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MEMOIRE POUR L’OBTENTION DE

LA LICENCE FONDAMENTALE EN
SIENCES ECONOMIQUES ET GESTION

SOUS LE THEME :

ENTREPRENEURIAT SOCIAL AU MAROC

Département :

SCIENCES ECONOMIQUES ET GESTION

Réalisé par :

SIYOURISS MOHAMED /M137529554


TABIAOUI MAROUAN  /M138450639
SOULIMANI ALAOUI HICHAM /M134339272

Encadré par:

M.ZEHMED KARIM

Année universitaire: 2022/2023


DEDICACE

Nous dédions avec un immense plaisir ce modeste travail :

A nos parents : Source de tendresse et d’amour, aucun hommage


ne pourrait être à la hauteur de l’amour dont ils ne cessent de nous
combler, à tous les sacrifices que vous avez consentis pour notre
éducation et notre bien- être, que Dieu leur procure bonne santé et
longue vie.

A nos frères et sœurs : Qui nous ont toujours soutenus et qui ont
fait tout Possible pour nous aider en nous souhaitant un avenir
radieux, plein de bonheur et de succès. Aussi à toutes les personnes
qui nous a aidées de près ou de loin à la réalisation de ce travail.
PLAN
Introduction générale ;
Chapitre 1 : Cadre théorique et conceptualisation de l'entrepreneuriat social
 Introduction au chapitre
Section 1 :Cadre théorique de l'entrepreneuriat social :
 Présentez des fondements théoriques de l'entrepreneuriat social et discussion des différentes définitions, modèles et approches
utilisés pour étudier l'entrepreneuriat social dans la littérature.

Section 2 : Conceptualisation de l'entrepreneuriat social au Maroc :


 Discutez la manière dont l'entrepreneuriat social est conceptualisé et compris dans le contexte marocain, en tenant compte de ses
facteurs historiques, culturels et institutionnels.

 Conclusion du chapitre

Chapitre 2 : Contexte historique et institutionnel de l'entrepreneuriat social au Maroc


 Introduction au chapitre
 Section 1 : Contexte historique de l'entrepreneuriat social au Maroc :
 Discussion du développement historique de l'entrepreneuriat social au Maroc, y compris son évolution au fil du temps, ses jalons
importants et ses acteurs clés.

Section 2 : Contexte institutionnel de l'entrepreneuriat social au Maroc :


 Analyse de l'environnement institutionnel qui façonne l'entrepreneuriat social au Maroc, y compris le cadre juridique, les
initiatives politiques, les sources de financement et les organisations de soutien.

 Conclusion du chapitre

Chapitre 3 : Défis et opportunités de l'entrepreneuriat social au Maroc


 Introduction au chapitre
Section 1 : Défis de l'entrepreneuriat social au Maroc :
 Identification et analyse des principaux défis auxquels les entrepreneurs sociaux sont confrontés au Maroc, notamment les
barrières culturelles, le manque de financement, la faiblesse de l'infrastructure et l'accès limité aux marchés.

Section 2 : Opportunités de l'entrepreneuriat social au Maroc :


 Discussion des opportunités et du potentiel de l'entrepreneuriat social au Maroc, y compris sa contribution à la réduction de la
pauvreté, à la création d'emplois, à l'innovation et à l'impact social.

 Conclusion du chapitre
Conclusion générale
 Résumé des résultats clés : Synthèse des principaux résultats de la revue de littérature et réponses aux questions de recherche.
 Implications pour la pratique : Discussion des implications pratiques des résultats pour les entrepreneurs sociaux, les organisations de soutien, les
décideurs politiques et les autres parties prenantes.

