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Situations d’audit présentées dans les

formations OLAS

ISO/IEC 17025:2017

ISO/IEC 17020:2012

ISO/IEC 17021-1:2015

ISO 15189:2012

ISO/IEC 17065:2012
ISO/IEC 17025:2017

Lors du suivi de 4 demandes clients de prestations d'essais, sur 4 consultées, il est


constaté que le délai de 5 jours, convenu pour la communication des résultats dans la
promotion des prestations du laboratoire, est dépassé entre 1 et 3 jours.
Il n'y a pas de trace d'information du client pour ce qui concerne ces dépassements
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NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.1.5 – Écart constaté dans tous les


contrats suivis au cours de l’audit.)

Le thermomètre utilisé pour constater que la température ambiante du laboratoire est


maintenue entre 18°C et 24°C est étalonné avec une fréquence de tous les 3 ans. La fiche
de vie est renseignée. formalisés.
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CONFORMITE (§ 6.4; 6.4.4; 6.4.8; 6.6 – c’est au labo de fixer la fréquence des étalonnages en
fonction du risque qu’il évalue.)

Le laboratoire a procédé à une analyse des risques pour ce qui concerne l'impartialité.
Elle a recruté, depuis cette analyse, de nouveaux personnels qui interviennent dans le
cadre des essais accrédités et signé des contrats avec de nouveaux clients. Il n'y a pas
eu de mise à jour de l’analyse de risque et aucune n'est programmée
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NON-CONFORMITE (§ 4.1.4; 4.1 – Une étude a été réalisée)

Les 3 techniciens du laboratoire enregistrent les données premières sur des feuilles
d'enregistrement qui ne sont pas conservées après que les données aient été
retranscrites sous forme informatique
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NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.5; 7.5.1 et 7.5.2. Comme on ne
conserve pas les données d'origine on ne peut pas identifier les facteurs affectant les
incertitudes de mesure.

Un seul audit interne a été réalisé sur les 3 planifiés sur la période considérée.

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NON-CONFORMITE (§ 8.8; 8.8.1; 8.8.2. On ne peut pas se prononcer sur la conformité et la


mise en œuvre du système de management sur la période considérée.)

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Pour garantir la conformité des résultats d’essais réalisés par le laboratoire, la norme
impose une mesure de la température avec une précision de ±2°C.
Le laboratoire a fait étalonner le thermomètre concerné par un laboratoire non accrédité
sans toutefois vérifier que les étalons qu’il utilise sont eux-mêmes raccordés aux étalons
internationaux.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.5.2)

Dans l’offre de prestation validée par le client, aucune méthode d’essai n’est identifiée. Le
laboratoire applique correctement la méthode qu’il a développée sous accréditation mais
il n’en a pas informé son client.

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NON-CONFORMITE (§ 7.2.1.4)

Le tableau utilisé pour l’analyse des risques liés à l’impartialité du laboratoire n’est pas
référencé comme un document du système de management.
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NON-CONFORMITE (§ 8.2.4)

Le laboratoire n’a pas nommé de responsable pour la gestion de son système de


management.
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CONFORME (§ 5.6)

Dans sa revue de contrat avec un sous-traitant, les critères de qualification du personnel


en charge de la prestation ne sont définis que pour une partie d’entre eux.
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REMARQUE (§ 6.6.3)

Pour l’hébergement de ses données techniques, le laboratoire fait appel à un prestataire


informatique lui fournissant l’accès à un cloud. Le contrat encadrant cette prestation ne
précise pas clairement les clauses de confidentialité
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NON-CONFORMITE (§ 4.2.1)

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Le laboratoire a établi une liste des personnes ayant accès au serveur des documents du
laboratoire. Or, cette liste n’énumère que le personnel du laboratoire, c. à d. les
utilisateurs. Les administrateurs du serveur, c. à d. le personnel du service IT de
l’entreprise mère du laboratoire, disposant de droits d’accès privilégiés au serveur, ne
sont pas repris dans cette liste. Or, le laboratoire doit pouvoir retracer tous les accès à
ses données en cas d’un incident de sécurité de l’information. Il n’y a pas de risque pour
la qualité des essais effectués.
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REMARQUE (§ 7.11.3 a) et § 7.11.4)

L'organisme réalise des essais sur un objet remis par le requérant (client). Il remet les
résultats sur un rapport. La déclaration selon laquelle les résultats ne se rapportent
qu'aux objets soumis à l'essai n'est pas présentée. Il n'est pas donné de raison de ne pas
le faire.
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NON-CONFORMITE (§ 7.8.5 b)

L'organisme peut être amené à diffuser des informations confidentielles à des tiers dans
le cadre d'engagements contractuels (auditeurs Olas, audit interne externalisé), il n'avise
pas ses clients.
Client non informé, risque d'insatisfaction.

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REMARQUE (§ 4.2.2)

Dans la fiche de vie XY de l’équipement YZ, le lieu où l’équipement est conservé dans
l’enceinte du laboratoire n’est pas indiqué.

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REMARQUE (§ 6.4.13)

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ISO/IEC 17020:2012

L’organisme ne dispose pas d’un registre de tous ses sous-traitants.

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NON-CONFORMITE (§ 6.3.4)
C’est une NC / 6.3.4 puisque l’exigence n’est pas remplie.
Il n'existe pas d'évaluation individuelle de l'efficacité des formations externes, mais
uniquement un résumé lors de la revue de direction.

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CONFORME (§ 6.1)
C’est conforme dans la mesure où aucune exigence ne réclame cette évaluation individuelle de
l’efficacité des formations externes.
L’organisme d’inspection de type A fournit du conseil en matière de conception du
produit à inspecter.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 4.1.1, 4.1.6, annexe A1)
C’est une NC majeure / 4.1.6 et à l’annexe A1.

Pour la dernière revue de direction, seul le document préparatoire est disponible.

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NON-CONFORMITE (§ 8.5.1, 8.5.2, 8.5.3)
C’est une NC / 8.5.3 puisqu’il manque les données de sortie de la revue de direction.
L’organigramme nominatif de l’organisme comporte des omissions (personnes oubliées)
ou des erreurs (fonction signataire des rapports alors que chaque inspecteur signe).

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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 5.2.3, 5.2.7, 6.1.4)
C’est une R ou une NC / 5.2.3 en fonction du contexte observé.
Dans le manuel qualité, le paragraphe 4.2 mentionne que c’est le Responsable qualité et le
Chef de secteur qui signent le certificat de qualification, alors qu’en pratique c’est le
Directeur technique.

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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 5.2, 6.1)
En fonction du contexte.
Il n’existe pas de critères de qualification minimum exigés pour un auditeur interne.
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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 8.6.5)
En fonction du contexte.

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Le point 7.5 du manuel qualité prévoit, lors de chaque révision d’un document, d’en
informer le personnel par e-mail et/ou en réunion de service. Ces dispositions ne sont
pas respectées de manière systématique.
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NON-CONFORMITE (§ 8.3.2)
L’organisme d’inspection ne dispose pas de procédure pour sélectionner des
fournisseurs qualifiés pour du matériel et des services ayant une influence sur la qualité
des inspections.
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NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.11)
En fonction du contexte.

