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GUIDE DE CONDUITE
DE PROJET
POUR L'INDUSTRIE
DE LA CONSTRUCTION
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Hatfield Campus The library retains the right to recall
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EF/92/03/FR
 Digitized by the Internet Archive
in 2021 with funding from
Kahle/Austin Foundation

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 x X +

CE
* FONDATION EUROPÉENNE
x POUR L'AMÉLIORATION DES CONDITIONS
* * BENIE ET DEMRANVAIL
X + X

GUIDE DE CONDUITE
DE PROJET
POUR L'INDUSTRIE
DE LA CONSTRUCTION

Élisabeth Champagnac
Pierre Lorent
Pascal Paoli

Mateo Rollier

Loughlinstown House, Shankill,

Go Dublin, Irlande
Tél.: 282 68 88 Télex: 30726 EURF El
Fax 28216456:
TEXTE:

Elisabeth CHAMGAGNAC
Docteur en économie et en sociologie urbaine, est chercheur et chargé de cours à l'Ecole
Nationale des Ponts et Chaussées, et enseigne à l'Ecole Spéciale d'Architecture et à l'Université
de Paris I-Sorbonne. Elle est l'auteur de nombreux travaux qui s'insèrent dans le champ de la
sociologie du travail et de l'entreprise, appliquée à l'industrie de la construction.

Pierre LORENT
Ingénieur et formateur, a réalisé de nombreuses recherches en ergonomie dans le secteur de la
construction. Il est actuellement consultant à la Commission des Communautés européennes dans
les domaines de la sécurité et de la santé au travail.

Pascal PAOLI
Juriste et économiste, est responsable de projets et coordinateur des actions de la ‘Fondation
européenne pour l'amélioration des conditions de vie et de travail” dans les domaines de la
sécurité et de la santé au travail.

Mateo ROLLIER
Ingénieur, est consultant à Instituto RSO, Milano. Il mène à ce titre de nombreuses interventions
de formation—-action en enterprise.

La Fondation remercie les organismes suivants:

—_ le CERTES (F), le CNAC (B) et RSO (1)
sans lesquels cette étude ne serait pas ce qu'elle est.
— et SECRÉTARIAT SERVICES (L), qui a assuré la mise en page

Luxembourg: Office des publications officielles des Communautés européennes

ISBN 92-826-3932-0

© Fondation européenne pour l'amélioration des conditions de vie et de travail, 1992. Toute
demande d'autorisation de reproduction ou de traduction devra être adressée au directeur de la
Fondation (European Foundation for the Improvement of Living and Working Conditions,
Loughlinstown House, Shankill, Dublin, Irlande).

Printed in Ireland.
 PREFACE

Le guide de conduite de projet pour l'industrie de la construction à

été élaboré sous l'égide de la Fondation Européenne pour Tl'Améliora-

tion des Conditions de Vie et de Travail. Il se situe clairement dans

là perspective du Marché Unique Européen de 1993 : l'ouverture des

frontières renforcera les exigences de compétitivité, sur des marchés

déjà très concurrentiels. L'objectif de ce document est d'aider Îles

différents acteurs à s'adapter à cette situation nouvelle, en amélio-

rant simultanément les performances économiques, la qualité, Îles

délais, les conditions de travail et la sécurité dans l'industrie de

la construction.

Ambitions démesurées ? Ce que certains désigneraïent, a priori, comme

un "pari intenable" pourraït bien apparaître, au contraire, comme la

démarche la plus pertinente et la plus efficace pour répondre aux

nouvelles conditions de marchés, constatées dans la plupart des pays

européens.

Cette démarche suppose, cependant , d'initier de nouvelles manières de

faire, depuis la conception jusqu'à la réalisation. Elle se fonde sur

une approche innovante du rôle des conditions de travail et de JÎTa

sécurité par rapport aux exigences de maîtrise des coûts, de la quali-

té et des délais. Elle implique enfin tous Îles acteurs, maîtres

d'ouvrage, concepteurs ou entreprises, sans déboucher pour autant sur

des recettes figées ou sur des formes d'organisation rigides.

Clive PURKISS Eric VERBORGH

Directeur Directeur adjoint
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METHODOLOGIQUE
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TABLE DES MATIERES

DR CDÉTIONT CN Oh.

MA nn guide de conduite de“pro jet: "pourquol MAR. 0...

1.1. Les mutations des marchés de la construction

UunrcontextenpluetconcuErentiéelhLe 2166 ARR ARERS AU Cite 1141

1.2. Des contraintes renforcées pour les différents

HOVEQUE SIM MM EN steel ie eee tie labo e se 71e ob PU TS a Os Re he te eldie a ee 12

1.3. Le caractère inadapté de l’organisation classique 14

CHAPITRE 1 : LES CARACTERISTIQUES DU GUIDE DE CONDUITE

DEÉLPROTERIN ER RS PNR I t L7

1. Enrichir le projet à toutes les phases de son déroulement

une démarche plus adaptée aux marchés d’aujourd’hui ...... 11Y/

2. Coûts, délais, qualité et sécurité : les éléments indis-

Nr daplesi de nta Der formancens sit ».2 4 «0e OR duc ete 18

CHAPITRE 2 : UNE DEMARCHE APPLICABLE À LA VARIETE

DESYCONTEXTESYEUROPEENS 22 Ne EN en

MAS principestde IDases 0, AIM EN SO MER TT, 21

11°" Une approche "par projet" : sa pertinence’ dans: le ‘cas

ACMÉAMEONSELUCELONIENLS, MINE RETIRE RE reel 21
1.2. Une approche "anticipatrice" fondée sur l’enrichisse-
MEN CTAUMDrONE TIME IA RS AMOR RER CR RIRES 25
WS-dUnetapproche fondée sur lAtintégra
tion MER ie Mie 27

2. Une approche compatible avec la diversité des configura-

POS lo ganisationnellesr ns NS Se Re ee ssnrese pee 28

PR tanwvariable Darmstructure d'acteurs RSR. 0... 29

PARLONS ELUCEUre SINDLen. Le ie eee se 29
AMIR 27810 CrUCLUrer aNmaLErISe di OeuUVES ne. . 2e 30
2.1.3. La structure à maîtrise d'oeuvre intégrée 30
 10

2.2. La structure avec "entreprise ensemblière" .......... 30

2.3. La variable par nature des commandes et types
de contrats se el ee piece celte 32
2.4. Les phases de développement d’un projet de
construction Re OR ORDRES APAURE SRE

CHAPITRE 3 : METHODOLOGIE RETENUE ET CONTEXTES

D'UTILISATION DU GUIDE ............... ie ee 34

diMéthodologie Re
svmp isRC Re le le oh
NA tee 34

1.1. Une démarche structurante forte autour des axes

d’enrichissement du projet ......... PR RE Lt One 34
1.2. L'identifi cation des questions- clés pour la réussite
du projet : 4 OM R
MER RER ea ces 34
1.3. Une présentation sous forme de "tableaux de bord"
adaptés à chacun des intervenants ................... 35

hléonterxtes d'utilisation tree Deer sde OI 35

DL. Utilisation ent FOFMACLON 6..ete .ete: A neas 36

2.2. Utilisation lors de l'étude et de la réalisation
de projets de construction ..........ssssssesse..e 0000
2.3. Utilisation par les organismes de contrôle et
de prévention AR RE en de j'te à cale ae 36

CONCLUSIONS ...,:,....4 2. presses ee este ele RE 38

BIBLIOGRAPHIE .....::-... 4.0 ele 0. ile cie gs BCE CHE 39

 qu

INTRODUCTION

1. UN GUIDE DE CONDUITE DE PROJET :

POURQUOI 7?

L'investissement dans la conduite de projet apparaît aujourd’hui

comme une nécessité dans le secteur de la construction. Cette
conclusion est ressortie avec force d’un ensemble d’études préa-
lables menées pour le compte de la Fondation Européenne pour
l'amélioration des conditions de vie et de travail et présentées
dans l’ouvrage "Du Projet au Chantier" (*). Partant de la situa-
tion de différents pays de la Communauté Economique Européenne,
ces études ont, en effet, toutes souligné :

— l’ampleur des mutations intervenues sur les marchés de la

construction

- le renforcement des contraintes qui en découlent pour les

différents acteurs

— le caractère inadapté de l’organisation de projet classique, au

regard des nouveaux impératifs, économiques et qualitatifs.

1-1. LES MUTATIONS DES MARCHES DE LA CONSTRUCTION :

UN CONTEXTE PLUS CONCURRENTIEL

Faut-il rappeler que dans la plupart des pays européens, la crise

a été plus grave dans la construction que dans la moyenne de
l'économie ? Au cours des quinze dernières années, l'écart dans
le niveau de la production s’est creusé de manière sensible entre
la construction et l’industrie manufacturière.

Le secteur de la construction a d'autant plus mal résisté qu’il

avait largement bénéficié, au cours de la période de croissance,
de l’importance des commandes publiques et de la solvabilisation
de la demande par des aides étatiques, variables, il est vrai,

(*) Du Projet au Chantier

- Editions Pierre MARDAGA : ISBN 2-87009-384-5
- Office des Publications Officielles des Communautés européennes
ISBN 92-8258686-3
 12

selon les pays. L’abandon de ces politiques ou leur moindre

efficacité a précipité le passage de l’industrie de la construc-
tion d’un contexte relativement protectionniste à une situation
de marché concurrentiel. Les conséquences en ont été une impor-
tante restructuration des marchés.

Dans la plupart des pays, on a assisté à une réduction importante

du volume global de la demande adressée au secteur, et à la part
croissante prise par les travaux d'entretien et de réhabilitation
du parc existant, au détriment de la construction neuve. Au sein
de la construction neuve, le phénomène le plus marquant tient du
recul du marché du logement, profit de marchés de construction
au
non résidentiels : immobilier d’entreprise , hôtellerie, équipe-
ments tertiaires privés, etc... D’une façon générale, la commande
privée tend à prendre le pas, dans de nombreux pays, sur la
commande publique.

La demande s’est faite aussi plus variable, plus fluctuante.

Elle porte sur des produits plus hétérogènes et plus sophisti-
qués. Ajoutons, enfin, que la taille des opérations s’est consi-
dérablement réduite et ne permet plus de jouer, comme par le
passé, sur des économies d'échelle. Chaque construction nouvelle
est, pour ainsi dire, un prototype.

La reprise qui s’est précisée aujourd’hui ne remet pas en cause

cette évolution des marchés : elle ne fait que les renforcer et
les accentuer.

1.2. LV DES CONTRAINTE

LOI PRIE SD © POUR
RENFORCEES LES DIFFERENTS
——’………—"—…—"—… …—" …—……—……—
—… —"—"—… ——……

ACTEURS

Cette réalité des marchés d’aujourd'’hui ne peut être ignorée. Le

changement de contexte que connaît l’industrie de la construction
appelle de nouvelles manières de faire, de la programmation à
l'exécution. D’une certaine façon, chaque acteur est directement
confronté à ce tournant : les évolutions de marchés n’ont pas
manqué de se traduire, pour chacun d'eux, par des contraintes
nouvelles.

Ainsi, les maîtres d’ouvrage, qu’ils soient publics ou privés,

connaissent depuis quelques années un accroissement de leurs
contraintes commerciales et financières. L'équilibre financier
des opérations est devenu plus difficile à garantir : les taux
d'intérêts sont élevés, la clientèle moins solvable, tandis que
le faible niveau d'inflation alourdit les charges de rembour-
sement des emprunts. Dans le même temps la clientèle s’est faite
plus exigeante : la qualité de la localisation, celle de l’envi-
ronnement, le niveau des prestations ou la fiabilité des instal-
 13

lations deviennent des impératifs majeurs. Les contraintes com-

merciales débouchent sur des exigences renforcées en matière de
performance, d’adaptabilité et de fiabilité des bâtiments, que ce
soit dans le domaine du logement, des bureaux ou des équipements.

Pour se prémunir du risque commercial et financier accru, attaché

au lancement des opérations, les maîtres d’ouvrage ont d'ores et
déjà développé de nouvelles attentes qui s’expriment en termes de
maîtrise des coûts, de la qualité et des délais.

Il en est découlé des contraintes renforcées pour les concep-

teurs : au-delà de la fonction architecturale et de la conception
technique, la maîtrise d’ouvrage attend d’eux désormais une aide
à l’analyse du risque économique, une aide à l’optimisation des
choix, une aide au contrôle des coûts et de la qualité. Le con-
cept de "constructibilité" (1) intègre donc de plus en plus des
paramètres économiques. Il ne se limite plus à la seule phase de
construction proprement dite, mais doit porter sur la durée de
vie du bâtiment.

La transformation du contexte est aussi lourde de conséquences

pour les entreprises : dans un secteur qui s'était surtout déve-
loppé, au cours de la période de croissance, sur le mode exten-
sif, la crise n’a pas manqué d'entraîner son cortège de fail-
lites, d’endettements, de concentration et de restructurations.
L’accroissement de la variabilité des marchés, dans un contexte
de renforcement de la concurrence et de transformation de la
demande, contraint les entreprises à une plus grande flexibilité
ainsi qu’à une plus grande rigueur économique.

Pour s’adapter à l’émiettement de la demande, à la réduction de

la taille des opérations, à la plus grande diversité des ouvra-
ges, les entreprises doivent rechercher des formes de production
plus souples, sous contrainte simultanée de maîtrise des coûts,
de la qualité et des délais.

La recherche d'économies d’échelle, par des formes “traditionnel-

les" d’industrialisation, trouve aujourd’hui toutes ses limites
la maîtrise des coûts et de la qualité est davantage attendue
d’une prise en compte plus précoce des conditions de la réalisa-
tion dans l’élaboration du projet ; tandis que la contraction du
temps chantier, nécessaire à la maîtrise des délais, suppose un
investissement plus poussé dans la préparation, la coordination
et le pilotage.

(1) facilitation des conditions de l'exécution dans la conception de l'ouvrage

 14

1.3. LE CARACTERE INADAPTE DE _ L'ORGANISATION CLASSIQUE

Face à l’évolution de ces contraintes, l’organisation de projet

classique, telle qu’elle fonctionne dans l’industrie de la cons-
truction, apparaît de plus en plus inadaptée.

Comparativement à l’industrie manufacturière, le secteur de la

construction se caractérise, en effet, par :

“plamlongqueur ‘duscyclerde production et son découpage _en de mul-

tiples phases, dont chacune relève d'agents économiques dis-
tincts, qui obéissent à des logiques différentes. La construc-
tion ‘relève. traditionnellement d'unel""fiièrel. éclatée! "ra
majorité des entreprises y sont de petite taille.

Le caractère linéaire et hiérarchique du système de relations

qui régit traditionnellement le rapport entre les acteurs, de
la programmation à l’exécution.

- La séparation marquée entre les phases de conception du produit

bâtiment et de conception de sa réalisation. La première relève
traditionnellement des architectes: la seconde concerne souvent
davantage les bureaux d’études ou les entreprises.

La forte variabilité du procès de travail et sa soumission à de

nombreux aléas, tenant à la fois à une production de type
unitaire et au caractère forain du chantier.

Ce fonctionnement traditionnel, sur le mode d’un processus écla-

té, discontinu et hiérarchique, apparaît de plus en plus inadé-
quat, face aux nouveaux impératifs dictés par les marchés. Pour
répondre à leurs contraintes respectives, maîtres d'ouvrage,
concepteurs ou entreprises, sont conduits à remettre en cause le
découpage du cycle en de multiples étapes et la séparation clas-
sique entre les fonctions.

Les maîtres d’ouvrage, les premiers, ont cherché à développer les

aller-retour indispensables entre la phase de programmation et
les premières esquisses chiffrées du bâtiment (optimisation du
programme); entre le montage de l'opération et la conception du
produit (mesure de ses incidences économiques et financières);
entre cette dernière et la phase de réalisation (recherche d’une
plus grande garantie en termes de coûts et de délais).

Les concepteurs sont tenus d’intégrer des paramètres de plus en

plus nombreux pour s’assurer de la faisabilité technique et
économique des opérations. La prise en compte des conditions de
l'exécution apparaît comme un élément décisif du chiffrage du
projet et comme une garantie de plus grande conformité de la
réalisation au travail de conception.
 15

Dans le même temps, de nombreuses entreprises tentent d’accroître

leur intervention en amont de l’exécution des travaux, par une
participation plus directe à toutes les étapes préalables à la
construction (conception des bâtiments, études techniques et
évaluation des coûts tous corps d’état, préparation du chantier)
et par l'extension de leur contrôle sur toutes les phases de
l'exécution.

Ces différentes orientations traduisent une attitude similaire

chacun situe les réponses à ses propres contraintes dans un
nouveau "chaînage" entre les fonctions et les étapes marquant
traditionnellement le processus de construction. Le passage à un
nouveau type de fonctionnement, sur le mode du "système intégré",
apparaît aujourd’hui nécessaire pour maîtriser l’économie de
projets qui se diversifient, en se complexifiant. Les découpages
fonctionnels rigides - qui se sont largement organisés, dans le
cas de la construction, à partir du découpage juridico-économique
du processus lui-même - se révèlent inadaptés, voire contre-
productifs

- D'une part, la maîtrise de la qualité, des coûts et des délais

appelle de plus en plus une gestion transversale et interactive
entre des fonctions traditionnellement éclatées entre diffé-
rents agents intervenant à des moments distincts du cycle
CERCLE T)E

- D’autre part, en situation de forte variabilité et d’instabili-

té des processus, l’accent tend à se déplacer vers la recherche
d’une productivité plus globale. Celle-ci se jouerait moins
dans une simple addition des productivités locales attachées à
chacune des étapes, que dans une amélioration de leur coordina-
tion et dans une plus grande cohérence de leur pilotage.

L’articulation entre conception et réalisation constitue de ce

point de vue l'interface majeure pour l’efficacité d’ensemble du
système. Elle suppose, en particulier, de connaître et d’intégrer
le plus tôt possible les conditions de l’exécution et les
contraintes du chantier.
 16

Avant-projet > Définition du programme

et des objectifs

Projet >
Plan de masse
Volumes à construire
et site

Projet détaillé

_-"Négociation
<« des
".... 2 offres
Pa

are Dossier d'exécution

Organisation et Préparation du
Planification > chantier

Exécution > Programme des travaux

Exécution

Fi ol
 17

CHAPITRE 1 : LES CARACTERISTIQUES DU GUIDE

DE CONDUITE DE PROJET

L’attention accordée à la recherche de formes de gestion trans-

versales est à l’origine du succès rencontré par des méthodes
telles que la "gestion par projets". D'abord appliquées à l’in-
dustrie manufacturière, ces méthodes ne peuvent manquer d'’inté-
resser aussi l’industrie de la construction, où elles commencent
d’ailleurs à se développer.

Elles doivent néanmoins tenir compte des fortes particularités du

secteur. Le chapître qui suit développe notamment cet aspect.

Si le présent guide de conduite de projet se situe dans la mou-

vance des approches “par projets", il tente d’aller beaucoup plus
loin dans la recherche de performances, en y intégrant les as-
pects relatifs aux conditions de travail et à la sécurité.

1. ENRICHIR LE PROJET A TOUTES LES PHA-

SES DE SON DÉROULEMENT 2: _ UNE DEMAR-
CHE PLUS ADAPTEE AUX MARCHES D7AU-
JOURD HUI

Le point de départ du guide de conduite de projet se situe dans

la prise en compte de l’évolution des marchés et des contraintes
rencontrées par les différents acteurs. Les nouvelles exigences
qui se font jour supposent une démarche d’enrichissement du
projet, à toutes les phases de son déroulement.

Cette démarche d’enrichissement, dans le cas de la construction,

se joue dans deux directions :

- d’une part, un enrichissement de "type horizontal" : chacun

des acteurs, maître d’ouvrage, architecte ou entreprise, est
conduit, dans l’accomplissement même de sa mission, d’inté-
grer des paramètres de plus en plus nombreux : les aspects
financiers, commerciaux, architecturaux, techniques ou éco-
nomiques se font de plus en plus interdépendants. Ils ne
concernent plus seulement la phase de construction, mais se
déterminent aussi par rapport à l'usage, à l’exploitation et
à la maintenance future du bâtiment. Aussi, l'optimisation
des choix ne peut-elle véritablement s’opérer qu’en tenant
compte de l’interdépendance entre ces différents aspects.
 18

destiné à
- d’autre part, un enrichissement de "type vertical"
le projet, en confro ntant chaque choix, chaque
fiabiliser
aux conditions concrè tes de sa réalis ation. Cette
option
dimension revêt une import ance partic ulière dans la
seconde
non seulement en raison de la longueur du
construction,
processus de production, de son caractère variable et aléa-
mais aussi en raison des éléments d'incertitude qui
toire,
marquent cette phase spécifique qu'est le chantier.

La maîtrise des coûts, de la qualité et des délais suppose donc,

au niveau de chacun des acteurs, des capacités d'anticipation
et d'util isation, en
très amont sur les conditions d'exécution
les avantages ou les dysfonctionnements que chaque
appréhendant
option est susceptible d’entraîner sur le déroulement du chantier
et lors de l’exploitation et de la maintenance de l’ouvrage.

2. COUTS, DETAILS, QUALITE, SECUR ETES

LES ELEM ENTS INDI SSOC IABL ES DE LA
PERFORMANCE

caractéristique du guide tient à l'objectif affirmé

La seconde
les conditions de travail et de sécurité dans Se
d'améliorer
par une prise en compte beauco up plus
dustrie de la construction,
des éléments qui les déterminent. Cet object if ne répond
amont
à un souci humanitaire - que bien des acteurs
pas seulement
déclarant dans le même temps sans prise sur le
partagent, en se
Il vise aussi à accroître les performances d’un
problème -.
projet :

en réduisant les coûts cachés qu'’engendre la

- d’une part,
mauvaise qualité des conditions de travail et de sécurité;

- d’autre part, en garantissant de façon plusmrefficacemta

maîtrise des coûts, de la qualité et des délais.

de quelques données suffisent à souligner l’importance

Le rappel
mauvaise qualité des
des coûts économiques et sociaux liés à la
de travail et de sécurité. La plupart de ces coûts
conditions
évités par une meilleure prise en compte en amont
pourraient être
du chantier.
la sécuri-
- les coûts liés aux défaillances de l'hygiène et de
comme chacun sait, particulièrement import ants dans
té sont,
défail lances sont d'autant
le Bâtiment. Les incidences de ces
plus graves qu’elles metten t en jeu la vie humain e.

certaines améliorations, l’industrie de la construc-

Malgré
tion continue de battre de tristes records.
 19

Grande utilisatrice de main-d’oeuvre, elle occupe 10% des

salariés de la C.E.E, mais totalise 15% du nombre des acci-
dents du travail et 30% des accidents mortels enregistrés
. pour l’ensemble des industries.

- Une analyse des accidents mortels survenus sur chantier mon-

tre que 2/3 d’entre eux sont imputables à des défauts de
conception (choix architecturaux, choix des matériaux ou du
matériel) et à des problèmes d’organisation (notamment aux
Conséquenceshliéesvaux co=activités de corpsadermétier.diffé-
rents) (1). Nombre de ces accidents pourraient donc être
évités si les risques étaient mieux appréhendés en amont.

Constituant au premier chef un lourd tribut humain, ils se

traduisent aussi par d’importants coûts économiques.

on estime, en effet, le coût total des accidents (coûts

directs et indirects) à 3% du chiffre d’affaires du Bâtiment
et des travaux publics et à près de 10% de la masse sala-
riale.

Comparativement, le coût de la prévention des accidents du travail repré-

sente 1,5% du chiffre d'affaires du secteur (2).

- À cela s’ajoutent les coûts liés à une mauvaise organisation

des conditions de travail. Les conditions de travail demeu-
rent particulièrement dures dans l’industrie de la cons-
truction. Ce phénomène se traduit, d’une certaine façon, par
des paramètres tels que le turn-over ou l’absentéisme.

Une étude (3) menée dans les entreprises de la construction

révèle que :

+ l’absentéisme représente 22% de la masse salariale;

+ le turn-over sur chantier affecte 30% du personnel.

Pour une part, la qualité des conditions de travail dépend de

la qualité de l’organisation. L’insuffisance d'effectifs,
l’inadaptation du matériel, un mauvais aménagement des postes
ou des circulations peuvent se traduire à la fois par une
dégradation des conditions de travail et par des coûts écono-
miques importants : délais non respectés, écarts de producti-
vité, importance des retouches, etc...

- Bien que ne se rapportant pas directement aux conditions de

travail et de sécurité, les coûts liés à une défaillance de
qualité doivent être mentionnés car ils concernent également
l’économie du projet. Ils peuvent néanmoins influer sur les
 20

conditions de travail, ‘par le biais du temps passéh'en rez

prises.

Ces coûts sont très importants puisqu’on admet qu’ils peuvent

atteindre de 10 à 18% du chiffre d’affaires, et de 20 à 45%
de la masse salariale du secteur (4). Des enquêtes ont montré
aussi que 80% des dommages aux ouvrages malfaçons sur chan-
tier sont imputables à des erreurs à l’amont (conception-
organisation). 20% seulement sont dus à des erreurs imputa-
bles à l'exécution (5).

L'amélioration des conditions de travail et de sécurité ne cons-

titue pas seulement une source de réduction des coûts cachés.
Elle intervient aussi comme le meilleur garant du respect des
coûts, de la qualité ou des délais : la prise en compte très
amont de cette question apparaît comme un facteur susceptible de
renforcer la fiabilité ‘d’un projet'et d‘entaccroître: las perforz=
mance globale.

Productivité, sécurité, qualité, délais animent donc la philoso-

phie générale de ce quide de conduite de projet, comme autant
d’éléments concourant à l’amélioration des performances. L’appro-
che préconisée pour les atteindre repose sur quelques principes-
clés

- Quels sont ces principes ?

- Comment cette approche peut-elle s’appliquer à la variété

des contextes européens ?

- Quelle est la méthodologie retenue et comment utiliser pra-

tiquement le quide ?

Les deux chapîtres qui suivent apportent sur ces points les
précisions nécessaires.
 21)

CHAPITRE 2 : UNE DEMARCHE APPLICABLE A

| LA VARIETE DES CONTEXTES
EUROPEENS

La vocation européenne de ce guide implique que sa démarche

demeure compatible avec la diversité des formes d'organisation
repérables au niveau du secteur de la construction, dans les
différents pays.

L'objet des développements qui suivent est de montrer comment une

même approche, définie à partir de caractéristiques communes,
peut s’appliquer à différents contextes organisationnels, qu’il
s’agisse du contexte propre de l’entreprise ou de celui, plus
large, du système d'acteurs par lequel transite un projet de
construction.

Cette démonstration suppose de définir d’abord l'approche préco-

nisée, à partir de ses principes de base, puis de dégager les
différentes formes de structuration de projets possibles.

1. LES PRINCIPES DE BASE

La démarche qui sous-tend le guide conduite de projet repose sur

trois principes de base

1-1. UNE APPROCHE "PAR PROJET" _: SA PERTINENCE DANS LE

CAS _ DE LA CONSTRÜCTION

La conception du guide s’inspire clairement de l’approche organi-

sationnelle spécifique et très actuelle qu'est la "gestion par
projet". L'existence de la "gestion par projet" n’est certes pas
récente : née à la fin des années 50, elle a connu ses premières
applications dans les entreprises aérospatiales et les bureaux
d’études (6).

Elle est aujourd’hui de plus en plus utilisée dans le secteur de

la construction, en réponse à différents facteurs, notamment

a) La turbulence croissante de l’environnement dans lequel

évoluent les entreprises (7), la complexité et la variabi-
 22

lité accrues des marchés, la nécessité d’élaborer, au niveau

des organisations productives, des réponses rapides, adap-
tées et souples.

b) La recherche, par les entreprises, de stratégies de diffé-

renciation (8) nécessite de leur part une capacité nouvel-
le : celle d'opérer dans des contextes différents, des
secteurs d'activités variés ou des créneaux de marchés di-
versifiés. Les entreprises doivent alors être à même de
construire différemment les "chaînes de valeur" (8).

Cette capacité revêt une importance particulière pour les

entreprises delaconstruction "celles-ci opèrent, nenter=
fet, sur un marché éclaté en de multiples sous-secteurs :
habitat, habitat conventionné, grands projets urbains, in-
frastructures, équipements publics, secteur industriel
etc... Sur chacun d’eux, les variables autorisant un "“avan-
tage concurrentiel" (8) sont particulières et réclament une
manière d'opérer spécifique.

C) L'impact de ce que l’on peut appeler les nouveaux "impéra-

tifs de la technologie" (9) et qui concernent :

- l'allongement de la durée des projets ;

- l'augmentation des capitaux investis dans les projets ;
—- la rigidité croissante des facteurs temps et argent ;
- l’exigence de spécialisation sur les projets ;
- l'exigence d'organisation des spécialités ;
- l'exigence de planification et de contrôle des projets.

Les trois derniers éléments apparaissent particulièrement

forts dans/un secteur comme la construction coûmcnaque
opération correspond, dans une large mesure, à une nouvel-
le organisation en soit (10).

d) Le développement - en réaction à ces tendances - de ÊÉOFE

mes d'entreprise de type décentralisé et compartimenté, en
forme de "M" (11), à matrice (12)/MM(LS), jusqu'a léappe ts
tion d’une nouvelle forme d'’entreprise, "l’entreprise en
réseau" (network industry) (14), qui prend plus particuliè-
rement, dans le Bâtiment, la forme "d’entreprise multipo-
dire" Ménsi).

e) Ces tendances d'’organisation, sur le mode décentralisé,

supposent, parallèlement, de dégager des niveaux d’intégra-
tion adéquats, afin d’assurer la nécessaire coordination
entre des parties de plus en plus autonomes, et de garantir
le contrôle des processus et de leur conformité aux objec-
tifs définis. Cétte intégration, dans le Cadre d'Organres
tions décentralisées, repose sur de nouvelles modalités de
gestion. "La gestion de projet" (project management) en
 23

constitue un exemple. Autour de ce besoin d'intégration, se

développent de nouvelles fonctions ou rôles, qu’incarne de
façon typique le "gestionnaire de projet" ou "project mana-
ger".

La "gestion de projet" correspond à une démarche bien défi-

nie et clairement codifiée, qui s’appuie sur une méthodolo-
gie de base largement acceptée (16), (17), (6) et (18).

Elle peut être adoptée au sein de différentes formes d’orga-

nisation (19).

Elle peut revêtir une forme "forte", dans une structure à

matrice" : toutes les initiatives de l’entreprise sont alors
gérées comme des "projets" et la place du "gestionnaire de
projet" est formellement définie dans l’organigramme. Elle
opère le recoupement transversal entre les différents ©M"Mser-
vices" de l’entreprise.

Dans certains cas, les "projets", constituent la base sur

laquelle l’entreprise établit son bilan. La forme forte est
représentée à la figure 2 :

Project
Manager

FIdgitt2

La “gestion de projet" peut également revêtir des formes plus

“faibles" : seules quelques initiatives à caractère exceptionnel
et d’importance particulière sont gérées sous forme de "projets".
Hess Hnsèrent -suriüuntautrelmode dans unefstructurerd'orga-
 24

nisation demeurée traditionnelle (hiérarchico-fonctionnelle). Ce

type est représenté schématiquement par la figure 3.

Project
Manager |

Project
Manager

Project|
Manager

Fig. 3

L'adoption d’une approche "par projet" ne nécessite donc pas, a

priori, d'organisation générale spécifique de l’entreprise, même
si certaines formes d’organisation s’y montrent plus adaptées que
d’autres. Elle suppose, en revanche, que se développe une cer-
taine "culture", autour de la notion de "projet" et de ses impli-
cations.

Le secteur de la construction offre toutes les conditions pour

que la gestion de projet apparaisse à la fois nécessaire et
efficace : les caractéristiques de son activité appelle la mobi-
lisation de multiples compétences, commerciales, financières,
techniques, organisationnelles et productives, qui peuvent de
moins en moins être considérées, aujourd’hui, indépendamment les
unes des autres ; le caractère très éclaté de la structure pro-
ductive renforce les besoins de contrôle et de coordination.

Aussi n’est-il pas étonnant que les formes les plus élaborées et
les plus intéressantes de "gestion de projet" aient été mises au
point dans ce secteur (20), notamment pour de grands projets
d’infrastructure ou de construction industrielle.
 295

Mais, si toute "commande" correspond bien, dans le Bâtiment, à un

projet spécifique, il n’est pour autant pas toujours possible, de
mettre en place une véritable organisation de "gestion de pro-
jet", dans toutes les situations

a) La forme "à matrice" - notamment dans ses versions "fortes"

- appelle une culture organisationnelle nouvelle, très dif-
férente de celle qui s’est développée dans les schémas
d'organisation hiérarchico-fonctionnelle classique. La ges-
tion de projet ne peut s’y diffuser que progressivement.

b) La structure même des entreprises de construction en Europe

sont diverses : certaines sont plus intégrées (la France,
par exemple, avec ses grands groupes), alors que d’autres
connaissent un processus de désintégration très fort (l'Ita-
lie en est l'exemple le plus flagrant) ; les formes possi-
bles d'identification d’un "projet" sont donc diverses, de
même que le rôle respectif des différents intervenants et
leur système de relations.

c) Les conditions d'obtention et de réalisation des marchés, la

dimension et la durée des travaux sont également fort varia-
Die il -n'estidoncipaslitoujours facilediadapter à des
opérations différentes des méthodologies conçues et mises au
point pour de grands projets.

La conception de ce quide tient compte, précisément, de la com-

plexité des situations rencontrées dans la construction.

1.2. UNE APPROCHE "ANTICIPATRICE"" FONDEE SUR_L'"ENRI-

CHISSEMENT DU PROJET

D’une façon générale, toute approche "par projet!" est anticipa-

trice. Gérer un projet suppose de déterminer très tôt les délais,
les "chemins critiques" dans les études et la réalisation, ainsi
que les moments-clés.

L’attitude consistant à poser systématiquement les problèmes à

l'avance, à identifier les sources de dysfonctionnement possibles
et les moments où elles sont susceptibles de se produire, permet,
dans bien des circonstances, d’éviter les "coûts cachés", les
“coûts de l’oubli", ou de "l’erreur". Ces coûts, est-il besoin de
le rappeler, se chiffrent vite dans la construction et y prennent
souvent l’allure d’un effet "boule de neige", bien connu des
gestionnaires de chantier.

La'‘difficulté, toutefois, tient à l'ampleur des éléments à pren-

dre en compte, à l’incertitude des moments les plus propices pour
 26

les traiter, mais aussi au risque de tomber dans un excès inver-

se : une planification trop rigide où tous les détails seraient
arrêtés en amont pourrait s'avérer, en définitive, de faible
efficacité.

LA BONNE QUESTION AU BON MOMENT !

TABLEAU DE BORD
DU
GESTIONNAIRE

LC] CL]

Conan)(7
Le 7202 PARPIARIAIAR
Savoir anticiper sans tomber pour autant dans une attitude "méca-
niste", aux effets illusoires, constitue la caractéristique d’une
bonne gestion de projet.

Pour ce faire, l’attitude anticipatrice doit se fonder sur l’en-

richissement du projet" à partir d’objectifs clairement définis.
Cette démarche, déjà bien formalisée (21) a été appliquée avec
succès à d’importants projets de conception socio-technique, dans
le cadre de l’industrie.

Elle suppose que le projet, dans sa conception et dans son orga-

nisation, intègre un ensemble:d’objectifs propres aux différents
acteurs concernés

- les entrepreneurs ou les "promoteurs" qui investissent le

capital-risque du projet;
 27

— les producteurs qui réalisent concrètement le projet, dans

ses diverses phases de préparation et d'exécution ;

- les utilisateurs qui, pour une durée plus longue, exploite-

ront ou utiliseront le produit (en l’occurrence, l'ouvrage).

11 en découle un “enrichissement des objectifs" le long des

quatre axes représentés à la figure 4 (21).

QUALITÉ BESOINS DES

UTILISATEURS

CONDITIONS DE TRAVAIL PROJET

ENRICHI

Fig. 4 : Les axes d’enrichissements "produits" et "processus"

1-3. UNE APPROCHE FONDEE SUR _L""INTEGRATION"

Tout projet de construction implique l’intervention de multiples

acteurs. Leur position respective et la nature de leurs relations
dépendent de l’organisation retenue (cf. le point 2 ci-après).

