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Thème :
Influencées
Année : 2023/2022
1
Remerciements
J’adresse aussi mes vifs remerciements aux membres des jurys pour
voir bien voulu examiner et juger ce travail.
2
Dédicace
A Dieu, tout puissant, source intarissable de toutes connaissances,
A ceux qui ont su éclairer notre chemin,
A ceux qui ont su forger notre personnalité,
A ceux qui se sont toujours privés pour nous combler,
Nos chers parents ! A ceux qui ont bien voulu partager des
moments intenses, si merveilleux, jamais oubliables, Nos familles
fassies !
A nos frères, En nous souhaitons de réussir notre vie, pourvu
qu’on trouve le chemin de nos ambitions,
A nos grands-parents, A nos tantes..., nos familles,
A nos amis, Pour leurs conseils et leur soutien,
A nos professeurs, Pour l’enseignement précieux qu’ils nous ont
inculqué,
A toute personne qui nous ont aidés à tout moment à franchir un
cap dans notre vie. Nous dédions ce modeste travail
3
Contents
Introduction générale...........................................................................................................................5
Partie théorique : Le e-commerce, essaie de conceptualisation.......................................................7
Chapitre I : Étude générale du concept e-commerce.........................................................................8
1. Introduction..................................................................................................................................8
Section 1 : généralités sur le commerce en ligne.................................................................................8
1. L’apparition et l’évolution :........................................................................................................8
2. Definitions des concepts clés :....................................................................................................9
3. les objectifs et la place du commerce en ligne..........................................................................13
SECTION 2 : L’organisation de la fonction commerce en ligne......................................................15
1. Les missions de commerce en ligne..........................................................................................15
2. La relation entre commerce en ligne avec les autres services fonctionnel................................17
Chapitre 2 : l’impact des influencer sur la performance du commerce en ligne..........................21
Section 1 : le concept de notion des influencer vers les services commercial....................................21
1. Les définitions de notion..........................................................................................................21
2. Caractéristiques de performance...............................................................................................22
1. La performance commerciale...................................................................................................24
Parti empirique : Le e-commerce au Maroc, cas de la ville d’Agadir............................................29
Chapitre 3 : site d’intervention et approche méthodologique.........................................................30
Section 1 : Vision de près à Agadir:..................................................................................................30
1. Situation géographique :...............................................................................................................30
2. Potentialités économiques:.......................................................................................................31
Section 2 : Cadre général de l’enquête :...........................................................................................33
1. Le choix de l'échantillon:...........................................................................................................33
2. Choix de questions:.....................................................................................................................33
3. Les outils de traitement :............................................................................................................34
Chapitre 4 : analyse et interprétation des résultats.........................................................................35
Section 1 : Analyse des données.........................................................................................................35
Section 2 : Interprétations des résultats :.........................................................................................44
Conclusion générale...........................................................................................................................47
Références...........................................................................................................................................48
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Introduction générale
Le monde a connu des changements importants dans tous les domaines, en particulier dans
le secteur technologique .Actuellement, le secteur des technologies de l’information contribue
au développement économique et social en ce sens qu'il contribue de manière significative à
la mondialisation économique et à l'internalisation du changement. En fait, de nombreuses
personnes ont fait l’éloge du commerce électronique en tant que moyen pour les pays en
développement de s'établir plus solidement dans le système commercial multilatéral.
Depuis 2007, lorsque le gouvernement marocain a mis en place la possibilité de payer avec
des cartes bancaires marocaines, le nombre d’entreprises engagées dans le commerce
électronique n'a cessé de croître. RAM, CNSS, OMPIC...Néanmoins, malgré les efforts de
l’État, le e-commerce ne connaît pas une croissance rapide en raison d’un certain nombre de
freins, dont les plus importants sont des habitudes de consommation qui ne favorisent pas
pour l' instant les achats à distance. Cependant, depuis 2020, pendant la période COVID, le
commerce électronique a subi une transformation remarquable qui a considérablement
modifié non seulement le comportement des détaillants, mais aussi celui des consommateurs.
Les premiers ont dû récupérer leur service commercial, tandis que les seconds ont dû repenser
leur stratégie d’achat en recueillant plus d'informations.
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achats en ligne Le Maroc assiste à l’émergence du E-commerce à petits pas, ce
développement se traduit par la volonté de bénéficier d’un tel mouvement pour développer
l’économie du pays. Mais au début ce nouveau mode a confronté un certain nombre de freins
liés essentiellement aux habitudes de consommateurs qui n’adopte pas l’achat à distance et
aussi l’absence et la méconnaissance des lois régissant ces transactions.
Pour résumer, les opportunités offertes par le commerce en ligne pour un pays en
développement comme le Maroc ne peuvent se concrétiser que si toutes les garanties
nécessaires sont en place pour assurer la sécurité des transactions et des paiements en
ligne .Cependant, il est essentiel de créer un environnement propice au développement du
commerce en ligne (protection des données personnelles, droit du commerce en ligne,
fiscalité, etc.).
Nous comptons analyser cette problématique sous différents angles d’ordre didactique,
sociologique, communicationnel, culturel et essentiellement psychologique. Cette même
problématique se déclinerait en une série d’interrogations telles que :
Le premier chapitre comprend un concept général sur le E- commerce corporelle suivi par
un deuxième chapitre qui parle sur l’impact des influencer sur la performance du commerce
en ligne. Le troisième chapitre nous prendrons en compte à caractéristiques de l’e- commerce
au sein des entreprises à Agadir.
