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→ Anabolisme= A partir de petites molécules (monomères), on crée des molécules complexes (polymères) en
consommant de l’énergie (transformation de l’ATP en ADP).
→ Construction des composés nécessaires au fonctionnement du corps
→ Conversion de l’énergie cinétique en énergie potentielle
→ Maintien de la croissance + stockage
→ Hormones anabolisantes : œstrogènes, testostérone, hormones de croissance et insuline
→ Catabolisme= Décomposition de molécules complexes en plus petites en libérant de l’énergie. Production d’ATP
et de chaleur.
→ Effectuer les activités du vivant
→ Conversion de l’énergie potentielle en énergie cinétique
→ Hormones catabolisantes : adrénaline, cytokines, glucagon et cortisol
→ Cette réaction permet de passer d’un composé réduit à un composé oxydé grâce à un échange d’électrons.
2. Coenzymes
La réoxydation des coenzymes se fait par transfert d’électrons grâce à deux mécanismes différents :
- Mécanisme de respiration = transfert des électrons jusqu’à un accepteur terminal avec passage par une chaîne de
transporteurs (mécanisme de respiration car in fine on a besoin d’O2 qui provient de la ventilation)
Avec ce mécanisme, on récupère et on recycle, ce qui n’est pas le cas de la fermentation.
- Mécanisme de fermentation= pas de transfert par une chaîne de transporteurs, mais réduction immédiate d’une molécule
organique interne (présente dans la cellule).
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II. Qu’est-ce que l’énergie ? Comment est-elle fabriquée dans la cellule ?
Flux d’énergie :
L’énergie solaire + les plantes (chloroplaste) donnent des molécules
organiques et de l’O2, qui permet d’alimenter les cellules eucaryotes.
Celles-ci libèrent de l’énergie thermique, du CO2 et de H2O qui est à
nouveau utilisé par les plantes.
3. L’énergie cellulaire :
L’énergie que nous utilisons est stockée dans les aliments ou dans les
réserves corporelles. Ces composants de base peuvent être dégradés
dans nos cellules et libèrent ainsi l'énergie stockée afin d’assurer son
entretien, sa croissance et ses fonctions.
Cette capacité de modifier puis retransformer la forme d’énergie est
appelé « potentiel redox », « potentiel de membrane », « potentiel hydrogène » = ce sont des formes d’énergies
4. La molécule énergétique
L’énergie des aliments et des réserves est libérée sous forme chimique à l'intérieur de nos cellules et est stockée sous la
forme d'un composé à haute énergie, appelé́ ATP (forme chimique) : c’est une source universelle d’énergie, générée par
l’oxydation de combustibles métaboliques.
La molécule d’ATP fournit son énergie suite à une réaction d’hydrolyse qui libère une liaison phosphate et produit 30,5kJ/mol.
(Réaction exothermique). Cette énergie sera ensuite couplée à d’autre réaction de réduction ou d’anabolisme.
L'énergie libérée au cours de la scission de l'ATP est transférée directement à d'autres molécules qui en font usage/qui en
font la demande.
→ L’ATP est la monnaie d’échange énergétique pour toutes les formes de travail biologique.
L’ATP intervient à plusieurs niveaux de notre corps : digestion, circulation, contraction musculaire, synthèse tissulaire,
conduction nerveuse, sécrétion tissulaire…
5. La production d’ATP
La production d’ATP se fait grâce à un processus de phosphorylation. Ainsi un atome de phosphore sera transféré pour créer
de l’ATP.
La liaison phosphate est hyper énergétique. Il existe deux types de phosphorylation :
- Phosphorylation au niveau du substrat = fait référence au transfert d’énergie par le « simple » biais de liaisons
phosphates (2% de fabrication d’ATP, se fait au niveau du cytoplasme). Formation directe d’ATP à parti d’un transfert
d’un phosphate d’un substrat à l’ADP.