Toutefois, il est clair que la "gestion de projet" nécessite un

haut niveau “d’intégration" entre tous les acteurs. Le rapport
entre la différenciation (spécialisation) et l’intégration cons-
titue alors le problème principal de l’organisation de projet.
L'intégration concerne bien entendu la relation entre les as-
pects technologiques (techniques de construction, caractéristi-
ques de l'outillage, des matériaux, des produits, etc.) et les
 28

aspects organisationnels (définition du réseau des tâches entre

les participants, normes et règles de fonctionnement, critères et
mécanismes de coordination et de contrôle, etc...).

Mais la caractéristique de la gestion de projet tient également,

dans notre approche, à un renforcement de l'intégration entre
les fonctions, autour des objectifs assignés au projet, que l’on
peut répertorier autour de trois éléments :

Productivité

CC de travail,
sécurité et santé

La qualité du processus et les conditions de travail apparaissent

aujourd’hui comme des facteurs déterminants de la productivité et
de la rentabilité. En effet, l'avantage concurrentiel tend à se
fonder largement sur la qualité de l’organisation et de la ges-
tion d’ensemble du projet. Dans un contexte où la rentabilité ne
se détermine plus simplement par rapport à la productivité, mais
apparaît largement tributaire des conditions financières des
marchés, le respect des échéances, tant finales qu'intermé-
diaires, joue un rôle décisif. La qualité de la gestion d’ensem-
ble du processus, en permettant de maîtriser ces échéances,
devient un véritable enjeu économique. Dès lors, la qualité des
conditions de travail et la sécurité se définissent à leur tour
comme des objectifs-clés : dans la mesure où elles contribuent à
éliminer des sources importantes de dysfonctionnement et de per-
turbations, elles participent de la qualité de la gestion d’en-
semble, et ceci de façon intrinsèque.

2- UNE APPROCHE COMPATIBLE AVEC LA DI-

VERSITE DES CONFIGURATIONS ORGANISA-
TIONNELLES

L’un des avantages de la démarche proposée est qu'elle peut

s’appliquer à une grande diversité de configurations organisa-
tionnelles. L'essentiel est de respecter les principes de base.
Nous donnerons ici quelques exemples des configurations organisa-
 29

tionnelles observables dans l’industrie de la construction, sans

prétendre à l'exhaustivité : les variantes dans ce secteur sont,
en effet, très nombreuses, mais il se dégage quelques confiqura-
tions de base.

Celles-ci dépendent

- des caractéristiques des structures d'acteurs:

- de la nature des commandes et du type de contrat.

2-1- LA VARIABLE PAR _"STRUCTURE D'ACTEURS"

2.1.1. LA STRUCTURE SIMPLE

Elle s’observe généralement dans le cas de petits projets, mais

on la trouve également dans le cas de grands projets auxquels
participent des acteurs relevant d’organisations de dimension
moyenne. Elle est illustrée par la figure 5.

Dans cette structure simple, toutes les décisions importantes

concernant le produit, les techniques de construction et l’orga-
nisation du chantier sont prises par les concepteurs (architectes
et ingénieurs), en relation directe avec le maître d’ouvrage. Ce
dernier est en relation avec les entreprises exécutantes, soit
directement, soit - le plus souvent - par l’intermédiaire des
concepteurs.

Maître d’ouvrage

Concepteurs (architecte/ingénieur)

Entreprises exécutantes

pes he C liepp CC EE
Fig. 5
 30

2-+1.2. LA STRUCTURE À MAITRISE D'OEUVRE

C'est la structure la plus répandue pour les grands travaux. Elle

s'organise autour de la distinction entre concepteur et maître
d'oeuvre. Elle est représentée par la figure 6.

Dans ce cas, les responsabilités relatives à la conception du

produit sont essentiellement du ressort du concepteur, tandis que
celles relatives au processus relèvent du maître d’oeuvre.

Maître d’ouvrage

Concepteurs (architecte/ingénieur)

Entreprises exécutantes

Fig. 6

2.1.3. LA STRUCTURE À MAITRISE D'OEUVRE _INTEGREE

Une variante importante de la structure précédente est celle où

le rôle du maître d'oeuvre intègre tout ou partie des fonctions
de conception. Le recours à cette structure est fréquente pour
les grands projets. Elle est représentée par la figure 7.

2.2. LA STRUCTURE AVEC "ENTREPRISE ENSEMBLIERE"

Elle correspond à la forme actuelle du "general contractor" :

l’entreprise générale intègre de plus en plus de fonctions en
amont de l'exécution. Elle se fait prestataire de services à la
maîtrise d’ouvrage et participe directement à la conception, aux
 31

côtés de l’architecte. Elle assume l'étude des coûts, le choix

des techniques de construction, le planning, la préparation du
chantier, la coordination et le contrôle de l’ensemble des lots
de -travaux qu’elle confie le plus souvent à des sous-traitants.
Cette structure, privilégiée aujourd’hui par les grandes entre-
prises, est illustrée par la figure 8.

Maître d'ouvrage

Maître d’oeuvre

Concepteur (architecte/ingénieur)

Entreprises exécutantes

Fig. 7

Maître d’ouvrage

Concepteurs - entreprise générale ensemblière

Sous-traitants

Fig. 8
 32

Dans ces différentes configurations, la responsabilité effective

du projet n’est pas forcément évidente. Elle peut, en effet, être
formellement identifiée ou non. Le cas où la responsabilité est
le plus clairement formalisée est bien entendu celui où un "ges-
tionnaire de projet" est nommément désigné.

En l’absence d’une telle désignation, la responsabilité de projet

peut néanmoins exister implicitement. Elle peut, en effet, être
attribuée à différents acteurs : maître d’ouvrage, concepteur ou
entreprise (essentiellement dans le cas des entreprises géné-
rales).

2-3. LA VARIABLE PAR NATURE DES COMMANDES ET TYPES

DE_CONTRATS

Les configurations organisationnelles dépendent aussi de la natu-

re des commandes et du type de contrats. Selon qu’un maître
d'ouvrage est public ou privé, que sa commande porte sur de
l'habitat individuel, de l’immobilier d'entreprise, de grands
équipements publics ou de grandes zones tertiaires privées, les
attentes et les exigences ne seront pas les mêmes et se tradui-
ront au niveau de l'option de la maîtrise d’oeuvre, du choix des
entreprises, de l’organisation du projet et du type de contrat.
Le régime de soumission à un marché de travaux (appels d'offres,
concessions, adjudications, marchés négociés, etc...) et le mode
de passation même des marchés (en entreprise générale, en lots
séparés, en groupement d’entreprises, etc...) influent également
sur la configuration organisationnelle ainsi que sur l’attri-
bution de la responsabilité concernant la direction, la coordina-
tion ou le pilotage des études et de l'exécution.

La nature des commandes comme le type de contrats dépendent

largement du cadre institutionnel, des structures industrielles
et des habitudes commerciales dans chacun des pays.

2-4. LES PHASES DE DEVELOPPEMENT D'UN PROJET

DE CONSTRUCTION

Un projet de construction peut donc transiter par différentes

configurations organisationnelles possibles. Mais, en tout état
de cause, il suit un processus qui peut s’analyser comme une
succession de phases. Ces phases et leur succession demeurent à
peu près identiques, quelle que soit la configuration. Elles
concernent successivement :
 33

la programmation,
la conception,
l’organisation, le planning et le contrôle,
l'exécution.

Toutes ces grandes phases ont des moments de chevauchement.

ces périodes, les synergies et les interactions sont
Pendant moins
importantes. Elles peuvent être plus ou
particulièrement
développées selon les formes d'organisation.

par gestion de projet a précisément pour objectif

L'approche
d'accroître ces synerg ies et ces intera ctions.

de ces différents principes de base, dans le res-

L'énumération
organisationnelles, per-
pect de la diversité des configurations
la méthod ologie retenu e dans ce guide de con-
met de comprendre
duite de projet et d'expliquer son mode d'utilisation.
 34

CHAPITRE 3 : METHODOLOGIE RETENUE ET

CONTEXTES D'UTILISATION
DE GUIDE

1. METHODOLOGIE

qui précèdent permettent de comprendre

Les développements
méthodologique à laquelle obéit le guide. Cette
l'orientation
orientation offre trois carac téris tiques

STRUCTURANTE FORTE AUTOUR _ DES AXES

1-1. UNE DEMARCHE
D'ENR ICHIS
I SE >SEMEN
D T DU PROJE
——————— … T
D ENRIL

du projet, à tous les stades de son âéveloppe-

L'’enrichissement propose
le "noyau dur" de la démarche. Le guide
ment, constitue
axes d’enrichissement, quisportent respectivement
ainsi quatre
SU

d'exécution (productivité, qualité, ordonnan-

- les conditions
cement)

de travail (hygiène et sécurité, ergonomie,

_- es conditions
charge de travail, communication et formation)

humaines,
- les relations de travail (gestion des ressources
ligne hiéra rchiq ue, infor matio n et forma tion)
négociation,

et la coordination (relations amont-aval

- l’organisation es au
; relati ons inter- servic
entre les différents acteurs de
des structures ; interfaces entre corps
sein de chacun
le chantier ; affectation et gestion des res-
métier sur
sources.

DES QUESTIONS-CLES POUR

1.2. L'IDENTIFICATION
LA _REUSSITE DU PROJE T

ne livre pas de recettes figées,

Le guide de conduite de projet
aussi bien à son efficacité qu’à son
qui seraient contraires
 35

objectif. Il se présente plutôt, délibérément, comme un outil

méthodologique ouvert, reposant sur l’identification "des ques-
tions justes au bon moment". Ces questions concernent tous les
acteurs : ce sont celles qu’ils peuvent se poser ou poser à
d’autres, dans le cadre des organisations les plus diverses.

Le principal intérêt de ces questions est d’autoriser l’anticipa-

tion entre les séquences et l’interaction entre les fonctions,
ces deux aspects apparaissant comme les facteurs décisifs de plus
amples performances.
!
À

1.3. UNE PRESENTATION SOUS FORME DE "TABLEAUX DE _ BORD"

ADAPTES A CHACUN DES INTERVENANTS

Une méthodologie ouverte, reposant sur une démarche forte, impli-

quant tous MeEtacteurs “telle ést l'orientation générale du
guide de conduite de projet. Celui-ci doit pouvoir s'appliquer à
une diversité de configurations organisationnelles et conserver
sous cet angle, l'avantage décisif lié à la souplesse.

Aussi se présente-t-il sous forme de "tableaux de bord", destinés

respectivement :

- aux maîtres d’ouvrage,

- aux concepteurs,
- aux agents de la planification et des méthodes,
- aux entreprises réalisatrices.

Chacun de ces de bord

tableaux fait figurer, en face des axes
d’enrichissement, une série de questions-clés permettant aux
acteurs concernés de repérer très tôt les points critiques qu'ils
risquent de rencontrer dans le déroulement du projet et de défi-
nir en conséquence le moment et les moyens qu’il juge les plus
adéquats pour proposer les solutions envisagées.

2. CONTEXTES D'UTILISATION

Le guide peut être utilisé dans une variété de configurations

 36

2.1. UTILISATION EN FORMATION

Basée sur un dossier de projet de construction, la formation

consiste à faire travailler pendant 2 à 3 jours les participants
en quatre groupes distincts titulaires chacun d’une des fonctions
suivantes : Programmation, Conception, Organisation et Exécution.

Les problèmes d’enrichissement soulevés au sein des groupe sont

ensuite soumis aux groupes concernés lors de séances pleinières,
tripartites ou bipartites selon les nécessités. Les mesures pré-
ventives sont négociées lors de ces séances de concertation et
les solutions retenues sont enregistrées par les animateurs.

Le séminaire se clôture par une séance d’évaluation pendant

laquelle chaque groupe présente son projet enrichi, le rôle des
animateur s étant de faire la synthèse des exposés pour permettre
aux participants de mieux comprendre leurs réactions... .facemaux
problèmes, interrogations et interactions qui sont présentés lors
du déroulement du séminaire.

2.2. UTILISATION LUS DE

LORS:
LE L'ETUDE ET
© LA REALISA TION
—— ——— ……—"…—…—
UTILISAT ION
DE _ PROJETS DE CONSTRUCTION

Il est peu ‘probablefque pour unmprojet de construction. nous

retrouvions quatre acteurs disposant chacun d’un guide de . con-
duite de projet concernant la fonction qui le concerne.

Les guides sont donc conçus pour permettre à leurs utilisateurs,

ceci à n’importe quel stade d’avancement du projet..ou.du /Chans
tier, d’induire une démarche d'investigation leur permettant de
s'interroger et d'intervenir sur les conditions de travail, les
coûts, la qualité et l'usage final du projet.

Une grille d'évaluation leur permet de déterminer l''acteurere

mieux à même de prendre les mesures de prévention les plus effi-
caces ainsi que le moment le plus opportun pour cette interven-
tion. Cette grille constitue aussi un support pour le contrôle de
l’application ou non, des mesures d’anticipation décidées.

2.3. UTILISATION PAR _LES ORGANISMES _DE CONTROLE

ET _ DE PREVENTION

Nous avons vu que le guide proposait deux axes, le premier

concernant les produits, le second s’attac hant aux process us mI1s
 37

en oeuvre pour réaliser le projet.

L’axe processus s’attache entre autres à enrichir les conditions

de travail sur chantier à tous les stades d'évolution du projet
en passant par l'intervention des maîtres d'ouvrage , des concep-
teurs, des organisateurs et des entreprises. Nous voyons tout de
suite l’intérêt que l'outil présente pour les organisations re-
présentatives des travailleurs et les administrations publiques
chargées de contrôler l'application des mesures de santé. et de
sécurité sur les chantiers.

En interrogeant les différents acteurs à partir des questions

concernant les conditions d'exécution sur le chantier, celles-ci
contribuer à l'amélioration des conditions de travail en
peuvent
au moment opportun lors du déroulem ent du projet. De
intervenant
plus, la grille qui permet de détecter les risques et de définir
les acteurs chargés de leur prévention est complétée par un
reprenant les différentes séquences du projet..pour, lesr
tableau
quelles la prise de mesures de prévention au regard des risques
détectés sera la plus opportune. Cette grille constitue aussi un
support pour le contrôle de l'application ou non, des mesures
d’anticipation décidées.
 38

CONCLUSIONS

L'industrie de la construction, où 90% des entreprises occupent

moins de dix travailleurs peut être considérée comme une indus-
trie consacrée à la production de prototypes pour lesquels les
techniques mises en oeuvre, l’organisation, les moyens d’exécu-
tion varient, parfois fondamentalement, de chantier en chantier.

Trop souvent le chantier joue le rôle de correcteur des erreurs

et des retards créés en amont.

L'étude du travail humain sur les chantiers révèle des causes de

dysfonctionnement dont l’origine se situe très en amont du chan-
tier que cela soit à partir des phases de conception, d’organisa-
tion ou de la préparation de l'exécution.

Le vrai problème se situe dans la ligne hiérarchique (concepteurs

- maîtrise de l’ouvrage - responsables d'entreprises), qui se
soucie trop peu de ce qui se passe, soit en bout de ligne de
production (conditions de travail, non qualité, accidents, ...)
soit dans les domaines pour lesquels elle ne se sent pas directe-
ment impliquée (usage de l’ouvrage). Le fait pour les entrepri-
ses et ses travailleurs, qu’ils soient bâtisseurs ou utilisa-
teurs, de s’associer aux prémisses du projet devrait induire une
meilleure prise en compte par les concepteurs des problèmes
situés à l’aval et ainsi répondre, le plus justement, aux besoins
en matière de sécurité et de santé exprimés par les clients tout
en respectant une mise en oeuvre aisée de produits sûrs sur des
chantiers sains et sans danger.
 39

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MODE D'EMPLOI
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MOT
 A3

TABLE DES MATIERES

1. LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE .........................,....................:

1.1. UN OUTIL D'AIDE A LA DECISION POUR CHACUN DES ACTEURS ..................

PE |: AMEHACUNENDESNETAPE SSDURPROJENRR MEN CLERMONT

AURAS DANS LA SUCCESSION DES PHASES DU PROJET .........................

1.2. UN OUTIL DE SUPERVISION, DE PILOTAGE ET DE CONTROLE, COMMUN A TOUS :

LA GESTION DES INTERACTIONS ENTRE LES ACTEURS ..........................

12r1t UNE PLUS GRANDE CLARIFICATION DANS LA REPARTITION DES TACHES .

1202 UNE MEILLEURE GESTION DES INTERACTIONS ENTRE LES ACTEURS ........
17073. L'AMELIORATION DE LA COORDINATION SUR L'ENSEMBLE DU PROJET ......
1274. UN MEILLEUR CONTROLE DE CHACUN SUR L'AMONT ET SUR L'AVAL ........
eh, TIRER DES CONCLUSIONS POUR L'INTERVENTION DE CHACUN .............

D DER TABLEAULDE. BORD DE SYNTHESE, : .2 0.00 SR PRE et 6 de e oo 00 0

13 F. FICHES DE FONCTIONS PAR SEQUENCES DE REALISATION DE PROJET ......

ANRPROGRANMAMION PRE. UE... 0 EE ne creer
DIMANVANDEPROJ EM PPROTETS .. 3:07 AE RE...
CHANECOCIATION DES OFFRES. : :.... pe SRE MER "eee eee

D) PREPARATION DU CHANTIER .....................................

EJSCHANTPERMER RME SONT. , 4 0 RSR ee en us o++

FOR ECOPILONM ERREUR. nee EE ea nee

1522. FICHES DE FONCTIONS PAR SEQUENCES LORS DE TRAVAUX DE DEMOLITION,

RENOVATION, REHABILITATION, RESTAURATION OU AMELIORATION ........

2. LES TABLEAUX DE BORD DETAILLES ..............................................

2.1. PRESENTATION GENERALE ET PRINCIPES D'UTILISATION .......................

2.2. LA VARIATION DES TABLEAUX DE BORD DETAILLES EN FONCTION DES ACTEURS

DESTINATAIRES Re ni Lene ip ee enroep votes CRÉPRR REP ©» » «

fi#8 VA DESFMALTRESIDMOUNRAGE Rs ne ee RER" Es + eve

(RCAAS PÉSACONCEPTEURS AREA EME 0 2 NO M PR orne see ur

22.5. LES "ORGANISATEURS" (FONCTION PLANNING ET CONTROLE ) ............

22224 CESR ENTREPRISES SR RER M Re ae eos ee ve ee

3. CONCLUSION UN NES D ee ses 15 ee se eau nt ts ets + ele ea utes ele le"e7e Rate ei eo EN SONNERIES" PER TR RME RTE
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 A3

MODE D'EMPLOI DU GUIDE

LES DÉVELOPPEMENTS QUI PRECEDENT ONT PRINCIPES D'UTILISATION.

PERMIS
DE COMPRENDRE L'ORIENTATION ME-
THODOLOGIQUE A LAQUELLE OBEIT LE GUIDE CES DEUX TYPES DE DOCUMENTS SONT :
DE CONDUITE DE PROJET.
- D’UNE PART, UN TABLEAU DE BORD DE
UNE METHODOLOGIE OUVERTE, REPOSANT SUR SYNTHESE ;
UNE DEMARCHE D'ENRICHISSEMENT IMPLIQUANT
- D'AUTRE PART, DES TABLEAUX DE BORD
TOUS LES ACTEURS, SUR BASE DE LEURS
DETAILLES.
PROPRES CONTRAINTES VEPLEMRMEST
L'ORTENTATION GENERALE DE CE GUIDE.
ILS ONT ETE CONCUS DE FACON SPECIFIQUES
CELUI-CI N’ENTEND DELIVRER AUCUNE RECET-
POUR QUATRE CATEGORIES D'’ACTEURS QUI
TE TOUTE FAITE. SON OBJECTIF EST DAVAN-
SONT RESPECTIVEMENT :
TAGE D'’AIDER LES DIFFERENTS ACTEURS A
PRENDRE LEURS DECISIONS EN TOUTE
- LES MAITRES D'OUVRAGE ET LES UTILI-
CONNAISSANCE DE CAUSE, AUSSI BIEN DANS
SATEURS;
LEUR DOMAINES RESPECTIFS QUE DANS LE
CHAMP D’INTERFERENCES QU'ILS CONNAISSENT LES CONCEPTEURS;
LES UNS AVEC LES AUTRES.
LES ORGANISATEURS ;

IL SE DEFINIT DONC A LA FOIS COMME UN LES ENTREPRISES.

OUTIL D'AIDE A LA DECISION PROPRE A
CHACUN DES ACTEURS ET COMME UN OUTIL IL CONVIENT DE NOTER QUE CES GRANDES
COMMUN A TOUS DE PILOTAGE, DE SUIVI ET CATEGORIES D’ACTEURS ONT ETE DEFINIES
DE CONTROLE DE LA QUALITE DU PROJET, SUR LA BASE D’UNE ANALYSE EN TERMES DE
TOUT AU LONG DES ETAPES DE SON DEROU- "FONCTIONS" ET NON SUR LA BASE D’UNE
LEMENT. ANALYSE EN TERMES DE "PROFESSIONS".

QUELQUES EXPLICATIONS PREALABLES SUR SON LES FONCTIONS DE REFERENCE SONT CELLES
MODE D'EMPLOI SONT TOUTEFOIS NECESSAIRES QUI SONT INHERENTES AU PROCESSUS DE
BOURESPERMETTREPIDE LUTILISERMAVEC LE CONSTRUCTION. ELLES RECOUVRENT :
MAXIMUM D'EFFICACITE. LA DEMARCHE LA
PLUS SIMPLE CONSISTE SANS DOUTE A PRE- - LA FONCTION DE MONTAGE ET DE PRO-
SENTER TOUR A TOUR CHACUN DES DEUX TYPES GRAMMATION DES OPERATIONS (MAITRE
DE DOCUMENTS QUI LES COMPOSENT, EN DEFI- D'OUVRAGE) ;
NISSANT LEURS ROLES RESPECTIFS ET LEURS
- LA FONCTION DE CONCEPTION TECHNIQUE
 46

ET ARCHITECTURALE (CONCEPTEURS) ; DES PREOCCUPATIONS PROPRES AUX DIFFE-

RENTS ACTEURS DANS L'’ACCOMPLISSEMENT DE
- LA FONCTION DE PREPARATION, DE PLA- LEUR FONCTION SPECIFIQUE.
NIFICATION ET DE CONTROLE, SOUVENT
ALLIEE A UNE FONCTION DE PILOTAGE ET DEUX REMARQUES, NEANMOINS, S’IMPOSENT :
DE COORDINATION (ORGANI SATEURS ) ;
- D'UNE PART, CERTAINS ACTEURS PEUVENT
- LA FONCTION DE REALISATION DE L'’OU- ASSUMER DIFFERENTES FONCTIONS DANS
VRAGE (ENTREPRISES). LE DEROULEMENT D'UN PROJET DE
CONSTRUCTION. LE CAS LE PLUS
À CES QUATRES FONCTIONS, S'’AJOUTE BIEN FLAGRANT CONCERNE LA FONCTION DE
ENTENDU LA FONCTION D'EXPLOITATION QUI PLANIFICATION, D'ORGANISATION ET DE
INTERESSE PLUS DIRECTEMENT LES GESTION- CONTROLE : ELLE PEUT ETRE CONFIEE A
NATRES DU BATIMENT. ELLE NE SERA ABORDEE UN ACTEUR INDEPENDANT (BUREAU
QUE PAR SES INCIDENCES SUR LE PROJET. D'ETUDES OÙ SOCIETE SPECIALISEE) OÙ
BIEN AUX CONCEPTEURS, EN PARTICULIER
CHACUNE DES QUATRE GRANDES FONCTIONS À L'ARCHITECTE, DANS LE CAS PAR
D'UN PROJET DE CONSTRUCTION MOBILISE, ON EXEMPLE D'UN MARCHE PASSE EN LOTS
LE SAIT, DE MULTIPLES PROFESSIONS. OR, SEPARES; OU ENCORE A L'UNE DES
NON SEULEMENT CES PROFESSIONS CONNAIS- ENTREPRISES SInCELLE:-C D wINTERVEENT
SENT DE FORTES VARIATIONS D'UN PAYS A EN TANT QU'ENTREPRISE GENERALE. IL
L'AUTRE. MAIS EN PLUS, ELLES SUBISSENT SUFFIRA ALORS A L'ARCHITECTE OÙ A
AUJOURD'HUI DE FORTES EVOLUTIONS ET UNE L'ENTREPRISE CONCERNES DE SE REFERER
CERTAINE REMISE EN CAUSE DES FRONTIERES AU TABLEAU DE BORD DESTINES AUX
QUI LES DEFINISSAIENT TRADITIONNELLE- ORGANISATEURS, DES LORS QU'ILS SE
MENT. DES LORS, LA REFERENCE AUX FONC- VOIENT CONFIER LA FONCTION CORRES-
TIONS SE JUSTIFIE PAR LE FAIT QU'ELLE PONDANTE.
OFFRE UN CADRE D’ANALYSE CAPABLE DE
S'APPLIQUER A DES CONFIGURATIONS TRES - D'AUTRE PART, DE NOUVEAUX CAS DE FI-
DIVERSES ET DE REGROUPER DES PROFESSIONS GURE SE SONT DEVELOPPES AU COURS DE
TRES VARIEES. CES DERNIERES ANNEES, QUI VOIENT
INTERVENIR DES ENTREPRISES SUR DES
CETTE DISTINCTION DES ACTEURS SUR LA TACHES INTERESSANT LA FONCTION DE
BASE DE LA FONCTION QU'ILS ASSUMENT CONCEPTION, OU DES CONCEPTEURS ET/OU
CONSTITUE DONC LE POINT DE DEPART DU DES ENTREPRISES SUR DES TACHES INTE-
GUIDE:.2" EN'EFFET, CELUI&CI9ESTMCONCULDE RESSANT LA FONCTION DE MONTAGE ET DE
MANIERE A DEVELOPPER UNE DEMARCHE D'EN- PROGRAMMATION DE L'’OPERATION (RE-
RICHISSEMENT À PARTIR DES CONTRAINTES ET CHERCHE DE TERRAIN, ETUDES DE FAISA-
 47

BILITE OU ETUDES D’IMPACT, MONTAGE (CORRESPONDANT A LA RECEPTION DEFI-

DINANGIERSeETCat)e NITIVE DES TRAVAUX ET A LA PERIODE
DE GARANTIE) ET L'EVALUATION DU
LE GUIDE TEL QU'IL A ETE CONCU, PERMET PRODUIT-OUVRAGE (DANS LA PHASE
D'INTEGRER CES CAS DE FIGURE. D'EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE);

LES TABLEAUX DE BORD SONT ADAPTES A CHA- UNE, T SERIE MDESNEOEONNES, SITUEE: À
CUNE DES CATEGORIES D'ACTEURS LISTEES DROITE, FAIT FIGURER, EN FACE A
PLUS HAUT. CECI EST PARTICULIEREMENT CHACUNE DE CES ETAPES, UN ENCADRE
VRAI DES TABLEAUX DE BORD DETAILLES, DANS LEQUEL EST REPRODUIT LE SYMBOLE
DONT LE CONTENU - MAIS NON LA PRESENTA- DES QUATRE AXES D’ENRICHISSEMENT;
TION GENERALE - VARIE EN FONCTION DE
L'ACTEUR DESTINATAIRE. C'EST POURQUOI, ENFIN, L'ENCADRE CENTRAL EST RESERVE
NOUS MENTIONNERONS CES VARIATIONS DANS À L'USAGE PROPRE DE CHAQUE UTILISA-
L'EXAMEN DES TABLEAUX DE BORD DETAILLES. TEUR, QUI PEUT JUGER UTILE D'Y INS-
CRIRÉONCTENBERABPEL MISOLE M ICERTAINS
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE, COMPTE POINTS FORTS DE SES PREOCCUPATIONS,
TENU DU ROLE QUI LUI EST DEVOLU, EST SOIT LES ELEMENTS A NE PAS OUBLIER,
MOINS TRIBUTAIRE DE CETTE DISTINCTION SOIT MEES MPACTEURS 4 D'ANCERTITUDE,
ENTRE ACTEURS. AUSSI FERA-T-IL SIMPLE- ETCACON HOMPEURITOUTMAUSSISBTEN. NE
MENT L'OBJET D’UNE PRESENTATION GENERALE RIEN Y INSCRIRE DU TOUT. AINSI
ET GENERALISABLE A TOUS LES ACTEURS. CONCU, LE TABLEAU DE BORD PEUT ETRE
UTROISEL:
1. LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE
1) COMME UN OUTIL D'AIDE A LA DECI-
SION CHACUN DES ACTEURS : SONT
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE SE ‘PRESEN-
ICI CONCERNEES ESSENTIELLEMENT
TE SOUS LA FORME D'UN SIMPLE DOCUMENT
LES DECISIONS RELEVANT DE L'AUTO-
TENANT SUR UN RECTO ET QUI COMPREND :
RITE RESPECTIVE DE CHACUN.

- EN EN-TETE CENTRAL, LA DENOMINATION

2) COMME UN OUTIL DE SUPERVISION DU
DE L'ACTEUR DESTINATAIRE;
PROJET, DE PILOTAGE ET DE CONTRO-
LE DE LA QUALITE, COMMUN A TOUS :
- UNE PREMIERE COLONNE D’ENCADRES, SI-
SONT ICI DAVANTAGE CONCERNEES LES
TUEE A GAUCHE, QUI ENUMERE LES DIX
DECISIONS RELATIVES A LA GESTION
GRANDES ETAPES PAR LESQUELLES TRAN-
DE LEUR INTERACTION.
SEULE DEROULEMENT:. DU 0 "PROJET,
DEPUIS LE MONTAGE DE L'OPERATION
JUSQU'A L'EVALUATION DU CHANTIER
 A8

Séquences Tableau de bord Axes préferentiels pour

les fonctions :

Gestion de Conception Gestion de

projet chantier

Montage

institutionnel

#]Travaux non
/\ programmables
Programmat ion Lancer la
gestion de la
A qualité
conditions de
travail
/\ + Zones
Avant projet JAX d’incerti-

Projet

Négociation
des offres

Preparation
du INTENSITE
chantier DE
—7———— L'INTERVENTION

INTENSITE
Exécution DU |
dossiers d'exécution CONTROLE

Récept ion

Evaluation
du
chantier

Evaluation
exploitation
maintenance
 49

RAPPELONS QUE LE CROQUIS DES AXES D’EN- - D'ECLAIRER LA PRISE DE DECISION, A

RICHISSEMENT, QUI EST REPRODUIT EN FACE CHACUNE DES ETAPES DU PROJET;
DE CHACUNE DES ETAPES DU PROJET, RENVOIE
À LA DISPOSITION SUIVANTE DE CINQ PA- - DE GERER LA CHRONOLOGIE DE CES DECI-
RAMETRES : SIONS DANS LA SUCCESSION DES PHASES
DU PROJET.
1) ORGANISATION, COORDINATION, COMMUNI-
CATION; 1.1.1. A CHACUNE DES ETAPES DU PROJET
2) — PARTICIPATION ET INFORMATION;
3) FORMATION; L'UTILISATION A CETTE FIN DU TABLEAU DE
4) PERFORMANCES; BORD DE SYNTHESE RENVOIE A UNE LECTURE
5) PREVENTION DES RISQUES POUR LA SECU- "HORIZONTALE" DES COLONNES.
RITE ET LA SANTE.
CHAQUE UTILISATEUR REPERE L'ETAPE DE
1.1. UN OUTIL D'AIDE A LA DECISION POUR DEROULEMENT DU PROJET OU SE SITUE SON
CHACUN DES ACTEURS INTERVENTION. LES AXES D'ENRICHISSEMENT
FIGURANT EN FACE DE L'ETAPE CONCERNEE
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE CONSTITUE LUI PERMETTENT ALORS DE DECIDER DE CELUI
TOUT D'ABORD UN OUTIL D'AIDE A LA DECI- OU DE CEUX SUR LESQUELS IL ENTEND INVES-
SION POUR CHACUN DES ACTEURS. IL PERMET, TIR DE FACON PRIORITAIRE, EN FONCTION DE
ENGEFFEIS PA LCAUFOTS : SA PROPRE LOGIQUE ET DES OBJECTIFS QU'IL
SE FIXE DANS L'ACCOMPLISSEMENT DE SA
FONCTION. CECI LUI PERMET :
Coûts

Besoins des
Qualité utilisateurs

LL —+-| PROJET
MORES ENRICHI

Conditions
de travail

NERO LES AXES D’ENRICHISSEMENTS "PRODUITS" ET "PROCESSUS"

 50

- DE SITUER IMMEDIATEMENT LES QUES- EGARD DEUX ATTITUDES :

TIONS QU’IL ENTEND APPROFONDIR;
- SE RESERVER DE LES INTEGRER PLUS
- DE FAIRE APPARAITRE DANS LE MEME TARD, S'IL CONSIDERE QU'IL NE DIS-
TEMPS LES AXES NON TRAITES. POSE PAS DE SUFFISAMMENT D'ELEMENTS
POUR L'INSTANT, OÙ QUE CES AXES
EN SUIVANT LA DEMARCHE DU GUIDE, CHACUN N'INTERESSENT PAS SON INTERVENTION A
SE REPORTERA A LA PARTIE DES TABLEAUX DE CERSIADE"
BORD DETAÏILLES, CORRESPONDANT A L’ETAPE
- CONSIDERER D'’EMBLEE QU'ILS NE LE
CONCERNEE ET AUX AXES D'ENRICHISSEMENT
CONCERNENT PAS ET LES IGNORER TOTA-
CHOISIS. SOUS CHACUN DE CES AXES, FIGU-
LEMENT.
RENT, COMME NOUS LE VERRONS PLUS LOIN,
UN CERTAIN NOMBRE DE PARAMETRES QUE
SELON L'ATTITUDE RETENUE, L'UTILISATEUR
L'UTILISATEUR DOIT PRENDRE EN COMPTE
NE PREND PAS LES MEMES RISQUES. EN FAI-
POUR APPUYER SA DECISION.
SANT APPARAITRE LES AXES NON TRAITES, LE
TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE AGIT COMME
SI L'UTILISATEUR PARVIENT A RASSEMBLER
UN "CLIGNOTANT" : IL PERMET D’ALERTER
TOUS LES ELEMENTS DE REPONSE CONCERNANT
L'UTILISATEUR SUR LE FAIT QUE SA DEMAR-
CES PARAMETRES, IL PEUT ALORS REVENIR AU
CHE N’A PAS INTEGRE TOUS LES PARAMETRES
TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE ET Y INDI-
ET L'INVITE A SE PENCHER, D'UNE PART,
QUER QUE LES AXES DEFINIS PAR LUI AU
SUR LES RAISONS QUI JUSTIFIENT SON ATTI-
DEPART SONT DESORMAIS TRAITES. IL PEUT
TUDE, D'AUTRE PART, SUR LES INCIDENCES
INDIQUER AUSSI QU'ILS NE LE SONT QUE DE
QUI PEUVENT EVENTUELLEMENT EN DECOULER
FACON INCOMPLETE, EN FONCTION DE LA
POUR LUI-MEME ULTERIEUREMENT. POUR AP-
NATURE DES RENSEIGNEMENTS DONT IL PEUT
PRECIER LA NATURE DE CES INCIDENCES,
DISPOSER À CE STADE ET/OU DU DEGRE D'’IN-
L'UTIÉISATEUR PEUT, .-SE* REPORTERSAN
CERTITUDE QUI DEMEURE SUR CERTAINS
TABLEAU DE BORD DETAILLE ET EXAMINER LES
POINTS.
PARAMETRES VISES PAR LES AXES NON
TRAITES. CETTE DEMARCHE PEUT NE RIEN
IL PEUT CONSIDERER ALORS QUE SON INTER-
CHANGER À SA DECISION ; AU MOINS A-T-
VENTION A ATTEINT LES OBJECTIFS QU'IL SE
ELLE LE MERITE DE CONDUIRE L'UTILISATEUR
FIXAIT LORS DE CETTE PHASE.
À AGIR - VOIRE À PRENDRE DES RISQUES -
EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE.
LA LECTURE DU TABLEAU DE BORD DE SYN-
LHES MAUR RAPPELLE,,, NTOUTÉECESMMIQUE
1.1.2. DANS LA SUCCESSION DES PHASES DU
CERTAINS AXES N'ONT PAS ETE TRAITES.
PROJET

