Convertisseur Abaisseur: Types, Conception de Circuits, Fonctionnement, Modes de Fonctionnement, Exemples, Pertes Et Applications

12/04/2023 13:42 Buck Converter – Circuit, Design, Operation and Examples
Convertisseur abaisseur : types, conception de circuits, fonctionnement, modes de

fonctionnement, exemples, pertes et applications
Cet article traite du convertisseur Buck et de toutes les choses importantes concernant le convertisseur Buck. Tous les
points importants concernant le convertisseur abaisseur, c'est-à-dire le fonctionnement, la conception, les considérations
de pertes et l'amélioration de l'efficacité du convertisseur abaisseur, sont abordés dans cet article. Commençons par les
bases du convertisseur buck jusqu'à sa conception.
Table des matières
https://www.electricaltechnology.org/2020/09/buck-converter.html 1/37
Bases du convertisseur DC-DC

Convertisseur Buck
Topologie de base du convertisseur Buck
Modes de fonctionnement dans le convertisseur abaisseur
CCM (mode de conduction continue)
Mode DCM (mode de conduction discontinue)
Opération de travail du convertisseur Buck
Mode 1
Mode 2
Pic minimum et maximum du courant d'inductance
Calcul ILmin
Calcul ILmax
Fonction de transfert du convertisseur Buck
Conception de composants et évaluations pour Buck Converter
Conception d'inducteurs pour convertisseur abaisseur
Inductance critique
Courant nominal de crête de l'inductance
Conception de commutateurs pour convertisseur abaisseur
Tension nominale pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur
Courant nominal pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur
Conception de diode (diode Shotkey) pour convertisseur abaisseur
Tension nominale de la diode pour le convertisseur abaisseur
Courant nominal de la diode pour le convertisseur abaisseur
Conception de condensateur pour convertisseur abaisseur
Tension nominale
Capacité minimale selon la tension
Courant nominal RMS et capacité minimale en fonction du courant
Sommaire
Conception de convertisseur abaisseur pour 12V à 2,5V, 1A
Données connues pour la conception d'un convertisseur Buck
Solution pour trouver les composants requis
Recherche de valeur d'inductance
Recherche de valeurs de diode
Sélection des valeurs MOSFET
Sélection des valeurs de condensateur
Considération de perte de convertisseur de Buck hors transaction
Perte statique du MOSFET
Perte de commutation du MOSFET
Pertes d'entraînement de grille MOSFET
Perte statique de diode
Perte de commutation de diode
Pertes générales de l'inducteur
Perte de cuivre de l'inducteur
Pertes du noyau de l'inducteur
Perte ESR du condensateur
Exemples de Buck Design avec pertes
(Conception d'un convertisseur Buck non idéal) Exemple 1
Amélioration de l'efficacité
Par condensateur
Abaisser l'ondulation du courant de l'inducteur
Abaissez la tension d'entraînement de grille
Utilisation du MOSFET synchrone
Commutation douce
Contrôleur PWM
Considération de mise en page
Convertisseur abaisseur multiphase
Avantages du multiphase
Bases du convertisseur DC-DC

Le convertisseur DC-DC est un convertisseur qui convertit le niveau de tension continue de la source d'entrée en un
autre niveau de tension continue. La conversion DC-DC peut être effectuée directement ou peut être effectuée de
manière alternative. L'autre méthode consiste à inverser l'entrée CC en CA et à la redresser en CC après avoir
augmenté ou diminué la tension CA à l'aide d'un transformateur élévateur ou abaisseur.
Cette façon de transformer le niveau de tension continue est longue et difficile. La méthode courte et directe consiste à
convertir DC-DC directement à l'aide d'un convertisseur Boost ou d'un convertisseur buck. Le fonctionnement
du convertisseur élévateur consiste à augmenter la tension d'entrée tandis que le convertisseur abaisseur est utilisé
pour réduire le niveau de tension d'entrée.
Il existe deux topologies de base dans les convertisseurs CC-CC qui sont des convertisseurs CC isolés et non isolés. Le
mot isolé définit automatiquement que l'entrée et la sortie du convertisseur CC-CC sont isolées par la partie CA. Les
convertisseurs DC-DC isolés se composent de trois parties principales qui sont l'onduleur , le transformateur et le
redresseur .
L'onduleur pour convertir la tension d'entrée CC en CA, le transformateur pour élever ou abaisser la tension CA et enfin
le redresseur pour reconvertir la tension CC requise. En revanche, l'entrée et la sortie du convertisseur CC non isolé ne
sont pas isolées par la partie CA. En d'autres termes, un convertisseur CC non isolé convertit l'entrée CC directement en
sortie CC.
Des exemples d' onduleurs DC-DC non isolés sont les convertisseurs Buck, Boost, Buck-Boost, Cuk et
SEPIC . En revanche, des exemples de convertisseurs isolés sont les convertisseurs Push-pull, Forward, Flyback,
Half-Bridge et Full-Bridge .
L'agent principal chargé de convertir la conversion DC-DC en convertisseur non isolé est un interrupteur
commandé. Lorsque l'interrupteur est sur ON ; la tension d'entrée apparaît aux bornes de la charge tandis que la
tension apparaissant aux bornes de l'interrupteur est nulle. en revanche, lorsque l'interrupteur est éteint, une tension
nulle apparaît aux bornes de la charge tandis que toute la tension d'entrée apparaît aux bornes de l'interrupteur.
Le commutateur s'allume et s'éteint périodiquement, ce qui entraîne une sortie pulsée. La sortie est ensuite passée à
travers un filtre qui extraira la valeur moyenne CC de la sortie pulsée. La valeur moyenne du courant continu est alors
contrôlée par le temps d'activation et de désactivation de l'interrupteur connu sous le nom de cycle de
service . Idéalement, la perte de puissance est nulle car la puissance d'entrée est égale à la puissance de sortie.
Idéalement, une source CC pure est requise pour un convertisseur CC-CC côté entrée, c'est-à-dire une source de
courant CC et une source de tension sans ondulations et sans composants CA. La même exigence s'applique
également à la sortie du convertisseur DC-DC. La sortie doit être parfaitement convertie par un convertisseur sans
ondulations et sans composants AC.
Pratiquement, l'entrée des convertisseurs DC-DC a des ondulations de courant tandis que leurs sorties ont des
ondulations de tension. Par conséquent, des filtres sont nécessaires aux extrémités d'entrée et de sortie. Le filtre en
sortie est indispensable pour éliminer les ondulations et extraire la tension moyenne.
Convertisseur Buck
Un convertisseur abaisseur abaisse directement le niveau de tension d'entrée CC appliqué. Par signifie directement que
le convertisseur abaisseur est un convertisseur CC non isolé. Les convertisseurs non isolés sont idéaux pour tous les
circuits au niveau de la carte où une conversion locale est requise. Télécopieurs, scanners, téléphones portables, PDA,
ordinateurs, copieurs sont tous des exemples de circuits au niveau de la carte où la conversion peut nécessiter à
n'importe quel niveau à l'intérieur du circuit. Par conséquent, un convertisseur abaisseur convertit le niveau CC de la
tension d'entrée en d'autres niveaux requis.
Le convertisseur abaisseur a une large gamme d'utilisations dans les applications basse tension et basse
puissance . La version multiphase des convertisseurs abaisseurs peut fournir un courant élevé avec une basse
tension. Par conséquent, il peut être utilisé pour des applications haute puissance basse tension. Cet article traitera à la
fois du convertisseur basse tension basse puissance et du convertisseur basse tension haute puissance.
L'efficacité du convertisseur peut être améliorée en utilisant la version synchrone et les dérivées
résonnantes . L'autre méthode d'amélioration de l'efficacité consiste à utiliser la version multiphase des convertisseurs
abaisseurs. L'amélioration de l'efficacité avec l'onduleur multiphase est discutée à la fin de l'article.
Article connexe : Qu'est-ce que Boost Converter ? Schéma de circuit et fonctionnement
Topologie de base du convertisseur Buck

