Project Fin D'Etude: Licence

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Université Hassiba Benbouali de Chlef.
Faculté de Génie Civil et d’architecture.
Département d’Hydraulique.
PROJECT FIN D’ETUDE
En vue de l’obtention du diplôme de
LICENCE
Filière : Hydraulique.
Spécialité : Hydraulique
Par
WAFA TOUBA
ACHITE OMAR
Thème :
Simulation de la réponse hydraulique du réseau d’assainissement de la Cité
Zebouje (wilaya de Chlef)avec le modèle SWMM
Zerouali Bilel Docteur/MAB Université Hassiba Benbouali de Chlef Rapporteur
Année universitaire : 2021/2022

Remerciements
Avant tout, nous remercions Le grand DIEU qui nous adonné courage et
patience pou rpasser tous les moments difficiles, qui nous a permis d’achever ce
travail et de pouvoir lemettre entrevos mains aujourd'hui.
Je profite de l’occasion pour exprimer mes remerciements particuliers à mes

parents pour que tu m’as toujours soutenu sur mon chemin de vie jusqu’à
présente, moi dans le mien vivez tout ce qui est imaginable et possible pour moi
à tous égards, à la fois émotionnellement, étaient là et ont toujours cru en moi.
Tu m’as appris être déterminé, ambitieux et discipliné qu’il important d’aller au
bout de ses rêves crois qu’il vaut le peine de se battre et qu’il est avant tout
important de le vivre.
Mes parents m’ont appris à utiliser mes forces, peu importe la difficulté de la
situation dans la vie faites confiance , soyez confiant, apprenez de l’échec et
voyez- le comme une opportunité pour vous pour voir de noveaux départs.je
vous serai toujours reconnaissant pour cette sagesse.
Nous tiendron sà exprimer notre reconnaissance et notre gratitude à notre cher

encadreur Dr. Zerouali Bilel.
Nous remerciements vont aussi à tous nos enseignants qui ont contribué à mon
formation.
Un mémoire, nécessite le concours d’un certain nombre depersonnes. Notre

travail est aujourd’hui l’occasion de remercier toutes le spersonnes qui nous ont
aidés deprès ou de loin.
Je dédie ce modeste travail avec toute mon affection aux êtres qui me
sont les plus les plus chers au monde[Mes parents Lazaar Meriem.
Touba Djamel.]pour leurs sacrifices et leurs conseilles, sans les quelles je
ne serais jamais arrivé a ce niveau que dieu les gardent.
A mes chères sœurs : Rima, chaima,
Toute la famille que prend le nom TOUBA.
A mes amis surtout : Harmal doumia , Badni Maroua
, Mohammed Amin Felfoul Bilal legraa,
Maamer iIdriss ,Youcef Mohammed Sahnoun.
Negadi zohra, Rasselkaf Ibtissam.
A toute ma promotion 3 émeannée licence Hydraulique 2021/2022
WAFA TOUBA.
Je rends un petit salut à mes mémoires au début de mon millénaire .
Je le dédice à ma petite famille ,en particulier à ma mère et
mon père
Et à tous mes amis à l’intérieur et à l’extérieur de la filière
universitaire.
Je remercie beaucoup d la secrétaire Amina et tous les membres de

l’organisation nationale de la voix des étudiants algériens(VNEA).
Au final, j’ai pitié de celle qui à été la raison de mon arrivée ici,
et c’est metante,que dieu ait pitié d’elle
ACHITE OMAR.
Résumé :
L’assainissement urbaine a pour objet de garantir l’évacuation de l’ensemble des eaux usées et pluviales
dans des conditions satisfaisantes pour la santé publique et l’environnement. Le travail et objective de
cette mémoire consiste à faire une simulation du réseau d’assainissement de la cité de Zebouje (Wilaya de
Chlef), afin d’identifier les points noire au débordement suite à une averse pluviométrique courte durée.
La simulation sera effectuée à l’aide du modèle ‘’Storm water management model (SWMM)’’. Après la
simulation, les dysfonctionnements constatés sur les réseaux existants sont à imputer, en majeure partie, à
des erreurs initiales de conception et de dimensionnement.
Mots Clés : L’assainissement , Simulation, SWMM, Chlef.
: ‫ملخص‬
‫الغرض من تكتل الصرف الصحي هو ضمان إخالء جميع النفايات و مياه األمطار في األنابيب التي تكون مرضية لصة العامة و البيئية يتمثل هذا العمل‬
‫من اجل تحديد النقاط السوداء أثناء حدوث فيضان في وقت قصير أثناء سقوط‬, )‫و أهدافه المحاكاة شبكة الصرف الصحي لمنطقة الزبوج (والية شلف‬
‫فان األعطال التي لوحظت على الشبكة الحالية‬, ‫) بعد المحاكاة‬SWMM ‫سيتم إجراء المحاكاة باستخدام نموذج ( نموذج إدارة مياه األمطار‬. ‫األمطار‬
‫تعزي في الغالب إلى أخطاء التصميم و التحجيم األولية‬
.SWMM، ‫ محاكاة‬، ‫الصرف الصحي‬: ‫الكلمات المفتاحية‬
Abstract:
The purpose of urban sanitation is to guarantee the evacuation of all wastewater and rainwater under satisfactory
conditions for public health and the environment.. The work and objective of this thesis consists in simulating the
sanitation network of the city of Zebouje (Wilaya de Chlef), to identify the black spots at overflow following a short
rainfall. The simulation will be carried out using the “Storm water management model (SWMM)” model. After the
simulation, the malfunctions observed on the existing networks are to be attributed, for the most part, to initial design
and sizing errors. The simulation will be carried out using the “Storm water management model (SWMM)” model.
After the simulation, the malfunctions observed on the existing networks are to be attributed, for the most part, to
initial design and sizing errors.
Key words: Sewage, simulation, SWMM.

Sommaire
LISTE DES FIGURES.
LISTE DES TABLEAUX.
LISTE D’ABRVIATION.
Introduction………………………………………………………………………………1/5
ChapitreⅠ : présentation de la zone.

Ⅰ.1 Présentation de la zone d’étude……………………………………………………….6
Ⅰ.2. Situation hydro-morphologique : ………………………………………………….....6
Ⅰ.2.A .Le relief ……………………………………………………………………………….7
Ⅰ.3.Situation géologique…………………………………………………………………….7
Ⅰ.4.Situation climatique……………………………………………………………………..7
Ⅰ.4.A. Température…………………………………………………………………………..7
Ⅰ.4.B .Pluviométrie…………………………………………………………………………..8
Ⅰ.4.C. Les vents ……………………………………………………………………………….9
Ⅰ4.3.D. Humidité…………………………………………………………………………….10
Ⅰ.5.Hydrologie et Hydrogéologie………………………………………………………….11
Ⅰ.5.A. Sismicité………………………………………………………………………………12
Ⅰ.6.Situation hydraulique…………………………………………………..………………12
Ⅰ.6.A.La durabilité de la ressource en eau …………………………………………12/13
Ⅰ.7.Alimentation en eau potable ………………………………………………………….14
Ⅰ.8.Le réseau d’assainissement…………………………………………………………….14
Chapitre II : présentation de logiciel.