L’identification en continu des risques susceptibles de porter atteinte à l’impartialité de


l’organisme est faite lors de chaque mission au travers de la « Lettre d’engagement de
confidentialité et d’impartialité » signé par l’inspecteur. Les risques relatifs aux Intérêts
personnels, à l’autoévaluation, à la familiarité et à l’intimidation ainsi que les mesures
prises pour éliminer ou minimiser ces risques sont documentés et enregistrés lors de la
revue de contrat.
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CONFORME (§ 4.1.3)
Le logo OLAS figurant sur les offres et rapports n’est pas conforme à la charte graphique
définie dans l’annexe OLAS A003.
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NON-CONFORMITE (annexe OLAS A003)
Les check-lists correspondant aux rapports n° x et n° y comportaient des ratures rendant
illisibles les évaluations de l’inspecteur, et donc susceptibles d’affecter la traçabilité des
données résultant de l’inspection.
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NON-CONFORMITE (§ 7.3.1)
Les rapports d’inspection reprennent de façon tronquée les exigences, sans préciser les
manquements constatés par rapport à ces exigences, il en résulte une difficulté de
compréhension et d’interprétation pour le client.
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NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.4)
En fonction du contexte.

L’organisme d’inspection ne soustraite pas les missions pour lesquelles il est accrédité,
excepté la mesure de concentration de fibres d’amiantes dans l’air réalisée par
microscopie électronique. Ces mesures sont sous-traitées à un laboratoire accrédité. Les
rapports du prestataire sous-traitant comportent le logo de son organisme
d’accréditation.
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CONFORME (§ 6.3)

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L’organisme détient des fiches de fonction pour tout le personnel. Néanmoins pour le
personnel administratif, les exigences de compétence n’ont pas été formalisées.
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NON-CONFORMITE (§ 6.1.1)
La mise à jour des documents du système qualité est réalisée de manière correcte, mais
sans fixer une périodicité en ce qui concerne la revue des documents du système de
management de la qualité.

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REMARQUE (§ 8.3.2b; 8.5.1)

L’organisme procède à des étalonnages réguliers de son équipement. Une partie de ces
étalonnages à exécuter sont sous-traités à un laboratoire non accrédité.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.7; A016; 3.2 OLAS)

Les rapports finaux relatifs au suivi des chantiers de désamiantage ne sont assortis
d’aucune référence à l’accréditation.
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NON-CONFORMITE (A003 et RGD)

L’organisme ne dispose pas d’un registre de sous-traitants.


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NON-CONFORMITE (§ 6.3.4)

Un organisme d’inspection procède aux évaluations annuelles de son personnel. Un audit


interne est prévu annuellement. Vu ces prédispositions, il est décidé de ne pas procéder à
une supervision sur le site de chaque inspecteur.
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NON-CONFORMITE (§ 6.1.9)

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L’organisme d’inspection a décrit des dispositions spécifiques pour la sélection de ses
fournisseurs mais il ne procède pas à leur évaluation
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CONFORME (§ 6.2.11)

L’organisme d’inspection ne dispose pas de procédure pour l’échantillonnage des


polluants qu’il récupère sur site, en vue de leur analyse.
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NON-CONFORMITE (§ 7.1.2)

L’organisme ne dispose pas de preuve d’une formation du personnel impliqué dans les
activités d’inspection au système de management de la qualité.
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NON-CONFORMITE (§ 6.1.10)

Les dispositions à mettre en œuvre liées à la sécurité lors des activités d’inspection, ne
sont pas formalisées, bien qu’il a été observé que les inspecteurs les appliquent et les
communiquent entre eux.
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REMARQUE (§ 7.1.9)

L’organisme applique ses règles concernant la sous-traitance aux prestataires engagés


pour les étalonnages de ses équipements..
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CONFORME ( n.a.)

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L’organisme d'inspection ne présente pas le nom de la ou des personne(s) qui est
susceptible de remplacer le responsable technique.
Une compétence est définie.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.2.6 – risque avéré; continuité des activités non assurée)
A la suite de deux réclamations sur 2 reçues et traitées, la décision est approuvée par la
personne qui a réalisé l'inspection objet de la réclamation.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.6.4 – risque sur l’impartialité)

Dans les 3 cas existants le client n'est pas avisé de la sous-traitance d'une partie de
l'inspection.
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NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.3.2 – Risque de conflits d’intérêt)

Pour 2 inspecteurs sur les 6 de l'organisme d'inspection, il n'est pas présenté de trace de
période de travail sous tutorat d'inspecteur documenté.
Ces 2 inspecteurs ont 10 et 15 inspections à leur actif sans problème détecté depuis 2
ans qu'ils opèrent
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REMARQUE (§ 6.1.6 – à suivre pour les nouveaux inspecteurs)

3 inspecteurs sur 6 disposent d'équipement de mesure dont le programme d'étalonnage


n'est pas respecté. La validité d'étalonnage est dépassée de 2 à 6 mois.
Il n'y a pas eu d'inspection ayant nécessité l'utilisation des équipements depuis le
dépassement de la validité.

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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 6.2 ou 6.2.6 – les équipements n’ont pas été utilisés.)

Pour 4 actions correctives sur les 12 évaluées le résultat des actions mises en œuvre
n'est pas enregistré. .

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NON-CONFORMITE (§ 8.7 – le risque est avéré – risque que les actions correctives ne soient
pas efficaces)

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Il manque sur l’organigramme les distinctions entre inspecteurs spécialisés et ingénieurs
spécialisés. Le périmètre de l’accréditation comprenant les personnes impliquées, n’est
pas clairement identifié sur l’organigramme.

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REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 5.2.3 ; 5.2.7)

La suppléance des responsables techniques (responsables de domaine) n’est pas définie


de façon systématique.
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NON-CONFORMITE (§ 5.2.6)

Il n'existe aucune disposition préétablie décrivant de quelle façon et avec quelle


périodicité l'adéquation des documents est revue afin d'assurer un système de
management efficient.
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NON-CONFORMITE (§ 8.3 ; 8.3.2b)

La surveillance des inspecteurs, qui sont responsables de domaine, n’est ni formalisée ni


planifiée.
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NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.1.8 ; 6.1.5 ; 6.1.9 ; 6.1.10)

Le responsable qualité de l’OEC est un employé technicien qui rapporte à son chef de
service. Le chef de service rapporte ensuite au responsable technique qui est membre du
Comité de Direction.

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NON-CONFORMITE (§ 8.2.3)

Sur le site internet de l’OEC, on ne trouve pas d’information sur le traitement des
réclamations et appels.
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REMARQUE (§ 7.5 ; 7.5.1 ; 7.5.2)

L’organisme n’a pas de d’instruction documentée définissant les équipements de


protection à utiliser pour réaliser les inspections en toute sécurité
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REMARQUE (§ 6.2.1 ; 7.1.9)

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La documentation entre l’OEC et ses centres de contrôle externes ne mentionne pas la
périodicité des calibrations/ étalonnages des équipements utilisés.

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NON-CONFORMITE (§ 6.2.2 et 6.2.6)

L’OEC n’a pas décrit les critères à respecter pour désigner les responsables de domaine.
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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 6.1.1 – 6.1.4 ; Ecart catégorisé en non-conformité vu


les responsabilités des responsables de domaine en termes de formation, habilitation et
supervision.)

