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Elaboré par :
Lachaal Mohamed
Kouzana Iheb
Encadré par :
A ma sœur FARAH
Pour toute l’ambiance dont vous m’avez entouré et pour toute la spontanéité et votre élan
chaleureux, je vous exprime, à travers ce modeste travail, mes sentiments de fraternité
et d’amour. Que ma réussite sera accompagnée par la vôtre ! Que tu auras ton
baccalauréat cette année Puisse Dieu, le tout puissant, exhausser tous tes vœux.
A tous mes amis qui ont cru en moi et qui me donnent l’envie d’aller en avant, Je vous
remercie tous, votre soutien et vos encouragements me donnent la force de continuer.
LACHAAL MOHAMED
Dédicace :
Je dédie avec plein d’amour mon travail
A mes chers parents Hatem et Moufida qui sont les sources de mes joies, les secrets de
ma force. En effet aucune de des dédicaces ne saurait être assez pour exprimer la
profondeur des sentiments d’affection, d’estime et de respect que je vous porte, pour
l’amour dont vous m’avez toujours comblé, l’éducation et le bien être que vous
m’assurez pour votre soutien, vos sacrifices et vos prières. Vous êtes et vous resterez
toujours ma référence, la lumière qui illumine mon chemin.
A mon cher frère, Ahmed pour sa présence à mes côtés Je trouve en lui le conseil du
frère et le soutien de l’ami .
A mon binôme, ma famille et tous mes amis Je ne peux pas trouver les mots justes et
sincères pour vous exprimer mes pensées. Vous êtes pour moi des frères, sœurs et des
amis sur qui je peux compter, merci d’être toujours là pour moi.
Kouzana Iheb
REMERCIMENT
En premier lieu, Nous remercions Dieu tout puissant qui nous a guidé au droit chemin, nous a
inspiré les bons pas et nous avoir accordé la volonté et le dynamisme.
En préambule à ce travail, nous souhaitons adresser nos remerciements les plus sincères aux
personnes qui nous apporté leur aide et qui ont contribué à l'élaboration de ce projet
ainsi qu'à la réussite de cette année universitaire.
Notre reconnaissance s'adresse à nos deux encadreurs pour tous les efforts déployés pour nous
fournir les ressources documentaires dont nous avons eu besoin et aussi pour leur disponibilité
et leurs encouragements permanents.
Nous adressons nos vifs remerciements au Mr RACHED MEDDEB, qui a bien accepté de nous
encadrer et aussi pour son amabilité et sa bienveillance au bon déroulement du travail
de ce projet.
Nous exprimons aussi nos gratitude au Professeur Mme RAFIKA NAFKHA qui s'est toujours
montré à l'écoute et très disponible tout au long de la réalisation de ce projet, ainsi que
pour le temps qu'elle a bien voulu nos consacrer et pour son soutien inestimable qui
nous a été précieux afin de mener notre travail à bon port.
Nous remercions aussi à nos parents, pour leur amour et leur soutien durant toutes les années
de nos études. Nous avons la chance de pouvoir compter sur l’affection et le soutien
infaillible de nos familles et nos amis, merci pour votre présence à nos côtés En fin, nos
remerciements vont également aux membres du jury d'avoir accepté de Juger notre travail.
SOMMAIRE
INTRODUCTION..........................................................................................1
Tableau 23 : Tableau récapitulatif des résultats des moments sur appuis à l’ELU...........................90
Tableau 24 : Tableau récapitulatif des résultats des moments sur appuis à l’ELS...........................90
Tableau 25 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas C-C...............................92
Tableau 26 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas C-D...............................92
Tableau 27 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas D-C................................93
Tableau28 : Tableau récapitulatif des résultats des moments maximum en travées à l’ELS et à l’ELU94
Tableau 29 : Tableau récapitulatif des résultats des calculs des efforts tranchants à l’ELU.......................95
Tableau 30 : Tableau récapitulatif des résultats des calculs des efforts tranchants à l’ELS..............96
Figure 35 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-C à l’ELU....................................92
Figure 36 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-C à l’ELS....................................92
Figure 37 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-D à l’ELU....................................93
Figure 38 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-D à l’ELS....................................93
Figure 39 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-D à l’ELU....................................94
Figure 40 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas D-C à l’ELS....................................94
Introduction
Ce travail fait partie de la fin de la période de stage qui vient de clôturer notre formation. Il
se compose de la structure, de la conception des infrastructures, de la modélisation et de la
conception dimensionnelle d'un bâtiment en béton armé d'un immeuble résidentiel à Msaken
Le travail demandé consiste à concevoir une structure capable de résister aux sollicitations,
transmettre toutes les charges de l'immeuble au sol des fondations et de dimensionner quelques
éléments de la superstructure et de l’infrastructure tout en assurant la stabilité de l’ouvrage et la
sécurité des habitants. D’autre part nous avons tenu au maximum des aspects de sécurité, des
contraintes architecturales, des aspects économiques et des difficultés d’étapes d’exécution sur
chantier.
Pendant cette étude, nous avons pu nous adapter à plusieurs méthodes de calcul des
structures en béton armé. De plus, étant donné la variété des éléments de conception, nous
pourrions apprendre à maîtriser les outils et logiciels de calcul en génie civil, à savoir: autocad et
ARCHE principalement.
Chapitre 1 :
Présentation de
l’organisme
d’accueil
I. Société d’accueil :
Nous avons l’honneur de faire notre stage de fin d’études de 3 mois, au sein du bureau
d’étude S.E.M.A " Suivie, Etude, Métré et Application ".
• E-mail : Semameddebrached@gmail.com
• Téléphone : 73285757
• Fax : 73285757
C’est un bureau d’étude qui intervient dans les projets des bâtiments et des constructions privées.
Ce bureau présente une unité de travail se composant de :
Directeur général : Mr RACHED MEDDEB qui a le rôle le plus important qui consiste à
gérer le bureau, planifier l’élaboration des études des projets, Établir la note de calcul des projets
et effectuer le suivi et le contrôle des travaux sur chantier.
1. Introduction
Lors de notre stage de fin d’études, nous avons cherché à satisfaire nos intérêts pour enrichir
notre formation à travers l’étude du projet.
Nous avons acquis des compétences et des méthodes de travail importantes pour notre vie
professionnelle.
Pour avoir une bonne formation durant notre stage, nous avons sélectionné un projet intéressant
proposé par le bureau d’étude.
✓ 1ére étape : Nous avons commencé par comprendre les détails des plans d’architectures de
l’immeuble et ses différentes coupes et vues.
✓ 2éme étape : Nous avons superposé les différents plans pour l’emplacement convenable
des poteaux tout en respectant les détails architecturaux.
✓ 3éme étape : Etablir une conception adéquate du bâtiment et leurs plans de coffrage en
utilisant le logiciel « AUTOCAD » : nous avons effectué les plans de coffrages en tenant
compte la facilité d’exécution et donc l’économie des ressources humaines et matérielles.
✓ 5éme étape : Nous avons fait la mise à jours des plans de coffrages et établit les plans de
fondations et les détails de ferraillage.
✓ 6eme étape : Nous avons effectué une comparaison entre les résultats de calcul à travers
le logiciel et de calcul manuel.
Chapitre 2 :
Présentation du projet et la
description architecturale
R.D.C : 306.25 m²
Ce projet s'agissant d'un Immeuble R+4 est un projet à usage d’habitation dont le RDC
est un garage mécanique d’un usage commercial et une mezzanine d’un usage
bureautique et commercial.
