Cours 1 : Economie circulaire Ex : on récupère la chaleur produite par un DATA CENTER pour chauffer des eaux de
refroidissement
Economie circulaire : Transition écologie + énergétique, économie de partage, achats
responsables, économie de fonctionnalité…
Depuis 150 ans on était sur un développement industriel linéaire (je fabrique, je consomme
et jejette) ➔ pas durable= économie linéaire
DEUX EUJEUX IMPORTANTS : Préservation des ressources + changement climatique (limiter
l’émission des gaz à effet de serre).
L’économie circulaire : contrairement à l’économie linéaire (extraire la MP-
fabrication- consommation- jeter), l’économie circulaire vise à remettre les
ressources au cœur du développement. C’est un modèle régénératif inspiré du
vivant (biomimétisme = s’inspirer du vivant pour développer de l’innovation) :
- La nature recycle tout : les déchets des uns sont les ressources pour d’autres
- Utilise l’énergie dont elle a besoin.
- Optimise au lieu de maximise
- Récompense la coopération
- Parie sur la diversité
- Transforme les limites et contraintes en opportunités
3 domaines et 7 piliers de l’économie circulaire :
Domaine 1 : Gestion des déchets (recyclage)
Domaine 2 : Offre des activités économiques (extraction et achat durable, éco-conception =
prendre en compte l’empreinte écologique des produits, écologie industrielle et territoriale,
économie de la fonctionnalité = vendre un usage plutôt que de vendre le produit)
Domaine 3 : Demande et comportement des consommateurs (consommation responsable =
acte de citoyenneté, allongement de la durée d’usage)
Au-delà du recyclage : C’est le sur cyclage (up-cycling). Avec des mégots on arrive à faire des
vêtements isolants (tchao mégot). Ca apporte donc une valeur ajoutée plus importante que
la matière de base. Les déchets des uns peuvent donc être les ressources des autres.
Ex : L’industrie du textile est très consommatrice d’eau et pollue beaucoup via l’eau
qu’elle rejette. On a du mal à réduire sa consommation de textile en tant que
citoyen. Aujourd’hui il y’a de plus en plus de friperies, des enseignes donnent des
bons d’achat quand on ramène les vêtements, les tendances sont donc en train de
changer.
➔ Écologie industrielle et territoriale. On utilise la chaleur fournit par les uns pour l’utiliser
dans un autre secteur qui n’a rien à voir. Les déchets des uns deviennent les ressources des
autres.
A NOTER : Ce qui est compliqué c’est qu’un secteur industriel ne voit pas comment un
autre secteur peut réutiliser ses déchets.
Il faut prendre en compte les impacts environnementaux sur l’ensemble du cycle de vie
d’un produit et les INTEGRER DES LA CONCEPTION ➔ éco conception.
La loi de transition énergétique pour la croissance verte : un modèle rentable et
régénératif, générateur d’activité ET créateur d’emplois durables et non
délocalisables.
ADEME : L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (ADEME),
créée en 1991, est un établissement public à caractère industriel et commercial qui
participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de
l'environnement, de l'énergie et du développement durable. Quand on déploie un
projet qui applique des enjeux d’économies circulaires, il existe de nombreuses
subventions. L’ADEME est une institution qui est porteuse des problématiques et
des avancées environnementales. Cette institution est aussi là pour apporter des
appels à projet, des prêts, des subventions…
1. Ecoconception : Approche du cycle de vie
Cycle de vie d’un produit : on extrait les matières, on fabrique, on transporte, on utilise
puis il y’a une fin de vie du produit.
L’éco-conception consiste à intégrer l’environnement dès la conception d'un produit ou
service, et lors de toutes les étapes de son cycle de vie ». (AFNOR, 2004)
L’approche cycle de vie est une approche :
❖ Multi étape : prend en compte toutes les étapes du cycle de vie du produit
(extraction- fabrication- transport- usage- tri- fin de vie- conception)
❖ Multi composants : prend en compte le produit, le système d’emballage, produits
associés…
❖ Multi critère : prend en compte l’ensemble des impacts environnementaux
générés par la production. On peut regarder plusieurs indicateurs :
Indicateur de flux : consommation d’énergie, d’eau, production de déchets… 2. Economie de partage/ collaborative

Indicateur d’impact environnemental : changement climatique, acidification ca s’est développé avec l’essor du numérique. On peut partager / vendre entre
atmosphérique, eutrophisation de l’eau et épuisement des ressources naturelles. Si particuliers. Quand on fait du BlaBlaCar on fait de l’économie circulaire. Autres ex Air
on améliore 1 seul impact, le problème est que on peut en défavoriser un, il faut BnB, leboncoin…
donc tous les prendre en compte. La feuille de route « Economie circulaire » : Réduire la consommation de ressources liées
Il faut également prendre en compte les impacts sociaux à toutes les étapes du cycle. à la consommation française, réduire de 50% les quantités de déchets non dangereux,
Les entreprises essayent d’intégrer des enjeux sociétaux et environnementaux au tendre vers 100% de plastiques recyclés, réduire les émissions de gaz à effet de serre
sein de leur société. Il y’a donc tout un volet sociétal en prenant en compte le bien (économiser l’émission de 8 millions de tonnes de Co2), créer 500 000 emplois
être des salariés. Une entreprise qui s’engage vis-à-vis de la RSE accorde une supplémentaires y compris des métiers nouveaux.