L'UTILISATEUR PEUT ALORS AVOIR A LEUR LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE CONSTITUE

 SE

EGALEMENT UN OUTIL IMPORTANT EN CE QU'IL SON UTILISATION REPOSE ICI SUR UNE LEC-
PERMET AUX DIFFERENTS ACTEURS DE GERER TURE "VERTICALE" :
LEURS DECISIONS NON SEULEMENT A UN MO-
MENT DONNE, MAIS ENCORE TOUT AU LONG DE CHAQUE ACTEUR REPERE LES DIFFERENTES
LA SUCCESSION DES PHASES DU PROJET. PHASES OÙ IL SERA IMPLIQUE ET NOTE EN
FACE DE CHACUNE D'ELLES LES AXES D'ENRI-
IERNSESTEPAS RARESOCEN EFFET; MQUEN: LES CHISSEMENT QU'IL ENVISAGE DE DEVELOPPER.
DIFFERENTS ACTEURS SE TROUVENT IMPLIQUES
DANS DIVERSES PHASES DU PROJET, ET AIENT LE TABLEAU AINSI REMPLI APPORTE UN CER-
À Y PRENDRE DES DECISIONS OPERATIONNEL- TAIN NOMBRE DE RENSEIGNEMENTS :
LES. AINSI PAR EXEMPLE, LES MAITRES
= SUR LES AXES PRIS EN COMPTE PAR
D'OUVRAGE SONT DIRECTEMENT IMPLIQUES
L'ACTEUR CONCERNE ET SUR CEUX QUI
DANS LES PHASES INITIALES (MONTAGE DE
DEMEURENT IGNORES, DU DEBUT A LA
L'OPERATION, PROGRAMMATION) ET ETROITE-
FIN;
MENT CONCERNES PAR LES PHASES FINALES
(RECEPTION DU BATIMENT, EXPLOITATION, - SUR LA CHRONOLOGIE DES AXES QU'IL
MAINTENANCE), SANS MEME PARLER DES ENTEND TRAITER DANS LE CADRE DE SES
ETAPES INTERMEDIAIRES (CHOIX DES CONCEP- INTERVENTIONS.
TEURS, CHOIX DES ENTREPRISES, POUVOIR DE
CONTROLE ET DE DECISION SUR L'AVANT- DEVANT CES RENSEIGNEMENTS, LE TABLEAU DE
PROJET, LE PROJET, LE MARCHE DE TRAVAUX BORD DE SYNTHESE INVITE L'UTILISATEUR
OÙ LES PAIEMENTS). CONCERNE À SE POSER UN CERTAIN NOMBRE DE
QUESTIONS DU TYPE :
DE MEME LES CONCEPTEURS SONT CONCERNES
PAR DIFFERENTES PHASES DU PROJET LA SUCCESSION CHRONOLOGIQUE DES AXES
AVANT-PROJET, PROJET, NEGOCIATION DES QU'IL ENTEND TRAITER EST-ELLE LA BONNE ?
OFFRES, SUIVI-CONTROLE DE L'AVANCEMENT N’'Y-A-T-IL PAS UN RISQUE DE DYSFONCTION-
DES TRAVAUX, RECEPTION DU BATIMENT. NEMENT POSSIBLE DU A UNE PRISE EN COMPTE
TROP TARDIVE DE L’UN OU L'AUTRE D'ENTRE
LES ENTREPRISES INTERVIENNENT DANS LA EUX ?
NEGOCIATION DES OFFRES, LA PREPARATION
DU CHANTIER, L'EXECUTION ET PARFOIS AU IL VISE EN CELA A PREVENIR LES RISQUES,A
NIVEAU DU PROJET OU DE L'’AVANT-PROJET. EVITER LES POINTS DE NON-RETOUR, EN
DEVELOPPANT UNE DEMARCHE ANTICIPATRICE.
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE LEUR PER-
MET DE MIEUX GERER L'ENCHAINEMENT DE CES ON PEUT PRENDRE L'’EXEMPLE D'UNE ENTRE-
DECISIONS. PRISE QUI, RETENUE SUR UN PROJET, DECI-
DE, LORS DE LA NEGOCIATION DES OFFRES,
 92

D'APPROFONDIR L'AXE "COUTS ET DELAIS" ET LEURS DECISIONS EN PRENANT EN COMPTE

DE NE PAS TRAITER, À CE MOMENT LA, L’AXE L'INTERACTION QU'ELLES ENTRETIENNENT
"SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL". AVEC CELLES DES AUTRES INTERVENANTS.
ELLE PREVOIT D'ABORDER CES ASPECTS LORS C'EST SANS DOUTE ICI QUE LA DEMARCHE EST
DE LA PREPARATION DU CHANTIER. LE PLUS FORTEMENT NOVATRICE ET GARANTE
D'UNE NOUVELLE EFFICACITE.
ELLE S'APERCOIT ALORS QUE LA REALISATION
EN EFFET, CHACUN DES ACTEURS PEUT REPOR-
DU BATIMENT PRESENTE CERTAINES DIFFI-
TER SUR LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE
CULTES ET NECESSITE DES EQUIPEMENTS DE
NON SEULEMENT SES PROPRES CHOIX ET SES
SECURITE SPECIFIQUES, QU'ELLE N’A PAS EN
PROPRES DECISIONS, MAIS EGALEMENT CEUX
DISPONIBILITÉ ET DONT ELLE N'AVAIT PAS
DE SES AUTRES PARTENAIRES. CETTE FACULTE
PREVU LE COUT. ELLE S'’APERCOIT AUSSI, EN
PEUT RESULTER SOIT DE LA TENUE D'UN TA-
CONTACTANT LES FOURNISSEURS, QUE L’EXE-
BLEAU DE BORD DE SYNTHESE COMMUN, QUE
CUTION DES COMMANDES ET DES LIVRAISONS
LES DIFFERENTS INTERVENANTS SE FONT
POUR CES EQUIPEMENTS NE POURRONT INTER-
CIRCULER ENTRE EUX ; SOIT, EN L’ABSENCE
VENIR QU'AVEC UN TEMPS DE DEPHASAGE PAR
D'UN TEL DOCUMENT, DE L’INSCRIPTION PAR
RAPPORT AUX BESOINS DU CHANTIER.
CHACUN DES ACTEURS ET SUR SON PROPRE
TABLEAU DE BORD, DES ELEMENTS ET DES
IL S'EN SUIT A L’EXECUTION UNE SERIE DE
DONNEES TIREES DE LA LECTURE DES DIFFE-
RETARDS ET QUE L'EQUIPE DE CHANTIER ES-
RENTES PIECES (GRAPHIQUES, DESCRIPTIVES,
SAIE DE RATTRAPER PAR DES "BRICOLAGES"
QUANTITATIVES OU ESTIMATIVES), DE CA-
DE DERNIERE MINUTE; LES DYSFONCTIONNE-
RACTERE INFORMATIF OÙ CONTRACTUEL,
MENTS S'ENCHAINENT, AGGRAVANT LES PERTES
QU'ILS RECOIVENT DE LEURS PARTENAIRES.
DEMHEMPSRETRLESTCOUTS,..

AINSI UTILISE, LE TABLEAU DE BORD DE

ORSACESYDIFELCULTES ET: CES COUTS'E" IMPRE
SYNTHESE OFFRE D'AUTRES AVANTAGES. IL
VUS" N’ETAIENT, PRECISEMENT, PAS IMPRE-
PERMET A CHACUN :
VISIBLES". ILS AURAIENT PU ETRE EVITES
ST LES QUESTIONS AVAIENT ETE SOULEVEES
- DE CLARIFIER LA REPARTITION DES
SUFFISAMMENT EN AMONT.
TACHES ET LA NATURE DES INTERVEN-
TIONS DES DIFFERENTS ACTEURS;
1.2. UN OUTIL DE SUPERVISION, DE PILO-
TAGE_ET DE CONTROLE, COMMUN A
- D'AUTORISER UNE MEILLEURE GESTION
TOUS _: LA GESTION DES INTERACTIONS
DES INTERACTIONS QU'ILS CONNAISSENT
ENTRE LES ACTEURS
LES UNS AVEC LES AUTRES;

LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE PERMET

- D'AMELIORER LA COORDINATION SUR
AUSST AUX DIFFERENTS ACTEURS D’ENGAGER
 53

L'ENSEMBLE DU PROJET, AUTOUR D’UNE LE SONT PAS ENCORE OÙ QUI NE LE SONT

DEMARCHE PLUS PARTICIPATIVE ET PLUS QU''IMPARFAITEMENT.
ANTICIPATRICE;
EN OUTRE, LA MULTIPLICITE DES INTERVE-
- D'ASSURER UN MEILLEUR CONTROLE DE NANTS ET LA VARIABILITE DE LEUR ROLE NE
CHACUN À LA FOIS SUR L'AMONT ET SUR FACILITENT PAS NON PLUS UN REPERAGE RA-
L'AVAL DE SA PROPRE INTERVENTION; PIDE DE LA REPARTITION DES TACHES QUI
REVIENNENT A CHACUN. LES PARTENAIRES NE
- D’EN TIRER DES CONCLUSIONS POUR SA SONT JAMAIS LES MEMES ET PEUVENT SE VOIR
PROPRE ACTION. ATTRIBUER, SELON LES CAS, DES MISSIONS
PLUS OU MOINS LARGES.
1.2.1. UNE PLUS GRANDE CLARIFICATION
DANS __LA REPARTITION DES TACHES QUE L’ON SONGE A LA MISSION DU CONCEP-
TEUR QUI PEUT SE LIMITER A LA CONCEPTION
IL S’AGIT LA D'UN PREMIER AVANTAGE QUE DU PRODUIT (DESIGN) OU QUI PEUT S’ETEN-
LES ACTEURS DE LA CONSTRUCTION SAVENT EN DRE A DES RESPONSABILITES ELARGIES EN
GENERAL APPRECIER. EN EFFET, UNE QUES- MATIERE DE COORDINATION, DE PILOTAGE ET
TION AUSSI SIMPLE QUE CELLE DE SAVOIR DE CONTROLE DE L’EXECUTION DES TRAVAUX,
QUI FAIT QUOI NE RECOIT PAS TOUJOURS DE QUI PEUT S’ARRETER A L'AVANT-PROJET OÙ
REPONSE EVIDENTE ET FACILE A METTRE EN ALLER JUSQU'AU DOSSIER D'EXECUTION ; QUE
OEUVRE, DANS UN SECTEUR COMME CELUI-CI. L’ON SONGE AUSSI A LA MULTIPLICITE DES
MODES DE PASSATION DES MARCHES DE TRA-
EST-IL BESOIN DE RAPPELER QUE LES PRO- VAUX (EN GRE A GRE, SUR APPEL D'OFFRES
JETS DE CONSTRUCTION SE DEROULENT DANS OUVERT OÙ RESTREINT, EN ADJUDICATION, À
DES CONTEXTES TOUJOURS DIFFERENTS ET PRIX FORFAITAIRES OÙ SUR BORDEREAUX; EN
FORT PEU REPRODUCTIBLES ? LA DESTINATION ENTREPRISE GENERALE, EN LOTS SEPARES, OU
ET LES OBJECTIFS D'UNE OPERATION NE SONT EN GROUPEMENT D’ENTREPRISES AVEC MANDA-
JAMAIS LES MEMES, NON PLUS QUE SES TAIRE COMMUN, ETC...), IL APPARAIT QUE
CARACTERISTIQUES URBAINES, TECHNIQUES, LES CAS DE FIGURE DES TACHES QUI REVIEN-
ECONOMIQUES OU FINANCIERES. CHACUN DES NENT A CHACUN SONT FORT VARIABLES.
ACTEURS SE TROUVE DONC CONFRONTE, A
CHAQUE FOIS, A UNE SITUATION NOUVELLE. LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE PERMET
IL EST DONC IMPORTANT POUR LUI DE DISPO- DE RECAPITULER LA REPARTITION DE CES
SER D'UN DOCUMENT QUI SOIT UN PEU LA TACHES SUR UN PROJET DONNE ET DANS LE
MEMOIRE DE L'OPERATION ET QUI LUI PER- CONTEXTE SPECIFIQUE D’UNE OPERATION DE-
METTE DE RECAPITULER RAPIDEMENT L'ETAT FINIE.
D'AVANCEMENT DU PROJET, LA NATURE DES
QUESTIONS DEJA TRAITEES ET CELLES QUI NE
1.2.2. UNE MEILLEURE GESTION DES INTER- POURTANT, LA GESTION DES INTERACTIONS
ACTIONS ENTRE LES ACTEURS S'AVERE D'AUTANT PLUS IMPORTANTE QUE LES
PROJETS * SE FONT ‘PLUS: COMPLEXESMEMMOLES
MAIS IL AUTORISE SURTOUT UNE MEILLEURE EXIGENCES PLUS FORTES, EN PARTICULIER EN
GESTION DES INTERACTIONS ENTRE LES DIF- MATIERE DE MAITRISE DES COUTS, DES DE-
FERENTS ACTEURS. OR, CETTE INTERACTION, LAIS OÙ DE LA QUALITE.
IL FAUT BIEN LE RECONNAÎTRE, EST RARE-
MENT PRISE EN COMPTE DANS LES TEXTES OU LA COMPLEXITE DES PROJETS DE CONSTRUC-
DANS LA PRATIQUE. CHACUN S’EMPLOIE TION SUPPOSE L'INTERVENTION DE MULTIPLES
DAVANTAGE A DELIMITER ET A PROTEGER SES SPECIALISTES : AINSI LA CONCEPTION VOIT
FRONTIERES PLUTOT QU'A GERER LES ESPACES GENERALEMENT INTERVENIR AUX COTES DE
COMMUNS OU LES ESPACES DE RECOUPEMENT L'UARCHITECTE" . DES "EXPERTS! 1. SPECTARMISES
ENTRE LES TACHES DES UNS ET DES AUTRES DANS DES DOMAINES AUSSI DIVERS QUE LES
(FIG) . TECHNIQUES DU BATIMENT, LE CALCUL DES

PROGRAMMATION

METHODES

NET 1 INTERLOCUTEUR
ue... 2 INTERLOCUTEURS
| 3 INTERLOCUTEURS
4 INTERLOCUTEURS

PIGSUSE GUIDE DE CONDUITE SOCIO-TECHNIQUE DU PROJET

LE CONCEPT DE CONSTRUCTIBILITE ET LES RELATIONS INTERACTIVES - FIABILITE
GLOBALE DE L'INTEGRATION ELARGIE
 55

STRUCTURES, LA CLIMATIQUE OU L'ACOUSTI- BILLER. CETTE SITUATION APPARAIT AUSSI

QUE, LES FLUIDES, L'ECONOMIE DE LA CONS- MALSAINE QU'ABSURDE ET LA QUALITE GENE-
TRUCTION, LE METRE ET L'EVALUATION DES RALEMENT EN PATIT. ELLE DENOTE, DANS
COUTS, SANS PARLER DES URBANISTES OÙ DES TOUS LES CAS, L'AMELIORATION QUE POUR-
PAYSAGISTES. LA QUALITE D'UN PROJET OÙ RAIT APPORTER UN AJUSTEMENT PLUS PRE-
D'UN AVANT-PROJET PECHE RAREMENT PAR LE COCE. LA SOLUTION N’EST CERTES PAS SIM-
MANQUE DE COMPETENCES DE CES SPECIALIS- PRES: CUELLELBPEUIRRECOUVRIRIDES KFORMES
TES MAIS PLUS SOUVENT PAR LE MANQUE VARIEES.
D’INTERACTION, DE COORDINATION ET DE
SYNTHESE ENTRE LA MULTITUDE DES ETUDES CE PREMIER EXEMPLE MONTRE QU'A UNE ETAPE
REALISEES. DONNEE, ICI LA CONCEPTION, CERTAINES
PARTIES DES MISSIONS DES CONCEPTEURS, EN
ENCORE CET EXEMPLE NE FAIT-IL REFERENCE L'OCCURRENCE L'ESTIMATION DES COUTS,
QU'A L'EQUIPE DU CONCEPTEUR. LA GESTION SUPPOSE UNE INTERACTION PLUS FORTE ENTRE
DES INTERACTIONS INTERESSE AUSSI DE PLUS CONCEPTION DU PRODUIT ET CONCEPTION DE
EN PLUS DIRECTEMENT LES RELATIONS ENTRE SA REALISATION ; CETTE NECESSAIRE INTER-
LES DIFFERENTS ACTEURS, SOIT A UNE ETAPE ACTION PEUT SUPPOSER DES FORMES DE
DONNEE DU PROJET (INTERACTION DE TYPE CONSULTATION, DES PRISES DE CONSEIL
"HORIZONTAL") SOIT DANS L’ENCHAINEMENT AUPRES D’ACTEURS QUI NE FASSENT PAS PAR-
DES PHASES (INTERACTION DE TYPE "VERTI- TIE PRECISEMENT DE L'EQUIPE DE CONCEP-
CAL"). TION. ON SAIT QUE DE TELLES PARTICIPA-
TIONS SONT POSSIBLES DANS LE CAS DE FOR-
DEUX EXEMPLES PERMETTENT D’ILLUSTRER
LES MULES TYPE "EQUIPE DE PROJET", QUI PEUT
CONSEQUENCES QUI PEUVENT RESULTER D'UN ASSOCIER DIFFERENTS ACTEURS AUTOUR DE
MANQUE D’INTERACTION À CES DEUX NIVEAUX. CONTRIBUTIONS DEFINIES ET SURTOUT
D'INTERACTIONS PERMANENTES.
LE PREMIER CORRESPOND À UNE SITUATION
FREQUEMMENT RENCONTREE DANS LA REALITE :
A SAVOIR LE DECALAGE QUI S'OPERE ENTRE MAIS LA NECESSITE DE L'INTERACTION APPA-
L'ESTIMATION DES COUTS DU BATIMENT OPERE RAIT TOUT AUSSI IMPORTANTE DANS L'’EN-
PAR LE CONCEPTEUR ET LE NIVEAU DES OF- CHAINEMENT DES PHASES. L'EXEMPLE PEUT
FRES DES ENTREPRISES. LES AJUSTEMENTS ETRE EMPRUNTE ICI A UNE AUTRE SITUATION
QUI TENTENT DE S'OPERER PAR LA SUITE NE QUI SE PRODUIT ELLE AUSSI FREQUEMMENT
PEUVENT DEBOUCHER QUE SUR UN CLIMAT DANSEHPUASR EAL THEN ERMEEMDECALAGE ET LES
CONFLICTUEL, L'’ARCHITECTE S'’ATTACHANT A DYSFONCTIONNEMENTS ENTRE LES ORGANISA-
DEFENDRE LA QUALITE DE SON PROJET ALORS TEURS ET LES EXECUTANTS. LES PREMIERS
QUE L'ENTREPRISE, EN FAISANT VALOIR LA ONT EN CHARGE LA DEFINITION DES METHODES
LOGIQUE DES COUTS, NE CESSE DE LE DESHA- ET DES MODES OPERATOIRES, LA PLANIFICA-
 56

TION DES TACHES ET DES MOYENS, L'ALLO- DE TYPE "HORIZONTAL".

CATION DES TEMPS. OR, ILS RAISONNEMENT
BIEN SOUVENT SANS INTEGRER VERITABLEMENT EN FAISANT FIGURER LES DIFFERENTS PHASES
LES CONTRAINTES DU CHANTIER OU LES DIF- DE DEROULEMENT D'UN PROJET, LE TABLEAU
FICULTES PROPRES AU TRAVAIL SUR LE SITE. DE BORD DE SYNTHESE RAPPELLE EGALEMENT A
UNE MAUVAISE INTEGRATION DE CES CHACUN QUE LES DECISIONS QU’IL PREND A
CONTRAINTES NE PEUT QUE DEBOUCHER SUR UN UN MOMENT DONNE, D’UNE PART SONT TRIBU-
DERAPAGE DU PLANNING, QUI ENTRAINENT TAIRES DES DECISIONS D’AUTRES ACTEURS
SOUVENT D’AUTRES FORMES DE DESORGANISA- INTERVENUES PLUS AMONT, ET DOIVENT,
TION SUR LE TERRAIN : AINSI UNE TACHE D'AUTRE PART, "SUBIR L'’EPREUVE" DES
DONT LE TEMPS À ETE MAL APPRECIE PEUT SEQUENCES SUIVANTES, EN PARTICULIER DE
RETARDER L'INTERVENTION D'UN AUTRE CORPS CELLES QUI SONT ASSUMEES PAR D’AUTRES
D'ETAT, LEQUEL A SON TOUR A DES REPER- ACTEURS.
CUSSIONS SUR LES DATES DE REALISATION
D'UN AUTRE LOT. TOUS LES RESPONSABLES DE LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE L’INCITE
CHANTIER LE SAVENT : LES RETARDS A UN DONC A PREVOIR LES CONDITIONS ET LES
ENDROIT ONT DES CONSEQUENCES EN CHAINE FORMES D'AJUSTEMENT NECESSAIRES POUR GA-
ET UNE DESORGANISATION EN UN TEMPS ET UN RANTIR LES DECISIONS PROPRES DE CHAQUE
LIEU CIRCONSCRITS A L'ORIGINE S'’AC- ACTEUR. IL PEUT SE REVELER ICI COMME UN
COMPAGNE EN GENERAL D'UN EFFET "BOULE DE EXCELLENT OUTIL DE GESTION DES INTER-
NEIGE" QUI DEVIENT DES LORS PLUS DIFFI- ACTIONS DE TYPE "VERTICAL".
CILEMENT MAITRISABLE.
1.2.3. L'’AMELIORATION DE LA COORDINATION
CE GENRE DE SITUATION MONTRE L'’IMPORTAN- SUR L'ENSEMBLE DU PROJET
CE DES CONSEQUENCES QUE PEUT AVOIR UN
MANQUE D’INTERACTION ET D’AJUSTEMENT LA PRISE EN COMPTE DES DIFFERENTS TYPES
ENTRE LES DEUX PHASES DISTINCTES QUE
SONT LA PREPARATION ET L'’EXECUTION. D'INTERACTION QUI SE NOUENT TOUT AU LONG
DU DEROULEMENT DU PROJET, A LAQUELLE
EN ATTIRANT L’ATTENTION, A CHACUNE DES INVITE LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE,
ETAPES DU PROJET, SUR L’INTERACTIVITE LE DESIGNE EGALEMENT COMME UN SUPPORT
ENTRE LES DIFFERENTS PARAMETRES D'’ENRI- UTILE A L'AMELIORATION DE LA COORDINA-
CHISSEMENT (LE SCHEMA D’AXES QUI SE TION.
CROISENT), LE TABLEAU DE BORD DE SYN-
THESE PEUT APPARAITRE COMME UN EXCELLENT CETTE AMELIORATION NE VA PAS SANS LE
OUTIL DE SENSIBILISATION A LA PRISE EN DEVELOPPEMENT PARALLELE D'UNE DEMARCHE
COMPTE ET A LA GESTION DES INTERACTIONS ANTICIPATRICE ET PARTICIPATIVE.
 977

LA VISION D’ENSEMBLE QU'IL LIVRE AUX ENFIN, UNE ENTREPRISE GENERALE PEUT EGA-
DIFFERENTS ACTEURS PEUT CONDUIRE CHACUN LEMENT TROUVER SON COMPTE EN FAISANT
À "ANTICIPER" SUR LE DEROULEMENT DU PRO- PARTICIPER LES CORPS D'ETAT AUX PHASES
CESSUS -ET A PREVOIR, DES LE MOMENT DE D'ETUDES PREPARATOIRES.
SON INTERVENTION, LES MOYENS DE SE PRE-
MUNIR CONTRE LE RISQUE D’UNE REMISE EN AINSI, TOUTE LA CHAINE DES INTERVENTIONS
CAUSE, PAR LA SUITE, DES CHOIX ARRETES. PEUT-ELLE ETRE MIEUX COORDONNEE PAR UNE
ARTICULATION PLUS ETROITE AVEC LA PHASE
ELLE PEUT LE CONDUIRE, PARALLELEMENT - PRECEDENTE.
LA ENCORE POUR SE PREMUNIR DU RISQUE - A
DEVELOPPER UNE DEMARCHE PLUS PARTICIPA- CETTE ARTICULATION NE VISE PAS A REMET-
TIVE ENTRE LES ACTEURS QUI INTERVIENNENT TRE EN CAUSE LA REPARTITION JURIDIQUE
À L'AMONT ET CEUX QUI INTERVIENNENT A DES RESPONSABILITES. MAIS ELLE EVOQUE LA
L'AVAL. AINSI, PAR EXEMPLE, UN MAÏÎTRE DISTINCTION ENTRE LES LIGNES OPERATION-
D'OUVRAGE PEUT TROUVER INTERET À DEVE- NELLES QUI ONT LA CHARGE DE LA DECISION
LOPPER DES ECHANGES INTERACTIFS AVEC LES ET LES LIGNES FONCTIONNELLES QUI NE
CONCEPTEURS LORS DE L'ETABLISSEMENT DU PROCURENT QU'UN AVIS, QU'UN CONSEIL
PROGRAMME ET ENGAGER AUTOUR DE L’'ESQUIS- PERMETTANT D’ECLAIRER LES DECISIONS. ON
SE UN DIALOGUE LUI PERMETTANT, D’UNE CONCOIT ALORS QUE CHACUN DES ACTEURS,
PART, DE MIEUX AFFINER SON PROGRAMME, TRADITIONNELLEMENT DEFINI PAR SES MIS-
D'AUTRE PART, DE MIEUX FAIRE PASSER SES SIONS OPERATIONNELLES, PUISSE DANS LA
OBJECTIFS AUPRES DES CONCEPTEURS. REALITE ASSUMER TOUR A TOUR DES RESPON-
SABILITES DE NATURE "OPERATIONNELLE" OU
DE LA MEME FACON, LES CONCEPTEURS PEU- DE NATURE "FONCTIONNELLE", SELON LES
VENT TROUVER DANS LA CONSULTATION ET LA PHASES DE DEROULEMENT D'UN PROJET ET
PARTICIPATION DES ENTREPRISES AU STADE SELON QU'ILS Y INTERVIENNENT POUR DECI-
DE L'AVANT-PROJET, UN MOYEN DE FIABILI- DER OÙ POUR CONSEILLER.
SER LE PARTI-PRIS ARCHITECTURAL EN S'AS-
SURANT DE SON ESTIMATION ECONOMIQUE 1.2.4. UN MEILLEUR CONTROLE DE CHACUN
AUPRES DE CEUX QUI DEVRONT LE REALISER. SUR L'AMONT ET SUR L'AVAL

LES ORGANISATEURS PEUVENT EGALEMENT

TROUVER AVANTAGE A CONSULTER LES RESPON- C'EST EN ATTIRANT L’ATTENTION SUR CES
SABLES DE L'’EXECUTION SUR LA BASE D'UNE MULTIPLES INTERDEPENDANCES QUE LE
SERIE DE PROPOSITIONS POUR DEFINIR LES TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE PEUT SERVIR
CHOIX LES PLUS ADAPTES AU CONTEXTE DU D'OUTIL DE PILOTAGE ET DE CONTROLE COM-
CHANTIER. MUN A TOUS.
 58

AINSI, PAR EXEMPLE, UN MAITRE D'OUVRAGE, D'ENSEMBLE INTERESSE TOUT PARTICULIERE-

APRES AVOIR DEFINI SES OBJECTIFS EN MENT LE MAITRE D'OUVRAGE. IL N'EN
PHASE DE PROGRAMMATION, PEUT SOULIGNER CONCERNE PAS MOINS AUSSI LE CONCEPTEUR,
SUR LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE LES LES ORGANISATEURS OÙ LES ENTREPRISES.
DIFFÉRENTS MOMENTS OÙ LE PROJET DEVRA
ÊTRE ENRICHI SUR TEL OU TEL PARAMETRE. LES. :UNS: ETLE SaAUTRESa SONT; rENas ESERIE
DIRECTEMENT CONCERNES A LA FOIS PAR LES
CET EXERCICE LUI PERMET A L'INSTANT T, DECISIONS PRISES EN AMONT, QUI CONTRI-
DE REPERER A LA FOIS LES OBJECTIFS ET BUENT A DETERMINER LEURS PROPRES CONDI-
LES MOMENTS-CLES OU LEUR TRAITEMENT SE TIONS D’INTERVENTION ; ET PAR LES DECI-
SITUE DANS LE DEROULEMENT DU PROJET ; LE SIONS QUI SERONT PRISES EN AVAL, DANS LA
MAITRE D'OUVRAGE PEUT ALORS REFLECHIR A MESURE OU ELLES PEUVENT CONTRIBUER SOIT
LA FOIS AUX MEILLEURS MOYENS DE FAIRE À FIABILISER SOIT A REMETTRE EN CAUSE
PASSER CES INFORMATIONS AUPRES DES AC- LES CHOIX QU'ILS ONT EUX-MEMES ARRETES.
TEURS INTERESSES ET CELA SUFFISAMMENT
TOT POUR QU'ILS PUISSENT L'’INTEGRER DANS AINSI, PAR EXEMPLE, UNE ENTREPRISE RETE-
LEURS MISSIONS, ET A LA FOIS AUX DISPO- NUE POUR L'EXECUTION DU MARCHE DE TRA-
SITIFS DE CONTROLE DONT IL PEUT SE DOTER VAUX, SE TROUVE DIRECTEMENT CONCERNEE
POUR S’ASSURER QUE TELLE OÙ TELLE QUES- PAR LES DECISIONS PRISES AU NIVEAU DE LA
TION A BIEN ETE TRAITEE AU MOMENT CONCEPTION. AVANT D’ARRETER SES PROPRES
VOULU. CHOIX 22 EL LEgr PEUT, VERIFIER; QUELSSPAXES
D'ENRICHISSEMENT ONT DEJA ETE PRIS EN
LE DOCUMENT AINSI "TRAVAILLE" LUI SERVI- COMPTE ET LA MANIERE DONT ILS ONT ETE
RA VERITABLEMENT DE "TABLEAU DE BORD", TRAITES:1w ELLE, PEUT, À: PARTIR:MDEMERS
TOUT AU LONG DU DEROULEMENT DU PROJET, CONSIDERER COMME ACQUIS CERTAINS PARAME-
EN LUI RAPPELANT QUAND ET COMMENT INTER- TRES ET EN DEVELOPPER D’AUTRES ELLE
VENIR. LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE S'APERCEVRA, PAR EXEMPLE, QUE LE CONCEP-
LUI PERMET, EN EFFET, ALORS DE SUPERVI- TEUR À PARTICULIEREMENT TRAVAILLE LES
SER L'ENSEMBLE DU DEROULEMENT DU PROJET, AXES "QUALITE DU PRODUIT-BESOIN DES UTI-
AVEC L'INDICATION DES MOMENTS LES PLUS LISATEURS", MAIS N’A INTEGRE QUE TRES
PROPICES POUR L'INTEGRATION DES PARAME- PARTIELLEMENT L’AXE "SECURITE-CONDITIONS
TRES D'ENRICHISSEMENT, ET LUI PERMET DE TRAVAIL". PAR EXEMPLE, UN DETAIL AR-
EGALEMENT DE VERIFIER QU'AUCUN D'EUX, IN CHITECTURAL CONFERANT UNE FORTE QUALITE
FINE, NE SERA OUBLIE. ESTHETIQUE AU PROJET PEUT S'AVERER, DANS
LE MEME TEMPS, D'’EXECUTION TRES DIFFI-
ON IMAGINE FORT BIEN QUE LE DOCUMENT CILE, S'’OPERANT DANS DES CONDITIONS RIS-
AINSI CONCU, AUTOUR D’UNE SUPERVISION QUEES. L'ENTREPRISE PEUT ALORS DEMANDER
 59

AUX CONCEPTEURS DE REVOIR TEL OÙ TEL 1.2.5. TIRER DES CONCLUSIONS POUR
ASPECT POUR INTEGRER CETTE CONTRAINTE OU L'INTERVENTION DE CHACUN
D'EN TENIR COMPTE AU NIVEAU DU SURCOUT
QUE EONIEPDTFFICULTE REPRESENTE. CETTE SECONDE LECTURE DU TABLEAU DE BORD
L'ENTREPRISE PEUT ATTIRER L'ATTENTION DE SYNTHESE, TOURNEE VERS LA GESTION DES
DES CONCEPTEURS SUR CES QUESTIONS AVANT INTERACTIONS ENTRE LES ACTEURS, PERMET A
MEME DE DEMARRER SON INTERVENTION (EX. : CHACUN DE MIEUX ORIENTER ENCORE SES
À L'ETAPE DU PROJET, SI ELLE Y EST ASSO- DECISIONS.
CIEE, OÙ LORS DE LA NEGOCIATION DES
OFFRES). CHAQUE UTILISATEUR PART DE SA PROPRE
POSITION, DE SA PROPRE LOGIQUE ET DE
IMAGINONS LA SITUATION INVERSE OÙ UN SES PROPRES CONTRAINTES POUR SITUER SES
CONCEPTEUR A CHERCHE A INTEGRER L'AXE INTERVENTIONS DANS LA DEMARCHE D’ENRI-
"SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL" DANS CHISSEMENT.
SON TRAVAIL DE CONCEPTION ET SOUHAITE NE
PAS LE VOIR REMETTRE EN CAUSE PAR ELLE SE JUSTIFIE A DE NOMBREUX EGARDS :
L'ENTREPRISE. RIEN NE L'EMPECHE ALORS
D’INSERER UNE CLAUSE PARTICULIERE DANS - EN S'APPUYANT SUR L'’INTERET DE
LE CAHIER DES CHARGES ET DE DEMANDER A CHACUN, ELLE REPOND A UNE DEMARCHE
L'ENTREPRISE, LORS DE LA NEGOCIATION DES PRATIQUE QUI S’AVERE PLUS EFFICACE
OFFRES, D'’EXPOSER LES SOLUTIONS QU'ELLE QU'UNE DEMARCHE VOLONTARISTE. EN
À RETENUES ET LES MOYENS QU'ELLE COMPTE PARTICULIER LA MISE EN EVIDENCE DES
MOBILISER POUR REPONDRE A CET OBJECTIF. ENJEUX ECONOMIQUES QUE REPRESENTENT
LES CONDITIONS DE TRAVAIL ET A LA
ON S’APERCOIT QUE DANS UN CAS - CELUI OU SECURITE ESTSSUSCEPTIBLENDE" DEBOU:
LES CONCEPTEURS DEMANDENT A L'ENTREPRISE CHER SUR DES RESULTATS PLUS SOLIDES
DE PRECISER SES METHODES ET SES MOYENS - QUE L'’INVOCATION DE MOTIFS HUMANI-
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE PEUT SER- TAIRES.
VIR D'OUTIL DE CONTROLE SUR L'AVAL ; ET
- LA DIVERSITE DES LOGIQUES APPARAIT
DANS D'AUTRE - CELUI OÙ L'ENTREPRISE
COMME UN FACTEUR POSITIF AU REGARD
DEMANDE AUX CONCEPTEURS DE RENDRE EN
DE LA DEMARCHE D’ENRICHISSEMENT
COMPTE LES CONTRAINTES RESULTANT POUR
CHACUN, DU FAIT DE LA SENSIBILITE
ELLE DE LEURS CHOIX - LE MEME DOCUMENT
PROPRE INHERENTE A SA FONCTION, SERA
PEUT SERVIR D'OUTIL DE CONTROLE PREALA-
DAVANTAGE PORTE VERS TEL OÙ TEL AXE
BLE SUR L'’AMONT.
ET VEILLERA A LE GARANTIR, A LE FIA-
BILLSER CETONANCLENDERENDRENMDSUNE
 60

MANIERE QUI PEUT ETRE LARGEMENT PRO- - LE GUIDE DE CONDUITE DE PROJET -

FITABLE A LA QUALITE D’ENSEMBLE DU EN L'OCCURRENCE LE TABLEAU DE BORD
PROJET. LE TABLEAU DE BORD DE SYN- DE SYNTHESE - ENTEND DEVELOPPER
THESE, EN INVITANT TOUTES CES LOGI- CETTE RESPONSABILISATION JUSQU’AU
QUES A S'’EXPRIMER JUSQU'AU BOUT, BOUT : SA DEMARCHE NE CONSISTE
PEUT FAIRE JOUER PRECISEMENT A LEUR SURTOUT PAS A PREDEFINIR UNE SOLU-
DIVERSITE LE ROLE DE "GARDE-FOUS”", J TON: ELLES MISE DAVANTAGE A
EN MEME TEMPS QU'ELLE MOBILISE ET CONDUIRE LES DIFFERENTS ACTEURS A
RESPONSABILISE PLUS PLEINEMENT LES DEGAGER D'’EUX-MEMES LES SOLUTIONS,
ACTEURS. EN RETENANT CELLE QUI LEUR PARAIT LA
PLUS ADAPTEE AU CONTEXTE DU PROJET
ET LA PLUS PROPICE A GARANTIR L'’EF-
FICACITE DE LEUR INTERVENTION.
 61