 Limitations de la recherche et recommandations : Discussion des limites de la revue de littérature et des domaines qui nécessitent une recherche
future.
INTRODUCTION GENERALE

L’entrepreneuriat social, concept en construction, suscite un grand intérêt ces


dernières années et fait l’objet de plusieurs études et recherches. Il se présente comme
une autre voie innovante pour agir au service d’activités ayant du sens, rendant l’économie
plus humaniste et créant de la valeur sociale dans différents domaines (santé, éducation,
emploi ,finance,…). L’entrepreneuriat social et ses solutions restent toutefois, peu connus,
son potentiel sous utilisé et les conditions de son essor encore insuffisamment réunies. 1
Actuellement , l’entrepreneuriat prend une grande place dans notre quotidien , et cela
par son rôle majeur dans la redynamisation de notre société , sachant qu’elle a un double
enjeux à la fois sociale et économique , cependant ,certain pensent que l’entrepreneuriat est
significatif à l’entreprise ou bien à quelque chose de nature concret, car selon Thierry
Verstracle l’entrepreneuriat est un phénomène combinant entre l’individu et l’organisation ,
l’un se définit par rapport a l’autre et vice-versa , ainsi le terme entrepreneuriat se présente
comme une description d’une relation symbolique entre l’entrepreneur et l’organisation , du
fait que le 1ere agit sur l’organisation par la mise on action de son idée de base a travers
certains moyens à mettre en évidence ( le patrimoine humain et financier et matériel et
immatériel ) afin d’arriver à une organisation définie, autrement dit l’action d’entreprendre
prend sa place entre deux sphères :le théorique et le pratique; Selon certains témoignages le
concept d’entrepreneuriat est lié à l’action de la création d’entreprise et jugé en termes des
visions et approches future et non sur la réalisation passée, c’est alors que sa continuité
dépend de la survie de l’organisation et son évolution dans le temps.
Généralement, l’entrepreneuriat est une action de création de la richesse économique
(valeur ajoutée) et de l’emploi à travers une entreprise crée sur un domaine d’activité donné.

 Problématique :
Dans cette modeste recherche nous allons traiter l’entrepreneuriat social comme une
nouvelle méthode d’entreprendre a posant les questions suivant :
 Quel est le cadre théorique et la perception de l’entrepreneuriat social ?

 Quel est le contexte historique et institutionnel de l’entrepreneuriat social au Maroc ?

 Quels sont les défis et les opportunités de l’entrepreneuriat social au Maroc ?

 Méthodologie de travail:
Afin de répondre à notre problématique, nous avons essayé de structurer
notre travail autour detrois chapitres, qui sont à leurs tours inscrits à deux univers
différents, théorique et pratique.

Chapitre 1 : intitulé L'entrepreneuriat social au Maroc Cadre théorique et


conceptualisation de l'entrepreneuriat social ; En termes de fondements théoriques
sociaux et de définitions différentes et

Discuter de la perception de l’entrepreneuriat social dans le contexte marocain


avec ses facteurs historiques, culturels et institutionnels.

Chapitre 2 : Il nous permettra d'axer nos recherches sur le contexte historique et


institutionnel de l'entrepreneuriat social au Maroc ; Discutez du développement
historique au fil du temps, des jalons et des acteurs clés.

Analyser l'environnement institutionnel, compris le cadre juridique, les initiatives


politiques, les sources de financement et les organisations qui soutiennent
l'entrepreneuriat social.
Chapitre 3 : Défis et opportunités de l'entrepreneuriat social au Maroc ; dentification et analyse
des principaux défis auxquels sont confrontés les entrepreneurs sociaux au Maroc, notamment
les barrières culturelles, le manque de financement, la faiblesse des infrastructures et l'accès
limité aux marchés pour la création, l'innovation et l'impact .
Chapitre 1 : Cadre théorique et conceptualisation de l'entrepreneuriat social :

Introduction au chapitre :
Les efforts pour le développement de l’entrepreneuriat social se sont
multipliés au cours de la dernière décennie au Maroc. Plusieurs programmes
institutionnels et gouvernementaux -pour encourager les structures d'économie
sociale et solidaire- ont été mis en place, des fonds dédiés au soutien des
entrepreneurs sociaux ont été créés et des compétitions pour choisir et
récompenser les meilleurs projets d’entreprises sociales ont été lancées. Cela
confirme que l'écosystème de l'entrepreneuriat social Marocain commence
véritablement à prendre forme. Nous avons même assisté à la transposition de
plusieurs concepts qui étaient auparavant réservés aux entreprises classiques
au profit des entreprises sociales. Parmi ces concepts, nous retrouvons les
structures d'incubation et d’accompagnement entrepreneurial dédiées aux
entreprises sociales.

