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Pierre N'DA
93200 Saint-Denis
Remerciements
Introduction
Méthode expérimentale
Méthode hypothético-déductive
Méthode quantitative
Méthode qualitative
GRAWITZ, Op.cit .
Méthode philosophique
Méthode théologique
Méthode sociologique
BORLANDI Massimo, MUCCHIELLI Laurent (dir), La sociologie et sa
méthode. Les règles du Durkheim un siècle après , Paris, L’Harmattan, 1996
Méthode historique
BOURDÉ Guy et MARTIN Hervé, Les écoles historiques , Paris, Seuil,
1989
La narratologie
La sémiotique narrative
Sociocritique
La Mythocritique
La psychanalyse et la psychocritique
La critique génétique
La Pragmatique
On l’a vu, ces questions fondamentales forment et
constituent, avec le « And » inclus, le sigle IMMRAD, réduit
à IMRAD. Évidemment, l’IMRAD se termine naturellement
par une conclusion, même si cette dernière n’apparaît pas,
de façon formelle et explicite, dans l’acronyme.
Ainsi, l’idéal est que tous les travaux de recherche
adoptent et suivent le même cheminement pédagogique :
des questions, des hypothèses, une enquête, une analyse,
des résultats, une discussion et des conclusions. Par
commodité et surtout par souci de rigueur scientifique et
d’harmonisation des pratiques rédactionnelles, la tendance
actuelle est de généraliser la structure IMRAD et de
l’étendre à tous les travaux de recherche quels qu’ils
soient.
Sur la base de ce plan préétabli, de ce schéma standard,
on estime qu’un travail de recherche peut valablement se
faire avec toutes les garanties de réussite. Il suffit, on va
dire, que le doctorant ou le chercheur s’en donne la peine,
qu’il ait des aptitudes pour la recherche, des capacités
intellectuelles et une compétence réelle dans son domaine
d’investigation. Pour y arriver, il doit s’employer à écrire,
comme il se doit, les quatre (4) composantes constitutives
de l’IMRAD : 1 – une introduction ; 2 – une description du
matériel et des méthodes ; 3 – une présentation des
résultats obtenus après analyse ; 4 – une interprétation et
une discussion des résultats.
1.2.3. La partie finale ou la conclusion, dans un
premier temps, récapitule l’essentiel de ce qui a été fait par
rapport à la problématique formulée, avec la question
principale et les questions annexes, les objectifs visés, les
hypothèses émises ; elle rappelle aussi les résultats
obtenus et fait le point de la discussion. Dans sa deuxième
composante, qui est d’ordre prospectif, elle fait des
observations, des remarques et des mises au point sur
certains aspects, indique des pistes de réflexion, des sujets
de recherches en perspective, et, si possible, des projets
d’études et de publications sur la question traitée et
d’autres sujets connexes dans le même espace cognitif.
Première partie :
Les fondements théoriques et conceptuels de l’étude
Deuxième partie :
Considérations d’ordre technique et méthodologique
En guise de conclusion
Première partie :
Considérations théoriques et conceptuelles sur la science fiction et le
paratexe
Chapitre 1 : La science-fiction : approche descriptive et historique du genre.
Chapitre 2 : Le paratexte littéraire : les productions discursives en marge du
texte romanesque.
Chapitre 3 : Le paratexte de la science-fiction française, un hors-texte
américanisé.
Deuxième partie :
Les stratégies paratextuelles des romans de Stefan Wul
Chapitre 1 : La première de couverture et les contradictions entre l’auctorial
et l’éditorial.
Chapitre 2 : Le dos du livre et la quatrième de couverture : des espaces
stratégiques.
Chapitre 3 : La création titrologique chez Wul : un chef-d’œuvre d’ingéniosité
littéraire et esthétique.
Chapitre 4 : Les épigraphes et les préfaces : des instances de légitimation et
de revalorisation.
Chapitre 5 : L’épitexte ou l’intrusion dans les alcôves des œuvres de Stefan
Wul.
Troisième partie :
L’appareil d’escorte des romans de Stefan Wul : Enjeux et effets de sens
Chapitre 1 : Les seuils romanesques et enjeux pragmatiques : de l’influence du
hors-texte.
Chapitre 2 : De la périphérie au texte : la dimension littéraire et esthétique
des œuvres.
Chapitre 3 : Le paratexte et le contenu thématique des romans.
Chapitre 4 : L’accompagnement paratextuel et la portée idéologique des
œuvres chez Stefan Wul.
Bibliographie
1 Jacqueline Russ, Les méthodes en philosophie , Paris, A. Colin, 1996, p.12.
2 Madeleine Grawitz, Méthodes des sciences sociales , Paris, Dulloz, 1996.
3 Maurice Angers, Initiation pratique à la méthodologie des sciences humaines
, Montréal, Centre éducatif et culturel inc., 1992, p.353.
4 Jean-Pierre Rossi , L’approche expérimentale en psychologie , Paris, Dunod,
1997.
5 Jean-Pierre Deslauriers, Recherche qualitative. Guide pratique , Montréal
McGraw-Hill éditeur, 1991, p.6
6 Christian Delcourt, « La statistique littéraire », Introduction aux études
littéraires. Méthodes du texte , Paris – Louvain-la-Neuve, Edition Duculot,
1990, p.132-147
7 Charles Muller, Principes et méthodes de statistique lexical , Paris, Hachette,
1996
- Initiation aux méthodes de la statistique linguistique , Paris, Hachette, 1973.
