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FI LI ERE: SCI ENCES ECONOMI QUES ET GESTI ON

PROJ ET FI N D’ ETUDES
POUR L’ OBTENTI ON DE LI CENCE D’ ETUDES FONDA ME NTALES

LLJ DBBJ DJ LA
COMMERCE ELECTRON I QUE AU MAROC

Encadr é par : Réali sé par :

Mr. J AOUAD OBAD HANANE BAYEZZOU

SANA BARI

Année
uni versitaire 2023_2024

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RE MERCI EME NTS

Au titre de ce modest e travail on ti ent à re merci er Di eu qui nous a ai der et accor der l a pati ence
et l e cour age ; et à nos par ents pour l eur souti en mat éri el et mor al durant ces l angues années
d’ ét ude.

Ces re merci e ments vont tout d’ abor d à l’ adresse de t ous l es pr of esseurs et admi ni strat eurs de
l a facul té POLYDI SCI PLI NAI RE ERRACHI DI YA. Pour l a ri chesse de l a qualité de l eur ensei gne ment
et qui dépl oi ent de grands eff orts pour assurer à l eurs ét udi ants une f or mati on act uali sée.

Nous re merci ons pl us parti culi ère ment notre encadrant «J AOUAD OBAD »pour avoi r
acti ve ment contri bué à notre encadr e ment ri goureux tout en ne pas oubliant ses
encour age ments et son ori ent ati on.

Nous tenons aussi à re merci er tout es l es autres personnes ayant contri bué de près ou de l oi n à
l a réali sati on de ce mé moi re, qu’ ell es trouvent i ci notre enti ère gratitude.

2
DE DI CACES
A

Nos parents

Pour l es sacrifi ces dépl oyés à nos égar ds ; pour l eur

Pati ence Leur amour et leur confi ance en nous

Ils ont tout f ait pour notre bonheur et notre réussite.

Qu'ils trouvent dans ce modest e travail, l e té moi gnage de

Notre Pr of onde affecti on et de notre attache ment

I ndéf ecti bl e. Null e dédi cace ne pui sse expri mer ce que nous

Leur devons Que di eu l eur réserve l a bonne sant é et une

Longue vi e.

Nos chers frères

Pour l eur encour age ment l eur sout eni r

Et l eur ai de pendant tout l ong année et à nos chers s œur

Nos ami s

Pour l es eff orts Qu'ils ont consenti s

Pour nous sout eni r au cours de nos ét udes.

Que di eu nous gar de touj ours uni s

Tout e personne qui ai de nous à f aire notre pr oj et.

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S OMMAI RE
Re merci e ments …………………………………………………………………………………………………………………………………. .. 2
Dédi caces ……………………………………………………………………………………………………………………………………………. . 3
So mmai re................................................................................................................................................. 4
SYNTHESE ................................................................................................................................................ 5
I ntroducti on ............................................................................................................................................ 6

Chapi tre1 :. Vue génér al e sur l’ e-commerce.............................................................................. 7

1- E-commer ce……………………………………………………………………………………………………………………………. … 7
1. 1)- Défi niti on............................................................................................................................... 7
2- Hi stoi re et l es types de e-commerce.............................................................................................. 7
2. 1) - Hi stoi re………………………………………………………………………………………………………………………. . ………7
2. 2) -l es types ………………………………………………………………………………………………………………………………. 8

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SYNTHESE
Le e-co mmerce a connu un fort dével oppe ment au cours des ci nq der ni ères années : il attei nt 31
mi lli ards d’ € en 2010, contre 8, 4 milli ards d’ € en 2005, soi t une mul ti pli cati on par 4 en ci nq ans.

En 2010, 58% des personnes âgées de 18 ans et pl us ont comma ndé des pr odui ts ou servi ces par
I nter net, contre 51% 2 ans pl us tôt. Et l e mont ant annuel moyen dépensé par achet eur attei nt 1113€. La
France se situe au 9i è me rang eur opéen sur l e taux de cyberachet eurs dans l a popul ati on.

Le no mbr e de sites marchands actifs est de 81 900 en 2010, il doubl e tous l es 2 ans. Ces sites empl oi ent
auj our d’ hui 60 000 personnes.

