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Vous avez répondu correctement à 28 questions sur 44 soit ... 12.

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Voici les bonnes réponses ... (en vert...)

1 - La norme impose une approche processus?


Oui
Non

La norme m'impose pas une approche processus, même si elle tend vers ce type de
management.

2 - La politique qualité doit être en cohérence avec?


Les activités du laboratoire.
Des exigences concernant l'impartialité.

Les deux aspects.

3 - Un laboratoire peut demander une accréditation alors qu'il ne réalise pas d'essai?
Oui
Non

Un laboratoire dit 'virtuel: qui sous-traite toutes ses prestations' ne peut pas se faire accréditer.

4 - Une nouvelle exigence significative apparaît dans cette nouvelle version?


La nécessité d'identifier les risques et les opportunités.
La nécessité de rédiger une procédure concernant les risques et les opportunités.

C'est une exigence forte de la norme, la procédure n'est pas obligatoire.

5 - L'organisation et le fonctionnement du laboratoire doivent permettre d'assurer?


Le respect systématique des délais.
La conformité aux exigences applicables.
Le respect des demandes implicites des clients.

La 1 ere et la 3 ème réponse ne sont pas des exigences, elles sont plutôt liées aux indicateurs
pour l'amélioration continue de son système de management.

6 - La norme impose de réaliser à minima un audit interne annuel?


Oui
Non

Aucune exigence annuelle mais tous les items de la norme doivent être audités sur un cycle
d'accréditation.
7 - Lorsque le laboratoire est accrédité en portée de type fixe et qu'il veut fournir un
rapport avec logo COFRAC
Il peut accepter n'importe quelle demande du moment qu'il est accrédité pour l'essai.
Il peut accepter n'importe quelle demande du moment qu'elle fasse partie de sa portée
d'accréditation.

En portée fixe, aucune flexibilité n'est permise, seule la méthode d'essai selon une norme
datée de la portée est permise.

8 - La norme impose de formaliser le champ des activités du laboratoire, cela signifie?


Recenser uniquement les essais réalisés sous accréditation.
L'ensemble des essais réalisés par le laboratoire (sous et hors accréditation).

Tous les essais doivent être formalisés.

9 - Lors de l'apposition du logo COFRAC sur son rapport, le laboratoire peut-il?


Modifier la couleur originale pour se rapprocher de la couleur du logo de l'entreprise.
Mettre un logo plus important que celui de son entreprise.
Mettre un logo plus petit que celui de son entreprise.

le logo COFRAC ne peut pas être plus important que celui de l'entreprise, le rapport des
dimensions et les couleurs doivent également être conservés, si ce n'est pas possible, la
couleur du logo peut se rapprochée de la couleur dominante du logo de l'oraganisme
accrédité.

10 - Il faut identifier les risques liés à l'impartialité?


Périodiquement.
A chaque revue de direction.
Lors de l'embauche d'un nouveau collaborateur.

La revue de direction n'est pas le moment approprié pour faire cela mais plutôt pour constater
les problèmes rencontrés le cas échéant.

11 - Cette nouvelle norme impose clairement un responsable qualité et un responsable


technique?
Oui
Non

Ce n'est plus une exigence en tant que telle, seules les tâches doivent être attribuées.

12 - Le laboratoire doit documenter les matériaux de référence?


Oui
Non
C'est une exigence de la norme.

13 - La norme exige que le laboratoire identifie les risques liés à?


L'impartialité.
La sécurité.
La confidentialité.

L'impartialité et la confidentialité, la sécurité sauf risque critique n'est pas une exigence.

14 - Concernant le personnel, la norme exige?


Des définitions de fonction.
Une exigence de compétence relative aux écarts.
Une procédure pour la sélection, la formation et le suivi des compétences.

Les définitions de fonction ne sont plus obligatoires.

15 - Lors de la parution d'une nouvelle norme utilisée par le laboratoire:


L'analyse documentaire suffit pour l'appliquer.
Il faut vérifier que le laboratoire peut appliquer correctement la méthode.
Avec sa portée FLEX1, il n'a rien à faire.