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Partie théorique :
Le e-commerce, essaie de
conceptualisation
7
Chapitre I : Étude générale du concept e-
commerce
1. Introduction
Pendant longtemps, le commerce en ligne a été considéré comme une valeur stratégique
pour son importance et est devenu la pierre angulaire du fait qu'il est une source de progrès et
d'améliorations potentielles pour tous les types de commerce. C'est un processus visant à
maîtriser des situations de plus en plus complexes, à répondre à un certain nombre de services
(coûts croissants, délais non régulés), à stimuler les clients et les consommateurs et à les
inciter à une demande qui contribue à des objectifs plus ou moins rentables.
Ainsi, dans un premier temps, nous nous intéresserons aux généralités du commerce
électronique, puis dans un second temps, en insistant sur le rôle des influencées sur le
consommateur.
Pour bien cerner la notion du Commerce en ligne, il faut d’abord mettre l’accent sur son
évolution, définitions de ses concepts clés ainsi ses objectifs et enfin sa place et son
positionnement dans l’organigramme.
1. L’apparition et l’évolution :
Les débuts et l’évolution du commerce électronique sont fortement liés avec l’évolution et
la démocratisation d’internet. Depuis près d’une décennie, le secteur de l’internet enregistre
des chiffres de croissance impressionnants mais il est intéressant de revenir au début du e-
commerce.
Au tout début d’internet, l’absence de règles et d’autorité à beaucoup freiner les activités
commerciales car on craignait une anarchie. Puis après cette étape s’est formé naturellement
des règles et des autorités pour réguler et contrôler les comportements des gens sur internet. Il
y’a également d’autres facteurs expliquant un éventuel rejet du e-commerce (la langue
principale d’internet à ses débuts était l’anglais). Il y’avait aussi le fait qu’internet était plutôt
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orienté vers le partage et la gratuité, ce qui n’arrangeait pas les commerçants pour leurs
activités. Même si l’idée de gratuité de l’information est présente, l’accès aux réseaux grand
public et a inversé ces facteurs qui ralentissaient la progression de e-commerce.
La notion de commerce :
Le commerce électronique est un concept très en vogue. Si tous les articles et analyses
publiés sont exacts, le commerce électronique est en passe de devenir un acteur de premier
9
plan dans l’évolution des micro, petites et moyennes entreprises (TPE/PME) et leur
transformation en entreprises de plus grande taille, plus prospères, qui contribueront de façon
notable à l’augmentation des PIB nationaux et mondiaux et aideront à atteindre les objectifs
de développement durable des Nations unies, que sont en particulier la réduction de la
pauvreté, l’amélioration de la santé et du bien-être et l’aplanissement des inégalités entre les
hommes et les femmes et autres différences dans le monde.
Certains en ont une définition très personnelle : le commerce électronique est un mode
d’achat qui leur permet de faire l’acquisition de cadeaux pour leurs familles et leurs amis
vivant ailleurs dans le monde et aussi de faire leurs emplettes tard dans la soirée, en dehors
des heures normales de travail, ou même d’acheter des biens et des services qui ne sont pas
facilement disponibles là où ils vivent. Certains responsables des douanes ont une idée du
commerce électronique étroitement liée à leur profession. Pour eux, le commerce électronique
concerne les petits envois traités dans les ports où ils sont acheminés par la voie postale ou par
messagerie. Retenant cette définition, ces agents des douanes sont convaincus que le volume
croissant de petits envois a un impact sur les affectations de ressources nécessaires et sur les
difficultés de la lutte contre la fraude que ce phénomène représente pour leurs responsabilités
opérationnelles.
10
ce que l’on appelle les 2 commerces électroniques tandis que notre compréhension
élémentaire des différentes questions débattues au sein de nombreux forums consacrés à ce
thème s’en trouve rehaussée.
Si l’on se réfère à l’une ou l’autre des définitions proposées ci-avant, qui ne sont en aucun
cas les seules, on pourrait penser que le commerce électronique se limite peut-être à la
commande en-ligne d’une pizza, au téléchargement d’une chanson, d’un film ou d’un livre, à
la commande d’un logiciel, à l’achat d’un billet d’avion, à la réservation d’une chambre
d’hôtel et même à l’achat en ligne d’une formation ou d’ un cours. Les biens et services
numériques entrent pour une large part dans les échanges réalisés au titre du commerce
électronique mais ce ne sera pas là le sujet principal de cet article. Selon les définitions que
nous venons d’évoquer, le commerce électronique couvre également l’achat de biens
physiques comme des vêtements, des équipements électroniques, des machines, des livres,
voire des véhicules. Imaginons maintenant que ces transactions se fassent au-delà des
frontières nationales. C’est ce type de commerce électronique qui nous intéresse dans le
présent article.
Dans un passé encore récent, les importations de marchandises empruntaient les routes
commerciales traditionnelles ; les entreprises expédiaient vers l’étranger des conteneurs
11
remplis de marchandises et répondaient aux Lorsque le commerce électronique implique des
transactions transfrontalières, de nombreuses possibilités peuvent être exploitées. 3
commandes de leurs clients en puissant dans des stocks déjà déclarés et enregistrés et,
vraisemblablement, après paiement des droits et taxes afférents. Depuis quelques années, de
plus en plus de commandes sont satisfaites à partir de sites étrangers et sont expédiées
directement chez les particuliers. On peut comparer le commerce électronique transfrontalier
à un séisme qui secoue la chaîne logistique ; désormais, la distribution de marchandises se fait
avant leur importation. C’est une différence majeure par rapport à la chaîne logistique
traditionnelle où la distribution des marchandises est assurée après leur importation. Cette
façon de commercer s’est traduite dans le monde entier par une avalanche de petits envois
parvenant jusqu’aux portes des administrations douanières, soit par la poste soit par
messagerie express.