Le secteur du e-co mmerce reste encor e fragil e économi que ment, peu de sites présent ent une
rentabilité nette positi ve : les taux se situent maj oritaire ment entre - 5 et +5%. Gl obal e ment, l a
rentabilité reste fai bl e.

Le e-co mmerce est une opport uni té pour l e commerce physi que de dével opper sa cli ent èl e aux ni veaux
nati onal et i nter nati onal. C’est égal e ment un mode d’ achat appr éci é par l es consommat eurs qui
trouvent une ga mme de produi ts pl us l arge, des pr omoti ons réguli ères et des prix pl us bas par une
capaci té à mi eux compar er l es pri x. Gl obal e ment, l es ét udes montrent que l e dével oppe ment du e-
co mmerce a un i mpact de -0, 2 poi nt d’i nfl ati on envi ron chaque année. Par aill eurs, l es conso mmat eurs
utilisent I nter net pour acheter moi ns cher. En 2010, l a moyenne des pri x des pr odui ts achet és sur
I nter net est de - 11% pour les vêt e ments masculi ns ; -7 % pour l es vêt e ments fémi ni ns et -2, 5% pour l es
vêt e ments enf ants.

L’ anal yse des prati ques commer ci al es des différents sites a mis en évi dence di x manque ments au cadr e
j uri di que qui sont autant de prati ques dél oyal es vi s-à-vi s de l a concurrence que de mauvai ses
i nf or mati ons données au conso mmat eur. Par mi l es plus cités, on reti endra l es taux de bai sse abusifs sur
l es pri x par l’ affi chage de pri x de réf érence erronés ou des quantités i nsuffi sant es de pr odui ts concer nés
par ces bai sses de pri x, l a réali sati on de sol des décl arés en vent es pri vées. .. En 2010, l a DGCCRF a
constaté ces manque ments aupr ès de 4% des sites. Une attenti on parti culi ère doi t égal e ment porter sur
l es di storsi ons de concurrence i ndui tes par l es différences de règl e ment ati on au ni veau i nter nati onal.
Pour autant, il n’ est pas nécessai re de réf or mer l a l égisl ati on sur l e e-co mmerce, quel ques
a ménage ments à l a marge suffi sent.

Les reco mmandati ons s’i nscri vent dans un cont ext e visant à :

o pr ot éger l e dével oppe ment du e-co mmerce par un mei ll eur acco mpagne ment des sites (f or mati on,
charte d’ engage ment) et par une har moni sati on i nternati onal e du cadr e j uri di que ;

o assur er une meill eure i nfor mati on à déli vrer au conso mmat eur pour mi eux établir sa confi ance (l abel
déli vré aux sites, affi chage d’i nf or mati ons obli gat oi res sur l es pages d’ accueil, réalisati on d’ un gui de de
bonnes prati ques, transparence des acti ons de contr ôl es réali sées par l a DGCCRF, créati on d’ un
observat oi re de l a sati sfacti on des conso mmat eurs)

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I NTRODUCTI ON

La der ni ère décenni e a ét é mar quée par l e dével oppe ment des TI C ( nouvell es t echnol ogi es de
l’i nf or mati on et de l a communi cati on), et surt out de l’I nter net.

Ce dével oppe ment t echnol ogi que a pr ovoqué des mut ati ons pr of ondes dans l’ envi ronne ment
écono mi que des entrepri ses et l a nai ssance d’ une nouvell e écono mi e ou d’ un nouveau marché di t
« marché vi rtuel ».

Ce nouveau co mmer ce à travers I nt er net se caract éri se par une cr oi ssance très r api de, t ouchant des
sect eurs i mportants de l’écono mi e: di stri buti on, sect eur bancai re, secteur touri sti que et hôt eli er.
Dés or mai s, l es chances de dével oppe ment du co mme rce él ectroni que dans un sect eur écono mi que s ont
f orte ment i nfl uencées par s on pot enti el à apport er des avant ages concurrenti el s aux di vers act eurs
écono mi ques.

Certai ns aut eurs consi dèr ent l es nouvell es t echnol ogi es de l’i nf or mati on et de l a c o mmuni cati on co mme
des pr ogrès t echnol ogi ques qui n’ ont pas de val eur pr opr e mai s qui ti rent l eur i mportance de l eur
pot enti el à ai der l es entrepri ses à att ei ndr e certai ns obj ectifs opér ati onnel s, et qui pourrai ent off rir aux
entrepri ses des perspecti ves i ntéressant es en ter mes de rent abilité et d’ avant ages concurrenti el s.

