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Le cinéma expressioniste

Metropolis  :Film de Fritz Lang, culte, inscrit au patrimoine de l'UNESCO, complexe car
controversé et critiqué par son propre réalisateur. Métropole qui broie les individus, motif de l'ordre
(des ouvriers qui s'engouffrent ds la gueule béante de la cité) et par ailleurs le chaos de la rue
(présenté svt sur un mode apocalyptique).
Joh Fredersens est un riche industriel ds le film, à la fois patron d'usine et maître de la ville,
confusion des pouvoirs économiques et politiques. Il habite dans les sphères supérieures. Les
classes supérieures sont oisives. Dans les parties inférieures de la ville, noires, fermées, sans air pur,
grouille la masse des prolétaires qui travaille pour l'usine de Fredersens. Le fils de Fredersens
tombe amoureux d'une prolétaire, Maria, et pour comprendre la misère il échange son rôle avec un
prolétaire.
Freder
Molock : espèce de monstre mythologique à quoi est comparée l'usine et par métonymie la ville tte
entière. Dépersonalisation des gens pdt que animalisation, personnification de la machine. Machine
comme une divinité qui sacrifie à vie humaine à la technique. Ms la catastrophe tecnique est tjrs
possible : cf œuvres de th de Kaiser que faire face à la monstruosité de catazstrophe technique qui
entraine mort à foison : sursaut de prise de conscience politique.
Chorégraphie de travail machines , musique.
Comparaison avec Babel ou Babylone, péché des hommes a été de vouloir construit une tour
jusqu'au ciel pour atteindre Dieu et prouver supériorité de l'h sur Dieu. Science et technologie
fascine ms en même tps fait peur. Le progrès de l'humanité est en fait une régression de la
spiritualité.
Contingents entiers d'hommes sont avalés par la machine et broyés.
Projection mentale de Freder qui interprète la chose comme cela.
Côté immétrisable de la technique qui rejoint l'hybris tragique.
Va trouver une espèce de savant fou Rotwang qui a mis en place un robot parfait auquel il ne reste
plus qu'à donner une apparence humaine.
Le robot sous les traits de Maria sème la zizani et finalement rend obigatoire la répression des
ouvriers par le patron. Inversion des signes Femme Maria éperdumment aimée par Rotwang qui a
voulu créé un robot à son effigie. Les forces du bien (Maria) et les forces du mal (Futura)
s'opposent.
La fin est particulièrement ambiguë car Freder (fils) et la vraie Maria sauvent la ville de la fausse
Maria sauvent la ville de la fausse Maria, et ça se termine par la réconciliation entre Freder et son
père car Maria et Freder ont réussis à être des médiateurs entre les mains (populace) et le cerveau.
« Entre le cerveau et les mains le médiateur doit être le coeur ». Cette fin apparemment idyllique a
en fait un ordre social encore plus renforcé à la fin, au travers d'un message simili chrétien évacue
au fait tte révolte politique réelle. La division de gd organisme social n'est pas du tt remis en cause.
Message repris par les nazis car très populistes ds l'âme ; Ce qu'on a reproché bcp à Lang c'est qu'au
fond cette phrase et ce personnage de Maria pourrait être un film nazi. (ms film de 1927)
Marc Hauer critique contemporain dit qu'au fond on assiste ds ce film au sacre absolu du patron, qui
passe de patron exploiteur à patron éclairé. Il s'assure un empire spirituel sur son peuple.
Le jeu d'acteur : un jeu très convulsif, outré, absolument pas vraisemblable. Tout un effet d'arrêt sur
image.
Geste répétitif pr se désigner com médiateur.

Le Cabinet du Dr Caligari :
Robert Wienne,scénaristes : Karl Mayer et Janowitz.
Résumé : 1 ère scène, un jeune homme est sur un banc raconte son histoire, film flasback à la fin du
film re jeune homme sur banc.
Histoire d'un forain en 1830 , Caligari dont l'actration est un somnanbule appellée Cesare qui prédit
l'avenir, terrifiant car prédit leur mort prochaine. 2 jeunes gens Alan et Francis (celui qu'on voit sur
banc). Mort prédite d'Allan se produit (en fait tué par Cesare) Francis essaye de mener enquête,
enquête qui va mener à internement de Caligari, ms en fait Caligari directeur de l'hopital ds lequel
est interné, camisole de force. Après cette destitution symbolique d'une autorité nuisible, on revient
au tps présent, à la réalité. En réalité c'est Francis qui est fou et a revé tte cette histoire, pense que
c'est Caligari qui est fou. Renversement total de perspective : au fond,
Caligari homme bon, sain, Caligari du début. Cet espèce de retour massif à l'ordre a choqué
puisqu'au fond l'autorité n'est destabilisée que ds la parenthèse fantasmatique du récit.
Filtre sépia pr jour, filtre bleu pour nuit.
Décor en carton pâte qui s'assume comme tel.
On est introduit tt de suite ds l'univers mental d'un fou.

Nosferatu :

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