Le convertisseur abaisseur de base se compose d'un commutateur contrôlé, d'une diode, d'un condensateur et d'un
circuit de commande contrôlé. Le commutateur contrôle le flux de puissance d'entrée vers la sortie en s'allumant et en
s'éteignant périodiquement. Le temps pendant lequel le commutateur est activé pendant toute la période est appelé
cycle de service .
La valeur du rapport cyclique D est comprise entre 0 et 1. Pour D = 0, une tension nulle apparaît aux bornes de la
charge tandis que pour D = 1, toute la tension d'entrée apparaît aux bornes de la charge. C'est pourquoi le convertisseur
abaisseur fonctionne pour D supérieur à 0 et inférieur à 1. Le schéma de circuit de base du convertisseur abaisseur peut
être vu ci-dessous.
La tension de sortie moyenne du convertisseur Buck est contrôlée de deux manières différentes, à savoir PWM et
PFM. En PWM ( Pulse W idth Modulation ), le temps de commutation global T est maintenu constant tandis que le
temps d'activation t on du commutateur varie. En revanche, le temps de période de commutation T est modifié tandis que
le temps d'activation t on de l'interrupteur est maintenu constant en PFM ( Pulse F requency Modulation ).
PWM et PFM présentent tous deux des avantages et des inconvénients. Mais PWM est préféré la plupart du temps pour
le fonctionnement du convertisseur abaisseur.
Un convertisseur abaisseur fonctionne dans deux types de modes de conduction, c'est-à-dire CCM et DCM. En mode
CCM ( mode de conduction continue ) , le courant d'inductance I L reste positif pendant toute la période de
commutation . Le courant d'inductance I L ne devient jamais nul pendant la période de commutation.
En revanche , le courant d'inductance dans DCM ( mode de conduction continue ) devient nul pendant un certain
temps dans la période de commutation. Les formes d'onde pour les modes de conduction continu et continu sont
présentées dans la figure ci-dessous. Toute la discussion dans cet article concerne le convertisseur abaisseur CCM qui
est requis pour la plupart des applications.
Modes de fonctionnement dans le convertisseur abaisseur

Comme nous l'avons vu dans le sujet précédent, il existe deux modes de fonctionnement dans le convertisseur
abaisseur, à savoir CCM et DCM. Dans cette rubrique, il est expliqué comment le convertisseur fonctionne en modes
CCM et DCM.
La condition aux limites entre CCM et DCM est connue sous le nom de BCM, qui sera discutée plus tard. En outre, cette
rubrique traite des propriétés de CCM et de DCM et explique comment passer d'un mode à l'autre.
CCM (mode de conduction continue)

Le convertisseur est dit fonctionner en mode de conduction continue si le courant de charge ne s'annule jamais pendant
le cycle complet. Si le buck est conçu en CCM pour une charge plus élevée, le convertisseur peut fonctionner en DCM
pour une charge plus légère. Pour comprendre son origine, examinons l'équation des ondulations du courant
d'inductance et le courant de charge. Les ondulations de l'inducteur ΔI L sont
La composante continue est I=V/R
Le courant de diode minimum est (I- ΔI L ). Il est à noter que le courant de charge I dépend de la charge tandis que
ΔI L ne dépend pas de la charge. Nous pouvons voir à partir de l'équation d'ondulation de l'inducteur que la valeur des
ondulations de courant de l'inducteur est inversement proportionnelle à l'inductance.
Si la valeur d'inductance est réduite, l'ondulation augmentera. Une réduction supplémentaire de la valeur d'inductance
augmentera les ondulations de sorte que les ondulations deviendront plus que le courant de charge. À ce moment, le
fonctionnement du convertisseur passera de CCM à DCM car le courant de charge deviendra nul pendant un certain
instant.
Maintenant, vérifions le cas où le courant d'inductance est maintenu constant et la résistance de charge est
variée. L'augmentation de la résistance de charge réduira le courant de charge. Augmentons la résistance de charge
jusqu'à ce que le courant de charge devienne égal aux ondulations de l'inducteur ΔI L .
Le graphique ci-dessus deviendra comme indiqué ci-dessous. C'est ce qu'on appelle la limite entre CCM et DCM où une
augmentation supplémentaire de la charge modifiera le fonctionnement de CCM à DCM. Le courant devient nul juste
pour un intervalle de temps nul, puis commence à augmenter.
Une augmentation supplémentaire de la résistance de charge réduira davantage le courant de charge, ce qui modifiera
le fonctionnement du convertisseur abaisseur de CCM à DCM. Le mode de fonctionnement change immédiatement
lorsque le courant de charge réduit plus que les ondulations. La condition pour DCM est I < ∆IL. Le graphique suivant
montre le mode DCM. Le courant de charge tombe alors prématurément à zéro. Par prématurément signifie que le
courant passe à zéro avant que l'interrupteur ne soit allumé.
Propriétés du CCM
Certaines des propriétés de CCM sont données comme
Le convertisseur qui est stable en mode CCM sera également stable en mode DCM.
La puissance de transmission dans CCM est approximativement proportionnelle au rapport cyclique D. alors que la
puissance de transmission dans DCM est approximativement proportionnelle au carré du rapport cyclique D. De
cette déclaration, nous pouvons voir que DCM a un avantage sur CCM.
Mode DCM (mode de conduction discontinue)

Plus techniquement parlant, le DCM se produit en raison des ondulations de commutation du courant d'inductance. Ou
cela se produit en raison de l'inversion de la polarité de la tension du condensateur de sorte qu'il viole les hypothèses
faites pour réaliser le commutateur. En termes simples, les ondulations de courant de l'inductance sont supérieures au
courant de charge. Ainsi, pendant le temps d'arrêt, le courant de charge commence à diminuer jusqu'à ce qu'il devienne
nul.
Généralement, dans le convertisseur abaisseur PWM, cela se produit lorsque la tension et le courant du circuit
deviennent nuls pendant un court intervalle de temps. Pendant cet intervalle, une nouvelle forme du circuit se forme, ce
qui n'est normalement pas possible. Ceci est connu sous le nom de mode DCM qui est parfois conçu intentionnellement
conçu intentionnellement.
Le D Ts global reste inchangé pendant le DCM car la conduction du signal est contrôlée par le signal de commande D. Et
cela est indépendant du fonctionnement du circuit, cependant, D Ts est divisé en deux nouvelles parties, à savoir D 2 et
D 3 , comme indiqué ci-dessus. chiffre. D2 et D3 sont des paramètres inconnus supplémentaires qui rendent le calcul un
peu complexe.
Propriétés du DCM
Certaines des propriétés du convertisseur changent lorsque le convertisseur commence à fonctionner dans
DCM. Certaines de ces propriétés sont données ci-dessous
1. L'impédance de sortie est augmentée