II.1.Définition de SWMM………………………………………………………………......15
II.2.Description du logiciel SWMM……………………………………………..……16/17
II.3.Objectif visuels (Visual objectif)………………………………………………….…..17

II.3.1.Générateurs de pluie ( Rain cages)……………………………………………18/19
II.3.2.Sous –bassin(subcatchlents)………………………………………………………...20
II.3.3.Nœuds de jonction (Junction nodes)……………………………………………….21
II.3.4.Nœuds de sortie (out fall nodes)……………………………………………….22/23
II.3.5.Nœuds de diviseur de flux (flow Divider Nodes)………………………..……....23
II.3.6.Unités de stockage (Storage units)………………………………………………….23
II.3.7.Les collecteurs …………………………………………………………….....24/25/26
II .3.8. Régulateurs de débit (flow Regulators)……………………………………….…26
II.3.9. Etiquettes de carte (Map labels) ……………………………………………….…26
II.4. Objets non visuel (Non-Visual objects)……………………………………………26
II.5. Objectif du logiciel SWMM ……………………………………………………...26/27
II.6.Contenu du logiciel SWMM……………………………………………………..27/ 28
II.7.Capacité de SWMM………………………………………………………….……...…28
II.8.Modélisation dans SWMM ……………………………………………………….…..29
II.9.Etapes d’utilisation de SWMM …………………………………………………29/30

II.10.Utilisation du logiciel SWMM pour la modélisation des réseaux
d’assainissement…………………………………………………………………………….30
II.10.1.Différents objets de modélisation………………………………………………....31
II.11.Avantage du logiciel …………………………………………………………………32
II.12.Fonctionnement d’une simulation…………………………………………………..32
II.13.Différents méthodes de calcul du SWMM……………………………………........32
II.13.1.Modèle d’infiltration d’Horton……………………………………………….33/34
II.13.2.Modèle de réservoir non linéaire ………………………………………34/35/36
II.14. Le régime Uniforme…………………………………………………………………36
II.15.Synthèse des travaux réalisé …………………………………………………….…37

Chapitre III : Résultats et discussion.
III .1.Données de base ……………………………………………………………….38/39
III.1.1.Délimitation du bassin d’étude…………………………………………………39
III.1.2.Averse et période de retour …………………………………………………39/40
III .2.Gestion et exploitation du réseau …………………………………………40/41/42
III.3.Simulation De La Réponse Hydraulique Du Réseau Par

SWMM …………………………………………………………………………42/43/44/45
III.4.Solutions et intervention……………………………………………………………46
Conculsion générale………………………………………………………………………47
Liste des figures.
Figure. 1 :Cycle de l’eau urbaine………………………………………………………………..1
Figure. 2 :Intervention des agents de l’ONA pour la réparation d’un point noir suit à un
débordement des eaux usées dans le cite M’naouar Batich commune de Tadjna
(Chlef)…………………………………………………………………………………………..….5
Chapitre I : Présentation de la zone d’étude.

Figure I.1 : Présentation des limites Administratives de la wilaya de chlef………………... 6
Figure I.2 : Variation mensuelle de la température……………………………………..…….. 8
Figure I.3 : Répartition mensuelle de la pluviométrie………………………………………....9
Figure I.4 : Rose des vents pour le site de Chlef………………………………………………. 10
Figure I.5 : Variation de l’humidité mensuelle………….………………………………….......11
Figure I.6 : Réseau hydrographique du bassin du chlef……………………………………… 12
Chapitre II : Présentation de logiciel SWMM.

Figure II.1 : Interface de logiciel SWMM…………………………………………………….....16
Figure II.2 : Objets physiques utilisés pour modéliser un système

d’assainissement..............................................................................................................................18
Figure II.3 : Paramètres de la station pluviométrie (Rain cage)……………………………...19
Figure II.4 :Paramètre de sous bassin versant (subcatchments)…………………..………... 20
Figure II.5 :Paramètres de jonction...............................................................................................21
FigureII.6 :schéma de regard…………………………………………………………………… 22
FigureII.7 : Schéma d’un collecteur…………………………………………………………......24
Figure II.8 : Schéma de principe de la structure physique du réseau….…………………....31

Figure II.9 : Evaluation temporelle de l’infiltration selon Horton et définition schématique
des paramètres i0et if…………………………...……………………………………………..….33
Figure II.10 : Model de Horton …………………………………………………………….…..33
FigureII.11 : Description schématique du réservoir non linéaire dans le modèle

SWMM…....................................................................................................................................35
FigureII.12 : Représentation simplifie la largeur de bassin…………………………..….36
Chapitre III :Résultats et discussion.

Figure III.1 :Les Sous Bassin versants de la zone zebouje………….........…………………...39
Figure III.2 :Sortie des résultats de EPA SWMM après la simulation ……………………....43
Figure III.3 :Profile en Long tronçon……………………………………………………..……..43
Figure III.4 : Le Débordement Dans le regard J23-J25……………………………….….…….44
Figure III.5 :Profil En long tronçon J22-J20……………………………………………………..45

Figure III.6 : L’effet De Précipitation Sur Notre Réseau…………………………………….…45
Figure III.7 : Pas de débordement a cause de changement de diamètre…………………….46
Liste des tableaux
Chapitre II :Présentation de logiciel SWMM.
Tableau II.1: Evaluation des paramètres de Horton. ......................................................... ……..34
Chapitre III :Résultats et discussion.

Tableau III.1 : Caractéristique Des Conduites De La Zone D’étude..........................40/41/42
Liste D’abréviation.
SWMM : Storm water mangement .
LE PNE :plan National de l’eau.
MRE :Le Ministère des ressources en eau.
ONA : L’office national de l’assainissement .
Titre : Simulation de la réponse hydraulique du réseau
d’assainissement de la commune Zebouje(wilaya de Chlef
avec le modèle SWMM (Storm water management model)
Introduction générale
Problématique :
L’eau est depuis la création de l’univers la matière essentielle de la vie sur terre, elle a
toujours été la priorité de l’être humain dans sa vie. Au cours de son histoire, l’homme a
utilisé cette eau comme source de développement, et d’amélioration du mode de vie.
L'eau distribuée dans les réseaux publics urbains est prélevée dans une ressource
protégée, généralement située à l'amont de la ville. Après usage elle est généralement
récupérée par le système d'assainissement et finalement restituée au milieu naturel à
l'aval de la ville
Figure. 1 Cycle de l’eau urbaine.
PFE en license Hydraulique 1

Plusieurs ouvrages ont été développées pour exploiter, utiliser et évacuer l’eau
comme les réseaux d’alimentation en eau potable et d’assainissement qui sont mis en
œuvre pour utiliser cette source d’une manière rationnelle et rigoureuse, et de la rejeter
après usage hors des agglomérations selon des procédés protégeant la santé et
l’environnement.
L'assainissement urbaine a pour but d'assurer la collecte et le transit des eaux

pluviales et usées vers les procède d’épuration de avant le rejet dans le milieu naturel.
Le choix du mode de rejet dans milieu récepteur et le choix des techniques

d’évacuation devra être établi d’une façon très rigoureuse, d’autre part la gestion et la
maintenance des réseaux d’assainissement devront être une tâche permanente dans le
but de s’assurer du bon fonctionnement du réseau. En effet aux plusieurs cas les
paramètres d’écoulement ne sont pas accessible pour vérifiés les problèmes
d’évacuation, dans ce cas de situations, des études d’expertise peuvent être lancées dans
le but de diagnostiquer les échecs et les points d’anomalie du réseau.
L’inondation s’est émancipée progressivement de l’ouvrage pour prendre aux

yeux des ingénieurs toute sa réalité territoriale. Ainsi, cette gestion a alterné entre
prévention (mesures institutionnelles et juridiques) et protection (mesures techniques),
selon les événements[1].
Notretravail sera structuré comme suite :
Le premier chapitre donne une description générale de la ville de Chlef et

particulièrement la situation : géographique, topographique, géologique et
hydraulique.
Le deuxième chapitre donne la présentation, fonctionnalités, interface, barres
d’outils et organisation du logiciel SWMM (Storm Water Management Model) .

