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Les positions de vie

Lorsque l'enfant acquiert


des certitudes
sur lui et
les autres.
Les positions de vie
C’est notre manière permanente de nous situer et de
réagir face au monde.

• En fonction des expériences et du sens que nous


leur donnons nous en déduisons notre valeur, celle
des autres, la valeur de la vie, de l’humanité, du
monde …

• Nous adoptons une position de vie souvent dans


l’enfance, la renforçons à l’adolescence…
• nous pouvons en changer après une prise de
conscience suivi d’une mise en pratique.
•Une bonne communication assertive suppose :
•Notre bien être et le bien être de l’autre dans
l’échange
•OK+ = ressenti de bien être dans l’échange
•OK- = ressenti d’un certain mal être
•Ainsi 4 combinaisons possibles :
Je suis comme il faut, vous non (+ –)

• Une position de domination. La personne pense


qu’elle est meilleure que l’autre et cherche à le
prouver. Elle veut aussi montrer qu’elle est parfaite
et devient violente sous la critique. Elle manque
d’égards envers les autres, les dévalorise. Résistante
et énergique,
• elle est insensible et peut interprèter le rôle de
Persécuteur ou de Sauveteur.
je suis OK,

vous n'êtes pas OK :

mépris, supériorité
Je ne suis pas comme il faut, vous si
(– +)

• Une position d’excès de modestie et désir d’être agréable. Soumise


aux autres, cette personne entretient et amplifie son complexe
d’infériorité. Elle se sent toujours fautive, amoindrie, indigne,
dégoûtée de la vie.
Satisfaite du peu qu’elle a, elle a peu d’estime de soi et admire parfois
l’arrogant et le fanfaron.
je ne suis pas OK,

vous êtes OK :

sentiment d'infériorité
Je ne suis pas comme il faut,
vous non plus (– – )

• Une position de renoncement, d’observation de la vie et de soi-même pour


ne pas se sentir concerné et être atteint. Souvent au second plan et
indifférente, cette personne pardonne facilement ses propres erreurs, elle
oublie ou remet toujours au lendemain
• ses engagements. Elle ne sollicite personne pour ne pas subir des affronts.
Inapte au bonheur, elle peut être froide et suicidaire
je ne suis pas OK,

vous n'êtes pas OK :

position de renoncement
Je suis comme il faut,
vous aussi (+ +)

• La meilleure position puisqu’elle est positive. La personne


est consciente de ses responsabilités, agit de façon pratique
et positive, elle se fie à ses compétences, accepte les autres,
elle-même et la vie tels qu’ils sont.

• La position Assertive …
je suis OK,

vous êtes OK :

la relation idéale selon l'AT


Les positions de vie
OK
+-
Arrogants Supériorité ++ Gagnants Confiance/
Je m’accepte égalité
Je me survalorise
Je t’accepte
Je te dévalorise
« Quel problème, Quelle
« c’est TA faute » Solution ? »
PAS OK
OK
-- passifs -+ Soumis Infériorité
Nous ne valons rien Je te survalorise
Manque
« c’est notre faute » Je me dévalorise d’assurance
« C’est ma faute » culpabilité
Suicide collectif

PAS OK

Ou positionnez vous le Parent, l’adulte, L’enfant ?


Résultat Test position de vie
vous etes épanoui, vous vous acceptez tel que vous etes, vous respectez les autres, vous
avez envie de vous enrichir à leur contact, vous avez conscience de votre propre valeur
segment A et de celle des gens que vous cotoyez. Vous n'agissez pas avec eux en fondant vos
HARMONIE
++ rapports sur une relation de type soumission/ domination. Bien au contraire vous
cherchez à entretenir des relations adultes et à coopérer chaque fois que cela est
possible. Vous êtes prets à résoudre vos conflits dans les meilleures conditions.

les autres sont mieux que vous, ils réussissent là ou vous échouez, ils sont heureux quand
segment C DEVALORISATION vous pleurez, vous n'avez pas une très haute image de vous. Vous ne vous sentez souvent
-+ DE SOI pas à la hauteur et vous avez tendance à vous replier sur vous-même. Vous avez plutot
tendance à vous sous estimez.