Cet immeuble comporte :
8 Appartements
1 Escaliers
1 Ascenseurs.
un garage mécanique au niveau du RDC.
Deux bureaux et un local compresseur au niveau de la Mezzanine.
Longueur du bâtiment Lx = 15m
1. Critères de choix :
La conception est la phase la plus importante dans la réalisation d’un projet, afin d’établir la
structure adéquate pour le projet. Elle consiste à opter pour un choix judicieux des éléments de la
structure tout en tenant compte des contraintes architecturales, ainsi que de l’exigence de la
stabilité et de la résistance sans négliger l’aspect économique.
Pour réussir la phase de conception, nous avons opté pour une démarche qui comporte les
étapes utiles pour bien concevoir une structure.
Un intérêt assez important a été accordé à cette étape pour mieux comprendre les différents
composants du projet et les fonctionnalités de chacune de ses espaces.
Pour notre projet, nous avons opté pour un système poteaux – poutres qui est le plus adéquat
dans notre cas, puisqu’il est caractérisé par la facilité de l’exécution et par son aspect de
résistance et d’économie.
Pour l’implantation des poteaux, nous avons essayé de les placer autant que possible dans les
murs et d’éviter leur emplacement devant les ouvertures (portes et fenêtres) et dans les
emplacement qui peuvent nuire à l’aspect esthétique de l’architecture.
Le choix du type de plancher dépend de plusieurs facteurs qui sont liées essentiellement aux
longueurs des travées. Aussi ce choix peut être imposé par des critères d’isolation acoustique ou
de sécurité d’incendie.
Le problème le plus gênant dans cette étape est celui des retombées :
Éviter d’avoir des poutres qui traversent les pièces avec des retombées apparentes ce qui serait
esthétiquement inadmissible, pour cela, on a essayé dans la mesure du possible, de choisir la
disposition des poutres de telle façon que les éventuelles retombées soient cachées dans les
cloisons.
En général, nous avons essayé de placer les nervures suivant les plus faibles portées et on évite
l’adoptation d’un sens unique pour toutes les nervures (à déconseiller en prévention
d’éventuelles actions sismiques).
3. Conception de l’infrastructure :
Après l’estimation des charges transmises au sol et en connaissant la capacité portante du sol,
nous avons choisi des fondations superficielles ancrées à une profondeur de -1 m. Elles sont
dimensionnées pour un taux de travail de 3,0 bars (donnée selon le bureau d’étude), l’emploi
d'un ciment ordinaire est autorisé.
Chapitre 3 :
Les hypothèses des calculs et les
caractéristiques des matériaux
o Le béton : qui est caractérisé par une valeur de la résistance à la compression à l’âge de
28 jours : fc28.
o L’acier : dont les caractéristiques doivent être conformes aux textes réglementaires.
Les hypothèses de calcul : Le dimensionnement des éléments de la structure est conduit selon les
règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé suivant
la méthode des états limites (B.A.E.L). En effet, on est tenu de suivre les recommandations
apportées par ce règlement que ce soit au niveau du dimensionnement et aussi les prescriptions
pour le ferraillage des différents éléments en béton armé.
𝜸𝐛 = 1.5
𝐟𝐛𝐮 ƒ𝐜𝟐𝟖
= 𝟎. 𝟖𝟓 = 12.47 MPa
𝜽𝜸𝐛
Avec : ɵ=1, puisque la durée probable d'application de la combinaison d’actions considérées est
supérieure à 24h.
Les armatures longitudinales utilisées sont des aciers à haute adhérence de nuance FeE400,
dont les caractéristiques sont les suivantes :
Les armatures transversales utilisées sont des aciers ronds lisses de nuance FeE235, dont les
caractéristiques sont les suivantes :
Superstructure 2.5 cm
Enrobage des aciers
Fondations 5 cm
G : action des charges permanentes évaluée à partir des volumes définit par dessins
d’exécution.
Q : action des charges d’exploitation évaluée à partir des valeurs nominales des celles-ci.
Pour le cas des poutres continues deux méthodes de calcul des sollicitations seront utilisées, à
savoir la méthode forfaitaire et la méthode de Caquot (ou Caquot minorée).
Chapitre 4 :
Evaluation des charges
Le type de plancher a été choisi en fonction des critères que le projet doit satisfaire et des
moyens dont on dispose.
En Tunisie, les planchers les plus courants sont en corps creux vu l’abondance des produits
rouges, leurs bonnes caractéristiques d’isolation thermique et phonique ainsi que la facilité
d’exécution.
1. Charges permanentes :
Ce sont les charges qui ne varient pas au cours du temps, elles sont généralement constituées par
le poids propre du plancher, des cloisons et des revêtements divers.
- Des nervures coulées sur place qui prennent la forme des entrevous, constituant un
coffrage perdu. Elles constituent les éléments porteurs du plancher et reposent sur les poutres.
Plancher intermédiaire :
b) Dalle plaine :
Hauteur Poids
Longueur (m) Largeur (m) G (KN/m²)
(m) (KN/m²)
c) Plancher terrasse :
d) Cloisons :
Cloison Charges (KN/ml)
Cloisons De 35cm : 10
Cloisons De 30cm : 9
Cloisons De 25cm : 5
e) Acrotère :
G (kN/ml)
Acrotère simple 3
2. Charges d’exploitation :
Il s’agit d’un bâtiment à usage d’habitation dont les charges d’exploitation sont les suivantes :
Locaux Q (kN/m²)
Commerce 5
Escalier 3
Habitation 1.5
Terrasse Non
1
Accessible
bureautique 2.5
Chapitre 5 :
Conception et Modélisation de
la structure à l’aide des logiciels
1. Présentation du logiciel :
Le logiciel Arche est un logiciel de calcul des bâtiments en béton armé. Sa commercialisation
commençait en 1993. Aujourd’hui, il est devenu largement utilisé par les bureaux d'études. Ce
logiciel se distingue avant tout par les innovations techniques qu’il met en œuvre. Il permet de
pré-dimensionner les structures, de calculer la descente des charges, le contreventement et de
faire une analyse sismique de la structure. Arche permet également de produire pour chaque
élément les plans de ferraillage et les notes de calcul. En plus, il permet une visualisation 3D
de la structure et l'édition des métrés estimatifs et quantitatifs.
2. Étapes de modélisation :
Il s’agit d’importer les axes des plans de coffrage : Le module « ARCHE Ossature » permet
l’importation des fichiers de conception de format « DXF » du logiciel de dessin technique «
AutoCAD ». La superposition des différents plans de coffrage doit être vérifiée avant
l’importation vers Arche.
Une fois les fichiers de conception de format « DXF » sont importées, nous commençons par
l’insertion des différents éléments de la structure (poteaux, poutres, dalles, semelles, voiles...).
Il faut préciser que la saisie se fait étage par étage. Cette étape doit être faite avec précision
pour
éviter les erreurs lors de la modélisation de la structure. Une fois tous les éléments sont
introduits, nous passons à la définition des différentes charges appliquées sur chaque élément :
Les charges permanentes et les charges d’exploitation.
Il s’agit de définir les caractéristiques des matériaux utilisés (béton, dalle...) et de choisir la
méthode de calcul des descentes des charges.
Après avoir définir les hypothèses des calculs, on passe à la modélisation de la structure. Cette
étape n’est réalisable que s’il n’y a pas des erreurs détectées. Une fois la modélisation est faite
correctement, on lance les calculs.
Chapitre 6 :
Étude d’une nervure N1
I. Introduction :
La conception d’un plancher en corps creux repose sur l’utilisation des nervures. La dalle de
compression et la géométrie de l’hourdis font que la nervure soit de section en T.