Le troisième chapitre donne résultats et discussion : simulation, diagnostique les

échecs et les points d’anomalie du réseau et proposerles solutions des pour une
on gestion du réseau durant les crueset réduire les maladies par transmission
hydrique.
le travail de cette etude sera achevé par une conclusion générale.
Gestionnaire du réseau d’assainissement
L'Office National de l'Assainissement (ONA) est un établissement public national

àcaractère industriel et commercial doté de la personnalité morale et de l'autonomie
financière.Il a été créé par le décret exécutif n° 01-102 du 27 Moharrem 1422
correspondant au 21 Avril2001. L’Office est placé sous la tutelle du ministre chargé des
ressources en eau
L’ONA se substitue à l’ensemble des établissements et organismes publics,

nationaux, régionaux et locaux en charge du service public de l’assainissement,
notamment :
L’Agence Nationale de l’Eau Potable et de l’Assainissement (AGEP).

Les établissements publics nationaux à compétence régionale de gestion de
l’assainissement.
Les EPEDEMIA de wilaya ; les régies et services communaux de gestion des
systèmes d’assainissement.
Missions
Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique national de l’assainissement, l’Office

National de l’Assainissement est chargé sur le territoire national, de l’exploitation, de la
maintenance, du renouvellement, de l’extension et de la construction des ouvrages et
des infrastructures d’assainissement. Ainsi, il assure :

La protection et la sauvegarde des ressources et environnement hydrique.

La lutte contre toutes les sources de pollution hydrique.
La préservation de la santé publique.
L’ONA assure également pour le compte de l’Etat, la maîtrise d’ouvrage et d’oeuvre

déléguée concernant les projets d’études, de réalisation de réhabilitation, de diagnostics
des stations d’épuration, des réseaux d’assainissement et de collecte de l’eau pluviale
ainsi que des stations de relevage .
L’office est chargé des missions opérationnelles suivantes :
Etablir le cadastre des infrastructures de l’assainissement et en assurer sa mise à

jour.
Elaborer les schémas directeurs de développement des infrastructures
d’assainissement relevant de son domaine d’activité.
Elaborer et mettre en œuvre la politique de promotion des sous produits de
l’assainissement.

Figure I. 2 Intervention des agents de l’ONA pour la réparation d’un point noir suit à
un débordement des eaux usées dans le cite M’naouar Batich commune de Tadjna
(Chlef).

d’assainissement de la commune Zebouje (wilaya de Chlef)
avec le modèle SWMM (Strom water management model.) .
chapitre I : présentation de la zone d’étude.
PFE en License Hydraulique

Chapitre I :
Présentation de la zone d’étude.
I.1 .Présentation de la zone d’étude :
La ville de Chlef est située dans au nord de l’Algérie, à 200 Km à l’ouest de la capital,
Alger et se trouve dans une vallée à une altitude de 114 mètres entre deux chaines de
collines au nord et à l’ouest, la ville est entourée de terres agricoles.
Elle est limitée :
Au nord par le mer Méditerranée.
Au sud par l’état de Tissemsilt (les communes d’Azhariya – Boukaid).
A l’est par les états de Tipasa, Ain Defla.
A l’ouest par les états de Mostaganem et Relizane.
FIGURE I. 1 : Présentation des limites Administratives de la wilaya de chlef.
PFE en License Hydraulique 6

I.2. Situation hydro-morphologique :

I.2.A .Le relief :
La wilaya de chlef est formée de quatre(4) unités géographiques :
Une cote méditerranéenne s’étendant sur 120km.
La chaine de Dahra au nord.
Monts d’Ouarsenis au sud.
La plaine de chlef entre dans les deux unités montagneuses.
I.3. Situation géologique :

La connaissance de la géologie du site nous permettra de prendre des dispositions
nécessaires lors de la réalisation des travaux, par exemple le choix des engins à utiliser et
le choix du type de matériaux pour la canalisation.Se situant dans une zone sismique.la
wilaya de chlef implantée dans une vallée alluvionnaire augmentant ainsi le risque
sismique.
I.4 .Situation climatique :

Le climat se définit comme étant l'ensemble des phénomènes météorologiques qui
caractérisent l'état de l’atmosphère et de son évolution en un lieu donné. Chlefà un climat
méditerranéen subhumide dans la partie Nord et un climat continental au Sud, froid en
hiver et chaud en été.
I.4.A . Température :
La ville de Chlef bénéficie d'un climat tempéré chaud. L'hiver à Chlef se caractérise par
des précipitations bien plus importantes qu'en été. Selon la classification de Köppen-
Geiger, le climat est de type Csa. En moyenne la température à Chlef est de 18.4 °C. Il
tombe en moyenne 458 mm de pluie par ans.(voir la Figure I. 2 )

I.4.B. Pluviométrie :
La période pluvieuse s’étale du mois d’novembre jusqu’au mois d'mars .La pluviométrie
maximale de l’année se situe généralement durant la période de novembre – janvier qui
représente 46.06mm de la pluviométrie totale annuelle. (Voir la FigureI. 3 )
FIGURE I. 2 : Variation mensuelle de la température.

FIGURE I. 3 : Répartition mensuelle de la pluviométrie.
I.4.C . Les vents :
On peut conclure que Chlef est une région à l'atmosphère peu agitée, tout au moins pas
plus agitée que celle du reste de l'Algérie. Il existe, à cause de La vitesse du vent jouant
un rôle sur la dégradation mécanique du sol et sur l'amplitude de la température, les
variations sont considérables dans la zone ou le couvert végétal est absent.(voir la Figure
I. 4).

FIGURE I.4 : Rose des vents pour le site de Chlef.
I.4.D. Humidité :
Le mois le plus humide est le mois de décembre, par contre, le mois le plus sec est le mois
de juillet, L’humidité relative de l’air est généralement plus élevée le matin pour tous les
mois, elle est de l’ordre de 65 à 75 % en hiver et près de 35 % en été. Elle peut compenser
en un certain degré l’absence ou la rareté des précipitations en favorisant le
développement des plantes.(voir la Figure I. 5)

FIGURE I. 5: Variation de l’humidité mensuelle.
I.5. Hydrologie et Hydrogéologie :
Les eaux de surface (oued,rivire,retenue….) dans la wilaya de chlef sont pas rare car la
wilaya de chlef ,De plus l’état de chlef possède la plus grande oued qui est considérée
comme l’une des oued (vallée) les plus importantes de l’état de chlef. Il se jette dans la
mer Méditerranée ,qui est une vallée complètement irrégulière et s’appelle « vallée
volatile »ou bien oued chlef.et pour la protection de la ville ( la zone), contre les
inondation une étude est en cours de même pour les eaux souterraines ce qui explique
l’alimentation en eau potable à partir des régions voisines.

FIGURE I. 6: Réseau hydrographique du bassin du chlef.
I.5.A. Sismicité :
La région de chlef (El Asnam) une zone qui souffre en permanence d’activités sismique
.Durant le siècle dernier, quatre(4) événements d’intensité EMS supérieure à V ont secoué
la région. Donc il faut prendre les mesures nécessaires pour la stabilité du système.
I.6. Situation hydraulique :
I.6.A. La durabilité de la ressource en eau :
Au vu des ressources en eau appréciable et du potentiel en terres irrigables, la wilaya de

Chlef est concernée par unprogramme ambitieux de mobilisation des eaux superficielles
et de mise en valeur des terres par l’irrigation.Afin d’augmenter les disponibilités en eau
de la wilaya et de les préserver de la Pollution, (MRE) Le Ministère des ressources En
Eau par le biais du Plan National de l’Eau, prévoit pour la wilaya d’importants projets de
mobilisation de la ressource eneau à l’horizon 2025.