attention particulière à la protection de l’environnement MAIS AUSSI au bien être des Cours 2 : ACV
salaries, à la sécurité au travail et aux relations qu’elle a avec ses sous-traitants.
Les premières études d’analyse du cycle de vie ont commencé dans les années 1960 aux
L’affichage environnemental n’est pas encore légiféré (obligation future). Dans le Etats Unis par Coca Cola.
futur il va être interdit de faire un affichage environnemental sans avoir fait une
étude avant sur l’empreinte écologique. ACV et eco conception :

2. Consommation et achat responsable
Prend en compte les impacts environnementaux et sociaux à toutes les étapes de CV
du produit dans les choix d’achat que l’acheteur soit privé/publique.
3. Economie de fonctionnalité
On va développer la vente d’un usage et pas la vente d’un produit. Tout ça implique
que l’on va développer des produits qui ont une durée d’usage plus importante.
Eco conception : vise à intégrer l’environnement dès la conception d’un produit ou service
et lors de toutes les étapes du son cycle de vie. Il n’y a pas de certification pour ça.
Cycle de vie d’un produit agroalimentaire : Formulation de la recette ➔ Ferme agricole
➔Transformation ➔ Emballage + Logistique ➔ Préparation et Dégustation ➔ Fin de vie
L’emballage est important et peut donner lieu à un sous cycle de vie. Il existe des normes
(14062) pour l’éco conception et l’analyse de cycle de vie (14040).

Ex Michelin : Michelin a voulu aller vers l’économie de la fonctionnalité. Ils se sont dit
ils vont plus vendre des pneus, ils vont vendre des kilomètres. Ils ont donc intégré de
l’économie circulaire à plusieurs niveaux : ils ont retravaillé leurs pneus pour qu’ils
durent + longtemps (réduction d’émission de CO2 par les voitures quand elles
roulent), il y’a 20 à 30% de matière recyclée dans un pneu neuf. Ils ont fait ça car ils
se sont rendu compte qu’il y’avait une tendance sociétale : les gens sont de + en +
intéressés par l’économie circulaire. De plus, il s’agit d’un projet innovant qui leur
permet de se démarquer de leurs concurrents. Enfin, ça a re boosté leurs équipes
comme c’est un nouveau enjeu. Michelin est un exemple de pivot vers l’économie
circulaire. MAIS, ils n’ont pas eu autant de succès que ce qu’ils pensaient. Les
consommateurs n’étaient pas complètement près à acheter du kilomètre par rapport
à des pneus.
4. Intelligence collective
L’analyse de cycle de vie est une méthodologie qui prend en compte les problématiques
environnementales et les enjeux sociétaux et les impacts sur la santé humaine. Cette
méthode est liée à la composition, la fabrication et l’utilisation et la fin de vie des
produits. Le processus ACV en 4 étapes normalisées :
❖ Définition des objectifs et du champ de l’étude : définition du produit et de l’unité
fonctionnelle + objectif de l’étude (diagnostic/ déclaration environnementale) +
frontière de l’étude + Description du cycle de vie
❖ Inventaire du cycle de vie : Bilan matière et énergie de tous les procédés inclus de
l’étude (consommation/ émissions)
❖ Evaluation de l’impact du cycle de vie : passage des flux d’energie et matière en
catégorie d’impact.
ACV : méthode :Méthode d’évaluation des impacts environnementaux +
économique et sociaux des produits sur l’ensemble de leur cycle de vie.
  Réaliser un inventaire quantifié des consommations et des rejets
Pour la consommation :
Pour la consommation :
Energie= Energie primaire totale = l’ensemble d’énergie puisé des ressources
naturelles
Impact : Changement climatique-acidification atmosphérique- déchets solides-
destruction de la couche d’ozone stratosphérique…
Les enjeux de l’environnement intérieur :
 Pollution plus ou moins importante à l’intérieur pour certaines substances
classées très prioritaires
 Etiquetage obligatoire des produits de construction et de décoration sur
leurs émissions en polluants volatils ( A+ =➔ C)
 Interdiction des substances CMP (cancérigène, mutagène, reprotoxique)
L’affichage environnemental est un dispositif VOLONTAIRE encadré depuis fin 2013.
