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Rq 

: apprentissage du cours, en parallèle avec un anal, dictionnaire de SES, FICHER son cours

Chapitre 1 : Les acteurs et les grandes fonctions de l’économie


09/09/2022 :

1 Définition ménage, une entreprise, administrations publiques :

Ménage : l’ensemble (ou une) des personnes qui réside sous le même toit qu’ils aient ou non des liens
parenté (Prison, Maison de retraite)
Entreprise : Une organisation durable qui comporte des liens hiérarchiques qui a pour but de réaliser une
production marchande (qui a des travailleurs et des capitales)
Pouvoir publics : APUC, APUL, Administration de sécu, Institution européenne,
Institution qui contribuent à stabiliser l’activité éco qui produit des biens et services non marchands et
mène des opérations de redistribution. //

2 Intro : la plupart des problèmes éco (chômage, croissance, inflation, développement), sont des
phénomènes macroéconomique// (Grande échelle comme la France) cad qu’ils s’observent d’une éco dans
son ensemble qui concernent toute une économie ils appréhendent (apparentent) cependant comme la
conséquences d’un ensemble de choix pris par des individus(consommateur, producteurs, salariés), par
conventionnels acteurs économiques individuels dont les décisions sont analysés en microéconomie sont
regroupé dans les catégorie crée par la comptabilité national après la 2nd guerre mondial, cette opération
d’agrégation permet d’appréhender d’un point de vu macro englobant des phénomènes qui résultent de
millions de décisions individuels, on regroupe ainsi en quelques catégories d’acteurs plusieurs d’agents
économiques :Les manages les entreprises et administration publics et ISBLSM (resto du cœur).

La comptabilité national (INSEE en France) : organisme qui fait la comptabilité nationale


Permet ainsi à travers ses catégories d’acteurs de représenter l’économie sous la forme d’un circuit (circuit
économique) avec les ménages…etc.

Définition comptabilité nationale : est une représentation globale détaillée et chiffrée de l’économie
nationale dans un cadre comptable qui a été développé après la 2nd gm (pour reconstruire l’éco française)
l’objectif de la compta Nat est donc de classer les acteurs et les opérations économiques et de mesurer
l’importance l’intensité des flux monétaire et des échanges monétaire qui circulent entre les acteurs. Il
s’agit d’un travail de transcription des concepts abstraits définit par l’analyse économiques, en réalité (ca)
concrète mesurable qu’on peut compter et annuler, et est essentielle au pilotage des politiques éco qui
n’est pas évident (travail) et repose sur des conventions puisqu’il n’est toujours pas évident de déterminer
à quel concept économique abstrait tel flux monétaire ou tel opération économique.

Exemple l’achat d’une voiture relève-t-il d’une dépense de consommation ou d’investissement ?

Une telle dépense relève par convention d’un acte de consommation si c’est un ménage ou un acte
d’investissements si c’est une entreprise. Le circuit éco est constitué de l’ensemble des catégories
d’acteurs économiques définit par La compta Nat et de l’ensemble des relations qu’entretiennent entre
eux ces acteurs qui correspondent à des flux réels (fournis du travail, capitale bien ou service) ou
monétaire (obtenir un revenu épargner consommer).
Pages 2 cahier
Le Rôle des acteurs économiques dépend de la place qu’il occupe au sein du circuit économique il y a
interdépendance entre les acteurs et les fonctions Exe : les entreprises ont besoin des ménages car la
production des biens et de services marchands ne fais sens que par rapport à la consommation des
ménages
De même, les ménages ne peuvent consommer que grâce au revenu qu’ils obtiennent de leur travail chez
les entreprises et les APU, par leur placement de capitaux(capitale) ou leur revenu de transfert provenant
des APU.

Ainsi, les grandes fonctions de l’économie correspondent aux diff opé auxquels peuvent procéder les
acteurs économiques : opération de production ou de consommation, opération de répartition des
revenus, opération d’épargne et d’investissement, ou encore dans une économie ouverte d’échanges avec
le reste du monde et donc le fil conducteur du cours sur quelles caractéristique repose la spécificités de
chacun des trois grands acteurs éco et par quelle opérations éco s’inscrivent ils dans le circuit économique
et nous mettons en évidence les fondements de l’interdépendance qui existent entre ces grands acteurs

1.. Les ménages définition : Selon l’INSEE désigne l’ensemble des occupants d’un même foyer avec ou non
des liens de parenté ex : une famille, coloc. Les ménages constituent un des 5 secteurs institutionnels S.I
que dénombre la compta nat (ménage, société non financière, SF, APU, ISBLSM) auxquels on ajoute un
agent fictif : le reste du monde RDM qui retracent toutes les opérations (transfert export, import) avec des
agents etranger.