L’OEC sous-traite systématiquement une partie de ses inspections à un autre organisme


d’inspection accrédité ISO 17020.
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CONFORME (§ 6.3.1)

Lors de l’inspection sur site, l’inspecteur n’a pas utilisé la check-list prévue à cet effet.

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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (7.1.2; 7.1.7; risque d’oubli)

L’OEC ne dispose pas d’une instruction documentée définissant les EPI minimaux à
utiliser lors des contrôles sur les ascenseurs.
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NON-CONFORMITE (§ 7.1.9)

La procédure et la check-list prévoient un éclairage de sécurité de 30 Lux. L’agent n’était


pas en possession d’un luxmètre pour la vérification.
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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 6.2.2 ; 6.2.1 ; L’organisme d’inspection doit disposer de


règles pour l’utilisation des équipements et la mise à disposition des agents)

L’organisme n’a pas prévu dans sa procédure de gestion de son système d’information
de s'assurer de l'efficacité de la restauration des données sauvegardées.
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REMARQUE (§ 6.2.13B)

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Dans un organisme d’inspection un responsable informatique n’a pas signé la fiche de
fonction correspondante à sa fonction.

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CONFORMITE OU REMARQUE (§ 6.1.4)

Un document en version 1 d’un manuel qualité contient des rajouts et ratures..

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NON-CONFORMITE (§ 8.3.2b et c) et 8.3.1)

La procédure de la gestion des achats d’un organisme d’inspection ne contient pas des
critères de sélection pour les fournisseurs d'étalonnage..

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NON-CONFORMITE (§ 6.2.6; 6.2.7 et A016 (§ 3.2)

Les procédures d’un organisme d’inspection n’utilisent pas les termes et expressions des
normes harmonisées.
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REMARQUE ou NON-CONFORMITE (7.1.1)
Un organisme sous-traite des analyses de la microscopie électronique de balayage (MEB)
à un laboraoire qui est accrédité selon la norme ISO/IEC 17025. Les rapports émis par le
sous-traitant ne portent aucune référence sur son accréditation.
 voir la réponse

REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 6.3.1)

Lors de l’inspection d’un équipement sous pression, l’inspecteur n’effectue pas un test à
cause d’un dispositif de mesure approprié manquant..
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEUR (§ 6.2.1 ET 7.4.2 g))

Un OEC a une procédure décrivant la gestion des informations reçus par des tierces
parties sur un de ses clients. La procédure ne prévoit que le traitement confidentiel des
données.
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REMARQUE (§ 4.2.3)

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Les règles d’utilisation de certains équipements de contrôles visuels indirects
(endoscopes, miroirs) ne prennent pas en compte l’acuité visuelle du personnel qui les
utilise.
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REMARQUE (§ 6.2.2)
Un équipement, identifié par l’organisme comme ayant une influence significative sur les
résultats de l’inspection, est étalonné par un prestataire externe. Le prestataire n’est pas
accrédité et n’est pas un organisme national de métrologie. L’organisme s’assure lui-
même, à l’aide d’un audit tierce partie, que ce prestataire est compétent pour les
étalonnages en question et que le raccordement aux unités SI est garanti...
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CONFORMITE
L’organisme n’a pas définit comment le maintien de compétence du responsable
technique est assuré
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NON-CONFORMITE (§ 6.1.5)
L’organisme ne met pas à disposition de ses clients son processus de réclamations et
d’appels
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NON-CONFORMITE (§ 7.5.2)

Pour une inspection, l’OEC a sous-traité une partie de la prestation à un tiers. Dans le
contrat avec le client, cette sous-traitance n’est pas mentionnée. L’OEC ne peut pas
démontrer la compétence du sous-traitant.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEUR (§ 6.3.4 & 6.3.2)

L’OEC dispose d’une documentation suffisante qui règle la gestion des équipements.
L’OEC n’a pas définit un responsable pour la gestion de équipements.

 voir la réponse

CONFORMITE

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Les documents P1 et A1 servant de support à la supervision ne sont pas utilisés alors
que la procédure le prévoit.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 6.1.10)
L’organisme ne fait pas de différence entre réclamation et appel dans le manuel qualité ni
dans la procédure correspondante. Le flow-chart de la procédure ne précise pas non plus
ce qui est fait si le demandeur n’accepte pas la décision après réclamation.
 voir la réponse
REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 7.6.1)
En fonction du contexte.

Il n’existe pas de procédure pour traiter les recours en tant qu’OEC agissant en
délégation de l’autorité nationale.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 7.5.1)

Lors de l’examen d’un dossier XY au contrôle périodique d’un ascenseur, il a été constaté
que le rapport mentionnait M. Dupont comme accompagnant alors que suite à une
réclamation introduite dans le cadre de ce dossier, il a pu être vérifié que l’inspecteur
était seul. Il convient de signaler que l’inspecteur a élaboré son rapport à partir du rapport
précédent.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 7.4 ;Ecart catégorisé en non-conformité car il est impératif que le rapport
soit le reflet exact de la réalité. Si une erreur avait été décelée au niveau des résultats de
l’inspection, elle aurait donné suite à une non-conformité majeure.)

Sur les rapports de contrôle final et périodique consultés, le logo de l’OLAS a été
homothétiquement réduit. Cette réduction ne satisfait pas aux exigences de lisibilité
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ A003 – OLAS ; pt. 3.4 ; Risque de confusion sur le numéro de


l’accréditation)

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ISO/IEC 17021-1:2015

Pour le personnel conduisant la revue de la demande pour déterminer la durée d’audit


dans le cadre du programme de certification ISO 14001 : 2015, la connaissance des
aspects environnementaux et des impacts associés n’est pas traduite en critères de
compétence pour le personnel concerné
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 7.1.2 + Annexe A)

L’OEC n’a pas vérifié les corrections et actions correctives pour les NC majeures lors
d’un audit de renouvellement. Le certificat a été renouvelé.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 9.5.2b,9.6.3.2.2 )

L’OEC ne dispose pas d’un processus documenté de la surveillance des auditeurs

 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 7.2.10 et 7.2.9).

La date d’expiration du certificat du client est le 01/01/2018. L’audit de renouvellement est


planifié pour le 10/01/2018.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 9.6.3)

L’OEC n’a pas publié la liste de ses clients certifiés sur son site internet..

 voir la réponse

CONFORME (§ 8.1.2)
La date de l’audit est le 31/07/2016 ; la date de prise de décision de l’OEC pour le premier
cycle de 3 ans est le 05/09/2016. Date de début de validité figurant sur le certificat émis au
client : 31/07/2016

 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 8.2.2; 9.1.3).

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Pour un audit initial étape 2 une durée d’audit de 5,5 jours est prévue. L’organisme de
certification planifie un audit de 5 jours ; avec 9 heures d’audit lors des deux premiers jours
pour les deux auditeurs.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 9.1.4, IAF MD5 § 2.2.2)

Le personnel d’un organisme de certification, impliqué dans le processus de certification


sous accréditation, ne s’engage pas formellement à révéler toute situation dont il a
connaissance qui peut le confronter à un conflit d’intérêt
 voir la réponse
NON-CONFORMITE OU NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.2.13 )

Sur le site internet d’un organisme de certification on peut trouver le formulaire pour
introduire une plainte par écrit. mais pas les informations sur le processus du traitement de
celles-ci.
 voir la réponse
REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 8.1.1)

Le contrat de certification d’un client multisite certifié par un organisme de certification ne


couvre que le siège social.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.1.2)

Un organisme de certification effectue un audit interne pour un nouveau client le


01/06/2016. En janvier 2018 cet organisme certifie le système de management du même
client.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.2.6)

Dans un petit organisme de certification, une personne formée exclusivement pour la


norme ISO 27001 est responsable pour la revue de tous les dossiers de l’organisme, y
inclus les dossiers en relation avec la certification des systèmes de management
environnementaux
 voir la réponse basés sur la norme ISO 14001?

