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3ème Thème 2 – Chapitre 4 Activité 4.

3 : La fécondation, un phénomène qui amplifie la diversité génétique

Code Compétence(s) travaillée(s) Niveau de maitrise


C1.1 Lire et exploiter des données présentées sous forme de tableau A B C D
C5.1 Lire et exploiter des données présentées sous forme de schéma A B C D
D4 Interpréter des résultats et en tirer des conclusions A B C D
A = Très bonne Maitrise B = Bonne maitrise C = Maitrise fragile D = Maitrise insuffisante

Le but de cette activité est de découvrir comment la fécondation participe à enrichir la diversité génétique, en plus de la
méiose et des mutations que nous avons découvert les séances précédentes.

À l’aide des ressources disponibles, montrer que la fécondation permet :


Consigne - de rétablir la stabilité génétique des individus.
- d’assurer un nouveau brassage génétique, permettant d’enrichir de la diversité génétique.
Pour cela Étudier le document 1, pour remplir le tableau du document 2. Discuter des résultats obtenus
J’ai su montrer, en étudiant le document 1 et en remplissant le tableau du document 2, comment
J’ai réussi si la fécondation permettait d’assurer le brassage génétique et d’enrichir la diversité génétique

Document 1 – La fécondation (A1, A2, A3) et ses conséquences sur le caryotype de la cellule œuf (B)

A1

A2 A3
Document 2 – Fécondation et brassage génétique (document à compléter par l’élève)

Pour comprendre le mécanisme génétique de la fécondation, on se propose de reprendre l’exemple de l’activité


précédente (5.2) , avec le groupe sanguin, et le rhésus. Précisons avant tout quelques informations sur les allèles :

- Pour le gène du groupe sanguin, on note : - Pour le gène du rhésus, on note :


• l’allèle « A » pour le groupe sanguin A, qui est dominant • l’allèle « + » pour le rhésus positif, qui est dominant
• l’allèle « B » pour le groupe sanguin B, qui est dominant • l’allèle « – » pour le rhésus négatif, qui est récessif
• l’allèle « O » pour le groupe sanguin O, qui est récessif

On considère un homme de groupe sanguin et rhésus A + , et une femme de groupe sanguin et rhésus B – .

On présente à gauche une cellule de On présente à droite une cellule


testicule à l’origine des spermatozoïdes d’ovaire à l’origine des ovules chez
chez cet homme A + cette femme B –

Chaque cellule présentée ci-dessus subit la méiose. On résume dans le tableau suivant, qu’on appelle un tableau de
croisement, les différents spermatozoïdes et ovules pouvant être obtenus, chez cet homme et chez cette femme :

Tableau de croisement réunissant tous les gamètes obtenus, et toutes les cellules œufs pouvant être obtenues
Spermato-
-zoïdes

Ovules

Cellule œuf – Cas n° 1 Cellule œuf – Cas n° 2 Cellule œuf – Cas n° 3 Cellule œuf – Cas n° 4

Génotype 1 : ( A // B ) Génotype 1 : ( // ) Génotype 1 : ( // ) Génotype 1 : ( // )


Génotype 2 : ( – // + ) Génotype 2 : ( // ) Génotype 2 : ( // ) Génotype 2 : ( // )

Phénotype : [ AB + ] Phénotype : [ ] Phénotype : [ ] Phénotype : [ ]


Cellule œuf – Cas n° 5 Cellule œuf – Cas n° 6 Cellule œuf – Cas n° 7 Cellule œuf – Cas n° 8

Génotype 1 : ( // ) Génotype 1 : ( // ) Génotype 1 : ( // ) Génotype 1 : ( // )


Génotype 2 : ( // ) Génotype 2 : ( // ) Génotype 2 : ( // ) Génotype 2 : ( // )

Phénotype : [ ] Phénotype : [ ] Phénotype : [ ] Phénotype : [ ]

On cherche à déterminer les différents génotypes et phénotypes pouvant être obtenus pour chaque cellule œuf possible

L’objectif, est de remplir les génotypes puis les phénotypes des nouvelles cellules œufs formées (visibles dans le tableau,
il y en a 8, dont une qui est complétée), en appliquant le principe de la fécondation d’un point de vue génétique,
découvert dans le document 1.

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