Secteur institutionnel est une catégorie statistique qui regroupe un ensemble d’acteur éco ayant des
caractéristique commune (comme les ménages),

Caractéristique des ménages

Ils perçoivent des revenus (A)


D’où proviennent-ils ? (a)
Salaires, revenus du patrimoine (rentes, dividendes), PSE (allocations)≠TSN (études),
Les ménages ont besoin de revenu disponible brut pour consommer, et pour épargner.
Def revenu disponible brut RDB des ménages : c’est le revenu dont dispose les ménages
pour consommer ou épargner (schéma dans le cours)

Les revenus primaires sont les revenus qu’obtiennent les ménages de la participation au
processus de production
Ex : j’offre mon travail en échange d’un salaire / possession est mise en location d’un
logement, production d’un service de logement en échange d’une rémunération.
Revenus primaires : rémunère la contribution des ménages à la production comprennent la
rémunération du travail.
Salaire super brut : salaire net + les toutes cotisations sociales à la charge de l’employeur et
du capital (patrimoine).
Salaire brut : salaire net + cotisations sociales à la charge des salariés.
Salaire net : celui qui est versé sur notre CB.

A ces revenus primaires s’ajoute le solde des opérations de transfert. C’est la redistribution
des revenus entre les ménages, auxquels procèdes les APU. Ainsi il faut pour obtenir le RDB des
ménages il faut retirer les prélèvements obligatoires portant sur le revenu (cotisations sociales %
(santé chômage), et autre prélèvement sociaux CSG (contribution sociale généralisée) et CRDS
(contribution au remboursement de la dette sociale) et les impôts sur le revenu des personnes
physiques IRPP, il faut ajouté les revenus de transfert perçu par les ménages en provenance des
APU (PSE : pension de retraites, Allocations familiales et chômage, APL), enfin une partie du RDB
peut provenir de transfert privée entre ménages intergénérationnel.
En conclusion, on observe que les ménages fournissent du facteur travail aux entreprises et
aux APU, et en échanges ils obtiennent des revenus primaires du travail qui comprennent un.
Salaire net et un salaire différé (retraite, chômage), ainsi qu’un accès aux autres branches de la SS
comme la santé, ces revenus proviennent des entreprises et des APU, les ménages par leur épargne
accumules sous la forme de patrimoine contribuent également à la production en offrant
directement ou indirectement des capitaux a des secteurs institutionnels (APU entreprises) ils
obtiennent en échange des revenus du patrimoine (pour augmenter leur RDB)
Ensuite des flux de revenus s’opèrent entre les ménages et les APU ce sont des opérations
de transfert dont le solde s’ajoute aux revenus primaires pour déterminer le RDB

RDB = Revenus primaire + {PSE – Po (impôts et cotisation)} solde des opé de transfert
RDB consommation et épargne

04/06/2019 observatoires des inégalités


En moyenne, les français les plus aisé 10% perçoivent un revenus 6.7 fois élevé que les 10%
les plus pauvres après redistribution (impôts, prestation social ) en haut de l’échelle, les revenus
proviennent essentiellement du patrimoine immobilier ou financier, en ce qui concerne les salaires
les écarts vont de 1 à 3 entre les salaires max des 10% moins bien rémunérés et les salaires min des
10% les plus riches, mais au seins des 10% les plus riches les écarts sont considérables en terme de
salaire, les écarts de patrimoine encore plus, les 1% des ménages les plus dotés possèdent 17 à 18%
de l’ensemble du patrimoine des ménages (soit 18 fois plus), à l’inverse 50% des ménages les plus
pauvres possèdent moins de 5% de l’ensemble du patrimoine des ménages, et les 10% les plus
riches possèdent presque 50%.
Le patrimoine médian (distribution en deux parts égales « la taille ») des cadres supérieurs
est supérieur à 200 000€ tandis qu’un ouvrier non qualifié est d’environ 16 400€