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.1.1; iso/iec 17021-2 § 7.2)

Un organisme de certification ayant des clients en Europe et en Chine a des versions


anglaises et chinoises de tous ses documents relatifs à la certification de systèmes de
management sur son site internet multilingue.
 voir la réponse
CONFORMITE (§ 8.1. ET 8.1.1.)

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L’organisme de certification n’a pas prévu de dispositions interdisant son client de déclarer
certifiées certaines activités qui ne sont pas couvertes par son périmètre de certification.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 8.3.4g)

La dernière version applicable du document IAF MD5 n’est pas prise en compte par
l’organisme de certification pour le calcul du temps d’audit.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 9.1.4.1 )
L’auditeur interne qui intervient chez l’organisme de certification n’est pas formellement
qualifié pour la norme ISO/IEC 17021-1. Il a néanmoins procédé à l’audit interne sur base
des exigences de cette norme et le rapport apporte une valeur ajoutée significative à
l’organisme.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 10.2.6.4)

L’organisme de certification a déclenché un audit de type 2 avant que son client n’ait réalisé
d’audit interne et de revue de direction.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 9.3.1.2.2g)

L’organisme de certification est accrédité pour la certification SMSI selon la norme ISO/IEC
27001. Cependant, son site internet ne fait pas mention de ce programme de certification,
contrairement aux autres pour lesquels il est accrédité.

 voir la réponse
REMARQUE (§ 8.1.1c)
La procédure de qualification des auditeurs de l’organisme de certification prévoit que le
maintien de la compétence est subordonné à la réalisation d’un minimum de 4 jours
d’audits par an, préparation d’audit comprise (1 jour de préparation par mission). Un des
auditeurs n’a réalisé que 2 missions d’un jour et demi en 2019

 voir la réponse

CONFORME (§ 7.2.4)

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L’organisme de certification n’a pas prévu de dispositions interdisant son client de déclarer
certifiées certaines activités qui ne sont pas couvertes par son périmètre de certification.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 8.3.4g)

La dernière version applicable du document IAF MD5 n’est pas prise en compte par
l’organisme de certification pour le calcul du temps d’audit.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 9.1.4.1 )
L’auditeur interne qui intervient chez l’organisme de certification n’est pas formellement
qualifié pour la norme ISO/IEC 17021-1. Il a néanmoins procédé à l’audit interne sur base
des exigences de cette norme et le rapport apporte une valeur ajoutée significative à
l’organisme.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 10.2.6.4)

L’organisme de certification a déclenché un audit de type 2 avant que son client n’ait réalisé
d’audit interne et de revue de direction.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 9.3.1.2.2g)

L’organisme de certification est accrédité pour la certification SMSI selon la norme ISO/IEC
27001. Cependant, son site internet ne fait pas mention de ce programme de certification,
contrairement aux autres pour lesquels il est accrédité.

 voir la réponse
REMARQUE (§ 8.1.1c)
La procédure de qualification des auditeurs de l’organisme de certification prévoit que le
maintien de la compétence est subordonné à la réalisation d’un minimum de 4 jours
d’audits par an, préparation d’audit comprise (1 jour de préparation par mission). Un des
auditeurs n’a réalisé que 2 missions d’un jour et demi en 2019

 voir la réponse

CONFORME (§ 7.2.4)

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Dans le cadre de l’audit initial d’un de ses clients, l’OEC a planifié la réalisation de l’étape 1.
Le résultat de l’analyse des constats recueillis durant cet audit ne sont pas repris dans les
conclusions de l’audit
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 9.3.1.4)

Dans son rapport d’audit de renouvellement, l’OEC ne statut pas sur la clôture de la NC+
identifiée pendant l’audit. Le dossier a malgré tout été présenté au comité de certification,
et l’OEC a délivré un nouveau certificat, à son client..
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 9.6.3.2.4 )

La direction de l’OEC n’a pas nommé de responsable qualité..

 voir la réponse

CONFORME (§ 10.2.1)

Lors de la reprise d’une certification l’OEC n’a pas pu démontrer que les plaintes
éventuelles, ainsi que les actions correctives prises avant le transfert par le client, ont été
mises à sa disposition et revues..

 voir la réponse

REMARQUE (§ 9.5.3.3 + §IAM2 2.2.4 )

L’OEC n’a pas défini de fréquence spécifique, adaptée à ses besoins, pour réaliser
l’évaluation des performance de ses auditeurs et experts.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 7.2.11)

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ISO 15189:2012

Un laboratoire a le dosage du lithium dans sa portée d’accréditation. En cas de panne


d’automate, le laboratoire a recours à un laboratoire non accrédité, et signale dans son
rapport d’analyses que le dosage du lithium est à la fois hors accréditation et a été sous-
traité.
 voir la réponse
CONFORME (annexe OLAS A003, § 4.4.1f), 4.5.1, 4.5.2, 5.8.3c))
Contrairement aux dispositions de la procédure de prélèvement du laboratoire, le
préleveur audité n’a pas procédé à l’identification positive du patient.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 5.4.1, 5.4.4.3, 5.4.5)
C’est une NC / 5.4.4.3 puisque l’exigence n’est pas remplie.

Le laboratoire, accrédité en portée flexible ne possède pas de portée d’accréditation


détaillée (concernant la liste des matrices soumises à l’analyse) pour les analyses dans le
champ de la portée flexible.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (annexe OLAS A012, § 5.5.1)
C’est plutôt une NC / A012 puisque l’exigence n’est pas remplie.

Un laboratoire sous-traite des analyses à un labo non accrédité pendant les congés du
biologiste responsable. En rentrant de congé, les analyses sont signées par le biologiste
et rendues sous accréditation.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (annexe OLAS A003, § 4.5.2, 5.7(1), 5.8.3c))
C’est une NC majeure / A003.

Pendant l’absence prolongée du biologiste, le laboratoire a fait appel à un biologiste


externe, sous contrat, ayant les compétences requises. Cependant, le biologiste externe a
validé les comptes-rendus de résultats sous le nom du biologiste du laboratoire.A la
découverte de cette situation, aucune action n’a été menée par le laboratoire pour évaluer
le risque et traiter le problème.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 4.4.1, 4.9, 4.10, 5.8.3(n))
C’est une NC ou NC+ en fonction du contexte.

Les critères d’habilitations initiales et continus du personnel ne sont pas définis au sein
de l’activité biologie moléculaire.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.1)
En fonction du contexte.