→ Dans la glycolyse et le cycle de Krebs
- Phosphorylation oxydative= synthèse d’ATP (98% de l’ATP est synthétisé par cette voie) par transfert d’électrons NADH,
H+ et FADH2 au niveau de la mitochondrie. La phosphorylation oxydative est la seule à utiliser l’O2
→ Via la chaine de transport des électrons
Conclusion intermédiaire :
- L’ATP est une source universelle d’énergie
- Elle est générée par l’oxydation de combustibles métaboliques
- Le NADH est le cofacteur majeur des réactions biosynthétiques de réduction
- Le NAD+ est le cofacteur majeur des réactions d’oxydation
- Les voies de biosynthèse (anabolisme) et de dégradation (catabolisme) sont toujours distinctes
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6. Moyens de synthétiser de l’ATP :
Très faible quantité d’ATP dans l’organisme (85g max : énergie suffisante pour un exercice de quelques secondes). Du fait
que l’ATP ne peut être fournie par voie sanguine ni par les tissus, il doit être continuellement (re)synthétisé dans la cellule.
La concentration en PCr est environ 3 à 5 fois celle de l’ATP. La PCr est considérée comme un réservoir supplémentaire
d’énergie. Si l’organisme manque d’ATP, la PCr est là pour apporter l’énergie immédiate à sa synthèse (le muscle). En période
de relaxation l’ATP va participer à fabriquer cette réserve de phosphocréatine.
La partie droite montre la relation dans le temps entre la réserve de phosphocréatine et d’ATP lors d’un effort rapide.
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La production d’ATP par la suite se fait à travers plusieurs étapes complexes. Une première étape encore une fois de
production anaérobie ou le glucose va fournir 2 molécules de pyruvates et en parallèle déclencher la production de 2
molécules d’ATP.
Si le pyruvate, bénéficie la présence d’oxygène on rentre dans une étape complexe : la respiration oxydative. Elle passe par
le cycle de Krebs pour arriver à la fin avec des molécules coenzymes de type NADH et FADH. Puis elle rentre dans la respiration
mitochondriale dans cette chaine de transfert d’électron qui détermine une production encore plus importante d’ATP.
7. Fermentation et respiration
Au départ, le métabolisme était seulement anaérobie donc composé de la fermentation. Les nutriments sont utilisés
directement pour produire de l’ATP (= la phosphorylation directe de substrat). En parallèle une production de lactate et de
déchets (qui seront métabolisés, éliminés ou recyclés). Dans ces conditions 1 mole de glucose donne 2 ATP, donc une quantité
relativement faible.
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Lorsque l’oxygène est arrivé sur terre en quantité suffisante, un microorganisme s’est développé, a intégré la structure des
cellules : la mitochondrie. Elles ont permis le passage à un métabolisme aérobie, en présence d’oxygène. Ce fut la naissance
de la respiration. Les réactions aérobies sont beaucoup plus efficaces (production de 36 ATP) que les anaérobies (production
de 2 ATP), mais elles se mobilisent plus lentement.
Les nutriments
Ce sont des substances chimiques provenant des aliments et utilisées par l’organisme pour :
- Obtenir de l’énergie
- Assurer la croissance, l’entretien et la réparation des tissus
- Synthétiser de nouveaux composants cellulaires
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Pas abordé cette année mais important pour comprendre
Les minéraux
On compte 7 minéraux importants : Ca, P, K, S, Na, Cl, Mg et une douzaine d’oligoéléments (cuivre, zinc…). Nos besoins en
oligoéléments sont des quantités infimes
Ils Assurent le bon fonctionnement de l’organisme mais ne servent pas de source d’énergie.
Ex :
- Fer : hème de l’hémoglobine
- Na, Cl et K : influx nerveux
- Iode : hormones thyroïdiennes
Les vitamines
Elles proviennent de l’alimentation sauf la vitamine D qui provient de la peau. La plupart ont un rôle de coenzymes.