1.3. LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE

1.3.1. FICHES DE FONCTIONS PAR SEQUENCES DE REALISATION DE PROJET

A. PROGRAMMATION

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS

MAITRISE 1 ) DESIGNER UN ACTEUR POUR ASSURER DELAIS, BUDGET ET

D'OUVRAGE LA FONCTION DE GESTION DU PROJET ECHEANCES
(CLIENT) |
2) CHOISIR LES INTERVENANTS, LES . RISQUES LIES À LA
CONCEPTEURS, LES BUREAUX D’ETUDES, CONTRAINTE TEMPS
DES EXPERTS, ...
. RISQUES LIES AUX
FIXER DES ECHEANCES ET LA LIGNE CONTRAINTES ARCHITECTU-
BUDGETAIRE DE L'OPERATION RALES (A LA REALISATION
ET A L'USAGE)
DETERMINER L’(ES) OBJECTIF(S) DU
PROJET . RISQUES LIES AUX
CONTRAINTES FINANCIERES
IDENTIFIER
ET EVALUER DES SITUA-
TIONS DE REFERENCE

FAIRE PRENDRE EN COMPTE PAR LE

GESTIONNAIRE DE PROJET DES EXT-
GENCES DES CONSTRUCTEURS ET DES
UTILISATEURS FUTURS EN INTEGRANT
LES CONTRAINTES DE REALISATION,
D'UTILISATION, DE MAINTENANCE ET
DE TRANSFORMATIONS EVENTUELLES DE
L'OUVRAGE

CERNER LES ZONES D’INCERTITUDES

ET LES MOMENTS OU ELLES DEVRONT
ETRES ECLAIRCIES

HATFIELD POLYTECHNIC LIBRARY

P.0. BOX 110, HATFIELD Ai10 SAD
 62

GESTION - ASSISTER LE MAITRE D'OUVRAGE DELAIS, BUDGET, ECHEANCES,

DU PROJET COMMUNICATION, CO-ACTIVI-
A) EN PREPARANT : TES, QUALITE DE PRODUIT
. UN PROJET D'ORGANISATION DES
DIFFERENTES SEQUENCES . RISQUES LIES A DES DEPAS-
SEMENTS DE DELAIS ET
. UN PREPLANNING FINANCIER D'ENGAGEMENTS FINANCIERS
- POUR LES ETUDES
- POUR LES TRAVAUX . RISQUES LIES A LA MAUVAT-
SE CIRCULATION DES IN-
FORMATIONS
+ UNE PLANNIFICATION A LONG
TERME INCLUANT LES PERSPECTI- . RISQUES LIES AUX CO-ACTI-
VES D’IMPACT D'UTILISATION DE VITES DIVERSES (DOUBLE
DE L'OUVRAGE EMPLOI)

B) EN PRECISANT LES OBJECTIFS ET . RISQUES LIES A UNE MAU-

LES CONTRAINTES DU MAITRE VAISE DEFINITION ET RE-
D'OUVRAGE EN TERME : PARTITION DES TACHES
QUALITE-SECURITE)
. DE CONCEPTION ARCHITECTURALE
. DE DELAIS D'EXECUTION . RISQUES LIES A UNE INADE-
. DE BESOINS DU CLIENT OU DES QUATION ENTRE LE PRODUIT
CLIENTS POTENTIELS ESCOMPTE ET LE PRODUIT
LIVRE

C) EN FAISANT VALIDER PAR LE

MAITRE D'OUVRAGE CES DIFFE-
RENTS PARAMETRES

4) EN S'ASSURANT

. QUE LES RISQUES POTENRIERS

QUI SE PRESENTERONT LORS DU
DEROULEMENT DU PROJET SOIENT
MAITRISES

. DE LA FIABILITE DU PROCESSUS
ENVISAGE (COMPETENCE DES
INTERVENANTS)
 63

CONCEP- 1) TRADUIRE ET PRECISER LES BESOINS DELAIS, BUDGET, ECHEANCES,

TIONS DU CLIENT CONDITIONS DE TRAVAIL ET
ETUDES QUALITE DES PRODUITS MIS
ETABLIR LES PERFORMANCES AUXQUEL- EN OEUVRE
LES DOIT REPONDRE L'OUVRAGE
. RISQUES LIES A DE MAU-
PREPARER UN DEVIS ESTIMATIF : VAIS CHOIX ARCHITECTU-
RAUX :
EN FONCTION DES DEMANDES DU
CLIENT - CONCEPTION DE L’OU-
EN FONCTION DE L'ENVIRONNEMENT VRAGE
PROBABLE DU PROJET . REALISATION
EN FONCTION DES REGLES EN VI- . USAGE
GUEUR . MAINTENANCE
EN FONCTION DU PROFIL DE LA
MAIN-D'OEUVRE - CHOIX DES PROCEDES DE
EN FONCTION DES POSSIBILITES DE CONSTRUCTION, DES MATE-
FORMATION ACCELEREE DISPENSEES RIAUX ET MATERIELS QUI
PAR LES POUVOIRS PUBLICS SERONT MIS EN OEUVRE

PREPARER ET EVALUER DES SOLUTIONS

ALTERNATIVES
 64

B. AVANT PROJET / PROJET

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS

MAITRISE PRENDRE LA DECISION FINALE POUR EA QUALITE, PRODUCTIVITE, SE-

D'OUVRAGE LOCALISATION ET L'ACHAT DU SITE CURITE LORS DE L'EXECUTION
ET DE L'USAGE DE L'OUVRAGE
S'ASSURER DE LA DISPONIBILITE DU
BUDGET RISQUES LIES' A: DESSCRhOMx
TECHNIQUES CONDUISANT A
EXAMINER ET APPROUVER LE PROJET UNE MISE EN OEUVRE DIFFI-
TECHNIQUE SOUMIS PAR LE CONCEPTEUR CILEDU PROJET

VERIFIER SI SES OBJECTIFS ONT ETE

PRIS EN COMPTE (CONDITIONS DE REA-
LISATION D'EXPLOITATION ET DE
MAINTENANCE)

GESTION ELABORER UN PROGRAMME DE TRAVAIL DELAIS, BUDGET, ECHEANCES

DU PROJET ET UN ECHEANCIER PRECIS POUR LA QUALITE, PRODUCTIVITÉ,
CONCRETISATION DU PROJET SECURITE, COMMUNICATION
ENTRE LES INTERVENANTS
S'ASSURER DU BON DEROULEMENT DE LORS DU PROCESSUS DECI-
L'AVANCEMENT DU PROJET ET COORDON- SIONNELS
NER LES REVISIONS DE CONCEPTION ET
D'ETUDES . RISQUES LIES A DE MAU-
VAIS CHOIX ORGANISA-
3) INFORMER LE MAITRE D'OUVRAGE DU TIONNELS
DEROULEMENT DES TRAVAUX ET SOUMET-
TRE A SON APPROBATION LES DECI-
SIONS ET LES CHOIX RETENUS

ES — REPERCUTER CHEZALECS)ACONCEP-
TEUR(S) LES DESIDERATA DU CLIENT
 65

CONTROLER LES DEPENSES ET LES

LIGNES BUDGETAIRES ENVISAGEES

PREPARER L'ORGANISATION DE LA
REALISATION DU PROJET : QUALITE,
PRODUCTIVITE, CONDITIONS DE
TRAVAIL

PRECISER LES PHASES CRITIQUES

POUR LESQUELLES TOUT DEPASSEMENT
DE DELAIS ET DE BUDGET RISQUE DE
COMPROMETTRE L'AVANCEMENT DU
PROJET

CONCEP- REALISER LES ETUDES D'IMPACT DU DELAIS, BUDGET, ECHEANCES,

TION ET PROJET SUR L'ENVIRONNEMENT QUALITE DU PRODUIT REALISE,
ETUDES SECURITE ET SANTE SUR LE
CONSULTER LES UTILISATEURS ET LES CHANTIER ET LORS DE L’EX-
RIVERAINS PLOITATION DE L'OUVRAGE

FINALISER LE PROJET AU REGARD DES

CONTRAINTES IMPOSEES PAR LA REALI-
SATION ET L'UTILISATION DE
L'OUVRAGE

VEILLER A FINALISER LES ETUDES

TECHNIQUES

ETABLIR DES DEVIS DETAILLES

VERIFIER LA PERTINENCE DES MESU-

RESAPRTSESSe
. POUR L'ORGANISATION DES PHASES
DE TRAVAIL DES ENTREPRISES

. POUR LA PROTECTION DES TRAVAIL-

LEURS SUR LE CHANTIER
- LORS DE LA CONCEPTION ARCHI-
TECTURALE
 66

- LORS DU CHOIX DES MATERIAUX,

PRODUITS ET SUBSTANCES A MET-
TRE EN OEUVRE
- LORS DES CHOIX ORGANISATION-
NELS EVENTUELS EN MATIERE
DE
DEROULEMENT DES TRAVAUX ET DU
POSTE DE TRAVAIL

. POUR L'ORGANISATION MATERIELLE

DE LA SECURITE SUR LE CHANTIER

7) PREVOIR LES STRUCTURES DE CONCER-

TATION ENTRE LES ENTREPRISES SUR
LE CHANTIER

8) VERIFIER SI LES CARACTERISTIQUES

DU PROJET ARCHITECTURAL PREVIEN-
NENT LES RISQUES POUR LA SECURITE
ET LA SANTE

. LORS DES TRAVAUX DE MAINTENANCE

ET D'ENTRETIEN
. LORS DES TRAVAUX EXCEPTIONNELS
PREVISIBLES LORS DE LA VIE DE
L'OUVRAGE
 67

C. NEGOCIATION DES OFFRES

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS

MAITRISE 1) VERIFIER SI LES CONTRAINTES DE SE- LES CONDITIONS DE TRAVAIL,

D'OUVRAGE CURITE ET DE SANTE ONT ETE INTE- LA SECURITE ET LA SANTE
GREES AUX DISPOSITIFS CONTRACTUELS
RISQUES D’ACCIDENTS DE TRA-
[RS]— SIGNER LES DOCUMENTS CONTRACTUELS VAIL LIES A UNE MAUVAISE
AVEC LES ENTREPRISES REALISATRICES PREPARATION DU PROJET

GESTION FAIRE PREPARER ET VERIFIER LES CONTROLE BUDGETAIRE, RES-

DE PROJET DOCUMENTS D'APPEL D'OFFRES PECT DES DELAIS ET DES
ET/OU DE CONDITIONS DE TRAVAIL SUR
OBTENIR LES DEVIS DES ENTREPRISES
| CHANTIER LE CHANTIER
ET DES FOURNISSEURS ET VERIFIER
LEUR ENGAGEMENT A RESPECTER LES
MESURES DE PREVENTION PREVUES

ASSISTER SI NECESSAIRE LE MAITRE

D'OUVRAGE LORS DU PROCESSUS DE
DESIGNATION DES ENTREPRISES

DEFINIR UN DELAI DE PREPARATION

DE CHANTIER SUFFISANT

PREVOIR LES STRUCTURES DE CONCER-

TATION ADEQUATES

ASSURER OÙ FAIRE ASSURER LA COOR-

DINATION DES ENTREPRISES

VEILLER À FAIRE ASSURER LE CONTRO-

LE DES MESURES PRESCRITES

PRENDRE LES MESURES ADEQUATES SI

LA NATURE DES TRAVAUX L'’IMPOSE
 68

| ENTREPRI- REPONDRE AUX CONDITIONS PREVUES CONTROLE BUDGETAIRE, RES-

SES DANS LES APPELS D'OFFRES PECILDESTDELATSHERIEES
CONDITIONS DE TRAVAIL SUR
VERIFIER LESHPOSSTBIETIES DENISE
LE CHANTIER
EN OEUVRE DE CERTAINES SPECIFICA-
TIONS TECHNIQUES

FAIRE VALOIR LORS DE LA NEGOCIA-

TION DES OFFRES LES PROBLEMES
DECELES ET LES BESOINS EN MATIERE
D'EXECUTION,TDENSECURTTE, ETADE
SANTE SUR LE CHANTIER

S'INFORMER DE LA QUALIFICATION DU
PERSONNEL À EMBAUCHER EN FONCTION
DU PROJET ET EN FONCTION DES POS-
SIBILITES DE LA REGION

PROPOSER SI NECESSAIRE DES SOLU-

TIONS ALTERNATIVES EN MATIERE DE :
. METHODES DE TRAVAIL
. BUDGET ET DELAIS
 69

D. PREPARATION DU CHANTIER

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS

GESTION VERIFIER LA VALIDITE DES MESURES DELAIS, BUDGET, ECHEANCES,

DU PRISES SELON L'EVOLUTION DU SITE QUALITE DU PRODUIT REALISE,
CHANTIER SECURITE ET SANTE SUR LE
VEILLER A HARMONISER LES MESURES
DE PREVENTION POUR LA SECURITE ET
LA SANTE PREVUES LORS DE L'’ETUDE
DU PROJET ET/OU PROPOSEES PAR LES
ENTREPRISES

INFORMER LES ENTREPRISES DES CHAN-

GEMENTS EVENTUELS

DETERMINER EN CONCERTATION AVEC

LES ENTREPRISES :
. LES PERSONNES MANDATEES POUR AS-
SURER LA COORDINATION DE LA
SECURITE ET DE LA SANTE SUR LE
CHANTIER
. LES RESEAUX D'INFORMATION POUR
LA PREVENTION DES RISQUES
. LE PROGRAMME D'ACCUEIL ET DE FOR-
MATION DES TRAVAILLEURS
. L'ORGANISATION DE LA SURVEILELAN-
CE DU RESPECT DES MESURES PRES-
CRITES
LES DISPOSITIONS A PRENDRE ET LE
CONTROLE POUR L'UTILISATION DES
MACHINES, ENGINS ET OUTILS
 70

ENTREPRI- S'ASSURER DU CONTROLE ET DU RES- DELAIS, BUDGET, ECHEANCES,

SES PECT DES DELAIS, DES ENGAGEMENTS QUALITE DU PRODUIT REALISE,
FINANCIERS, DE LA QUALITE DES SECURITE ET SANTE SUR LE
TRAVAUX DES SOUS-TRAITANTS ET DES CHANTIER
MESURES DE SECURITE SUR LE
CHANTIER

FAIRE VERIFIER L'APTITUDE PHYSIQUE

DES PERSONNES APPELEES A FAIRE DES
TRAVAUX DANGEREUX

SOUMETTRE A LEUR DEMANDE LE PLAN

DE SECURITE ET DE SANTE ET LES
PLANS PARTICULIERS A L'AVIS DES
TRAVAILLEURS ET/OU DE LEURS
REPRESENTANTS

TRANSMETTRE LES PLANS DE SECURITE

ET DE SANTE AUX TRAVAILLEURS
AFFECTES

CONSULTER LES TRAVAILLEURS LORS DE

MODIFICATIONS APPORTEES AU PLAN DE
SECURITE ET DE SANTE
 TA

E. CHANTIER

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS
GESTION 1) ASSURER LES REUNIONS DE COORDINA- CONTROLE DES REGLES ET ME-
DU PROJET TION INTER-ENTREPRISES SURES DE PREVENTION
ET/OU DU
CHANTIER 2) SURVEILLER L'AVANCEMENT LES TRA-
VAUX ET LE RESPECT DES ENGAGE-
MENTS

CONCEP- 1) CONTROLER LA QUALITE ET LA CONFOR- CONTROLE DES DISPOSITIONS

TION MITE DES TRAVAUX REALISES ET DES MESURES ETABLIES EN
MATIERE DE QUALITE ET
2) REALISER LES ETATS D’AVANCEMENT
L'USAGE DE L’OUVRAGE
DES TRAVAUX

3) ASSURER LES INSPECTIONS DES CHAN-

TIERS ET CONTROLER L'’EXECUTION

4) RECEPTION PARTIELLE DE CERTAINS

TRAVAUX

ENTREPRI- EXECUTION DES TRAVAUX DANS LES DE- REALISATION D'UN PRODUIT
SES LAIS PRESCRITS ET CONFORMES AU PRO- CONFORME AUX BESOINS DU
JET ENVISAGE CLIENT
 de
F. RECEPTION

ACTEURS TACHES A EFFECTUER ENJEUX

ET/OU
FONCTIONS

MAITRE PARTICIPER A L'INSPECTION FINALE COUT, PERFORMANCES DE

D'OUVRAGE L'OUVRAGE ET SECURITE ET
PROCEDER A L'APPROBATION DES TRA-
SANTE LORS DES TRAVAUX DE
VAUX
MAINTENANCE ET D'ENTRETIEN
PREPARER LA FORMATION DU PERSON-
NEL D'ENTRETIEN ET DE MAINTENANCE
LE CAS ECHEANT

LIBERER LES GARANTIES PREVUES

GESTION FATRE=VERTFIERESETOUTES PES USE COUT, PERFORMANCES DE

DU PROJET POSITIONS CONTRACTUELLES ONT ETE L'OUVRAGE ET SECURITE ET
ET/OU DU REMPLIES SANTE LORS DES TRAVAUX DE
CHANTIER MAINTENANCE ET D'ENTRETIEN
PREPARER ET PROCEDER A LA RECEP-
TION DES TRAVAUX

METTRE EN PLACE EVENTUELLEMENT

LES STRUCTURES POUR LA MAINTENAN-
CE ET L'ENTRETIEN DE L'OUVRAGE

4) FAIRE ETABLIR LES DOSSIERS DE

MAINTENANCE, D'ENTRETIEN ET DE
TRANSFORMATION DE L'OUVRAGE

CONCEP- 1) REALISER L'INSPECTION FINALE ET COUT, PERFORMANCES DE

TION FAIRE REALISER LES CORRECTIONS L'OUVRAGE ET SECURITE ET
NECESSATRES SANTE LORS DES TRAVAUX DE
MAINTENANCE ET D'ENTRETIEN
2) ETABLIR OU FAIRE ETABLIR LES DOS-
SIERS COMPLETS DE MAINTENANCE,
D'ENTRETIEN ET DE TRANSFORMATION
DE L’OUVRAGE

ENTREPRI- | PROCEDER A L'ACHEVEMENT COMPLET DES | IMAGE DE MARQUE DE

DES 2e PAS _L'ENTREPRISE
 le

1.3.2. FICHES DE FONCTIONS PAR SEQUENCES LORS DE TRAVAUX DE DEMOLITION, RENOVATION,

REHABILITATION, RESTAURATION OU AMELIORATION

QUELQUES DEFINITIONS

AMELTORATION : TRAVAUX EFFECTUES SUR LES OUVRAGES EXISTANTS QUI, SANS CHANGER
LEUR USAGE, OFFRENT DES PERFORMANCES NOUVELLES ET/OU D'UN
NIVEAU SUPERIEUR POUR L'USAGER.

REHABILITATION : TRAVAUX VISANT A LA FOIS A CONFORTER UN BATIMENT, À LE REMETTRE

EN ETAT ET A LE DOTER DES ELEMENTS DE CONFORT MODERNE (INSTAL-
LATIONS SANITAIRES EN PARTICULIER).

RENOVATION URBAINE : OPERATION CONCERNANT L'ENSEMBLE D'UN QUARTIER QUI IMPLIQUE LA

DEMOLITION ET LA TRANSFORMATION D'IMMEUBLES, LA LIBERATION DU
SOL, LE REMEMBREMENT DE PERCELLES, LA REDISTRIBUTION DES UTILI-
SATIONS DU SOL EN VOIRIE, LOGEMENTS, EQUIPEMENTS ET LA RECONS-
TRUCTION A NEUF.

RESTAURATION : TRAVAUX VISANT A REMETTRE EN ETAT UN BATIMENT (OU UN OUVRAGE)

DANS UN ETAT AUSSI PROCHE QUE POSSIBLE DE CELUI D'ORIGINE, DU
FAIT DE SON INTERET ARCHITECTURAL OU HISTORIQUE.
 74

ACTEURS TACHES A EFFECTUER

ET/OU
FONCTIONS

MAITRISE - DESIGNER UN RESPONSABLE DE LA FONCTION DE GESTION DE PROJET

D'OUVRAGE - DONNER LES INFORMATIONS ET LES MOYENS UTILES POUR LA REALTSATION
DES TRAVAUX EN TOUTE SECURITE

GESTION 1) PROCEDER A LA RECONNAISSANCE DE L'OUVRAGE

DU PROJET 1.1. RENSEIGNEMENTS GENERAUX
CONCEPTION A) LE RELEVE DE L'OUVRAGE
DE L’ETUDE B) LES MODIFICATIONS EN MATIERE DE STRUCTURES ET DE DESCENTES
DE CHARGES SUBIES PAR L'OUVRAGE AU COURS DU TEMPS
C) LES EXPERIENCES VECUES POUR LES OUVRAGES IDENTIQUES
D) LA NATURE ET LES CARACTERISTIQUES DU SITE ET DU TERRAIN

1.2. RENSEIGNEMENTS PARTICULIERS

A) TYPES, NATURE DES SONDAGES ET EXPERTISES A REALISER
B) RELEVE DES FAIBLESSES, DES DEGRADATIONS ET DES ZONES
DE STABILITE CRITIQUE DE L'OUVRAGE
RELEVE DES PUITS, CITERNES ET CANALISATIONS ENTERREES
ET AERTENNES
RACCORDEMENTS DE L'OUVRAGE AUX RESEAUX DE DISTRIBUTIONS
PUBLIQUES (EAU-GAZ-ELECTRICITE-...)
PLAN PRECISANT LES CAPACITES DE PORTANCE REELLES DE
L'OUVRAGE
LES ZONES DE L'OUVRAGE ET DU SITE POUR LESQUELLES IL
EXISTE DES INCERTITUDES RELATIVES AUX POINTS B, C ET E
ET QUI NE POURRONT ETRE LEVEES QUE LORS DU DEROULEMENT
DES TRAVAUX
LES PARTIES DE L'OUVRAGE QUI CONTIENNENT OÙ QUI SONT
CONSTITUEES DE SUBSTANCES, DE PRODUITS OU DE PREPARATIONS
DANGEREUSES (AMIANTE, SILICE, DEPOT DE CARBURANTS, PBC,.)

2) PRENDRE TOUTES LES MESURES MATERIELLES UTILES ET NECESSAIRES

POUR PRESERVER L'OUVRAGE DE TOUTES DEGRADATIONS SUPPLEMENTAIRES
RISQUANT DE COMPROMETTRE LA VALIDITE DES RENSEIGNEMENTS GENERAUX
ET PARTICULIERS RECUEILLIS
 75

3) FAIRE ETABLIR PAR L'ENTREPRISE UN DOCUMENT REPRENANT :

A) LE NOM DE LA PERSONNE COMPETENCE RESPONSABLE DE LA REALISATION
SATION DES TRAVAUX
B) LES MESURES PRISES EN MATIERE DE NUISANCES, SECURITE ET DE
SANTE POUR PROTEGER LES ACCES ET L'ENVIRONNEMENT AU DEBUT
DU CHANTIER
LA SIGNALISATION DU CHANTIER VIS-A-VIS DES RIVERAINS
LA JUSTIFICATION DU CHOIX DE LA METHODE DE TRAVAIL RETENUE
LA METHODE DE TRAVAIL ET L’ETUDE DE LA SECURITE ET DE LA
SANTE AUX POSTES DE TRAVAIL
L'ORGANISATION DES TRAVAUX, LES TECHNIQUES MISES EN OEUVRE
ET LE PLAN DE CIRCULATION ET DE TRAVAIL DES ENGINS SUR LE
CHANTIER
G) LE NOMBRE DES TRAVAILLEURS MAXIMUM QUI SERONT PRESENTS SUR
LE CHANTIER
H) LES MESURES DE PROTECTIONS COLLECTIVES ET INDIVIDUELLES
LORS DE DIFFERENTES PHASES DES TRAVAUX :
- DE RENOVATION, REHABILITATION ET RESTAURATION DE
L'OUVRAGE |
- DE RENFORCEMENT, DEMOLITION, DEMONTAGE, DECOUPAGE ET
DEMANTELEMENT DE L'OUVRAGE
L'EVACUATION DU PERSONNEL ET DES RIVERAINS EN CAS DE DANGER
LES MESURES PRISES POUR L'EVACUATION, LA DESTRUCTION DES PRO-
DUITS, DES SUBSTANCES ET DES PREPARATIONS DANGEREUSES ET
L'EVACUATION DES DECOMBRES ET DES MATERIAUX
LA PREVENTION INCENDIE SUR LE CHANTIER ET LES MESURES PRISES
POUR INTERDIRE DE BRULER DES DECOMBRES SUR LE CHANTIER
UNE DESCRIPTION PRECISE DE L'ETAT FINAL DES TRAVAUX EN MA-
TIERE DE PROTECTIONS COLLECTIVES POUR LA SECURITE DES TRAVAUX
ULTERIEURS

ENTRE- - DESIGNER UNE PERSONNE COMPETENTE POUR LE CONTROLE DE L'EXECUTION

PRISES DES TRAVAUX
- RESPECTER LES MESURES DE SECURITE NECESSAIRES POUR LA REALISATION
DES TRAVAUX
- COORDONNER L'INTERVENTION DES SOUS-TRAITANTS
 76

2. LES TABLEAUX DE BORD DETAILLES - UNE COLONNE LISTANT, FACE A CHACUN

DE CES PARAMETRES, UNE SERIE DE
LES TABLEAUX DE BORD DETAILLES VIENNENT QUESTIONS A RESOUDRE, LES "QUES
EN COMPLEMENT INDISPENSABLE DU TABLEAU TIONS-CLES"';
DE BORD DE SYNTHESE. COMME LEUR NOM
L'INDIQUE, CE SONT EUX QUI DETAILLENT - UNE COLONNE PERMETTANT D'’INDIQUER
L'ENSEMBLE DES PARAMETRES INCLUS DANS LES AUTRES FONCTIONS CONCERNEES PAR
CHACUN DES AXES D’ENRICHISSEMENT ET CELA LE PARAMETRE OU LA QUESTION ;
À TOUTES LES PHASES DE DEROULEMENT DU
PROJET. - UNE COLONNE RESERVEE A L'EXAMEN DES
RISQUES POTENTIELS ET DES PROBLEMES
LES ROLES QU'ILS REMPLISSENT CONFORTENT EVENTUELS QUI SE POSERONT EVENTUEL-
DONC CEUX DU TABLEAU DE BORD DE SYN- LEMENT LORS DES SEQUENCES SUIVANTES.
THESE. MAIS ILS LES DECLINENT DE FACON L'ENUMERATION DE CES SEQUENCES, DE-
ÉLUS PRECISE* SIGNEES PAR LEURS INITIALES, PERMET
DE COCHER LES MOMENTS CRITIQUES;
APRES LA PRESENTATION GENERALE DE CES
DOCUMENTS ET DE LEURS PRINCIPES D’UTILI- UNE COLONNE, CONCUE SELON LE MEME
SATION, IL CONVIENT DE MONTRER LES VA- MODELE QUE LA PRECEDENTE, MAIS SE
RIATIONS QU'ILS CONNAISSENT EN FONCTION RAPPORTANT CETTE FOIS-CI AUX MESU-
DES ACTEURS ET QUI CONCERNENT NON LA RES DE PREVENTION.
DEMARCHE, MAIS LA NATURE DES PARAMETRES
INCLUS DANS LES AXES D’ENRICHISSEMENT. EN PLUS DE L'AIDE A LA DEMARCHE D’ENRI
CHISSEMENT, L’OBJECTIF GENERAL DES TA-
2.1. PRESENTATION GENERALE ET PRINCIPES BLEAUX DE BORD DETAILLES EST DE PERMET-
D'UTILISATION TRE AUX DIFFERENTS ACTEURS DE REPERER
TRES TOT, FACE AUX PARAMETRES QUI LES
CONCERNENT LE PLUS DIRECTEMENT, LES
QUELQUE SOIT L’ACTEUR DESTINATAIRE OU POINTS CRITIQUES QU'IES RISQUENT DE
L'ETAPE DU PROJET VISE (INDIQUES A CHA- RENCONTRER DANS LE DEROULEMENT DU PROJET
QUE FOIS EN TETE DU DOCUMENT) LES TA- ET DE DEFINIR EN CONSEQUENCES LE MOMENT
BLEAUX DE BORD DETAILLES OBEISSENT À UNE QU'IL JUGE LE PLUS ADEQUAT POUR LES
PRESENTATION GENERALE HOMOGENE. CHAQUE PREVENIR ET POUR DEGAGER LES MOYENS ET
DOCUMENT COMPREND CINQ COLONNES : LES MOYENS ET LES SOLUTIONS NECESSAIRES.

- UNE COLONNE SITUANT LES PARAMETRES

CONCERNES PAR L'’AXE D'ENRICHISSEMENT
VISES
 TT

QUESTIONS RISQUES LORS DE |ACTEURS] MESURES DE PRE-

" LA SEQUENCE VENTION AVANT LA
ESTIME DU) DE LA ME-
SEQUENCE
à RISQUE SURE DE
PREVEN-
TION

AXES PRIAPIP INOÏPCIC H PR|AP]P INO|PCICH

ORGANISATION,
COORDINATION,
COMMUNICATION
PARTICIPATION
ET
INFORMATION
FORMATION
PERFORMANCES
PREVENTION
DES RISQUES
POUR LA SECU-
RITE ET LA
SANTE

SEQUENCES

PR = PROGRAMMATION 1 = MAITRE DE L'OUVRAGE

AP AVANT-PROJET 2 = CONCEPTEUR
PROJET 3 = COORDONNATEURS
NO NEGOCIATION DES OFFRES 4 = ENTREPRISES
48 PREPARATION DU CHANTIER
CH CHANTIER
 78

LA PRESENTATION DES DOCUMENTS INVITE VOLUMES NECESSAIRES, CONFORT ET AM-

CHACUN DES ACTEURS A SUIVRE LA DEMAR- BIANCE SOUHAITEES);
CHE SUIVANTE :
- LE FONCTIONNEMENT GENERAL DU BATI-
APRES AVOIR REPERE LE DOCUMENT CONCER- MENT (EXIGENCES DE QUALITE PHONIQUE,
NANT L'ETAPE QUI L'’INTERESSE ET ACOUSTIQUE, CLIMATIQUE, SECURITE;
L'AXE D'ENRICHISSEMENT SUR LEQUEL IL QUALITE DES PRESTATIONS TECHNIQUES,
ENTEND INVESTIR, L'UTILISATEUR SE REFERE NIVEAU DES SERVICES SOUHAITES,
AUX DIFFERENTS PARAMETRES ENTRANT DANS ENTRETIEN ET MAINTENANCE).
LA COMPOSITION DE L’AXE D'ENRICHISSEMENT
CONCERNE. EN FACE DE CES PARAMETRES FIGURENT LES
QUESTIONS A RESOUDRE.
CES PARAMETRES TIENNENT COMPTE DES AINSI, FACE AU PARAMETRE "PERFORMANCES",
TACHES CONCRETES QUI RELEVENT EN GENERAL FIGURENT DEUX QUESTIONS :
DES MISSIONS DE L'ACTEUR DANS L'’ACCOM- - "TOUTES LES EXIGENCES LIEES AUX BE-
PLISSEMENT DE SA FONCTION SPECIFIQUE. SOINS DES UTILISATEURS SONT-ELLES
ILSe SYATTACHENT A.!COLLER!'ALE PLUS PRES PRISES EN COMPTE DANS LE PROGRAMME?"
POSSIBLE A LA REALITE.
CETTE QUESTION RENVOIE BIEN ENTENDU AUX
AINSI, PAR EXEMPLE, LE MAITRE D’OUVRAGE, QUESTIONS PRECEDENTES : "CONNAIT-ON PRE
EN PHASE DE PROGRAMMATION, SE VOIT PRO- CISEMENT, LORS DE LA PROGRAMMATION, LA
POSER, SOUS L’AXE "BESOINS DES UTILISA- NATURE DES ACTIVITES, LES CATEGORIES
TEURS" QUATRE QUESTIONS QUI PORTENT D'USAGERS, LEURS PRATIQUES ? EST-IL POS-
RESPECTIVEMENT SUR LA PERFORMANCE DE SIBLE DE S’INFORMER SUR LEURS CARACTE-
L'OUVRAGE : RISTIQUES ? QUAND ? COMMENT 2?"

- LA NATURE ET LE TYPE DE L'OUVRAGE - "LA CONCEPTION DU FONCTIONNEMENT GE-

(ACTIVITES PREVUES, FREQUENCES, NERAL DU BATIMENT INTEGRE-T-ELLE LES
DUREE, RELATIONS ENTRE PLUSIEURS AC- CONTRAINTES D'UTILISATION DE SECURI-
TIVITES)S TE DE MAINTENANCE ?"

- LES USAGERS DESTINATAIRES (CATEGO-

LA QUESTION DE LA MAINTENANCE EST ICI
RIES D'USAGERS, PRATIQUES, EVOLU-
ABORDEE SOUS L'ANGLE DES BESOINS DES
TIONS);
UTILISATEURS... MAIS, IL EST CLAIREQUESSEE
- L'ORGANISATION DES ACTIVITES DONT LE MAITRE D'OUVRAGE LA RETROUVERA, TOUJOURS
BATIMENT SERA LE SUPPORT (ACTIVITES POUR LA PHASE DE PROGRAMMATION, FORMULEE
PRINCIPALES ET ANNEXES, SURFACES ET SUR UN AUTRE MODE, SOUS LES AXES :
 79

- "QUALITE DU PRODUIT" ("LES PRESTA- REPONDENT-ELLES AUX EXIGENCES DEFINIES

TIONS TECHNIQUES REPONDENT-ELLES AUX EN MATIERE D'ENTRETIEN ET DE MAINTENAN-
EXIGENCES DEFINIES EN MATIERE CE ?" POURRA COCHER TROIS FONCTIONS :
D'ENTRETIEN ET DE MAINTENANCE ?)
- LA PROGRAMMATION, C’EST-A-DIRE LA
OC COUISHPETODELATS" (QUELS "SONT ‘LES FONCTION QUI RELEVE PRECISEMENT DE
IMPERATIFS EN MATIERE DE COUTS DE LUI-MEME, S’IL ENTEND DEFINIR, DEJA
FONCTIONNEMENT, D'ENTRETIEN ET DE DANS LE PROGRAMME, UN CERTAIN NOMBRE
MAINTENANCE ? QUELLE EST LA MARGE DE CES PRESTATIONS.
D'INCERTITUDE DE LEUR ESTIMATION ? - LA CONCEPTION, DANS LA MESURE OÙ LA
EST-IL POSSIBLE DE LA REDUIRE, QUAND
DEFINITION CONCRETE DE CES PRESTA-
ET COMMENT ?") TIONS, DE LEURS CARACTERISTIQUES,
- "SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL": MAIS AUSSI DE LEUR ADEQUATION AUX
"QUELLES INCIDENCES LES CARACTERIS- EXIGENCES EXPRIMEES PAR LE MAITRE
TIQUES DU BATIMENT ET DES EQUIPE- D'OUVRAGE RELEVE DE LA MISSION DES
MENTS ONT-ELLES SUR LES CONDITIONS CONCEPTEURS.
DE TRAVAIL EN PHASE D'ENTRETIEN ET - L'EXECUTION, DANS LA MESURE OU LES
DE MAINTENANCE ? S’EST-ON ASSURE QUE CHOIX ARRETES EN CONCEPTION PEUVENT
CE TRAVAIL POUVAIT S’OPERER EN TOUTE FAIRE L'OBJET DE PROPOSITIONS DE
SECURITE ET SANS RISQUE POUR LES MODIFICATIONS DE LA PART DES ENTRE-
OPERATEURS OÙ POUR LES USAGERS ?" PRISES.