Le laboratoire doit confirmer qu'il peut correctement appliquer la méthode.

16 - Pour déclarer la conformité d'une pièce après essai selon une spécification client:
Le laboratoire doit fournir l'incertitude de mesure.
Le laboratoire doit communiquer au client la règle de décision qu'il appliquera.

Cette régle de décision doit être convenue avec le client.

17 - la norme impose une procédure pour assurer la validité des résultats?


Oui
Non

C'est une procédure obligatoire.

18 - Peux t'on apporter des modifications manuscrites sur les documents?


Oui
Non

Cette souplesse n'est pas prévue dans la norme ISO 17025.

19 - Le laboratoire peut-il sous-traiter une prestation pour laquelle il est accrédité et ne


pas prévenir son client?
Oui
Non

On doit sytématiquement prévenir le client en cas de problème (panne de matériel, non


réalisable en interne).

20 - la norme n'impose pas l'évaluation de l'incertitude de mesure pour chaque


étalonnage interne en lieu et place d'un étalonnage externe?
Oui
Non

Si vous réalisez en interne un étalonnage, vous devez déterminer l'incertitude de mesure liée à
cette opération.

21 - Le laboratoire doit recueillir des informations sur la satisfaction de ses clients?


Oui
Non

C'est une exigence de la norme et il faut s'efforcer d'obtenir des retours d'informations (on
souhaite bon courage au service commercial).

22 - Il n'est pas nécessaire d'enregistrer les réclamations clients?


Oui
Non

Il faut enregistrer les réclamations clients --> non-conformité.

23 - Au cours d'un audit interne, on met en évidence un problème technique qui a


forcément impacter le résultat d'une analyse, quelle est la démarche à suivre?
J'ouvre une fiche de non conformité et je corrige le problème.
J'ouvre une fiche de non conformité, j'analyse l'étendue du problème.
J'ouvre une fiche de non conformité, j'analyse l'étendue du problème, je corrige le
problème et je préviens mes clients impactés.

Il faut prévenir les clients impactés par le problème et récupérer les rapports incriminés par
l'erreur de l'analyse.

24 - l'amélioration continue peut se faire par l'utilisation de quels moyens?


L'analyse des indicateurs du laboratoire au cours de la revue de direction.
Les questionnaires de satisfaction envoyés annuellement chez les clients.
Les audits internes et externes.

Les trois réponses bien entendu.


25 - Concernant les équipements, la norme exige:
L'utilisation de matériel étant sous la responsabilité du laboratoire.
La traçabilité du mesurage.
Un programme d'étalonnage/de vérification avec obligation de revue.

Le laboratoire peut utiliser un équipement qui n'est pas sous sa responsabilité, s'il
apporte la preuve que le mesurande réponde aux exigences de la norme.

26 - Le laboratoire reçoit une réclamation client:


Il prévient son client que le processus de réclamation de son organisme est à sa
disposition.
Il transmet uniquement les conclusions de ses investigations.
Les conclusions de la réclamation sont approuvées par du personnel indépendant de
l'activité incriminée.

Le processus de réclamation doit pouvoir être transmis à la demande du client et le


personnel qui approuve les conclusions doit être indépendant, les conclusions sont
transmises dans la mesure du possible.

27 - Le personnel autorisant l'émission du rapport doit?


S'assurer que l'incertitude de mesure est bien formalisée pour chaque essai.
Revoir et approuver le contenu du rapport.
Signer toutes les pages du rapport.

La signature et l'incertitude ne sont pas obligatoires, seule l'approbation du contenu du rapport


(cohérence, pertinence) est imposée.

28 - Le laboratoire fait appel à une connaissance professionnelle externe pour réaliser


l'audit interne annuel, cet auditeur réalise les audits internes selon ISO 17025 dans son
propre laboratoire.
Sa qualification est assurée avec son CV et cela ne pose aucun problème.
On s'assurera avec preuve à l'appui que cette personne ait été formée à l'audit selon NF
EN ISO 17025.

La qualification et la formation à l'audit est indispensable.