Le commerce électronique est un moteur économique puissant qui peut faciliter l’accès au
marché, favoriser le développement des petites entreprises et rendre les économies nationales
plus concurrentielles
À travers la publicité diffusée dans les médias traditionnels, le public se rend chaque jour à
l’évidence de l’explosion de l’offre des services de commerce électronique, qu’il s’agisse de
formes plus ou moins sophistiquées de ventes à distance dans tous les domaines, ou de sites
novateurs proposant de nouvelles fonctionnalités : enchères, agrégation de demandes
individuelles, jeux, transferts d’argent, etc.
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Tableau 1 : Estimation de l’évolution du e-commerce (en milliards de dollars)
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Un atelier est organisé à l’OMC, les 8 et 9 avril 2013, afin de mettre en évidence le lien
entre le commerce électronique et le développement et d’examiner comment les petites et
moyennes entreprises (PME) des pays en développement utilisent le commerce électronique
pour la promotion, la commercialisation, l’entretien et la vente de leurs produits au niveau
national et à l’étranger. L’atelier porte principalement sur les possibilités offertes aux pays en
développement et les difficultés qu’ils ont rencontrées et évalue dans quelle mesure ces
questions en rapport avec des infrastructures, une réglementation et des investissements
suffisants dans le domaine des télécommunications aident ou gênent les PME dans la
recherche de nouvelles possibilités offertes par le commerce électronique.
Évidemment, certains services, tels que les services de taxis, les services d’hôtellerie ou les
services de coiffure, continueront d’être fournis à un endroit précis et de nécessiter une
présence physique (bien que des sociétés comme Uber et Airbnb démontrent que même ces
secteurs peuvent être radicalement transformés par de nouveaux modèles d’entreprise basés
sur Internet). Néanmoins, d’autres services, comme la vente au détail, le développement de
logiciels ou l’externalisation des fonctions de l’entreprise, sont aujourd’hui « délocalisés » et
« mondialisés » dans une mesure et à une échelle qui peuvent dépasser celles des activités des
fabricants multinationaux de marchandises les plus mondialisés
Des tendances analogues peuvent être observées dans le domaine de l’éducation, avec la
multiplication des plates-formes d’apprentissage en ligne comme Moodle et des cours en
ligne ouverts à tous (MOOC), ou dans celui du divertissement, avec le développement des
services de diffusion en flux continu (streaming) tels que Netflix ou Spotify. Si le potentiel de
croissance du commerce des services ne s’est pas encore pleinement concrétisé, c’est en partie
parce que les industries de services n’ont pas encore pu exploiter toutes les possibilités
commerciales mondiales créées par la technologie.
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de productivité considérables dans le secteur manufacturier. Cela explique en partie pourquoi
les services d’information, les services financiers et les services de télécommunication ont
connu une hausse de productivité aussi rapide ces dernières décennies – encore plus rapide
que dans de nombreux secteurs manufacturiers.
Un commerce en ligne peut être la branche numérique d’un géant de la vente au détail ou
d’un magasin physique. Il peut également représenter une seule personne qui vend des
produits artisanaux depuis son domicile via des places de marché en ligne.
Il existe bien sur tout un éventail de models économique entre ces extrêmes. Les
modèles du commerce électronique varient énormément et comprennent de nombreux type
d’affaires. Voici une liste des différents types d’entreprise de e-commerce :
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B2C—business‐to‐consumer e‐commerce
A destination des particuliers, L’entreprise vend ses produits et services à l’utilisateur final
via son site propre ou via un site intermédiaire plus généraliste appelé galerie marchande.
B2B—business‐to‐business e‐commerce :
Entre deux entreprises, commerce interentreprises, le type de site le plus représentatif est la
place de marché virtuelle sur le web, qui peut aussi bien être privé que public.
Il existe des produits vendus en ligne exclusivement pour les professionnels comme : Des
traceurs, des copieuses de plan, de scanners pour bureaux d’étude par exemple.
C2C—consumer‐to‐consumer e‐commerce :
Entre particulier, Cas ou des particuliers vont procéder à des échanges via un site qui
jouerait le rôle d’intermédiaire. Les annonces et les enchères en est l’exemple le plus
éloquent.
C’est le type de commerce en ligne entre particuliers, c’est a l’aide des marchés en ligne
comme « eBay » ex : le particulier prépare son produit, le place dans une plate-forme comme
« eBay », d’autres personnes achètent ce produit à travers cette plate-forme
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M‐commerce— mobile e‐commerce :
Transaction électronique entre une entreprise et une administration, par exemple : la
transmission d’une déclaration fiscale ou même la consultation d’un appel d’offre en ligne.
Dans ce type de e-commerce on utilise des dispositifs numériques sans fils avec de
applications pour réaliser des transactions sur le web comme les smartes phones, les tablettes,
etc.
Social e‐commerce
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acheteurs occasionnels, extérieurs au secteur du commerce et bien moins informés que les
chargeurs commerciaux, amèneront les transporteurs à introduire tout un ensemble de chaînes
d’approvisionnement axées sur les consommateurs en ligne et se caractérisant par des
volumes plus importants, une diversification des lieux d’origine et de destination des
marchandises et une meilleure capacité d’ajustement. Dès lors que les consommateurs exigent
une livraison dans les 24 heures, voire le jour même, les fournisseurs de la filière
électronique, quelle que soit la taille de leur entreprise, devront conserver d’importantes
quantités de marchandises non seulement dans leurs propres locaux, mais également dans des
centres de distribution répartis dans l’ensemble du pays. Une telle évolution inversera la
tendance à la réduction des stocks qui a contribué ces dernières années à abaisser les coûts
pour les entreprises des pays industrialisés. Les sociétés devront revoir leurs réseaux de
distribution et il faudra procéder de façon plus efficace et rentable qu’auparavant pour livrer
les produits aux consommateurs, d’où la nécessité d’étoffer les infrastructures
Les services en ligne que ces prestataires offrent par le biais de l’Internet permettront à un
chargeur d’introduire dans son système de planification des ressources une commande qui
sera automatiquement transmise au transporteur par l’intermédiaire du système de gestion des
transports du prestataire de services. Le système déterminera et confirmera le prix, accusera
réception de la commande, adressera les messages voulus en vue de la prise en charge des
marchandises, préviendra le transporteur et les destinataires, accusera réception de la facture
du transporteur et la réglera, le tout automatiquement. En accédant à un seul site Web, le
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chargeur obtiendra un aperçu personnalisé de toutes les marchandises en transit, s’informera
de l’état d’avancement de l’expédition, consultera les rapports d’exception, organisera le
ramassage des marchandises et informera son service des achats du prix réel franco dédouané
des marchandises en circulation dans le monde entier.
