ETUDE THEORIQUE ET REALISATION PRATIQUE FLYBACK

Département  Génie Electrique

Classe : EI21
Parcours
Génie Electrique 
Electricité industrielle

Etude théorique et réalisation pratique

FLYBACK
230V/12V. 1.5A

Réalisé par : Encadreur professionnel :

BEN GAFSIYA Haykel Mr. HIDRI Imed

Année universitaire  2022/2023

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Sommaire

I. Etude théorique sur les alimentations de découpage…………………………………3

1. Définition d’une alimentation de découpage……………………………………..3
2. Schéma synoptique………………………………………………………………..3
3. Les différents types des alimentations de découpage…………………………….4
4. Les avantages et les inconvénients d’une alimentation de découpage…………...7
5. L’utilisation des alimentations de découpage…………………………………….8
II. Etude théorique d’une alimentation d’une alimentation de découpage (Flyback)……8
1. Définition d’une alimentation Flyback……………………………………………8
2. Montage d’une alimentation Flyback……………………………………………..8
3. Analyse de fonctionnement……………………………………………………….9

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I. Etude théorique sur les alimentations de découpage

1. Définition d’alimentation de découpage :

Une alimentation à découpage est une alimentation électrique dont la régulation est assurée

par des composants électroniques de puissance utilisés en commutation (généralement
des transistors). Ce mode de fonctionnement diffère de celui des alimentations linéaires dans
lesquelles les composants électroniques sont utilisés en mode linéaire. Une alimentation à
découpage de type forward est une alimentation qui transmet instantanément la puissance,
alors que celle de type flyback stocke cette énergie sous forme d'énergie magnétique dans une
inductance (bobine) et libère ensuite cette énergie dans un circuit dit secondaire.

Les alimentations à découpage se sont fortement développées depuis les années 1980 pour
pallier les inconvénients des alimentations linéaires : poids élevé et faible rendement. Elles
sont utilisées désormais dans tous les appareils électroniques « grand public ».

2. Schéma synoptique :

Figure 1: schéma synoptique d'une alimentation de découpage

3. Les différents types des alimentations de découpage :

Une alimentation à découpage est un convertisseur statique continu-continu (DC-DC) qui

exploite un circuit magnétique (transformateur) pour réaliser l’isolation galvanique et
assurer le transfert d’énergie entre une source (réseau alternatif redressé et filtré, batterie
d’accumulateurs) et une charge.

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Les alimentations de découpage se comportent de 2 types :

3.1. Types directe :

 Convertisseur Buck

Un convertisseur buck, ou hacheur série, est une alimentation à découpage qui convertit une

tension continue en une autre tension continue de plus faible valeur. Un convertisseur Buck
bien conçu possède un fort rendement (jusqu'à 95 %) et offre la possibilité de réguler la
tension de sortie.

V s=αE

Figure 2: Schéma "buck"

 Convertisseur Boost

Un convertisseur Boost, ou hacheur parallèle, est une alimentation à découpage qui convertit
une tension continue en une autre tension continue de plus forte valeur.

E
Vs=
1−α

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Figure 3: Schéma "boost"

 Convertisseur Buck-Boost

Un convertisseur Buck-Boost est une alimentation à découpage qui convertit une tension
continue en une autre tension continue de plus faible ou plus grande valeur mais de polarité
inverse

α
Vs= Ve
α−1

Figure 4: Schéma "buck-boost"

3.2. Types indirecte :

 Convertisseur Forward

Un convertisseur DC-DC forward est une alimentation à découpage avec isolation

galvanique entre l'entrée et la sortie. Contrairement à la structure Flyback, le couplage se fait
par un transformateur et non par des inductances couplées. Le rôle du circuit magnétique n'est
pas de stocker de l'énergie magnétique mais de la transférer directement.

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Figure 5: Schéma "forward"

 Convertisseur Flyback

Un convertisseur Flyback est une alimentation à découpage, généralement avec une isolation

galvanique entre l'entrée et la sortie. Son schéma de base est le même que celui
d'un convertisseur Buck-Boost dans lequel on aurait remplacé l'inductance par
un transformateur (en réalité deux inductances couplées

Figure 6: Schéma "flyback"

 Convertisseur Push-pull
L'alimentation à découpage Push-pull est un convertisseur DC-DC isolé non réversible
qui permet d'abaisser ou d'élever la tension de sortie.