À LA LECTURE DE CES QUESTIONS, IL APPA- PARALLELEMENT, L'UTILISATEUR EST INVITE

RAIT EVIDENT QUE L'’ACTEUR CONCERNE - A DEFINIR LA NATURE ET LE MOMENT OÙ DES
ICI, LE MAITRE D'OUVRAGE - NE DISPOSE PROBLEMES EVENTUELS RISQUENT DE SE POSER
PAS NECESSAIREMENT - NI INDIVIDUELLEMENT AU REGARD DU PARAMETRE CONSIDERE.
DIRPAMGE MOMENT .PRECIS =" DE'TOUTES = LES POUR POURSUIVRE SUR NOTRE EXEMPLE, LE
DONNEES SUFFISANTES POUR REPONDRE A CES MAITRE D'OUVRAGE PEUT CONSIDERER QUE
QUESTIONS. LEUN 7DESYRTSQUESLPOSSIBLESTTDENTHTAOECE
QUE LES CONCEPTEURS NE DEFINISSENT LES
AUSSI, LA COLONNE CENTRALE EST-ELLE PRESTATIONS TECHNIQUES QU'AU REGARD DES
RESERVEE POUR COCHER LES AUTRES FONC- COUTS D’INVESTISSEMENT DU PROJET ET NON
TIONS CONCERNEES PAR LA QUESTION CONST- DU COUT GLOBAL INTEGRANT LE COUT
DEREE. D'ENTRETIEN ET DE MAINTENANCE. IL SITUE
CE RISQUE AU STADE DE L'AVANT-PROJET,
PAR EXEMPLE, LE MAITRE D'OUVRAGE, FACE A MAIS PLUS ENCORE DU PROJET.
LA QUESTION "LES PRESTATIONS TECHNIQUES
 80

IL SE POSE ALORS LA QUESTION : "COMMENT DES "OBLIGATIONS DE RESULTAT" MAIS

PUIS-JE PREVENIR CE RISQUE ? A QUEL ENCORE DES "OBLIGATIONS DE MOYENS" : PAR
MOMENT ET COMMENT INTERVENIR ?" EXEMPLE QUE L'EQUIPE DE CONCEPTION S’AD-
JOIGNE, SOUS UNE FORME OÙ UNE AUTRE, LA
LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE N’APPORTE
COLLABORATION DE SPECIALISTES EXPERTS
DE LUI-MEME AUCUNE SOLUTION. C’EST AU
DANS CES DOMAINES.
MAITRE D'OUVRAGE DE LA DEFINIR. EN L’OC-
CURRENCE, IL POURRA S’ORIENTER VERS UNE COMME ON LE VOIT, LES SOLUTIONS PEUVENT
SOLUTION CONSISTANT A FORMALISER CLAIRE- ETRE MULTIPLES, ALTERNATIVES OU ADDI-
MENTAMMCEMSOBJECTI FES DANS PL ESP TECES TIVES. LE TABLEAU DE BORD DETAILLE N’EN
CONTRACTUELLES QUI LE LIENT AUX CONCEP- DEFINIT AUCUNE A PRIORI ET CELA DELIBE-
TEURS. IL SITUERA ALORS LE MOMENT DE SON REMENT : D'ABORD, PARCE QU'IL N’EXISTE
INTERVENTION LORS DU CHOIX DES CONCEP- PAS DE SOLUTION MIRACLE QUI PUISSE PRE-
TEURS, C'EST-A-DIRE DANS L’ETAPE INTER- TENDRE A L'EFFICACITE LA PLUS GRANDE,
MEDIAIRE ENTRE LA PROGRAMMATION ET DANS TOUTES LES SITUATIONS ; ENSUITE,
L'AVANT-PROJET. PARCE QUE LES SOLUTIONS NE SONT PAS A
ATTENDRE D'UNE DEMARCHE PASSIVE, MAIS AU
IL PEUT AUSSI PREVOIR D'ASSURER UN
CONTRAIRE D'UNE DEMARCHE ACTIVE, LAIS-
CONTROLE SPECIFIQUE SUR CETTE QUESTION
SANT TOUTE LATITUDE AUX DIFFERENTS AC-
LORS DE L’APPROBATION DU DOSSIER
TEURS DE SE DETERMINER ET D'AGIR EN
D'AVANT-PROJET. LE MOMENT DE CETTE
TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE ET EN TOUTE
INTERVENTION SE SITUERA ALORS A LA FIN
RESPONSABILITE.
DE L'AVANT-PROJET - SI LE MAITRE D'OU-
VRAGE SE RESERVE LA POSSIBILITE DE
LES TABLEAUX DE BORD DETAILLES CONFOR-
DEMANDER AUX CONCEPTEURS DE RETRAVAILLER
TENT DONC LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE
LE DOSSIER AVANT DE L'APPROUVER - OÙ
AUSSI BIEN DU POINT DE VUE DE L'AIDE À
ENTRE L'AVANT-PROJET ET LE PROJET, SI LE
LA DECISION POUR CHACUN DES ACTEURS,
MAITRE D'OUVRAGE CONSIDERE QUE SON
DANS LE CADRE DE L'ACCOMPLISSEMENT DE SA
CONTROLE PEUT SE LIMITER ICI A INDIQUER
FONCTION SPECIFIQUE, QUE DU POINT DE VUE
AUX CONCEPTEURS LES QUESTIONS NON SUFFI-
DE LA GESTION DES INTERACTIONS ENTRE LES
SAMMENT TRAITEES EN AVANT-PROJET ET QUI,
INTERVENANTS.
DE CE FAIT, DEVRONT L'ETRE TOUT PARTICU-
LIEREMENT AU MOMENT DE LA PHASE DE PRO-
MAIS L’UNE DE SES CARACTERISTIQUES EST
JET. IL PEUT AUSSI PREVOIR UN CONTROLE
DE "COLLER" DE MANIERE BEAUCOUP PLUS
SPECIFIQUE LORS DE L'’APPROBATION DE
FORTE QUE LE TABLEAU DE BORD DE SYNTHESE
CELUM=-CIr
AUX FONCTIONS DISTINCTES DES DIFFERENTS
IL PEUT ALLER PLUS LOIN ENCORE, EN ACTEURS, EN PARTICULIER AU REGARD DES
DEMANDANT AUX CONCEPTEURS NON SEULEMENT PARAMETRES INCLUS DANS LES AXES D'ENRI-
 81

CHISSEMENT ET DE LA NATURE DES QUES- LA MULTIPLICITE DES FONCTIONS ET DES

TIONS-CLES. TACHES QUI SONT REELLEMENT CELLES D'UN
MAITRE D'OUVRAGE. EN EFFET, QU'IL INTER-
2.2. LA VARIATION DES TABLEAUX DE BORD VIENNE OCCASIONNELLEMENT ET POUR SES
DETAILLES EN FONCTION DES ACTEURS PROPRES BESOINS - LA CONSTRUCTION D'UNE
DESTINATAIRES OPERATION NE RELEVANT PAS DE SON ACTIVI-
TE PRINCIPALE - OU QU'IL SOIT UN VERITA-
SI LES QUATRE AXES FIGURENT DE FACON BLE "PROFESSIONNEL" REALISANT EN PERMA-
SYSTEMATIQUE SUR LES TABLEAUX DE BORD NENCE DES INVESTISSEMENTS IMMOBILIERS -
DETAILLES, IL EST BIEN EVIDENT QU'ILS NE LE MAITRE D'OUVRAGE NE PEUT SE CONTENTER
REVETENT NI LA MEME IMPORTANCE, NI LE DE PASSER SIMPLEMENT "COMMANDE" D'UN
MEME CONTENU SELON LES ACTEURS AUXQUELS BATIMENT.
ILS S'’ADRESSENT ET SELON LES PHASES OÙ
ILS INTERVIENNENT. IL DOIT PRÉALABLEMENT (ET PLUS ENCORE
DANS LE CAS D'UN MAITRE D'OUVRAGE PRO-
POUR ILLUSTRER CES DIFFERENCES, NOUS FESSIONNEL) :
NOUS CONTENTERONS, DANS CETTE PRESENTA-
- DEFINIR SON INTENTION DE CONSTRUIRE
TION DU MODE D'UTILISATION DU GUIDE, DE
ET S’ASSURER DE LA FAISABILITE DE
METTRE EN EVIDENCE CELLES QUI S'ORGANT-
L'OPERATION (FAISABILITE TECHNIQUE,
SENT SOUS L'’AXE D’ENRICHISSEMENT "SECU-
REGLEMENTAIRE, ECONOMIQUE ET FINAN-
RITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL", EN LES
CTÉREIS
RAPPORTANT AUX FONCTIONS SPECIFIQUES DE
PROCURER LE TERRAIN ET TROUVER LES
CHACUN DES ACTEURS (*).
MOYENS FINANCIERS NECESSAIRES A LA
REALISATION DE L'OPERATION ;
2.2.1. LES MAITRES D'OUVRAGE - DEFINIR L'ENVELOPPE FINANCIERE PRE-
VISIONNELLE ET PRECISER SON INTEN-
LA REFERENCE HABITUELLE A LA POSITION DE TION A TRAVERS L’ELABORATION DETAIL-
"CLIENT" REND COMPTE IMPARFAITEMENT DE

(*) LE CHOIX DE CET ANE, COMME EXEMPLE SUPPORT, SE JUSTIFIÉ À LA FOIS PAR L'IMPORTANCE DE L'ENJEU QU'TL REPRESENTE SUR LE PLAN HUMAIN ET SOCIAL HATS AUSST SUR LE PLAN DE
LA QUALITÉ ET DE L'ÉCONOMIE D'ENSENBLE D'UN PROUET ET PAR LE FAIT QU'IL S'AGIT LA D'UN DOHAINE NEANMOINS TROP SOUVENT IGNORE. EN OUTRE, LE CHOIY DE CET AE 4, SANS
DOUTE PLUS QUE TOUT AUTRE, VALEUR DEHONSTRATIVE ADREGARD OUHODED'UTILISATION OU GUIDE DE CONDUITE DE PROJET ET DE LA DEHARCHE D'ENRICHISSEMENT. EN EFFET, IL
PERMET DE HONTRER COMMENT ET EN QUOI DES ACTEURS QUI SE CONSIDERENT EN GENERAL SANS POUVOIR NI LEGITINITE POUR INTÉRVENIR SUR CETTE QUESTION PEUVENT, DANS LE CARRE
DE LEUR ROLE ET DE LEURS FONCTIONS, OEUVRER POUR AMELIORER LES CONDITIONS DE SECURITE ET DE TRA/AIL, DANS LE CADRE DE LEURS HISSTONS.
 82

LEE ET PRECISE DU PROGRAMME DE

L'EXPRESSION DU BESOIN ET LA DEFINI-
L'OPERATION.
TION DU PROGRAMME GENERAL SUCCINCT,
PUIS : LA DEFINITION DE L'ENVELOPPE FINAN-
CIERE DE L'OPERATION ET LA DEFINI-
- DESIGNER LES CONCEPTEURS, TION DU BUDGET A INVESTIR,
LE CHOIX DU PROCESSUS DE REALISA-
- DESIGNER LES ORGANISMES DE CONTROLE,
TION,
- PASSER LES MARCHES D’INGENIERIE ET LE CHOIX DU CONTROLEUR TECHNIQUE ET
DE PRESTATIONS DE SERVICES CORRES- DE LA MAITRISE D'OEUVRE,
PONDANTS. LES ACCORDS PREALABLES A L'APPROBA-
TION DES AVANT-PROJETS ET DU PROJET,
ENFIN, LE CHOIX DES ENTREPRENEURS,
L'ACCORD PREALABLE A LA RECEPTION
- PRENDRE LIVRAISON DE L'OUVRAGE EN LE DES TRAVAUX ET L'ACCORD PREALABLE A
RECEPTIONNANT, LA REMISE DES OUVRAGES.

- EXPLOITER L'OUVRAGE OÙ, DANS CER-

ELLES S’ANALYSENT EN PREROGATIVES TOUR-
TAINS CAS, LE REMETTRE A L'ORGANISME
NEES :
CHARGE DE CETTE EXPLOITATION ET DE
SA GESTION. VERS LA DEFINITION DES OBJECTIFS
EXPRESSION DU BESOIN OBJECTIFS DE
LE MAITRE D'OUVRAGE EST DONC DIRECTEMENT COUTS, DELAIS, QUALITE,
IMPLIQUE DANS QUATRE PHASES SPECIFI- VERS LA PRISE DE DECISION (DEFINI-
QUES TION DU PROGRAMME, DEFINITION DE
L'ENVELOPPE FINANCIERE),
- LE MONTAGE DE L'OPERATION,
VERS LE CHOIX DES MOYENS (CHOIX DE
- LE PROGRAMME, LA MAITRISE D'OEUVRE, DU CONTROLEUR
- LA RECEPTION DU BATIMENT, TECHNIQUE, DES ENTREPRENEURS).
- LA PHASE DE FONCTIONNEMENT, D'’EX-
VERS LE CONTROLE DES ETUDES (ACCORDS
PLOITATION ET DE MAINTENANCE (DIREC- PREALABLES A L'APPROBATION DES
TEMENT OÙ INDIRECTEMENT).
AVANT-PROJETS ET DU PROJET) ET DES
TRAVAUX (ACCORD PREALABLE A LA RE-
IL PEUT ASSURER DIRECTEMENT CERTAINES
CEPTION DES TRAVAUX).
TACHES ET EN DELEGUER D'AUTRES.

L'IMPLICATION DIRECTE DU MAITRE D'OU-

LES PREROGATIVES QUI LUI REVIENNENT DE
VRAGE DANS LE MONTAGE DE L'OPERATION, LA
FACON EXCLUSIVE PORTENT NOTAMMENT SUR :
 83

PROGRAMMATION, LA RECEPTION, ET, SELON EN REVANCHE, IL A TOUTE LATITUDE :

LES CAS, L'EXPLOITATION ET LA MAINTENAN-
CE, MONTRE BIEN QUE LE MAITRE D'OUVRAGE - POUR FAIRE FIGURER
L'HYGIENE, LA

INTERVIENT DE FACON PRIVILEGIEE SUR LES SECURITE ET LA QUALITE DES CONDI-

AXES DEFINITION DU PRODUIT - BESOIN DES TIONS DE TRAVAIL, PARMI LES OBJEC-
TIFS QU'IL FIXE AUX CONCEPTEURS ET
UTILISATEURS. AVEC LES PREOCCUPATIONS
D'EXPLOITATION ET DE MAINTENANCE, SON AUX REALISATEURS,
ROLE NE S’ARRETE PAS A LA DEFINITION DES - POUR FAIRE INTEGRER CET OBJECTIF
CARACTERISTIQUES PHYSIQUES DU BATIMENT; LORS DU CHOIX DES CONCEPTEURS ET DES
IL PORTE AUSSI SUR LA DEFINITION DES ENTREPRENEURS,
CONDITIONS DE FONCTIONNEMENT ET DE DURA-
BILITE DE L'OUVRAGE. - POUR VERIFIER ET CONTROLER QUE CET
OBJECTIF A BIEN ETE PRIS EN COMPTE,
AU NIVEAU DE L'AVANT-PROJET, DU
IL S’AGIT DONC LA DES AXES SUR LESQUELS
PROJET ET QU'IL CONSTITUE AUSSI LUN
LE MAITRE D'OUVRAGE DOIT PARTICULIERE-
DES ELEMENTS DANS LA NEGOCIATION DES
MENT S'’IMPLIQUER.
OFFRES.
EST-CE A DIRE QUE LE MAITRE D'OUVRAGE CELA SIGNIFIE CLAIREMENT QUE L'AXE D'’EN-
N'EST PAS DIRECTEMENT CONCERNE PAR LES RICHISSEMENT "SECURITE ET CONDITIONS DE
CONDITIONS DE TRAVAIL ET DE SECURITE ? TRAVAIL"_ REVET, DANS LE CAS DU MAITRE
ILMMNER ILREST! PAS UDIRECTEMENT, ww IL EST D'OUVRAGE, UN STATUT PARTICULIER : C’EST
VRAI, MAIS IL L'EST PAR LE BIAIS DE LA PAR LE BIAIS DE SES DECISIONS CONCER-
MAITRISE DES COUTS, DE LA QUALITE ET DES NANT L'ORGANISATION DU PROCESSUS ET LE
DELAIS. RAPPELONS AUSSI QUE DANS CER- DEROULEMENT DU PROJET QUE CELUI-CI PEUT
TAINS PAYS, LES ENTREPRISES SONT TENUES INTERVENIR LE PLUS EFFICACEMENT DANS CE
D'ETABLIR UN PLAN D'HYGIENE ET DE ‘SECU- DOMAINE.
RITE AVANT TOUT DEMARRAGE DU CHANTIER ET
DE LE SOUMETTRE AU MAITRE D'OUVRAGE ET AUSSI LES TABLEAUX DE BORD DETAILLES
TRAITENT-ILS DE CET AXE D’UNE MANIERE
AUX CONCEPTEURS. CECI PEUT CONSTITUER LE
SUPPORT D’UNE IMPLICATION PLUS PRECOCE PARTICULIERE DANS LE CAS DU MAITRE D'OU-
DU MAITRE D'OUVRAGE SUR LES ASPECTS VRAGE : LES PARAMETRES ET LES QUESTIONS-

HYGIENE ET SECURITE. CLES PORTENT DAVANTAGE SUR LES RELATIONS

QUE LE MAITRE D'OUVRAGE VA ENTRETENIR
CELA NE SIGNIFIE PAS QUE CE DERNIER SOIT AVEC LES AUTRES ACTEURS AUTOUR DE CETTE
QUESTION, PLUTOT QUE SUR SON INTERVEN-
FONDE A PRENDRE DIRECTEMENT DES DECI-
TION DIRECT ET EXCLUSIVE DANS CE
SIONS DANS CES DOMAINES. IL N’EN À PAS
DOMAINE.
NECESSAIREMENT LA COMPETENCE.
 84

UN SEUL MOMENT ECHAPPE A CETTE REGLE - ANALYSE DES RISQUES ET PREVENTION

CELUI DE LA PROGRAMMATION. L'ELABORATION (EN EXECUTION, EN MAINTENANCE) 2?”
DU PROGRAMME REPRESENTE, D'UNE FACON "DES DISPOSITIFS SONT-ILS ARRETES
GENERALE, UNE PHASE CAPITALE : NON POUR FAIRE PASSER CES OBJECTIFS :
SEULEMENT ELLE CONSTITUE L'UNE DES PRE- - AUPRES DES CONCEPTEURS ?
MIERES ETAPES DETERMINANTES DE TOUTE - AUPRES DES ORGANISATEURS ?
OPERATION (LES ETAPES ULTERIEURES DE - AUPRES DES ENTREPRISES ?"
CONCEPTION ET DE REALISATION S'’APPUIE-
RONT SUR LE PROGRAMME) ; MAIS ENCORE, DE CETTE SECONDE QUESTION SUPPOSE QUE LE
SA QUALITE DEPEND EN GRANDE PARTIE CELLE MAITRE D'OUVRAGE SE PENCHE TRES TOT ET
DE LA REPONSE APPORTEE PAR LES CONCEP- SI POSSIBLE DES LA PHASE DE PROGRAMMA-
TEURS. C’EST AUSSI LE MOMENT OU LE MAT- TION, SUR LE CHOIX DE CES DISPOSITIFS.
TRE D'OUVRAGE, APRES AVOIR ANALYSE LA CEUX-CI PEUVENT OBEIR, LA ENCORE, A UNE
FAISABILITÉ DE L'OPERATION - FAISABILITÉ TRES GRANDE DIVERSITE : LE MAITRE D'OU-
TECHNIQUE, URBANISTIQUE, ECONOMIQUE ET VRAGE PEUT, PAR EXEMPLE, DEMANDER AUX
FINANCIERE - DEFINIT SES OBJECTIFS. IL CONCEPTEURS D'’INTEGRER L'AXE SECURITE ET
EST LE SEUL A POUVOIR LE : FAIRE* RTEN CONDITIONS DE TRAVAIL A DEUX NIVEAUX :
ALORS N’EMPECHE LE MAITRE D'OUVRAGE DE
- AU NIVEAU DU TRAVAIL DE CONCEPTION
FAIRE FIGURER PARMI LES OBJECTIFS, LA
PROPREMENT DIT : LES DOSSIERS
QUALITE DE LA SECURITE ET DES CONDITIONS
D'AVANT-PROJET OÙ DE PROJET DEVANT,
DE TRAVAIL. IL PEUT, DANS LA PRATIQUE,
PAR EXEMPLE, ETRE ASSORTIS D'’UNE
ARTICULER CETTE QUESTION SOIT AU CHOIX
PREMIERE ANALYSE DE L'EVALUATION DES
DES PRESTATIONS TECHNIQUES, SOIT À LA
RISQUES PAR LES CONCEPTEURS ;
DEFINITION DE LA QUALITE ARCHITECTURAL,
SOIT AUX OBJECTIFS DE COUTS ET DE DE- - AU NIVEAU DU DOSSIER DE CONSULTATION
LAIS. CHACUN, SELON SA LOGIQUE, POURRA DES ENTREPRISES : LES CONCEPTEURS
SE PENCHER SUR LA QUESTION A PARTIR DE DEVANT, PAR EXEMPLE, PREVOIR D’Y
TEL OU TEL ELEMENT. LE TABLEAU DE BORD INSERER DES DOCUMENTS RELATIFS A LA
DETAILLE L’A FAIT FIGURER QUANT A LUI A SECURITE ET SUR LESQUELS DEVRONT
L'INTERIEUR DE L’AXE SPECIFIQUE "SECURI- PORTER EGALEMENT LES REPONSES DES
TE - CONDITIONS DE TRAVAIL", EN PARTICU- ENTREPRISES. ON PEUT IMAGINER PAR
LIER AUTOUR DES QUESTIONS : EXEMPLE, QUE LES DOCUMENTS REDIGES
PAR LES CONCEPTEURS PORTENT MENTION
"LES OBJECTIFS SUIVANTS FIGURENTS-ILS AU
DES DIFFERENTS RISQUES ET QU'IL
PROGRAMME :
REVIENNE DE FACON PLUS SPECIFIQUE
- SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL AUX ENTREPRISES DE PROPOSER DES
(EN EXECUTION, EN MAINTENANCE) ? MESURES DE PREVENTION.
 85

ON PEUT IMAGINER AUSSI QUE LA DEMANDE DE PROCEDURES DE CONTROLE ET D'AVIS PREALA-

SPECIFICATIONS EN MATIERE DE SECURITE BLES SIMILAIRES.
ACCOMPAGNE LES PARTIES RELATIVES A CHA-
BREF, LES REPONSES PEUVENT ETRE FORT
QUE LOT DE TRAVAUX.
VARIABLES ; EN ATTIRANT L'ATTENTION DU
MAITRE D'OUVRAGE DES LA PHASE DE PRO-
LE MAITRE D'OUVRAGE PEUT AUSSI NE DEMAN-
GRAMMATION, LES TABLEAUX DE BORD DETAÏIL-
DER AUCUNE PRESTATION PARTICULIERE EN
LES NE VISENT PAS A PRE-DEFINIR UNE
MATIERE DE SECURITE AUX CONCEPTEURS
SEULE ET MEME REPONSE, MAIS SIMPLEMENT A
DURANT LE TRAVAIL DE CONCEPTION PROPRE-
SIGNALER L'EXISTENCE D'UN PROBLEME QUI
MENT DIT, MAIS LES CHARGER D’UNE MISSION
PEUT AVOIR DES CONSEQUENCES SUR LES
DE CONTROLE PLUS POUSSEE DANS LA PHASE
RESULTATS FINAUX DE L’OPERATION S'IL
D'ORGANISATION DU CHANTIER. CE CHOIX
N’EST PAS PRIS EN COMPTE SUFFISAMMENT
ENTRAINERA D'AUTRES INCIDENCES SUR LES
TOT ET S’IL NE RECOIT AUCUNE TRAITEMENT
DISPOSITIFS D'APPRECIATION ET DE CONTRO-
APPROPRIE.
LE DES LORS QUE LE PROJET SE TROUVERA
DEJA PLUS ENGAGE.
2.2.2. LES CONCEPTEURS

MAIS IL PEUT AUSSI DELEGUER CETTE MIS-

HISTORIQUEMENT ET TRADITIONNELLEMENT LA
SION D'’EVALUATION DES RISQUES ET D'AP-
FONCTION DE CONCEPTION SE CONFOND AVEC
PRECIATION DES MESURES DE PREVENTION AU
LA, PROFESSION ADEARCHNIECTE."... OR, LES
CONTROLEUR TECHNIQUE OÙ A CE QUI POUR-
PROCESSUS CONTEMPORAINS DE PRODUCTION DU
RAIT ETRE SON EQUIVALENT, UNE SORTE DE
CADRE BATI ONT CONTRIBUE A COMPLEXIFIER
"CONTROLEUR DE LA SECURITE" : LE ROLE DU
LA NATURE DE CETTE FONCTION. LE CONCEP-
CONTROLEUR TECHNIQUE EST, EN EFFET, DE
TEUR EST CELUI QUI DOIT APPORTER UNE
CONTRIBUER A LA PREVENTION DES DIFFE-
REPONSE ARCHITECTURALE, TECHNIQUE ET
RENTS ALEAS TECHNIQUES SUSCEPTIBLES
ECONOMIQUE AU PROGRAMME DU MAITRE D'OU-
D'ETRE RENCONTRES DANS LA REALISATION
VRAGE, AINSI QU'UNE ASSISTANCE POUR LA
D'UN OUVRAGE. SON AVIS PORTE NOTAMMENT
PASSATION DES CONTRATS DE TRAVAUX.
SUR LES PROBLEMES QUI CONCERNENT [LA
SOLIDITE DE L'OUVRAGE ET LA SECURITE DES AUSSI, LA FONCTION DE CONCEPTION INTE-
PERSONNES (UTILISATEURS). ON PEUT IMAGI- GRE-T-ELLE AUUJOURD'HUI DE MULTIPLES
NER QUE LA PREVENTION DES ACCIDENTS OU ASPECTS QUI SUPPOSENT LE RECOURS A UNE
LA SECURITE DES TRAVAILLEURS PENDANT PLURALITE DE ÆCOMPETENCES. PARMI CES
L'EXECUTION OÙ DURANT L’EXPLOITATION ASPECTS, FIGURENT :
(ENTRETIEN ET MAINTENANCE) PUISSENT ÊTRE
- LA CONCEPTION ARCHITECTURALE PRO-
CONSIDERES COMME DES QUESTIONS NON MOINS
PREMENT DITE : ELLE SE CONCRETISE DE
IMPORTANTES APPELANT, DE CE FAIT, DES
FACON PRIVILEGIEE PAR LE PROJET
 86

ARCHITECTURAL. LA SPECIFICITE DU PROJET GNENT COMME DES ACTEURS-CLES POUR LA

ARCHITECTURAL EST DE DEFINIR, DEMARCHE D'ENRICHISSEMENT DU PROJET.
PAR DES PLANS ET DES DOCUMENTS
ECRITS, L'IMPLANTATION DES BATIMENTS, EN EFFET, LEUR ROLE EST D'ABORD D'’AFFI-
LEUR COMPOSITION, LEUR ORGANISATION ET NER LES CHOIX RELATIFS AUX CARACTERISTI-
L'EXPRESSION DE LEUR VOLUME, AINSI QUE QUES DE L'’OUVRAGE ET DE LES TRADUIRE
LE CHOIX DES MATERIAUX ET DES COULEURS. CONCRETEMENT DANS LA DEFINITION D'UN
BATIMENT, EN VEILLANT A CE QUIL REPONDE
- L'INGENIERIE TECHNIQUE ET ECONOMI-
A TOUS LES OBJECTIFS QUE LEUR A ASSIGNES
QUE : ELLE FAIT PARTIE INTEGRANTE DU
LE MAITRE D'OUVRAGE. ILS ONT DONC UNE
TRAVAIL DE CONCEPTION. MISSION STRATEGIQUE AU REGARD DE L'’AXE
"QUALITE DU PRODUIT".
LES CONSTRUCTIONS ACTUELLES FONT, EN
EFFET, APPEL A DES TECHNIQUES DE PLUS EN
MAIS, ILS NE PEUVENT TRAVAILLER SUR CET
PLUS COMPLEXES QUI NE PEUVENT ETRE MAÏI-
AXE NI CHERCHER A AMELIORER, SANS TENIR
TRISEES QUE PAR DES SPECIALISTES. LE
COMPTE DE L'INCIDENCE DE LEURS CHOIX
DEVELOPPEMENT DES SERVICES DONT LE BATI- SUR LES COUTS OÙ SUR LES CARACTERISTI-
MENT EST LE SUPPORT N’A CESSE DE SE
QUES DU PROCESSUS DE REALISATION. LA
DEVELOPPER ET AUX DISCIPLINES TECHNIQUES DEMARCHE D’ENRICHISSEMENT S’ETOFFE DONC
TRADITIONNELLES (MECANIQUE DES SOLS, A LEUR NIVEAU. ET LA FONCTION DE CONCEP-
FONDATIONS SPECIALES ET STRUCTURES) SONT TION, EN RAPPROCHANT LA CONCEPTION DE
VENUES D'’AJOUTER DES DISCIPLINES PLUS L'OUVRAGE ET LA CONCEPTION DU PROCESSUS
RECENTES : GENIE THERMIQUE, CLIMATIQUE (CHOIX DES MATERIAUX ET DES TECHNIQUES ;
ET ISOLATION THERMIQUE ; ACCOUSTIQUE ET ESTIMATION DES COUTS DES COMPOSANTS ET
ISOLATION PHONIQUE ; SECURITE ANTI- DES COUTS DES TRAVAUX), NE PEUT IGNORER
EFFRACTION, ALARMES, ETC... AUCUNES DES PARAMETRES, MEME S'IL ELLE
N’EST PAS EN MESURE DE LES AFFINER TOUS
LES CONCEPTEURS DOIVENT EGALEMENT EVA-
AU MEME DEGRE.
LUER LE COUT DES PROJETS, EN OPERANT DES
METRES ET EN ETABLISSANT DES DEVIS.
L'INTEGRATION DE L’AXE "CONDITIONS DE
TRAVAIL ET SECURITE" - RAREMENT PRIS EN
IL LEUR EST PARFOIS DEMANDE D’EVALUER COMPTE A CETTE PHASE - CONCERNE POURTANT
NON SEULEMENT LE COUT DES INVESTISSE-
DOUBLEMENT LA FONCTION DE CONCEPTION AU
MENTS MAIS AUSSI LES COUTS DE FONCTION- REGARD DU CONTENU MEME DU ROLE DES
NEMENT FUTUR DES BATIMENTS.
CONCEPTEURS :

LES TACHES ASSIGNEES AUX CONCEPTEURS ET - CONCEPTEURS DE L'OUVRAGE, LES OP-

LE CONTENU DE LEURS FONCTIONS LES DESI- TIONS QU'ILS PRENNENT DANS LES
 87

FORMES, DANS LES VOLUMES, DANS LES NIVEAU DU SUIVI-CONTROLE DE L'’EXE-

MATERIAUX NE SONT PAS SANS INCIDENCE SUR CUTION.
LES CONDITIONS DE TRAVAIL
L'INTERVENTION DES CONCEPTEURS SE SITUE-
CONCRETES LORS DE LA PHASE D'’EXECU-
RA ALORS A DIFFERENTS MOMENTS, AU REGARD
TION DU BATIMENT OÙ LORS DE SA PHASE
DE L'’AXE "SECURITE ET CONDITIONS DE
D'ENTRETIEN. COMBIEN DE CONCEPTEURS
TRAVAIL" :
SE POSENT-ILS LA QUESTION DES IMPLI-
CATIONS DE LEUR ARCHITECTURE SUR LA - AVANT LE DEMARRAGE DE L'AVANT-PRO-
PENIBILITE DES TACHES OU LA SECURITE JET, VOIRE LORS DE LA PHASE DE PRO-
DES TRAVAILLEURS ? GRAMMATION - S'ILS SONT CONSULTES
SUR UN PRE-PROGRAMME - LES CONCEP-
- CONCEPTEURS DU PROCESSUS DE REALISA-
TEURS ONT A S’ENQUERIR DES OBJECTIFS
TION, DANS LEUR MISSION D’EVALUATION
SOUHAITES PAR LE MAITRE D'OUVRAGE ET
DES COUTS DU BATIMENT, ET DANS LEUR
EVENTUELLEMENT LES LUI FAIRE PRECI-
MISSION D’ASSISTANCE AU MAITRE D'OU-
SER. ON PEUT IMAGINER DEUX SITUA-
VRAGE POUR LE CHOIX DES ENTREPRISES
TIONS : CELLE OU LE MAITRE D'OUVRAGE
OÙ L'AIDE A LA PASSATION DES MARCHES
INTEGRE LA SECURITE ET LA QUALITE
DE TRAVAUX, LES CONCEPTEURS ONT
DES CONDITIONS DE TRAVAIL PARMI SES
EGALEMENT, DANS CE DOMAINE, A LA
OBJECTIFS 5 CELLE OÙ IL NE L’INTEGRE
FOIS UNE RESPONSABILITE - PLUS INDI-
PAS. DANS CE DERNIER CAS, LA RES-
RECTE IL EST VRAI - SUR LES CONDI-
PONSABILITE DES CONCEPTEURS PEUT
TIONS DE TRAVAIL ET LA SECURITE. ILS
ETRE DE PRENDRE EN COMPTE CETTE
DISPOSENT DANS TOUS LES CAS DES
PREOCCUPATION, SOIT EN TANT QUE
MOYENS D'INTERVENIR AUPRES DES
TELLE - MAIS CELA PEUT PARAÎTRE
EMIREPRISES® SUR CES ASPECTS2 : ! LE
AUSSI DIFFICILE QUE PEU GRATIFIANT
ROLE QUI LEUR REVIENT DANS L'EXAMEN
SI LE MAITRE D'OUVRAGE N’EST PAS
DES SOLUTIONS DE MISE EN OEUVRE
LUI-MEME MOTIVE - SOIT EN TANT QUE
PROPOSEES OÙ DANS L’ETABLISSEMENT DU
PARAMETRE IMPORTANT POUR GARANTIR LA
DOSSIER D'’EXECUTION LES PLACE EN
QUALITE DU PROJET ET DE SON EXECU-
POSITION STRATEGIQUE POUR INTEGRER
TION, OÙ ENCORE LA FIABILITE DES
CES PREOCCUPATIONS, DANS LE CONTENU
COUTS ET DES DELAIS. LES CONCEPTEURS
MEME DE LEUR MISSION. ILS PEUVENT
PEUVENT ALORS AVOIR DEUX ATTITUDES :
MEME Y TROUVER UN ELEMENT DE RENFOR-
SOIT CONSIDERER QUE L'ASPECT "SECU-
CEMENT DE LEURS POSITIONS DANS LEURS
RITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL" FAIT
RAPPORTS AVEC LES ENTREPRISES, AUSSI
PARTIE DES ETUDES DE CONCEPTION, A
BIEN LORS DE LA CONSULTATION ET DE
TRAVERS SES INCIDENCES SUR LES
LA NEGOCIATION DES OFFRES QU'AU
COUTS,RLES DELAIS OÙ LA CONCEP-
 88