L’article 90 de la LTECV impose la justification des allégations environnementale des
produits. Cet article vise à lutter contre le Green washing affirmation infondée
visant à faire paraitre un produit plus écologique qu’il ne l’est en réalité.
Chartre graphique pour définir l’impact environnemental : un peu comme le
nutriscore mais pour juger l’impact environnemental
LES HOTELS
Salle de bain hôtel : impact environnemental fort notamment à cause de la
consommation d’eau (régulateur de débit, réutilisation des serviettes en la laissant
accroché l’hôtel ne lave donc pas les serviettes tous les jours)
Petit déjeuner hôtel : produits locaux bio et de saison (limitation des émissions de
CO2 liées au transport).
Autres changements : Changement des lampes par des laides, utilisation de produits
d’entretien éco labelisé, tri des déchets
Affichage environnementale => démarche d’amélioration continue. Mieux vaut
choisir des hôtels qui montre leur affichage environnemental.
Principe de la démarche HSE
Quoi améliorer ? 14 cibles de maitrise des impacts du batiment sur l’environnement
extérieur : cibles d’éco construction, d’écogestion
Et intérieur : cibles de confort et de santé
Comment ? SME = système de management environnemental= un outil de gestion d’une
entité (entreprise, collectivité, association, etc.) qui lui permet de s’organiser de manière à
estimer, réduire et maîtriser ses impacts sur l’environnement.
Obj du système de management environnemental de l’opération SMO : - prioriser et
définir les cibles environnementales- définir les stratégies et les moyens- progresser
(amélioration)
Loi de GRENELLE :
a motivé l’affichage environnemental. C’est très long à se mettre en place depuis une
dizaine d’années. Il n’y a toujours pas de règlementation bien définie. Des groupes de
travail ont été mis en place pour travailler sur l’affichage environnemental par secteur
(textile, agroalimentaire…). Il existe des notes des groupes de travail thématiques. Sur le
secteur textile, habillement on est un tout petit peu plus avancé. Un décret va
prochainement sortir pour rendre obligatoire l’affichage environnemental.
Qui dit affichage environnemental dit analyse du cycle de vie.
On peut trouver un indice écoresponsable dans un produit qui veut dire qu’il y a une
analyse de cycle de vie qui a été faite là-dessus.
Base impact => base de données de l’ADEME qui donne accès à un outil d’analyse du cycle
de vie qui est très simple à utiliser. Agribalyse est une base de données permettant
également d’étudier le cycle de vie. Sur Agribalize on obtient un score environnemental
PEF et PAS UN AFFICHAGE ENVIRONEMENTAL. Plus le score est bas plus l’impact
environnemental est faible.
SIMAPRO :logiciel de modélisation permet de calculer correctement les impacts
environnementaux et faire une ACV complète ➔ projet innovant : base de données
agribalyse
20aines question QCM écoconception, loi AGEC, cycle de vie, économie circulaire
Le cycle de vie prend en compte là où on on va acheter nos produits, nos matières
premières et on précise comment ils seront transformés et où, comment on va
formuler notre produit.
Il y a des phases de transport qui sont non négligeables dans le cycle de vie de notre
transport c’est pour ça qu’on précise toujours le où ??? Ces phases sont pas
forcement indiquées mais sont présentes aux différents étapes du cycle de vie de la
recette/produit.
Ce qui est important c’est d’identifier tous les ingrédients: l’origine (là où on va les
chercher) pour calculer l’empreinte environnementale (les énergies etc). Sur
chacune des étapes de la vie il faut noter de manière QUALITATIVE dans un premier
temps car on peut manquer d’informations QUANTITATIVES. Donc au niveau
qualitatif il faut noter les flux entrant et sortant/
Entrant: les ingrédients et l’aspect énergétique dont on a besoin pour les différentes
étapes. On peut calculer ces énergies par exemple combien de temps de cuisson a
besoin notre produit et a quelle puissance donc on obtient l’énergie dépensée.
Sortant: on doit s’attarder principalement sur les déchets produits et autre
L’eau fait partie des données entrantes et sortantes. Elle est considérée comme
ingrédient mais aussi utiliser pour laver fruits légumes etc: c’est une matière
support. On peut calculer combien d’eau on a besoin et et on peut mesurer combien
d’eau on a rejeté. Aussi est ce que cette eau sale qui est de l’eau de lavage peut être
réutilisée.
