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MENTION SOCIOLOGIE
EXAMEN PSYCHOLOGIE
GROUPE 11
PARTIE I : Généralité
Chapitre 1 : Historique
Premièrement, L’usage du pavot à opium, de la feuille de coca, du cannabis et des substances
hallucinogènes, ainsi probablement que leur abus, remonte à des milliers d’années le célèbre
pharmacologiste LOUIS Lewin écrivait, il y a près d’un demi-siècle dans son livre sur les
narcotiques et les stimulants, que parmi les innombrables substances chimiques non
alimentaire existant dans le monde, n’aucune n’est plus intimement liée que ceux-ci à la vie
humaine. Il concluait en soulignant le caractère universel de leurs effets bénéfiques et
néfastes. La nécessité d’exercer un contrôle stupéfiant et autres drogues dangereuses
‘imposent à tous les pays du monde et les mesures destinées à protéger l’individu et la société
contre l’abus qui peut en être fait doivent être prise simultanément sur le plan national et
international. Il y a 60 ans, lorsqu’on a commencé à envisager un contrôle international, on
s’est surtout inquiéter de risque d’usage abusive des « stupéfiants naturel » provenant en
voie de développement. Aujourd’hui, le danger naitrait plutôt de la facilité avec laquelle,
dans les pays très industrialisés, on se procure des stupéfiants et des substances psychotropes
synthétique qui dépriment ou stimulent les systèmes nerveux centrales, que de l’importation
illicite des produits en provenance de l’Orient : la situation relative à la drogue dans un pays
présente pour les autres un intérêt qui n’est pas seulement théorique. Par exemple, lorsqu’il
y a des gens la Grande Bretagne a refusé d’interdire l’utilisation de l’héroïne à des faits
médicaux ce qui à donner lieu à d’ardentes controverse, les comparaisons et les oppositions
que l’on ne cessait de faire entre les systèmes Américain et Britannique de contrôle des
stupéfiants ont attiré vers le Royaume Uni et ses conceptions plus libérales un afflux Nord-
Américain désireux d’échapper à la rigueur de leur loi nationale. En outre, le trafic et la
consommation des drogues augmentent et se diversifient dans les iles de l’Océan Indien,
notamment à Madagascar, aux Seychelles et sur l’ile Maurice en dehors du cannabis, le
principal marché de la drogue et le plus ancien aussi, dans les iles, c’est l’héroïne. Elle transit
parce qu’on appelle la « Route du Sud ». De l’Afghanistan ou elle est produite, elle chemine
ensuite par la mer le long de la cote africaine ou alors directement jusqu’aux Seychelles et
Madagascar. Par avion sauvant, elle peut s’envoler ensuite vers l’Europe. Mais surtout, la
consommation locale est importante : à Maurice depuis les années 1970, et aux Seychelles
depuis les débuts des années 2000. L’archipel, connu pour ses eaux turquoises possède un
des plus forts taux de consommation d’héroïne en monde. De surcroit, l’émergence de
Madagascar comme la principale plaque tournante est largement ignorée et passe inaperçue.
L’ile est vulnérable à cause des facteurs. D’abord sa position géographique, prohibe du
continent. Et comme certains lieux de débarquement des drogues de la « route du Sud » ont
été repoussé, Madagascar est une alternative pratique. L’ile est grande, difficile à contrôler
la cote est très poreuse, et la gouvernance a des faiblesses. Tout cela fait que Madagascar est
commodément utilisé comme base pour les trafics. Surtout que la très grande demande
d’héroïne aux Seychelles et à Maurice a aussi encouragé ce marché inter-iles.
Chapitre 2 : Définition
Depuis quelques années, l’usage des drogues et des stupéfiants prennent de plus en plus
d’ampleur dans la société Malagasy. Leurs consommations s’intègrent dans tous les classes
sociales et aussi sans considération d’âges. On le voit surtout chez les jeunes, qui, par la forte
dépendance de ces drogues et stupéfiants, devient une bombe à retardement pour eux. De ce
fait, on pourrait définir la jeunesse comme le période de la vie prenant généralement place
entrer l’enfance et l’âge adulte. D’après les dispositions de l’agence des Nations Unies
déterminant la durée exacte de cette période, nous dirons qu’elle est comprise dans
l’intervalle de 15 à 25 ans, ce qui fait d’elle, l’une des périodes les plus importantes de la vie
définissant intrinsèquement l’individu, leurs intérêts, leurs projets ainsi que leur relation avec
le monde. La jeunesse n’est pas que biologique, c’est aussi un processus psychologique,
social et culturel. C’est définitivement une construction sociale qui est fonction de la période
historique et de la société à laquelle elle appartient. Il est par conséquent nécessaire de
considérer ma jeunesse par rapport à la société dans laquelle elle vit. Par la suite, on
appelle « drogue » toute substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le
fonctionnement du système nerveux comme les sensations, perceptions, humeurs,
sentiments, motricité ; ou qui modifie aussi les états de conscience. Une drogue est un
produit susceptible d’entraîner une dépendance physique ou psychique. En général, parmi
les drogues, on peut distinguer celles qui semblent apaiser, telles que l’alcool, les
tranquillisants « médicaments », le cannabis ou les opiacés ; celles qui stimulent, telles que
la cocaïne, l’ecstasy ou les amphétamines ; celles qui provoquent des hallucinations, telles
que le LSD ou les champignons hallucinogènes. Ces effets peuvent varier selon la dose
consommée. Le terme de drogues recouvre aussi bien les drogues illicites comme le
cannabis, l’héroïne ou la cocaïne, que les drogues licites comme la nicotine, l’alcool ou les
médicaments. Selon leurs classifications, on distingue les substances psychoactives
d’origine naturelle qui est extraite d’une plante ou d’un champignon, à l’état brut ou retraitée
chimiquement. Il y a aussi d’origine synthétique, totalement fabriquée en laboratoire à partir
de produits chimiques et que l’on trouve déjà à Madagascar. Le dépresseur qui agissent sur
le cerveau en ralentissant certaines fonctions ou sensations ; un ralentissement de la fonction
respiratoire et l’endormissement sont souvent des effets secondaires de ces drogues. A cette
effet, selon le dictionnaire français Larousse, le terme « stupéfiant » désigne une substance,
médicament ou non, dont l’action sédative analgésique, narcotique et euphorisante provoque
à la longue une accoutumance et une pharmacodépendance c’est-à-dire l’usage répété
entraine une dépendance et qui rend le consommateur en toxicomanie. Il provoque un
étonnement extrême, une grande surprise. Cette intelligence supérieure, ironie, de la science
psychologique et riche d’observations fines et profonds, passait du sévère au plaisant avec
une mobilité stupéfiant. Un stupéfiant, aussi appelé drogue illicite, est un psychotrope
interdit ou objet d’un règlement souvent parce qu’il est susceptible d’engendrer une
consommation problématique, mais qui peut aussi avoir des effets néfastes sur la mortalité
routière.