Les bourses des transports constituent une autre formule permettant de réaliser des
opérations par l’intermédiaire de l’Internet. Ces bourses tendent à renforcer la concurrence
entre les transporteurs en matière d’offre de services de transport. À cet égard, même si les
transporteurs, quelle que soit leur taille, ont théoriquement accès à la demande mondiale de
transport de marchandises faisant l’objet d’informations sur l’Internet, la concurrence peut
évincer les plus petits d’entre eux, ayant un éventail de services insuffisant. En outre, les
méthodes propres au commerce électronique rendent les grandes entreprises de transport
mieux à même de gérer et de contrôler l’ensemble de la chaîne de transport, ce qui leur
permet de disposer de moyens supplémentaires pour exécuter toutes les activités connexes, y
compris les transports intérieurs. Un tel état de choses peut du même coup contribuer à un
degré accru de concentration dans un secteur dans lequel les transporteurs intégrés ou de
grandes entreprises de transport opèrent déjà dans le cadre d’importants consortiums ou
d’alliances mondiales. À terme, cette évolution peut favoriser la domination du marché des
frets par de grandes entreprises de transport intégrées ou non, «protégées» de la concurrence
grâce à une intégration verticale ou à des fusion
Les bourses des transports offrent aux transporteurs et aux chargeurs des moyens d’entrer
directement en contact les uns avec les autres, ce qui leur donne la possibilité de mieux
collaborer. Du fait de cette évolution, des monopoles tels que les conférences maritimes dans
le secteur des transports par mer, dont l’influence sur la tarification des services a déjà
beaucoup diminué, ont de moins en moins voix au chapitre. Dans le transport maritime, par
exemple, les chargeurs et les différentes compagnies recourent de plus en plus à des
négociations sur les prix et à des contrats de caractère confidentiel. Dans certains des
principaux courants de trafic, la majeure partie des services de ligne reposent déjà sur des
contrats individuels
Certains observateurs estiment que les services actuels ne répondent pas pleinement aux
besoins du commerce électronique et que ce problème risque de s’accentuer à mesure que le
volume du commerce électronique s’accroît. La demande de transport engendrée par le
commerce électronique a augmenté très rapidement, mais elle ne s’est pas accompagnée d’une
20
Chapitre 2 : l’impact des influencer sur la
performance du commerce en ligne
Influenceur :
Plutôt jeune et autonome, très urbanisé et proche des milieux créatifs, l’influenceur est
considéré comme un véritable leader d’opinion. Il est très souvent la cible des opérations de
relations publiques. Nous pouvons classer l’influenceur en trois catégories :
Consommateur :
21
Le nouveau consommateur est situé tout en bas de la pyramide. Comme nous l’aborderons
dans la suite du rapport, ce « conso-acteur » est saturé par la publicité, il revendique son
indépendance et se méfie des stratégies de marque qu’il décode sans encombre. Désormais, ce
dernier recherche les informations auprès de « ses pères » c’est à dire dans les étages
supérieurs de la pyramide consumériste virale. Il considère les différents points de relais
comme étant des individus de confiance ayant acquis une certaine expertise dans leur domaine
et restant totalement impartial par rapport aux marques.
La performance commerciale :
La performance commerciale de l'entreprise est une Notion qui semble faire relativement
peu débat. Barnard (1938) a apporté une importante Contribution à cette réflexion. Il livre sa
conception du management dans les organisations. Celles-ci sont considérées comme des
systèmes de coopération de l'activité humaine, dont la durée de vie est relativement éphémère
La performance globale :
Dans la littérature managériale actuelle, la performance globale est mobilisée pour évaluer
la Mise en œuvre par les entreprises du concept de développement durable Cette performance
Globale des entreprises (PGE) se définit comme : « L’agrégation des performances
économiques, sociales et environnementales » ou se forme « par la réunion de la performance
financière, de la Performance sociale et de la performance sociétale ».
2. Caractéristiques de performance
Le Larousse adopte une définition qui renvoie à la physique (« ensemble des qualités qui
caractérisent les prestations dont un véhicule automobile, un aéronef, sont capables »). Mais
c’est surtout le domaine sportif qui utilise le plus le terme avec, à la fois, une référence à la
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mesure à travers la compétition et une autre au résultat avec la victoire obtenue. Le mot est
donc « attrape tout » (Pesqueux), car il comprend à la fois l’idée d’action et celle d’état (étape
ou résultat final). Dans une approche « gestionnaire » et classique, la performance contient
une triple idée :
- Burlaud, 1995, C’est un résultat qui représente le « niveau de réalisation des objectifs »
● C’est une action, qui implique une production réelle, donc un processus Ce peut être
un succès, comme attribut de la performance, ce qui induit un jugement, donc de la
subjectivité.
● Pour résumer cette approche, un modèle global peut-être présenté, il s'agit du modèle
de Gilbert (1980) qui se décline à travers le triangle de la performance.
Objectifs
Pertinence Efficacité
Performance
Moyens Résultats
Efficience
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Le segment entre objectifs et résultats définit l’efficacité et permet de savoir si
l'entreprise est suffisamment efficace pour atteindre ses objectifs.