Coté énergie on doit avoir la même réflexion. Est ce qu’on utilise l’éléctricité, on
peut utiliser des énergies renouvelables ou alors utiliser des énergies déjà utilisées
par d’autres procédés ou par d’autres usines: c’est dans l’idée d’optimiser l’aspect
énergétique.
On a aussi la partie emballage et logistique: le transport est une sous étape qui peut
se retrouver aux différentes étapes du cycle de vie ou entre plusieurs étapes.
Pour l’emballage c’est different: l’emballage peut être considéré comme un produit
en tant que tel et on peut faire une analyse du cycle de vie sur l’emballage tout seul.
Sur l’emballage toujours la même réflexion: comment je fais pour optimiser mon
emballage ? C’est intuitif. Il y a certaines qualités et caractéristiques de l’emballages
que l’on doit préserver vis à vis d’une certaine règlementation ou même sur
certaines conditions comme le froid par exemple qu’il faut respecter. Ce sont des
Néanmoins il faut réduire à la source les quantités utilisées. Sur un emballage carton par
exemple on peut se poser la question: Quelle est la quantité de carton nécessaire pour mon
emballage ? Ou plastique pareil. Quel type de plastique je peux utiliser et surtout se
demander si on en a vraiment besoin et qu est ce qu’on va faire une fois qu’il est utilisé.
Comment mon consommateur doit consommer mon produit et est ce que ça génère du
déchet, est ce qu’il doit faire une préparation ou pas: c’est une des grandes questions
importantes pour le gaspillage. Toujours avoir cette réflexion tout ce que je produis une fois
que l’étape est terminée est ce que ce que je génère peut être réutilisé. Et tout ce que j’ai
besoin pour mon produit qu est ce que je peux en faire.
APRES ON A FAIT LA PARTIE TD OU CHAQUE GROUPE DE PROJET INNOVANT A ESSAYE
D’IDENTIFIER LES ETAPES DU CYCLE ET COMMENT LES AMELIORER ETC
Ce qu’on peut faire pour réduire le bilan carbone dues aux transports c’est de privilégier les
circuits courts pour éviter les kilomètres. Ya aussi le mode de transport qui est important.
C’est difficile de choisir autre chose que le camion même si ça se développe.
Le carbone c’est finalement un des paramètres, un des critères. Mais l’ACV sur toutes les
étapes de la vie du produit avec la démarche ISO 14040, c’est normalisé y’a une norme assez
imbuvable pour déplorer le cycle de vie. Il faut le considérer comme une méthode d’analyse
de l’ensemble des impacts environnementaux: il n’ y a donc pas que l’aspect carbone. C’est
comme la mise à disposition du labo Avec le logiciel simapro qui est un logiciel reconnu pour
faire de l’analyse de cycle de vie au niveau quantitatif car comme on a dit tout a l’heure on
fait que du qualitatif. Donc la le but c’est d’injecter dans le logiciel les données de base sans
réflexion eco conception et d’injecter avec réflexion eco-conception pour avoir des résultats
de catégories d’impacts différentes pour comparer mais on peut pas le faire…tout ça pour
dire que l’ACV c’est pas que pour l’impact carbone c’est pour toutes les étapes: c’est multi
étape, multicomposant.