2. La dynamique est modifiée après l'entrée en mode DCM
3. M devient lo
dépendant de la publicité
4. Après avoir retiré la charge, le contrôle de la tension de sortie peut être perdu
5. Sur le nœud de commutation, il peut y avoir une énorme sonnerie. En conséquence, il y aura d'énormes
interférences de champ électrique pendant des microsecondes, ou d'énormes EMI rayonnées.
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Opération de travail du convertisseur Buck

Le fonctionnement du convertisseur abaisseur peut être expliqué en deux modes. Les modes 1, lorsque le commutateur
est activé, tandis que le mode 2 lorsque le commutateur est désactivé. Les deux modes sont explicitement discutés ici.
Mode 1
En allumant le commutateur, la diode deviendra une polarisation inverse à l'entrée appliquée. Par conséquent, tout le
courant d'entrée passera par l'inductance. Par conséquent, le courant d'entrée continu I dc circulant dans le circuit est
égal au courant d'inductance.
je L = je dc
L'inducteur se chargera pendant le temps d'allumage. Ce courant se divise ensuite en courant de charge Io et en
courant de condensateur Ic.
je L = je c + je R
La tension d'inductance V Lon pendant cette période est la différence de tension entre la tension continue appliquée
V dc et la tension de sortie V o .
V Lon = V dc -V o
La tension moyenne aux bornes de l'inductance VL est nulle selon l'équilibre volt seconde. En rappelant l'équation du
rapport cyclique, le temps d'activation t on est le produit du rapport cyclique D et du temps total T.
t sur = DT
le courant d'ondulation pendant le mode de mise en marche peut être trouvé à partir de la relation de tension de courant
d'inductance
V L = Ldi/dt
di/dt = VL / L
En mettant la valeur de V L on obtient
di/dt = ( V dc -V o )/dt
ΔI Lon = Δt sur (V dc -V o )/L
En mettant la valeur de Δt sur , la forme finale de l'équation est telle que donnée
ΔI Lon = DT (V dc -V o )/L
Le résultat final montre la pente actuelle du courant d'inductance pendant le temps. La forme d'onde illustrée ci-dessous
montre le courant d'ondulation qui augmente d'abord dans le temps ON, puis diminue avec une pente négative.
Mode 2
Après avoir éteint l'interrupteur, le mode 1 passe au mode 2. Dans ce mode, la polarité de l'inducteur s'inverse et il
commence à agir comme une source. Le courant dans ce mode circule en raison de l'énergie stockée dans
l'inductance. La source CC est déconnectée pendant cette période. Par conséquent, le courant circule dans le circuit
jusqu'à ce que l'inductance se décharge. La tension apparaissant aux bornes de l'inductance est égale à la tension de
charge de polarité négative.
V Loff = -V o
Après avoir éteint l'interrupteur, la polarité de l'inductance change, ce qui rend la diode polarisée en direct. La tension
d'anode devient plus positive que la cathode pendant cette période et commence donc à conduire.
Le temps de désactivation toff peut être dérivé du temps d'activation ton dans le cycle de service.
t désactivé = T – t activé
t off = T – DT
L'heure d'arrêt peut être écrite sous la forme finale comme
t désactivé = (1- D) T
La pente du courant d'inductance peut être trouvée une fois de plus par l'équation de courant de tension de l'inductance.
V L = Ldi/dt = -V o
di/dt = -V o /L
ΔI Loff = Δt off (-V o )/L
En mettant la valeur de Δt off , la forme finale de la pente négative du courant d'inductance est telle que donnée
ΔI Loff = T (1-D) (-V o )/L
Pic minimum et maximum du courant d'inductance

Le courant d'inductance minimum I LMIN et le courant d'inductance maximum I MAX sont les deux termes les plus
importants dans la conception. Par conséquent, à la fois la crête minimale et la crête maximale du courant doivent être
trouvées. I LMIN et I MAX peuvent être trouvés très facilement selon la discussion précédente.
I Lmin Calcul
je Lmin = je L – |ΔI L |/2
En mettant les valeurs dont nous avons discuté dans les deux modes de fonctionnement précédents, la forme de
l'équation deviendra comme donnée
En simplifiant davantage l'équation ci-dessus, la forme finale du courant d'inductance minimum peut être obtenue
comme indiqué ci-dessous.
Calcul I Lmax
je Lmax = je L + |∆I L |/2
En mettant les valeurs discutées précédemment dans l'équation ci-dessus, nous obtiendrons
En simplifiant davantage l'équation ci-dessus, nous obtiendrons la forme finale indiquée ci-dessous pour le courant
d'inductance maximal
Fonction de transfert du convertisseur Buck

Le convertisseur abaisseur doit être considéré en régime permanent pour trouver la fonction de transfert. Cette
considération facilitera les calculs pour trouver la fonction de transfert. La tension moyenne aux bornes de l'inductance
est nulle en régime permanent selon l'équilibre volt seconde. De plus, l'inductance agira comme un court-circuit en
régime permanent avec un courant continu pur.
Mathématiquement
<V L > = V Lon t activé + V Loff t désactivé = 0
Où V Lon est la tension aux bornes de l'inductance pendant le temps d'activation t alors que V Loff est la tension pendant le
temps d'arrêt. En mettant les valeurs de V Lon , t on , V Loff , t off dans l'équation ci-dessus, le résultat deviendra
<V L > = (V dc – V o ) DT + (– V o ) (1 – D) T = 0
Une simplification supplémentaire entraînera
V dc D - V o D - V o + V o D = 0
La forme finale de la fonction de transfert est
V o = DV dc
où la valeur de D est comprise entre 0 et 1. Par conséquent, cela montre que la tension de sortie moyenne est toujours
inférieure à la tension d'entrée appliquée.
Conception de composants et évaluations pour Buck Converter

Cette section traite de la conception des composants utilisés dans le convertisseur abaisseur avec leurs valeurs
nominales.
Conception d'inducteurs pour convertisseur abaisseur

Cette section décrira l'aspect important de l'inducteur requis pour le convertisseur abaisseur. Cela comprend deux idées
principales, à savoir l'inductance critique et le courant nominal de crête de l'inductance.
Inductance critique
L'inductance critique Lc est la valeur minimale de l'inductance à laquelle le courant de l'inducteur atteint zéro. Par
conséquent, c'est la condition la plus importante pour faire fonctionner le convertisseur abaisseur en mode
discontinu. En d'autres termes, la valeur de l'inductance est choisie en dessous de l'inductance critique pour le
fonctionnement du convertisseur abaisseur en mode discontinu.
L'exigence est définie au moyen d'un pourcentage de charge minimum. L'autre façon consiste à définir l'exigence par
max ΔI L discuté précédemment. Pour le fonctionnement du convertisseur abaisseur en mode CCM, la valeur de
l'inductance est choisie plus que l'inductance critique.
L < L c pour le fonctionnement du convertisseur abaisseur en DCM

L > 1,05L c pour le fonctionnement du convertisseur abaisseur en CCM
La valeur d'inductance critique peut être facilement trouvée en utilisant l'équation I Lmin dérivée précédemment où le réglage I Lmin = 0 dans
l'équation.
je Lmin = 0 = je L -|ΔI L |/2
La valeur de l'inductance critique peut être trouvée directement en simplifiant l'équation. Nous obtenons le résultat
suivant après avoir résolu l'équation ci-dessus.
C'est l'équation la plus importante pour trouver l'inductance critique qui décidera du mode de fonctionnement du
convertisseur abaisseur. Lorsque ces quantités sont sélectionnées comme indiqué
Dmax est la tension d'entrée calculée pour Lc.