Parallèlement les nombreuses contraintes et menaces qui agissent sur le potentiel

hydraulique et la qualité des eaux de lawilaya, que ce soit pour les eaux douces ou
marines doivent être levées, il s’agit notamment :
Du phénomène d’envasement qui affecte la capacité utile des barrages et réduit

par conséquent leur durée de vie pour deuxraisons essentielles :
Une topographie défavorable et des sols Fragiles.
Une protection insuffisante des bassins versants par une action dynamique de
boisement et/ou de reboisement.
Du risque de pollution des eaux de surface et des nappes, du fait des rejets de
divers effluents domestiques et industriels.
Des fuites et des pertes dans les réseaux.
La condition de la préservation de la ressource locale dépend de la mise en oeuvre
des moyens retenus dans LE PNE (Plan National de l’Eau) en matière d’économie
de l’eau, de réduction des pertes sur les réseaux, de traitement des eaux usées et
de recours à l’utilisation des eaux non conventionnelles.
De ce fait, le plan d’action territorial proposé ci-après est principalement dédié aux
actions qui pourraient-être menées autitre de la préservation et de la durabilité de
la ressource .
Ce PAT sur la pérennité de la ressource en eau s’articule donc autour de :
L’amélioration de la connaissance des ressources disponibles .

Préservation des ressources contre les différentes formes de pollution .
Utilisation rationnelle de la ressource et économie de l’eau .

I.7. Alimentation en eau potable :
La Ville de Chlef (Zone de Zebouje) est alimentée en eau potable à partir de station de
dessalement d’eau de mer de Ténès et de béni Haoua, la station de dessalement d’eau de
mer Mainis produit 200000m3 d’eau potable no conventionnelle par jour. Cette station
alimente 31 commune et parmi les 31 commune que compte la wilaya de chlef.
I.8 . Le réseau d’assainissement :
La Commune de Zebouje est doté d’un réseau de Collecte de type unitaire de section
circulaire allant de Ø300mm à Ø800 mm en béton d’un Galerie de dimension 1.40×1.20 et
de plus de 400 regards, ce réseau à une longueur 23000ml et qui déverse directement a
oued chlef.


d’assainissement de la commune Zebouje (wilaya de Chlef )
Chapitre II : Présentation de logiciel

SWMM.
II.1.Définition de SWMM :
Le Logiciel Storm Water Management Model (SWMM) a été développé par

l’Environnemental Protection Agence (EPA). Il s’agit d’un logiciel intégrant un
modèle de simulation des précipitations et de ruissellement de surface et souterrain.
Il permet de simuler les transferts quantitatifs et qualitatifs des eaux en prenant en
compte notamment les précipitations, les ruissellements, l’évaporation et
l’infiltration.
SWMM nous permettra de modéliser les réseaux d’eaux pluviale et unitaire,
ainsi que Des pluies sur les bassins versants et des injections d’eau représentants les
eaux usées. Nous pourrons alors simuler le fonctionnement du réseau pour
différentes pluies et observer les débordements au niveau de certains déversoirs
d’orages. La raison qui nous a poussés à transférer le modèle de CANOE à SWMM
est que le logiciel optimisé est développé pour fonctionner avec SWMM et non avec
CANOE.

FIGURE II.1 : Interface De Logiciel SWMM.

II.2.Description du logiciel SWMM :
Le modèle de gestion des eaux pluviales de l'EPA (SWMM) est utilisé dans le monde
entier pour la planification, l'analyse et la conception des eaux de ruissellement, des
égouts combinés et sanitaires et d'autres systèmes d’assainissement dans les zones
urbaines. Il existe de nombreuses applications pour les systèmes d’assainissement
dans les zones non urbaines. SWMM est un modèle dynamique de simulation
hydrologique-hydraulique de la qualité de l'eau. Il est utilisé pour la simulation à un
seul événement ou à long terme (continu) de la quantité et de la qualité des eaux de
ruissellement provenant principalement des zones urbaines.
La Composante de ruissellement Fonctionne sur un ensemble de Sous-Bassin

hydrographiques qui reçoivent des Précipitations et génèrent des Charges de
ruissellement et de polluants. La partie d'acheminement transporte ce ruissellement à
travers un système de tuyaux, canaux, dispositifs de stockage / traitement, pompes
et régulateurs. SWMM effectue le Suivi de la quantité et de la qualité du

ruissellement effectué Dans Chaque Sous-captage. Il Suit Le débit, La profondeur

d'écoulement et la qualité de l'eau dans chaque tuyau et canal pendant une période
de simulation composée de plusieurs pas de temps. Le SWMM 5 a récemment été
étendu pour modéliser les performances hydrologiques de certains types de
contrôles de faible impact (LID). Les contrôles (LID) que l'utilisateur peut choisir
comprennent les sept pratiques d'infrastructure verte suivantes:
Pavé perméable.
Jardins de la pluie.
Les toits verts.
Jardinières.
Barils de pluie.
Tranchées d'infiltration.
Végétaux.
II.3. Objets visuels (Visual Objects) :
La Figure (II.2 ) .montre Comment une collection d'objets visuels de SWMM Pourrait
être agencée ensemble pour représenter un système d’assainissement des eaux
pluviales. Ces objets peuvent être affichés sur une carte dans l'espace de travail
SWMM.

FIGURE II.2 : Objets Physiques Utilisés pour Modéliser un Système

D’assainissement.
II.3.1.Générateurs de pluie (Rain cages) :
Les Paramétres d’entrée essentiels de La Station Pluviométrie (Rain cage) Sont :
L’Intensité mm/h (millimètre par heure) (Intenisty).

L’Intervalle du temps (Time Intervl).
La courbe IDF (Intensité*durée-fréquence) (Time série).

FIGURE II.3 : Paramétres de La Station Pluviométrie (Rain cage).
Les appareils de mesure de la Pluviométrie fournissent des données sur les

Précipitation pour la Zone de Sous-ensemencement dans un région étudiée.les
données Pluviométrique peuvent être soit proviennent d’un fichier externe, soit
une série temporelles définie par l’utilisateur.
Plusieurs formats populaires de fichiers Pluviométriques populaires actuellement

utilisés sont pris en charge, ainsi qu’un format standard définie par l’utilisateur.
Les Principales propriétés d’entrée pluviomètres comprennent :
Nom de la source de données pluviométriques.

Source des données pluviométriques (saisie des séries temporelles ou
fichier externe).
Intervalle de temps d’enregistrement (par exemple, horaire, 15
minutes...etc).
Type de données pluviométrique (par exemple intensité, volume ou
volume cumulatif).

II.3.2. Sous-bassins(Subcatchments) :
Les Sous bassins Versants Sont des unités hydrologique de terrain dont la
topographie et les éléments du système d’assainissement guident le ruissellement
vers le rejet. Les paramètres d’entrées essentiels sous bassin (Subcatchments) sont :
La pluviométrie (Rain cage).
La jonction introduite (outlet).
Superficie (hectare) (Area).
Rayon hydraulique mètre (width).
La pente du terrain en (%) pourcentage (slope).
Pourcentage (%) de terrain perméable (% Iperv).
FIGURE II.4 : Paramètre de Sous -bassin Versant (subcatchments).
II.3.3.Nœuds de jonction (Junction Nodes) :

Ils Désignent les nœuds d’un système quelconque d’assainissement ou les liens se
rejoignent. Ces derniers représentent le raccordement des canaux de surface naturels,
des regards dans un système d’égout ou des joints de tuyauterie .Les principaux
paramètres d'entrée d'une jonction sont :
Cote de radier de regard (Inver.elevation).

Profondeur du regard (max .depth).
Le débit des eaux usées (Inflows).
FIGURE II.5 :Paramètres De Jonction.

FIGURE II.6 : Schéma Du Regard.