- Langue française, linguistique quantitative, informatique, Génève-Paris,
Slatkine-Champion, 1985.
8 Jacqueline Russ, Les méthodes en philosophie , 2 ème édition, Paris, A. Colin,
1996.
9 Bernard J.F. Lonergan, Pour une méthode en théologie , traduit de l’anglais
sous la direction de Louis Roy, collection « Cogitatio Fidei », n°93, Paris,
éditions du Cerf-éditions Fides, 1978.
10 Jean-Claude Petit, La théologie : sa nature, ses méthodes, son histoire, ses
problèmes ; répertoire bibliographique international , Montréal, PUM, 1978.
11 Jean-Pierre Torrell, « Méthode en théologie et en théologie fondamentale »,
Revue Thomiste , Toulouse, 1981, vol.81, n°3, p.447-476.
12 Henriette Danet et Elvis Elengabeka, Secrets de la réussite : Guide des
mémoires et des thèses en Licence Master Doctorat, Yaoundé, 2013, p.17
13 Ibidem
14 Gérard Siegwalt, « L’acte théologique aujourd’hui. Risque et promesse »,
Revue d’Histoire et de Philosophie religieuses 2 , 1972, p.137-148.
15 A.J. Greimas, Sémantique structurale , Paris, Larousse, 1966, p.41.
16 Michael Riffaterre, La production du texte , Paris, Seuil, 1979, p.89.
17 A. Julien Greimas, Joseph Courtés, Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la
théorie du langage , Paris, Hachette, 1979, p.388.
18 Jacques Derrida, L’écriture de la différence , Paris, Seuil, 1967, p.44.
19 Bonald, Articles de Mercure de France , paru sous l’Empire (recueillis dans
œuvres complètes, XIX è siècle.
20 Pierre Barberis, « La sociocritique », Introduction aux méthodes critiques
pour l’analyse littéraire , p.123.
21 Claude Duchet, « Pour une socio-critique ou variations sur un incipit »,
Littérature , n°1, Paris, Larousse, 1977.
22 Gérard Gengembre, Les grands courants de la critique littéraire , Paris,
Seuils, p.53.
23 Claude Duchet, « Positions et perspectives », Sociocritique , Paris, Nathan,
1979, p.3-4.
24 André Fossion et Jean Pierre Laurent, Pour comprendre les lectures
nouvelles : linguistique et pratique textuelle , Paris, Seuil, p.129.
25 Régine Robin et Marc Angenot, « La sociologie de la littéraire », Histoire
des poétiques , Paris, PUF, 1997, p.408.
26 Pierre N’Da, « Les romanciers africains et les modèles littéraires
étrangers : À l’heure de la « littérature-monde, quelle place pour l’originalité et
l’identité culturelle ? », Université de Cocody, Abidjan, En-Quête , EDUCI, n°21,
2009, p.15-26.
27 Charles Mauron, Des métaphores obsédantes au mythe personnel , Paris,
José Corti, 1962, p.13.
28 Ibidem
29 Jean Bellemin-Noël, Psychanalyse et littérature , Paris, Que suis-je ?
n°1752, 1995, p.96.
30 Pierre-Marc de Biasi, « La critique génétique », Introduction aux méthodes
critiques… , p.6-7.
31 Gothot-Mersch, C., La genèse de « Madame Bovary » , Corti, 1966.
32 Pierre-Marc de Biasi, Carnets de travail de G. Flaubert , Ballard, Paris,
1988
33 Jean-Francis Ekoungoun, Ahmadou Kourouma par son manuscrit de travail.
Enquête au cœur de la genèse d’un classique , Paris, Ed. Connaissances et
Savoirs, 2013.
34 Charles Morris, Fondations of the theory of signs , 1938.
35 Alan Henderson Gardener, Langage et actes de langage : Aux sources de la
pragmatique , Lille, Presses universitaire de Lille, 1989, p.13.
36 Anne Reboul et Jacques Moeschler, La pragmatique aujourd’hui, une
science de la communication , Paris, Seuil, 1998, p.27.
37 John Langshaw Austin, ( How to do things with word , 1962 ; trad.fr. Quand
dire, c’est faire , Ed. du Seuil, 1970).
38 Philippe Blanchet, La pragmatique. D’Austin à Goffman , Paris, Bertrand-
Lacoste, 1995, p.12.
39 Dominique Maingueneau, Le contexte de l’œuvre , Paris, Dunod, 1993,
p.65.
40 Mathieu Guidère, Méthodologie de la recherche , Paris, Ellipses Edition
Marketing, 2004, p.27.
41 Gordon Mace et François Pétry, Guide d’élaboration d’un projet de
recherche en sciences sociales , 4 e éd Bruxelles, De Boeck, 2011, p.5.
42 Marie-Fabienne Fortin, Le processus de la recherche, De la conception à la
réalisation , Ville Mont-Royal, Décarie Éditeur, 1996, p.326.
43 Bernadette Plot, Ecrire une thèse ou un mémoire en Sciences humaines ,
Paris, Ed. H. Champion, 1989, p.90.
44 Plan de la thèse de Koffi Kouassi Pierre, Département de Lettres
modernes, Université, Cocody-Abidjan, 2005
45 Plan de la thèse de Doctorat soutenue par Fréderic Akomian Mobio,
département de Lettres modernes, Université Félix Houphouet-Boigny, 23
Janvier 2013
46 Plan de thèse de Doctorat de Rosine Gnamien D. B. Kouadio, Département
de Lettres modernes, Université Félix Houphouët Boigny, 2014.