TION ARCHITECTURALE ELLE-MEME ; SOIT DE CONDUITE DE PROJET DESIGNE LES DIFFE-

CONSIDERER QUE CET ASPECT ENTRE RENTS ACTEURS IMPLIQUES DANS LES FONC-
PLUTOT DANS LEUR MISSION D'AIDE ET TIONS DE PLANNING, D'’ORDONNANCEMENT, DE
DE CONSEIL A LA CONSULTATION DES PILOTAGE, DE COORDINATION ET DE CONTROLE
ENTREPRISES ET A LA PASSATION DES DE L'EXECUTION DES TRAVAUX.
MARCHES.
CETTE FONCTION PEUT ETRE ASSUMEE PAR UNE
- AU MOMENT DES ETUDES DE CONCEPTION,
MULTIPLICITE D’'ACTEURS. ELLE PEUT REVE-
LES CONCEPTEURS ET EN PARTICULIER
NIR AUX CONCEPTEURS EUX-MEMES ET FAIRE
CEUX QUI AURONT ADOPTE LA PREMIERE
PARTIE DE LEUR MISSION : LA SITUATION
ATTITUDE SONT SUSCEPTIBLES D’APPOR-
EST FREQUENTE EN PARTICULIER QUAND LES
TER UNE CONTRIBUTION APPRECIABLE A
MARCHES SONT PASSEES EN LOTS SEPARES.
L'ENRICHISSEMENT DU PROJET, EN INTE-
CETTE FONCTION PEUT ALORS ETRE REALISEÉE
GRANT L'ASPECT "SECURITE", A L’ETUDE
DIRECTEMENT PAR L'ARCHITECTE, OÙ CONFIEE
ARCHITECTURALE ET TECHNIQUE (EX.
A UN BUREAU D’ETUDES OÙ UNE SOCIETE
INTER-RELATION ENTRE "SECURITE ET
D'ETUDES SPECIALISEE.
CONDITIONS DE TRAVAIL" ET CHOIX DE
LA STRUCTURE), ET A L'ESTIMATION ELLE PEUT AUSSI REVENIR AUX ENTREPRISES
ECONOMIQUE DE L'OPERATION. QUAND LE MARCHE EST PASSE EN ENTREPRISE
GENERALE OÙ EN GROUPEMENT D'ENTREPRISES.
- AU MOMENT DE L’ETABLISSEMENT DES
L'ENTREPRISE PEUT ALORS LA CONFIER SOIT
DOSSIERS DE CONSULTATION ET DE LA
A L'UN DE SES SERVICES INTERNES SPECIA-
DEFINITION DES MARCHES DE TRAVAUX,
LISESA(EX? BUREAU DE METHODES), OÙ A
LES CONCEPTEURS PEUVENT JOUER UN
L'UN DE SES SALARIES, EN GENERAL CELUI
ROLE CLE EN ASSORTISSANT LES DOCU-
QUI AURA EN CHARGE LE SUIVI ET LA GES-
MENTS GRAPHIQUES OÙ LES DEVIS DES-
TION DU CHANTIER (EX. : LE CONDUCTEUR DE
CRIPTIFS, D’INDICATIONS RELATIVES
TRAVAUX EN FRANCE) ; SOIT LA SOUS-TRAI-
AUX RISQUES EVENTUELS ET EN APPELANT
TER ACRUNEESOCTETEAM SPEC FABTSEEMSENTEE
LES ENTREPRISES A ACCOMPAGNER LEURS
RIEURE.
REPONSES DE PROPOSITIONS EN MATIERE
DE PREVENTION. CET ASPECT PEUT DON-
LES ORGANISATEURS SONT DIRECTEMENT CON-
NER LIEU A L'ETABLISSEMENT DE DOCU-
CERNES PAR L'AXE "CONDITIONS DE TRAVAIL
MENTS A CARACTERE CONTRACTUEL.
ET SECURITE" QUI RELEVE DE LEUR ACTI-
VITE. mALEURUI INTERVENTION 0 JENNSERE EE
2.2.3. LES "ORGANISATEURS"_ (FONCTION
ENGAGE DIRECTEMENT LES CONDITIONS DE
PLANNING ET CONTROLE)
TRAVAIL SUR LE CHANTIER : DEFINITION DES
RYTHMES DE TRAVAIL, ENCHAINEMENT DES TA-
SOUS LE NOM "D'ORGANISATEURS", LE GUIDE
CHES, ALLOCATION DES RESSOURCES (EQUIPE-
 89

MENTS, EFFECTIFS) DEFINITION DU MATERIEL L'EXAMEN DES RISQUES POTENTIELS ATTACHES

DENSECURTÆEST ETC:...8 A LEURS DECISIONS ET DE DEVELOPPER LES
CANAUX D'INFORMATION AVEC LES EXECU-
TANTS, EN PARTICULIER DANS LA PHASE
LEUR MISSION CONSISTE A OPTIMISER L'OR- PREALABLE DE PREPARATION, PUIS BIEN
DONNANCEMENT DES TACHES, L'ORGANISATION ENTENDU, TOUT AU LONG DU DEROULEMENT DU
DU TRAVAIL, LA GESTION DES MOYENS, LA CHANTIER. EN PLUS DE LA PARTICIPATION
COORDINATION ENTRE LES INTERVENTIONS, AU DES EXECUTANTS, LES ORGANISATEURS
REGARD DES OBJECTIFS DE TEMPS ET DE DOIVENT EGALEMENT VEILLER À LA FIABILITÉ
COUTS. DU PLANNING D'ARRIVEE DES DOCUMENTS SUR
LE CHANTIER.
ILS PEUVENT AUSSI AVOIR EN CHARGE LA
GESTION SPATIALE DU CHANTIER (PLAN LE TABLEAU DE BORD DETAILLE DESTINE AUX
D'INSTALLATION DE CHANTIER, DEFINITION ORGANISATEURS COMPORTE DONC UNE LISTE DE
DES AIRES DE STOCKAGE, DE CIRCULATIONS, QUESTIONS BEAUCOUP PLUS ETOFFEES SOUS
CANTONNEMENTS, ETC...). L'AXE D'ENRICHISSEMENT "SECURITE ET
CONDITIONS DE TRAVAIL".
ENFIN, L’ELABORATION DU PLAN D'HYGIENE
ET DE SECURITE PEUT AUSSI ENTRER DANS 2.2.4. LES ENTREPRISES
LEURS ATTRIBUTIONS.
LE ROLE DES ENTREPRISES EST ETROITEMENT
LES ORGANISATEURS PEUVENT DONC JOUER UN ASSOCIE A LA FONCTION D'EXECUTION. L’EN-
ROLE CAPITAL DANS LA DEMARCHE D'’ENRI- TREPRISE EST L'ACTEUR QUI A TRADITION-
CHISSEMENT, AU REGARD DE LA POSITION NELLEMENT EN CHARGE LA REALISATION DES
STRATEGIQUE QU'ILS OCCUPENT ENTRE LE TRAVAUX. ELLES DOIVENT ASSURER LA PREPA-
PROJET ET SON EXECUTION. RATION ET L'ORGANISATION DU CHANTIER,
PROCEDER AUX COMMANDES DE MATERIEL ET A
AU-DELA DE L'APPLICATION DE LA REGLE- L'INSTALLATION DU CHANTIER (MONTAGE DES
MENTATION EN MATIERE DE SECURITE, LEUR GRUES, DE LA CENTRALE A BETON...), ASSU-
ACTION PEUT ETRE DETERMINANTE PAR LES RER L'APPROVISIONNEMENT EN MATERIAUX DE
DECISIONS QU'ILS PRENNENT QUANT AU CHOIX CONSTRUCTION, EQUIPEMENTS ET FOURNITU-
DEFINITIF DU MODE OPERATOIRE, AU NOMBRE RES, ORGANISER LE TRAVAIL DE LA MAIN-
ET AUX CARACTERISTIQUES DU MATERIEL, A D'OEUVRE DIRECTE DE CHANTIER (CHEFS
L'ENCHAINEMENT DES OPERATIONS, AUX TEMPS D'EQUIPE, OUVRIERS QUALIFIES, OUVRIERS
ALLOUES POUR LA REALISATION DES TACHES, NON QUALIFIES, APPRENTIS) ET INDIRECTE
BIC AO MATS POUR ETRE: PLUS, EFFICACE, (GRUTIER, MAGASINIER, ENCADREMENT DU
LEUR ACTION SUPPOSE DE SE PENCHER SUR CHANTIER).
SI LA FONCTION DE FOURNITURE ET D'APPRO- EST DESIGNEE PAR DES DENOMINATIONS DI-
VISIONNEMENT EST UNE FONCTION ESSENTIEL- VERSES (LE TERME DE "MAITRE D'OEUVRE" EN
LE, LA FONCTION DE COORDINATION ENTRE FRANCE, QUI PEUT ETRE ASSUREE OÙ NON PAR
LES DIFFERENTS LOTS DE TRAVAUX NE L'EST LES CONCEPTEURS).
PAS MOINS. EN EFFET, L’EXECUTION D'UN
DANS LA REALISATION DE LA FONCTION
BATIMENT FAIT APPEL A DE NOMBREUX CORPS
D'EXECUTION, LES ENTREPRISES SONT DIREC-
DE METIER SPECIALISES.
TEMENT CONCERNEES PAR L’AXE "COUTS" ET
L'AXE "CONDITIONS DE TRAVAIL ET DE SECU-
LE ROLE DES ENTREPRISES ET L'’ORGANISA-
RITE". ON ASSISTE, DANS CE DERNIER DO-
TION DE LA COORDINATION VARIE TRES LAR-
MAINE A DES SITUATIONS TRES VARIABLES
GEMENT EN FONCTION DU MODE DE PASSATION
D'UNE ENTREPRISE A L'AUTRE, VOIRE POUR
DES MARCHES.
UNE MEME ENTREPRISE, D'UN CHANTIER A
L'AUTRE.
DANS LE CAS D'UN MARCHE PASSE EN ENTRE-
PRPSE “GENERALES MCELLE-C RASCHOTSET GET
AU-DELA DES ASPECTS JURIDIQUES LIES A LA
COORDONNE LES SOUS-TRAITANTS AVEC LES-
REGLEMENTATION, LES CONDITIONS DE TRA-
QUELS ELLE PASSE DES MARCHES DE TRAVAUX;
VAIL ET DE SECURITE SONT LARGEMENT TRI-
ELLE DOIT REMPLACER LES ENTREPRISES
BUTAIRES DE LA MANIERE DONT LES ENTRE-
DEFAILLANTES ET SE RESERVE EN GENERAL LE
PRISES ORGANISENT LEUR MODE D'’INTERVEN-
LOT DU GROS-OEUVRE.
TION ET PROCEDENT A L'AFFECTATION DES
RESSOURCES OÙ A LA GESTION DES MOYENS.
EN CAS DE GROUPEMENT D’ENTREPRISES SOLI-
DAIRES, UN MANDATAIRE COMMUN REPRESENTE EN PARTICULIER, LA MANIERE DONT S’OPERE
ET COORDONNE LES AUTRES ENTREPRISES QUI LA REALISATION DES TRAVAUX, EN PRODUC-
NE SONT PAS SES SOUS-TRAITANTS. LE GROU- TION PROPRE OU EN SOUS-TRAITANCE N’A PAS
PEMENT DOIT REMPLACER LES ENTREPRISES LES MEMES REPERCUSSIONS, BIEN SOUVENT,
EVENTUELLEMENT DEFAILLANTES. POUR LES CONDITIONS DE TRAVAIL ET LA
SECURITE. DE MEME EN EST-IL DE LA QUALI-
EN CORPS D'ETAT SEPARES, LE MAITRE D'OU-
FICATION ET DE LA FORMATION DU PERSONNEL
VRAGE PASSE UN MARCHE AVEC CHAQUE ENTRE-
OUVRIER. DANS NOMBRE DE TRAVAUX, LES
PRISE, LA COORDINATION ET LES EVENTUELS
RISQUES SONT PLUS GRANDS QUE LA MAIN-
REMPLACEMENTS ETANT ASSURES PAR LUI-MEME
D'OEUVRE EST MOINS QUALIFIEE.
OÙ PAR LA PERSONNE (PHYSIQUE OU MORALE)
QU'IL A SPECIALEMENT CHARGEE DE SURVEIL- ILS AUGMENTENT AUSSI AVEC L’INTERFERENCE
LER LE DEROULEMENT DES TRAVAUX ET DE ENTRE CORPS DE METIER. LES CONDITIONS DE
DIRIGER L'’EXECUTION DU MARCHE. CETTE TRAVAIL ET LA SECURITE SONT AUSSI LARGE-
FONCTION SPECIFIQUE REVIENT A DES PRO- MENT TRIBUTAIRES DE LA QUALITE DE LA
FESSIONS DIFFERENTES SELON LES PAYS ET COORDINATION.
 91

AUSSI LE TABLEAU DE BORD DETAILLE QUI AUTOUR D'UNE DEMARCHE METHODOLOGIQUE A

LEUR EST DESTINE INVITE LES ENTREPRISES LA FOIS EXIGEANTE ET SOUPLE, EST SUSCEP-
À SE PENCHER NON SEULEMENT SUR LES DIF- TIBLE DE CONNAITRE DIFFERENTES APPLICA-
FERENTS RISQUES LIES A LA REALISATION TIONS. l
DES TACHES, MAIS AUSSI A CEUX ATTACHES A
L'ORGANISATION DU TRAVAIL OU A LA GES- SA VOCATION PREMIERE EST CERTES D'AIDER
TION DES MOYENS. LES DIFFERENTS ACTEURS A AMELIORER LA
QUALITE DU PROJET, TOUT AU LONG DE SON
LA TENDANCE DES ENTREPRISES, CONSTATEE DEROULEMENT DANS LE CADRE D'UNE OPERA-
DANS DE NOMBREUX PAYS, A DEVELOPPER LEUR TION DONNEE. IL CONVIENT DE SIGNALER A
INTERVENTION SUR TOUTES LES ETAPES AMONT CE PROPOS QU'IL PEUT ETRE UTILISE AUSSI
DU PROJET, NE SAURAIT FAIRE OUBLIER BIEN PAR L'ENSEMBLE DES ACTEURS - SITUA-
L'IMPORTANCE DE LEUR ROLE A L'EXECUTION TION QUI REPRESENTE LE CAS IDEAL - QUE
ET LE CARACTERE DETERMINANT DE LA QUALT- PAR UN SEUL D'ENTRE EUX.
TE DE LA PREPARATION, DE LA MISE EN
OEUVRE ET DU SUIVI DE LA REALISATION, MAIS IL PEUT EGALEMENT ETRE UTILISE EN
NON SEULEMENT SOUS L'ANGLE DES COUTS, SUPPORT D'ACTIONS DE FORMATION, DESTI-
MAIS AUSSI SOUS CELUI DES CONDITIONS DE NEES EN PARTICULIER A TOUTES LES PROFES-
TRAVAIL ET DE LA SECURITE. SIONS IMPLIQUEES PAR UNE OPERATION DE
CONSTRUCTION.

3. CONCLUSION ENFIN, PAR LA PART QU'IL CONSACRE AUX

QUESTIONS DE SECURITE ET DE CONDITIONS
EN CONCLUSION, L’ON PEUT DIRE QUE LE DE TRAVAIL, IL EST SUSCEPTIBLE D’INTE-
GUIDE DE CONDUITE DE PROJET, AINSI CONCU RESSER AUSSI LES PARTENAIRES SOCIAUX.
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MAITRE D'OUVRAGE
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 95

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

PROGRAMMATION

AXE D'’ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION
||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION ||SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||EST-CE QUE L'ESTHETIQUE DU PRO-
JET INTEGRE LES CONTRAINTES :

- D'UTILISATION (ERGONOMIE) ?
- D'ENTRETIEN ?
- DES TECHNIQUES DE PRODUCTION
QUI SERONT MISES EN OEUVRE ?

S'EST-ON SOUCIE DE L'EVOLUTION

DU SITE :

= LORS DU DEROULEMENT DU PRO-

JET ?
LORS DE L’EXPLOITATION DE
L'OUVRAGE ?

PREVENTION Y-A-T-IL DES RISQUES DE NUI-

DES RISQUES SANCE :
POUR LA
SECURITE ET - POUR L'ENVIRONNEMENT ?
LA SANTE - POUR LES RIVERAINS ?
- POUR LES UTILISATEURS ?
 96
AXE D’ENRICHISSEMENT : COUTS

AXES DE REFLEXION © RISQUES FONCTIONS PREVENTION

POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION FAUT-IL FAIRE APPEL A UN ORGA-
COORDINATION NISME SPECIALISE :
COMMUNICA-
TION - POUR CONTROLER LES DELAIS ?
= POUR LES ADAPTER ?
. POUR L'AVANT-PROJET ?
. POUR LE PROJET ?
. POUR LES ETUDES
D'EXECUTION ?
« POUR L'EXECUTION

CONNAIT-ON POUR CES DIFFERENTES

PHASES LES REPERCUSSIONS D'UN
DEPASSEMENT EN MATIERE :

DE BUDGET ?
DE DELAIS ?
DE PAIEMENT ?
DE MISE A DISPOSITION DE
L'OUVRAGE ?

FAUT-IL METTRE EN PLACE UN

RESEAU D'INFORMATIONS PER-
METTANT LE MANAGEMENT PAR-
TICIPATIF DU PROJET ?

A-T-ON DECIDE DE LA GESTION DU

PROJET :

- LA VOIE DE L'’INDUSTRIALISA-
TION ?
- LA VOIE DE L'’INGENIERIE
D'ENTREPRISE ?
- LA VOIE DE LA MAIN-D'OEUVRE ?
 97

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| ORGANISATION ||A-T-0N DEFINI L'ORGANISATION
COORDINATION ||DES RELATIONS ENTRE :
COMMUNICA-
TION LE SERVICE UTILISATEURS
FUTURS ?
LE SERVICE CONCEPTION ?
LE SERVICE BUDGET ET ORGANI-
SATION ?
LES SERVICES TECHNIQUES ?
LES SERVICES CLIENTS ?

FORMATION S'EST-ON INFORME DE LA CAPACITE

DES ACTEURS A REALISER LES
TRAVAUX :

- DE CONCEPTION ?
- D'ORGANISATION ?
- D'EXECUTION ?
 98

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

AVANT-PROJET

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE

PERFORMANCES || ÀL'EXPLOITATION
DE L'OUVRAGE

EST-CE QUE LE CONCEPTEUR A RAS-

SEMBLE TOUTES LES INFORMATIONS
NECESSAIRES SUR UN SITE SEM-
BLABLE EN EXPLOITATION ?
 99
AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION COUTS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME|
DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO RISQUE! DE
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
ORGANISATION L'EQUIPE DE PROJET DOIT-ELLE
COORDINATION COMPRENDRE UN OU DES TITULAIRES
| COMMUNICA- EN MATIERE :
TION
DE BUDGET ?
D'ETUDE DE L'USAGE DE
L'OUVRAGE ?
DE COORDINATION DU PROJET ?
DE CONTROLE ?
DE CONCEPTION ?
DE REALISATION ?
DE RECEPTION ?

Y-A-T-IL UN ORDRE D'’ORDONNANCE

MENT GENERAL DES CONTRATS :

“= POUR LES ETUDES ?

- POUR L'EXECUTION ?

A-T-ON DEFINI LES NIVEAUX DE

RESPONSABILITE SUR LE PLAN :

- DE LA CONCEPTION ?
- DE LA COORDINATION ?
- DE LA PRISE DE DECISIONS LORS
DE L'EXECUTION DES ETUDES ?

A-T-ON DEFINI LES CANAUX

D'INFORMATION ENTRE L'AVAL ET
L'AMONT :
- LORS DE L'AVANT-PROJET ?
- LORS DU PROJET ?
- LORS DES ETUDES ?
- LORS DES REMISES DE PRIX ?
- LORS DE LA REALISATION ?
 100
AXE D'’ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAHETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME] DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||FAUT-IL PREVOIR L'INTERVENTION ||:
COORDINATION | D'UNE EQUIPE PLURIDISCIPLINAIRE
COMMUNICA- DE PROJET DES LES PHASES
TION D'AVANT-PROJET ?

FORMATION A-T-ON DEFINI LA COMPETENCE DE

L'EQUIPE ET SON CHAMP D'INTER-
VENTION ?
 101

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

PROJET

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISOUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION | S'EST-ON PENCHE :
COORDINATION
COMMUNICA- - SUR L'ORGANISATION DU PROJET?
TION - SUR LES POSSIBILITE D'INTE-
GRATION DES TACHES ?

S'EST-ON ASSURE QUE LES CHOIX

EN MATIERE DE CONCEPTION ET DE
METHODES NE LIMITENT PAS LES
POSSIBILITES DES ENTREPRISES ?
(CAHIERS DES CHARGES PAR
OBJECTIFS)

PERFORMANCES || A-T-ON VERIFIE LA COHERENCE

ENTRE LES PLANS ET LES CAHIERS
DE. CHARGE ?

PREVENTION SUR CHANTIER

DES RISQUES
POUR LA EST-CE QUE L'ON A INTEGRE LE
SECURITE ET | CONCEPT DE CONSTRUCTIBILITE, LA
LA SANTE PROTECTION DE LA SANTE ET LA
PREVENTION DES ACCIDENTS DE
TRAVAIL :
 102

AXE D’'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION - LORS DE LA CONCEPTION DU
DES RISQUES PROJET ?
POUR LA - LORS DE L'ORGANISATION DU
SECURITE ET PROJET ?
LA SANTE

A-T-ON ETUDIE LE TYPE DE COOR-

DINATION DU CHANTIER EN FONC-
TION DES RISQUES PREVISIBLES :

- D'ACCIDENTS ?
- POUR LA SANTE ?
QUELLES INSTALLATIONS DE
PREMIERS SOINS ?

EST-CE QUE LES FONCTIONS

"CONCEPTION" ET "ORGANISATION"
ON ETE ETUDIEES SUR LE PLAN DE
LA SECURITE :

POUR LES CONTRAINTES TEMPS

D'EXECUTION ?
POUR LES CO-ACTIVITES ?
POUR L'ORGANISATION DE TRA-
VAUX SEQUENTIELS ? (REGROUPE-
MENT DES TACHES)
POUR LES CIRCULATIONS DES
TRAVAILLEURS SUR LE CHANTIER?
POUR LES MANUTENTIONS DES
MATERIAUX ET DU MATERIEL ?
POUR L'ORGANISATION DES TRA-
VAUX EN HAUTEUR ?
POUR L'UTILISATION DES ENGINS
ET DES MATERIAUX ?
 LOS

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION COUTS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE PR AP PJU NO PCLEXIP ,C |0, ENPR API NO PC EX

PREVENTION S'EST-ON ASSURE QUE LES PRO- Ë D

DES RISQUES |laurTs, MATERIELS ET MATERIAUX |:
POUR LA MIS EN OEUVRE SUR CHANTIER SONT ||:
SECURITE ET | COMPATIBLES AVEC LES POSSIBILI-
LA SANTE TES DE L'HOMME AU TRAVAIL ?

LES STRUCTURES DES NEGOCIATIONS )

EXISTENT-ELLES EN MATIERE :

DE CONDITIONS DE TRAVAIL ?
DE FORMTATION ?
DE TRANSPORT DE PERSONNES ?
D'INTEMPERIES
DE CONGES ANNUELS ?
DE TRAVAIL A PLUSIEURS
EQUIPES ?
DE LOGEMENT DES TRAVAILLEURS? ||:
DE TRAVAIL REALISES PAR DES ||:
ETRANGERS ?
DE TRAVAIL DE NUIT ?
 104

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||Y-A-T-IL DU MATERIEL UTILISE
LORS DE L'’EXECUTION DES TRAVAUX
QUI POURRAIT-ETRE UTILISE LORS
DE L'EXPLOITATION, DE L’ENTRE-
TIEN ET DE LA MAINTENANCE DE
L'OUVRAGE ?

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS

POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
ORGANISATION ||A-T-ON DEFINI LE NIVEAU DU PRO-
COORDINATION ||3ET AUQUEL LE GESTIONNAIRE DU
COMMUNICA- CHANTIER DOIT INTERVENIR ?
TION

Y-A-T-IL DES PHASES CRITIQUES

POUR LESQUELLES TOUT DEPASSE-
MENT DE DELAI RISQUE DE COMPRO-
METTRE L'ORDONNANCEMENT GLOBAL
DU PROJET :

- EN MATIERE D'ETUDES ?
- EN MATIERE DE REALISATION ?
 105

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAHETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS || PREVENTION

JUAETUDIER | POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||A-T-ON PERSUADE LES INTERVE-
NANTS DU FAIT QUE LE PROJET
DEVAIT ETRE TRAITE COMME UN
PROJET INDUSTRIEL GLOBAL ?

A-T-ON PENSE :

A LA CIRCULATION DES INFORMA

TIONS ?
AU MANAGEMENT PAR OBJECTIF ?
A L'APPEL A LA CREATIVITE ?
A L'ORGANISATION D'EQUIPES
MULTIDISCIPLINAIRÉS ?
A LA CAPACITE DES CONSEILS ?

CONNAIT-ON LE RESPONSABLE DU
CONTROLE DE QUALITE :

= POUR LA CONCEPTION ?
= POUR L'ORGANISATION ?
= POUR L'EXECUTION ?

EST-CE QUE L’ON S'EST ASSURE :

- DE LA QUALITE,
- DE LA DURABILITE DES PRODUITS
- DE LA COMPATIBILITE DES TECH-
NIQUES D'ENTRETIEN AUX PRO-
DUITS MIS EN OEUVRE ET AUX
PROCESSUS DE DEGRADATION
EVENTUELS ?
 106

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES | A-T-ON DETERMINE LES PRESTATIO
DEMANDEES AUX FOURNISSEURS SUR
LE PLAN :

- DES EXIGENCES DE QUALITE ET

DE DELAI ?
- DES CLAUSES DE SECURITE ?

ORGANISATION ||A-T-ON PREVU DES CONSULTATIONS

COORDINATION ||ET L'ORGANISATION DE L'INFOR-
COMMUNICA- MATION :
TION - POUR LE PROJET ?
- POUR SA REALISATION ?
- POUR SON UTILISATION ?

EST-CE QUE LE PILOTAGE EST

ASSURE PAR :

UNE ENTREPRISE CHARGEE DE

TRAVAUX ?
UN ORGANISME SPECIALISE CHAR-
GE DE LA COORDINATION DU PRO-
JET ?

A-T-ON DEFINI LES RELATIONS

ENTRE LES DIFFERENTS ACTEURS DU
PROJET EN CAS DE REALISATION DE
TRAVAUX FAISANT APPEL :

- AU PARTENARIAT ?
- AU TRAVAIL SEQUENTIEL ?
- À LA SOUS-TRAITANCE ?
 107

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

AETUDIER | POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
L UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || Y-A-T-IL DES PRODUITS UTILISES
SUR CHANTIER QUI PEUVENT ETRE
EGALEMENT NUISIBLES POUR LES
UTILISATEURS ?

DES PRODUITS TOXIQUES OU DANGE-

REUX SERONT-ILS EMPLOYES PAR
LES UTILISATEURS ?

EST-CE QUE LE CONCEPTEUR A RAS-

SEMBLE TOUTES LES INFORMATIONS
NECESSAIRES DANS CE DOMAINE SUR
UN SITE SEMBLABLE EN
EXPLOITATION ?

EST-CE QUE LA SECURITE ET L’ER-

GONOMIE DE L'ENSEMBLE ET DE SES
EQUIPEMENTS ONT ETE CONFRONTEES
AUX POTENTIALITES ARCHITECTU-
RALES DE L'OEUVRE ?

DES ACCESSOIRES DE CHANTIER

(ECHAFAUDAGES, GARDE-CORPS, ..)
PEUVENT-ILS SERVIR A L'ENTRE-
TIEN ET A LA MAINTENANCE ?
 108

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || EST-CE QUE L'ESTHETIQUE DU PRO-
JET INTEGRE LES CONTRAINTES :

- D'UTILISATION (ERGONOMIE) ?
- D'ENTRETIEN ?
- DES TECHNIQUES DE PRODUCTION
QUI SERONT MISES EN OEUVRE ?

A-T-ON CONSULTE LES EXPLOITANTS

FUTURS DE L'OUVRAGE :

- EN MATIERE DE PRODUCTIVITE ?
- EN MATIERE D'ERGONOMIE ?
- EN MATIERE DE SECURITE ?

A-T-ON ETUDIE POUR L'OUVRAGE :

- LES PERFORMANCES SOUHAITEES ?

- LE TYPE DE MAINTENANCE ?

PREVENTION
DES RISQUES
POUR LA A-T-ON ASSOCIE LES UTILISA-
SECURITE ET ||TEURS, CONCEPTEURS ET FABRI-
LA SANTE CANTS POUR L'ETUDE DES POSTES
DE TRAVAIL DU SITE EN FONC-
TIONNEMENT ?

Y-A-T-IL UN RIQUE DE NUISANCE

- POUR L'ENVIRONNEMENT ?
- POUR LES RIVERAINS ?
- POUR LES UTILISATEURS ?
 109

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

NEGOTIATION DES OFFRES

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
| UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISAT10
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION | S'EST-ON PENCHE :
COORDINATION
COMMUNICA- = SUR L'ORGANISATION DU PROJET?
| TION - SUR LES POSSIBILITES D'INTE-
GRATION DES TACHES ?

S'EST-ON ASSURE DES CHOIX EN

EN MATIERE DE CONCEPTION ET DE
METHODES D'EXECUTION DES ENTRE-
PRISES ? (CAHIERS DES CHARGES
PAR OBJECTIFS)

A-T-ON PREVU L'INSERTION DES

CLAUSES DE SECURITE DANS LES
DOCUMENTS CONTRACTUELS DE

CONNAIT-ON LES MISSIONS QUI

SERONT IMPARTIES AU GESTION-
NAIRE DE CHANTIER POUR :
- LA QUALITE ?
- LA SECURITE ET L'HYGIENE ?
- LA PRODUCTIVITE ?
- LES DELAIS ?
 110

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION || A-T-ON DEFINI L'ORGANISATION D
COORDINATION|| LA SECURITE POUR LE CHANTIER ?
COMMUNICA-
TION

EST-CE QUE LES MOYENS DE SECU-

RITE PROPOSES PAR LES ENTREPRI-
SES CORRESPONDENT AUX RISQUES
PROPRES AU DEROULEMENT DU
CHANTIER ?

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS | CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION | EST-CE QUE LA COORDINATION ET
COORDINATION ||LE PILOTAGE SONT CLAIREMENT
COMMUNICA- DEFINIS ?
TION
 àLa

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

A ETUDIER || POUR LES FONCTIONS | CONCERNÉES
| UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SÉQUENCES | ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESUDRE
|| ORGANISATION ||Esr-ce QUE LA GESTION DU CHAN-
| COORDINATION | TIER EST ASSUREE PAR :

- UN ORGANISME SPECIALISE CHAR-

GE DE LA GESTION DU PROJET ?
- UNE ENTREPRISE CHARGEE DE
TRAVAUX ?
- LE CONCEPTEUR ?

A-T-ON DEFINI LES RELATIONS

ENTRE LES DIFFERENTS ACTEURS DU

PROJET EN CAS DE REALISATION DE

TRAVAUX FAISANT APPEL :

- AU PARTENARIAT ?
“ AU TRAVAIL SEQUENTIEL ?
“= A LA SOUS-TRAITANCE ?

A-T-ON DETERMINE LES PRESTA-

TIONS DEMANDEES AUX FOURNIS-
SEURS SUR LE PLAN :

- DES EXIGENCES DE QUALITE ET D

DELAI ?
- DES CLAUSES DE SECURITE ?
 112

AXE D'’ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE -T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION DES ACCESSOIRES DE CHANTIER
DES RISQUES || (ECHAFAUDAGES, GARDE-CORPS, ..
POUR LA PEUVENT-ILS SERVIR A L’ENTRE-
SECURITE ET || TIEN ET A LA MAINTENANCE DE
LA SANTE L'OUVRAGE ?
 durs

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

PREPATATION DU CHANTIER

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

| PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
| UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || Y-A-T-IL COMPATIBILITE DES
CONTROLES LORS DES TRAVAUX
REALISES :

- EN GROS-OEUVRE ?
- EN SECOND-OEUVRE ?

PARTICIPA- A-T-ON DEFINI DES STRUCTURES

TION ET PARTICIPATIVES :
FORMATION
= POUR LES TRAVAILLEURS SUR
LE CHANTIER ?
- POUR LES USAGERS DU SITE
FUTUR ?
 114

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE PR |) PINS] PCI EXP |C | O1 ENPRI M IR NO PCIEX

ORGANISATION ||A-T-ON DEFINI L'ORGANISATION DE
COORDINATION ||LA SECURITE POUR LE CHANTIER ?
COMMUNICA-
TION

EST-CE QUE LES CAHIERS DE CHAR-

GES PEUVENT SERVIR DE SUPPORT
D'INFORMATIONS ET D'OUTIL DE
COMMUNICATION POUR L'ENSEMBLE
DES INTERVENANTS ?

PARTICIPA- LES ORGANES DE CONCERTATION

TION ET SONT-ILS EN PLACE EN MATIERE :
FORMATION
DE CONDITIONS DE TRAVAIL ?
DE FORMATION ?
DE TRANSPORT DE PERSONNES ?
D'INTEMPERIES ?
DE CONGES ANNUELS ?
DE TRAVAIL A PLUSIEURS EQUI-
PES ?
DE LOGEMENT DES TRAVAILLEURS?
DE TRAVAIL REALISES PAR DES
ENTREPRISES ETRANGERES ?
DE TRAVAIL DE NUIT ?

PREVENTION S'EST-ON ASSURE QUE LES PRO-

DES RISQUES |IDUITS, MATERIELS ET MATERIAUX
POUR LA MIS EN OEUVRE SUR CHANTIER SONT
SECURITE ET | COMPATIBLES AVEC LES POSSIBILI-
LA SANTE TES DE L'HOMME AU TRAVAIL ?
 LS

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS ||PREVENTION

-]| POUR LES FONCTIONS
UN PROBLEME RISQUE-T- LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
ORGANISATION
EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| PREVENTION EST-CE QUE LES MOYENS DE SECU-
| DES RISQUES RITE PROPOSES PAR LES ENTREPRI-
| POUR LA SES CORRESPONDENT AUX RISQUES
| SECURITE ET PROPRES AU DEROULEMENT DU
| LA SANTE CHANTIER ?

CONNAIT-ON L'ORGANISATION DE
SECOURS POSSIBLE POUR LE PROJET
EN QUESTION ?

EST-CE QUE LE CHANTIER PROVO-

QUERA DES NUISANCES POUR L'EN-
VIRONNEMENT :

- AU NIVEAU DU BRUIT ?
- AU NIVEAU DES VIBRATIONS
- AU NIVEAU DES POUSSIERES

CONNAIT-ON LES PRODUITS TOXI-

QUES UTILISES SUR CHANTIER ET
LEURS RISQUES POUR L'ENVIRON-
NEMENT ?
 116

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||A-T-ON PERSUADE LES EXECUTANTS
DU FAIT QUE LE PROJET DEVAIT
ETRE TRAITE COMME UN PROJET
INDUSTRIEL GLOBAL ?
GUIDE DE CONDUITE
DE PROJET
A L'USAGE
DE L'ENTREPRISE
 h

3OAQUI A
J21AI3AT
HI] 30
 119

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
FONCTION -- EXECUTION

PROJET

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

| PARAMTRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS || PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T= ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
LA GESTION DE PROJET COMPREND-
T-ELLE L'ORGANISATION :

- DU CONTROLE DE LA QUALITE ?
- DE L'ORDONNANCEMENT ?
- DE LA SECURITE ?

EST-CE QUE LA GESTION DU CHAN-

TIER EST ASSUREE PAR :

UNE ENTREPRISE PILOTE ?

UNE ENTREPRISE CO-TRAITANTE ?
UN ORGANISME SPECIALISE ET
CHARGE DE LA COORDINATION
GLOBALE DU PROJET ?

A-T-ON COMPARE LES PERFORMAN-

CES :

= DE LA CONSTRUCTUION TRADI-
TIONNELLE ?
DU PREFABRIQUE ?
DU MONTAGE SUR SITE OÙ EN
ATELIER ?
DU TEMPS MAIN-D'OEUVRE ET DES
DEPLACEMENTS SUR CHANTIER ?
 120

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION ||SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION EST-CE QUE LA CONCEPTION DU
COORDINATION PROJET, SA DIVISION EN SEQUEN-
COMMUNICA- CES PERMET D'UTILISER LA POLY-
VALENCE DE CERTAINES EQUIPES ?

PREVENTION
DES RISQUES
POUR LA EST-CE QUE LES CONCEPTEURS ET
SECURITE ET LES METHODES CONNAISSENT LES
LA SANTE RISQUES PROPRES A L'ACTIVITE
DE L'ENTREPRISE ?

ONT-ILS OU VONT-ILS AGIR :

EN MATIERE DE PREVENTION
INTEGREE ?
EN MATIERE D'ERGONOMIE ?
EN MATIERE DE SECOURS ?
EN MATIERE DE RISQUES DECE-

A-T-ON ETUDIE LA FLEXIBILITE

DE DESTINATION DE L'OUVRAGE
VIS-A-VIS DES CHOIX TECHNOLO-
GIQUES EFFECTUES ?
 121

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : QUALITE

| PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISAT10
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||MATERIEL ET MATERIAUX
COORDINATION
COMMUNICA- EST-CE QUE LORS DES CHOIX DE-
TION FINIS A L'’AMONT LES ELEMENTS
SUIVANTS ONT ETE PRIS EN
CONSIDERATION :

TECHNIQUES INNOVANTES VIS-A-

VIS DE L’AMORTISSEMENT DU
MATERIEL ?
UTILISATION D'EQUIPEMENTS
LORS DE L'’EXECUTION ET DE
L'EXPLOITATION DE L'OUVRAGE ?
LA COMPTABILITE DES PROTEC-
TIONS LORS DES INTERVENTIONS
SUCCESSIVES ?