Rmax est calculé au courant de sortie minimum. Rmax = V o /I omin . I omin est calculé et choisi de manière à
maintenir le CCM. Il est choisi pour une charge de 10% avec CCM. La valeur de I omin peut être spécifiée par le
maximum ΔI L tel que I omin = ΔI L /2.
f est la fréquence de commutation qui est normalement choisie par le concepteur. La taille de l'inductance critique
Lc est inversement proportionnelle à la fréquence de découpage f. Par conséquent, choisir la valeur élevée de f
réduira la taille de Lc, ce qui réduira la taille du convertisseur abaisseur.
Courant nominal de crête de l'inductance

Le courant nominal de crête de l'inductance peut être trouvé en utilisant la valeur maximale du courant inductif I Lmax. Le
courant d'inductance maximal se produit à la charge maximale. Le courant nominal de crête de l'inducteur peut être
trouvé à l'aide de l'équation du courant d'inducteur maximal tel qu'indiqué comme
je Lmax = je L + |∆I L |/2
La forme simplifiée est donnée ci-dessous qui définira la valeur nominale du courant d'inductance.
Dmax est calculé à partir de la tension d'entrée la plus élevée.

La valeur de L doit être choisie comme discuté précédemment.
Conception de commutateurs pour convertisseur abaisseur

Cette section traitera à la fois du courant et de la tension nominale d'un interrupteur pour convertisseur abaisseur.
Tension nominale pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur

Pour une diode idéale, le V switch-max est égal à V dcmax tandis que pour une diode non idéale; V switch-max est égal à
V dcmax plus V F. le terme supplémentaire V F est le maximum
Pour une diode idéale V switch-max = V dcmax

Pour une diode non idéale V switch-max = V dcmax + V F
Un facteur de sécurité de 20 % est utilisé pour au moins 20 %.
La note est V dcmax pour MOSFET
Courant nominal pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur

Le courant nominal d'un interrupteur est calculé sur la base du courant moyen. En dessinant la forme d'onde du courant
de commutation, la valeur moyenne du courant peut être calculée. Le courant moyen pour le commutateur est calculé
ici.
Le courant global de l'inductance est égal au courant de commutation et au courant de diode utilisant KCL. Pendant le
temps d'activation, le courant d'inductance est égal au courant de commutation tandis que le courant d'inductance est
égal au courant de diode pendant le temps d'arrêt. La forme d'onde du courant de commutation I switch , du courant de
diode I diode et du courant d'inductance I L est indiquée ci-dessous pour les temps d'activation et de désactivation.
Le courant de commutation moyen est
En mettant les valeurs dans l'équation ci-dessus, le résultat deviendra comme indiqué ci-dessous.
Simplifier davantage et mettre la valeur discutée précédemment
 = .D
 = .D
La forme finale de l'équation du courant nominal de l'interrupteur devient
 = .D
Conception de diode (diode Shotkey) pour convertisseur abaisseur

Les diodes Shotkey sont préférées pour la décharge des convertisseurs abaisseurs en raison de leur action de
récupération rapide. Ces diodes sont connues sous le nom de diodes à récupération rapide, donc préférables pour un
fonctionnement à haute fréquence, c'est-à-dire un convertisseur abaisseur. Cette section traite du courant et de la
tension nominale de la diode shotkey pour le convertisseur abaisseur.
Tension nominale de la diode pour le convertisseur abaisseur

V PRM ou PIV (tension inverse de crête) est la tension maximale aux bornes de la diode. Elle est donnée dans la fiche
technique du composant. Pour un commutateur idéal, la tension inverse de crête V PRM est égale à la tension d'entrée
maximale V DCmax . Pour un cas non idéal, V PRM est égal à V DCmax plus la chute de tension directe maximale Vsw à
travers le commutateur.
V PRM = V DCmax + V sw
Où, la valeur de V sw est calculée au courant de charge maximal. Pour ce calcul, il faudra admettre le facteur de sécurité
au moins supérieur à 20 %.
Courant nominal de la diode pour le convertisseur abaisseur

La même approche est adoptée pour le calcul du courant nominal pour la diode comme elle a été adoptée pour le calcul
du commutateur. Le courant direct moyen de la diode est calculé à partir de la forme d'onde du courant de la
diode. Comme la diode conduit pendant le temps d'arrêt du commutateur, toff est donc pris en compte dans le calcul.
En mettant des valeurs dans l'équation ci-dessus, le résultat deviendra
En simplifiant l'équation ci-dessus, il en résultera
En mettant les valeurs précédemment discutées et en simplifiant, le résultat deviendra
 = (1-D)
 = (1-D)
Cela conduira à l'un des résultats les plus importants qui est donné ci-dessous
I Fmax > I 0max (1-D min )
La forme d'onde suivante est la forme d'onde du courant de diode. Il facilite la recherche de la valeur moyenne.
Conception de condensateur pour convertisseur abaisseur

Cette section discutera du paramètre important pour un condensateur sous lequel le condensateur peut être utilisé en
mode sans échec. De plus, le condensateur est conçu de manière à ce que le fonctionnement requis soit effectué.
Tension nominale
Le condensateur est conçu et choisi de telle sorte que la tension maximale du condensateur doit supporter la tension de
sortie maximale. Idéalement, la tension maximale du condensateur V cmax est
Comme donné comme
V cmax = V o + ∆V o /2
Où, le terme ∆Vo indique la pente de la tension de sortie.
Le cas est un peu différent pour les condensateurs à particules . Le condensateur pratique perturbe le terme ∆Vo/2 car
les condensateurs pratiques ont une ESR (résistance série équivalente). La contribution indiquée par ESR pour
l'ondulation de la tension de sortie est (ESR * ∆I L ). Cette contribution apportée par ESR peut être supprimée en utilisant
les méthodes suivantes.
1. En réduisant l'ECR : la réduction de l'ECR réduira la perturbation de l'ondulation de tension. L'ECR peut être réduite
au moyen de deux méthodes. Soit en connectant des condensateurs en parallèle, soit en utilisant des
condensateurs qui ont une faible valeur d'ECR.
2. Réduire ∆I L : la valeur de peut être réduite en augmentant la fréquence de fonctionnement ou en choisissant une
plus grande valeur d'inductance L.
Capacité minimale selon la tension

Le condensateur conçu fournira un chemin pour les ondulations CA du courant d'inductance tandis que le courant CC
pur circulera dans la charge. C'est ainsi que le condensateur agira comme un filtre. La forme d'onde du courant du
condensateur se présentera comme indiqué ci-dessous.
On peut voir à partir du courant de condensateur de forme d'onde donné ci-dessous par rapport au temps que la charge
est le produit de la surface de la surface et de la pente.
Q = aire. Δ
En mettant les valeurs et en simplifiant le résultat deviendra
Comme nous savons que q=CV. Donc, C=q/v
En mettant des valeurs dans l'équation C=q/v
Le résultat final pour la capacité minimale sera comme indiqué ci-dessous
La valeur ΔVo est donnée en pourcentage de la valeur crête à crête de la tension de sortie
Courant nominal RMS et capacité minimale en fonction du courant