Les ménages procèdent à des opérations de consommation (B)


Inégalités de revenus et disparité des sources de revenus des ménages (b)

Les ménages arbitrent entre consommation et épargne. La consommation (selon l’INSEE) est
un acte de destruction ou de transformation de bien ou de service dans le but de satisfaire un
besoin ou de produire d’autre bien et service, on distingue la consommation finale par les ménages
des consommations intermédiaire par les entreprises,
La consommation finale : est l’utilisation de biens et services aux stades finales de leurs
productions en vue de satisfaire directement les besoins des individus, a l’inverse la consommation
intermédiaire et l’utilisation de bien et service qui sont détruit ou transformés dans le processus de
production en vue de crée d’autres biens et services, les entreprises ont des consommation
intermédiaire CI les ménages or entrepreneurs individuels ont des consommations finales
La consommation finale des ménages contribue au PIB à hauteur de 70% environ.

P.O : Contribution obligatoire des ménages aux budgets des APU sans contrepartie et c’est
opération de redistribution monétaire comme les PSE.

La valeur ajouté//

PIB = Consommation finales + investissements + variation des stocks + (export – import)


b) De quel facteur dépends la consommation finale des ménages ?

RDB, Niveau des prix...

Quel sont les déterminant de l’arbitrage entre consommation et épargne ?

On suppose constante PMS (propension moyenne à épargner des ménages : mesurer par le
taux d’épargne des ménages et est une mesure de la volanté et de la capacité à épargner des
ménages), en réalité elle varie dans le temps notamment en période de crises, on épargne
davantage par peur. Le niveau de consommation finale des ménages càd la quantité de biens et
services consommé par les ménages dépends directement du RDB des ménages, il dépend aussi des
prix, s’il y a de l’inflation càd hausse générale et durable des prix, alors la quantité de biens et
services que les ménages peuvent se procurer diminuent, ce qui renvoie à la notion du pouvoir
d’achats des ménages
Def pouvoir d’achats : Quantité de biens et de services que ces derniers peuvent se procurer
à partir de leur rdb compte tenu du niveau des prix dans une économie. L’INSEE calcule le niveau et
la variation de l’inflation du PDA, du RDB, taux d’épargne, la consommation chaque mois. Ainsi la
croissance de la consommation finale des ménages dépend de l’évolution de leurs PDA, ainsi que
l’évolution de leur préférence en matière d’épargne.
Exp : impact du 1er confinement sur la consommation et l’épargne et RDB des ménages

c)les transformations de la consommation des ménages depuis 1960 : l’entrée de la France


et de l’Europe de l’Ouest dans la société de consommation de masse avec l’ouverture des premiers
supermarchés (carrefour 1963-Essone), les trente glorieuses sont marquées par une forte
croissance du PIB, productivité du travail, salaires réels et donc le PDA des ménages, ainsi depuis
1960 le niveau de vie des ménages s’est fortement accru et leur volume de consommation a triplé
de 1960 à 2007, en volume signifie une fois neutralisé l’augmentation de la consommation
mécaniquement liée à la hausse des prix. Une multiplication par trois en volume signifie que les
quantités consommées l’ont été aussi
Mais au-delà du volume, le type de biens et services consommé a également évolué sur la
même période
La structure de consommation des ménages s’est transformait sous l’effet de l’augmentation
du niveau de vie des ménages cela signifie que la part du budget des ménages a tel ou tel type de
dépense à évoluer, cette part est mesurer par un Coeff budgétaire, si les ménages dépensent 25%
sur l’alimentation en 2007 alors le Coeff budgétaire associés vaut donc 0,25, ainsi le Coeff
budgétaire c’est le ratio entre la dépense consacrés à un poste (alimentaire) et la dépense totale.