Par aill eurs, l e co mmer ce él ectroni que se tr ouve encor e, dans l a maj orité des sect eurs écono mi ques, à
un st ade e mbr yonnai re. En s e r éf érant aux travaux r éali sés dans l es di vers do mai nes du co mmer ce
él ectroni que, nous avons re mar qué que, mal gré l a proliférati on des si tes web et l a f orte cr oi ssance du
no mbr e des utilisateurs d’ I nter net, l es i nt err ogati ons à l’ égar d des apports et du r yt h me f ut ur de l a
di ff usi on de cette i nnovation de meur ent no mbr euses, et l es pr édi cti ons sur son s uccès co mmer ci al se
sont avérées souvent trop opti mistes et ri squées.

Certai ns aut eurs affir ment que l es échecs d’ entrepri ses sur l e marché vi rtuel sont s ouvent dus à
l’ adopti on d’ une stratégi e de mar keti ng i nadapt ée et que l e s uccès du co mmer ce él ectroni que nécessi te
l’ adopti on de nouvell es strat égi es mar keti ng en cohérence avec l es exi gences du nouvel envi ronne ment
concurrenti el et l es caractéri sti ques du marché virtuel.

L e e- co mmerce se dével oppe dans l es di vers sect eurs écono mi ques avec des pr oporti ons di spar at es
s’ expli quant par des di vergences struct urell es et l es t ypes des bi ens et services vendus. Ai nsi, une
anal yse ri gour euse du pot enti el de dével oppe ment du c o mmerce él ectroni que ne doi t pas se li miter à l a
générali sati on ou à l a transposi ti on des r ésul tats observés dans un sect eur d’ acti vité parti culi er vers
d’ autres sect eurs, sans teni r co mpt e des caractéri sti ques et des s pécifi cités de chaque s ect eur
écono mi que à ét udi er. Notre i nt érêt pour ce servi ce s’ est f ocali sé sur l a mi se au poi nt d’ un si te de e-
co mmerce qui est l a pr e mi èr e ét ape et une ét ape de t aill e, car c’ est ell e qui va peser sur l a r éussi te ou
l’ échec des vent es vi a l e net.

htt p: // www. ue. kat owi ce. pl/upl oads/ medi a/18_A. Makhl oufi _ M. Bel attaf _Le_co mmer ce_el ectroni que.... p
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Chapi tre1 : Vi si on gl obal e du E-co mmerce

I.E-co mmerce :
1- Défi niti on :

On appell e « Co mmer ce él ectroni que » ( ou e- co mmerce) l’ utilisati on d’ un médi a él ectroni que


pour l a r éali sati on de transacti ons co mmerci al es. La pl upart du t e mps i l s’ agit de l a vent e de
pr odui ts à travers l e réseau i nt er net, mai s l e t er me de e- co mmer ce engl obe aussi l es
mécani s mes d’ achat par i nternet ( pour l e B-t o- B).
Extrai t du docu ment i ntitul é « I ntroducti on au e- Co mmer ce ( Co mmer ce él ectr oni que) » i ssu de Comment Ça Marche
( www. co mment ca marche. net) et mis à di sposi ti on sous l es ter mes de l a li cence Créati ve Co mmons.

2- Hi st oi re et l es types de e-commerce

2. 1 - Hi stoi re :

Les débuts et l’ évol uti on du co mmerce él ectroni que s ont i nti me ment li és avec l’ évol uti on et l a
génér ali sati on d’I nt er net. Depui s pr ès d’ une décenni e, l e sect eur de l’I nter net enr egi stre des
chiffres de cr oi ssance i mpr essi onnants mai s il est i nt éressant de r eveni r au début du e-
co mmer ce.