La nervure étudiée est schématisée comme une poutre continue à 2 travées situées dans le
plancher de 2éme étage, sollicitées à la flexion simple et soumise à une charge uniformément
répartie.
1. Prédimensionnement de la nervure :
La largeur de la table de compression b ainsi que celle de l’âme b0 sont imposées par le type des
corps creux à savoir : b= 33 cm et b0 = 7 cm
La hauteur est déterminée d’après le règlement BAEL :
On raisonne par rapport à la plus grande portée qui est dans notre cas LMax =4.27 m notant que
les deux portées sont égales
h ≤ lmax/22.5 = 0.189m on choisit un plancher (16+5)
Charges d'exploitation :
q = 0.33 x 1.5 = 0.495KN/m
On obtient ainsi :
A l'ELU : 𝑃𝑢= 1.35g + 1.5q = 3.41 KN/m
Avant de calculer les sollicitations, il faut d'abord choisir la méthode des calculs :
Caquot ou forfaitaire. En vérifiant les conditions suivantes, on peut appliquer la
méthode forfaitaire si non la méthode de Caquot minorée :
Q = 0.495 KN/m² ≤ 5 KN/m². (OK)
Q = 0.495 KN/m² ≤ 2g= 3.96 KN/m². (OK)
Même dimensions d’où même inertie. (OK)
Fissuration peu préjudiciable. (OK)
0.8 ≤ 𝑙1
𝑙2−1
≤1.25 :
0.8 ≤ 4.27
=1 ≤ 1.25 (OK) les portées sont identiques
4.27
Comme la nervure étudiée est située au niveau du plancher 2éme étage alors on prend les charges
suivantes :
À L’ELU : 𝑀𝑢
=
𝑃𝑢 ×𝑙² à ELS 𝑀𝑠 = 𝑃𝑠 ×𝑙²
8 8
-Travée 1-2 :
Q
0.495 =0.2
=0.495+1.98
GQ
Verification:
Mt12
M1 M (1 0.3 )M 01 (1 0.3x0.2)x7 7.42kN.m
2 MAX1.05M 1.05x7 7.35kN.m
2 01
Mt1-2 =4.41 kN.m < 5.32 kN.m on prend Mt1-2 = 5.32 kN.m
-Travée 2-3:
Mt2-3 =5.32 kN.m car les deux porté sont identique
Verification:
Mt12
M1 M (1 0.3 )M 01 (1 0.3x0.2)x5.07 5.37kN.m
2 MAX1.05M 1.05x5.07 5.32kN.m
2 01
M1 M 2 0 3.042
Mt1-2 =7.42− = 5.37− = 3.84 KN.m
2 2
Mt1-2 = 3.19 kN.m < 3.84 kN.m on prend Mt1-2 = 3.84 kN.m
-Travée 2-3:
Mt2-3 = 3.84 kN.m car les deux porté sont identique
Vo1 1,15Vo2
-1,15Vo1 -Vo2
Figure 15 : thérome calcul des efforts tranchants
Mtu = b.h0.fbc. (d h0 )
2
0.05
Mtu = 0.33x0.05x12.47x103 (0.185- ) = 32.92kN.m
2
a) Sur appui 2 :
Mu 4.2
= 0.33x0.185² . 10-3 = 0.03
bu= b0 d ²
fbu x12.47
Mu
Ms = 3.042 = 1.38
4.2
α𝑙𝑖𝑚
= 3.5%𝑜+ ε ; ε𝑠 = 1.15×2 105 = 0,0017
3.5 %𝑜 𝑓𝑒 400
= 𝑌𝑠𝑥𝐸𝑠
1,25(1 1 2 ) 1,25x(1
bu = 1 = 0.038
2x0.03)
𝐴𝑠𝑡 𝑀𝑢
= 𝑍×𝑓𝑒𝑑 =
4.2 . 10-3 = 0.66 cm²
0.182×347.82
𝑏𝑥𝑑𝑥𝑓𝑡28
As min = 0,23 = 0,23 3
𝑓𝑒𝑑 0.33 𝑥 0.185 𝑥1.92. 10
= 0.067 cm²
400
Vérification à l’ELS :
Section en T b.h
2
f(h0 )= 2
0 + 15. Asc (h0 − d′ ) + 15. Ast . − d)
(h0
0,33×0,052
f(h0) = + 15 × 0.66 10−4 (0,05 − 0,185)=2.78 10-4 > 0
2
La vérification se fait comme une section rectangulaire
Position de l’axe neutre
y1 :
f(h0 b.y1 2
)= + 15. (Asc + Ast ). y1 − 15. (Asc . d′ + Ast d) = 0 avec Asc = 0
2
3
Iser/AN = b. y1 + 15. Asc . (y1 − d′ )2 + 15. Ast (d − y1 )²
3
Iser/AN =2367,79 cm4
D’où
𝜎 𝑀𝑠𝑒𝑟 3.042.10−3 × 0,03045 = 4.04 𝑀𝑃𝑎
𝑏𝑐 = ×𝑦 1 = 2367.79 .10−8
Iser/AN
Et
̅σ̅b̅̅c = 0.6. fc28 = 13.2 𝑀𝑃𝑎
Donc : 𝜎𝑏𝑐 < bien
̅𝜎̅𝑏̅̅𝑐 vérifiée 3.042. 10−3
𝑀𝑠𝑒𝑟
𝜎𝑠𝑡 = 15 ×
𝐼ℎ × (d − 𝑦1 ) = 15 × × (0.185 − 0.03045)
2367.79. 10−8 .
𝜎𝑠𝑡 = 297.83 ≤ σ̅st = 434,78 MPa
Vérifiée
b) Sur travée :
Mu 5.32
= 0.33x0.185² . 10-3 =0.038
bu= b0 d ²
fbu x12.47
Mu = 5.32 = 1.38
Ms 3.84
lim =0.39 ≥ bupas d’aciers comprimés.
1,25(1 1 2 ) 1,25x(1
bu = 1 2x0.038) = 0.048
𝐴𝑠𝑡 𝑀𝑢
= 𝑍×𝑓𝑒𝑑 =
5.32 . 10-3 = 0.85 cm²
0.181×347.82
Vérification à l’ELS :
f(h0 0,33×0,052
)= + 15 × 0.85 10−4 (0,05 − 0,185)=2.4 10-4 > 0
2
Position de l’axe y1 :
neutre
f(h0 b.y1 2
)= + 15. (Asc + Ast ). y1 − 15. (Asc . d′ + Ast d) = 0 avec Asc = 0
2
y est la solution de l’équation : Ay 2 + By + c. Avec : A = b/2 = 16.5
1 1 1
y1 = 3.41 cm < h0
y13
Iser/AN = b. + 15. Asc . (y1 − d′ )2 + 15. Ast (d − y1 )²
3
Iser/AN =2907,64
cm D’où
4
𝜎 =
𝑀𝑠𝑒𝑟
×𝑦
3.84.10−3 × 0,0341 = 4.5 𝑀𝑃𝑎
𝑏𝑐 1 = 2907.64.10−8
Iser/AN
Et
σ̅̅b̅̅c = 0.6. fc28 = 13.2 𝑀𝑃𝑎
Donc : 𝜎𝑏𝑐 < 𝜎̅̅𝑏̅̅𝑐
bien vérifiée
𝑀𝑠𝑒𝑟 3.84. 10−3
𝜎𝑠𝑡 = 15 ×
𝐼ℎ × (d − 𝑦1 ) = 15 × × (0.185 − 0.0341)
2907.64. 10−8 .