Figure 7: Schéma "push-pull"

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4. Les avantages el les inconvénients d’une alimentation de découpage :

4.1. Avantage :
 Puissance dissipée plus faible
 Meilleur rendement
 Fréquences plus élevées (taille du transfo plus petite => relation de
Boucherot)
 Protection contre les court-circuites, les surcharges, les surtensions et les
surchauffes.
 Faible poids
4.2. Inconvénients :
 Bruit plus élevé dû aux harmoniques
 Elles sont difficiles à mettre en œuvre.
 Elles présentent une ondulation résiduelle relativement élevée (stabilité relative se
situant entre 10 -2 et 10 -3 .
 Elles sont perturbatrices (parasites rayonnés et conduits importants. Ainsi, le choix
d'un type d'alimentation est obligatoirement fonction de l'utilisation et du prix de
revient.
5. L’utilisation des alimentations de découpage :

Les alimentations à découpage sont aujourd’hui utilisées dans presque tous les appareils
électroniques : elles sont à la pointe de la technologie dans les ordinateurs et les téléviseurs
ainsi que dans les appareils et systèmes industriels.

Par rapport aux alimentations régulées analogiques, les alimentations à découpage marquent
des points grâce à leur rendement élevé, leur faible dégagement de chaleur et leur grande
fiabilité. De plus, la fréquence d’horloge élevée permet d’utiliser des composants de petites
tailles et de faibles poids, ce qui a un effet positif sur les coûts.

II. Etude théorique d’une alimentation Flyback :

1. Définition :

Un convertisseur Flyback est une alimentation à découpage, généralement avec une isolation

galvanique entre l'entrée et la sortie. Son schéma de base est le même que celui
d'un convertisseur Buck-Boost dans lequel on aurait remplacé l'inductance par

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un transformateur (en réalité deux inductances couplées). Le convertisseur Flyback est

probablement la structure la plus utilisée en industrie électronique (moniteur LCD, télévision
CRT, lecteur de DVD…). Il est généralement réservé aux applications de puissance réduite 

2. Montage d’alimentation Flyback :

Figure 8: Alimentation FlyBack

L’énergie étant stockée dans l’inductance couplée et dans le condensateur de sortie, ceux-ci
deviennent encombrants pour des puissances supérieures à 200 W, et l’alimentation Flyback
devient alors moins intéressante.

Risque de surtension lors du fonctionnement à vide : l’énergie stockée durant la phase de

magnétisation est alors transmise au condensateur durant la phase de démagnétisation. Cette
énergie est alors stockée par le condensateur qui voit sa tension monter, et il y a alors risque
de destruction.

3. Analyse de fonctionnement :

Le fonctionnement d'un convertisseur Flyback peut être divisé en deux étapes suivant l'état de
l'interrupteur T :

 Dans l'état passant, l'interrupteur T est fermé, le primaire du transformateur est

relié directement à la source de tension d'entrée. Il en résulte une augmentation du
flux magnétique dans le transformateur. La tension aux bornes du secondaire est
négative, bloquant ainsi la diode. C'est le condensateur de sortie qui fournit
l'énergie demandée par la charge ;

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 Dans l'état bloqué, l'interrupteur est ouvert. L'énergie stockée dans le

transformateur est transférée à la charge.
1.1. La structure élémentaire de l'étage de puissance de l'alimentation intègre:
 Un transistor de puissance K commandé par un signal rectangulaire de rapport
cyclique variable a et de fréquence de découpage constante issu d'une carte de
commande MLI.
 Une transformatrice haute fréquence caractérisée par l'inversion des enroulements
primaire et secondaire.
 Une diode de redressement D au secondaire
 Un condensateur de filtrage C au secondaire
2. Analyse de fonctionnement d’alimentation Flyback :

2.1. Mode discontinue :

Etat de repos du Flyback :

Le transistor interrupteur K est ouvert dans la situation de "repos". Aucun courant ne circule.
La tension de sortie vaut déjà Vs parce qu'on la suppose constante. Le condensateur C a une
très grande valeur pour le raisonnement (tension aux bornes de C supposée constante).

La tension drain source Vds aux bornes de K vaut donc simplement E. La tension aux bornes
du primaire est nulle. De même pour la tension secondaire V2.

Magnétisation du transfo (stockage d'énergie dans le transfo)

K est maintenant fermé (pendant une durée notée T): la tension aux bornes du primaire L1
vaut E. Avec la relation :

di 1 E di1
E=L =
dt L dt
On en déduit par intégration
E
. i1=∫
L

La constante d'intégration est nulle puisque le courant initial est nul (mode discontinu).