vous avez souvent une image négative du monde, des autres et de vous-même. Vous
segment D
DEPRESSION n'attendez rien de personne, les autres vous font peur et vous n'avez pas beaucoup
-- d'estime pour vous-même. Vous voyez le monde avec des lunettes noires.

dans votre esprit vous valez mieux que quiconque, et cela se manifeste de 2 façons : soit
vous envisagez l'autre de façon condescendante en le dévalorisant, soit vous le prenez
segment B SURREVALUATION/
de haut et vous vous conduisez de façon agressive, envers lui. Vous avez fortement
+- DOMINATION
tendance à vous valoriser et à tenir les gens pour responsable de ce qui vous cause du
désagrément.
Comment vous y prenez vous pour dire non

• Je me plains « c’est toujours sur moi que ça tombe ! »


• Je suis cassant : non c’est non je te l’ai dit 100 fois !
• Je culpabilise : tu crois que j’ai que cela à faire ?
• Je m’excuse : euh, à vrai dire je suis ennuyé de te le dire mais …
• Je me justifie : je suis malade et j’en fais déjà tant
• Je manipule : mais tu es si débrouillard que tu arriveras très bien sans moi …
• Je laisse trainer les choses … on verra … je sais pas encore …

• Toutes ces méthodes ne sont pas assertives …mais relèvent du Triangle


dramatique (voir suite)
•©
Ces trois rôles de victime, sauveur et persécuteur peuvent être mis en relation avec ce que le Éric
Berne (psychiatre américain et fondateur de l’Analyse Transactionnelle) appelle les quatre mythes
:
•« J’ai le pouvoir de rendre les autres heureux » (Sauveur en recherche d’une Victime)
•« Les autres ont le pouvoir de me rendre heureux » (Victime en attente d’un Sauveur)
•« J’ai le pouvoir de rendre les autres malheureux » (Persécuteur en attente d’une Victime)
•« Les autres ont le pouvoir de me rendre malheureux » (Victime en attente d’un Persécuteur).
Sauveur, Victime, Persécuteur

Prendre conscience de ces 3 rôles pour en sortir,


et ne plus mordre aux hameçons !!
Le triangle dramatique de
Karpman

• Il y a 3 rôles (3 jeux) :
• le Persécuteur,
• le sauveur, et la victime.
• Le persécuteur rabaisse et écrase la Victime, la victime accepte de
subir, le sauveur vient la sauver.
• Les rôles peuvent changer, selon la nature du sauveur, il peut
devenir persécuteur pour le persécuteur, qui se posera alors
en victime, en obtenant le secours de la victime qui se pose
alors en sauveur face au comportement excessif de son
sauveur.
Le triangle dramatique
de Karpman

• Une victime : elle est pure et innocente facile et impuissante


Plaintive est pitoyable mais étrangement gaffeuse souvent
exaspérante …
Un bourreau critique et dévalorisant, blessant et cruel
menaçant voire violent il est en overdose d'une frustration
qu’il cherche à évacuer sur une victime innocente bien sûre ….

Sauveur ou sauveteur : bon et généreux, fort et altruiste,


protecteur et infantilisant mais surtout très culpabilisant « avec
tout ce que j'ai fait pour toi » est son leitmotiv
Conclusion
« Prise de responsabilités »
• Le credo de la parfaite victime :
• Je n’ai aucun choix,
• Ce n’est pas de ma faute
• C’est toi, l’autre, le chef, le collègue …qui a commencé
• Je ne suis pas responsable … Vous
• Je subis …je n’ai pas le choix … reconnaissez
• C’est L’autre qui doit s’occuper de mes besoins
vous dans l’une
• Je suis victime d’injustice
de ces phrases ?
• Pourquoi moi ?
• n’importe qui dans mon cas ferait pareil Complétez la
• La vie est un calvaire liste des options
• Je n’ai pas choisi d’être ici menant à
• On m’a pas dit
l’échec
• On m’a pas informé
• C’est inacceptable
• C’est l’autre qui est coupable
• L’autre …. (pas moi = pas de remise en question …)
QUOI D’AUTRES …?
Prise de responsabilités
options créatives et positives