II.3.4.Nœuds de sortie (Outfall Nodes) :
Les écoulements sont des nœuds terminaux du Système d’assainissement utilisé pour
définir les limites en aval sous l'écoulement d'écoulement Dynamique. Pour d'autres
types d'acheminement de flux ils se comportent comme une jonction.Seul un seul
lien peut êtreconnecté à un nœud d'émission, et l'option existe pour que le déversoir
se décharge sur la surface.Les conditions aux limites d'un émissaire peuvent être
décrites par des relations de phase :
La profondeur d'écoulement critique ou normale dans le conduit de

raccordement.
Une élévation de niveau fixe.
Une marée décrite dans un tableau de la hauteur des marées par rapport à
l'heure du jour.
Une série temporelle définie par l'utilisateur de l'étape par rapport au temps.

Les principaux paramètres d'entrée pour les émissaires sont les suivants.
Inverser l'élévation.
Type d'état des limites et description du stade.
II.3.5.Nœuds de diviseur de flux (Flow DividerNodes) :

Il existe quatre types de diviseurs de flux, définis par la manière dont les flux
entrants sont détournés.
Diviseur tabulaire: Utilise une table qui exprime le débit détourné en fonction
de l'afflux total.
Diviseur de déversoir: Utilise une équation de déversoir pour calculer le débit
dérivé.
Les principaux paramètres d'entrée pour un diviseur de flux sont:
Les paramètres de jonction .
Nom du lien recevant le flux détourné.
Méthode utilisée pour calculer la quantité de flux détourné.
II.3.6.Unités de stockage (Storage Units):

Les principaux paramètres d'entrée des unités de stockage sont les suivants:
Inverser (en bas) l'élévation.
Profondeur maximale.
Les données de profondeur de surface.
Potentiel d'évaporation.
Paramètres d'infiltration (facultative).
Données d'afflux externes (facultatif).
II.3.7.Les Collecteurs :
Les Collecteurs représentent physiquement la connexion entre les nœuds qui

permet le transport de l'écoulement dans la direction du récepteur terminal. Ils sont

décrits par une forme géométrique bien définie ainsi que des côtes d'arrivée et de
départ à chaque regard qui caractérisent le profil de la pose.
FIGUREII.7 :Schéma D’un Collecteur.
La plupart des Canaux Ouverts Peuvent être représentés avec une forme de section
transversale irrégulière, trapézoïdale ou définie par l'utilisateur. Pour ce dernier, un
objet qui est utilisé pour définir la variation de la profondeur avec la distance à
travers la section.
SWMM utilise l'équation de Manning pour exprimer la relation entre le débit
(Q), la section transversale (A), le rayon hydraulique (R) et la pente (S) dans tous les
conduits.
𝟏.𝟒𝟗
Q= *A*R2/3*S1/2
𝒏
Ou :
n : est le coefficient du rugosité Manning.
S : La pente de conduit ou la pente de frottement.
Pour les tuyaux avec sections transversales de forme circulaire, soit la formule
de Hazen-Williams ou de Darcy-Weisbach est utilisée à la place de l'équation de
Manning la formule deHazen-Williamsest:

Q=1.1318*C*A*R0.63*S0.54
Ou :C :la facteur de Hazen-williams qui varie inversement avec la rugosité de surface
et fourni comme l’un des paramétres de la section transverse.
La formule de Darcy-Weisbachest:
𝟖∗𝒈
Q=√ *A*R1/2*S1/2
𝒇
Où : g=l’accélération de la pesanteur.
f=le facteur de frottement de Darcy-Weisbach.
Pour un écoulement turbulent, ce dernier est déterminé à partir de la hauteur

des éléments derugosité sur les parois du tuyau (Fournie en tant que paramètre
d'entrée) et du nombre deReynoldsdu courant en utilisant l'équation deColebrook-
White.
Les Principaux Paramètres d'entrée des Conduits Sont:
Les noms des nœuds d'entrée et de sortie.

La hauteur ou l'élévation dé calé eau-dessus du nœud d'entrée et de sortie
inverse.
Longueurduconduit.
La rugositédeManning.
Géométrietransversale.
Pertes d'entrée/sortie (facultatif).
Taux d’infiltration.
Présence d'un volet à rabat pour éviter le retour (optionnel).

Numéro de code de géométrie d'entrées ile conduit agit comme un ponceau.
II.3.8.Régulateurs de débit (flow Regulators) :

Les régulateurs de débit sont des structures ou des dispositifs utilisés pour contrôler
et détourner les écoulements dans un système de transport.Ils sont utilisés pour:
Contrôler les rejets des installation de stockage.
Empêcher les surcharges inacceptable.
Détourner le débit vers les installations de traitement et les intercepteurs.
II .3.9.Etiquettes de carte (Map labels) :
Les étiquettes de carte sont des étiquettes de texte facultatives ajoutées à la carte de
zone d'étude de SWMM pour aider à identifier des objets ou des régions particuliers
de la carte. Les étiquettes peuvent être dessinées dans n'importe quelle police de
Windows, éditées librement et être traînées à n'importe quelle position sur la carte.
II.4.Objets non visuel (Non-Visual objects) :

Parmi les objectifs non visuels on peut citer (la Climatologie, Paquets de neige,
Aquifères, Hydrographes unitaires, Traitement, Modèles de temps), Commandes
LID.
II.5.Objectif du logiciel SWMM :
Son objectif est triple :
Être capable d’utiliser le logiciel de modélisation des réseaux d’assainissement
pluvial ou unitaire SWMM 5 pour le diagnostic et le dimensionnement des
réseaux.
Savoir modéliser un réseau de d’assainissement urbain et ses évolutions
éventuelles futures et connaitre les étapes et les limites d’une telle
modélisation.
Pouvoir simuler le fonctionnement d’un réseau d’assainissement urbain en
ayant recours à des pratiques de gestion optimales du type LID (Low Impact

Développent) (Développement à faible impact) pour réduire le débit de

ruissellement.
II.6.Contenu du logiciel SWMM :
SWMM prend en compte divers processus hydrologiques qui produisent le
ruissellement des zones urbaines. Ceux-ci inclus :
Les précipitations variables dans le temps.
Évaporation d'eau de surface debout.
Accumulation de neige et fonte.
L'interception pluviométrique de stockage de la dépression.
Infiltration des précipitations dans les couches de sols non saturés.
Entre l'eau souterraine et le système d’assainissement.
Réduction du ruissellement via les contrôles LID.
SWMM contient un ensemble flexible de capacités de modélisation hydraulique
utilisées pour acheminer le ruissellement et les entrées extérieures à travers le réseau
de canalisations, canaux, unités de stockage / traitement et structures de dérivation.
Il s'agit de :
Gérer des réseaux d’assainissement de taille illimitée.
Utiliser une grande variété de formes de conduit et canaux naturels.
Des éléments spéciaux tels que des unités de stockage / traitement, des
séparateurs de débit, des pompes, des déversoirs et des orifices.

Appliquer les flux externes et les intrants de qualité de l'eau provenant des
écoulements de surface, de l'écoulement des eaux souterraines, de
l'infiltration.
Utiliser des méthodes d'onde cinématique ou d'onde dynamique.et aussi
Modéliser divers régimes d'écoulement.
Appliquer des règles de contrôle dynamique définies par l'utilisateur pour
simuler le fonctionnement des pompes, des orifices et des déversoirs.

II.7.Capacité de SWMM :
SWMM intègre une grande quantité de processus hydrologiques afin de simuler le
ruissellement du bassin urbain.
Pluie variable dans le temps et Evaporation des surfaces d’eau.
Accumulation et fonte des neiges et Interception et stockage dans les
dépressions.
Infiltration dans le sol non saturé et Percolation et écoulement souterrain .
Echange entre les eaux souterraines et le système d’assainissement.
Transport par réservoir non-linéaires de l’écoulement.
Il dispose également d’une palette variée de fonctions hydrauliques afin de transférer
les débits à travers un réseau d’assainissement de conduite, chenaux, unité de
traitement, de stockage et ouvrage de diversion. SWMM permet :
De manipuler des réseaux de taille illimitée.
De modéliser des ouvrages hydrauliques tels que des unités de
rétention/traitement.
Des pompes, des ouvrages de diversions, des déversoirs et des orifices.
D’utiliser l’onde cinématique ou l’onde dynamique comme méthode de
routage.
De simuler le fonctionnement des pompes, orifices et déversoirs en fonction
de lois définies par l’utilisateur.
II.8.Modélisation dans SWMM :
Dans SWMM, la réalité est simplifiée à l’aide de quatre(4) compartiments entre
lesquels.
 Le compartiment « atmosphérique » :
Compartiment qui contient les données des précipitations qui vont tomber
dans le compartiment surface de terrain.