PERFORMANCES || EST-CE QUE LES SPECIFICATIONS

DES CONCEPTEURS ET DES BUREAUX
DE METHODES SONT COMPATIBLES
AVEC LE PROGRAMME DU MAITRE DE
L'OUVRAGE ?

EST-CE QUE LA LIGNE "HIERAR-

CHIQUE" DU PROJET EST SENSIBLE
AU CONCEPT DE GESTION TOTALE
DE LA QUALITE ?

A-T-ON INTEGRE LA PREOCCUPA-

TION 'QUALITE" AUX PREOCCUPA-
TIONS DE "SECURITE" ET DE
"PRODUCTIVITE"
 122

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE suite)

PARAHETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||A-T-ON DEFINI LE PROGRAMME DE
GESTION DE CETTE QUALITE :

- FORMATION ?
- CONTROLE ?
= INFORMATIQUE ?

A-T-ON ETUDIE LES AVANTAGES DE

LA MAINTENANCE PREVENTIVE ?

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || A-T-ON DEFINI LES BESOINS DES
USAGERS DU SITE FUTUR ?
 123

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
FONCTION -- EXECUTION

NEGOCIATION DES OFFRES

AXE D’ENRICHISSEMENT : COUTS

L PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||CONNAIT-ON LA LIGNE HIERARCHI-
COORDINATION | Que Pour :
COMMUNICA- - LES PRISES DE DECISION ?
TION - ASSURER LA COORDINATION ?

CONNAIT-ON LES DECIDEURS :

- EN MATIERE DE CONCEPTION ?
- EN MATIERE DE PROGRAMMATION?
- EN MATIERE DE METHODES ?

CONNAIT-ON L'ORDONNANCEMENT
DES CONTRATS ?

S'EST-ON ASSURE DE LA PROCE-

DURE D'APPROBATION DES PLANS
D'EXCUTION ?
 124

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||A) Du PROJET GLOBAL
COORDINATION
COMMUNICA- EST-CE QUE LA GESTION DU PRO-
TION JET ET DU CHANTIER A ETE
PRVUE ?

B) DES ENTREPRISES CO-TRAITAN-

TES ET SOUS-TRAITANTES

EN CAS DE SOUS-TRAITANCE, DE
PARTENARIAT, DE TRAVAIL SE-
QUENTIEL, EST-CE QUE LE PILO-
TAGE ET LA COORDINATION SONT
CLAIREMENT DEFINIS ?

c) DES FOURNISSEURS

Y-A-T-IL DES PRESTATIONS SPE-

CIALES DEMANDEES AUX FOURNIS-
SEURS EN MATIERE DE :

- SECURITE ?
- QUALITE ?

EST-CE QUE TOUTES LES DISPOSI-

TIONS SONT DEFINIES EN
MATIERE :

DE PAIEMENT ?
DE PLANNING ?
DE LA FOURNITURE DES PLANS ?
DES AUTORISATIONS ?
DES APPROBATIONS ?
DES MOYENS D'EXECUTION ?
 125

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

PARAMETRES ANES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

A ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| ORGANISATION

LES CHOIX AMONTS SONT-ILS

CONFORMES AUX DELAIS PRESCRITS
POUR LES ENTREPRISES :

- DE GROS-OEUVRE ?
- DE SECOND-OEUVRE ?

EST-CE QUE LE MATERIEL DE SE-

CURITE ET LE MATERIEL D'EXECU-
TION EST CHOISI EN TENANT
COMPTE :

- DES TYPES DE RISQUES PREVI-

SIBLES ?
- DU DELAI PRESCRIT ?
- DU BUDGET PREVU ?

A-T-ON DEFINI POUR LES FOURNI-

TURES :

- UN DEGRE DE QUALITE ?
- UN STOCKAGE LE PLUS COURT
POSSIBLE ?
- UNE GESTION DES STOCKS ?

CONSTRUCTIBILITE

EST-IL POSSIBLE D'AMELIORER LA

CONSTRUCTIBILITE ?
 126

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS || PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANTSATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
ORGANISATION EST-CE QUE LES ACTEURS EN
COORDINATION AMONT SONT CONSCIENTS DES
COMMUNICA- ENJEUX EN MATIERE :
TION
- DE SECURITE ?
- DE DELAI ?
- DE QUALITE ?
 127

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
i UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| ORGANISATION | LA SECURITE, ORDONNANCEMENT
COORDIANTION || ET DELAIS
| COMMUNICA- L'ORGANISATION DE LA SECURITE
TION EST-ELLE INTEGREE DANS LA
PLANIFICATION DES TRAVAUX ?

LE PRIX DES SOUMISSIONS TIENT-

IL COMPTE :
DE L'’INSTALLATION DU
CHANTIER ?
DES MESURES COLLECTIVES DE
SECURITE
DES DELAIS PRESCRITS ?
DU MATERIEL DISPONIBLE ?

EST-CE QUE POUR CE CHANTIER

DES CONDITIONS D'EXECUTION
SEMBLABLES ONT ETE TRANSMISES
PAR LES RESPONSABLES DE L'EXE-
CUTION DU SERVICE DES
SOUMISSIONS ?

CONNAIT-ON L'ORGANISATION DE
LA SECURITE DANS LES AUTRES
ENTREPRISES ?

LES PHASES DE TRAVAIL, LES

POSTES DE TRAVAIL SONT-ILS
ORDONNANCES POUR QUE LA CIRCU-
LATION DES TRAVAILLEURS ET DU
MATERIEL AINSI QUE LES RIS-
QUES PROPRES AUX DEPLACEMENTS
SOIENT LIMITES AU MAXIMUM ?
 128

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS || PREVENTION COUTS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION Y-A-T-IL UN OU PLUSIEURS PLANS
COORDINATION DE SECURITE ET D'HYGIENE ?
COMMUNICA-
TION NN ES

CONNAIT-ON LES MOYENS DE PRO-

TECTION COLLECTIVE COMMUNS AUX
ENTREPRISES ?

EST-CE QUE LA PLANIFICATION

INTEGRE LES RISQUES PROPRES A
CERTAINES CO-ACTIVITES ?

EST-CE QUE LE ZONAGE DE CHAN-

TIER TIENT COMPTE DES RISQUES
D'INTERACTION ENTRE LES EQUIPES||
ENTREPRISES ?

Y-A-T-IL UNE INCIDENCE DES

REMANIEMENTS DE PLANNING SUR
LA SECURITE ?

EST-CE QUE CES CONTRAINTES EN

LA MATIERE ONT ETE RECENSEES

PREVENTION LES PROTECTIONS PEUVENT ETRE

DES RISQUES MISES EN PLACE AVANT QUE LE
POUR LA RISQUE N'APPARAISSE ?
SECURITE ET
LA SANTE
 129

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION EN ASSURE-T-ON L'ENTRETIEN
| DES RISQUES || ET LE CONTROLE ?
POUR LA
SECURITE ET
| LA SANTE

ORGANISATION CONTRACTUELLE DES

ENTREPRISES :
= CO-TRAITANTES
= SOUS-TRAITANTES

LA COORDINATION ET LE CONTROLE
DES TRAVAUX DE GROS-OEUVRE ET
DE SECOND-OEUVRE RELEVENT-ILS
DU MEME SERVICE ?

- CHEZ LE MAITRE DE L'OUVRAGE?

- CHEZ LE MAITRE D'OEUVRE ?
- AU SEIN DES METHODES ?

EST-CE QUE LES DELAIS PREVUS

POUR LES DIVERSES ENTREPRISES
NE RISQUENT PAS DE COMPROMET-
TRE LA SECURITE DU CHANTIER ?

CONNAIT-ON LES RISQUES INDUITS

PAR LES AUTRES ENTREPRISES ?

EST-IL POSSIBLE D'ENVISAGER

L'ORGANISATION SEQUENTIELLE DE
VOS TRAVAUX ?
QUELS-EN SONT LES RISQUES
PARTICULIERS ?
 130

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMÈTRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
PREVENTION AMENAGEMENT DES ABORDS
DES RISQUES - QUI ASSURE LE NETTOYAGE
POUR LA FINAL DU CHANTIER ?
SECURITE ET - RISQUES PROPRES AUX ENGINS
LA SANTE - RISQUES PROPRES A L'’ENVI-
RONNEMENT :
. VOIE D'EAU
. FORETS
. RESEAUX DE CIRCULATION

- ATELIER ?
- LABORATOIRE ?
- GARAGE ?
- CUISINE ?

S'EST-ON ASSURE A L'AMONT QUE

LES PRODUITS, MATERIELS ET
MATERIAUX MIS EN OEUVRE SONT
COMPATIBLES AVEC LES POSSIBI-
LITES DE L'HOMME AU TRAVAIL ?

Y-A-T-IL DES LATITUDES LAIS-

SEES EN LA MATIERE DANS LES
CAHIERS DE CHARGES ?

EST-CE QUE L'UTILISATION

RATIONNELLE DU MATERIEL A ETE
ETUDIEE AVEC LES INTERVENANTS
AMONTS ET AVALS ?
 131

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

PREPARATION DU CHANTIER

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : COUTS

| PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE
QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| F
ORGANISATION
COORDINATION
COMMUNICA- EST-CE QUE LES METHODES D'EXE-
TION CUTION ET LES DELAIS SONT
MAITRISES PAR VOTRE ENTREPRISE
ET SES SOUS-TRAITANTS

AVEZ-VOUS MIS EN PLACE UN PRO-

CESSUS DE CONTROLE ET D'AUTO-
CONTROLE EN MATIERE DE DELAIS,
DE PRODUCTIVITE ET DE SECURITE?

DISPOSEZ-VOUS D'UN PROGRAMME

INFORMATIQUE DE PLANIFICATION
DES DELAIS QUI SOIT COMPATIBLE
AVEC LES EXIGENCES FORMULEES
PAR LES ACTEURS?

EST-ON A MEME DE MAITRISER :

= LES CONTRAINTES D'EXECUTION?

- LES CONTRAINTES D'EXPLOITA-
TION DU CHANTIER ?
 132

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION | EST-ON A MEME DE CONTROLER LES
COORDINATION | INTERACTIONS ENTRE LES DELAIS
COMMUNICA- DES DIVERSES ENTREPRISES SUR
TION LE CHANTIER ?

DES MODULATIONS DE DELAIS SONT-

ELLES ENCORE POSSIBLES ?

A-T-ON PREVU L'ORGANISATION DE

L'INFORMATION POUR LA REALISA-
TION DU PROJET ?

A-T-ON AU SEIN DE VOTRE ENTRE-

PRISE COORDONNE POUR LE PROJET
EN QUESTION, LES MISSIONS PRO-
PRES AUX DIFFERENTS SERVICES ?

CETTE SYNERGIE PERMET-ELLE DE

GERER L’EXECUTION DE VOTRE
CHANTIER COMME UN INVESTISSE-
MENT PRODUCTIF :

- AU PARTENARIAT ?
- AU TRAVAIL SEQUENTIEL ?
- A LA SOUS-TRAITANCE ?

EST-CE QUE LA FIABILITE DU MA-

TERIEL EST SUFFISANTE POUR
L'EXCUTION DE TACHES DIVERSI-
FIEES ?
 133

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
; UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
FORMATION A-T-ON DEFINI LA COMPETENCE DE ||:
LA MAITRISE ET DES EXECUTANTS
POUR CE TYPE DE CHANTIER ?
 134

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PARTICIPA- CONNAIT-ON LES CANAUX D'’INFOR-
TION ET MATION ENTRE L'AVAL ET
INFORMATION L'AMONT :
- TYPE DE REUNION ?
- CONCERTATION ?
= CONTROLE DES DELAIS ?

ORGANISATION Y-A-T-IL UN RISQUE D'INTERAC-

COORDINATION TION ENTRE LES DELAIS DES
COMMUNICA- AUTRES ENTREPRISES SUR LE
TION DELAI SOUSCRIT A VOTRE
ENTREPRISE ?

LE CONTROLE DES DELAIS EST-IL

COMPATIBLE AVEC LES CONTROLES

INTEGRE-T-ON DANS LA REALISA-

TION DU PLANNING :

- LES PREVISIONS METEOROLOGI-

QUEE A COURTS TERMES ?
- L'ADAPTATION DES CONDITIONS
D'EXECUTION AUX CONTRAINTES
CLIMATIQUES ?

A-T-ON ORGANISE :

- LA CIRCULATION VERTICALE ET
HORIZONTALE DES HOMMES ET
DES MATERIAUX ?
 135

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
| ORGANISATION LE ZONAGE DU CHANTIER
COORDINATION LES MOYENS DE LEVAGE :
COMMUNICA- . SONT-ILS BIEN EVALUES ?
TION . SONT-ILS BIEN DISPOSES
POUR LES PHASES SUCCESSI-
VES DU PROJET ?
. REPONDENT-ILS AUX BESOINS
DES DIVERSES ENTREPRISES ?
LES MOYENS DE TRANSPORT :
. SONT-ILS BIEN DEFINIS ?
. PEUT-ON LES UTILISER EN
ESPACES CONFINES ?
. PEUT-ON LES UTILISER EN
ATMOSPHERE EXPLOSIBLE ?
LES VOIES DE CIRCULATION
SONT-ELLES AMENAGEES EN
TENANT COMPTE :

. DE LA SUCCESSION DES
OPERATIONS ?
. DE L'AMENAGEMENT FUTUR DU

A-T-ON PREVU :
LE MANAGEMENT DES EQUIPES ?
LES EQUIPES MULTIDISCIPLI-
NAIRES ?
LES TRAVAUX SEQUENTIELS ?
L'INTERESSEMENT DES TRAVAIL-
LEURS ?
LA FUSION DES TACHES ET POLY-
VALENCE ?
LA COMPATIBILITE DES TACHES
ET CIRCULATION DE L'INFORMA-
TION ?
LES CONTROLES ET AUTO-
CONTROLES ?
LES EQUIPEMENTS SOCIAUX ?
 136

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE mA PJAOPCENP C0, EÏPR AP] M PCEl

ORGANISATION EST-CE QU'IL-Y-A ADEQUATION Es )
COORDINATION ENTRE LES MOYENS DE PROTECTION ||:
COMMUNICA- PRVUS ET LES PROCEDES D'EXE-
CUTION SUCCESSIFS ?

PREVENTION DES DISPOSITIONS SONT-ELLES

DES RISQUES PREVUES POUR LE TRANSPORT ET LA
POUR LA CIRCULATION VERTICALE ET HORI-
SECURITE ET ZONTALE DES HOMMES ET DES
LA SANTE MATERIAUX ?

L'UTILISATION DES ENGINS DE )

LEVAGE :
- SONT-ILS EN NOMBRE SUFFISANT?
- SONT-ILS BIEN IMPLANTES POUR
LES ENTREPRISES CO-TRAITAN-

L'UTILISATION EN COMMUN DU !
MATERIEL ET DES ENGINS SUR LE
CHANTIER INDUIT-ELLE DES
RISQUES :

- POUR LE PERSONNEL ?
- POUR LES TIERS ?

DES INSTALLATIONS POUR LES

PREMIERS SOINS, DES EQUIPE-
MENTS SOCIAUX SONT-ILS PREVUS
SUR LE CHANTIER ? :
 137

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
PREVENTION PEUT-ON EN MATIERE DE SECU-
DES RISQUES || RITE :
POUR LA AMELIORER LES OPERATIONS ?
SECURITE ET AMELIORER LES DEPLACEMENTS ?
LA SANTE AMELIORER LES CONTROLES ?
DIMINUER LES ATTENTES ?
DIMINUER LES STOCKAGES ?

DISPOSE-T-ON DE DOCUMENTS DE
CONTROLE POUR LA SECURITE :

- CERTIFICATS DE CONFORMITE ?
- EXAMENS PERIODIQUES ?
“= JOURNAL DES TRAVAUX ?

AVEZ-VOUS PREVU D'INCLURE

L'INSERTION DES CLAUSES DE $SE-
CURITE ET DE SANTE DANS LES
DOCUMENTS CONTRACTUELS DE VOS
SOUS-TRAITANTS ?

GROS-O0EUVRE

CLOTURE
DU CHANTIER
- ACCES DES ENGINS ET TRAVAIL-

LEURS ?
SIGNALISATION ROUTIERE ?

CONTROLE DU MATERIEL ?

CANALISATIONS ENTERREES,

LIGNES ARIENNES DE DISTRI-

BUTION ?
 138

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION || TRAVAUX
DE DEMOLITION
DES RISQUES
POUR LA ETUDE DE L'EXISTANT ?
SECURITE ET CHOIX DE LA METHODE DE DEMO-
LA SANTE LITION ?
PREPARATION DU CHANTIER ?
MESURES DE PROTECTION ET
ETANCONNAGE ?
ORGANISATION DES PHASES :
.« DE DEMOLITION ?
« D'EVACUATION DES GRAVATS ?
PREPARATION DU CHANTIER
FUTUR ?

- NATURE pu So ?

EST-CE QUE LA PRECISION DES

SONDAGES PERMET D'AFFIRMER
QU'IL S'AGIT :
. D'UN TERRAIN EN PLACE ?
. D'UNE DECHARGE INDUSTRIEL-
LE ?
. D'UN SITE COMPORTANT DES
MASSIFS ENTERRES OU DES
CANALISATIONS ENTERREES ?

- CARACTERISTIQUES GEOMETRI-
QUES DE FOUILLES :
. MOUVÉMENT DES SOLS ?
. ORGANISATION DES TRAVAUX?
. TALUTAGE ?
. BLINDAGE ?
 139

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARANETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANTSATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION LEVAGE
| DES RISQUES
POUR LA * GRUES
SECURITE ET L'IMPLANTATION DE LA GRUE
| LA SANTE - INSTALLATION DE LA VOIE DE
LA GRUE ?
MONTAGE DE LA GRUE ?
ANCRAGE DE LA GRUE ?
AMARRAGE DE LA GRUE ?
DISPOSITIFS DE SECURITE ?
FIN DE COURSES DE LEVAGE ?
LIMITATEURS DE CHARGES ET DE
COUPLES DE LEVAGE ?
CONTROLE ET ENTRETIEN ?
QUALIFICATION DU GRUTIER ?
INTERFERENCE DES APPAREILS
DE LEVAGE ?
* ELEVATEURS
* ASCENSEURS DE CHANTIER
* MONTE-MATERIAUX

CONCEPTION COMPATIBLE AVEC

LES INTERVENTIONS DES DIVER-
SES ENTREPRISES ?
VERIFICATIONS, CONTROLES,
ENTRETIEN ET STOCKAGE ?
ANCRAGES ET STABILITE ?
DEMONTAGE ?
 140

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION
DES RISQUES ACCES AU CHANTIER ?
POUR LA APPROVISIONNEMENT ET STOCKAGE
SECURITE ET LEVAGE ?
LA SANTE PROTECTION CONTRE LES CHUTES:
. LORS DU MONTAGE ?
. LORS DES TRAVAUX FUTURS DE
MAINTENANCE ?
DISPOSITIFS DE PROTECTION
POUR LES TRAVAILLEURS ET LES
RIVERAINS :
. GARDE-CORPS ?
. ECRANS ?
« AUVENTS ?
. FILETS ?
. HARNAIS ?
. POINTS D'ANCRAGE ?

CAGES D'ASCENSEURS ?
GAINES TECHNIQUES ?
PROTECTION COLLECTIVE CONTRE
DISPOSITIFS DE PROTECTION
INDIVIDUELLE ?
POINTS D'ANCRAGE ?

FERMETURE DES BAIES ?

ACCES AUX TOITURES ?
BALCONS, TERRASSES ?
PROTECTION COLLECTIVE CONTRE
LES CHUTES ?
DISPOSITIFS DE PROTECTION
INDIVIDUELLE ?
POINTS D'ANCRAGE ?
 141

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

| PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

|| À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATI0
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
[| PREVENTION
DES RISQUES BAIES-CAGES D'ASCENSEURS ?
POUR LA CAGES D’ESCALIERS ?
| SECURITE ET PASSERELLES ?
|| LA SANTE TREMIES ?
PROTECTION COLLECTIVE CONTRE
LES CHUTES ?
DISPOSITIFS DE PROTECTION
INDIVIDUELLES ?
POINTS D'ANCRAGE ?

PLANCHERS-SOLS-PLAFONDS
OUVERTURES DANS LES PLAN-
CHERS ?
PASSAGE DES GAINES ?
PROTECTION COLLECTIVE CONTRE
LES CHUTES ?
DISPOSITIFS DE PROTECTION
INDIVIDUELLE ?
POINTS D'ANCRAGE ?

PRACTICABILITE DES ACCES ?

- MANUTENTION DES COMPOSANTS ?
- LES PROTECTIONS COLLECTIVES
CONTRE :
. LES CHUTES DE PERSONNES ?
. LES CHUTES DE MATERIAUX ?
SONT-ELLES COMPATIBLES AVEC
LES CONTRAINTES DES DIVERS
INTERVENANTS :
. ELECTRICIENS ?
. CHAUFAGISTES ?
. PEINTRES ?
. POSE D'ISOLATION ?
. ETANCHEISTES ?
 142

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION DEGAGEMENTS
ET ESCALIERS
DES RISQUES - TENIR COMPTE DES CIRCULA-
POUR LA TIONS SUR LE CHANTIER ?
SECURITE ET - EVACUATION DU CHANTIER EN
LA SANTE CAS DE DANGER ?
- PICTOGRAMME DE SECURITE ?

AMENAGEMENTS EXTERIEURS
CIRCULATION SUR CHANTIER
- ACCES DU PERSONNEL ?
- UNE ENTREE ET UNE SORTIE

POUR LES VEHICULES

REALISATION ET CONTROLE DES

INSTALLATIONS

CABINES HAUTE TENSION ?

MONTE-CHARGES, ASCENSEURS ?
EVACUATION DES ORDURES ?
GAINES DE VENTILATION ?

ORDRE
SUR CHANTIER
- CONTAINER

- EVACUATION DES ORDURES

« VERTICALES

« HORIZONTALES
 143

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION COUTS REF,

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T= ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| PREVENTION | EQUIPEMENTS SANITAIRES,
DES RISQUES ||CHAUFFAGE
ET CLIMATISATION
| POUR LA
SECURITE ET CONNAIT-ON LES MOYENS DE
|| LA SANTE LEVAGE DISPONIBLES ?
Y-A=T-IL DES INTERVENTIONS
EN TOITURES ?
RACCORDEMENTS ELECTRIQUES
DISPONIBLES ?
MISE EN SERVICE DES INSTALLA-
TIONS
SOUDAGES OXY-ACETYLENIQUE OU
A L’ARC ELECTRIQUE :
. RISQUES POUR LES AUTRES
ENTREPRISES ?
. RAYONNEMENTS NOCIFS ?
. GAZ, VAPEURS ?
. PERMIS DE FEU ?
. BOUTEILLES A GAZ ?
. RISQUES ELECTRIQUES ?
. INCENDIE ?
< BRULURES ?
. ORGANISATION DES SECOURS ?

= SECURITE DES INSTALLATIONS

PROVISOIRES ?
= SECURITE DES TRAVAUX ?

- PROTECTION DES ZONES D'INTER-

VENTION ?
- ACCES A LA MACHINERIE ?
 144

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION PEINTURE
DES RISQUES || - RISQUES POUR LA SANTE DES
POUR LA PRODUITS UTILISES :
SECURITE ET . PEINTURES ?
LA SANTE . DILUANTS ?
« VERNIS ?
+ SOLVANTS ?
. PIGMENTS ?
- RISQUES D'INCENDIE ET D'EX-
PLOSION :
. LORS DU STOCKAGE ?
. LORS DE LA MISE EN OEUVRE?
. LORS DE LA CO-ACTIVITE ?
- RISQUES D’ACCIDENTS :
. CHUTE DE HAUTEUR ?
. ELECTROCUTION ?
- RISQUES DUS A L'UTILISATION
DU MATERIEL ?

- RISQUES SUR LE CHANTIER :

. APPAREILS DE CHAUFFAGE ?
. INSTALLATIONS ELECTRIQUES ?
. PRODUITS ET MATERIAUX
INFLAMMABLES ?
. LIQUIDES ET GAZ INFLAMMA-
BLES ?
. TRAVAUX DE SOUDAGE ET DE
COUPAGE ?
. TRAVAUX D'ASPHALTAGE ET DE
BITUMAGE ?
- POLITIQUE DE PREVENTION IN-
CEDIE (EXTINCTEURS, HYDRANTS,
SPRINXLERS) :
. PERMIS DE FEU ?
. ORGANISATION DE LA PHASE
PREVENTIVE ?
. ORGANISATION DE LA PHASE
ACTIVE ?
 145

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS

POUR LES FONCTIONS CONCERNEES

PREVENTION CONNAIT-ON LES CONDITIONS ME-

| DES RISQUES TEOROLOGIQUES DE LA REGION ?
POUR LA
SECURITE ET - EXISTE-T-IL UNE PROTECTION
LA SANTE CONTRE :
. LE FROID ?
. LE GEL ?
. LA CHALEUR ?
. LE VENT ?
. LA PLUIE ?
EST-IL POSSIBLE DE MODULER
L'ORGANISATION DES TRAVAUX
EN FONCTION DES CONTRAINTES
ATMOSPHERIQUES ?

- DE BRUIT ?
- DE VIBRATION ?
= DE POUSSIERE ?
- DE GAZ TOXIQUES ?
A-T-ON ETUDIE LES MOYENS DE
LES PREVENIR ?

A-T-ON ETUDIE LES MOYENS

D'ECLAIRAGE SUR LE CHANTIER
AU NIVEAU :
- DES ACCES ?
- DES ABORDS ?
- DE L'INTERIEUR DU CHANTIER ?

LES PLANS, LEURS DETAILS, LE

PLANNING ET LA SUCCESSION DES
SEQUENCES SONT-ILS COMPREHEN-
SIBLES POUR LES TRAVAILLEURS ?
 146

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DEQUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION EST-CE QUE LES RISQUES DE CO-
DES RISQUES || ACTIVITE ONT ETE ETUDIES ?
POUR LA
SECURITE ET
LA SANTE
A-T-ON DEFINI DES STRUCTURES
PARTICIPATIVES POUR LES TRA-
VAILLEURS SUR LE CHANTIER ?

ORGANISATION || LES STRUCTURES DE NEGOCIATION

COORDINATION || EXISTENT-ELLES EN MATIERE :
COMMUNICA- DE CONDITIONS DE TRAVAIL ?
TION DE FORMATION ?
DE TRANSPORT DE PERSONNES ?
D'INTEMPERIES ?
DE CONGES ANNUELS ?
DE TRAVAIL A PLUSIEURS EQUI-
PES ?
DE LOGEMENT DES TRAVAILLEURS?
DE TRAVAUX REALISES PAR DES
ENTREPRISES ETRANGERES ?
DE TRAVAIL DE NUIT ?

FORMATION A-T-ON PREVU UNE FORMATION

LORS DE L'ACCUEIL DES NOUVEAUX
EMBAUCHES ?

UN NIVEAU DE COMPETENCE A-T-IL

ETE FIXE ?

UN NIVEAU DE POLYVALENCE EST-I

NECESSAIRE ?
 147

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

L PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

| A ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
FORMATION Y-A-T-IL UN AUTO-CONTROLE SUR
LE CHANTIER ?

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

| À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || EST-cE QU'IL Y A ADEQUATION
ENTRE LES MOYENS MIS EN OEUVRE
ET LA QUALITE DU PRODUIT
SOUHAITE ?

FORMATION A-T-ON DEFINI DES CRITERES DE

POLYVALENCE POUR LES TRAVAIL-
LEURS ?

EST-CE QUE LES EQUIPES D'EXE-

CUTION SONT FAMILIARISEES :

- AUX PLANNINGS ?
- A LA LECTURE DES PLANS ?
- AUX TECHNIQUES ET MATERIAUX
MIS EN OEUVRE ?
= AU CONTROLE DE QUALITE ?
- À L'AUTO-CONTROLE ?
 148

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA PROGRAMMATION

EXECUTION

AXE D'’ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES ||EST-CE QUE L'EXECUTION DE VOS
TRAVAUX EST CONFORME AUX PLANS
D'EXECUTION ?
GUIDE DE CONDUITE
DE PROJET
A L'USAGE
DU GESTIONNAIRE
ET DES ORGANISATEURS
DE CHANTIER
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 151

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR L'ORGANISATION

PROGRAMMATION
AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
| ORGANISATION ||A-T-ON DEFINI LES PERFORMANCES
| COORDINATION ||ET LES BESOINS AUXQUELS DOIT
COMMUNICA- REPONDRE LA FONCTION DE PLANI-
|| TION FICATION EN CAS DE MODIFICA-
| TION :

- DES DELAIS PARTIELS ?

- DES TECHNIQUES DE MISES EN
OEUVRE ?
- DE CHANGEMENT DE DESTINATION
DE L'OUVRAGE ? (EN TOUT OU
PARTIE)
- DE BUDGET ?
= DE PAIEMENTS ?

AXE D’ENRICHISSEMENT : QUALITEF

L PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
ORGANISATION|| A-T-ON PREVU UNE EQUIPE PLURI-
COORDINATION|| DISCIPLINAIRE DE PROJET DES
COMMUNICA- LES PHASES D'ORIENTATION ?
TION
 152

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LL’ ORGANI SATION

AVANT-PROJET

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION || LES CONTRATS DEFINISSENT-ILS
COORDINATION|| CLAIREMENT LES MISSIONS ET LES
COMMUNICA- RESPONSABILITES SUR LE PLAN :
TION
- DES ETUDES ?
- DE L'EXECUTION ?

A-T-ON ETUDIE LES RESPONSABILI-

ES SUR LE PLAN :

- DE LA CONCEPTION ?
- DE LA COORDINATION ?
- DE LA PRISE DE DECISIONS ?
- DES ETUDES ?
- DE L'EXECUTION ?

RECOURT-ON A DES INNOVATIONS

ORGANISATIONNELLES DU TYPE :

- DE LA VOIE DE L'INDUS-
TRIALISATION ?
- DE LA VOIE DE L'INGENIERIE
D'ENTREPRISE ?
- DE LA VOIE DE LA MAIN-
D'OEUVRE ?
- DU PARTENARIAT ?
 153

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

L PARAMETRES ANES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS

|A ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE PR AP PA] NO PC

ORGANISATION A-T-ON DEFINI LES CANAUX
COORDINATION D'INFORMATION ENTRE LES EXECU-
COMMUNICA- TANTS ET LES CONCEPTEURS
TION LORS :

= DE L'AVANT-PROJET ?
- DU PROJET ?
- DES ETUDES ?
- DES REMISES DE PRIX ?
- DE LA REALISATION ?

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES

A ETUDIER POUR LES FONCTIONS
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION A-T-ON DEFINI LE MOMENT LE PLUS|
COORDINATION PERTINENT AUQUEL DOIT COMMENCER]
COMMUNICA- LA MISSION DES GESTIONNAIRES D
TION PROJET ET DE CHANTIER :

- POUR LES ETUDES ?

- POUR LA REALISATION DES TRA-
VAUX ?
 154

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR L'ORGANISATION

PROJET

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE | À MIDI P

ORGANISATION DE QUELS MOYENS DISPOSENT LES
COORDINATION PARTENAIRES POUR MAITRISER ET
COMMUNICA- CONTROLER LES DELAIS :
TION
- AU NIVEAU DES ETUDES ?
- AU NIVEAU DE L'EXECUTION ?

A-T-ON DEFINI L'ORDONNANCEMENT

DU PROCESSUS DECISIONNEL EN
MATIERE :

- DE PAIEMENT DES TRAVAUX ?

- DE FOURNITURE DE PLANS ?
- D'ORGANISATION DES TRAVAUX ?
- DE MOYENS D'EXECUTION ?

AT-ON VERIFIE SI LA PROCEDURE

D'APPROBATION DES PLANS ET DES
CAHIERS DE CHARGES EST COHE-
RENTE ?

FORMATION A-T-ON DEFINI LA COMPETENCE DE

L'EQUIPE ET SON CHAMP D'INTER-
VENTION ?
 155

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

L PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
x UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| PREVENTION LES MODES OPERATOIRES DEFINIS
DES RISQUES || ET LES IMPOSITIONS DE DELAIS
POUR LA INTEGRENT-ILS LE RESPECT DES
SECURITE ET || MESURES DE SECURITE SUR LE
LA SANTE CHANTIER ?
 156

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||A-T-ON DEFINI CLAIREMENT LA
COORDINATION ||MISSION DE GESTION AU NIVEAU :
COMMUNICA-
TION - DU PROJET ?
- DES ETUDES ?
- DE L'EXECUTION ?
- DU RESPECT DES DELAIS ?
DU RESPECT DU BUDGET ?
DE LA FOURNITURE DES MATE-
RIAUX ET MATERIELS ?
DE L’INSTALLATION ET DE
L'ORGANISATION DES INTERVEN-
TIONS DES ENTREPRISES ?
DE SOUS-TRAITANCE ?
DU PARTENARIAT ?
DES TRAVAUX SEQUENTIELS ?
DE LA REPARTITION DES FRAIS
COMMUNS ET CECI SUR LE PLAN
DE :
. LA QUALITE ?
. LA SECURITE ?
. LA PRODUCTIVITE ?

A-T-ON PREVU :

LES STRUCTURES DE CONCERTA-

TION ?
LES EQUIPES MULTIDISCIPLI-
NAIRES ?
LE TRAVAIL SEQUENTIEL ?
LA FUSION DES TACHES ET LES
POLYVALENCES ?
LA CIRCULATION ET L’INFORMA-
TION ?
LES CONTROLES ?
LES EQUIPEMENTS SOCIAUX ?
 157

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
+ UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| PERFORMANCES ||A-T-ON PERSUADE LES DIFFERENTS
ACTEURS DES AVANTAGES DU TYPE
DE GESTION ?

A-T-ON PENSE :

- AU MANAGEMENT PAR OBJECTIF ?

- A L’APPEL A LA CREATIVITE ?
- A LA CAPACITE DES CONSEILS ?
 158

AXE D'’ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISOUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES EST-CE QUE LE PROGRAMME DU
MAITRE DE L'OUVRAGE CORRESPOND
AUX SPECIFICATIONS ARRETEES
PAR LES CONCEPTEURS ?

A-T-ON DEFINI LA COMPETENCE

DES INTERLOCUTEURS CHARGES DU
CONTROLE DE LA QUALITE AU
NIVEAU :

DE LA CONCEPTION ?
DE L'ORGANISATION ?
DE L’EXECUTION ?
DES INTERFACES ENTRE CES
TROIS SEQUENCES ?
DE LA RECEPTION DES
TRAVAUX ?
DE LA FOURNITURE DES
MATERIAUX ?

LES CONTRAINTES DE QUALITE

S'INTEGRENT-ELLES AUX EXIGEN-
CES DEFINIES EN MATIERE :

DE SECURITE ?
DE PRODUCTIVITE ?
DE DELAIS ?
DE MOYENS MIS EN OEUVRE ?

LES CAHIERS DE CHARGES PERMET-

TENT-ILS AUX ENTREPRISES
D'INTRODUIRE DES TECHNIQUES
INNOVANTES SANS COMPROMETTRE
L'ORGANISATION DES TRAVAUX ?
 159

AXE D'’ENRICHISSEMENT : QUALITE (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
FORMATION EST-T-IL UTILE DE PREVOIR UNE
FORMATION DE LA LIGNE HIERAR-
CHIQUE EN MATIERE DE GESTION
DE LA QUALITE ?

ORGANISATION A-T-ON PREVU L'ORGANISATION DE

COORDINATION L'INFORMATION :
COMMUNICA-
TION - POUR LE PROJET ?
= POUR SA REALISATION ?
= POUR SON UTILISATION ?
 160

AXE D'ENRICHISSEMENT :- BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION ||SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES EXISTE-IL UNE FLEXIBILITE DE
DESTINATION POUR L'OUVRAGE
PREVU ?

PARTICIPA- A-T-ON CONSULTE LES UTILISA-

TION ET TEURS FUTURS DE L'OUVRAGE ET
INFORMATION LES RIVERAINS DU SITE SUR LE
PLAN :

- DE LA SECURITE ?
- DES CONDITIONS DE TRAVAIL ?
- DE LA QUALITE ?
- DE L'ENVIRONNEMENT ?