Ast 0.85 cm² 0.96 cm² 0.66 cm² 1.07 cm² 0.85 cm² 0.96 cm²
2. Armatures transversales :
h 210
35
= = 6 mm.
35
bo
Φt = min = 70 = 7 mm. Φt = 6 mm.
10
10
Φlmax = 12 mm.
𝛑 d²
Donc on va choisir un étrier Φ6. => At = 2 x = 2 x 0.28 = 0.56 cm2
4
Stmax = Min (0.9 d ; 40 cm) = Min (16.65; 40 cm) =16.65cm Stmax = 16 cm.
Ast
St bo∗γs(τu−0.3K∗ft28)
≥ 0.9∗fet(sinα+cosα)
Puisque la nervure est soumise à la flexion simple et la fissuration et peu préjudiciable et on n’a
pas de reprise de bétonnage , donc on a le coefficient K = 1.
𝟔.𝟔𝟖.10−3
τu réd =0.07.0.185 = 0.51 MPa.
Ast
Sto ≥
0.07∗1.15(τu réd−0.3∗1∗1.92) = − 0.25 10-4 m2/m = − 0.25 cm2/m
0.9∗235
Ast Ast Ast
Ast <( )min On prend : =( )min = 1.19 10-4 m2/m = 1.19 cm2/m
Sto St Sto St
𝐴𝑡 0.56 ∗ 10−4
𝑆𝑡0 ≤ = = 0.47 𝑚.
1.19 ∗ 10−4 1.19 ∗ 10−4
L’espacement tout au long de la travée sera constant avec St = 16 cm, la première nappe sera
disposée à St/2, soit 8 cm
4.05
𝑛 𝑟é𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 = 𝐸 ( ) = 2.025 n=2
2
St0 16 16
St 16 16
n 2 2
𝛔bc ≤ 𝛔bc Ok Ok Ok Ok
Vérification du béton :
0.07
τtable =0.61 x
0.9∗0.05 x
0.33−0.07 = 0.37 MPa.
2∗0.33
Armatures de coutûre :
Ac
Armatures de coutures ( ) ≥ τtable−0.3ft28
x ho x 1.15
St fe
= 0.37−0.3∗1.92
x 0.05 x 1.15 = −0.5 cm²
215
On n’aura pas besoin d’acier pour la jonction puisque le béton seul assure cette fonction il suffit
de prévoir un ϕ6 tous les 33 cm.
Vérification de la flèche :
Travée 1 :
0,21 1
ℎ
= = 0,051 ≥ = 0,04 Condition vérifiée
𝑙 4.27 25
5.32 .10−3 ℎ
Mt
= = 0,076 ≤ = 0,051 Condition non vérifiée.
10M0 10×7.10−3 𝑙
A −4 4.2
= 0,33×0,185 = 0.0087 ≤ = 0.0105 Condition vérifiée.
1.13.10
bo×d
𝑓𝑒
I0 = 1.311.10-4 m4
0.05 Ast
λ= ft28 ; avec ρ = = 0.0065 λ= 5.6
bo bo∗d
ρ(2+3
) b
2
λv= λ = 2.24
5
1.75∗ft28
µ = 1-4∗ρ∗σs+ft28 avec σs = 15 x(Ms/I0) x(d-y1) = 15 x ( 3.84. 10-3/1.311.10-4) x (0.185-0.0341)
= 66.86 MPa.
1.75∗1.92
µ = 1-4∗0.0065∗66.86 +1.92 = 0.081 Ifh = 1.22*10-4 m4
Ms∗l² 3.84∗4.05²
fi = 10∗EvIfv = 10∗10274.14∗1.22∗10−4
= 0.005 m.
𝑙
fadm = 4.05 = 0.0081m
500 = 500
Désignations Valeurs
Travées 1
fadm(m) 0.0081
V1(m) 0.05
V2(m) 0.16
I0(m 4 ) 1.311.10-4
ρ 0.0065
λ 5.6
𝜆v 2.24
µ 0.081
E v (Mpa) 10274.14
f(m) 0.005
V. Schéma de ferraillage
Chapitre 7 :
I. Introduction :
Une dalle pleine est un élément horizontal à contour généralement rectangulaire dont les
dimensions en plan sont relativement importantes par rapport à l’épaisseur.
Nous nous proposons d’étudier la dalle pleine située dans le plancher mezzanine.
II. Pré-dimensionnement :
Le panneau a pour dimensions :
Pu = 1.35xG +1.5xQ Ps = G + Q
= 1.35 x 8.2 + 1.5x5 = 8.2 + 5
= 18.57 KN/m². = 13.2 KN/m².
𝝁𝒙
1 1 = 0.058
= 8(1+2.4𝛼 3) = 8(1+2.4𝑥0.833)
𝝁𝒚 = 𝛼 2 (1 − 0.95(1 − 𝛼)2 ) = 0.67 > 0.25 donc on prend 𝝁𝒚 = 0.67
ELU
Bande // à Lx 𝑀𝑜𝑥 = 𝜇𝑥 . 𝑃. 𝑙𝑥 2 = 0.058 × 18.57 × 4.812 = 24.91𝐾𝑛. 𝑚
ELS
Bande // à Lx 𝑀𝑜𝑥 = 𝜇𝑥 . 𝑃. 𝑙𝑥 2 = 0.058 × 13.2 × 4.812 = 17.71𝐾𝑛. 𝑚
Sens ly :
Bande // à Lx Bande // à Ly
ELU
-3.74 KN.m 24.91 KN.m -3.74 KN.m 16.68 KN.m
ELS
-2.66 KN.m 17.71 KN.m -2.66 KN.m 11.86 KN.m
Pu . lx 18.57 × 4.81
Vux = =
2(1 + α⁄ ) = 31.56 KN/m
2 2(1 + 0.83⁄ 2)
Effort tranchant au milieu du petit côté :
Pu .lx 18.57×4.81
V = =𝑉 = = 29.77 𝐾𝑁/𝑚
uy 3 𝑢𝑥 3
Pour les dalles coulées sans reprise de bétonnage sur leur épaisseur, on n’a pas
besoin d’armatures transversales, si on vérifie :
𝜏 0.07×𝑓𝑐𝑗
𝑢 = 𝑉𝑢𝑚𝑎𝑥
𝑏.𝑑 ≤ 𝛾𝑏
𝜏 31.56×10−3
= 0.140 𝑀𝑃𝐴 ≤ 0.07×𝑓𝑐𝑗
0.07×22
𝑢= = 1.027 𝑀𝑃
1×0.225 1.5
𝛾𝑏
=
⇨Vérifié
V. Calcul du ferraillage :
pu
G
Q 18.57
= 13.2 = 1.4
On a : FeE400 HA
fc28= 22 MPa
θ = 1. 104
µLu = 3440γ + 49fc28 - 3050 µLu = 0.284
𝑀𝑢 24.91x 10−3
𝝁 = = = 0.065
𝒃𝒖 𝑏𝑑²𝑓𝑏𝑢 1x0.1752 x12.47
Zb = d x (1-0.4x α) = 0.169m
M tx
A 24.91x = 4.23 cm²
=
10−3
tx
z b fed 0.169x347.82
Acier en travée « sens ly» :
𝑀𝑢 16.68x 10−3
𝝁 = = = 0.043
𝒃𝒖 𝑏𝑑²𝑓𝑏𝑢 1x0.1752 x12.47
Zb = d x (1-0.4x α) = 0.171m
M tx
A 16.68x = 2.8 cm²
=
10−3
tx
z b fed 0.171x347.82
Acier sur appuis :
𝝁𝒃𝒖
𝑀𝑢 3.47 x 10−3 = 0.0091
= 𝑏𝑑²𝑓𝑏𝑢 = 1x0.1752 x12.47
Zb = d x (1-0.4x α) = 0.174m
Aax M
3.47x 10−3 = 0.57 cm²
ax = 0.174x347.82
zb fed
En travée En appui
// à x // à y
Asc 0 0 0
12𝒉𝟎 pour RL
𝑨𝒚𝒎𝒊𝒏 8𝒉𝟎 pour 𝑭𝒆𝑬𝟒𝟎𝟎
𝑨𝒕𝒚 = 2.8 cm² / ml > 𝑨𝒚𝒎𝒊𝒏 =1.6 cm² / ml vérifiée , on prend 𝑨𝒕𝒚 = 2.8 cm²
Sur appui
𝑨𝒂𝒙 = 𝑨𝒙𝒎𝒊𝒏 = 𝟑. 𝟎𝟑𝟖 𝒄𝒎𝟐 /𝒎𝒍
{ 𝑨𝒂𝒚 = 𝑨𝒚𝒎𝒊𝒏 = 𝟏. 𝟔 𝒄𝒎²/𝒎𝒍 On choisit 4HA10/ml
𝑠𝑡𝑥 ≤ 33𝑐𝑚
Sens ly:
On alterne 2 HA 10/ml filant.
