce d’une relance budgétaire pratiquer mènent les agents a anticiper une a/ des
impôts proportionnels à la relance —> de sorte que le revenus supplémentaire tiré de la relance sera
intégralement épargner pour répondre à l’augmentation de T —> pas d’e et multiplicateur
Lucas s’appuie sur l’hypothèse des anticipations rationnelles pour expliquer la neutralité des relances
monétaires et Barro s’appuie dessus pour expliquer la neutralité budgétaire —> la relance ne sert à rien
FR 7,5 9 7,4
Jeans Tirole (néolibéral) et Olivier Blanchard (néokeynesien, conseiller de macron, donc il sait): le problème
c’est al segmentation du marché, il y a trop peu de ux entre emploi et chômage
Jacques Marseilles: « la france est un modèle soviétique qui a réussi » pendant les 30G et qui galère
depuis.
Lincolm : « Un peuple prêt a sacri er la liberté au prix de la sécurité ne mérite ni la liberté ni la sécurité »
- combien on y reste
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USA, GB, All, Pays-Bas, Pays Nordique retrouve régulièrement le plein emploi des facteurs, contrairement à
la France, Belgique, Espagne, Portugal,…
—> Avec Hicks : le J se retourne des quon atteint le plein emploi. Alors pk il y’a des retournement dans les
pays qui ne connaissent plus le plein emploi
- piste 1 (exclue, banale) : il se peut quil y ait une contagion des crises
Le FMI a montrer que depuis la n des 30G, depuis que le crise J est redevenu visible, toute les crises
commençant au USA deviennent mondiale et les USA sont protéger des crises qui viennent d’ailleurs —> il
existe des rapport de domination au sein du system capitalisme mondiale
- piste 2 : il se peut qu’il faille reconsidérer le plafond de PIB, ojrd le PIB plafond ne dépendrai plus
du plein emploi des facteurs mais du NAIRU (juste les néokeynesien parle de NAIRU)
- taux de chômage pour lequel les prix sont stables, taux in ation = 0, cad ΔW/W = ΔYl/Yl
- taux de chomage en dessous duquel il commencent à y avoir de l’in ation, ΔW/W > ΔYl/Yl car il y
a des tensions salariales et baisse des pro ts/VA
MAsi tout les pays n’ont pas le meme NAIRU, cad tout les pays ne sont pas sur la meme courbe de Philips :
- NAIRU USA = 4%
- NAIRU FR = 7%
Plus le NAIRU est éleve, plus le mur infranchissable du chomage est éloignée de l’origine, plus il y a
incompresisibilté du taux de chômage : la courbe sera plsu à droite
NEK, 1974 fondée par AKERLOF et STIGLITZ : réponse à la NEC —> ils intègre les anticipations
rationnelles et veulent montrer que le marché est sous optimal et la nécessité de l’intervention publique —>
contre la NEC
- Si taux de chômage > NAIRU, alors la di érence entre les deux c’est du chômage conjoncturelle, donc il
faut relancer donc accroître G et monétiser
- Si taux de chromage = NAIRU > 4% : ce pays a besoin de exibilité, libéralisation (les keynésiens font un
énorme pas vers le libéralisme dans les 70’) —> il faut des réformes
- Keynes en 1929
- libéraux en 1970
- si taux de chômage = NAIRU = 4% —> ne tuning (politique de réglage n) sur le plan budgétaire et
monétaire, régler doucement les taux d’intérêt (+- 0,25%), Alan GREENSPAN dans les 90
Gouverneur de la FED 1979 - 1987 : Paul VOLCKER, monétariste proche de Friedman, forte augmentation
des taux d’intérêt, en un jour de 11% à 20%
Gouverneur de la FED 1987 - 2006 : Alan GREENSPAN, keynésien, « grand sorcier de la politqiue
monetaire américaine », le plus long, ne tuning, croissance forte, plein emploi, pas d’in ation
Gouverneur de la FED 2018 —> : Jerome POWELL, pas un économiste mais politique
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Tarif McKinley, 1897 : les droits de douane vont atteindre 57%, record historique
Qd le taux de chômage s’approche du NAIRU (qd bien mm il est élevée) —> in ation
—> baisse du PA —> risque que les salaires a/ plus vite que la productive
—> baisse pro ts/VA —> entrepris on moins de moyens nanciers pour investir
—> cad qu’un oscillateur se déclare —> déclencher un multiplicateur négatif à rétroaction positif jusqu’à
atteindre le PIB plancher.
Courbe de beveridge, par William beveridge, Du travail pour tous dans une société libre, 1944 :
C’est les nouveaux keynesiens qui vont rendre cette courbe intéressante : à taux de chômage identique
certains pays peuvent avec des taux d’emplois vacants di érents, il peut y avoir coexistence dans certains
pays entre un taux de chomage élevée et un taux d’emplois vacant aussi
C’est le degre de rigidité du marche du travail qui déplace la courbe —> pas une fatalité
KYDLAND et PRESCOTT publient leurs dernier article en 1982 —> fonde la theorie RBC
Pourtant 1977 : il publient un article annonciateur : Rules rather than discretion (des politiques de regles
sont préférables à des politiques discrétionnaire)
—> mm école (NEC) que Lucas et mm ambition : montrer que face aux crises/ cycles, l’état ne doit rien
faire car il ne peut rien faire.