Le segment entre résultats et moyens définit l’efficience et permet de savoir si
l'entreprise arrive à atteindre ses objectifs avec moins de coûts et de moyens.
La performance organisationnelle :
Selon BOUQUIN (1997 :56 c’est «la capacité d’une organisation à déterminer et à mettre
en œuvre les bonnes stratégies dans le cadre des finalités qu’elle poursuit ». Il s’agit de
mesurer la performance du service au niveau de la qualité de la circulation de l’information,
des relations entre les services, et de sa flexibilité.
La performance globale :
Dans la littérature managériale actuelle, la performance globale est mobilisée pour évaluer
la Mise en œuvre par les entreprises du concept de développement durable Cette performance
Globale des entreprises (PGE) se définit comme : « L’agrégation des performances
économiques, sociales et environnementales » (Baret, 2006, p. 2 ; Reynaud, 2003, p.10) ou
se forme « par la réunion de la performance financière, de la Performance sociale et de
la performance sociétale » (Germain, Trébucq, 2004
La performance commerciale :
La performance commerciale de l'entreprise est une Notion qui semble faire relativement
peu débat. Barnard (1938) a apporté une importante Contribution à cette réflexion. Il livre sa
conception du management dans les organisations.
Celles-ci sont considérées comme des systèmes de coopération de l'activité humaine, dont
la durée de vie est relativement éphémère.
Section 2 : la relation entre les influencer vers la performance commerciale des entreprises.
1. La performance commerciale
24
ventes, au montant du CA et la marge. Seulement tout a changé. La transition numérique, le
Cloud, la génération Y, l’ère du consommateur, tous les éléments se sont conjugués pour jeter
à terre ce système obsolète de suivi de performance. L’arrivée des CRM et des logiciels
d’aide à la vente a fait exploser la donnée. Les directions commerciales ont maintenant à leur
disposition un nombre effrayant d’indicateurs de performance avec un niveau de granularité
toujours plus profond. La performance commerciale s’est étoffée et complexifiée, elle
recouvre désormais une réalité différente pour chaque entreprise, voire pour chaque employé
ou manager, qui à chacun ses indicateurs proposent pour mesurer ses résultats. Mais surtout la
stratégie commerciale regroupe désormais aussi la notion de transformation : les indicateurs
ne sont plus la uniquement pour mesurer des résultats mais bien pour motiver les
comportements sources de performance
Une construction et une mise en œuvre d’un plan d’action commercial, véritable
centre névralgique dans la quête de performance commerciale.
Une optimisation de la force de vente qui quant à elle représente le bras armé qui
permet à l’entreprise de stimuler cette performance commerciale.
Les concepts suivants sont couramment utilisés pour exprimer la performance commerciale.
Elles ont chacune un sens précis:
L’efficacité :
Elle mesure le rapport entre les objectifs fixes et les résultats, elle pose donc la question de la
définition de ces résultats (ou réalisations). En ce domaine, permet d’analyser les écarts et
définir les actions correctives permettant de les minimiser.
D’une manière plus brève nous pouvons résumer l’efficacité dans la formule suivante :
25
Efficacité = résultats atteints/ objectifs vises
L’efficience :
C’est le rapport entre les moyens mis en œuvre et les résultats, le contrôle de gestion vis
principalement à examiner la cohérence entre les deux. Peut être définie comme étant :
maximise la quantité obtenue à partir d’une quantité donnée des ressources, ou minimise la
quantité de ressources consommées pour une production données.
La pertinence :
Elle se définit comme le rapport entre les objectifs et les moyens, le contrôle de gestion doit
permettre de définir les ressources nécessaires à l’atteinte d’un objectif, mais il peut
également résigner les responsables sur les moyens disponibles et les résultats que l’on peut
en attendr
Une autre raison importante qui justifie de mettre l’accent sur les PME est que ces
dernières ont tendance à s’adapter plus facilement aux technologies que les grandes
entreprises. Le processus d’adaptation dans les grandes entreprises est souvent ralenti par la
bureaucratie et une hiérarchie plus stricte dans la prise de décision. Lorsque les PME
perçoivent les avantages supplémentaires qu’elles peuvent tirer de l’utilisation des TIC, elles
sont plus disposées à adapter leurs stratégies. C’est ce que confirment deux études sur la
situation du commerce électronique en Gambie et en Éthiopie, menées sous la supervision de
la Commission économique pour l’Afrique (CEA). Les deux études montrent que les PME
ont conscience du potentiel offert par l’utilisation d’Internet pour le commerce.
D’une manière générale, les ventes électroniques augmentent de plus de 19 % chaque
année11. Comparées aux grandes entreprises, les PME représentent une petite part du marché
électronique mondial, mais s’adaptent de plus en plus à la révolution technologique
grandissante et tirent profit du marché en ligne mondial.
Les PME, tout comme les grandes entreprises, ont tiré avantage de l’adoption du
commerce électronique comme l’indiquent différentes études. Ces avantages peuvent se
résumer de la façon suivante: des frais de transaction moins élevés ; une réduction des frais de
publicité et de promotion ; une communication rapide entre les acheteurs et les vendeurs ; la
capacité de toucher de nouveaux clients; un raccourcissement des chaînes
d’approvisionnement traditionnels.