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Le compte rendu de la revue de direction ne présente pas la conclusion de la direction du
laboratoire sur l’adéquation, la pertinence et l’efficacité du système de management de la
qualité. Les dispositions prises pour agir sur les indicateurs « rouges », c'est-à-dire en
dessous du seuil fixé, ne sont pas présentées.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§4.15)
Des fiches de fonction sont disponibles. Par contre, la liaison entre ces fiches et le poste
occupé par des personnels, avec par exemple les suppléances et les tâches partagées
n’est pas disponible.
 voir la réponse
REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§5.1)
En fonction du contexte.

Le laboratoire n’a pas défini et n’applique pas de programme de surveillance et


vérification régulière des interfaces informatiques. Cependant des contrôles aléatoires
sont effectués au gré des pannes et modifications des logiciels.
 voir la réponse
REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§5.10)
En fonction du contexte.

Il n’y a pas de procédure de fusion des dossiers en doublons informatiques relatifs aux
patients.
 voir la réponse
REMARQUE (§5.10)
La liste des centres de prélèvement du laboratoire n’est pas disponible (20 centres
déclarés).
 voir la réponse
REMARQUE (§4.1.1, 5.2)
L’état d’étalonnage ou de vérification d’un automate ou pipettes automatiques n’est pas
apparent pour le personnel utilisateur, ce qui peut conduire à utiliser un matériel dont les
étalonnages ou vérifications ne sont plus valides.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§5.3)
En fonction du contexte.

Le laboratoire ne dispose pas de procédure ni de dossier de validation des équipements.


 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§5.3)
Le compte-rendu des résultats ne permet pas de savoir qui en a réalisé la validation
technique.
 voir la réponse
CONFORME (Règlement grand-ducal du 27 mai 2004; §5.8.3)

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Les secrétaires qui accueillent les patients et qui font du rendu des résultats ne sont pas
habilitées par le laboratoire. Elles réalisent des taches qui peuvent avoir un impact sur la
qualité des rapports. Les critères de maintien des compétences à la fonction métrologie
ne sont pas définis (titulaire et suppléants). Le suppléant du responsable métrologie n’a
pas réalisé d’opération métrologie en 2015.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§5.1.2)

La fiche de maintenance préventive de l’automate XY n’est pas signée par une personne
habilitée du laboratoire. Même constatation sur la fiche de maintenance préventive établie
par la société Z (sous-traitant W) sur l’automate concerné.
 voir la réponse
REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§5.3.1.5); En fonction du contexte.

L'ensemble des exigences sur le comportement éthique ne sont pas encore suffisamment
prises en compte ou mis en œuvre dans les règles du laboratoire (concerne
Essentiellement la définition de procédures appropriées afin que le personnel traite les
échantillons humains, tissus et dépouilles mortelles conformément aux dispositions
légales pertinentes). Cet aspect de la norme ISO 15189:2012 n’est traité que partiellement
lors de l’accueil de nouveaux employés. Toutefois, une règle explicite sur ce sujet
manque. Ce fait a déjà été constaté par le laboratoire dans le cadre d'un audit interne,
mais jusqu'à présent il n’a pas été traité ou soldé
 voir la réponse

REMARQUE (§4.1.1.3)
Il manque des critères de rejet pour les analyses d’éléments thermolabiles lorsque du
sang entier est envoyé au laboratoire (ou des perturbations dans le sang total par des
globules rouges).
Ex : résultats biaisés pour NSE, ACTH, insuline.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§5.4.6)

Le laboratoire conserve les échantillons pour une durée de 6 mois après analyses de
sérologie bactérienne.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (Critères minima Art 14 ; Obligation de les conserver 1 an après analyse)


Dernière revue de direction : Les données d’entrées suivantes ne sont pas prises en
compte : - revue périodique des prescriptions, pertinences des procédures et exigences
concernant les échantillons; - performance des fournisseurs (uniquement les litiges) -
pas de bilan des fiches progrès, (action préventive), Les données de sorties suivantes ne
sont pas prises en compte : - l’amélioration des prescriptions offertes aux utilisateurs, -
les besoins en ressources. Les objectifs définis ne font pas l’objet d’une planification afin
d’assurer leur suivis dans les délais convenus
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§4.15)

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La prise de connaissance de certains documents du SMQ par le personnel du laboratoire,
est postérieure à leurs dates de mise en application. Non-respect de la procédure de
gestion documentaire qui précise que le personnel dispose de 15 jours pour prendre
connaissance de la documentation.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§4.3)

Le laboratoire n’a pas formalisé ni évalué le maintien des compétences de ses


biologistes.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§5.1.6)

La copie d’un mode opératoire disponible au poste n’est plus applicable : Suite à une
anomalie constatée sur la technique concernée, la modification apportée au mode
opératoire a été rédigée sous forme d’un document volant non référencé dans le SMQ et
non daté.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§4.3 d/e)

La température d’arrivée des échantillons à partir des centres de prélèvement est bien
enregistrée, cependant les mesures en cas de dépassement de la plage définie par le
laboratoire ne sont pas commentées.
 voir la réponse

REMARQUE (§5.4.5 et 5.4.6)

Les pipettes hors service ne sont pas identifiées en tant que pipettes défectueuses.
Néanmoins elles sont stockées dans une zone dédiée.
 voir la réponse
REMARQUE (§5.3.1.5)

Le laboratoire n’a pas mis en place de moyen pour assurer la comparabilité des examens
qui 
peuvent être analysés sur plusieurs systèmes analytiques.
voir la réponse

NON-CONFORMITE (§5.6.4)

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Les saisies des Evaluation Externe de la Qualité (8 envois par an) se font par la biologiste
responsable du secteur sans vérification de cette saisie par une tierce personne. Risque
potentiel d’une erreur de saisie. Cela s’est concrétisé pour l’EEQ de XY réalisé le
dd/mm/2016 avec erreur de saisie dans les unités transcrites ayant entraînée une non-
conformité (NC 2016-yz).
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 5.8.1 et éventuellement 4.13 ; 5.10.3)

Le laboratoire n'a pas signalé au public son existence par l'intermédiaire d'une plaque
professionnelle apposée à l'entrée de l'immeuble dans lequel il se trouve.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§§ 5.4.2 + article 4 du RGD du 27/5/2004 ; 5.4)

Depuis leur période d’apprentissage, aucune preuve n’a permis de démontrer que les
chauffeurs ont reçu des formations ou des instructions supplémentaires concernant le
transport des marchandises dangereuses par route (ADR), les nouvelles exigences du
SMQ, ou les modifications récentes relatives aux activités qui les concernent (p.ex.
surveillance de la température de transport). Ces preuves de formation devraient être
intégrées aux dossiers du personnel, ce qui n’est pas complètement mis en œuvre.
De plus, ces formations devraient être répétées périodiquement pour maintenir les
chauffeurs à jour pour garantir un transport des échantillons en toute sécurité et sans
erreur.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 5.1.8 + 5.1.9)

Sur les rapports d’analyse, les résultats (valeurs numériques) des techniques qualitatives
doivent être indiqués en tant que valeurs qualitatives (p.ex. bandelettes de test urinaire,
drogues dans l'urine). C’est important pour permettre une évaluation correcte des résultats
par le médecin prescripteur.
 voir la réponse

REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 5.8 ; 5.8.1 ; 5.8.3)