A-T-ON DEFINI DES STRUCTURES

PARTICIPATIVES POUR LES USA-
GERS DU SITE FUTUR ?
 161

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR L'’ORGANI SATION

NEGOCIATION DES OFFRES

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
ORGANISATION || LES DELAIS FIXES A L'AMONT
| COORDINATION|| POUR L'ORGANISATION ET LA
COMMUNICA- REALISATION DES TRAVAUX
TION PEUVENT-ILSTRE RESPECTES :

- AVEC LES MOYENS MIS EN

PLACE ?
- AVEC LES POSSIBILITES DES
ENTREPRISES QUI REALISERONT
LES TRAVAUX SUR LE PLAN DE :
. L'ORGANISATION ?
. DE L'EXECUTION ?

A-T-ON DETERMINE LES PHASES

CRITIQUES POUR LESQUELLES TOUT
DEPASSEMENT DE DELAI RISQUE
DE COMPROMETTRE L'ORDONNANCE -
MENT DE L'EXECUTION DU
PROJET ?

A-T-ON PREVU UNE ORGANISATION

PARTICULIERE POUR LE SUIVI ET
LE CONTROLE DES DELAIS ?
 162

AXE D'ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||MATERIELS ET MATERIAUX
COORDINATION
COMMUNICA- EST-CE QUE LA CONCEPTION
TION ARCHITECTURALE PERMET L'APPLI-
CATION DE TECHNIQUES
INNOVANTES ?

L'ORGANISATION PREVUE A
L'AMONT AUTORISE-T-ELLE DES
ORGANISATIONS PLUS PERFORMAN-
TES AU NIVEAU DES EXECUTANTS ?
(NOUVELLES TECHNOLOGIES, ETC.)

S'EST-ON PENCHE SUR LES POSSI-

BILITES D’INTEGRATION DES
TACHES AU NIVEAU DE :

- L'ORGANISATION DES
ENTREPRISES ?
- L'EXECUTION DES TRAVAUX :
. DE GROS-OEUVRE ?
. DE SECOND-OEUVRE ?

PREVENTION A-T-ON PREVU L'ORGANISATION

DES RISQUES || CONTRACTUELLE ET LA REPARTI-
POUR LA TION DES FRAIS COMMUNS DES
SECURITE ET || ENTREPRISES :
LA SANTE
- CO-TRAITANTES ?
- SOUS-TRAITANTES ?
 163

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : COUTS (suite)

| PARAMÈTRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
L UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION LA COORDINATION ET LE CONTRO-
DES RISQUES || LE DES MESURES DE PREVENTION
POUR LA LORS DES TRAVAUX DE GROS-OEU-
SECURITE ET || VRE ET DE SECOND-OEUVRE RELE-
LA SANTE VENT-ILS DU MEME SERVICE :

- CHEZ LE MAITRE D'OUVRAGE ?

- CHEZ LE MAITRE D'OEUVRE ?
- AU SEIN DES METHODES ?

ÉST-CE QUE LES INCIDENCES DE

REMANIEMENT DE PLANNING SUR
LA SECURITE ON ETE RECENSEES
ET COMMUNIQUEES A L'’AMONT ?

S'EST-ON SOUCIE DE LIMITER

LE TEMPS DE STOCKAGE SUR LE
CHANTIER ?
 164

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
FORMATION EST-IL NECESSAIRE DE METTRE
EN OEUVRE UNE FORMATION
PERMETTANT D'AMELIORER LA
GESTION DU PROJET AU NIVEAU :

- DE L'ORGANISATION ?
= DU CONTROLE DE L'EXECUTION ?

mm mmmmmmmme de nmmmmmu mem... … 0... 1...

PREVENTION CONNAIT-ON LES TACHES QUI

DES RISQUES DEVIENNENT DANGEREUSES SI
POUR LA ELLES SE DEROULENT SIMULTA-
SECURITE ET NEMENT ?
LA SANTE

ORGANISATION || A-T-ON PROCEDE AU ZONAGE DU

COORDINATION|| CHANTIER ?
 165

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
& UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||S'EST-on ASSURE Que LES METHo- ||:
COORDINATION ||DES D'EXECUTION PROPOSEES PAR
COMMUNICA- LES ENTREPRISES SONT CONFOR-
TION MES :

- AUX DELAIS PRESCRITS ?

- AUX PERFORMANCES
SOUHAITEES ?

PERFORMANCES ||FOURNITURE ET_ STOCKAGE

DES MATERIAUX

A-T-ON DEFINI POUR LES FOURNI-

TURES :

- UN DEGRE DE QUALITE ?
- UN TAUX DE REBUT ?
 166

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR EL 'ORGANI SATION

PREPARATION DU CHANTIER

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UNPROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE
QUELLES ESTIME
|DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||LES OBJECTIFS ET LES CONTRAIN-
COORDINATION | TES DES DIFFERENTS ACTEURS EN
COMMUNICA- MATIERE DE PRODUCTIVITE ET DE
TION CONDITIONS DE TRAVAIL ONT-ILS
ETE DEFINIS ?

PERFORMANCES ||CIRCULATION
ET TRANSPORT

A-T-ON ORGANISE LA CIRCULATION

ET LES MOYENS DE TRANSPORT :

- POUR LES HOMMES ?

- POUR LES MATERIAUX ET
ENGINS ?

A-T-ON ORGANISE LES MOYENS

DE LEVAGE ET LEURS INTERFE-
RENCES ?
 167

AXE D'’'ENRICHISSEMENT :- CONDITION DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAHETRES ANES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES LE CHOIX DES MOYENS DE TRANS-
PORTS, DE LEVAGE ET DES VOIES
DE CIRCULATION TIENT-IL
COMPTE :

DES RISQUES PROPRES AU

CHANTIER ?
DE LA SUCESSION DES OPERA-
TIONS ?
DE L'EVACUATION DU CHANTIER
EN CAS DE PERIL MAJEUR ?

PEUT-ON AMELIORER L'UTILISA-

TION DU MATERIEL PREVU PAR LES
ENTREPRISES ?

Y-A-T-IL DU MATERIEL UTILISE

LORS DE L'EXECUTION QUI POUR-
RAIT-ETRE UTILE LORS DE
L'UTILISATION DE L'OUVRAGE :

- SECURITE ?
- ENTRETIEN ?
- MAINTENANCE ET EXPLOITATION

Y-A-T-IL COMPATIBILITE DES

PROTECTIONS COLLECTIVES LORS
DES INTERVENTIONS SUCESSIVES ?
 168

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION MESURES GENERALES
DE SECURITE
DES RISQUES SUR LE CHANTIER
POUR LA
SECURITE ET EST-CE QUE LE TYPE DE GESTION
LA SANTE PREVUE POUR LE PROJET PERMET
DE MAITRISER LES RISQUES PRO-
PRES AU PROJET ?

EST-CE QUE L'ORGANISATION DES

TRAVAUX INTEGRE DES CONTRAIN-
TES :

DE CONSTRUCTIBILITE ?
DE PROTECTION DE LA SANTE ?
DE PROTECTION ENTRE LES
RISQUES DE CO-ACTIVITE ?
DE PROTECTION DE L'ENVIRON-
NEMENT ?

A-T-ON DETERMINE L'ORGANISA-

TION DES SECOURS ?

A-T-ON PREVU L'INSERTION DES

CLAUSES DE SECURITE DANS LES
DOCUMENTS CONTRACTUELS DE

A-T-ON ETABLI LE PLAN GENERAL

DE SECURITE POUR LE CHANTIER ?
 169

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
PREVENTION EST-IL PREVU QUE LES ENTREPRI-
DES RISQUES SES INTRODUISENT UN PLAN
POUR LA PARTICULIER D'HYGIENE ET DE
SECURITE ET SECURITE ?
LA SANTE

A-T-ON PREVU L'ORDONNANCEMENT

DES EQUIPEMENTS SOCIAUX SUR
LE CHANTIER :

- INSTALLATIONS SANITAIRES ?
- ACCUEIL DES TRAVAILLEURS ?

LE ZONAGE DU CHANTIER TIENT-IL

COMPTE DES :

RISQUES D’INTERACTION ENTRE

LES EQUIPES ET LES
ENTREPRISES ?
CANALISATIONS AERIENNES ET
ENTERREES ?

EST-CE QUE LA PLANIFICATION

INTEGRE LES RISQUES PROPRES A
CERTAINES CO-ACTIVITES ?
 170

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION
DES RISQUES
POUR LA
SECURITE ET
LA SANTE POUR LE TRANSPORT DES TRA-
VAILLEURS :
+ À L'INTERIEUR DU SITE ?
. À L'EXTERIEUR DU SITE ?
POUR LA CIRCULATION VERTICA-
LE ET HORIZONTALE SUR
CHANTIER :
. DES HOMMES ?
. DES MATERIAUX ?
POUR DIMINUER LES MANUTEN-
TIONS ?
POUR LA DESSERTE DES
MATERIAUX ?
POUR AMELIORER LES DEPLACE-
MENTS :
. POSE IMMEDIATE DES
ESCALIERS ?
. REPARTITION DES OPERATIONS
DANGEREUSES ?
. REGROUPEMENT DES TACHES AU
SEIN D’UNE EQUIPE SUR DES
ESPACES BIEN DEFINIS ?
POUR L'UTILISATION EN COMMUN
DU MATERIEL ET DES ENGINS
SUR LE CHANTIER :
. RISQUES POUR LE PERSON-
NEL ?
. RISQUES POUR LES TIERS ?
POUR L'UTILISATION DES
ENGINS DE LEVAGE :
. SONT-ILS SUFFISANTS ?
. SONT-ILS BIEN IMPLANTES
POUR LES ENTREPRISES QUI
INTERVIENDRONT :
Z SIMULTANEMENT ?
Z SUCCESSIVEMENT ?
 171

AXE D'ENRICHISSEMENT :- CONDITION DE

TRAVAIL Çsuite)

AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
| PREVENTION A-T-ON ETUDIE :
DES RISQUES
POUR LA - LES RISQUES DE MONTAGE ?
SECURITE ET - LES RISQUES DE DEMONTAGE ?
LA SANTE - LES OPERATIONS DE CONTROLE
ET D'ENTRETIEN ?

POUR LES ECHAFAUDAGES :

- UTILISATION PAR PLUSIEURS

ENTREPRISES :
. SIMULTANEMENT ?
. SUCCESSIVEMENT ?
- MONTAGE ET DEMONTAGE ?
- VERIFICATION, CONTROLE ET
ENTRETIEN ?

MOYENS DE PROTECTION COLLEC-

TIVE :

A-T-ON BIEN CHOISI LES

MOYENS DE PROTECTION QUI
SERONT UTILISES EN COMMUN
PAR LES ENTREPRISES ?
EN ASSURE-T-ON L'ENTRETIEN
ET LE CONTROLE ?

POUR LES ZONES DANGEREUSES :

- ACCES ?
- SIGNALISATION ?
 172

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAHETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION POUR L'ORDRE SUR CHANTIER :
DES RISQUES
POUR LA - CONTAINERS ?
SECURITE ET - EVACUATION DES DECHETS ?
LA SANTE

A-T-ON ETUDIE LES MESURES PAR-

TICULIERES DE SECURITE CONCER-
NANT LES TRAVAUX DES ENTRE-
PRISES QUI INTERVIENDRONT LORS
DU :

A) GROS-OEUVRE
FERME

PREPARATION DU CHANTIER
TRAVAUX DE DEMOLITION :
. ETUDES DE L'EXISTANT ?
. METHODE CHOISIE ?
TERRASSEMENTS ET FONDA-
TIONS :
Y NATURE DU SOL ?
« BLINDAGE DES FOUILLES ?
. CIRCULATION DES ENGINS ?
PAROIS VERTICALES EXTE-
RIEURES :
. PROTECTION COLLECTIVES
CONTRE LES CHUTES LORS :
ZX DU MONTAGE ?
X DE LA MAINTENANCE ?
PAROIS VERTICALES INTE-
RIEURES :
+ PROTECTION COLLECTIVES
CONTRE LES CHUTES AUX
ENDROITS :
ZX DES ASCENSEURS ?
ZX DES GAINES VERTICALES ?
 173

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL Ç(suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION - OUVERTURES EXTERIEURES :
DES RISQUES . BAIES DANGEREUSES ?
POUR LA . ACCES AUX TOITURES ?
SECURITE ET . TERRASSES ?
LA SANTE - OUVERTURES INTERIEURES :
. ASCENSEURS ?
. ESCALIERS ?
. TREMIES ?
. PASSAGE DE GAINES ?

EST-CE QUE LES DELAIS PREVUS

POUR LES DIVERSES ENTREPRISES
ONT ETE CORRECTEMENT EVALUES ?

EST-CE QUE L'’AGENCEMENT DES

TRAVAUX A REALISER PERMET
D'ENVISAGER LE TRAVAIL
SEQUENTIEL ?

QUELS EN SONT LES RISQUES

PARTICULIERS ?

CONNAIT-ON LES RISQUES DE CO-

ACTIVITE DES ENTREPRISES DE
SECOND-OEUVRE ?

LES MOYENS DE LEVAGE SONT-ILS

SUFFISANTS ?

LA SECURITE DES INTERVENTIONS

DES DIVERSES ENTREPRISES A-T-
ELLE ETE ETUDIEE :
- POUR LES GAINES ET LOCAUX
TECHNIQUES ?
- SUR LES TOITURES ?
- DANS LES ESPACES CONFINEES ?
 174

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION LES INSTALLATIONS POUR LES
DES RISQUES TRAVAILLEURS SONT-ELLES
POUR LA SUFFISANTES ?
SECURITE ET
LA SANTE

RACCORDEMENTS ELECTRIQUES
DISPONIBLES ?
MISE EN SERVICE DES INSTAL-
LATIONS ?
SOUDAGE OXY-ACETYLENIQUE OU
A L'ARC ELECTRIQUE :
. RISQUE POUR LES AUTRES
ENTREPRISES ?
. RAYONNEMENTS NOCIFS ?
. GAZ, VAPEURS ?
. PERMIS DE FEU ?
. BOUTEILLES A GAZ ?
. RISQUES ELECTRIQUES ?
. INCENDIE ?
. BRULURES ?
- ORGANISATION DES SECOURS ?

CONNAIT-ON LES MOYENS DE LEVA-

GE DISPONIBLE ?

Y-A-T-IL DES INTERVENTIONS

EN TOITURE ?
RACCORDEMENTS ELECTRIQUES
DISPONIBLES ?
MISE EN SERVICE DES
INSTALLATIONS ?
 175

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
Fe UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS A RESOUDRE
PREVENTION - SOUDAGE OXY-ACETYLENIQUE
DES RISQUES OU A L'’ARC ELECTRIQUE :
POUR LA . RAYONNEMENTS NOCIFS ?
SECURITE ET . GAZ, VAPEURS ?
| LA SANTE . PERMIS DE FEU ?
. BOUTEILLES A GAZ ?
. RISQUES ELECTRIQUES ?
+ INCENDIE ?
. BRULURES ?
. ORGANISATION DES SECOURS ?

- SECURITE DES INSTALLATIONS

PROVISOIRES ?
- SECURITE DES TRAVAUX ?
- ECLAIRAGE DU CHANTIER ?

- PROTECTION DES ZONES D'INTER-

VENTION ?

RISQUES POUR LA SANTE ?

RISQUES D’INCENDIE ET
D'EXPLOSION ?
STOCKAGE ?
TRAVAUX EN HAUTEUR ?
ELECTROCUTION ?
 176

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION AMENAGEMENT
DES ABORDS
DES RISQUES
POUR LA RISQUES PROPRES AUX ENGINS,
SECURITE ET AU SITE ET A L'ENVIRONNEMENT
LA SANTE

(ATELIERS, GARAGES, LABORA-

TOIRES, ETC. )

RISQUES SUR LE CHANTIER ?

APPAREILS DE CHAUFFAGE ?
INSTALLATIONS ELECTRIQUES ?
STOCKAGE DE PRODUITS ET
MATERIAUX INFLAMMABLES ?
TRAVAUX DE SOUDURE ET DE
COUPAGE ?
TRAVAUX D'ASPHALTAGE ET DE
BITUMAGE ?
POLITIQUE DE PREVENTION
INCENDIE ?
PERMIS DE FEU ?
ORGANISATION DE LA PHASE
PREVENTIVE ?
ORGANISATION DE LA PHASE
ACTIVE ?

LA PLANIFICATION PERMET-ELLE
DES AJUSTEMENTS EN FONCTION
DES PREVISIONS METEOROLOGIQUES
A COURT TERME ?
 177

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

A ETUDIER. || POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME |DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION | NUISANCES
SUR CHANTIER
DES RISQUES
POUR LA EST-IL POSSIBLE DE LIMITER
SECURITE ET | LES CAUSES :
LA SANTE
DE BRUIT ?
DE VIBRATION ?
DE POUSSIERE ?
DE GAZ TOXIQUES ?

A-T-ON PREVU UN BON ECLAIRAGE

DU CHANTIER ?

A-T-ON DEFINI LES MOYENS DE

PREVENTION EN LA MATIERE ?

A-T-ON ORGANISE LE TRAVAIL

D'EXECUTION :

EN LIMITANT LES CIRCULATIONS

SUR LE CHANTIER ?
EN AMELIORANT CELLES QUI
SONT NECESSAIRES ?
EN ORGANISANT LES MOYENS DE
LEVAGE ET LE TRANSPORT DU
PERSONNEL ?
EN LIMITANT TOUTES LES CO-
ACTIVITES DANGEREUSES ?
EN ETUDIANT LA SECURITE DES
POSTES DE TRAVAIL ?

A-T-O0ON ORGANISE LA REPARTITION

DES TACHES :
- PAR EQUIPES (SEQUENTIEL) ?
- PAR ZONES D'INTERVENTION ?
 178

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITION DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PARTICIPA- PEUT-ON AMELIORER LA COMMUNI-
TION ET CATION DES INFORMATIONS QUI A
INFORMATION ||ETE MISE EN PLACE POUR PERMET-
TRE UN MANAGEMENT PLUS PARTI-
CIPATIF POUR LA REALISATION
DU PROJET ?

A-T-ON DEFINI DES STRUCTURES

PARTICIPATIVES POUR LES TRA-
VAILLEURS SUR LE CHANTIER ?
GUIDE DE CONDUITE
DE PROJET
A L'USAGE
DU CONCEPTEUR
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 181

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA CONCEPTION

PROGRAMMATION
AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || EST-CE QUE LE PROGRAMME DU
MAITRE DE L'OUVRAGE EST BIEN
ARRETE ?

Y-A-T-IL DES DOMAINES EN

MATIERE DE PROGRAMME QUI DEMAN-
DENT DES ETUDES PLUS POUSSEES ?

A-T-ON COMPARE LES PERFORMAN-

CES SUR LE PLAN DES DETAILS :

- DE LA CONSTRUCTION TRADI-
TIONNELLE ?
- DU PREFABRIQUE ?
- DU MONTAGE SUR SITE ?
- DU MONTAGE EN ATELIER ?
 182

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION ||QUELLES SONT LES MISSIONS QUE
COORDINATION || LE GESTIONNAIRE DE PROJET ET
COMMUNICA- LE GESTIONNAIRE DE CHANTIER
TION SERONT TENUS DE REMPLIR SUR
LE PLAN DE :

- LA QUALITE ?
- LA SECURITE ?
- LA PRODUCTIVITE ?

* POUR LE PROJET GLOBALE-

MENT ?
* POUR LES ETUDES D'AVANT
REALISATION ?
* POUR LA REALISATION ?

S'EST-ON ASSURE QUE LES CHOIX

EN MATIERE DE CONCEPTION ET DE
METHODES NE LIMITERONT PAS LES
POSSIBILITES DES ENTREPRISES
(CAHIERS DES CHARGES PAR OBJEC-
TIFS) ?
 183

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA CONCEPTION

AVANT-PROJET

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION || LES CONTRAINTES DE DELAIS
COORDINATION|| FIXEES PAR LA PROGRAMMATION
COMMUNICA- SONT-ELLES COMPTATIBLES AVEC
TION LES DELAIS NECESSAIRES POUR
LA REALISATION :

DE L'’AVANT-PROJET ?
DU PROJET ?
DE L'ORGANISATION ?
DE L’'EXECUTION ?

EXISTE-T-IL UN ORDONNANCEMENT
GENERAL DES CONTRATS :

- POUR LES ETUDES ?

- POUR L'EXECUTION ?

A-T-ON DEFINI LES MOMENTS OU

LE GESTIONNAIRE DE CHANTIER
DOIT INYTERVENIR AU NIVEAU DU
PROJET ?
 184

AXE D'’ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE PR A PA NO PC EP. CC

ORGANISATION|| EST-CE QUE LA STRUCTURE ORGA-
NISATIONNELLE ET DECISIONNELLE
DU PROJET PERMET DE TRAITER LE
PROJET EN RESPECTANT LES
DELAIS ET LE MONTANT PREVU
POUR LES TRAVAUX ?

A-T-ON DECIDE DE LA GESTION

DU PROJET SUR LE PLAN :

- DES ETUDES ?
- DE L'EXECUTION ?

A-T-ON PREVU UNE EQUIPE PLURI-

DISCIPLINAIRE DE PROJET DES
LES PHASES D'ORIENTATION ?

FORMATION EST-IL NECESSAIRE DE METTRE EN

OEUVRE UNE FORMATION PERMET-
TANT D'AMELIORER LA GESTION DU
PROJET :

- POUR LA CONCEPTION ?
- POUR LE CONTROLE ET L'ORGANI-
SATION DE L'EXECUTION ? ë
 185

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

| A ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
D UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION | SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION LORS DE LA DEFINITION DU PRO-
DES RISQUES || GRAMME, A-T-ON TENU COMPTE DE
POUR LA L'AVIS DES UTILISATEURS SUR LE
SECURITE ET || PLAN DE L'ERGONOMIE, DE LA
LA SANTE SANTE ET DE LA SECURITE POUR
LA :

= CONCEPTION LIEUX DE TRAVAIL

- CONCEPTION EQUIPEMENTS ?
 186

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA CONCEPTION

PROJET

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION || LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE

ORGANISATION || LE PROCESSUS DECISIONNEL ET

COORDINATION|| LES RESPONSABILITES SONT-ILS
COMMUNICA- CLAIREMENT DEFINIS POUR CE QUI
TION CONCERNE :

- LE CHOIX DE DESTINATION DE
L'OUVRAGE ?
LA COORDINATION DU PROJET ?
L'APPROBATION DES PLANS ?
LA RECEPTION DES TRAVAUX ?

EST-IL NECESSAIRE DE DESIGNER

UNE PERSONNE OÙ UN ORGANISME
RESPONSABLE EN MATIERE :

- DE CONTROLE ET D'ADAPTATION
DE DELAIS ?
- D'ETUDES D'EXECUTION ?
- D'ORGANISATION :
. DES PHASES PREPARATOIRES ?
. DES PHASES D'EXECUTION ?
 187

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS
UN PROBLEME RISQUE-T- LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE | #7) PI NO PC ENPI C| 0 ARA

PREVENTION A-T-ON PREVU L'INSERTION DES
DES RISQUES || CLAUSES DE SECURITE DANS LES
POUR LA DOCUMENTS CONTRACTUELS DE
SECURITE ET
LA SANTE

A-T-ON ETUDIE POUR LE PROJET :

- L’INTEGRATION DE LA PREVEN-
TION DES ACCIDENTS DE
TRAVAIL ?
DE CHUTES DE HAUTEUR ?
DE CHUTES D'OBJETS ?
DE MANUTENTION DE
MATERIAUX ?
s DE CIRCULATION SUR LE
CHANTIER ?
- DE STOCKAGE ?
- D'EBOULEMENTS ?

EST-IL POSSIBLE QUE LES PRO-

TECTIONS DES TRAVAILLEURS
SOIENT MISES EN PLACE AVANT
QUE LE RISQUE N'APPARAISSE ?

A-T-ON PREVU LES EQUIPEMENTS

SOCIAUX SUR LE CHANTIER :

IMPLANTATIONS ?
NOMBRE ?
INSTALLATIONS SANITAIRES ?
PREMIERS SOINS ?
ACCUEIL DES TRAVAILLEURS ? î
 188

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION
DES RISQUES || INTERIEURES
POUR LA
SECURITE ET BAIES DE FENETRE ?
LA SANTE ACCES AUX TOITURES, TERRAS-
SES, BALCONS ?
ASCENSEURS, ESCALIERS,
TREMIES, GAINES TECHNIQUES ?
OUVERTURES DANS LES
PLANCHERS ?
POINTS D'’ANCRAGE POUR LES
DISPOSITIFS DE PROTECTION ?

EST-CE QUE LA REPARTITION DES

TRAVAUX A REALISER PAR LES
ENTREPRISES ENVISAGE LE TRA-
VAIL SEQUENTIEL ?
(REGROUPEMENT DES TACHES)

QUELS RISQUES PARTICULIERS

D’ACCIDENTS ENTRAINE-T-ELLE ?
(EQUIPEMENTS SANITAIRES,
CHAUFFAGE, CLIMATISATION)

- RISQUES D'INCENDIE, D'EXPLO-

SION ?
- PERMIS DE FEU ?
- STOCKAGE DES BONBONNES ?

EQUIPEMENTS ELECTRIQUES

SECURITE DES INSTALLATIONS

PROVISOIRES :

- ECLAIRAGES ?
- MISE A DISPOSITION D'ENERGIE
ELECTRIQUE
 189

AXE D’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES ?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOURE RAP PJ ND PO PC, Q AP PJ NO PC

PREVENTION PEINTURES
DES RISQUES
POUR LA REMPLACEMENT DES PRODUITS
SECURITE ET || TOXIQUES PAR DES PRODUITS
LA SANTE MOINS NOCIFS

EQUIPEMENTS SPECIAUX

EST-CE QUE LA CONCEPTION ERGO-

NOMIQUE DES INSTALLATIONS
TIENT COMPTE DES RISQUES PRO-
PROPRES A L'UTILISATION
PREVUE OU PROBABLE ?

INCENDIE
SUR CHANTIER

MISE DES INSTALLATIONS D'EX-

TINCTION SOUS PRESSION AU
PLUS TOT ?
PREVENTION INCENDIE (SOUDA-
GE, DECOUPAGE, CHAUFFAGE,
ASPHALTAGE ...) ?
PERMIS DE FEU ?

CONNAIT-ON LES NUISANCES QUE

LE CHANTIER PROVOQUERA :

= POUR L'ENVIRONNEMENT ?
- POUR LES RIVERAINS ?
- POUR LES TRAVAILLEURS ?
. BRUIT ?
+ VIBRATIONS ?
. POUSSIERES ?
.« POLLUTIONS ?

CONNAIT-ON LES MOYENS DE PRE-

VENTION EN LA MATIERE ? î
 190

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T-
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES | A-T-ON VERIFIE LES PERFORMAN-
CES ERGONOMIQUES DE LA MISE EN
OEUVRE ET DE L'UTILISATION ?

- DES PRODUITS ET MATERIAUX ?

- DU MATERIEL ET DES ENGINS ?
 191

AXE D'ENRICHISSEMENT : QUALITE

PARANETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

A ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PARTICIPA- A-T-ON DESIGNE LE RESPONSABLE
TION ET DU CONTROLE DE QUALITE AU
INFORMATION IVEAU :

- DE LA CONCEPTION ?
- DE L'ORGANISATION ?
- DE LA FOURNITURE DES
MATERIAUX ?
- DE L'EXECUTION ?
- DE LA RECEPTION DES
TRAVAUX ?
- DE LA MISE A DISPOSITION DE
L'OUVRAGE ?

S'EST-ON SOUCIE DE L'EVOLUTION

DU SITE :

- LORS DU PROJET ?
- LORS DU DEROULEMENT DU
PROJET ?
 1192

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES
D'EXPLOITATION

EST-CE QUE L'ESTHETIQUE DU

PROJET INTEGRE LES CONTRAIN-
TES :

- D'USAGE DE L'OUVRAGE (ERGO-

NOMIE) ?
D'ENTRETIEN ?
DE FLEXIBILITE DE DESTINA-
TION POUR L'OUVRAGE ?
- DES TECHNIQUES DE PRODUCTION ||:
QUI SERONT MISES EN OEUVRE :
+ SUR LE CHANTIER ?
. LORS DE L'EXPLOITATION DU

A-T-ON CONSULTE LES EXPLOI-

TANTS FUTURS DU SITE :

- EN MATIERE DE PRODUCTI-
VITE ?
- EN MATIERE D'ERGONOMIE ?
- EN MATIERE DE SECURITE ?

A-T-ON ETUDIE :

- LE TYPE DE MAINTENANCE
POUR L'OUVRAGE ?
- LES PERFORMANCES SOUHAITEES
POUR L'OUVRAGE ?
 195

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION REF.

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? ÉXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PERFORMANCES || Esr-cE QUE L’ON S'EST ASSURE :
- DE LA QUALITE ?
- DE LA DURABILITE DES PRO-
DUITS MIS EN OEUVRE ?
DE LA COMPATIBILITE DES
TECHNIQUES D'ENTRETIEN AUX
PRODUITS MIS EN OEUVRE ET
AUX PROCESSUS DE DEGRADATION
EVENTUELS ?

EST-CE QUE DES DONNEES CONCER-

NANT LE FONCTIONNEMENT D'UN
SITE SEMBLABLE EN EXPLOITATION
ONT ETE ANALYSEES ?

PREVENTION EST-CE QUE LA SECURITE, L'ER-

DES RISQUES || GONOMIE D'UTILISATION DE
POUR LA L'ENSEMBLE DES EQUIPEMENTS ONT
SECURITE ET || ETE CONFRONTEES AUX POTENTIA-
LA SANTE LITES ARCHITECTURALES DE
L'OEUVRE ?

PEUT-ON UTILISER :
- SOIT DES ACCESSOIRES DE CHAN-
TIER POUR L'ENTRETIEN ET LA
MAINTENANCE DE L'OUVRAGE;
SOIT DES ACCESSOIRES D'ENTRE-
TIEN ET DE MAINTENANCE POUR
LE CHANTIER :
. ACCES TOITURE ?
. CONTROLES ET ENTRETIEN DANS
LES ESPACES TECHNIQUES ?
. VERRIERES ?
. LUMINAIRES ?
. NETTOYAGE ?
 194

AXE D'ENRICHISSEMENT : BESOINS DES

UTILISATEURS suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION S'EST-ON SOUCIE DE L'EVOLUTION
DES RISQUES || DU SITE LORS DE L'EXPLOITATION
POUR LA DE L'OUVRAGE ?
SECURITE ET
LA SANTE

CE :

= POUR L'ENVIRONNEMENT ?
- POUR LES RIVERAINS ?
= POUR LES UTILISATEURS ?

Y-A-T-IL DES PRODUITS UTILISES

SUR CHANTIER QUI PEUVENT ETRE
ENSUITE NUISIBLES POUR LES
UTILISATEURS ?

Y-A-T-IL DES PRODUITS TOXIQUES

OU DANGEREUX QUI SERONT
EMPLOYES PAR LES UTILISATEURS ?

PARTICIPA- EST-CE QUE LES UTILISATEURS

TION ET FUTURS ONT ETE ASSOCIES A
INFORMATION || L'ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL
DU SITE FUTUR ?
 195

GESTION DU PROJET
TABLEAU DE BORD
POUR LA CONCEPTION

NEGOCIATION DES OFFRES

AXE D'’ENRICHISSEMENT : COUTS

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS | CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE

PRODUCTIVITE
AU NIVEAU DU PRO- ||:

LE PROCESSUS DECISIONNEL ET
LES RESPONSABILITES SONT-ILS
CLAIREMENT DEFINIS POUR CE
QUI CONCERNE :

- LA RECEPTION DE MATERIELS
ET MATERIAUX ?
- LA SECURITE SUR LE CHANTIER
- LES REPARTITIONS DES FRAIS
COMMUNS AUX ENTREPRISES ?

PREVENTION Y-A-T-IL DES PHASES DE TRAVAIL

DES RISQUES POUR LESQUELLES TOUTE REDUC-
POUR LA TION DE DELAI RISQUE DE
SECURITE ET COMPROMETTRE LA SECURITE SUR
LA SANTE LE CHANTIER ?
 196

AXE D'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL

PARAMETRES AXES DE REFLEXTON RISQUES FONCTIONS || PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNÉES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES ESTIME| DE LA
IL DE SE POSER LORS CONCEPTION || SEQUENCES ? DU
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
ORGANISATION A-T-ON DEFINI LES RELATIONS
COORDINATION ENTRE LES ARCHITECTES CHARGES
COMMUNICA- DE LA CONCEPTION ET LES ARCHI-
TION TECTES CHARGES DU CONTROLE DE
L'EXECUTION LORS DES PHASES
DE
- GROS-OEUVRE ?
= SECOND-OEUVRE ?
- LA PRISE DE DECISION ?
- LA REMISE DE L'OUVRAGE
TERMINE ?

PERMETTENT-ELLES LE MANAGEMENT
PAR OBJECTIFS ET FONT-ELLES
APPEL A LA CREATIVITE ?

ÀÂ-T-ON ETUDIE L'ORGANISATION

DES TRAVAUX SELON LES DIVERSES
FORMES D'ASSOCIATION D'ENTRE-
PRISES POSSIBLES ?
- PARTENARIAT ?
= CO-TRAITANCE ?
- SOUS-TRAITANCE ?
- TRAVAUX SEQUENTIELS ?

PERFORMANCES || EST-CE QUE LA CONCEPTION

ARCHITECTURALE, L'ORGANISATION
DU PROJET ET LE CHOIX DES
COMPOSANTS PERMETTENT AUX
ENTREPRISES :
DE FAIRE APPEL A LA POLYVA-
LENCE DES EQUIPES ?
DE DEVELOPPER LE TRAVAIL
SEQUENTIEL ?
- D’INTEGRER LA SECURITE AU
PROCESSUS ? ses ES ss ss
 197

AXE D'’ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL (suite)

PARAMETRES AXES DE REFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION || SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATIO
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PREVENTION || PREVENTION
SUR LE CHANTIER
DES RISQUES
POUR LA EST-CE QUE LA CONCEPTION
SECURITE ET | ARCHITECTURALE INTEGRE DES
LA SANTE CONTRAINTES :

DE CONSTRUCTIBILITE ?
DE PROTECTION DE LA SANTE ?
(CHOIX DES MATERIAUX)
DE PREVENTION DES RISQUES
D'ACCIDENTS ?
DE PROTECTION DE L'’ENVIRON-
NEMENT ?

A-T-ON PREVU UN PLAN D'HYGIENE

ET DE SECURITE POUR LE
CHANTIER ?

ORGANISATION || A-T-ON PREVU LES SUPPORTS ET

COORDINATION|| LES CANAUX D'INFORMATION NECES-
COMMUNICA- SAIRES A LA COMMUNICATION ET A
TION LA CIRCULATION DES INFORMATIONS
ENTRE :
- CONCEPTEURS ?
- ORGANISATEURS ?
- REALISATEURS ?
- UTILISATEURS ?

Â-T-ON PREVU L'ORGANISATION DE

L'INFORMATION :
- POUR LE PROJET ?
- POUR SA REALISATION ?
- POUR LES USAGERS DU SITE
FUTUR ?
 198

AXE D'’'ENRICHISSEMENT : CONDITIONS DE

TRAVAIL Çsuite)

PARAMETRES AXES DE RÉFLEXION RISQUES FONCTIONS PREVENTION

À ETUDIER POUR LES FONCTIONS CONCERNEES
UN PROBLEME RISQUE-T- ||PROGRAMMATION ||LORS DE QUELLES
IL DE SE POSER LORS || CONCEPTION ||SEQUENCES?
DES SEQUENCES ORGANISATION
SUIVANTES ? EXECUTION

QUESTIONS À RESOUDRE
PARTICIPA- A-T-ON DEFINI DES STRUC-
TION ET TURES PARTICIPATIVES
INFORMATION
- POUR LES TRAVAILLEURS ?
SUR LE CHANTIER
- POUR LES USAGERS DU SITE
FUTUR ?

LES STRUCTURES DE NEGOCIATION

DES CONDITIONS DE TRAVAIL
SONT-ELLES MISES EN PLACE ?
Communautés européennes — Commission

Guide de conduite de projet pour l’industrie de la construction

Luxembourg: Office des publications officielles des Communautés européennes

1992 — 198 p. — 29,7 cm x 21 cm

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1000 Bruxelles / 1000 Brussel 26, rue Desaix 1014 Wien 38 Grivas Dhigenis Ave
Tél. (02) 512 00 26 75727 Paris Cedex 15 Tel. (0222) 531 61-0 3 Deligiorgis Street
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Tel. (2) 449500/462312
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