Les PME, tout comme les grandes entreprises, ont tiré avantage de l’adoption du commerce
électronique comme l’indiquent différentes études. Ces avantages peuvent se résumer de-là
façon suivante: des frais de transaction moins élevés ; une réduction des frais de publicité et
de promotion ; une communication rapide entre les acheteurs et les vendeurs ; la capacité de
toucher de nouveaux clients; un raccourcissement des chaînes d’approvisionnement
traditionnels, y compris la minimisation des obstacles liés au transport et la réduction des frais
de livraison ; et l’élimination de contraintes liées au temps et à l’espace
On trouvera dans les sections ci-après une analyse des questions pratiques auxquelles sont
confrontées les PME, en particulier, et les entreprises en général, dans le développement et la
mise en œuvre du commerce électronique
Les consommateurs et les entreprises en général, et les PME en particulier, doivent pouvoir
compter sur un certain degré de confiance dans le cadre de leurs activités. Pour pouvoir se
développer avec efficacité, le commerce électronique doit s’accompagner d’un ensemble de
politiques générales et de cadres juridiques. Un certain nombre de questions soulevées dans le
présent document pourraient facilement être résolues en prenant des mesures simples
destinées à fournir des lignes directrices claires. Parmi les mesures juridiques importantes à
mettre en place, on peut citer des lois sur la signature et l’authentification électroniques, les
contrats électroniques, la protection du consommateur, la protection de la vie privée et des
données, la criminalité informatique et la cybercriminalité, l’imposition et les droits de
douane, et les droits sur la propriété intellectuelle.
Étant donné que les PME recouvrent un large éventail de microentreprises et de petites et
moyennes entreprises, il est important d’améliorer le suivi de l’adoption et de l’utilisation du
commerce électronique par les PME. À l’échelle nationale, on pourra procéder à une étude
pour déterminer si, comment et quand les PME peuvent adopter le commerce électronique
pour stimuler la croissance
Il est nécessaire de confier à des institutions la tâche de fournir des informations sur le
commerce électronique, en particulier sur les meilleures pratiques, les cas de réussite, les
possibilités et les obstacles liés à l’utilisation du commerce électronique.
28
Parti empirique :
Le e-commerce au Maroc, cas de la ville
d’Agadir
29
Chapitre 3 : site d’intervention et approche
méthodologique
Introduction
Deux sujets principaux sont abordés dans ce chapitre. Le premier est le site d'intervention
de la préfecture d’Agadir. La seconde est la planification de l’enquête, Ida Outanane. Dans un
premier temps, je vais faire une étude empirique à Agadir pour appréhender les multiples
facteurs (économiques, agricoles, etc.) de la région .Deuxièmement on essayera de faire
préparer une enquête visera la ville d'Agadir. Le commerce électronique en est encore à ses
balbutiements et plusieurs changements doivent encore être apportés en termes de lois, de
pratiques en milieu de travail et de sécurité. Les entreprises qui sécurisent leurs systèmes et
s'adaptent aux défis du commerce électronique disposeront à l' avenir d’un avantage
concurrentiel sur leurs concurrents, la vente en ligne étant pratiquée sur la majorité des
marchés internationaux .Bien qu'il soit encore rare que les gens entreprennent cette action, une
étude de la zone a été menée, et à cette fin un questionnaire a été utilisé pour recueillir des
informations.
30
2. Potentialités économiques:
AGRICULTURE ET FORETS :
La Région Sous Massa Draa est considérée comme la première Région primeuriste et
agrumicole au niveau national avec :
Les principales superficies irriguées sont constituées d'une partie du périmètre moderne
remembré et équipé par l'Etat (environ 415 ha qui se trouvent à la commune rurale
d'Amskroud) et des périmètres privés irriguent qui relèvent de la petite et moyenne
hydraulique principalement en zones montagneuses.
PÊCHES MARITIMES:
Le Maroc dispose d'un littoral qui s'étend sur une longueur de 3 500 km et recèle une
richesse halieutique très importante. Ce qui fait du secteur de la pêche maritime, un secteur
moteur de l'économie nationale puisque il contribue à environ 3% du PIB et à la création
d'emplois directs et indirects, sans oublier sa contribution dans la sécurité alimentaire. Cette
importance est particulièrement plus nuancée au niveau de cette Préfecture.
31
Ainsi, le port d'Agadir est considéré comme le premier port de pêche du Royaume puisque
près de 110 00 tonnes de produits halieutiques y débarquent annuellement dont 55%
proviennent de la pêche côtière qui contribue à raison de 6% dans la production nationale 2%
émanent de la pêche hauturière qui accapare à elle seule environ 85% de l'ensemble de la
production hauturière nationale. Les apports de cette dernière sont destinés quasiment à
l'exportation: 3% de la pêche artisanale.
TOURISME:
C'est aussi une industrie créatrice de valeur et constitue de ce fait un puissant levier de la
croissance économique puisqu'elle permet d'accroître les recettes en devises qui ont atteint
près de 7 milliards de dirhams représentant ainsi 35 % au niveau national et contribuant à
raison de 21 % au PIB régional (34 milliards de dirhams). Cette importance est acquise grâce,
entre autres, aux potentialités naturelles et culturelles de la préfecture, aux efforts des
pouvoirs publics en matière d'infrastructures de base et aux investissements privés et partant à
la capacité hôtelière qu'offre cette industrie.
De par leur réputation de grands commerçants, les Soussi ont pu faire du secteur du
commerce et de la distribution l'un des piliers de l'économie de cette préfecture voire de tout
le pays et c'est un secteur qui participe fortement à la création de richesses et d'emplois.
32
Cependant, bien que la ville d'Inzegane accapare la grande partie des activités
commerciales, Agadir reste caractérisée par la qualité et la modernité de son commerce. Le
secteur des services est un secteur qui se développe en fonction du développement
économique, social et urbanistique d'une région ou d'une préfecture. C'est un secteur créateur
d'emplois et de revenus.
Notre exposition est construite de façon aléatoire, avec 30 entreprises de diverses filières
(commerce, industrie, agro-alimentaire, importation, etc.) réparties sur tout le territoire du
Grand Agadir, la Préfecture d'Agadir , et la Province Inzegane-Ait Melloul .Car la majorité
des centres industriels se situent le long de ces deux intervalles.