Le condensateur est conçu de telle sorte que la tension d'entrée maximale corresponde à la tension de veille du
condensateur. Idéalement, les deux sont considérés comme égaux, c'est-à-dire Vcmax = VDCmax alors que, de
manière plus réaliste, le condensateur a une ESR (Equivalent Series Resistance). Le facteur ESR contribue à la
perte du condensateur. Le facteur ESR peut être réduit pour une meilleure efficacité par deux méthodes. Soit en mettant
en parallèle des condensateurs, soit en choisissant un condensateur à faible ESR.
q = t off .DI o
t off =(1-D) T
q = (1-D) TDI o
q = [(1-D).DI o ]/ f
Nous savons par l'équation très basique que q = c.Δv dc
C = q/Δv dc
En mettant la valeur de q dans cette équation, le résultat sera comme indiqué ci-dessous
I o est considéré comme I o max. Par conséquent, l'équation ci-dessus devient
Il s'agit de la valeur de capacité requise tandis que l'équation de courant nominal RMS peut être trouvée comme
Sommaire
Le tableau suivant montre toutes les équations importantes requises pour la conception du convertisseur Buck.
S.
Paramètres Équation
Non
Courant de
1 =.D
commutation maximal
Tension de commutation
2 V switch-max = V dcmax
maximale
Courant nominal de
3
crête de l'inductance
4 Inductance critique
Tension inverse de crête

5 V PIV = V PRM = V dcmax
de la diode
Courant nominal de la
6 I Fmax > I omax (1-D min )
diode
7 Capacité minimale
Courant nominal RMS

8
du condensateur
Tension nominale du
9 V cmax = V o + ΔV o /2
condensateur
Conception de convertisseur abaisseur pour 12V à 2,5V, 1A

Concevoir un convertisseur abaisseur qui convertira une entrée CC de 12 volts en une sortie de 2,5 volts avec 1A. Pour
une telle conversion, nous avons des données connues et certains paramètres sont nécessaires. Une sélection
appropriée des composants est indispensable pour une conversion réussie de 12v à 2,5 volts. Cet exemple aidera à
concevoir un convertisseur buck pour n'importe quel rapport de conversion.
Données connues pour la conception d'un convertisseur Buck

Tension d'entrée CC appliquée V dc = 12v
Tension de sortie requise V o = 2,5v
I omax = 1A
J'occm = 0.1A
%V o = 1 %
f = 50 kHz
Solution pour trouver les composants requis

Le rapport cyclique D peut être trouvé à partir du rapport de tension d'entrée de sortie.
D=V o /V cc
D= 0,208
Recherche de valeur d'inductance

L'inductance critique peut être trouvée à partir de l'équation précédemment trouvée
L c =1,979 x10 -4H _
L'inductance critique peut être choisie comme
L c =200 x10 -6H _
Le courant nominal de crête peut être trouvé selon l'équation
Je Lmax 1,099 A
Le courant d'ondulation de l'inductance ΔIL selon l'équation est
∆I L 0,198 A
Recherche de valeurs de diode

V rrm =V cc
Vrm = 12V
Le courant de diode direct selon l'équation donnée sera
I Fmax = I omax (1-D min )
Je Fmax = 0,792 A
Sélection des valeurs MOSFET

Tension de commutation maximale selon l'équation dérivée ci-dessus
V interrupteur-max = V dcmax =12v
Alors que le courant de commutation maximal
=.D
=0.208
Sélection des valeurs de condensateur

La capacité minimale requise pour le convertisseur selon l'équation sera
C = 1,979 x 10 -5 F
La valeur proche de cette capacité requise peut être
C = 50 x 10 -6
Tension nominale du condensateur
V cmax = V o + ∆V o /2
V cmax = 2,513 V
Article connexe : Circuit convertisseur 12 V à 5 V - Convertisseurs élévateurs et abaisseurs
Considération de perte de convertisseur de Buck hors transaction

Les pertes pour le convertisseur abaisseur doivent être prises en compte lorsque l'estimation de l'efficacité est requise
pour celui-ci. Plusieurs pertes majeures qui doivent être considérées sont données ci-dessous et discutées brièvement
une par une.
1. Perte statique du MOSFET

2. Perte de commutation du MOSFET
3. Pertes d'entraînement de grille MOSFET
4. Perte statique de diode
5. Perte de commutation de diode
6. Perte de cuivre de l'inducteur
7. Perte ESR du condensateur
Perte statique du MOSFET

La résistance du MOSFET R DSon impacte directement les pertes statiques. Cette résistance contribue grandement aux
pertes excessives. La valeur de R DSon dépend de deux facteurs qui sont la température de jonction du MOSFET et la
tension appliquée à la grille du MOSFET.
Les deux graphiques ci-dessous montrent l'augmentation exponentielle de la résistance de l'état. La résistance à l'état
passant des MOSFET augmente avec l'augmentation du courant de drain dû à la tension appliquée à la grille. La durée
d'impulsion considérée pour ce graphique est de 2 µs, la tension grille-source V GS est considérée comme 10 V et le
rapport cyclique D est de 0,5 %.
L'autre graphique montre l'augmentation de la résistance à l'état passant avec l'augmentation de la température. La
durée d'impulsion considérée pour ce graphique est de 80 µs, la tension grille-source V GS est considérée comme 10 V
et le rapport cyclique D est de 0,5 %. Courant de drain dans ce cas 7.9A.
Les pertes statiques du MOSFET (P_ statique ) pour la résistance R DS- on peuvent être calculées par l'équation donnée
P statique = (I switch_rms ) 2 . R DS_on
En rappelant la valeur de I switch_rms et en mettant dans l'équation ci-dessus, nous obtiendrons le résultat suivant
Perte de commutation du MOSFET

Les pertes de commutation du MOSFET dépendent du schéma de chevauchement de la tension et du courant. Comme
P=vi donc, la perte de puissance est directement proportionnelle à leur temps de recouvrement. Les pertes de
commutation sont liées au temps de transition du commutateur.
Pendant le temps de transition, le courant et la tension sont non nuls. Par conséquent, les principales pertes de
commutation sont dues au chevauchement du courant et de la tension. Cette perte augmente encore avec
l'augmentation de la fréquence car des pertes se produisent à la fois après la mise en marche et la mise hors tension du
MOSFET.
Le graphique donné montre comment les pertes se produisent dans les états de transition. La tension aux bornes du
commutateur s'approche de zéro avec une pente spécifique tandis que le courant à ses bornes augmente. Pendant ce
temps, des pertes se produisent. Le même cas est d'éteindre l'interrupteur.
Pendant ce temps, le courant s'approche de zéro avec une pente spécifique tandis que la chute de tension à travers elle
augmente. C'est ainsi que les pertes de transition se produisent pendant le temps de transition.
Selon la discussion ci-dessus, les pertes de puissance globales P sont égales aux pertes de puissance pendant le temps
d'activation et le temps de désactivation.
Mathématiquement
P statique = P allumage + P extinction
Nous savons que les pertes pendant le temps de mise en marche sont
P allumage = t allumé. Je o. Vcc / 6T
Alors que les pertes pendant le temps d'arrêt sont
P désactivation = t désactivé. Je o. Vcc / 6T
En mettant ces deux valeurs dans l'équation ci-dessus, nous obtiendrons le résultat suivant
En prenant un terme commun, la forme finale des pertes de commutation globales deviendra
Pertes d'entraînement de grille MOSFET