Si cette personne est un évaluateur COFRAC, c'est encore mieux mais pas obligatoire.

29 - la revue de direction annuelle doit comprendre aux moins les points suivants:
Résultats des audits internes, retours d'informations clients, augmentation salariale
nominative.
Résultats des essais interlaboratoires, risques et opportunités, changements dans le
volume d'activité.
Suivi des actions de le revue précédente, informations personnelles sur des salariés,
réclamations clients.
Les augmentations salariales nominatives et les discussions sur des salariés en particulier
n'ont rien à faire dans une revue de direction, il existe respectivement d'autres outils (réunion
du personnel et entretien individuel) pour aborder ces sujets.

30 - Le laboratoire prévoit en été de prendre du personnel intérimaire ou des stagiaires


pour compenser les départs du personnel pour les vacances.
Il pourront réaliser des essais sous accréditations.
La norme NF EN ISO 17025 ne prévoit pas de faire réaliser des essais sous accréditations par
du personnel extérieur à l'organisme.

C'est possible sous certaines conditions: contrat de confidentialité, risque d'impartialité,


formation et qualification de ce personnel, équipe d'encadrement,...

31 - les conditions ambiantes doivent-elle être systématiquement surveillées, maîtrisées


et enregistrées?
Oui
Non

Non par forcément, cela dépend si ces conditions ambiantes peuvent affecter la qualité des
résultats.

32 - Le laboratoire envisage lors de sa prochaine évaluation de mettre dans sa portée


une nouvelle norme sur un essai accrédité qu'il pratique déjà, pour cela, que devra-t-il
faire préalablement?
Valider la méthode d'essai, former le personnel, rédiger une instruction et estimer les
incertitudes de mesure.
Vérifier l'adéquation de son matériel avec les nouvelles exigences normatives, rédiger une
instruction et estimer les incertitudes de mesure.
Analyser et formaliser les nouvelles exigences normatives, vérifier l'adéquation de son
matériel, modifier l'instruction existante si nécessaire et confirmer qu'il peut appliquer
la méthode.

On doit commencer par analyser le document, vérifier les implications sur le matériel et
l'application de la méthode puis modifier éventuellement l'instruction qui existe déjà.
La norme est par définition validée.
Le personnel est déjà formé.
L'estimation de l'incertitude est déjà réalisée.

33 - Le laboratoire a réalisé l'estimation de l'incertitude de mesure sur un essai, doit-il


prendre systématiquement K = 2 pour quantifier son incertitude élargie?
Oui
Non

Ce n'est pas systématique sauf si cela est précisé dans la norme.


Si l'on indique que le pourcentage de confiance est à 95% ( + 2 écarts-types ), il faudra
vérifier que votre résultat peut se situer dans cet intervale de confiance (degré de liberté du
résultat).

34 - Le laboratoire envisage de réaliser des calculs automatiques en utilisant EXCEL ou


autres tableurs.
EXCEL étant validé par définition, il n'y à rien d'autre à faire.
La feuille de calcul comportant des assemblages de calculs primaires, il faudra valider
l'ensemble des calculs pour s'assurer de la véracité du résultat.

Vous créez des sous-calculs, ils doivent être validés et protégés.

35 - Le laboratoire fait réaliser la vérification externe de ces équipements par un


prestataire externe accrédité.
Il colle obligatoirement une étiquette sur chaque équipement avec la date de l'étalonnage et la
date du prochain étalonnage.
Il compléte la fiche de vie de chaque équipement (papier ou logiciel de métrologie).
L'étiquette du fournisseur est suffisante sans autre formalisme.

La norme n'impose pas obligatoirement de matérialiser la date d'étalonnage et les critères


d'échéance sur les équipement, cependant, tout opérateur doit pouvoir connaitre facilement le
statut de l'étalonnage ou de la vérification.

36 - Je suis obliger de déplacer une machine d'essai raccordée COFRAC et utilisée pour
des essais dans mon laboratoire, cela m'impose t'il des exigences non prévues?
Non, le matériel étant toujours raccordé, il n'y a aucun risque.
Je vais réaliser une vérification en interne en refaisant un essai et le comparer aux précédents
Je fait appel à l'organisme accrédité COFRAC pour qu'il revienne me raccorder cette
machine.