Sur ces, les zones industrielles, commerciales et touristiques où s'installent les entreprises
qui nous avons visité sont:
2. Choix de questions:
Nous avons fait un effort conscient pour choisir soigneusement les questions du
questionnaire afin qu'elles soient parallèles au problème.
Dans un premier temps, nous avons demandé aux dirigeants des entreprises interrogées de
nous fournir des informations identifiant l’entreprise, telles que son dénominateur social, son
lieu d’activité, sa structure juridique, son secteur d'activité et la composition de ses effectifs.
En suite, dans les autres questions nous allons approfondir plus sur notre thème, done il
faut savoir si les entreprise pratiquant le commerce électronique, s'ils sont planifiés et qui a
33
l'idée d'appliquer ce genre de commerce, même si la plupart des entreprises sont informatisées
et l'utilisation d'Internet connais un progrès remarquable, avant de mettre l'accent sur la
manière par laquelle l'entreprise s'exécute cette commerce, et l'importance du e-commerce
dans l'amélioration les bénéfice au sein des entreprises.
En vue de faciliter le traitement des résultats de notre enquête, nous avons fait recourir à
deux outils informatiques, d'abord le logiciel Excel qui nous a permis d'établir les
questionnaires et l'application Google Forms nous permis de extrapoler les résultats sous
forme des graphiques résument ces résultats.
34
Chapitre 3: analyse et interprétation des
résultats
35
Etes-vous une entreprise marocaine ?
OUI NON
3%
97%
En fait, la quasi-totalité des entreprises interrogées sont des entreprises marocaines, juste
3,3% des entreprises de notre échantillonnage sont des entreprises étrangères, alors que 96,7%
sont bien des entreprises marocaines.
3%
13%
Entreprise individuelle
SARL
1% SA
Autre
83%
Les entreprises consultées sont soit des SARL, soit des SA, soit des Entreprise individuelle
sorte que les SARL sont prédominante avec une représentation de 83,3% de la population
totale. En revanche, les SA représente 13,3%.
36
le chiffre d'affaires dégagé par votre entreprise
17%
15%
58%
10%
Nous constatons que la tranche de chiffre d'affaires de moins de 1 000 000,00 DHs
représente (34,5%), suivi par la tranche de chiffre d'affaires Entre 1 000 000,00 DHs et 3 000
000,00 DHS qui représentent (31%).
Sales
7% moins de 10
entre 10 et 50
33%
entre 50 et 200
30%
plus que 200
30%
37
Nous constatons que la tranche de nombre d'employés de Moins de 10 represente (33,3%)
suivi par la tranche de nombre d'employés entre 10 et 50 et entre 50 et 200 qui représentent
(30%) pour chacune
Qu'il est le secteur d'activité dont votre entreprise fait partie? (25 réponses)
Les entreprises interrogées tout au long de cette étude faisant partie des divers secteurs
d'activités dont 12% fonctionnent en agro-alimentaire, quant à la Négoce 16% également des
entreprises y fait partie, les autres entreprises sont dispersées entre la Pêche, la BTP, la
Télécommunication, et Autres.
38
Nous constatons que (90%) des entreprises consultées utilisent des ordinateurs de bureau
ou ordinateur portable, et (63.3%) utilise des appareils mobiles qui fonctionnent sur Internet et
des Réseaux informatiques à l'échelle de l'entreprise.
Graphique 7 : Répartition de l'échantillon selon les obstacles empêchant pour intègre
davantage les TIC
Nous constatons que (48%) des entreprises pas intégrer davantage les technologies de
l'information et des communications (TIC) à cause de la technologie et mise en œuvre trop
coûteuses, et (28%) à cause de preuve insuffisante d'un bon rendement sur l'investissement.
oui non
50% 50%
Graphique 8 : Répartition de l'échantillon selon qui possède un site Web sur Internet
Nous constatons que (50%) des entreprises consultées possèdent un site Web sur Internet.
39
Si oui, Lesquelles des applications suivantes sont offertes par votre site Web : (14
réponses)
Graphique 9: Répartition de l'échantillon selon Les applications offertes par site Web
Nous constatons que (71,4%) des entreprises sont utilisé un site Web protégé, et (50%) sont
offertes renseignements au sujet des produits ou des services de l'entreprise.
Si non, Pour quelles raisons votre entreprise n'a-t-elle pas son propre site
Web? (15 réponses)
Graphique 10 : Répartition de l'échantillon selon Les raisons que l'entreprise n'a-t-elle pas un
site Web
Nous constatons que (53,3%) des entreprises a prévu prochainement de développe d'un site
Web, et (46,7%) Pas besoin d'un site Web.
40
Votre entreprise reçoit-elle des commandes de biens ou services via Internet?
37%
oui
non
63%
Graphique 11 : Répartition de l'échantillon selon qui reçoit des commandes de biens ou
services via l'Internet
Nous constatons que (63,3%) des entreprises ne reçoivent pas des commandes de biens ou
services via l'Internet.
5%
OUI
NON
95%
Graphique 12 : Répartition de l'échantillon selon qui vendent des produits numériques
téléchargeables ou accessibles en ligne
41
Nous constatons que (95%) des entreprises ne vendent pas des produits numériques
téléchargeables ou accessibles en ligne.
9%
27%
18% moins de 1%
De 1% 0 À MOINS DE 10%
DE 10% à MOINS DE 25%
DE 25% à MOINS DE 50%
DE 50% A MOINS DE 75%
18%
27%
Graphique 13: Répartition de l'échantillon selon le pourcentage des ventes de biens et services
sur l'Internet
Quels bénéfices votre entreprise réalise- t- elle en vendant via internet? (10
réponses)
42
GRAPHIQUE 14 : Répartition de l'Échantillon Selon Les Bénéfices Réalisés en
fournisseur sur Internet
Nous constatons que (70%) des entreprises vendeur via internet a bénéfices une
augmentation du nombre de clients, et (40%) réduction des coûts et accroissement des
ventes.