2 HA10/ml arrêtés à 0.1×5.76 = 0.576m de rive.
Sur appui :
Sens lx
Soit : ls = 40 ∅𝑙 = 40 × 0.01 = 0.4 m :
𝑀𝑎𝑥
𝑙1 = 𝑚𝑎𝑥 (𝑙𝑠 ,0.25 + 0.3
𝑀𝑜𝑥 𝑙𝑥 ) = 𝑚𝑎𝑥 (0.4 ,0.46 )
0.46
𝑙1=0.46 m ; 𝑙2 = 𝑚𝑎𝑥( , 𝑙𝑠) =0.4 m
2
Sens ly
Chapitre 8 :
Etude d’un poteau P6
I. Introduction :
Les poteaux sont les éléments verticaux de la structure, porteurs des éléments poutres et
raidisseurs, et transmettant les charges qui en découlent vers les fondations.
Les poteaux sont dimensionnés de façon qu’ils supportent les charges des surfaces affectées, en
appliquant les majorations nécessaires et en tenant compte de leur poids propre, ainsi un poteau
supporte :
Les charges de la surface affectée.
Le poids propre.
On se propose d’étudier le poteau P 6 implanté au RDC
Charge permanente :
Charge d’exploitation :
Q=qxS
Craidisseur total = 5 KN
Poutres 4.81
C8 ,1= (0.22 ∗ 0.4 ∗ 2.13 ∗ 25) ∗ =
6.42
3.51 𝐾𝑁
2.31
C7 ,1= (0.22 ∗ 0.45 ∗ 2.13 ∗ 25) ∗ =
4.62
2.63 𝐾𝑁
C3= (0.22 ∗ 0.55 ∗ 5.63 ∗ 25) = 17 𝐾𝑁
Craidisseur total = 5 KN
C poutre totale = 23.14
Table = 8.86 KN
𝟐é𝒎é Le 2éme plancher est identique avec le 197.08 33.10 315.70 230.18
3éme étage sauf on change la charge de
poteaux dans la 2éme plancher
Craidisseur total = 5 KN
C poutre totale = 23.14
Table = 8.86 KN
𝟏é𝒎é Le 1ére plancher est identique avec le 198.11 33.10 317.09 231.21
2éme étage sauf on change la charge de
poteaux dans la 2éme plancher
Craidisseur total = 5 KN
C poutre totale = 23.14
Table = 8.86 KN
Craidisseur total = 8 KN
Poutres
(6.26+4.46)∗0.6∗0.22∗25
C poutre = 2 =17.68 KN
Table :
=(0.6 ∗ 0.21 ∗ 5.74 ∗ 25) = 18.08 𝐾𝑁
4éme étage 3éme étage 2éme étage 1ére étage RDC Total
𝑙𝑓 = k × 𝑙0
𝑙𝑓 = 0.7x5.3 = 3.71 m
a. Armatures longitudinales :
𝐵𝑟 = (𝑎 − 0.02)²
Alors pour la section on prend la section minimale A=6.4 𝑐𝑚2 on choisit 8HA12 (A= 9.06 𝑐𝑚2)
Verification à l’ELS:
Ns 1136.5 . 10−3
σbc = = = 6.55 MPa
B + 15 × A 0,16 + 15 × 9.06. 10−4
σbc ≤ ̅σ̅b̅̅c = 0,6 × fc28 = 13,2 MPa Donc c’est bien vérifié.
b. Armatures transversales:
Diamètre d’ame
:
𝜑𝑙
𝜑𝑡 ≥ = 4𝑚𝑚 3
{ 1𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝜑6 + 1é𝑝𝑖𝑛𝑔𝑙𝑒 𝜑6
𝜑𝑡 ≤ 12𝑚𝑚
Zone de recouvrement :
Longueur de recouvrement :
∅𝑙𝑚𝑎𝑥 𝑓𝑒
𝑙 𝑠= x 𝜏𝑠𝑢
4
𝜏𝑠 = 0.6×ψs²×ft28=0.6×1.5²×1.92=2.592MPa
D’où, 𝑙
∅𝑙𝑚𝑎𝑥 𝑒𝑓 12∗10−3 400
𝑠 = x = x = 0.463
4 𝜏𝑠𝑢 4 2.59
La longueur de recouvrement :
3. Schéma du ferraillage :
Chapitre 10 :
Étude des fondations
Chapitre 9 :
Etude de fondation
I. Introduction
Les fondations d’une construction sont constituées par les parties de l’ouvrage qui sont en
contact avec le sol auquel elles transmettent les efforts apportés par les éléments de la
superstructure. Leur bonne conception et réalisation assurent une bonne tenue de l’ouvrage.
Quant à leur type, il est choisi en fonction de la portance du sol et la nature des charges
transmises. Cette transmission peut être directe (cas des semelles reposant sur un bon sol ou des
radiers) ce qui est le cas, ou être assurés par l’intermédiaire d’autres éléments (cas des semelles
sur pieux où le sol est médiocre). Les fondations se dimensionnent principalement en fonction
de:
- La nature et portance du sol.
- La poussée de la future construction sur ce sol (descente des charges du bâtiment).
1. Charge :
Le poteau de section (35 x 45) cm2 transmet à la semelle les charges suivantes :
G=982.03 KN Q= 154.47 KN
L’effort normal au niveau supérieur de la semelle est :
2. Dimensions de la semelle :
Dans le cas général, on suppose que la semelle (A x B) soit homothétique avec le poteau (a x b) c'est-à-
dire
a A
b =B .