Si chez Lucas, la Mo est neutre, chez eux la Mo est super neutre: malgre que chez Lucas
l’instrumentalisation de la monnaie lance un juglar on peut quand même dire que la monnaie est neutre car
cets pas la monnaie mais la tromperie
Pour la théorie RBC : étant donnée que l’e et de surprise ne peut fonctionner qu’une fois il faut abandonner
cette modalité d’explication du J —> le cycle J va être expliquer par les répondre rationnelle apporter par
les agents confronter à des chocs de productivité qu’ils n’ont pas pu anticiper
Chocs de productivité : un choc est par nature non anticipable et conjoncturelle. Il y a des moments ou la
productivité a/ fortement sans que les agents n’aient pu l’anticiper : si le processus de R&D est endogène le
moment d’apparition du PT est exogène
La fusion —> le procéder est devenue tellement complexe quil est nécessaire d’investir en R&D mais le
moment ou le PT va apparaître on ne peut le prévoir —> choc de productivité non anticipable.
Des agents, par dé nition rationnels, ont les moyens de s’appuyer sur un choc de productivité pour a/
durablement leurs niveaux de vie.
Face à un choc de productivité y’a 2 arbitrage garantissant une a/ durable du niveau de vie:
Mais ces 2 arbitrage existent aussi au niveau intertemporel —> pour un enrichissement durable me
permettant au temps t+1 inverser mes arbitrage : loisir/ C° —> taux de css plus bas (crise/ recession)
—> les agents l’ont voulu, ils ont considéré que c’est la condition de maximisation de leurs bien-être
SAUF RDC: le cycle est une variation par rapport à l’optimum, cad non optimum
- Keynesiens : variation par rapport au PIB plafond : taux de css plus faible que le max
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- liberal hors RDC : taux de css tq S = I : ne pas instrumentalisée la Mo, taux de css plus fort que le
max
- RDC : c’est pas une variation par rapport à l’optimum, c’est une variation de l’optimum, les agents
ne cessent de maximiser leurs bien être : le rythme de création de richesse accélère parce que des agents
(micro) l’ont voulu. Le juglar devient un cycle sans crise, à chaque point la situation est Pareto optimal —>
Les politqiue contracylique de l’Etat ne sont pas les biens venu. Chez eux le chomage est volontaire : donc
je vais à pole emploi et on me donne un revenu pour qqch que j’ai choisi.
Malthus : « les lois sur les pauvres creer les pauvres qu’elles assistent »
Comment expliquer qu’une juglar dure 9 ans ? Personne ne donne d’explication précise
Est il dramatique de ne pas expliquer sa périodicité puisqu’elle n’est pas régulière : moyenne 9ans mais
entre 5 et 11 ans.
Charles PLOSSER, 1984 : example de Robinson Crusoé —> pou illustrer la RBC car critique d’être trop
abstraite : Robinson isoles sur son île, sans monnaie (pas de risque que la crise soit monétaire), pas de
marché ancer (la crise ne peut pas être nacanire) ni etat : un etre rationelel n’est pas capable d’anticiper
un choc de productivité, mais des lors quil se produit il est capable d’anticiper quil ne se réalisera jamais.
Un jour il découvre que Robinson n’est pas seul : la stratégie mise ne place alors par Vendredi (rationelle) va
consommer l’entièreté du choc de productivité, garce à des conditions metereologqiues favorables je peux
produire plus et je vais le faire. Vendredi puisqu’il n’est pas rationnelles, pense qu’en priant il va pouvoir
faire les meme conditions l’année d’après, il ne va pas faire plsu de travail, i plus d’épargne —> pas
d’élévation du niveau de vie. Robinson (rationnel) va le faire : e ectuer des plantation, de travail, d’épargne
et cela suppose de ne pas consommer entièrement le choc dse produvctibiét —> taux de css positive —> il
peut alosr privilégié dorénavant la C° et les loisirs : recession
- Kydland et Prescott, 1991 : au USA entre 1945 - 1990 les chocs de productivité expliquent 70% des J
Peut on avoir con ance ne nue études des auteurs eux meme ?
- en 1991, au USA sont touchés par une crise e productivuét —> solow navait pas vue l’accélération des
GP dans le tertiaire americain (1987)
Mais en 2002 ceux qui travaillent ne travail pas moins, ils auraient du réduire si c’était vrai —> donc entre
2000 et 2002 le chômage est subi.
2000 : le CAC 40 avait atteint un record 6944 pts —> décembre 2002 : 2400pts
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