Ces pertes sont considérées comme dues à la capacité de sortie Coss du MOSFET. Cette capacité est chargée lorsque
le MOSFET est désactivé, ce qui se traduit par la perte donnée
PC oss = ½ (C oss V dc 2 f)
Alors que les pertes de commande de grille proviennent de deux paramètres, à savoir la tension de commande de grille
V gate et la charge totale de grille Q gate . En considérant les deux, la forme mathématique des pertes de commande de
grille est
porte P = ½ (porte Q porte V .f )
Perte statique de diode

Pertes qui se produisent lorsque la diode est complètement allumée ou lorsque la diode est complètement à l'état
éteint. Les pertes statiques qui se produisent lorsque la diode est allumée sont appelées pertes statiques directes. En
revanche, les pertes qui se produisent à l'état bloqué sont appelées pertes statiques inverses.
Mathématiquement, la perte directe est le produit du courant direct de la diode (I F ) et de la tension directe de la diode
(V F ). Pour une valeur plus précise de la perte directe de la diode, la perte efficace qui se produit en raison de la
résistance dynamique de la diode , rd est ajoutée.
Tous ces calculs concernaient des pertes à terme. Alors que les pertes pour l'état inverse sont
P inverse = V r I r (1-D)
Perte de commutation de diode

Cette section traitera des pertes associées à la diode connectée dans un convertisseur abaisseur pratique. Il en va de
même pour la diode comme pour le commutateur discuté précédemment. Cette section traitera des pertes associées à
la fois au temps d'activation et au temps d'arrêt.
Les pertes associées au temps d'amorçage sont caractérisées par un temps de rétablissement direct (t fr ) et par une
faible valeur de la tension directe crête (V FP ). t fr et V FP peuvent être trouvés à partir de la fiche technique où t fr et
V FP sont tracés par rapport à dId(t)/dt. Le facteur (dId(t)/dt) est lui-même disponible pour un ensemble de conditions
donné dans la fiche technique. En connaissant les deux valeurs ci-dessus de la fiche technique, la perte sur P ON peut
être calculée à partir de l'équation donnée
P ON = 0,4.(V FP -V f ).t fr .I f .f
Les pertes associées au temps de blocage sont associées au temps pendant lequel la tension et le courant de la diode
se chevauchent. Ce chevauchement contribue virilement au temps de récupération inverse.
C'est une équation très importante pour calculer les pertes de désactivation dans un cas non idéal. Certaines des
valeurs inconnues requises pour l'équation ci-dessus peuvent être trouvées à partir des équations suivantes.
Pertes générales de l'inducteur

Il peut y avoir au plus trois inductances dans un convertisseur abaisseur qui sont une inductance de stockage, une
inductance couplée et une inductance de filtre. Par conséquent, les pertes de toutes ces inductances sont considérées
dans un convertisseur abaisseur. Dans la plupart des convertisseurs abaisseurs, l' inductance couplée n'est pas utilisée,
mais l'inductance de stockage et l'inductance de filtre sont indispensables. Par conséquent, les pertes de leurs deux
inducteurs sont considérées.
Certaines des pertes qui se produisent dans les composants magnétiques sont aussi données que
1. Perte cuivre ohmique : ces pertes sont dues à la résistance DC et à la valeur efficace du courant.
2. Perte d'enroulement due au courant alternatif : le courant alternatif contribue à ces pertes par effet de peau,
effet de proximité.
3. Perte de noyau - Hystérésis et perte de courant de Foucault : Cela se produit en raison du flux CA dans le
noyau. Les pertes par hystérésis sont directement proportionnelles à la fréquence. Les pertes de courant de
Foucault sont proportionnelles au carré de la même fréquence. L'équation importante utilisée pour calculer ces
pertes est connue sous le nom d'équation de Steinmetz (SE). Cette équation est donnée comme
P V =K1.f a . ΔB β
Ci-dessus se trouve la forme générale de l'équation de Steinmetz alors que la forme modifiée de cette équation est la
suivante
P V =K1.f a eq . ΔB β
Perte de cuivre de l'inducteur

Il existe deux principaux types de pertes associées à l'inductance, à savoir la perte de cuivre de l'inductance et les
pertes de noyau de l'inductance. Cette section traitera de la perte de cuivre de l'inducteur tandis que les pertes de noyau
sont traitées séparément.
Perte de cuivre de l'inducteur, comme son nom l'indique, ces pertes sont liées au bobinage de l'inducteur. Comme
l'enroulement est constitué de fil de cuivre, on parle alors de pertes de cuivre inductif. Ces pertes sont de nature résistive
car le bobinage a une certaine résistance. Ces pertes ne sont pas significatives, c'est pourquoi elles sont ignorées pour
un convertisseur abaisseur idéal alors qu'elles sont prises en compte pour des calculs plus précis.
Les pertes de cuivre de l'inducteur se produisent en raison de la résistance de l'enroulement. Par conséquent, la perte
de cuivre de l'inductance est le produit de la résistance CC de l'inductance R L et du courant efficace de l'inductance I͠ L .
P L = I͠ L 2 .R L
Le courant efficace I͠ L peut être trouvé selon l'équation donnée ci-dessous tandis que R L est la résistance de
l'inductance.
Pertes du noyau de l'inducteur

Les pertes de noyau d'un indicateur dans un convertisseur abaisseur sont principalement affectées par trois facteurs, à
savoir l'oscillation de flux B, la fréquence de commutation F et la température. La forme générale de la formule de perte
de noyau d'inducteur est donnée par
Perte de noyau = Perte de noyau/volume unitaire x volume
Où la perte de noyau/volume unitaire pour l'équation ci-dessus peut être calculée comme
Perte de noyau/unité = k1 x B k2 x F k3
k1, k2 et k3 sont toutes des constantes normalement fournies par les fabricants de noyaux. Les valeurs requises pour
ces constantes doivent être aussi basses que possible pour de faibles pertes dans le noyau. Certains fabricants et
entreprises bien connus fournissent des valeurs très faibles de ces coefficients pour une meilleure efficacité.
Perte ESR du condensateur

Tous les condensateurs du monde réel ont (Equivalent Series Resistance) ESR. Cette résistance contribue à la perte de
puissance dans le convertisseur abaisseur connu sous le nom de perte ESR du condensateur. la perte due au
condensateur ESR peut être trouvée selon l'équation suivante.
P ESR = I͠ c 2 .R ESR
Où, ce I͠ c 2 dans l'équation ci-dessus est le courant efficace du condensateur tandis que ESR est la résistance série du
condensateur. La valeur de I͠ c 2 peut être trouvée selon les équations discutées précédemment.
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Exemples de Buck Design avec pertes

Un convertisseur buck a déjà été conçu dans cet article. Mais cet exemple était pour un convertisseur buck idéal pur qui
n'existe pas dans la vie pratique. Cette section montrera comment utiliser les équations dérivées précédemment pour
calculer les valeurs des différents composants requis pour le convertisseur abaisseur.