 Le compartiment « surface de terrain» :

Il est représenté par un ou plusieurs bassins de drainage qui reçoivent les
précipitations du compartiment atmosphérique sous forme de pluie ou de
neige.
 Le compartiment « souterrain » :
Il reçoit les infiltrations et transfert une partie de ses écoulements dans le
compartiment transport.
 Le compartiment « transport » :
Il est représenté par un réseau d’élément de transport (canaux, conduites,
pompes, etc.) et d’unité de stockage/traitement.
II.9.Etapes d’Utilisation de SWMM :

On utilisé ou bien réalisé généralement les étapes suivantes lorsqu’on utilise EPA
SWMM pour modéliser une zone d'étude:
Définir un ensemble d'options par défaut et propriétés d'objet à utiliser.
Tracer une représentation du réseau des composants physiques de la zone
d'étude.
Modifier les propriétés des objets qui composent le système.
Sélectionnez un ensemble d'options d'analyse.
Exécuter une simulation. Et aussi Voir les résultats de la simulation.
II.10.Utilisation du Logiciel SWMM Pour la modélisation des réseaux
d’assainissement :
Le logiciel SWMM utilise les modèles mathématiques pour tenter de reproduire le
fonctionnement hydrologique ou hydraulique d’un système d’assainissement
existant ou projeté afin d’exécuter une ou plusieurs des tâches suivantes :
Evaluer un réseau existante Concevoir un nouveau réseau.

Dimensionner des ouvrages spéciaux, et Simuler le comportement

hydraulique d’un réseau suite à une extension ou réhabilitation.
Faire des études d’impact sur le milieu récepteur.
Le logiciel SWMM est certainement le plus complet et le plus populaire de tous les
modèles disponibles. il est utilise pour l’analyse des problèmes de qualité des eaux
dans le ruissellement urbain.Il permet de simuler pour un bassin donné :
Les infiltrations et aussi La transformation pluie débit.
L’accumulation en période sec et le lessivage en période de pluie de
neuf polluants.
Le fonctionnement des différents procédés de traitement d’une station
d’épuration.
La qualité des eaux usées et les dépôts en conduite en période de temps
sec.
II.10.1.Différents objets de modélisation :

Modélisation sous SWMM, un système d’assainissement qui représenté par
différents éléments physique : nœuds, tronçons, bassin versants, exutoires, pompes,
bassin de rétention, et orifices.
 Un nœud du réseau : un objet ponctuel qui jouant un rôle dans la description
ou dan le fonctionnement du système d’assainissement.
 Un tronçon du réseau : une partie dont les caractéristiques géométrique
(pente, rugosité, la forme de section) , restent constante et même que les
caractéristiques fonctionnelles. Un tronçon de réseau est limité à l’amont et à
l’aval par un nœuds.
 Un Bassin versant : produisant de l’eau en temps sec telle que toute l’eau
produite puisse être supposée dans le réseau en même pont particulier appelé

exutoire du bassin versant.et pour crée une relation entre le bassin versant et
le système d’assainissement on peut identifier exutoires à un nœud du réseau.
 Un bassin de rétention : Un ouvrage surfacique permettant de stock l’eau.
 Un exutoire : un ouvrage ponctuel associé à un nœud l’exutoire permet
d’établir un relation entre le système d’assainissement et le milieu naturelle.
 Un déversoir latérale : un ouvrage linéaire avec un départ latéral, est limité
par un nœud amont et deux nœuds aval.
 Un capteur ( point de contrôle) :est un point du réseau qui mesure , un capteur
FIGURE II.8 : Schéma De Principe De La Structure Physique Du Réseau .
II.11.Avantage du logiciel :
L’utilisation du modèle offre plusieurs avantages :
Les paramètres utilisés sont physiques (surface, pourcentage imperméable,
pente, rugosité, géométrie de la canalisation ...).
Amélioration continuelle du modèle et vérifications très fréquentes.
Simulations des surcharges et usage très versatile du modèle.
Possibilité d’utilisation pour les études d’impact.
Documentation complète et détaillée.
II.12.Fonctionnement d’une simulation :
Une fois que la zone d'étude a été convenablement décrite, on peut simuler la
réponse au ruissellement, l'acheminement du débit et le comportement de la qualité

de l'eau. Cette section explique comment spécifier les options à utiliser dans
l'analyse, comment exécuter la simulation et comment résoudre les problèmes
courants qui peuvent se produire.
II.13.Différents méthodes de calcul du SWMM :
II.13.1.Modèle d’infiltration d’Horton :
Le modèle empirique de Horton (1933) reproduit mathématiquement la

décroissance temporelle de l’infiltration, due à l’augmentation de la teneur en eau
du sol. Ce modèle, décrit Schématiquement à la figure (Figure II.9 )compte trois
paramètres : i0 le taux d’infiltration initial, if le taux d’infiltration limite et γ un
paramètre dont dépend la rapidité de décroissance de L’infiltration. L’équation de
Horton s’écrit :
iinf =if +(i0−if)e−γt

Dès lors, l’intensité de pluie nette s’obtient par :
inette =i−if si i>iinf ou inette= 0 si i ≤iinf
Le Soil Conservation Service (SCS 1975) a établi une classification des types de sols
et propose des valeurs caractéristiques pour les coefficients i0 et if. (Tableau II.1).

FIGURE II.9 : Evaluation temporelle de l’infiltration selon Horton et définition

schématique des paramètres i0et if.
FIGURE II.10 : Model de Horton.

Evaluation des paramètres de Horton:
 Imax :Capacité d’infiltration maximale du sol (Max,Infil-Rate).
TABLEAU II.1: Evaluation des paramètres de Horton.

Type de sol Imax : ( Max,Infil,Rate)
A)sol SEC avec peu ou pas de
/
végétation
sableux 125mm/h
Limoneux 75mm/h

Argileux 25mm/h
B) sol SEC avec végétation dense Multiplier par 2 les valeurs de A)
C) Sol HUMIDE
Diviser par 3 les valeurs de A) ou
Drainé (A la capacité au champ)
B)
Proche de la saturation Choisir une valeur proche de imin
Diviser par 3 les valeurs de A) ou
Partiellement drainé
B)
 Imin :capacité d'infiltration minimale du sol : (Min. Infil. Rate).
 Durée d'assèchement du sol (Drying Time) Durée (en jours) pour
passer d'un sol saturé à un sol complètement sec. Usuellement entre 2
et 14 jours.
 Volume maximum in filtrable (Max. Infil. Volume) en mm (0 si non
applicable).
II.13.2.Modèle de réservoir non linéaire :
Dans le but de mieux représenter le caractère non linéaire des écoulements

transitoires à surface libre, certains chercheurs ont proposé d’utiliser des modèles de
stockage non linéaire (kidd, 1978). Le volume du réservoir en fonction de la hauteur
d’eau h à l’aval du plan:
𝟏 𝟏
𝐕 = × 𝐋𝐁𝐡 = 𝐀𝐡
𝟐 𝟐
Avec( A) est la surface du bassin versant
La méthode du réservoir non linéaire est basée sur le couplage de l’équation de

continuité et de l’équation de Manning-strickler.
D’une manière générale, l’équation de rétention d’un réservoir s’écrit :