L’augmentation des dépenses en volume cache de profonds changements dans la répartition


des budgets des ménages entre les différents postes, on observe que la part consacre à
l’alimentation baisse tandis la part des autres postes augmente
Ex : la part des dépenses consacré à l’alimentation est passé de 38% en 1960 à 25% en 2007
Loi d’Engel
Ce constat statistique illustre la 1ère loi d’Engel, selon ce statisticiens et économiste du
19éme siècle, à mesure que le niveau de vie d’un ménage augmente la part consacrée à ses
dépenses alimentaires diminue.
Ils investissent et épargne (C)

1) Les ménages épargnent :


L’épargne des ménages correspond à la part non-consommé du RDB, une partie des APU et
des entreprises épargne également, cependant l’essentiel de l’épargne provient des ménages,
l’INSEE détermine chaque année le taux d’épargne des ménages, il s’agit du rapport entre
(La part non-consommé du RDB) /(RDB) = Taux d’épargne
L’épargne peut être financière ou non financière, l’épargne financière correspond à un placement
sur un CB (livret A, assurance vie), l’épargne non-financière correspond au remboursement d’un prêt
immobilier ou crédit à la consommation. C’est une épargne de flux, comme le revenu, ainsi la somme de
l’ensemble de ces flux ex : versement sur un livret A + remboursement d’un frais, Correspond à l’épargne
mensuel des ménages et une fois rapporté au RDB du mois on obtient le taux d’épargne du mois

Somme des flux d’épargne/RDB du mois) =

Rq l’épargne est un flux (je verse 100€ sur mon livret A), tandis que le patrimoine est un stock (j’ai
3000€ sur mon livret A), une variable de flux est mesurée sur une période ex : 100€ d’épargne sur le mois
ou 1000 de revenus sur le mois, tandis qu’une variable de stock est mesurée à un moment donné et non
une période. Les flux d’épargne viennent alimenter le stock de patrimoine des ménages, la valeur de ce
stock de patrimoine essentiellement de l’immobilier, il représente en France près de 6 fois le PIB (2400
milliards en 2019).
Stats : le taux d’épargne des ménages en France est stable autour de 15% du RDB depuis 1990 sauf
durant la crise du covid, au cours de l’année 2020 il est montée jusqu’à 30% du RDB (cette épargne forcée
était cependant très concentrée parmi les 30% des ménages les plus riches), le taux d’épargne est ensuite
redescendu autour de 21% en 2021, il est désormais de 15,5% au 2nd trimestre 2022 selon l’INSEE.
Transition Les biens et les services marchands consommes par les ménages sont produit par les
entreprises résidente ou importé, les ménages consomment aussi des services NM principalement produit
par les APU et aussi par les ISBLSM.

2) Les entreprises :
Les entreprises réalisent la production marchande c’est leur fonction principale pour cela elle
emploie des salariées (utilisation du facteur travails, et de capitaux) elle verse en échange de ce
processus de production des rémunération (salaires…) ces rémunérations déterminent en parti le
revenu primaire des ménages

A) Une entreprise produit des biens et des services marchands


B) Une entreprise Investit
C) Nous verrons que le système productif français est très concentré

Une entreprise est une unité de production, jouit d’une autonomie de décision même si elle fait
partie d’un groupe, et tire la majeure partie de ses ressources de la vente de production. C’est de la
production marchande.

Entreprise publique 
La production : selon l’INSEE désigne une activité socialement organisé exercé par une unité
institutionnelle (APU, Asso) qui combine des facteurs de production (capital, travail) et qui utilise
des consommations intermédiaires pour crée des biens et services, on distingue la production
marchande de la PNM. Les entreprises des P.M, une production est dite marchande si les biens et
services crée sont vendu à un prix économiquement significatif c-à-d > a 50% de son coup de
production. Dans le cas contraire le service est dit N.M (prépa, lycée), et donc la PNM est effectué
par les APU et les ISBLSM

b) comment mesure-t-on la production ?

Pour mesurer la production de richesse d’un pays l’INSEE calcul un agrégat qu’on appelle le PIB

PIB = Σ valeur ajoutée (VA)

1) PIB = Σ valeur ajoutée (VA) Résultant de l’activité éco des agents résident sur le territoire
national, et donc la VA est une mesure de la richesse produite.

La VA c’est la valeur de la production (hors Tva) – consommation intermédiaire

Tva = taxe sur VA

La VA d’une boulangerie =la valeur de production du pain – valeur des consommations


intermédiaires (farine, eau, électricité), et donc la VA mesure la véritable contribution d’une activité
comme celle de la boulangerie a la richesse nationale en évitant de compter plusieurs fois les
consommations intermédiaires.