Les dispositions pré-analytiques sont insuffisantes concernant la coagulation. Il n’existe


pas de délai d’acheminement concernant des analyses sensibles telles que les facteurs V /
VIII ou l’activité antiXa. Cela concerne l’ensemble des échantillons pouvant dépasser ce
délai et non pris en charge par le laboratoire. Le risque concerne la fiabilité du résultat
rendu (sous-estimation de l’activité antiXa, des facteurs V et VIII
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.4.6 ; 5.4.5 a)

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Le laboratoire n’a pas défini de dispositions pour la gestion des suggestions du
personnel : comment et à qui sont-elles transmises ? qui fait le retour à la personne
demandeuse.
D’autre part, il n’y a pas de trace de leur traitement : actions décidée, délai, responsable.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 4.14.4 et 4.14.1)

Le laboratoire n’a pas défini les exigences de performance pour l’incertitude de mesure.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 5.5.1.4)

Absence de dispositions quant à la requalification des automates après maintenance


externe réalisée par les fournisseurs.
Vu le dernier rapport d’intervention N°1234 du 01/03/2013 de la maintenance de l’automate
XY suite à une maintenance préventive où il n’y a pas de requalification de l’appareil par le
passage de différents niveaux de CQI.
Risque de remettre en production un appareil défaillant
 voir la réponse
NON-CONFORMITE ou NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.6 PI 5.1.3.5)

Pour la transmission de spécimens entre les laboratoires, le laboratoire doit faire mention
des données prévues par l’annexe 1 du RGD du 27.05.2004 (il manque le nom du préleveur,
le degré d’urgence « normal », et les renseignements cliniques).
 voir la réponse

REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 4.5 et art 11 et 13 annexe I du RGD du 27/05/2004)

Validation insuffisante des équipements lors de leur mise en service.


Le laboratoire n’a pas complété les tests réalisés par le fournisseur par des tests en
interne montrant la capacité des collaborateurs à produire des essais valides.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE ou NON-CONFOMITE MAJEURE (§ 5.3.1.2)

Le laboratoire n’a pas encore organisé d’audit interne technique.


L’organisation d’un premier audit interne technique n’a pas pu être réalisée dans les délais
initialement prévus. L’audit aurait sans doute permis de soulever certaines des non
conformités soulevées durant cet audit externe.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE ou NON-CONFOMITE MAJEURE (§ 4.14.5 ET 4.14.1)

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Certaines informations nécessaires à la connaissance des conditions de prélèvement sont
inexploitables sur des échantillons réceptionnés par le laboratoire. Par exemple,
l’identification de l’heure de prélèvement est indiqué de manière inappropriée sur l’un des
échantillons (01/04/2020 – 00:00), alors que le délai pour certaines analyses à effectuer est
limité à 2h après le prélèvement.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 4.13)

Pour l’étalonnage de ses centrifugeuses le laboratoire fait appel aux services d’un laboratoire
d’étalonnage non accrédité. Le laboratoire a vérifié que l’étalonnage est réalisé conformément
aux exigences de l’ISO/IEC 17025 et que les étalons utilisés par le laboratoire sont tous
traçables au système SI (certificat d’étalonnage sous accréditation reconnue MLA).

 voir la réponse
CONFORME (§ 5.3.1.4 et ILAC P10)
La charte des valeurs éthique et confidentialité précise que les éventuels conflits d’intérêts
doivent être ouvertement et correctement déclarés. Les modalités de remontées des éventuels
conflits d’intérêts ainsi leur traitement ne sont pas documentées.

 voir la réponse
REMARQUES (§ 4.1.1.3)

Le laboratoire a identifié un dépassement de T° pendant 8h au niveau de la salle de stockage


des réactifs. Une fiche de Non-conformité a bien été émise avec les actions correctives à
mettre en œuvre. Le suivi de ces actions correctives et les preuves documentaires permettant
d’attester de l’absence d’impact, sur les réactifs stockés dans cette salle, ne sont pas
disponibles.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 4.9)
Suite à une réclamation concernant un examen non réalisé, l’examen a été ajouté et réalisé.
Un nouveau compte-rendu est édité et envoyé par fax au client. Il n’y a pas de mention sur le
nouveau compte-rendu indiquant qu’il s’agit d’un compte-rendu modifié. La trace de l’envoi du
nouveau compte-rendu est conservée.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 5.9.3)
Les critères de conservations préanalytiques des échantillons définis dans le carnet des
analyses sont incomplets : a) la température de conservation n’est pas définie
quantitativement (absence de cible et de tolérances acceptables) : seule la notion « réfrigérée
» est mentionnée. b) les délais maximum acceptables ne sont pas définis.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 5.4.2h)

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En 2019 un organisme de certification a mandaté un responsable d'audit qui avait réalisé
des missions de conseil auprès de l'organisme client en 2017.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.2.7 – la mission de conseil est de deux ans)

Pour 2 des 18 auditeurs de l'organisme de certification la démonstration de leur capacité


qui aurait fait l'objet d'une observation par un évaluateur durant un audit n'est pas
disponible. Ces 2 auditeurs ont réalisé plus de 5 audits pour l'organisme de certification.
Les 2 auditeurs ont été supervisés au cours de leurs missions, sans observations qui
puissent mettre en doute leur compétence. ll n'y a pas eu de réclamation les concernant.
 voir la réponse
REMARQUE (§ 7.2.4 – pas satisfaisant mais supervisions ont eu lieu sans écart constaté.)

Dans la publicité utilisée par un organisme certifié figure les coordonnées d'un site qui ne
fait plus parti de l'organisme
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 8.3.4 ou 8.3.5 – Publicité mensongère)

3 plans d'audit consultés sur 10 prélevés indiquent la présence d'observateurs. Les


dispositions prises pour gérer ses observateurs ne sont pas décrites).
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 9.2.2.2.2.1 – les observateurs peuvent troubler le travail des auditeurs)

Pour 4 actions correctives à la suite de non-conformités majeures sur les 12 évaluées


l'acceptation par l'organisme de certification des 4 actions correctives mises en œuvre
n'est pas présenté. Les actions correctives ont été examinées..

 voir la réponse

NON-CONFORMITE ou NON-CONFOMITE MAJEURE (§ 9.5.2 – risque avéré)

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Les modalités de suivi des versions logiciels, ainsi que de leurs validations ne sont pas
documentées. Pas de conséquence constatée, les éléments relatifs au logiciel Cobas XY
ont été retrouvés
 voir la réponse

REMARQUE (§ 5.10.3)

Les dernières versions des notices techniques des réactifs cholestérol et triglycérides ne
sont pas identifiées ni formellement revues et approuvées. Il n’est pas garanti que le
personnel connaisse les dernières versions applicables des notices techniques

 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 4.3a)

La revue de direction de 2020 est bien structurée et reprend tous les points du référentiel.
Cependant, elle ne fait pas apparaître de façon explicite si le laboratoire est en dynamique
d’amélioration ou non : absence du suivi évolutif des objectifs fixés par le laboratoire
d’une année sur l’autre. Le risque est minime : possibilité éventuelle d’une dérive du SMQ
sans que le laboratoire s’en rende compte
 voir la réponse

REMARQUE (§ 4.15.4 a) et §4.14.7)