Section 1 : Cadre théorique de l'entrepreneuriat social :


Dans cette section, nous traiterons des fondements théoriques de
l'entrepreneuriat social et discussion des différentes définitions, modèles et
approches utilisés pour étudier l'entrepreneuriat social dans la littérature.

Ⅰ - fondements théoriques de l'entrepreneuriat social :


Concept polysémique et protéiforme, l’entrepreneuriat social
regroupe des pratiques aussi différentes et variées que leurs contextes
d’émergence. Nous en recenserons, dans cette section ses différents contextes.
Ensuite, nous en présenterons ses deux conceptions dominantes. Enfin, nous
en exposerons ses principales définitions.
L’entrepreneuriat est aujourd’hui un thème d’actualité : enseignants,
chercheurs, managers, dirigeants d’entreprises, consultants, hommes politiques
tous s’y intéressent.
Aujourd’hui, nous avons une meilleure connaissance du phénomène.
Des idées reçues ont été mises à mal, telle celle qui fait de la recherche du
profit et de l’enrichissement personnel le principal moteur de création (Bruyat,
1993).
Certains changements environnementaux et leurs conséquences au niveau des
sociétés, des entreprises, et des individus (…) sont de nature à donner à
l’entrepreneuriat, en tant que phénomène et en tant qu’ensemble de
comportements individuels et collectifs, une place plus importante (Fayolle,
2007).
Les apports de l’entrepreneuriat à la société et à l’économie ne sont plus à
démontrer, « elles concernent la création d’entreprises, la création d’emplois,
l’innovation, le développement de l’esprit d’entreprise dans les entreprises, et les
organisations et l’accompagnement de changements structurels (Fayolle, 2007).3
1- Contextes d’émergence
L’origine des premières initiatives entrepreneuriales sociales remonte au
milieu des années 1980, poussées par les politiques libérales, surtout aux Etats
Unis et au Royaume Uni, portées par le duo Reagan-Thatcher. Durant ces
années, beaucoup d’organisations à but non lucratif étaient obligées de
s’adapter.
Historiquement, les missions associées à l’entrepreneuriat social sont
l’apanage del’Etat ou des organismes à but non lucratif.
Les organismes à but non lucratif, devant le besoin de financement de
leurs activités sociales et la non garantie des aides de l’Etat, doivent se
prémunir, en développant des activités commerciales pour générer des
profits afin de servir leur mission sociale ;
Le désengagement de l’Etat de plusieurs secteurs sociaux a provoqué la
non satisfaction de besoins sociaux ;
La prolifération d’organisations répondant à des besoins sociaux a créé
une compétition dans la captation de financements ;
L’appel à la responsabilisation dans la gestion des fonds accordés dans
le cadre de projets sociaux a obligé les organisations opérant dans ce
secteur, à un certain isomorphisme avec les entreprises classiques dans
leurs pratiques de gestion et de bonne gouvernance ;
L’acceptation, de plus en plus grandissante du marché, comme
mécanisme à même de satisfaire les besoins sociaux en faisant appel au
pouvoir de la compétition, tout en favorisant l’innovation et l’efficacité
organisationnelle.

2-Approches théoriques de l’entrepreneuriat social

L’étude de l’entrepreneuriat n’a pas été l’apanage d’une catégorie de


chercheurs ce qui explique sûrement le côté multidimensionnel de la notion.
Selon Fayolle (2004), trois questions génériques proposées par Steveson et
Jarillo (1990) peuvent résumer une partie importante de l’activité de recherche
en entrepreneuriat :
« What happens when entrepreneurs act? » Cette question s’intéresse aux
apports de l’activité entrepreneuriale sur l’environnement économique et social.
« Why do entrepreneurs act ? » Cette question a donné naissance à plusieurs
recherches réalisées par des sociologues et des spécialistes en science
comportementale qui ont fait des observations sur l’entrepreneur et ses
caractéristiques.
« How do entrepreneurs act ? » le « comment » a poussé les chercheurs en
gestion et stratégie à s’intéresser sur ce que fait l’entrepreneur et non pas ce
qu’il est. De par là, Gartner s’est posé le « qui », ainsi pour y remédier au
problème, la question posée est « Who is an entrepreneur ?
Plusieurs approches aux perspectives théoriques et méthodologiques
différentes peuvent ainsi être mentionnées :