• Je gère mon existence et j’assume mes choix


• Quoi que je fasse c’est toujours mon choix et j’en suis responsable
• Ce que je vois, est mon choix de voir ; je peux toujours modifier mon regard
• Mes pensées et mes ressentis sont mes propres créations,
• Je peux les partager, mais je ne détiens pas la vérité
• Mes ressentis m’appartiennent, ils expriment mes besoins que j’ose exprimer
• Je choisis d’être AVEC mes ressentis plutôt que CONTRE ce que je perçois comme étant leur cause.
• Ce qui est en moi me fait réagir, je ressens, je vois, j’accueille, je relâche
• Le jugement et la critique sont des manières de concéder mon pouvoir
• Il n’y a pas de coupables, il n’y a que des ressentis et des besoins et je les exprime pour trouver une
solution (pas un coupable)
• ce que je combats, je renforce.
• Je suis 100% créateur de ma réalité
• Je suis acteur – co responsable – pas victime
• 1 + 1 = 3 = interdépendance
En bref :
Oui mais … film à voir
Extrait …
On retrouve également cette structure dans
les contes dramatiques pour enfants:

Exemple: Blanche-Neige, la méchante belle-mère, et le prince
charmant / Le chaperon rouge, le loup et le chasseur / Cendrillon, sa
famille et le prince…
Communication difficile entre …

Ce que je pense...
Ce que je veux dire...
Ce que je crois dire...
Ce que je dis...
Ce que vous voulez entendre...
Ce que vous entendez...
Ce que vous croyez entendre...
Ce que vous comprenez...
Il y a au moins neuf possibilités de ne pas
s'entendre !
DICTON

• Avant de parler, considère :


• premièrement, ce que tu dis ;
• deuxièmement, pourquoi tu le dis ;
• troisièmement, à qui tu le dis ;
• quatrièmement, de qui tu le tiens ;
• cinquièmement, ce qui ressortira de tes paroles ;
• sixièmement, quel profit en découlera ;
• septièmement, qui écoutera ce que tu diras.

• Garde alors tes mots sur le bout de ta langue
• et tourne-les de ces sept manières avant de les exprimer :
• aucun mal ne résultera jamais de tes paroles.
POUR EN SORTIR
N’oubliez jamais

• « Toute demande non exprimée n’a pas a être satisfaite »


• Si je n’ai pas clairement demandé ce que je veux, je ne peux pas
en vouloir à l’autre de ne pas avoir compris !
• S’il n’a rien demandé, je n’ai pas à le deviner. C’est une règle d’or
en communication.
• Ne pratiquez plus la lecture de pensée !
• La demande d'aide doit être clairement verbalisé
L offre d'aide doit être cadrée dans le contenu et dans le temps
L aide doit comporter une contrepartie
Ne jamais faire plus de 50 % du chemin
L aide doit toujours viser le retour à l'autonomie
Comment l’éviter ?
• Le meilleur moyen d’éviter d’être pris dans un triangle
dramatique est de veiller à ne pas soi-même endosser
spontanément un des trois rôles.

• Si je me sais enclin à chercher la sympathie ou le soutien des autres, je


serai particulièrement attentif à ne pas me poser en victime pour faire en
sorte que les autres règlent mes problèmes.
• Si je suis de nature colérique, autoritaire ou directive, je serai vigilant à ne
pas agresser verbalement mon entourage même si je juge qu’il fait mal
son boulot.
• Et finalement, si je suis du genre à vouloir aider les autres, je vérifierai si
les quatre conditions suivantes sont remplies :
• 1) m’a-t-on explicitement demandé mon aide ?
• 2) ai-je l’envie, les compétences et les moyens pour intervenir ? 3) le
demandeur est-il prêt à se prendre en charge lui-même ou va-t-il me
refiler son fardeau ?
• 4) quels sont les critères qui me permettront de juger quand ma mission
d’aide est accomplie ?
Comment sortir des « jeux psychologiques » ?

Comment pouvez-vous vous en sortir et devenir Responsable …

• 1. En établissant le fait que si vous échouez ce que vous entreprenez, vous n’en
voudrez ni aux autres, ni à vous-même.

• 2. En prenant conscience des rôles que vous interprétez dans le


• « Triangle Dramatique. »

• 3. En élaborant des relations plus satisfaisantes et indépendantes avec les


autres.
Pour sortir du piège :
Ne plus mordre aux hameçons !!
Pour améliorer votre communication : sortir des jeux
psychologiques du triangle dramatique !