Nous constatons que (45,5%) des entreprises ne permet pas des commande via Internet a
cause que les biens et services ne se prêtent pas à la vente via Internet, et (27.3%) Peu ou pas
d'intérêt.
Sales
10%
OUI
NON
90%
43
Graphique 16 : Répartition de l'échantillon selon l'achat des biens ou des services via
Internet
Nous constatons que (65,5%) des entreprises ne commandent pas des biens ou des services
via Internet.
Nous constatons que la tranche de pourcentage du montant total des achats de 1% à moins
de 10% représente (36,4%) suivi par la tranche de 10% à moins de 25 % qui représente
(27,3%).
Graphique 18 : Répartition de l'échantillon selon les obstacles aux achats en ligne
44
Nous constatons que (60,7%) des entreprises manquent de confiance et de sécurité a l'achat
en linge, et (53,6%) dit que le cadre juridique est inadéquat.
45
- 48% des entreprises pas intégrer davantage les technologies de l'information et des
communications (TIC) à cause de la technologie et mise en œuvre trop coûteuses, et
28% à cause de preuve insuffisante d'un bon rendement sur l'investissement
- 100% des entreprises consultées utilisent une connexion internet.
- 86,7% des entreprises utilise de connexion DSL via une ligne téléphonique, et (36,7%)
utilise de connexion par câble.
- 55.2% des entreprises en l'intention de passer à une vitesse de connexion plus rapide.
- 50% des entreprises consultées possèdent un site Web sur Internet.
- 71,4% des entreprises sont utilisé un site Web protégé, et (50%) sont offertes
renseignements au sujet des produits ou des services de l'entreprise.
- 53,3% des entreprises a prévu prochainement de développe d'un site Web, et (46,7%)
Pas besoin d'un site Web.
- 71,4% des entreprises sont utilisé un site Web protégé, et (50%) sont offertes
renseignements au sujet des produits ou des services de l'entreprise.
- 53,3% des entreprises a prévu prochainement de développe d'un site Web, et (46,7%)
Pas besoin d'un site Web.
Les résultats de la réputation de la vente par commerce électronique :
- 63.3% des entreprises ne reçoivent pas des commandes de biens ou services via
Internet.
- 95% des entreprises ne vendent pas des produits numériques téléchargeables ou
accessibles en ligne.
- la tranche de pourcentage du montant total des ventes de Moins de 1% et de 10% à
moins de 25% représente (27.3%) suivi par la tranche de 1% à moins de 10% et De 25
% à moins de 50% qui représente (18,2%).
- 70% des entreprises vendant via Internet a bénéfices une augmentation du nombre de
clients, et (40%) réduction des coûts et accroissement des ventes.
Les résultats de la réputation de l'achat par commerce électronique :
- 45,5% des entreprises ne permet pas des commande via Internet a cause que les biens
et services ne se prêtent pas à la vente via Internet, et (27,3%) Peu ou pas d'intérêt.
- 65,5% des entreprises ne commandent pas des biens ou des services via Internet
- 60,7% des entreprises manquent de confiance et de sécurité a l'achat en linge, et
(53,6%) dit que le cadre juridique inadéquat
46
Conclusion :
Conclusion générale
Dans le secteur économique, Internet est actuellement devenu un vecteur de vente majeur
qui permet d'estomper les frontières et d'accéder en quelques clics, à un marché planétaire
d'acheteurs directs. Ainsi le commerce en ligne se présente aujourd'hui comme un enjeu
stratégique qui permet aux entreprises à travers le monde de produire, d'acheter et de
commercialiser leurs produits et services dans les quatre coins du monde 24h/24 et à moindre
coût.
Le Maroc se félicite aujourd'hui d'avoir été parmi les premier pays en voie de
développement ayant ouvert leurs portes au commerce électronique; mais de nombreux
indicateurs révèlent que cette nouvelle pratique reste loin de son potentiel réel, car elle est
encore peu utilisée tant par les entreprises que par les consommateurs marocains.
En effet, malgré les efforts déployés par l'Etat pour assurer l'infrastructure et asseoir
l'environnement légal nécessaires à l'évolution du e-commerce, ce dernier accuse toujours un
retard préoccupant. Les entreprises marocaines aussi bien que les consommateurs manifestent
encore une réticence pour l'adoption de ce nouveau mode de commerce.
A l'origine de ce retard, un ensemble d'handicaps lies soit au vide juridique qui reste à
combler, soit aux coûts élevés d'accès à Internet, ou encore au faible taux de bancarisation qui
empêche une grande partie de la population de disposer des cartes de crédit (moyen nécessaire
pour le paiement en ligne). A cela s'ajoute une hésitation des consommateurs marocains (pour
47
des raisons culturelles ou de sécurité) à renoncer à leurs habitudes traditionnelles de
consommations et à suivre la tendance évolutif du e-commerce.
Bien qu'il n’ait pas encore atteint sa pleine maturité, le e-commerce marocain continue
malgré les obstacles précédents à gagner de plus en plus de terrain. Au vu des données
statistiques les plus récentes, notamment en termes de chiffre d'affaires, on remarque que l'e-
commerce connait une hausse exponentielle particulièrement prometteuse pour les années à
venir.
Ainsi l'e-Commerce au pays et plus exceptionnellement à Agadir semble être sur la bonne
voie et sa maîtrise peut en faire un vrai moteur de relance économique qui transformera
radicalement le paysage économique national. Bref, si l'e-commerce est encore à ses débuts au
Maroc, les conditions de son succès sont aussi nombreuses que certaines.
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responsabilité et est sans préjudice des positions des Membres ni de leurs droits et
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49