Puisque la semelle repose sur du gros béton, la répartition des contraintes est bitriangulaire d’où :
a Nser
AxB≥ b∗Nser 0.45 1136.5∗0.001
b σGB B ≥ √ a∗σGB = √0.35 ∗ 0.6 = 1.56m
B−b
4 ≤d≤ B−b alors 1.6−0.45
≤ d ≤ 1.6 − 0.4 5 0.29 ≤ d ≤ 1.15 m
4
Adoptons la hauteur utile d = 0.3 m, Alors la hauteur totale de la semelle est h = 0.35m
0.45 1154∗0.001
Alors B ≥ √ ∗ = 1.57 m ≤ 1.6 m donc vérifié
0.35 0.6
Il s’agit de vérifier que la hauteur de la semelle est suffisante pour empêcher le phénomène de
poinçonnement de se produire ; on doit alors vérifier l’expression suivante :
Avec uc= 2 x (a+b) + 4 x h : contour du feuillet moyen sur lequel agit la charge poinçonnante
=3m
(a+2h)
Pu’ = 1 −
(b+2h) x Pu = 1 −
(0.35+2∗0.45)(0.45+2∗0.35) x 1557.446*0.001
AB 1.5∗2
= 0.94 MPA
Dans le cas général, on choisit les dimensions du gros béton de telle sorte qu’elles soient
Homothétiques à la semelle :
Psemelle +Ps
A’x B’ ≥ B’ ≥ √B(Psemelle +Ps ) ∗ (17.5∗0.001+1136.5∗0.001 1.6
B’ ≥ √ ∗ =
ρsol ρsol A 0.2 1.25
2.72m.
HGB = max (BGB – B, AGB – A) HGB ≥ max (2.75- 1.6; 2.15 - 1.25) = 1.15 m
Soit H = 1.15 m
σG=B +Psemelle+Nser
P 14.959+1.75+113.65 = 22.05 t/m² ≤ 30 t/m² vérifiée
A′ ∗B′ = 2.75∗2.15
- Si B
≤ ls : toutes les barres doivent être prolongées jusqu’à l’extrémité de la semelle.
4
- Si ls B
: les barres ne comportent pas de crochets et on peut arrêter une barre sur deux a
≤ 8
- Si B
≤ ls
B
: l’ancrage est droit.
8 4
≤
Pour déterminer la longueur des barres et leurs modes d’ancrage, il faut calculer la longueur
de scellement :
l = ∅max
x fe
, avec τ = 1.728 MPa et par la suite l
= 92.6 cm.
s 4 τs s s
1.6
- ≤ 0.92: donc toutes les barres doivent être prolongées jusqu’à l’extrémité de la semelle.
4
Puisque la hauteur de la semelle est supérieure à 35 cm donc il faut ajouter une autre nappe
d’aciers aux niveaux supérieures de la semelle qui est égale à :
ft28 1.92
A = 0.23 x x b x d = 0.23 x x 1.6 ∗ x 0.3 = 5.3 cm2 .
min fe 400
8. Shema de ferraillage
Chapitre 10 :
Etude d’un escalier
I. Introduction
Les escaliers sont des chemins servent à relier successivement les divers niveaux d’une
construction du bâtiment. Ils sont caractérisés généralement par la hauteur des marches où le
pied se pose sans glisser, la valeur du giron est aussi appelée la foulée et ensuit, les escaliers
définis par la largeur de l’emmarchement.
Volée : C’est l’ensemble des marches comprises entre deux paliers consécutifs dont une
volée ne doit pas comporter plus de 20 à 22 marches, avec une pente constante tout au long
de chaque volée.
Marche : C’est la surface horizontale sur laquelle repose le pied de largeur G appelé Giron.
Contre marche : C’est la partie verticale séparant deux marches consécutives de hauteur H.
Paliers : c’est la zone intercalée entre deux volées où la largeur est égale environ la valeur
de trois girons.
Paillasse : c’est une dalle pleine en béton armé serve à porter les charges, variables
généralement 2.5 kN/m2 et les charges des marches et contres marches appliquées
l’escalier.
g : largeur de la marche
α : inclinaison du volée
L : Longueur projetée de la volée
H : Hauteur de la volée (HSP + épaisseur du plancher fini)
e : épaisseur de la dalle (paillasse ou palier)
HSP : Hauteur sous plafond
n : nombre de marche
Nous étudions dans mon projet ce type d’escalier :
𝐿
< 𝑒𝑝 𝐿 ==> 0,18 𝑚 < 𝑒𝑝 < 0,22 𝑚 Soit = 20 𝑐𝑚
30 < 25
𝑒𝑝
13 𝑐𝑚 < ℎ < 17 𝑐𝑚 𝑠𝑜𝑖𝑡 ℎ = 17 𝑐𝑚 𝑔 = 28 𝑐𝑚 on prend
g=30cm
ℎ
𝑒̅ = 𝑒𝑝 + = 28,5 𝑐𝑚
330
2
𝑛= = 17,64 20 marches
17
Revêtement
P1 : Poids de marbre des marches (𝜌 = 2,8 𝑇/𝑚3 ; e = 3cm) : = 0,084.10-2
MN/m² P2 : Poids de marbre des contres marches (𝜌 = 2,8 𝑇/𝑚3 ; e = 2cm) : = 0,056.10-2
MN/m² P3 : Poids de l’enduit (e = 1,5cm) : = 0,033.10-2
MN/m²
Sollicitations
𝜌𝐵𝐴
𝑃2ℎ 𝑃3 2.5 0.056𝑥0.17 0.033
+ = 𝑥0.285 + 0.084 + +
𝑔𝑣 = 𝑒̅ + 𝑃1+ 𝑔 𝑐𝑜𝑠𝛼 𝑐𝑜𝑠29.53 0.3 𝑐𝑜𝑠23.53
𝑐𝑜𝑠𝛼
= 0,9720. 10−2 𝑀𝑁/𝑚
𝑔𝑝 = 𝑒𝑝 . 𝜌𝐵𝐴 + 𝑃1 + 𝑃3 = 0.2𝑥2.5 + 0.084 + 0.033 = 0,617. 10−2 𝑀𝑁/𝑚
𝐿2 8 𝑔𝑣−𝑔𝑝)𝑎2 2
𝑀=𝑔× − (
= 0.972 ×
𝑔 𝑣
5.252 −2
− (0.972−0.617)1.42
8 = 3 . 10 2𝑀𝑁. 𝑚
𝐿2 5.252
𝑀 = 𝑄. = 0.3. = 1 . 10−2 𝑀𝑁. 𝑚
𝑞 8 8
𝜇𝑙𝑢 = 0,292
𝑀𝑢 5,55. 10−2
= = 0,128
𝜇𝑏𝑢 =
𝑏0 . 𝑑 2 . 𝑓𝑏𝑢 1 × 0,175² × 14,16
𝜇𝑏𝑢 < 𝜇𝑙𝑢 A’ = 0 et on utilise la méthode simplifiée
𝑧𝑏 = 𝑑(1 − 0,4) = 0,175(1 − 0,4 × 0,128) = 0,166 𝑚
𝑀𝑢 5,55.10−2
𝐴 = = = 9.61 𝑐𝑚 2 ==> 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 7𝐻𝐴14/𝑚𝑙 = 10.78 cm²
𝑢 𝑧𝑏 .𝑓𝑒𝑑 0,166×347,82
4. Vérification à l’ELS :
On a : Ms=40 kN.m
b
StAN = y 2 15 A y 15 d0
A
1 st 1 st
2
0.5 y1 2 161.7 104 y1 28.30.104 0
𝑦1 = 0.06m
by3 2
1
Ih 15 Ast d y1
3
1
10.78 10 0.175 0.06²
4
0.063
3 15
4
Ih = 2.85. 104 m
-3
40.10
Ms
bc y
1 0.06 8.42 MPa
I 2.85.10 - 4
h
bc
bc
13.2MPa
40.10- 3
Ms
st = 15 (d y1) = 15 (0.175 0.06) = 242.1MPa
Ih 2.85.10- 4
𝟏
Il faut que : 𝒉
≥
𝑳 𝟏𝟔
h
1
0.17 0.032 0.0625 La condition de vérification de la flèche n’est
l 5.25 16
pas vérifiée donc on est ramené à effectuer un calcul de flèche.