« Ce n’est pas de ma faute ! »


Pour la victime, le mot
« responsabilité » est un gros
mot.

Le sauveur serait bien


du genre à sortir les
poissons de l’eau Sans victime consentante,
pour leur permettre de
respirer
plus de bourreau (persécuteur)
Comment sortir des « jeux psychologiques » ?

Pour désamorcer l'appât :


Quelques formules magiques :
-si tu le dis
-tu as le droit de le croire
-ça t’appartient
-c'est ton avis
- Tu as le droit de le penser
- C’est ta vérité
- Comment suis-je censée réagir à cela ?
Qu’attends tu de moi ?
Comment sortir des « jeux
psychologiques » ?

un des moyens principaux de sortir du triangle dramatique et d’en neutraliser


définitivement les rôles, sans victime Sauveur, ni bourreau plus de jeu possible

Si je suis moi-même une victime


-je prends conscience de mes manipulations je remplace les plaintes par des
demandes précises
-Je comprends que les solutions sont à l’intérieur de moi-même et que la prise en
charge de mes problèmes par autrui ne peut être qu’inadaptée puisque provenant
de sauveur infantilisant
-Je me souviens que sans victime consentante il n existe plus de persécuteur
- Un travail sur moi me permettra d'être bien dans ma peau de connaître mes vrais
besoins de me respecter et d'agir à ma mesure et à mon rythme
- L'autonomie se développe par la politique des petits pas, par des progrès
modestes mais quotidiens
Comment identifier une victime et ne
pas tomber dans le piège :
Phrases types de la Victime :

Je n’en peux plus ! J’en ai marre, c’est


toujours pareil ! «
Jamais il ..et moi, à chaque fois je dois .. »
C’est toujours à moi que cela arrive !
Tout le monde est contre moi !
Partout c’est la même chose !
Tous, toujours, jamais, personne, partout,
nulle part, tout et rien …etc

En face : je refuse d’entendre ses plaintes


et les énumérations de ses malheurs !
« Qu’attends tu de moi exactement ?
Si je suis moi-même un bourreau

-je cherche la source de ma frustration je définit les besoins


insatisfaits et je prends soin de mes blessures et de mes
besoins
-Je développe mes capacités de tolérance d'ouverture et de
réalisme.
-pour sortir de mon ancien carcan d'interdiction je me
souviens que je critique chez les autres les comportements
que je m'interdis
-Je profite de chaque envie de critiquer pour prendre
conscience de mes interdits et me rendre toutes les
autorisations nécessaires à ma sérénité
-Autorisation d'être moi-même pour vivre une vie en accord
avec mon éthique revisité et personnalisé
Je mets toutes les belles capacités de cadrage au service de la
sécurité et de la protection de mon enfant Intérieur
MIEUX COMPRENDRE LE FONCTIONNEMENT
DU ROLE DU BOURREAU (PERSECUTEUR)

Le persécuteur est un grand frustré qui cherche à


évacuer ses frustrations sur plus faible que lui :
• L’employé disputé par son patron crie sur sa femme, qui donne une
claque à son gamin, qui donne un coup de pied au chien …!
Si je suis un sauveur

-Je trouve de nouveaux moyens constructive


d'obtenir de l'attention et de nourrir mon ego
-Je ne crois plus qu'il existe chez les adultes des
victimes sans ressources
-Je permet aux hommes de devenir autonome en
leur rendant à la liberté de développer leurs propres
ressources
-J'apprends à fonctionner égal à égal et remplace la
pitié très méprisante par la compassion et l'empathie
-Si je veux rester dans la relation d'aide j'apprend à
écouter l'autre et à faire la différence entre
assistanat et aide réelle et positive
Cas du pervers narcissique ?
• L’histoire se déroule toujours en 3 étapes :
• Étape 1 : au début de la relation, le pervers narcissique joue un rôle de sauveur.
• ☞ il est attentionné, il vous rassure, vous sécurise, vous fait de belles promesses…
• Il pourra même prendre un rôle de victime dans le cadre du chantage affectif.
• Dans tous les cas, il s’agit de rôles temporaires !
• Étape 2 : un événement se produit et le pervers narcissique change radicalement son masque, il
change de jeu de rôle…
• Étape 3 : A partir de là, le pervers narcissique se complait dans un rôle de persécuteur.
• ☞ il vous assomme de reproches, de critiques, vous dénigre, vous humilie, vous culpabilise,…
• Doucement mais sûrement, le piège se referme, vous êtes déstabilisé, vous culpabilisez de plus en
plus, vous devenez dépendante, le pervers narcissique vous isole et vous emprisonne dans un rôle
de victime.
• Face à un pervers narcissique, vous ne devez en aucun cas jouer un des 3
rôles du triangle de Karpman sinon vous tombez dans une relation de
dépendance affective à l’autre qui n’est ni une relation d’amour ni d’amitié
Le jeu n’en vaut il pas la chandelle ?