3- L'approche américaine :
L'approche américaine est composée de deux écoles de pensées : l'école des
ressources marchandes qui stipule qu'une entreprise sociale est une
organisation privée non lucrative qui recourt à des activités économiques
marchandes au service de sa mission sociale (Skloot, 1987 ; Young et Salamon,
2002). Des travaux ont suivi ce courant tout en élargissant le champ à un vaste
éventail d'organisations, qu’elles soient à but lucratif ou non lucratif pourvu
qu’elles déploient une activité marchande en vue d’une finalité sociale (Austin
et al., 2006). L'école de l'innovation sociale met l'accent sur le caractère
innovateur de l'entrepreneur social (Dees & Anderson, 2006, Bornstein, 2004).
Dees (1998) - parmi les pionniers de ce courant- définit « L’entrepreneur social
comme agent de changement dans le secteur social en poursuivant une mission
de création de valeur sociale et en exploitant de nouvelles opportunités pour
soutenir cette mission. Il s’inscrit dans un processus continu d’innovation,
d’adaptation et d’apprentissage, agissant avec audace sans être limité, a priori,
par les ressources disponibles et en faisant preuve d’un sens aigu de
l’engagement vis-à-vis de sa mission et de ses impacts sociaux ».

4 - L'approche européenne :
L'approche européenne, elle s'intéresse principalement à l'entreprise sociale,
appelée également entreprise du secteur d'économie sociale et solidaire. En
effet, ce sont les travaux du Réseau EMES qui ont fourni les premières bases
théoriques et empiriques pour une conceptualisation de l'école européenne de
l'entreprise sociale (Defourny, Nyssens 2010). Les chercheurs du réseau ont
construit un « idéal-type » de critères pour faire la distinction entre l'entreprise
sociale et l'entreprise classique. Defourny et Nyseens (2010) ont classé ces
critères en 3 catégories à savoir : Trois critères à caractère économique (une
activité continue de production de biens et/ou de services; un niveau significatif
de prise de risque économique; un niveau minimum d'emploi rémunéré), trois
critères à caractère social (un objectif explicite de service à la communauté; une
initiative émanant d'un groupe de citoyens; une limitation de la distribution des
bénéfices), et trois critères relevant de la structure de gouvernance (un degré
élevé d'autonomie; un pouvoir de décision non basé sur la détention de capital;
une dynamique participative impliquant différentes parties concernées par
l'activité).

5 - L’approche fonctionnelle des économistes :


Les bases historiques de l’entrepreneuriat appartiennent aux sciences
économiques. Le concept d’entrepreneuriat apparait dans la littérature
économique à travers les écrits de:
Richard .Cantillon, qui a décrit la fonction de l’entrepreneur et son
importance dans le développement économique. Il souligne dans son analyse du
phénomène entrepreneurial, le rôle de l’incertitude et du risques, puisque selon
lui : « l’entrepreneur et agent de direction de la production et de commerce qui
supporte seul les risques liés au contraintes du marche et aux fluctuations des
prix. L’entrepreneur Cantillon effectue des achats à des prix certains pour se
procurer toutes les ressources nécessaires a sa production.ses ventes et ses
recettes sont, par contre, aléatoire, ce qui rend incertain l’espérance de profit »8
Jean-Baptiste Say, est le deuxième économiste à s’être intéressé aux activités
de l’entrepreneur, dont il dit « l’entrepreneur est avant tout un preneur de
risques qui investit son propre argent et coordonne des ressources qu’il se
procure pour produire des biens. Il crée et développe des activités économiques
pour son propre compte . ».
Ensuite la vision de Schumpeter (1935), véritable père du champ de
l’entrepreneuriat. Avec la publication de sa Théorie de l’évolution économique,
Schumpeter fait de l’entrepreneur une figure centrale du développement
économique. Il est un agent du changement qui prend des risques pour innover,
notamment en réalisant de nouvelles combinaisons productives. Fillon, basée
essentiellement sur l’innovation émergea. Pour lui, « L’essence de
l’entrepreneuriat se situe dans la perception et l’exploitation de nouvelle
opportunités dans le domaine de l’entreprise… cela a toujours à faire avec
l’apport d’un usage différent de ressources nationales qui sont soustraites de
leur utilisation naturelle et sujettes à de nouvelles combinaisons ».
Donc on peut conclure que l’importance économique de l’entrepreneuriat
réside dans le fait qu’il offre des opportunités à saisir en vue de la réalisation
d’un profit, mais comporte également un risque à supporter.