Elles agissent conjointement avec les enzymes lors des réactions chimiques. Elles ne sont pas des sources d’énergie ou des
unités structurales.
Elles sont :
o Hydrosolubles : B et C → éliminées si en excès (non stockables)
o Liposolubles : A, D, E et K → s’accumulent dans l’organisme
Le carburant
C’est une source pour la formation d’ATP, cela comprend :
- Le Glucose pour la plupart dérive du glycogène hépatique → Glycogénolyse (ou glucose de l’alimentation)
- Les Triglycérides et le glycogène stockés dans le muscle
- Les Acides gras « libres » et circulants :
o Triacylglycérides dans le foie et les adipocytes
o Complexes lipoprotéiques- circulation
- Les Acides aminés : squelettes carbonés d’origine hépatique et intramusculaire
Les compartiments cellulaires sont très importants dans toutes les étapes du métabolisme énergétique. On voit ici que la
phosphorylation par substrat, la fermentation ou la phase anaérobie se produit au niveau du cytoplasme. Le glucose est
transformé en acide pyruvique en absence d’oxygène puis en acide lactique (= fermentation). La phase de respiration est
effectuée au niveau de la mitochondrie. Dans un premier temps, on a une transformation des substrats en coenzyme avec la
production de CO2. Puis, la phase proprement dite de respiration mitochondriale ou l’oxygène intervient pour transférer des
protons dans l’espace inter membranaire, qui crée un gradient qui activera l’ATP synthétase pour transformer l’ADP en ATP.
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9. Les principales étapes du métabolisme des nutriments
a. Les étapes du catabolisme
2ème étape : les molécules sont dégradées en unités simples qui jouent un
rôle central dans le métabolisme. La plupart d'entre eux sont convertis en
unité acétyle de l'acétyl CoA. Un peu d'ATP est généré à ce stade
anaérobie, mais la quantité est faible par rapport à la troisième étape.
b. Le cycle de Krebs
Le cycle de Krebs représente l’étape finale du catabolisme oxydatif des carbohydrates, des acides gras et des acides aminés.
Il assure la plus grande part des besoins énergétiques de la cellule grâce à la formation de coenzymes réduits qui seront
réoxydés dans la chaîne respiratoire.
Il se déroule dans la mitochondrie via équipement enzymatique : 8 réactions enzymatiques décomposables en réactions
simples = étape finale du catabolisme oxydatif des carbohydrates, des acides gras et des acides aminés. Le cycle de Krebs
assure la plus grande part des besoins énergétiques de la cellule grâce à la formation de coenzymes réduits qui seront
réoxydés dans la chaîne respiratoire. Pour rentrer dans le cycle de Krebs il faut de l’Acétyl-CoA (comporte 2 atomes de
carbones) et de l’oxaloacétate.
L’Acétyl-CoA est l’élément central (molécule clé) de toutes les voies métaboliques. Il peut donner : des acides gras, des corps
cétoniques, du cholestérol, des sels biliaires, et peut être
intégré dans le cycle de Krebs.
c. La chaine respiratoire
La chaine respiratoire est présente dans la mitochondrie, entre la matrice et l’espace inter membranaire.
La mitochondrie est un organite complétement isolé de l’intérieur de la cellule par une double membrane. C’est une
structure très spécifique qui sert à évacuer l’O2 en excès. Elle donne de l’énergie en récupérant les déchets de la
cellule.
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Le NADH produit dans le cytoplasme ne rentre pas spontanément dans la mitochondrie (membrane imperméable) mais grâce
à des navettes qui récupèrent les électrons par réaction d’oxydation qui diminue le rendement énergétique qu’on aurait pu
avoir si le NADH pouvait rentrer directement dans la mitochondrie. (Pas besoin de navette pour les NADH et FADH2 produits
dans le cycle de Krebs).
Au niveau de la chaine respiratoire, il y a une réaction d’oxydation avec l’O2, le NADH et le FADH2, qui permet la sortie des
électrons de ces molécules.