Le PIB mesure la production de richesse, généralement durant une période donnée dans une
économie, en France par ex en 2019 le PIB était d’environ 2425,7 M€ (+1,8% qu’en 2018) et en
2020 – 7,9% ie 2302,9 M€ (la plus importante dans l’histoire depuis 1949) et en 2021 + 6,8%
environ 2500,9 M€.

Rq : la PNM comme les services publiques d’éducation ou d’hospitalisation est également
comptabilisé dans la valeur ajouté et donc le PIB, par convention on évalue la valeur des PNM non
pas à son prix de vente (un cours aura VA=0) mais en fonction de son cout de production (salaire
profs), c’est une convention qui peut sous-évalué certains services mais qui permet de prendre en
compte dans le calcul du PIB la production des APU et ASSOS, en effet les APU contribuent à 18% de
VA totale (donc 18% du PIB) et les ISBLSM 2%.

DATE 20/09
VPM = Prix de vente*quantité produite

2) À quoi sert le PIB : il permet de mesurer le taux de croissance de l’éco, lorsque le PIB augmente
ça signifie qu’il y a davantage de bien et de service disponible pour satisfaire les emploi finaux
(l’utilisation définitive d’un bien ou un service au stade final de sa production ex conso finale,
investissement, export, variation des stocks) dans l’éco//

On peut aussi calculer le PIB par les dépenses ou les emplois finaux que font les agents
économiques des ressources disponibles, et donc l’évolution de ces emploi finaux fournie des
infos à la C.N afin de mieux anticiper la conjoncture économique (variation à court terme de
l’activité éco), cela est très précieux pour les pouvoirs publics qui peuvent calibrer au mieux la
politique économique (budget et politique monétaire) afin de stabiliser la conjoncture
économique.

Comment calcule-t-on le PIB : Selon l’optique des emplois finaux le PIB se calcule de la façon
suivante :
Σ Ressources = Σ Emplois
(équilibre emplois-ressources)

Ressources : B et S à disposition des agents économiques.

Emploi : façon d’utiliser ses B et S.

{PIB (production domestique) + Import }(ressources) = Conso + Investi (->FBCF) + Var des stocks + Export

B) Les entreprises investissent :

Les APU et les ménages investissent également, l’investissement est mesuré par FBCF (formation
brute de capital fixe).
L’investissements des entreprises a pour but d’améliorer ou d’accroitre la quantité de capital disponible
afin de produire plus efficacement et/ou augmenter les quantités produites.

Ex : achet d’un tracteur, construction d’une ligne de production.

Pour les APU les investissements sont fait pour augmenter le bien-être des citoyens, ex : construction de
transport, bibliothèque)

Enfin les ménages investissent pour l’achat d’un bien immobilier ou d’effectuer des travaux chez soi.

Investissement : est un pari sur l’avenir, il comprend une part de risque et d’incertitude, il s’agit de
consentir à une dépense importante à la période initiale t=0 pour espérer bénéficier des revenus par la
suite durant une longue période permettant de rentabiliser l’investissement.

En raison de son inscription dans le temps long, et de son caractère incertain l’investissement des
entreprises est très dépendant du climat des affaires. Cette notion keynésienne renvoie à la façon dont les
entrepreneurs perçoivent l’avenir, lorsque le climat des affaires se dégrade les entrepreneurs anticipent
une baisse de la demande cela conduit à une baisse de la rentabilité anticipe des investissements futurs.
(Crise de débouches)
Cela réduit les dépenses d’investissement, or l’investissement est la composante la plus volatile du PIB, on
dit que l’investissement est très sensible à la conjoncture économique, il surréagit aux variations de la
croissance (activité éco), lorsque une récession est anticipé l’investissement décroît brutalement plus
rapidement que la baisse effective du PIB, c’est l’inverse en cas de reprise, ces fluctuations de
l’investissement contribuent à aggraver l’ampleur des cycles économiques à la hausse ou à la baisse.
On dit que l’investissement est procyclique (accroit l’ampleur des cycles éco).