Quand on fait cette analyse parfois on sait pas ou mettre les limites de l’étude: exemple du
groupe 1 qui vont avoir un lieu de fabrication et un lieu de vente du coup on sait pas si on
applique le cycle de vie dans la zone de prod ou la zone de vente ou les 2. Aussi on peut faire
l’ACV sur le produit, l’emballage, les chutes ou les outils essentiels à l’entretient, les
accessoires etc…
Il faut faire un état des lieux et un inventaire quantifié des consommations et des L’affichage environnemental dans le QCM !! C’est une expérimentation qui a commencé y’a
rejets: énergie utile pour les différentes étapes du produit (partie eau, ingrédient un moment. C’est a retenir pcq c’est pas encore réglementaire’e mais ça va pas tarder à
etc). On va se poser la question sur le type d’énergie et la quantité. Aujourd’hui c’est arriver: produits textiles et agroalimentaires sont les premiers concernés (ADEM volet
très compliqué de quantifier ces flux mais on est capable de qualifier et c’est déjà économie circulaire ou y’a tout sur l’affichage environnemental). C’est une démarche
bien mais si on va jusqu’au bout d’une ACV il faut mange tout quantifier les entrants engagée en 2009 qui permet de trouver quelle est la meilleure représentation à faire
et sortants. La prof nous a dit de négliger l’air et le sol et de plus se concentrer sur les afficher sur les produits pour que les consommateurs et comprennent et aient accès à
déchets et émission et rejet dans l’eau mais surtout les déchets. L’autre point très l’impact environnemental. L’expérimentation n’est très pas fini. On est dans l’attente d’un
important avec le bilan carbone c’est l’approche multi critère: on ne travaille pas que décret. Y’a une loi de 2020 qui va être developper pour encadrer cet affichage avec 2
sur le carbone sauf dans les phases de transports ou on considère que le carbone. secteurs prioritaires l’agro et le textile. On va proposer la planète avec ABCD (comme le
L’approche nous permet de prendre en compte l’ensemble des impacts nutriscore) l’échelle n’est pas encore calé c’est pour ça qu’il y a encore des discussions et
environnementaux et ça permet de transformer les indicateurs de flux en indicateurs que c’est pas encore validé. (Voir les différents visuels sur les diapo). Bilan produit ou bilan
d’impact. Le fameux logiciel simapro est un logiciel de simulation: il transforme le flux empreinte est utilisé par le fabricant pour analyser l’impact de son produit si non y’a
Les indicateurs
en indicateurs d’impacts. d’impact: celui qui est vraiment une représentation de ce qui peut simopro mais
être un c’estcarbon
impact payant.c’est
Cet le
affichage est bientôt
changement obligatoire
climatique mais pas encore. Il sert à
; il est vraiment
sensibiliser le consommateur à l’impact environnemental
d’actualité mais après y’en a d’autres. Il y en a environ une douzaine d’impact d’environnementaux: changement climatique, acidification atmosphérique et le pousser à consommer de
. Les indicateurs d’impact: celui qui est vraiment une représentation de ce qui peut
etc… il y a aussi une catégorie pollution de l’eau donc on peut voir l’impact sur différents manière responsable.
catégories duC’est un dispositif d’information pour le consommateur
produit.
être un impact carbon c’est le changement climatique ; il est vraiment d’actualité
mais après y’en a d’autres. Il y en a environ une douzaine d’impact
d’environnementaux: changement climatique, acidification atmosphérique etc… il y a
A retenir: l’approche multietape / multicomposant, la transformation des flux en catégorie d’impact après avoir fait l’inventaire. Simapro c’est le logiciel ou
aussi une catégorie pollution de l’eau donc on peut voir l’impact sur différents
on lui rentre toutes données entrant donc tous les inventaires sur toutes les étapes de la vie du produits et les traduits en impact environnementaux. Il n y a
catégories du produit.
pas de seuil au niveau des valeurs quantitatives délivrées par le logiciel. On obtient des valeurs mais on sait pas à partir de quelle valeur c grave. On sait pas
si l’impact est
A retenir: l’approche important/
multietape on travaille alorslaen
/ multicomposant, relatif. C’est àdes
transformation nous deen
flux proposer de nouvelles scénarios qu’on injectera dans le logiciel et en fonction des
nouvellesaprès
catégorie d’impact valeurs obtenue
avoir on travailleSimapro
fait l’inventaire. en comparatif. Les ACVousont
c’est le logiciel relatifs. Ce qui n’est pas facile c’est d’ améliorer toutes les catégories d’impacts en même
on lui
rentre toutestemps car des
données fois certaines
entrant donc tous catégories sont liées.
les inventaires eX: SI J’améliore
sur toutes les étapes un de impact
la ça va peut être élevé un autre
vie du produits et les traduits en impact environnementaux. Il n y a pas de seuil au
niveau des valeurs quantitatives délivrées par le logiciel. On obtient des valeurs mais
on sait pas à partir de quelle valeur c grave. On sait pas si l’impact est important/ on
travaille alors en relatif. C’est à nous de proposer de nouvelles scénarios qu’on
injectera dans le logiciel et en fonction des nouvelles valeurs obtenue on travaille en
comparatif. Les ACV sont relatifs. Ce qui n’est pas facile c’est d’ améliorer toutes les
catégories d’impacts en même temps car des fois certaines catégories sont liées. eX:
SI J’améliore un impact ça va peut être élevé un autre

PARTIE OU ELLE EXPLIQUE Y’AURA QUOI A L’EXAM:

On a dans le cours ce a quoi correspond chaque catégorie d’impact. On prend

l’exemple du changement climatique c’est vraiment l’impact de l’augmentation de
l’effet de serre, de l’augmentation de la température moyenne de la terre. Ce qui
contribue (les contributeurs) à cet effet c’est les gaz à effet de serre. Le cFc c’est un
marqueur connu.