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Le courant dans le primaire grandit linéairement dans le temps (allure de rampe). Le transfo
se charge en énergie magnétique.

Lorsque K est sur le point de s'ouvrir (à t=T), le courant i1 est à sa valeur maximale, notée
i1m.

i1m = T.E/L. Le courant qui traverse la charge de sortie RL vient de la réserve d'énergie
(condensateur). Cela forme un circuit indépendant.

L'énergie stockée dans le transfo vaut alors :

2
1 2 1 T .E
W = . L 1.i 1 m = . L1.( )
2 2 L1

N2
Pendant la phase où K est fermé, la tension secondaire V2 vaut −E= : la diode D est
N1
donc bloquée. Cette tension est proportionnelle à E et peut fournir un signal analogique
proportionnel à la tension E d'entrée (présence du secteur, sous-tension ou surtension).

Figure 9: k fermé
Démagnétisation du transfo (restitution de l'énergie vers le secondaire)

Le courant i1 qui "descendait" dans le primaire (du point vers l'autre extrémité) a "envie" de
continuer à descendre mais K est ouvert ! i1 devient donc nul brutalement ! Mais si un autre

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enroulement du transfo peut être traversé par un courant qui va du point vers l'autre extrémité,
la continuité est assurée. C'est là que le secondaire intervient.

On peut dire que la continuité du flux crée l'apparition du courant secondaire de même sens. Il
se forme une tension qui rend la diode D passante. Cette tension s'ajuste spontanément pour
permettre le courant secondaire : elle prend la valeur Vs si on néglige la tension de seuil de D.
Le courant secondaire sert à la fois à recharger C et à aller dans la charge RL ("load").

Figure 10: k ouvert

Lorsque K vient de s'ouvrir, l'énergie magnétique vaut toujours W par continuité du flux.

1 2 1 2
W = L 1. i1 . m = . L 2.i 2m
2 2

N1 2
Or L 1=L2.( )
N2

Il vient donc :

N1
i2 m=i 1m .
N2

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Le courant i2 décroît linéairement puis s'annule. Le transfo se démagnétise.

Figure 11: Courbes de courant et de tension

2.2. Mode continue :

Quand un convertisseur Flyback travaille en mode de conduction continue, le flux dans le

transformateur ne s'annule jamais

La tension de sortie est calculée comme suit (en considérant les composants comme parfaits)

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Figure 12: Mode continue

Etat passant :

 Courant :

Durant l'état passant, l'interrupteur T est fermé, entraînant l'augmentation du courant suivant
la relation :

dI 1
Ve=V 1=L 1×
dt

On obtient donc :

Ve
I 1=I 1 min+( )×t
L1

Avec I1 min la valeur du courant à t=0. I1min correspond aussi à la valeur minimale du

courant I1. Sa valeur exacte sera déterminée par la suite. À la fin de l'état passant, I1 a atteint
sa valeur maximale I1max :

+Vc . T . α
I 1 max =¿, I 1 max ¿ I 1 min
L1

Alpha étant le rapport cyclique. Il représente la durée de la période T pendant laquelle

l'interrupteur T conduit. Alpha est compris entre 0 (T ne conduit jamais) et 1 (T conduit tout
le temps). Comme pour I1 min, la valeur de I1max sera déterminée après l'étude de l'état
bloqué.

Energie stockés :

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À la fin de l'état passant, l'énergie We stockée dans le transformateur vaut :

1
We= L1. I 2 max We
2

À la fin de l'état passant, l'interrupteur T s'ouvre empêchant ainsi le courant I1 de continuer à

circuler. La conservation de l'énergie stockée dans le transformateur provoque l'apparition
d'un courant I2 dans le secondaire du transformateur, dont la valeur initiale I2max peut être
calculée grâce à la conservation de l'énergie stockée dans le transformateur lors de son
« passage » du primaire vers le secondaire :

1 2 1 2
We= L1. I 1 max= L 2. I 2 max wcWE
2 2

En remplaçant L1 et L2 par leur expression en fonction de la réluctance R du circuit

magnétique et du nombre de spires des enroulements du transformateur, on obtient :
2 2
1 n1 2 = 1 . n 2 I 22 max
We= ❑ We= . . I 1 max
❑ 2 R 2 R

Soit :

n1
I 2 max= I
n 2 1 max

Tensions :

Le calcul de la tension V1 peut se faire grâce aux relations flux/tension. Le sens relatif des
bobinages étant inversé, on a :

dφ dφ
.V 1=n1 . et Vs=V 2=−n2
dt dt

Soit :