Les électrons entrent dans les 3 complexes transmembranaires pour être transmis du donneur à des accepteurs.
Ce transfert d’électrons amène à une expulsion de H+ vers l’espace inter membranaire et crée un gradient de protons.
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10. Les protéines de découplage
Les protéines de découplage perturbent le couplage étroit entre le transport des électrons et la phosphorylation oxydative
en dissipant le gradient de proton. L’énergie est libérée sous forme de chaleur au lieu de synthétiser de l’ATP.
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III. Métabolisme des glucides
1) Rappel
2) La glycogénogenèse
La glycogénogenèse est la voie métabolique qui permet la synthèse de glycogène à partir de glucose.
Cette synthèse se fait en présence de plusieurs enzymes, dont la synthétase dans le foie et dans les muscles.
But : mise en réserve du glucose issu d’une alimentation riche en glucides.
Le mécanisme qui aboutit à la synthèse du glycogène à partir d’un nombre important de molécules de glucose est résumé
par la formule :
Cette synthèse se fait en présence de plusieurs enzymes, dont la synthétase dans le foie et dans le muscle Elle permet d’éviter,
après la digestion, l’accumulation du glucose dans le sang (hyperglycémie). Et donc de maintenir une glycémie = 0,8 g/L.
Le glycogène est osmotiquement inactif et évite à une cellule gorgée de glucose d’exploser.
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La glycogène synthétase est inhibée par le glucagon (ou l’adrénaline). Son activité est alors dépendante d’un taux élevé de
glucose 6 phosphate (moins active).
L’insuline stimule la glycogène synthétase et l’activité de l’enzyme redevient indépendante du taux de glucose 6 phosphate
(plus active).
3) La glycogénolyse
Elle s’oppose à la glycogénogenèse mais, comme la néoglucogenèse, elle est stimulée par le glucagon au niveau du foie et
par l’adrénaline au niveau du muscle et inhibée par l’insuline.
2 types de glycogénolyse :
• Glycogénolyse dans les neurones et les muscles : dans les neurones et les
muscles, le glucose-6-phosphate est le substrat de la glycolyse. Le sucre est
directement utilisé et non exportable (comme c’est le cas pour le foie)
4) La néoglucogenèse
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5) La voie des pentoses phosphates
Elle est une source essentielle de NADPH, cofacteur majeur des réactions biosynthétiques de réduction.
Elle fournit le ribose 5-phosphate, précurseur de la synthèse des nucléotides.
6) La glycolyse
• La dégradation du glucose
La glycolyse se déroule dans le cytosol de la cellule. La dégradation
du glucose se déroule en deux étapes :
• Le cycle de Krebs
Le cycle de Krebs (8 étapes) dégrade l’Acétyl-CoA (dérivé de l’acide pyruvique) en CO2 et ATP.
1 mol de glucose = 2 mol d’O2 + 4 mol de NADH+ H+ + 1 mol de FADH2 + 2 mol d’ATP
La réduction des coenzymes NAD et FDH se fait par la chaine respiratoire.
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Bilan énergétique provisoire pour la dégradation d’une molécule de glucose :
• La phosphorylation oxydative
L’ATP synthétase utilise l’énergie libérée par le gradient
électrochimique des protons pour fabriquer de l’ATP par l’ajout d’un groupement phosphate à l’ADP
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7) Organes/ Tissus du métabolisme glucidique
8) La fermentation
1) La lipogenèse
= Synthèse de triglycérides dans le foie (synthèse réelle) ou le tissu adipeux (plutôt stockage).
Cette formation se fait à partir de triglycérides alimentaires mais aussi à partir des excès alimentaires de glucose et d’acides
aminés.
3 acides gras + glycérol → triglycérides
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2) La lipolyse
= Dégradation de triglycérides dans le foie et le tissu adipeux. Elle permet de libérer des acides gras et du glycérol (source
d’énergie pour les cellules) transformés.