Au départ, l’ absence d’ aut orité central e capabl e de défi ni r des r ègl es et de l es sancti onner a
l ai ssé crai ndre une certai ne f or me d’ anarchi e sur I nt er net et a l arge ment frei né l e
dével oppe ment d’ acti vités co mmerci al es sur ce réseau. Il s’ est f or mé, quasi nat urell e ment, une
sorte de code de bonne condui te ( Néti quett e) qui a l ongt e mps r égul é l es co mport e ments sur l e
réseau. L’ utilisati on du r éseau à des fi ns commer ci al es a l ongt e mps f ai t parti e de ces
co mport e ments r ej et és. Il y a égal e ment d’ autres f act eurs expli quant un décal age dans l’ arri vée
du e- co mmer ce. En effet, l a l angue pri nci pal e dans l es débuts de l’Int er net, ét ai t pr esque
excl usi ve ment l’ angl ai s. De pl us, l’ ergono mi e et l e graphi s me ét ai ent très so mmai res et peu
adapt abl es à des acti vités de vent es.

Mai s surt out, l’ esprit des pri nci paux act eurs de l’Int er net, dans l es années 80 et 90 ét ai t ori ent é
vers l e partage grat ui t et li bre de l’i nf or mati on. Esprit, l à encor e, peu co mpati bl e avec des
acti vités commerci al es.

L’ ouvert ur e du r éseau au gr and publi c et l a générali sati on des accès à I nt er net ont
co mpl èt e ment i nversé ces f act eurs de r al enti sse ment. Mê me si l’i dée de gr at ui té de
l’i nf or mati on est t ouj ours pr ésent e, cette évol uti on ét ai t nécessai re. Le r éseau ne pouvai t
conti nuer à accueillir un no mbr e d’ utilisateurs t ouj ours pl us cr oi ssant sans accept er et
pr o mouvoi r un modèl e écono mi que vi abl e. Le coût des i nfrastruct ures de t él éco mmuni cati on

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ne peut en eff et être fi nancé que par l es seul s abonne ments versés aux f our ni sseurs d’ accès à
I nter net.

Fi xer une dat e pr éci se au l ance ment des acti vités pur e ment co mmerci al es sur I nt er net par ai t
un exerci ce quasi ment i mpossi bl e mai s no mbr eux sont ceux qui s’ accordent à l e si tuer vers l e
mi li eu des années 90. Une certitude, par contre, c’ est que l a nai ssance et l e dével oppe ment de
l’ e-commer ce s ont li és à des évol uti ons t echni ques si gnifi cati ves du r éseau, au dével oppe ment
de l a vent e à di stance et, d’ une mani ère général e, à l’ évol uti on mê me de l a soci ét é et à s on
ouvert ur e vers ce réseau.

Source : www. e- co mmer ce. eu

2. 2-l es types

- l' échange él ectroni que entre entrepri ses, souvent appel é B t o B ( acr ony me angl ai s de Busi ness t o
Busi ness) ;

- l e co mmer ce él ectroni que à desti nati on des parti culi ers, ou B 2 C ( Busi ness t o Consu mer). Il s' agi t de
sites web marchands, type tél é- achat ;

- l e co mmerce él ectroni que entre parti culi ers, ou C2C ( Consu mer t o Consu mer). Il s' agi t de si tes web
per mettant l a vent e entre parti culi ers (i mmobili er, bourses, annonces, échanges...) ; - l' échange
él ectroni que entre l es entrepri ses pri vées et l e gouver ne ment, souvent appel é B2G ( Busi ness t o
Gouver ne ment) ou B to A (Busi ness to Ad mi ni strati on).

Par mi l es pri nci paux bi ens et servi ces vendus par i nter net aux parti culi ers ( B2C) : - l es bi ens cul turel s,
co mme l es: li vres, CD et DVD

- l e mat éri el i nf or mati que, hi -fi, vi déo, phot o…

- l e secteur du touri s me et des l oi sirs : séj ours, voyages, l ocati ons, bill ets de train, d' avi on...

- l es bi ens de conso mmati on courant e (vête ments, meubl es, él ectroménager, j ouets).

On tr ouve des systè mes de vent e s péci al ement adapt és à i nt er net : dével oppe ment de phot ogr aphi es
nu méri ques, t él écharge ment de musi que, vent e aux enchèr es entre parti culi ers, l ocati on de DVD par
i nter net.

Enfi n, de no mbr euses entrepri ses pr oposent des services sur i nt er net, payants ou non t el s que : banque
en li gne, assurance en li gne, presse en li gne

htt p: // www.l adocu ment ationfrancai se.fr/dossi ers/i nter net- monde/co mmerce- electroni que. sht ml

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