𝐝𝐯
= Qe – Qs
𝐝𝐭
Où :
v est le volume du réservoir.
Qe : le débit entrant .
Qs : le débit sortant.
𝟓
Qe = inette ×A QS=𝐁𝐊√𝐣𝟎 𝐡 𝟑
FIGURE II.11 :Description Schématique Du Réservoir Non Linéaire Dans Le

Modèle SWMM.
Le modèle SWMM fournit un hydrogramme de crue à l’aval du bassin versant

considéré (Bennis ,2009)
𝟏. 𝟒𝟗 𝟓 𝟏
𝑸= 𝑩(𝒅 − 𝒅𝒑)𝟑 𝑺𝟐
𝒏

FIGURE II.12 : Représentation Simplifie La Largeur De Bassin.
 Ecoulement dans les réseaux :
Trois méthodes de propagation des débits sont proposées par SWMM par ordre de
rigueur croissant :
Modèle de la translation simple en régime permanent uniforme.
Modèle de l'onde cinématique.
Modèle de l'onde dynamique.
II.14.Le régime Uniforme :
Modèle de la translation simple en régime permanent uniforme C'est le modèle le

plus simple possible. Il considère à chaque pas de temps de calcul, que l'écoulement
est permanent et uniforme. Pour relier à chaque pas de temps, le débit et hauteur
d'eau dans chaque tronçon, il utilise l'équation de Manning-Strickler. Les
hydrogrammes entre l'entrée et la sortie des conduites, ne subissent ni décalage
dans le temps, ni amortissement. Ce type de modèle ne peut représenter ni les effets
de stockage de l'eau dans les réseaux, ni les phénomènes d'influences aval, ni les
inversions du sens de l'écoulement, ni les écoulements en charge. De plus son

utilisation est restreinte aux réseaux ramifiés (non maillés).
II.15.Synthèse des travaux réalisé :
Depuis sa création, SWMM a été utilisé dans des milliers d'études d'égouts
et d'eaux pluviales à travers le monde. Les applications concernées sont :
Conception et le dimensionnement des composants du système

d’assainissement pour le contrôle des inondations.
Dimensionnement des installations de détention et leurs accessoires

pour le contrôle des inondations et la protection de la qualité des
eaux.
Cartes des plaines inondables des systèmes de canaux naturels.
La conception de stratégies de contrôle pour minimiser les

débordements d'égouts combinés.
Évaluer l'impact des afflux et l'infiltration sur les débordements

d'égouts sanitaires.
Générateurs non-charges ponctuelles sources de polluants pour les

études de répartition de charge des déchets.


Chapitre III : Résultats Et Discussion.

L’Assainissement est une démarche visant à améliorer la Situation sanitaire globale
de l’environnement en supprimant toute cause d’insalubrité, Il est composé de
différents phases allons de la collecte à l’évacuation des eaux usées et les eaux pluvial
On à deux types de réseaux :
L'Assainissement autonome.
L’Assainissement collectif.
Dans de nombreux pays, le financement des services publics de l'assainissement n'est

pas assuré, c'est pourquoi sa gestion est de plus en plus déléguée aux entreprises
privées.
L’assainissement est une question de santé publique mais l’assainissement aves

plusieurs problèmes ,pour que les problèmes se renouvellent à l’approche de l’hiver
la pluie (averse) apporte beaucoup de boues et sables ainsi que certains déchets tel
que les feuilles des arbres, ce dernier constate qu’un réseau de assainissement
(caniveaux) n’est pas prêt pour l’eau de pluie.
Dans ce Chapitre, nous présentons la zone d'étude avec les résultats de la simulation
du réseau a une averse pluviométrique ,pour but de d’examiner la réponse
hydraulique de notre réseau et détecter les points noir causés par le risque de
débordement.
III .1.Données de base :
III.1.1. Délimitation du Bassin d’étude :
PEF en License Hydraulique 38

Afin de Simuler l’événement et aussi Identifier les points noirs (les points
d’inondation) en utilisons le logiciel SWMM (voir le chapitre 2),nous découpés à
chaque sous bassin ces caractéristique morphologique, et hydrographique demandés
par logiciel ainsi que les valeurs utilisées per omission dans SWMM.
LA carte Topographique 1/1000 de chlef (commune zebouje) a permis de délimité la

zone d’étude en sous bassin versants.
FIGURE III.1 : Les Sous Bassin Versants De La Zone Zebouje.
III.1.2.Averse et période de retour :
Pour Un Périmètre urbain déterminer, les débits à prendre en considération, par les
événements pluviaux contre lesquels on a se protéger .Une protection totale contre
les inondations causes par la pluie serait excessive, on est donc amené à admettre des
insuffisances de réseaux pour des événements pluviaux ayant des périodes de
retours T.

Les périodes de retours admises dans le schéma directeur national sont :
2 ans en tête de réseau.

5ans sur le collecteur secondaire.
10 ans sur les émissaires principaux.
III .2.Gestion et exploitation du réseau :
Le réseau d’assainissement représente un patrimoine important particulièrement

pour les collectivités.
Pour illustrer notre réseau voila la figure ce dessus récapitulatif de notre réseau en
utilisant logiciel SWMM (voir le chapitre 2).
Tableau ce dessus qui présente des éléments du réseau :
TABLEAU III.1 :Caractéristique Des Conduites De La Zone D’étude.
CONDUITE Diamètre Rugosité Longueur Matériaux

N°
TE D(mm) R(mm) L(mm) M(mm)
Béton
1 J1-J2 150 0.013 400
Arme
Béton
2 J2-J3 150 0.013 400
Armé
Béton
3 J3-J4 150 0.013 400
Arme
Béton
4 J4-J5 150 0.013 300
Arme
Béton
5 J5-J6 150 0.013 300
Arme

Béton
6 J6-J7 150 0.013 400
Arme
Béton
7 J7-J8 150 0.013 400
Arme
Béton
8 J8-J9 150 0.013 400
Arme
Béton
9 J10-J11 150 0.013 300
Arme
Béton
10 J11-J12 150 0.013 300
Arme
Béton
11 J12-J13 150 0.013 300
Arme
Béton
12 J13-J14 150 0.013 300
Arme
Béton
13 J14-J15 150 0.013 400
Arme
Béton
14 J15-J23 150 0.013 400
Arme
Béton
15 J23-J24 150 0.013 400
Arme
Béton
16 J24-J25 100 0.013 500
Arme
Béton
17 J25-J26 150 0.013 400
Arme
Béton
18 J26-J27 150 0.013 300
Arme
Béton
19 J27-J28 150 0.013 200
Arme

Béton
20 J21-J22 150 0.013 250
Arme
Béton
21 J20-J21 150 0.013 300
Arme
Béton
22 J19-J20 150 0.013 300
Arme
Béton
23 J18-J19 150 0.013 400
Arme
Béton
24 J17-J18 150 0.013 400
Arme
Béton
25 J9-J17 150 0.013 400
Arme
III.3.Simulation De La Réponse Hydraulique Du Réseau Par SWMM :
Averse :En Introduisant les données de la verse dans le logiciel swmm a ressorti un
certain nombre de défaillances qu’on peut résumer comme suit :
Un nombre important de débordements au niveau des Regrad Comme : J28

,J23.

FIGURE III.2 :Sortie De Résultats EPA SWMM Aprés Simulation.
FIGURE III.3 : Profil En Long Tronçon J9-J18.