(Var de stock : + de production que de vente ou pour stocker afin d’anticiper des problèmes, très faible
(1%<)
c) Le système productif français est très concentré :
Pour rappel, l’INSEE catégorise selon 3 critères notamment : nbr de salariés, le chiffre d’affaires (la
recette total = prix de vente*Qt vendues), le bilan (patrimoine de l’entreprise)
Les micros-entreprises : 10 salariés<
PME : 50 salariés <, le syndicat CPGME représente 97% des entreprises
ETI : entreprise de taille intermédiaire entre 50 et 5000 salariés
GE : 257 en France : +5000 salariés, soit +1000 salariés et (CA > 1,5 milliards €, ou un bilan >2
milliards €

Les entreprises sont très concentrées puisque les grandes entreprises une part importante de la VA et des
exportations, bcp de salaries

Il y a 3,5 millions d’entreprises, et 257 GE qui emploient 4,5 m de salariés càd 30%

Plus généralement les micro-entreprises sont nombreuses, elles représentent près de 95% des entreprises,
leur poids économique est faible, ils n’emploient que 19,5% des salariés du privés, et ne crée que 22% de
VA, à l’inverse les PME hors ME et ETI elles représentent 5,1% des entreprises, et sont à l’origine de 45% de
VA, et 50% des exportations (PowerPoint)

3) Les pouvoirs publics :

Rappel : APU ((APUC (état, eu)1/3 G), (APUL (commune, département) 15% G), (ASSO (50% des G
dépenses publiques)))

1) Les moyens d’actions des APU (et leurs évolutions depuis le 19ème siècle)
2) Les APU P et S NM elles procèdent à des opé de transfert monétaire

A) Élargissement d’intervention et diversification des types d’action des PP

Intro : les PP se distingue par leur capacité d’intervention sur le circuit éco (la relance post-
covid), elle se distingue des entreprises et des M par la mesure où il peut déterminer dans une
certaine limite son niveau de revenu par le prélèvement souverain de l’impôt dont il détient le
monopole fiscal, en Outre on dis que l’état est « immortel » c-à-d son horizon temporel est infini
et donc ces deux caractéristiques facilite l’endettement et rend possible la mise en place la
politique publique de long terme visant l’intérêt général.
a) Les PP joue un grand rôle dans le circuit économique
b) leurs interventions au PP reposent sur 3 moyens d’action :
1_La production des services NM
2_Les transfert monétaires
3_La régulation des activités éco

a) Intervention croissante des PP :

Comment/pourquoi ont évolué les G depuis le 19ème siècle ?

Depuis le 19ème siècle, on constate une augmentation des dépenses Publiques par rapport au PIB
et diversification des dépenses (SS), plusieurs loi ou mécanisme peuvent expliquer la hausse a
long terme des dépenses publiques parallèlement au développement éco :
Loi Wagner : en lien avec la loi d’Engel, développement éco implique de nouveau besoin
d’intervention publique se font sentir (régulation des marchés, politique économique
(budgétaire) après 2nd g.m, éducation et santé

Effet de cliquet : à la suite des guerres ou crises éco.

Jusqu’à l’entre-deux guerres les fonctions assurés par l’état sont régaliennes (armé, police,
justice, diplomatie), peu de dépense sociale et celles de l’éducation sont faible (loi Ferry),
hausse lente des dépenses d’éducation, suite au loi ferry (1881-1882), les dépenses reste faible
10% au 19ème contre 50% aujourd’hui.

Avec la 1ère g.m la crise de 1929 et 2nde g.m, le niveau des dépenses publiques augmente par
l’effet de cliquet
Def effet cliquet : la hausse des dépenses publiques pour l’effort de guerre, dépenses publiques
trouve ensuite d’autres usages après la guerre, ainsi G ne baissent après la guerre car il faut
reconstruire, et indemniser les victimes de la guerre, et de nouveaux usages apparaissent.

21/09

Après la crise de 1929 et la 2nd g.m, on observe la monté en puissance des politiques
keynésiennes en particulier budgétaire (augmenter les dépenses publiques pour augmenter la
demande des ménages). Enfin, après 1945 se développe les dépenses sociales par le programme
du CNR, qui permet la création de la S.S en octobre 1946, par la suite le développement de la
protection sociale ainsi que les aspirations nouvelles des ménages (démocratisation scolaire)
soutiennent l’accroissement et la diversification de l’intervention des PP dans l’éco.