Il faut que Mt
f L
f 0.5cm
10 Ei I 1000
fi
Avec :
𝟏. 𝟏 × 𝐈𝟎
𝐈𝐟𝐯 =
𝟏 + 𝛌 𝐯× 𝛍
I0 : est le moment d’inertie de la section totale homogéne.
b×h3
I= +n×A
0 3 st × d2 = 0.0016m4
0.05×ft28 0.05×1.92
λ= = = 3.1
b0
ρ×(2+3× 0.0062×(2+3×1)
) b
Ast
ρ= = 0.0062
b0×d
2
λv = × λ = 1.24
5
𝟏.𝟕𝟓×𝐟𝐭𝟐𝟖
𝛍 = 𝐦𝐚𝐱 𝟏 − ;0
𝟒×𝛒×𝛔𝐬+𝐟𝐭𝟐𝟖
Mser
σ = 15 × × (d −
y × (0.175 − 0.06) = 43.125 MPa
)=15
0.040 ×
s 1 0.0016
I0
µ = max -0.12 ; 0
1.1 × 0.0016
Ifv = = 0.00176
1 + 1.24 × 0
E = 11000 3√fc28 = 30822MPa
E
Ev = = 10274MPa
3
0.040 5.25
f= = 0.00022m ≤ fadm = + 0.005 = 0.01m
10 × 10274 × 0.00176 1000
V. Schéma ferraillage :
Chapitre 11 :
Etude d’une poutre continue C4
(22 x 45)
I. Introduction :
Les poutres représentent les éléments principaux de la structure, Leur rôle consiste
essentiellement à supporter les charges transmises par le plancher et les transmettre aux
appuis.
Ce sont les éléments les plus sollicités en flexion, et ce sont eux qui conditionnent parfois
l'esthétique du bâtiment par l'existence ou non de retombée ou de flèche.
On traite à titre indicatif, par un calcul détail d'une poutre continue à deux travées avec
console il s'agit de la poutre du plancher haut 2éme étage.
II. Prédimensionnement
:
On prend la travée la plus longue (L =3.88 m) :
L
≤h≤L
3.88 3.88
≤h≤ → 0, 25≤ h ≤ 0,35
16 12
❖ Travée1 :
Gp.p= 0.22x0.45x25 = 2.475 KN/m
Pu=1,35G+1,5Q
Pu=1.35 x 32,314+1,5 x 4,96
Pu = 51,064KN/m
❖ Travée2:
Gp.p = 0,22x0,45x25= 2,475KN/m
0,8 < 𝑙𝑖
𝑙𝑖−1 3.88
= 2.06 = 1.88 < 1,25 non vérifiée
On envisagera par la suite les différents cas des charges afin d'avoir les sollicitations les plus
défavorables.
On doit remplacer g par 2/3g dans le calcul du moment sur appui dus aux charges permanentes :
A l’ELS : P =2/3g + q
A l’ELU : P = 0.9 g + 1.5 q
Pour le calcul du moment en travée, on a :
A l’ELS : P = g+q
A l’ELU : P = 1.35 g +1.5 q
Comme les travées ont toutes la même inertie, alors le moment en appui i est :
Calcul à l’ELU
Appui 0 :M0=0 kN.m
Appui 1 :
l’1=2,06 m
l’2=3,88m
51,064 × 2,063 + 59.734 × 3,883
Mu1 = − = −77,95 kN. m
8,5(2.06 + 3.88)
Calcul à l’ELS
Appui 1 :
Tableau 23 : Tableau récapitulatif des résultats des moments sur appuis à l’ELU
Moments en KN.m
𝟐è𝐦𝐞Combinaison (CDC) 0 -47.31 0
Tableau 24 : Tableau récapitulatif des résultats des moments sur appuis à l’ELS
x x
M(x) = µ0(x) + Mw (1 − ) + Me
l
i il
Dans ce qui suit , nous avons et présenté au détail le calcul des moments en travées 1 et 2 ca
(ccc).
Pour le reste , nous avons récapitulé les résultats dans un tableau
Cas CC:
Calcul à l’ELU :
Travée 1 :
𝑴𝟏𝒎𝒂𝒙 = 𝟐. 𝟏𝟑𝒌𝑵. 𝒎
Travée 2 :
Tableau 25 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas C-C
Figure 35 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-C à l’ELU
Figure 36 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-C à l’ELS
Tableau 26 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas C-D
Figure 37 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-D à l’ELU
Figure 38 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas C-D à l’ELS
Tableau 27 : Tableau des moments en travées à l’ELS et à l’ELU pour le cas D-C
Figure 39 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas D-C à l’ELU
Figure 40 : diagramme des moments en travées et sur appui pour le cas D-C à l’ELS
D’après les calculs des trois combinaisons des charges, on adopte le moment maximal aux
chaque travées.
Tableau28 : Tableau récapitulatif des résultats des moments maximum en travées à l’ELS et à
l’ELU
Le cas de charge correspondant aux efforts tranchants maximums sur l’appui se produit lorsque
les travées adjacentes sont chargées et les autres sont déchargées.
Pour déterminer les efforts tranchants max aux appuis de rive, on utilise le cas de
chargement C-D.
Pour déterminer les efforts tranchants max à gauche et à droite des appuis intermédiaires,
on utilise le cas de chargement C-C.
Vwi = −V0w Mi −Mi−1
+ lwi
Vei
= V0e + Mi+1 −Mi
lei
Avec V0 w et sont les efforts tranchants sur l’appui i des travées de références
:
V0e
Mi , Mi1 et Mi1 Sont les moments sur appuis avec leurs signes.
Appui 1 :
Cas C-D
Appui 2 :
Cas C-C
𝑉 𝑀1−𝑀0
= −𝑉 + avec 𝑀 = 0
𝑤1 0𝑤 𝐿1 0
𝑀1 = −77.95.m
PU× L (1,5𝑄1 +1,35𝐺1 )×𝑙1
𝑉0𝑤 = − =− = 52.6𝑘𝑁
2 2
Vw1= -90.44kN
𝑉𝑒1
= +
𝑀2−𝑀1 Avec 𝑀1 = −77.95𝑘𝑁. 𝑚
𝐿2
𝑉0𝑒
𝑀2 = 0 KN.m
Ve1=135.97kN
Tableau 29 : Tableau récapitulatif des résultats des calculs des efforts tranchants à l’ELU
Tableau 30 : Tableau récapitulatif des résultats des calculs des efforts tranchants à l’ELS
On détaille le calcul pour la travée N°1 et pour l’autre travée et sur appui un calcul identique est
conduit, tous les résultats seront résumés dans un tableau.
La fissuration étant peu préjudiciable, on procède par un dimensionnement à l’ELU, ensuite une
vérification à l’ELS, ainsi qu’une vérification de la condition de non fragilité.
1. Armatures longitudinales :
Travée 1 :
b = 0.22 m ; h = 0.45 m ; d = 0.425 m
Dimensionnement à l’ELU :
Mu = 4.54 KN.m
Mu 4.54∗10−3
µbu = = = 0.0092
b∗d²∗fbu 0.22∗0.425²∗12.47
Mu
A = −3
4.54∗10 = = 0.000031m² = 0.31 cm².
st
z∗fsu 0.42∗347.826
Vérification à l’ELS :
B = 15*Ast = 0.001185
b 1y3
ISRH/AN + 15. Ast . (d − )2 + Asc . (y1 − d′ )2.