• En prenant conscience de nos états du Moi, nos


transactions, nos scénarios de vie, etc., nous avons, à notre
disposition, tous les éléments pour comprendre ce qui
influence notre vie.
• L’essentiel est de pouvoir nous améliorer dans notre vie
quotidienne, de reconnaître nos jeux psychologiques pour
soulager les tensions dans nos relations avec les autres et
avec nous-même
Responsable, plus victime
Le mot responsabilité
n'est pas un gros mot
Osez assumer vos actes et leur conséquence
vous y gagnerez une bien meilleure estime de vous
Dites à partir d'aujourd'hui :
je prends la responsabilité de …
et apprenez à vos collaborateurs à faire de même
Vivre en responsable
Ceux qui assument la responsabilité de leur vie ont tendance à produire une
estime d’eux mêmes saine.
Dites-vous que personne ne viendra à votre rescousse.
Ne laissez pas à d’autres, même aux êtres aimés la tâche d’accomplir ce qui
est sous votre propre responsabilité.
Etre responsable entraîne ces réalisations:
1 Vous êtes responsable de vos choix et actions.
2 Vous êtes responsable de la manière dont vous organisez votre temps.
3 Vous êtes responsable du niveau de conscience que vous apportez à votre
travail.
4 Vous êtes responsable des soins ou manque de soins que vous apportez à votre
corps.
5 Vous êtes responsable de la relation que vous commencez ou continuez avec
quelqu’un.
6 Vous êtes responsable de la manière dont vous traitez les autres.
7 Vous êtes responsable du sens que vous donnez ou manquez de donner à votre
vie.
8 Vous êtes responsable de votre bonheur.
9 Vous êtes responsable de votre vie : matérielle, émotionnelle, intellectuelle et
professionnelle …
• La gentillesse à court terme se révèle souvent une cruauté à
long terme …

« Celui qui donne du poisson à l’homme qui a faim le nourrit


pour la journée, celui qui lui apprend à pêcher le nourrit pour
la vie ! »

Visez toujours l’autonomie


de celui que vous aidez …
Trions notre sac à dos
Nous sommes tous responsable de nous-même !
On se promène dans la vie avec un sac à dos de responsabilités
:

Dans mon sac à dos il y a :


- Ma santé physique et morale
- Mon autonomie financière
- Mon développement personnel
- La qualité de mes relations avec les autres
- Mon bonheur

- Chaque fois que je culpabilise c’est qu’il y a dans mon


sac à dos des « cailloux » qui ne m’appartiennent pas
!!
Autres Sources, à conseiller
• L’énnéagramme les 9 types de personnalités René de Lassus (en vente à D3S)
• Analyse transactionnelle (chez marabout) du même auteur (dépôt vente d3S)
• L’énnéagramme de Helen Palmer
• Trouver rapidement son profil et savoir qu’en faire David Daniels
• Comprendre et gérer les types de personnalités en entreprise
• L’énnéagramme au travail et en amour de Helen Palmer
• Les sous types d’Eric Salmon
• S'aimer + authentiquement grâce à l'énnéagramme / Guide pratique pour retrouver la
zone de relation idéale de F. Dallaire ed Quebecor
• Enneagramme caractère et névrose de Claudio Naranjo
• Le grand livre de l'énnéagramme de F et P Chabreuil
• Mieux comprendre son enfant et communiquer avec lui grâce à l'Ennéagramme
• de C. Benoit
• L’énnéagramme : 9 types de personnalités pour mieux se connaitre JP Vidal

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