L’obligation scolaire a 14 ans en 1936 puis 16 ans 1950, en 1960 lycée pro,

1975 lois Haby : collège unique

État : PIB par habitants


_Niveau de vie :
Ménage : RDB par unité de consommation (couple : 1.5 UC, + 1 enfant 1.8 UC)

b) Pouvoir Public ou APU (APUC, APUL, ASSOM {SS}) : les moyens d’action des PP :
Les 3 moyens de service d’action des PP sont :
1) La production des service NM
2) Les opérations de transfert monétaires (p.o, pse)
3) La législation

B) La production de biens et services NM :


Les APU produisent des services NM qu’ils mettent à la disposition des M, cela correspond à la
production de service publique (éducation national, hôpitaux, les services régaliens). Cette
production est consommée par les ménages, les services d’éducation viennent augmenter le
niveau de vie des ménages, ils font parties dans la consommation finale effective des ménages
mais pas dans leur dépense de consommation.
Ce sont des TSN (production d’un service NM financé par les PP consommes par les ménages)
c’est une redistribution non-monétaire, ie un ménage ne peut pas en épargner la valeur
contrairement au PSE. Ils font parti du RDB ajusté des ménages, et ça rentre dans la c.f effective.

RDBA = RDB + TSN (schéma)


C) Les opérations de transfert monétaire
Def : ce sont des opérations de redistribution monétaire, lorsque la répartition des revenus
primaire est modifié ces opérations de transfert sont des flux de revenus prélevés sur les
revenus primaires ou distribué aux ménages (pse) et aux entreprises (subvention), ces
opérations correspondent à l’ensemble des PO (cotisation sociales, impôts), l’ensemble des
subventions adressé aux entreprises et au association ainsi que les PSE (assurantiel ou chômage
ou d’assistance comme le rsa {problème de revenu}), ces PSE contribuent fortement aux RDB
des ménages.
En ce qui concerne les ménages les opé de transfert entraine le passage de la distribution
primaire des revenus à la distribution secondaire, càd le passage des revenus primaire au RDB

On distingue deux types de distribution : redistribution


Redistribution verticale : transfert de revenus entre ménages qui ont des niveaux de vie
diffèrent, ex le rsa est versé aux ménages les plus pauvre alors qu’il est financé par tout ménage.
Il contribue donc à réduire les inégalités, il s’agit donc d’une opération de redistribution
verticale dite positive.

Flat tax : plus rentable pour les plus riches que l’impôt sur le revenu

Flat tax consiste un avantage fiscal concédé aux ménages les plus aisé qui voit leur revenu du
patrimoine imposé à la hauteur maximale 30%, contre 45% ou plus comparé à des revenus du
travail (que pour les revenus du patrimoine)

Redistribution horizontale : consiste en un transfert de revenus entre des ménage de niveau de


vie comparable en raison de caractéristique diff autre que le revenu, c’est le cas d’avoir des
enfants ou non et avoir des allocations familiales, il s’agit d’un transfert des ménages sans
enfant vers les ménages avec enfant, indépendamment du niveau de vie des uns et des autres

Ainsi les revenus de transfert contribuent à réduire les inégalités des revenus entre les
ménages, en effet le rapport interdécile entre les ménages est d’environ 7, 10% des ménages les
plus aisé perçoivent 7 fois plus de revenus primaires que les ménages les plus pauvre, à l’inverse
il n’est plus que d’environ 3 après opération de redistribution.

Enfin les revenus de transfert évoluent plus rapidement que le RDB des ménages (croissance ou
le PIB) il représente aujourd’hui plus du tiers des revenus des ménages contre environ 15% en
1950, cela s’explique principalement par la montée en puissance des systèmes de protection
sociale, la hausse du niveau de vie des retraite car ces derniers ont pu cotisé plus longtemps et
aussi la création de nouvelles prestation sociales (les minima sociaux) ex le RMI en 1988 qui est
devenu le RSA fin 2000. En outre l’apparition du chômage de masse à partir de 1980 qui
contribue à cette augmentation