L’auditeur constate la présence d’analyses plus ou moins anciennes, non ou


incomplètement traitées et non rendues aux clients dans des délais raisonnables dans
l’informatique GLIMS. Le suivi et la gestion des analyses en attente ne sont pas réalisés
de façon systématique. Il y a ruptures de contrats, sans qu’il n’ait été observé de
conséquences biocliniques
 voir la réponse
REMARQUE (§ 4.4.1)

Le protocole de vérification / validation de méthode du laboratoire précise les méthodes


de détermination de l’incertitude de mesure, mais ne prévoit rien pour leur utilisation.
Dans la pratique, pour les anticorps anti-XY, le fournisseur n’a pas défini de zone grise
autour du seuil de positivité. Le laboratoire a estimé l’incertitude de mesure à ce seuil à
+/- 4 %, mais il n’a pas tenu compte de celle-ci pour instaurer une zone douteuse.
Le risque est une mauvaise interprétation d’un résultat proche du seuil. La fiabilité de
celui-ci n’est cependant pas en cause, l’incertitude est faible (+/- 4%) et les résultats
proches du seuil sont généralement spontanément contrôlés par les cliniciens
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 5.5.1.4)

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Le laboratoire a, suite à une panne d’un de ses automates, sous-traité ses analyses à un
laboratoire non accrédité, pour lequel une évaluation «administrative» mais non
«technique», permettant de s’assurer de ses compétences techniques, a été réalisée. Le
rapport d’analyses mentionne formellement que l’analyse a été réalisée sous la
responsabilité du laboratoire sous-traitant, mais présente tout de même le logo OLAS.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (annexe OLAS A003; §4.5)

La validation médicale des résultats d’analyses ne peut être effectuée que par un
biologiste. Il en est de même d’éventuelles corrections ultérieures.
 voir la réponse

CONFORME (Règlement grand-ducal du 27 mai 2004; §5.8)

Les intervalles de référence biologique, par exemple en hématologie, ne sont pas revus
périodiquement.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§5.5.2)

Le laboratoire n’a pas assurée la maintenance hebdomadaire de ses automates et les CIQ
n’ont pas été réalisée pendant une semaine entière. La personne en charge de ces tâches
ayant été absente durant cette période. - La personne remplaçante, bien qu’habilitée sur
ces tâches, les maîtrise de façon incomplète
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§5.3 ET 5.6)

Le laboratoire n’a pas de procédure permettant de garantir que les documents externes
(p.ex. guides OLAS) ont été revus et approuvés, en vue de leur utilisation.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 4.3a et 4.3)

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ISO/IEC 17065:2012

L’organisme de certification fournit du conseil en matière de conception du produit à


certifier.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 4.2.6)
La direction de l’organisme fait partie du dispositif de préservation de son impartialité.
 voir la réponse
CONFORME (§ 5.2.2, 5.2.4)
Les besoins en formation ne sont pas formellement identifiés.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.1b))
Il n’y a pas de personne désignée pour réaliser la revue des résultats relatifs à
l’évaluation.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 7.5.1)

L’organisme procède à l’externalisation d’une partie de ses missions mais ne dispose pas
d’une liste de prestataires de services externalisés habilités.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 6.2.2.4d))
Des règles sont établies au sein de l’organisme certificateur et les intérêts significatifs
sont représentés, lors des réunions.
Cependant, l’organisme n’a pas identifié, explicitement les intérêts représentés par
chacun des membres du Comité d’avis et d’impartialité afin de s’assurer qu’aucun intérêt
ne prédomine.
 voir la réponse
REMARQUE (§ 5.2.4)
Le personnel de l’organisme de certification ne s’engage pas formellement à révéler toute
situation dont il a connaissance qui peut le confronter ou confronter l’organisme à un
conflit d’intérêt, autre que l’engagement d’impartialité pris pour chaque mission d’audit.
L’engagement des auditeurs sous contrat est toutefois complet
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.1.3c)

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L’OEC maintient systématiquement une procédure de gestion des compétences du
personnel impliqué dans le processus de certification. Néanmoins un contrôle périodique
des performances n’est pas prévu dans cette procédure.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.1)

Dans l’année 2015 la revue de direction a été réalisé le 02 janvier ; pour 2016 cette revue est
prévue pour le 25 mars, étant donné que le nouveau RQ n’a pu eu le temps pour
terminer/clôturer le rapport de 2015.
 voir la réponse
NON-CONFORME (§ 8.5)
L’organisme n’a pas d’engagement formel de ses salariés à révéler toute situation dont il a
connaissance qui peut le confronter ou confronter l’organisme de certification à un conflit
d’intérêt. L’engagement des auditeurs sous contrat est toutefois complet.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.1.3c)

L’organisme n’a pas identifié explicitement les intérêts représentés par chacun des
membres du dispositif de préservation de l’impartialité afin de s’assurer qu’aucun intérêt ne
prédomine.
 voir la réponse

REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 5.2.4)

Les contrats (Evaluation de conformité CE) ne prévoient pas que si le client fournit des
copies de documents de certification, leur reproduction doit être intégrale ou tel que
spécifié par le programme de certification
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§4.1.2.2g)

L’organisme externalise au laboratoire de son client les essais sur les produits qu’il certifie.
Le client a ensuite transmis la réalisation des essais à l’un de ses services techniques.
L’organisme n’apporte pas la preuve que l’expert du service technique chargé des essais
dispose des qualifications requises.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.2 et 6.2.4)

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Le contrat qui lie l’organisme de certification avec son prestataire de service externalisé ne
précise pas qu’il doive s’engager à révéler toute situation dont il a connaissance et qui
pourrait le confronter, ou confronter l’organisme de certification, à un conflit d’intérêt.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.2.2.3)

Le dossier de l’un des responsables d’audit de l’organisme de certification ne comporte pas


de rapport d’évaluation de ses compétences, contrairement aux exigences de la procédure
de qualification des auditeurs.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.2)

La procédure de traitement des plaintes accessible au public via son site internet ne garantit
pas que la décision permettant d’y apporter une solution soit revue et approuvée par une
personne non-engagée dans les activités de certification de l’organisme.
 voir la réponse

REMARQUE (§ 7.13.5)

L’organisme de certification est accrédité dans le cadre d’une notification pour le domaine
des jouets et la norme harmonisée faisant l’objet de la certification n’est pas précisée sur le
certificat.
 voir la réponse

REMARQUE (§ 7.7.1d)

Le dispositif de préservation de l’impartialité de l’organisme se réuni une fois par année,


prouvé par un compte rendu et une liste de présence. Les comptes rendus des 5 dernières
années n’indiquent aucun commentaire de ce dispositif concernant l’impartialité de
l’organisme, il ne fournit donc pas de données d’entrée.

 voir la réponse
REMARQUE (§5.2.1)

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Lors d’un audit, un auditeur constate que l’organisme a facturé des frais différents à deux
clients similaires actifs dans des domaines équivalents, sans raison apparente
 voir la réponse
CONFORMITE (§ 4.4.3)
Dans un organisme de certification, les tâches de supervision de la situation financière et le
développement des prestations de certification sont attribuées à la même personne.
 voir la réponse

CONFORMITE (§ 5.1.3)

Un organisme de certification externalise des tests à un laboratoire indépendant. Pour cela il


dispose d’un contrat avec ce laboratoire qui prévoit des dispositions en matière de
confidentialité, mais pas en matière de conflits d’intérêt..
 voir la réponse

NON-CONFORMITE OU NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.2.3 ET 6.1.3c)

Un document contenant des dispositions par rapport à la composition du comité


d’impartialité et à ses responsabilités n’est pas géré selon les règles de la gestion
documentaires établies chez l’OEC.
 voir la réponse
REMARQUE ou NON-CONFORMITE (§ 8.3.1)

La date d’ouverture d’un dossier, par un courrier du client, est le 29/12/2017. La certification
du produit est accordée et signée le 31/12/2017. Dans le dossier du client en question, se
trouve un courrier envoyé par l’évaluateur au client daté le 2/01/2018 avec des questions
techniques relatives au produit du client qui vient juste d’être certifié.