La machine ayant été bougée, c'est l'organisme accrédité qui doit revenir pour raccordée cette
machine, l'incertitude liée à ma comparaison risque de me masquer une dérive qui sera
identifiée avec une cellule de force raccordée.

37 - Un matériel doit-il impérativement être raccordé tous les ans?


Oui
Non

Faux, cela dépend de plusieurs critères (exigences normatives, nombre d'utilisation, anciens
résultats des années précédentes: Méthode OPPERET - Optimisation des périodicités
d'étalonnages).

38 - Vous recevez un certificat d'étalonnage COFRAC dans lequel n'apparaît pas


l'identification des matériels ou étalons utilisés pour réaliser cet étalonnage:
Vous appelez votre prestataire pour lui demander de ressortir le certificat en y rajoutant ces
précisions.
Vous attendez l'année suivante et vous le préciserez sur la commande.
Vous ne faite rien.

Cela peux paraître curieux mais il n'y a aucune obligation, selon la norme FD X 07-012
'Certificat d'étalonnage des moyens de mesure', le certificat étant COFRAC, on assure donc la
traçabilité aux étalons nationaux ou internationaux, il n'est donc pas utile de préciser les
matériels, c'est implicite.

39 - Les actions lors du traitement d'une non conformité doivent s'appuyer sur les
niveaux de risque fixés par le laboratoire?
Oui
Non

Oui, encore faut-il que le laboratoire ait identifié ces risques.

40 - Un laboratoire accrédité réalise des analyses sur des échantillons qui ont été
prélevés par un autre laboratoire accrédité pour l'échantillonnage, comment va t-il
rendre son rapport?
Il mentionnera des réserves sur le rapport COFRAC, n'ayant pas réalisé lui même les
prélèvements.
Sur la totalité de la prestation (échantillonnage + analyse), le laboratoire peut rendre un
rapport accrédité.
Le rapport sera émis sans logo, il ne prend pas la responsabilité de l'échantillonnage.

Il peut émettre un rapport sous-accréditation à condition de bien préciser cette sous-traitance


et de mentionner clairement tous les éléments pertinents du laboratoire ayant effectuer les
prélèvements.
Il devra conserver le rapport du sous-traitant selon ses propres règles internes (durée de
conservation des rapports).

41 - Je réalise des essais spécifiques pour lesquels il n'existe pas d'essais


interlaboratoires sur le marché, cela me permet-il de m'affranchir de l'exigence du §
7.7.1.j?
Oui
Non

S'il n'existe pas d'essais interlaboratoires, il vous appartient de trouver d'autres moyens pour
comparer vos compétences avec d'autres laboratoires (sous-traitance dans d'autres laboratoires
et exploitation des résultats).

42 - Je peux mettre dans mon rapport les incertitudes de mesure associées aux résultats
lorsque?
Le client ne spécifie rien sur sa commande.
Le client demande à voir apparaître les incertitudes de mesure.
Le client demande à ne pas voir apparaître les incertitudes de mesure.
Rien n'empêche un organisme de préciser systématiquement les incertitudes de mesure même
si le client ne les demande pas.

43 - Je fourni des résultats d'analyse dans mon rapport avec une déclaration de
conformité par rapport à des spécifications normatives, le client ne m'a rien spécifié
quant aux incertitudes de mesure, faut-il rajouter une information complémentaire dans
le PV?
Oui
Non

La règle de décision doit être formalisée.

44 - Mon client ne me demande pas d'incertitude de mesure, ni de déclaration de


conformité et j'obtiens un résultat qui tombe sur la tolérance inférieure de la
spécification client, que dois-je faire?
Je fourni le résultat avec la tolérance, sans autre précision.
Je dois préciser l'incertitude de mesure afin de communiquer à mon client le risque
éventuel d'obtenir un résultat non conforme.

Si l'incertitude de mesure affecte la conformité à une limite de spécification, on doit préciser


l'incertitude de mesure.

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