Nous allons vous donner quelques exemples sur les considérations de notre réseau
FIGURE III.4: Le Débordement Dans Le Regard J23-J25
Dans notre réseau, Il ya quelques problèmes des point noires, dont, le réseau déborde
particulièrement dans les saisons d’Automne et Hiver causé par les forts
précipitations de courte durée.
Après l’investigation sur terrain en remarquée
Nous savons que dans les réseaux d’assainissement on travaille avec 80% de
diamètre du conduite, de plus, les déchets solides se stagnent dans les tuyaux,
ce qui diminue le diamètre des conduites et diminue le débit des eaux
évacués.
Quelques tronçons du système d'assainissement ne supportent pas le volume
de débit par rapport à l'expansion urbaine.
La présence d'un reflet de la pente du canal, qui entrave l'écoulement normal
de l'eau.

Les déchets solides bloquent le passage des eaux usées.
FIGURE III.5 : Profil En Long Tronçon J22-J20.

.
FIGURE III.6 : L’effet De Précipitation Sur Notre Réseau.

III.4.Solutions et intervention :
Pour Eviter tout ca en va chercher des solution efficaces qui protége notre réseau
de la destruction :
Purger les campagnes.

Renforcement des réseaux d’assainissement .
Faire des filtres dans les regards pour faciliter l’élave des déchets solides.
A grandir les diamètres des conduite d’assainissement.
Des exemple de solutions :
FIGURE III.7 : Pas de débordement a cause de changement de diamètre.

avec le modèle SWMM (Storm water management model).
Conclusion Générale
Conclusion Générale.
L’Objective de Cette mémoire Consiste à faire une Simulation du réseau
d’assainissement de la cité de Zebouje (Wilaya de Chlef), afin d’identifier les points
noire au débordement suite à une averse pluviométrique courte durée.
La simulation sera effectuée à l’aide du modèle ‘’Storm water management model

(SWMM) ‘’.
Après la simulation, les dysfonctionnements constatés sur les réseaux existants sont à
imputer, en majeure partie, à des erreurs initiales de conception et de
dimensionnement.
Cette étude a montré aussi que les dysfonctionnements constatés sur les réseaux
existants sont à imputer, en majeure partie, à des erreurs initiales de conception et de
dimensionnement. C’est pour cela que la conception d’un système d’assainissement,
l’exploitation et le contrôle des réseaux existants, doivent revêtir un grand intérêt et
doivent être menés avec beaucoup de rigueur.
À la future, l’élaboration d’un outil informatique tel que les SIG est très indispensable
pour le gestionnaire du réseau pour savoir appréhender correctement le
fonctionnement des réseaux d’assainissement.

Références
Hadi Mamouni (2013). Gestion des eaux pluviales et usées en lutte contre les
inondations. MÉMOIRE de Master UNIVERSITÉ MEHAMED ECHRIF MESSADIA–
SOUK-AHRAS.
Bourai S. (2005). Diagnostic et extension du réseau d’assainissement de la ville de Fouka

wilaya de Tipaza. Mémoire d’ingénieur d’état en Hydraulique. ENSH.
Deraissedik. (2005). étude de renovation et d’extension du reseau d’assainissement de

la
ville de chebli (w.Blida).. Mémoire d’ingénieur d’état en Hydraulique. ENSH.
Storm Water Management Model User's Manual Version 5.2.
cycle urbain de l’eau - Eau et santé
Site internet :
https://books.openedition.org/septentrion/15687?lang=fr.
Projet de Fin d’Etudes Pour l’obtention du diplôme de Master en Hydraulique Option :

Hydro-Informatique /MLLE FANDI Hasna Wafaa MLLE BENAZZA Fatima Zohra .
Thème SIMULATION D’UN RESEAU D’EAU PLUVIALE A L’AIDE DU LOGICIEL
SWMM (STORM WATER MANGEMENT MODEL) .

Project Fin D'Etude: Licence

Transféré par

Informations du document

Titre original

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Project Fin D'Etude: Licence

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Faculté de Génie Civil et d’architecture.

Zerouali Bilel Docteur/MAB Université Hassiba Benbouali de Chlef Rapporteur

Année universitaire : 2021/2022

Je profite de l’occasion pour exprimer mes remerciements particuliers à mes

Nous tiendron sà exprimer notre reconnaissance et notre gratitude à notre cher

Un mémoire, nécessite le concours d’un certain nombre depersonnes. Notre

A mes chères sœurs : Rima, chaima,

Toute la famille que prend le nom TOUBA.

A mes amis surtout : Harmal doumia , Badni Maroua

, Mohammed Amin Felfoul Bilal legraa,

Maamer iIdriss ,Youcef Mohammed Sahnoun.

Negadi zohra, Rasselkaf Ibtissam.

A toute ma promotion 3 émeannée licence Hydraulique 2021/2022

Je le dédice à ma petite famille ,en particulier à ma mère et

Et à tous mes amis à l’intérieur et à l’extérieur de la filière

Je remercie beaucoup d la secrétaire Amina et tous les membres de

et c’est metante,que dieu ait pitié d’elle

Mots Clés : L’assainissement , Simulation, SWMM, Chlef.

‫تعزي في الغالب إلى أخطاء التصميم و التحجيم األولية‬

.SWMM، ‫ محاكاة‬، ‫الصرف الصحي‬: ‫الكلمات المفتاحية‬

initial design and sizing errors.

Key words: Sewage, simulation, SWMM.

LISTE DES TABLEAUX.

ChapitreⅠ : présentation de la zone.

Ⅰ.2. Situation hydro-morphologique : ………………………………………………….....6

Ⅰ.2.A .Le relief ……………………………………………………………………………….7

Ⅰ.4.C. Les vents ……………………………………………………………………………….9

Ⅰ.6.A.La durabilité de la ressource en eau …………………………………………12/13

Ⅰ.7.Alimentation en eau potable ………………………………………………………….14

Ⅰ.8.Le réseau d’assainissement…………………………………………………………….14

Chapitre II : présentation de logiciel.

II.2.Description du logiciel SWMM……………………………………………..……16/17

II.3.Objectif visuels (Visual objectif)………………………………………………….…..17

II.3.3.Nœuds de jonction (Junction nodes)……………………………………………….21

II.3.4.Nœuds de sortie (out fall nodes)……………………………………………….22/23

II.3.5.Nœuds de diviseur de flux (flow Divider Nodes)………………………..……....23

II.3.6.Unités de stockage (Storage units)………………………………………………….23

II.3.7.Les collecteurs …………………………………………………………….....24/25/26

II .3.8. Régulateurs de débit (flow Regulators)……………………………………….…26

II.3.9. Etiquettes de carte (Map labels) ……………………………………………….…26

II.4. Objets non visuel (Non-Visual objects)……………………………………………26

II.5. Objectif du logiciel SWMM ……………………………………………………...26/27

II.6.Contenu du logiciel SWMM……………………………………………………..27/ 28

II.8.Modélisation dans SWMM ……………………………………………………….…..29

II.9.Etapes d’utilisation de SWMM …………………………………………………29/30

II.10.1.Différents objets de modélisation………………………………………………....31

II.11.Avantage du logiciel …………………………………………………………………32

II.12.Fonctionnement d’une simulation…………………………………………………..32

II.13.Différents méthodes de calcul du SWMM……………………………………........32

II.13.1.Modèle d’infiltration d’Horton……………………………………………….33/34

II.13.2.Modèle de réservoir non linéaire ………………………………………34/35/36

II.14. Le régime Uniforme…………………………………………………………………36

II.15.Synthèse des travaux réalisé …………………………………………………….…37

III.1.1.Délimitation du bassin d’étude…………………………………………………39

III.1.2.Averse et période de retour …………………………………………………39/40

III .2.Gestion et exploitation du réseau …………………………………………40/41/42

III.3.Simulation De La Réponse Hydraulique Du Réseau Par

Chapitre I : Présentation de la zone d’étude.

Chapitre II : Présentation de logiciel SWMM.

Figure II.2 : Objets physiques utilisés pour modéliser un système

Figure II.3 : Paramètres de la station pluviométrie (Rain cage)……………………………...19