4) La cétogenèse
= Production de corps cétoniques par le foie à partir d’acides gras (ex : acétone)
Dans certaines conditions (en absence de glucose), le foie effectue une dégradation incomplète des acides gras.
Les corps cétoniques :
• Peuvent être libérés dans le sang pour servir d’énergie à la plupart des cellules (muscle, foie, cerveau).
• Sont des substances acides qui peuvent provoquer une acidose (lorsque leur concentration augmente dans le sang)
(diabète sans insuline)
Lorsqu’il n’est plus possible de faire tourner le cycle de Krebs, tout s’arrête avant l’Acétyl-CoA→ Cétogenèse
La plus grande source d’énergie de l’organisme (380-460MJ vs 8,4 kJ pour les glucides).
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IV. Le métabolisme des acides aminés
Les principales réactions chimiques impliquant les protéines sont :
• Oxydation des acides aminés
• Désamination des acides aminés et synthèse de l’urée
• Synthèse des protéines et protéolyse : équilibre permanent entre les deux
La libération de l’énergie des protéines nécessite une transformation des acides aminés :
- Les acides aminés (AA), pour libérer de l’énergie, doivent être transformés.
- La transamination consiste à enlever l’azote des AA donnant des composés pouvant intégrer le cycle de
Krebs :
• Acide glutaminique
• Acide cétonique (Pas la même chose que les corps cétoniques.
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3) Oxydation des acides aminés
En résumé :
Les protéines sont un substrat énergétique utilisé dans ces situations exceptionnelles, parenté à des situations de
dénutritions. Cela se fait par un processus de désaminations qui va produire ou des composantes comme le pyruvate ou
l’acide cétonique qui vont intégrer directement le cycle de Krebs ou via des synthèses d’autres produits énergétiques comme
les acides gras ou le glucose via une processus de néoglucogenèse.
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V. Résumé de l’interconnexion entre les tissus et les réactions métaboliques
1) Phase absorptive
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2) État post absorptif
Stockage Consommation
GLUCOSE 680 Kcal 700 Kcal/jour 175g
LIPIDES 100 000 Kcal 860 Kcal/jour 100g
PROTEINES 25 000 Kcal 240 Kcal/jour 50g
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Métabolisme oxydatif des nutriments :
Glucose Acide palmitique Protéine standard
Masse molaire (g) 180 256 2257,4
O2 consommé 0,747 2,013 1,045
CO2 produit 0,747 1,4 0,864
H2O produite 0,6 1,125 0,427
Quotient respiratoire 100 0,70 0,83
Energie potentielle 3,87 9,69 4,704
Equivalent O2 5,19 4,81 4,5
énergétique CO2 5,19 6,92 5,44
Mol/mol 38 129 450
ATP synthétisé
Kcal/mol 456 1548 5400
QCM2 : A propos des grandes voies métaboliques, cochez la (ou les) proposition(s) exacte(s) :
A. La glycogénèse est la voie métabolique qui permet la synthèse de glycogène à partir de glucose.
B. La -Oxydation forme 147 ATP à partir d’un acide aminé à 16 Carbones.
C. Le rendement énergétique d’un acide gras est meilleur que celui du glucose.
D. La glycogénolyse est la production de glucose à partir de la phosphorisation du glycogène.
E. Le cycle de Krebs dégrade l’Acétyl-CoA en CO2 et ADP.
Correction :
QCM1 : BCE
A. FAUX : C’est le catabolisme
B. VRAI
C. VRAI
D. FAUX : Elles sont toujours distinctes
E. VRAI
QCM2 : AC
A. VRAI
B. FAUX : à partir d’un acide aminé à 18 Carbones
C. VRAI
D. FAUX : La glycogénolyse est la production de glucose à partir de l’hydrolyse du glycogène.
E. FAUX : Le cycle de Krebs dégrade l’Acétyl-CoA en CO2 et ATP.
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