Cet exemple montrera comment concevoir un convertisseur abaisseur non idéal pour des paramètres donnés. Nous
allons concevoir un convertisseur abaisseur non idéal pour les paramètres donnés selon la discussion précédente et les
équations dérivées.
Paramètres donnés
La tension de sortie nominale du système est
V onom = 12V
La tension d'entrée nominale du système est
V innom = 24V
La puissance de sortie maximale est
120W
La fréquence de commutation est
Fs = 250 kHz
Le pourcentage d'ondulation maximal est
V op = 2 %
Le pourcentage minimum de CCM est
je ccm = 10%
Calculs pour la conception
Le cycle de service nominal pour le convertisseur abaisseur non idéal est
D = V onnom /V innom
D = 0,5
Sélection de la valeur de l'inductance : la formule d'inductance critique est un peu différente, c'est-à-dire
Conclusion: Nous avons déjà discuté du fait que la valeur de l'inductance ne doit pas être choisie inférieure à
l'inductance critique. Par conséquent, la valeur de l'inducteur peut être n'importe quelle valeur supérieure à cette valeur
critique. D'où le choix de Lo comme
Lo = 200 µH
La valeur de résistance CC de l'inductance 200 µH peut être mesurée via le multimètre numérique. Mais nous
supposons qu'il est de 100 mΩ.
RLo = 100mΩ
Le calcul du courant d'inductance de crête selon la discussion ci-dessus est
Sélection de commutateur :
La tension de commutation est
V swmax = V inom = 24V
Le courant de commutation est comme
I d = DP omax /V onom
Je d = 5A
Conclusion : Selon les résultats ci-dessus, nous avons appris que le MOSFET IRF7471 40V 10A Rdson 13mO est la
meilleure solution.
Sélection de diodes :
Pour une bonne sélection de diodes, nous devons connaître les valeurs de deux paramètres, à savoir la diode V rrm et le
courant direct de la diode. Nous savons que
V rrm = V inom
Vrm = 24V
Le courant direct de diode selon l'équation donnée est comme
I F = (1-D).P omax /V onom
Je F = 5A
Conclusion : selon les valeurs ci-dessus, nous avons appris que la diode Shotkey MBR3040 est la meilleure
solution. Pour plus de détails, voir la fiche technique du MBR3040.
Choisir un condensateur
Pour choisir la valeur du condensateur, nous devons connaître les valeurs de trois paramètres, à savoir la tension
nominale du condensateur, la capacité C o et le courant nominal RMS.
Nous savons que la valeur de la tension nominale du condensateur selon la formule est
V cap = V onom +V opp .V onom /2
Bouchon V = 12.12V
La capacité C o est
Le courant nominal RMS peut être trouvé selon la formule donnée comme
Conclusion: en regardant les résultats ci-dessus, nous avons appris que le condensateur 25V 50uF est la meilleure
valeur du condensateur à choisir.

Cet exemple illustre la conception d'un convertisseur abaisseur qui est maintenu jusqu'à 10 % du 5 A, qui est le courant
à pleine charge.
Paramètres donnés
La tension de sortie du système est
V o = 12V
La tension d'entrée du système est
Vcc = 24V
La fréquence de commutation est
Fs = 100 kHz
Le pourcentage d'ondulation Vpp de sortie est
ΔV o = 10. x10 -3V _
Le pourcentage minload-CCM est
CCM = 10 %
Courant à pleine charge
Iomax = 10A
La période de temps Ts est l'inverse de la fréquence de découpage. Par conséquent, T s = 1/100k
Calculs pour la conception
Ici, nous calculerons tous les paramètres importants requis pour la conception du convertisseur abaisseur. Tout d'abord,
il est nécessaire de trouver l'heure idéale et l'heure idéale de repos.
Le temps d'activation idéal du commutateur est le rapport de la tension de sortie et de la tension d'entrée avec le produit
du temps périodique total.
t on = (V o /V DC ).Ts
t sur = 2,5 x10 -5 s
Le courant minimum requis pour maintenir le mode de conduction continue (CCM) est
I omin = ccm.I omax
Je omin = 1A
Sélection de la valeur de l'inductance :
Nous trouverons la valeur de la valeur d'inductance critique qui décidera de la valeur minimale pour laquelle le
convertisseur abaisseur peut fonctionner en mode CCM. La valeur doit être choisie supérieure à la valeur d'inductance
critique pour le fonctionnement en mode CCM. Disons 10% plus grande valeur d'inductance critique.
L c = (V DC -V o ).t sur /2.I omin
Lc = 4,5 ×10 -5H _
Conclusion : Comme nous l'avons vu précédemment, la valeur de l'inductance choisie doit être supérieure à 10 % de la
valeur d'inductance critique. Donc, L=1.1L c
L = 4,95 x10 -5H _
La valeur minimale du courant de sortie peut être calculée en fonction de la valeur d'inductance choisie qui est
I omin = (V DC -Vo).t sur /2L
Je omin = 0,909A
La prochaine chose à déterminer est I Lmin et I Lmax à charge minimale. La supposition initiale pour I Lmin et I Lmax étaient
toutes deux de 1A car nous avons besoin que les ondulations soient nulles.
Les deux équations données en termes de I Lmin et I Lmax sont
I omin = (I Lmax1 +I Lmin1 )/2
(V DC -V o ).t sur /L = I Lmax1 +I Lmin1
Ainsi, en simplifiant I Lmin et I Lmax à charge minimale sont
Je Lmin1 = 0A
Je Lmax1 = 1,818A
D'où la différence entre les deux
∆I L1 = I Lmax – I Lmin
Calcul de la valeur du condensateur de sortie
La valeur approximative de l'ESR selon son équation est
ESR = ΔV o /ΔI L
RSE = 5,5 × 10 -3 Ω
Si nous supposons que le condensateur électrolytique est utilisé, alors
ESR*C = 65µs
Co = (65 x10 -6 /ESR) s
En mettant leurs valeurs, le résultat équivalent est
Co = 0,012F
Conclusion : La valeur standard du condensateur la plus proche de celle calculée est 15×10 -3 . Par conséquent, en
choisissant le condensateur de sortie C o =15 x10 -3
Calcul des ondulations totales
Pour calculer les ondulations totales, nous devons trouver les ondulations dues à deux facteurs, à savoir les ondulations
dues à la décharge de charge du condensateur et les ondulations dues à l'ESR du condensateur. Ces calculs sont
effectués individuellement et leur addition donne les ondulations totales. Pour calculer toutes ces valeurs, nous devons
recalculer la valeur de l'ESR pour le condensateur choisi.
RSE = (65 x10 -6 )/C o s
En mettant des valeurs et en simplifiant, on obtient le résultat
RSE = 4,333×10 -3
La valeur des ondulations dues à la charge et à la décharge du condensateur est
ΔV c = ( ΔI L .Ts)/8Co
Le résultat de l'équation ci-dessus, en y mettant des valeurs est
ΔV c = 1,515×10 -3
La valeur des ondulations dues à l'ESR du condensateur est
ΔV ESR = ΔI L .ESR
ΔV ESR = 7,879 x10 -4V _
La valeur des ondulations totales est la somme des ondulations dues à la charge et à la décharge des condensateurs et
des ondulations dues à l'ESR des condensateurs.
ΔV tot = ΔV c + ΔV ESR
Amélioration de l'efficacité
L'efficacité peut être améliorée en choisissant la valeur correcte des composants utilisés dans le convertisseur
abaisseur. L'efficacité peut être encore améliorée en appliquant les stratégies discutées aux composants suivants.
Par condensateur
Comme indiqué précédemment dans cet article, la résistance série équivalente (ESR) du condensateur contribue
directement aux pertes de puissance. Par conséquent, les pertes peuvent être réduites en réduisant l'ESR. En d'autres
termes, la réduction de l'ESR réduira les pertes de puissance, ce qui augmentera l'efficacité.
Une autre façon de réduire les pertes de puissance et d'augmenter l'efficacité consiste à utiliser la méthode des
condensateurs en parallèle. En utilisant cette méthode, la capacité globale sera augmentée tout en réduisant
l'ESR. Réduire l'ESR est une autre façon de dire que l'efficacité est augmentée.
Abaisser l'ondulation du courant de l'inducteur