D) La législation : On peut dire que l’intervention législative repose sur l’utilisation du PP de leur
monopole en la matière ils peuvent ainsi édicter de nouvelles règles et imposer s’appliquant aux
autres agents éco afin de poursuivre des objectifs :
Protection des consommateurs de l’environnement. Ex politique de la concurrence, politique
des brevets, régulation de marché émergeant (Uber, taxi), prohibition de certaine drogue
d’organe…
Conclusion du grand trois : les trois fonctions économiques de l’état :
Les PP procèdent aux 3 opé détaillé précédemment afin de remplir les 3 fonctions qui leur
incombent, ces 3 fonctions ont été établie par richard Musgrave, un économiste keynésien
américain en 1969 dans son ouvrage « A theorie of public finance » les trois fonctions de l’état
son :
La stabilisation de la conjoncture éco (l’idée de veillé à limiter l’ampleur des cycles économiques
de fluctuations économiques et les surchauffes (trop de demande))
La répartition des revenus (effectuer des opérations de transferts pour des raisons de justices
sociales)
L’allocation des ressources via par exemple : la production des services NM (orienté ou décidé
de la production d’un type de bien ou services plutôt qu’un autre c’est aussi orienter le travail
ex si ces PP veulent réduire l’émission de CO2 cela équivaut à remplir les fonctions d’allocation
des ressources (en favorisant les énergie renouvelables aux énergies faucilles) pour se faire il
faut procéder a des opération de transfert en imposant les émissions de CO2, en
subventionnant les industries innovante ou en finançant la rénovation des logements des
ménages

Les APU peuvent également faire recours au législative en interdisant la circulation des
véhicules diesel à Paris en 2025, et aussi produire des services NM en construisant des pistes
cyclables ou des bornes de recharges de voiture électrique

Une même mesure de l’état rentre dans différentes fonctions : les primes à la casse pour les
vieux véhicules polluant, ce qui peut relancer le secteur automobile

Conclusion du chapitre :

a) Le rdm : les échanges avec le reste du monde fait partie des opérations que font les agents
économiques, les ménages par exemple consomment des biens et des services importés,
une entreprise exporte et importe de la production et les investissements extérieur, de
même le PP empreinte une partie de leurs ressources auprès d’agent économique non-
résident.
Ainsi le rdm est aussi un acteur du circuit éco, il remet un poids croissant depuis 1980, avec
la montée croissante de la 2nd mondialisation, cet approfondissement de cette
mondialisation par la variation d’un indicateur : le taux d’ouverture des éco

Le taux d’ouverture d’un pays mesure l’importance de son inscription dans les flux
d’échange commerciaux internationaux relativement à son PIB.

Le taux d’ouverture = (import + export) / 2PIB

Plus le taux d’ouverture est élevé, plus l’activité éco du pays dépends des échanges avec le rdm,
les pays avec les taux d’ouverture le plus élevé sont les petits pays (Singapour), le taux
d’ouverture en France a été multiplié par 2 depuis la 2nd g.m (graphe) de 14% en 1950 à environ
30% aujourd’hui.

La balance commerciale = export – import

En CN la balance commerciale mesure les importations et les exportations, si le solde est négatif
alors on parle de déficit de la balance commerciale (comme la France depuis 2000, importe
d’avantage qu’elle n’exporte en valeur), et donc le déficit de la BC française était environ de 85
milliards €, tandis que la BC allemande est excédentaire de 180 milliards.
b) L’interdépendance entre grands acteurs et grandes grandes fonctions économiques :

Le circuit économique crée de l’interdépendance entre les acteurs éco


Par exp : les entreprises versent des revenus primaires aux ménages, qui ont contribués à la
production de biens et services marchands, une partie de ces revenus est prélevé par PP, ce
qui forme l’impôt et les cotisations sociales, les P.O servent à financer les revenus de
transfert que perçoivent les ménages, ensuite les ménages affectent le rdb à la
consommation ou à l’épargne, aussi de financer des investissements publics nécessaire à la
croissance. Enfin les P.O financent les service N.M (école, hôpital) consommé par les
ménages (TSN).
Ainsi l’activité économique des uns dépends de celles des autres, les flux de marchandises et
de revenus constituent le circuit éco et fondent cette interdépendance entre les acteurs éco.

On peut ajouter dans cette représentation du circuit éco des S.F (sociétés financières) qui
interviennent dans les opérations financières et donc participe au financement de
l’économie

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