 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 7.7.3)

Pour son personnel impliqué dans le processus de certification, un OEC a mis en place une
base de données. Pour chaque personne les données suivantes y sont enregistrées (entre
autres) : noms, adresse, employeur(s), expérience, formations et l’évaluation des
compétences. La date de la dernière mise à jour de chaque enregistrement de données n’y
est pas inclue.

 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.2)

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Le plan de formation pour le personnel est écrit a posteriori. Il s’agit d’une liste des
formations suivies et non d’un réel plan de formation.
 voir la réponse
REMARQUE OU NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.1)

Le site internet de l’organisme certificateur n’indique pas les informations générales sur les
tarifs.
 voir la réponse

CONFORME (§ 4.6B)

Le comité d’impartialité de l’organisme de certification de produits est identique au comité


d’impartialité pour la certification des systèmes de management.
 voir la réponse
CONFORME (§ 5.2 ; 5.2.1+ note 4)

L’organisme n’a pas défini de critères de compétence du Comité en charge de prendre la


décision de certification. Il n’existe pas de preuves attestant de la compétence des membres
du comité aux exigences du programme de certification.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.1.2.1)

L’organisme fait appel à un prestataire qui lui permet d’externaliser certains essais.
Cependant, il n’a pas apporté la preuve que la personne aillant fait les essais dispose des
compétences techniques pour couvrir le domaine concerné.
De plus, le prestataire n’est pas référencé dans la liste prévue à cet effet
 voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.2.2 ; 6.2.2.4)

Un OEC délivre un certificat pour un produit le 12/01/2017. Les informations à propos du


certificat que l’OEC met à la disposition d’un demandeur sont mises à jour le 01/05/2017.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 7.8)

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Les informations relatives à la responsabilité de la prise en charge des plaintes et des
appels n'est pas identifiée. 15 plaintes sont enregistrées mais le processus de traitement
n'est pas identifié. La prise en charge n'est pas décrite, elle est différente d'une plainte à
l'autre pour 10 plaintes. 5 sont traitées par le service commercial.
.  voir la réponse
NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 5.1.3.)
Dans 1 cas sur 5 examinés, la raison de la notification de refus de certification n'est pas
précisée au client. Dans le présent cas, la décision de refus a été prise suite à une demande
orale du client (sans confirmation écrite) informant l’organisme de certification d'un
accident majeur survenu dans ses locaux. Le client avait demandé le report de son audit.
Sans nouvelles du client, le processus de certification a été arrêté et le dossier clos.
 voir la réponse

REMARQUE (§ 7.6 OU 7.6.6 – refus faisait suite à une demande du client)


Pour un auditeur sur les 15 de l'organisme de certification, le contrat n'est pas signé. Le
projet de contrat a été transmis par l'organisme de certification à l'auditeur de manière
informatique mais son retour signé ne figure pas dans le dossier nominatif. L'auditeur a
réalisé 10 audits pour l'organisme. Il n'y a pas eu de remarque au cours des 2 supervisions
réalisées.
 voir la réponse
REMARQUE (§ 6.1.3)

Depuis 2 ans, la liste des prestataires de services externalisés habilités n'est pas à jour. Un
laboratoire a été utilisé 2 fois sur cette période de 2 ans, pour des essais non destructifs
(END), alors qu'il ne figure pas sur la liste. Le laboratoire est accrédité pour les essais
réalisés.
 voir la réponse
REMARQUE (§ 6.2.2.4 – risque faible étant donné que le labo est accrédité pour les essais
demandés)

Les décisions de certification sont toujours prises par un comité au sein de l’organisme de
certification. Dans une des 10 décisions examinées, l’un des membres de ce comité est
évaluateur d’un organisme externalisé qui a été mandaté pour réaliser une partie des essais
concourant à l’évaluation de la conformité du produit fabriqué.
 voir la réponse
REMARQUE (§ 7.6.2 - un cas sur 10 et pour une implication dans un organisme externalisé)

La revue et la décision de certification ont été réalisées par le même comité dans 5 cas sur
5.
 voir la réponse

CONFORMITE (§ 7.6 ou 7.6.2 - il est possible d’assurer conjointement la revue et la décision de


certification.)

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La documentation concernant le dispositif d’impartialité ne prévoit pas les modalités de
vote.
 voir la réponse

REMARQUE (§ 5.2.2)

Un organisme n’a pas identifié nominativement les entités juridiques liées à lui dans son
analyse
 voirde
la risques
réponse sur l’impartialité.

NON-CONFORMITE (§ 4.2.3)

L’OEC signe les documents officiels avec des signatures électroniques.


 voir la réponse

CONFORME

L’OEC utilise un organisme externe pour l’inspection prévu dans le programme de


certification d’un produit. L’OEC a lui-même audité cet organisme pour s’assurer de sa
compétence et sa conformité avec les exigences de la norme ISO/IEC 17020:2012. Dans le
rapport de cet audit, il n’y a pas de preuve que le chapitre 7 de la norme ISO/IEC 17020:2012
a été
 audité.
voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.2.2.1)

L’OEC n’a pas définit les compétences requises pour la fonction responsable pour la
gestion
 voirdes plaintes et appels.
la réponse

NON-CONFORMITE (§ 6.1.2.1)

Un programme de certification de produits prévoit des essais sur le produit à certifier.


L’OEC effectue ces essais avec ses ressources et personnel interne. Il ne prend pas en
compte les incertitudes de mesures lorsqu’il réalise ses essais.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.1)

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La décision permettant d'apporter une solution à la plainte a été prise et revue par
l’inspecteur responsable de la certification.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE (§ 7.13.5)

Le contrat de certification ne comprend pas d’obligation du client de reproduire


l’intégralité des certifications au cas où il fournit des copies de documents de
certification à autrui.
 voir la réponse
NON-CONFORMITE (§ 4.1.2.2g)

L’organisme de certification fait appel à un sous-traitant pour effectuer des essais sur des
produits spécifiques. Le sous-traitant fait appel à une de ses filiales à l’étranger pour
réaliser ces essais. Cependant, l’organisme certificateur ne peut pas apporter la preuve
que la personne qui a réalisé les essais, dispose des qualifications requises.
 voir la réponse

NON-CONFORMITE MAJEURE (§ 6.2.2 ET 6.2.2.4); fiabilité des résultats et mise en question

L’organisme de certification ne dispose pas, dans ses procédures, de dispositions


particulières pour déterminer et enregistrer les causes des non-conformités.

 voir la réponse

REMARQUE (§ 8.7 et 8.8)

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