−n2
V 1= Vs
n2

La tension Vt aux bornes de l'interrupteur T vaut :

n1
Vt =Ve−V 1+ . Vs
n2

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.
Figure 13: Chronogramme des tensions

Chapitre 2
Dimensionnement et
réalisation pratique du
flyback
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I. Dimensionnement du montage :

1. Transistor :
Vs
La tension du transistor égale : VTmax= +U=460.76 V
m

Le courant égal : ¿=I 1=0.11 A

2. Diode :

La diode supporte une tension inverse égale : VD=mU +Vs=24 V

Le courant égal : iDmax=i2 max=2.12 A

3. Condensateur de sortie :

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On doit calculer la capacité du condensateur donc : C=¿ 2.5 μF

4. Transformateur :
On a m = 0.052, on fixe le nombre de spires d’enroulements primaire, n 1=1 00 spires donc
n 2=5.2 spires

L’inductance d’enroulement primaire égale : L 1=0.0073 H L 2=2. 7 H

II. Etude théorique de circuit de commande à base SG3525

1. Définition de circuit de commande à base SG3525
Il s'agit d'un circuit intégré de contrôleur de modulation de largeur d'impulsion qui a 16
broches. Il fournit deux signaux de modulateur de largeur d'impulsion qui sont
complémentaires l'un de l'autre.
Il est utilisé pour générer un signal PWM pour les projets d'électronique de puissance ainsi
que pour les alimentations à découpage.
Le circuit SG3525 offre des circuits de rétroaction pour contrôler la tension de sortie en
comparant le signal de rétroaction avec une tension de référence, et il dispose d'un circuit de
protection qui arrête le signal PWM en fonction de la limite de courant de retour.

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Figure 14: les broches de connections

1.1. D’autres Applications du SG3525 :

Il est utilisé pour les applications d'électronique de puissance comme les onduleurs à onde
sinusoïdale pure, et il est utilisé pour générer une tension régulée pour les circuits de
conversion continu-continu tels qu'un convertisseur abaisseur, un convertisseur élévateur,
un convertisseur cuk et bien d'autres.

2. Constitution

Le circuit SG3525 est un circuit intégré de contrôleur PWM en mode tension. Il est utilisé
dans le maximum d'onduleurs disponibles sur le marché.

Même les meilleures entreprises de fabrication d'onduleurs utilisent également le Sg3525 dans
la partie convertisseur cc à cc de l'onduleur. C'est un circuit intégré à 16 broches, il a deux
sorties PWM, les deux sont une inversion de chacune. Un autre avantage du SG3525 est qu'il
possède un pilote PWM à base de totem intégré.

Si vous voulez connaître l'architecture interne du SG3535. Recherchez sa fiche technique.

Les broches de sortie peuvent piloter des dispositifs semi-conducteurs jusqu'à une plage de
courant de 50 mA. Par exemple, si vous utilisez un commutateur qui nécessite plus de 50 mA
pour fonctionner, vous devrez utiliser le pilote IC comme pilote MOSFET IR2110.

Les schémas de circuit de l'exemple ci-dessous montrent le schéma de circuit du sg3525

qui génère deux signaux PWM inversés. Les utilisateurs peuvent ajuster la largeur du PWM à
l'aide d'une résistance variable indiquée dans le circuit de rétroaction. Vous pouvez modifier
la valeur de la résistance variable pour ajuster la résolution de PWM.
 Exemple diagramme de circuit SG3525 :

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Figure 15: diagramme de circuit SG3525

3. Caractéristiques de SG3525

 Il peut fonctionner avec une tension d'alimentation comprise entre 8 et 35

volts. Il peut endommager au-dessus de 40 volts.
 Il dispose également d'une broche de synchronisation d'oscillateur externe.
 Il a une capacité d'arrêt d'impulsion à impulsion.
 Il peut fonctionner avec une gamme de fréquence de 100 à 400KHz.
 Il offre également une fonction de contrôle polyvalent du temps mort entre les
signaux de commutation pour allumer ou éteindre des appareils tels que les
MOSFET, les IGBTS et les transistors de puissance.
 La dissipation de puissance maximale est d'environ 1000 mW.
 D'autres circuits intégrés similaires sont SG2525, UC3525.

4. Simulation sur ISIS

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Figure 16: simulation de circuit de commande

Figure 17: Montage "PCB"

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Figure 18: Montage 3D

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