6 - L’approche centrée sur les individus :


Cette approche vise à produire des connaissances sur les caractéristiques
psychologiques des entrepreneurs comme leurs traits de personnalité leurs
motivations, leurs comportements mais également leurs origines et leurs
trajectoires sociales. Weber a ainsi mis en évidence l’importance du système de
valeurs et leur rôle dans la légitimation et l’encouragement aux activités
entrepreneuriales, cette approche à identifie une ou plusieurs caractéristiques.
McClelland a expliqué que « l’entrepreneur se caractérise par un besoin
d’accomplissement élevé ; il préfère être responsable de la solution des
problèmes, établir ses propres objectifs et les atteindre par leur seul effort .ils
ont également tendance à prendre des risques modérés en fonction de leur
habilités… » .
Différents types d'entrepreneurs sont proposés en fonction de caractéristiques
psychologiques, sans pouvoir distinguer un profil type d'entrepreneur En ce
sens, nous pensons que chaque individu est le produit de son bagage ; Les
entrepreneurs sont influencés par leur environnement immédiat et reflètent en
quelque sorte les caractéristiques de l'époque et du lieu dans lesquels ils
opèrent.
Stevenson et Jarillo (1990) estiment qu'il est difficile de modéliser et
d'expliquer un comportement complexe (entrepreneuriat)
en termes de caractéristiques psychologiques ou sociologiques. Ce constat est
de plus en plus partagé, conduisant à chercheurs s'intéressant aux processus
entrepreneuriaux.

7 - L’approche basée sur les processus :


Ces approches ont proposé aux chercheurs de s’intéresser à ce que font les
entrepreneurs et non pas à ce qu’ils sont. Ainsi les chercheurs sont orientés vers
la question comment les nouvelles entreprises sont elles fondées ? , comment les
entrepreneurs agissent ? Six comportements décrivent l’activité entrepreneuriale
ont été identifiés par Gartner en 1985:
« L’entrepreneur localise une opportunité d’affaire ;
L’entrepreneur accumule des ressources ;
L’entrepreneur fait marchander des produits et des services ;
L’entrepreneur produit des produits ;
L’entrepreneur construit une organisation ;
L’entrepreneur répond aux exigences du gouvernement et de
la société »

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

 L’entrepreneuriat social au Maroc, Perception et pistes de


développement. Revue Marocaine de Recherche en Management
et Marketing, (8).

 ÉTUDE EXPLORATOIRE DE L’ÉCOSYSTÈME


D’ACCOMPAGNEMENT À L’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
AU MAROC

 https://wikimemoires.net/2013/01/fondements-theoriques-de-
lentrepreneuriat
 La portée inclusive de l’entrepreneuriat social: cas de l’Initiative
Nationale pour le Développement Humain dans la région Gharb-
Chrarda-Beni Hssen (2005-2015) (Doctoral dissertation,
Université Sidi Mohammed Ben Abdellah Fès (Maroc)).

 FAYOLLE A., « Introduction à l’entrepreneuriat », Paris :


Dunod, 2005.p.10.

 ÉTUDE EXPLORATOIRE DE L’ÉCOSYSTÈME


D’ACCOMPAGNEMENT À L’ENTREPRENEURIAT SOCIAL
AU MAROC.

 Cantillon (1755), cité par O .Toutain, « Entrepreneuriat,


territoire et développement économique : une question de
configuration ou de dosage ? », cahier de recherche « L’art
d’entreprendre »N° 2/10 EM Lyon, 2010, p 02.

 FAYOLLE Alain, Op.cit. p.10.

 Idem. p10

 E-M. Hernandez, « Le processus entrepreneurial, vers un modèle


stratégique d’entrepreneuriat », Paris, L’Harmattan, 1999, p256

 FAYOLLE Alain. «Introduction à l’entrepreneuriat ». DUNOD,


Paris, 2005, p. 14.

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