3 y
= 1
ISRH/AN = 0.000019 m4 .
−3
Mser
σ = ∗y = 3.19∗10
∗ 0.062 = 10.409 MPa.
bc ISRH/AN 1
0.000019
ft28 1.92
Amin = 0.23 ∗ b ∗ d ∗ = 0.23 ∗ 0.22 ∗ 0.425 ∗ = 0.000103 m2 = 1.03 cm².
fe 400
« Non Vérifiée » donc on prend 3 HA10 car c’est une poutre de section 22*45
Dimensionnement à l’ELU
𝝁 ≤ 𝝁𝒍𝒊𝒎𝒊𝒕𝒆 Ok Ok Ok
𝑨𝒔𝒄 (cm²) 0 0 0
Vérification à l’ELS
𝝈𝒃𝒄 ≤ 𝝈𝒃𝒄 Ok Ok Ok
La poutre étudiée est chargée uniformément sur toutes ses travées (charges réparties).
5
Vréd = ⃓Vmax ) ; Préd = P
u u ⃓ − ( ∗ h ∗ pu u
6
Vréd 5
u = 21.54 − ( ∗ 0.45 ∗ 51.064) = 2.391 KN
6
Appui « i » 0 1 2
𝜏𝑢 ≤ ‾𝜏𝑢
𝑚𝑎𝑥
𝜏𝑢 : Contrainte tangentielle conventionnelle du béton : 𝜏𝑢 = 𝑢𝑉
= 135.97∗10−3
= 1.45 𝑀𝑃𝑎.
𝑏0∗𝑑 0.22∗0.42
Pour une fissuration peu préjudiciable et pour un angle d’inclinaison des armatures 𝛼 = 90° on
𝑓𝑐28
a : 𝜏𝑢 = min (0.2 ∗ ; 5𝑀𝑃𝑎) = 2.93 𝑀𝑃𝑎.
1.5
𝜏𝑢 ≤ 𝜏𝑢 donc vérifiée.
Ast
( St ) ≥ ( St )min
Ast 0.4𝑏0
𝑓𝑒𝑡 =
0.4∗0.22 3.74 ∗ 10−4 𝑚²/𝑚l. ; 𝑓𝑒𝑡 = 235 𝑀𝑃𝑎.
235
=
Ast Ast 0.4𝑏0 0.4∗0.22
( )≥ ( )min= = = 2.2 ∗ 10−4 𝑚²/𝑚l. ; = 400 𝑀𝑃𝑎.
St 𝑓𝑒𝑡 400 𝑒𝑡
St
∅𝑡 𝑏0
≤ min (∅ ; ; ) ∅𝑡 ≤ min (12, 12.85,22) = 12 mm soit∅ = 6 𝑚𝑚.
ℎ 10
𝑙 35
On a: 𝑉
𝑚𝑎𝑥 =
= 71.291 𝐾𝑁 𝜏 𝑟é𝑑 = 𝑉𝑟é𝑑𝑚𝑎𝑥 71.291∗10−3 = 0.76 𝑀𝑃𝑎.
𝑟é𝑑 𝑢 𝑑∗𝑏0 0.425∗0.22
𝐴𝑡 𝐴𝑡 1.13∗10−4
= = 3.74 ∗ 10−4 𝑚²/𝑚𝑙 𝐴𝑡 = = 0.30 𝑚.
𝑆𝑡0 𝑡0 ≤
𝑆𝑡 3.74∗10−4 3.74∗10−4
𝑆𝑡0 = 30cm
30
Le premier espacement est à disposer à 𝑆𝑡0 = = 15 𝑐𝑚 au droit de l’appui gauche.
2.06
𝑛𝑟é𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 = 𝐸 ( )=1
2
Travée 1 2
Gauche Droite Gauche Droite
𝜏𝑟é𝑑 MPa 0.0256 0.76 1.215 0.823
𝑢
𝐴𝑡
( )(𝑐𝑚) -6.58 2.2 7.64 2.95
𝑠𝑡0
𝐴𝑡
( ) 3.74 3.74 3.74 3.74
𝑠𝑡0 min (𝑐𝑚)
𝑠𝑡0 cm 15 15 15 15
n 1 2
Mi travée gauche
Répartition
15,(1∗16),(1∗20), (1∗ 15,(2*20),(2*25),(2*35),19
des armatures 𝟐𝟓) , 𝟐𝟕
Mi travée droite
27,(1*25), 19,(2*35),(2*25),(2*20),15
(1*20),(1*16),15
Appui de rive :
𝐴𝑔 ≥ 𝑉𝑓 𝑢
𝑠𝑢
Appui intermédiaire :
⃓𝑀 ⃓
𝐴𝑔(𝐺) = ⃓𝑉𝑢.𝐺 ⃓− 𝑢𝑍 ;
𝑓𝑠𝑢
⃓𝑉𝑢.𝐷 ⃓ − ⃓𝑀𝑢⃓
𝐴𝑔(𝐷) = 𝑍
𝑓𝑠𝑢
Avec Z =0.9*d
0 1 2
Appui
G D G D G D
𝑴𝒖IMax 0 77.95 0
les sections positives impliquent qu’on a besoin de prolonger les aciers longitudinaux sur
appuis :
Appui 0 : Prolonger les armatures de flexion de la travée 1 au-delà de l’appui : 6HA12 = 6.79
cm².
Appui 2 : Prolonger les armatures de flexion de la travée 1 au-delà de l’appui : 6HA12 = 6.79
cm².
Appui 1
max
il faut que : σb = 2 u
≤ .8∗fc28
0.8∗22
= 11.73 MPa
a∗b0
γb = 1.5
Appui intermédiaire :
max fc28
On doit vérifier que : σb =2 u
≤ 0.8
; avec Vmax = ⃓, V⃓ ⃓).
max (⃓V
a∗b0 γb u.G u.D
u
c) Vérification de la flèche :
h 1
Mt≥ ∗ (2)
l 10 M0
A 4.2
b0∗d ≤ = 0.0105 (3)
fe
La vérification de ces trois conditions pour les différentes travées de la poutre sera récapitulée
dans le tableau qui suit :
Travée « i » 1 2
Condition (1) Ok Ok
Condition (2) Ok Ok
Condition (3) Ok Ok
3. Schéma de ferraillage :
Conclusion générale
Le présent projet était une bonne occasion pour pouvoir confronter des problèmes pratiques et
pour exploiter et maitriser les connaissances acquises au sein de notre Institut durant la période
de notre formation.
Au terme de ce projet, nous sommes persuadé que le travail d’un technicien ne s’arrête pas
au niveau du choix judicieux des éléments porteurs de la structure mais aussi répondre à
certains critères à savoir :
Assurer une meilleure fonctionnalité de la construction.
Trouver des solutions adéquates pour la conception en respectant les
exigences architecturales.
Pour finir, nous pensons que la diversité des éléments que nous avons étudié le long de ce projet
et les diverses difficultés qu’on confronté ne peut que constituer un bon départ nécessaire pour
notre vie professionnelle.
Espérons, que ce travail soit à la hauteur des ambitions de tous ceux qui nous on fait confiance et
qui nous ont consacré leurs temps pour nous fournir les meilleurs conditions de travail.
Bibliographie
B.A.E.L.91 : Règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et
constructions en béton armé, suivant la méthode des états limites.
HENRY.T : Conception et calcul des structures de bâtiment, Tome 6.
ANNEXE 1
ANNEXE 2
ANNEXE 3
ANNEXE 4
ANNEXE 5
ANNEXE 6
ANNEXE 7
ANNEXE 8