L'efficacité peut être augmentée en réduisant les pertes efficaces qui se produisent à la fois dans l'inductance et le
condensateur de sortie. Ce sont des pertes magnifiques et doivent être réduites pour une meilleure efficacité. Il existe de
nombreuses stratégies pour réduire les ondulations de courant inducteur.
La solution la plus courante pour rejeter les ondulations consiste à utiliser un condensateur à réservoir. Cette solution
permet d'empêcher les ondulations d'aller vers la sortie, mais les pertes dues aux ondulations se produisent toujours.
La solution la plus pratique consiste à augmenter la fréquence de commutation ou à augmenter l'inductance. Cela
réduira l'ondulation de l'inducteur, mais augmentera les pertes dues à la fréquence. La raison en est que la fréquence
est également directement proportionnelle aux pertes. Il y a toujours un compromis entre les deux.
Maintenant, si la valeur de l'inducteur est augmentée au lieu d'augmenter la fréquence, la résistance CC du fil
augmente. Comme la valeur de résistance est directement proportionnelle à la longueur du fil de l'enroulement. Par
conséquent, le choix d'une grande valeur d'inductance augmentera les pertes dues au DCR.
Abaissez la tension d'entraînement de grille

En réduisant la tension de commande de grille, les pertes de puissance qui s'y produisent peuvent être réduites. En
d'autres termes, l'efficacité du système peut être augmentée.
Utilisation du MOSFET synchrone

L'utilisation d'un MOSFET synchrone au lieu d'une diode peut améliorer l'efficacité. Cela améliore beaucoup mieux
l'efficacité pour les basses tensions et les courants élevés. Cette rectification synchrone est effectuée en remplaçant
les diodes Schotkey en roue libre par des MOSFET.
Cette procédure est particulièrement avantageuse pour les applications à courant élevé et à faible rapport cyclique. Le
problème n'a toujours pas été résolu, même en remplaçant la diode Schotkey par MOSFET. Le dernier problème peut
être résolu en remplaçant la diode du corps par une diode Schotkey. La raison en est que la diode du corps est lente en
raison de son temps mort.
En bref, tout le concept consiste à remplacer les diodes shotkey à roue libre par MOSFET, puis la diode Schottkey est
connectée à travers le MOSFET. La combinaison de MOSFET et de Schottkey est FETKEY, par exemple IRF7326D2.
Commutation douce
La commutation douce empêche la commutation dure, ce qui signifie qu'elle empêche le chevauchement du courant et
de la tension de l'interrupteur pendant la transition d'arrêt et d'activation. Cela améliorera considérablement l'efficacité du
convertisseur car nous avons déjà discuté de la relation entre la fréquence de commutation et les pertes.
Le circuit résonant est utilisé pour changer la forme du signal. En utilisant ce circuit, la forme d'onde de courant ou de
tension passe à zéro au moment où le commutateur est initié. Cela réduira les pertes de commutation presque à zéro.
Il existe de nombreuses topologies buck quasi-résonnantes disponibles, telles que la commutation à courant nul et les
convertisseurs buck résonnants à tension nulle . Les interrupteurs à courant nul fonctionnent avec un contrôle de temps
de marche constant tandis qu'avec un contrôle de temps d'arrêt constant, le commutateur de tension zéro peut être
actionné. Les techniques ZCS et ZVS sont des méthodes de commutation douce classiquement employées.
Ces convertisseurs ont la capacité de réduire les pertes de puissance dues au passage à zéro en réduisant la tension ou
le courant à zéro pendant le temps de transition. La réduction des pertes de puissance augmentera l'efficacité car
l'efficacité et les pertes sont inversement proportionnelles l'une à l'autre.
Les circuits pour ZVS et ZCS sont donnés ci-dessous.

Convertisseur Abaisseur: Types, Conception de Circuits, Fonctionnement, Modes de Fonctionnement, Exemples, Pertes Et Applications

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12/04/2023 13:42 Buck Converter – Circuit, Design, Operation and Examples

Convertisseur abaisseur : types, conception de circuits, fonctionnement, modes de

Table des matières

Bases du convertisseur DC-DC

Bases du convertisseur DC-DC

Article connexe : Qu'est-ce que Boost Converter ? Schéma de circuit et fonctionnement

Topologie de base du convertisseur Buck

Modes de fonctionnement dans le convertisseur abaisseur

CCM (mode de conduction continue)

La composante continue est I=V/R

Certaines des propriétés de CCM sont données comme

Mode DCM (mode de conduction discontinue)

1. L'impédance de sortie est augmentée

Convertisseur analogique-numérique (ADC) - Schéma fonctionnel, facteurs et applications

Opération de travail du convertisseur Buck

je L = je c + je R

En mettant la valeur de V L on obtient

Le temps de désactivation toff peut être dérivé du temps d'activation ton dans le cycle de service.

L'heure d'arrêt peut être écrite sous la forme finale comme

V L = Ldi/dt = -V o

ΔI Loff = T (1-D) (-V o )/L

Pic minimum et maximum du courant d'inductance

je Lmin = je L – |ΔI L |/2

Fonction de transfert du convertisseur Buck

<V L > = V Lon t activé + V Loff t désactivé = 0

<V L > = (V dc – V o ) DT + (– V o ) (1 – D) T = 0

Une simplification supplémentaire entraînera

V dc D - V o D - V o + V o D = 0

La forme finale de la fonction de transfert est

Conception de composants et évaluations pour Buck Converter

Conception d'inducteurs pour convertisseur abaisseur

L < L c pour le fonctionnement du convertisseur abaisseur en DCM

Dmax est la tension d'entrée calculée pour Lc.

Courant nominal de crête de l'inductance

je Lmax = je L + |∆I L |/2

Dmax est calculé à partir de la tension d'entrée la plus élevée.

Conception de commutateurs pour convertisseur abaisseur

Tension nominale pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur

Pour une diode idéale V switch-max = V dcmax

Courant nominal pour le commutateur dans le convertisseur abaisseur

Le courant de commutation moyen <I switch > est

Simplifier davantage et mettre la valeur discutée précédemment

La forme finale de l'équation du courant nominal de l'interrupteur devient

Conception de diode (diode Shotkey) pour convertisseur abaisseur

Tension nominale de la diode pour le convertisseur abaisseur

V PRM = V DCmax + V sw

Courant nominal de la diode pour le convertisseur abaisseur

En mettant des valeurs dans l'équation ci-dessus, le résultat deviendra

En simplifiant l'équation ci-dessus, il en résultera

En mettant les valeurs précédemment discutées et en simplifiant, le résultat deviendra

<I F > = <I L > (1-D)

<I F > = <I o > (1-D)

Conception de condensateur pour convertisseur abaisseur

Comme donné comme

V cmax = V o + ∆V o /2

Où, le terme ∆Vo indique la pente de la tension de sortie.

Capacité minimale selon la tension

En mettant les valeurs et en simplifiant le résultat deviendra

Comme nous savons que q=CV. Donc, C=q/v

En mettant des valeurs dans l'équation C=q/v

Le résultat final pour la capacité minimale sera comme indiqué ci-dessous

Courant nominal RMS et capacité minimale en fonction du courant

Nous savons par l'équation très basique que q = c.Δv dc