Chapitre 3 : Manifestation
Voici certains signes : une chute soudaine des notes ou une perte d’intérêt pour les activités
scolaires. Un cercle d’amis qui change rapidement et de façon inexpliquée. Des changements
d’humeur soudains et violents, manifestés particulièrement par des épisodes de dépression
de colère et d’agression. Un jeune qui se drogue à un comportement très répandu qui porte
de manière plus ou moins répété, un adolescent vers la consommation des drogues,
susceptible d’engendrer une dépendance. Le caractère psychoactif du produit est reconnu
par ses modes d’action sur le cerveau. Le phénomène de dépendance est caractérisé par un
état de besoin d’une personne à l’égard d’une substance à la suite de sa consommation
périodique ou continue. La dépendance peut être de deux natures différents, souvent
associés : physique, lorsque l’organisme exige pour conserver son état d’équilibre un apport
régulier et parfois croissant du toxique ; psychique, lorsque le sujet recherche de manière
irrépressible le plaisir ou bien-être apporté par la drogue ou ressent un besoin incontournable
de chasser un sentiment de malaise. Ces produits psychoactifs peuvent être accessibles en
vente libre (alcool, tabac) ; ils peuvent aussi être illicites (cannabis, cocaïne). Ces usages se
sont tellement répandus chez l’adolescent, outre, sa grande vulnérabilité psychique est doté
d’un organisme dont le développement n’est pas encore terminé, ce qui le rend d’autant plus
vulnérable devant toute agression pharmacologique, susceptible d’influencer péjorativement
ce développement. Ainsi, les enjeux de l’usage de tels produits chez l’adolescent ne sont pas
les mêmes que chez les adultes. Les usages et les conséquences de la consommation de
drogue varient considérablement d’un sujet à l’autre. Il y a des usages plus problématiques
que d’autres, mais personne ne peut jamais prédire comment ils vont évoluer dans le temps.
On peut différencie 2 catégories de symptômes : ceux qui accompagnent le malaise d’un
adolescent, quelle que soit son origine, ceux qui sont consécutifs à la prise d’une ou de
plusieurs produits, qui vont dépendre de la nature même des produits consommés et de leur
éventuelles associations. Autres manifestations, les risques psychiques à savoir : La trouble
mémoire, la déformation de la perception de la réalité, la nervosité, l’agressivité, l’anxiété,
la dépression, le risque de suicide.
PARTIE II : RELATION CAUSE à EFFET
Chapitre 4 : Cause
4.1-causes psychologique
De nos jours, plusieurs sont les causes qui pousse les jeunes à consommer des drogues. De
prime d’abord, d’une manière psychologique, pour faire face à une situation difficile les
adolescents considèrent les drogues et des stupéfiants comme la seule solution pour gérer
ses émotions ainsi que ses souffrances. De plus dans notre société actuelle, les jeunes
consommateurs pensant que pour être performant, en forme, avoir de l’énergie, tenir face à
la pression des examens ou du travail il faut faire usage de drogue. On peut, prendre un
exemple à propos de ce cas : la majorité de poètes n’arrive pas à trouver des idées pour son
littérature sans avoir bue de l’alcool ou de prendre de fumé, on trouve aussi beaucoup des
étudiants qui ne comprennent rien de ce que l’enseignant les enseignes sans avoir prendre
de l’alcool. Les jeunes d’aujourd’hui aussi sont à la recherche de sensation nouvelle, plus
forte et aller au-delà de ce qu’il peut ressentir habituellement, donc c’est pour cette raison
qu’ils ont prendre des drogues et des stupéfiants. En plus le souci de reconnaissance ou
d’appartenance à un groupe est très important chez les jeunes. L’acceptation passe par « faire
comme tout le monde ». GUSTAVE Le Bon affirme dans son livre Psychologie des foules,
selon lui « La raison et les arguments ne sauraient lutter contre certains mots et certaines
formules. On les prononce avec recueillement devant les foules ; et, dès qu’ils ont été
prononcés, les visages deviennent respectueux et les fronts s’inclinent ». C’est à dire que
nous ne sommes rien si on prend de distance avec la foule et c’est pour cela que les jeunes
consomment des drogues pour leur image dans la société avec les autre qui les entourent. Et
pour terminer, pour faire face à des problèmes, les jeunes utilisent la drogue comme un
anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions et de la souffrance. On voie dans la
société les usagers disent souvent qu’ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour «
décompresser ». C’est ainsi se présente les causes psychologiques qui poussent les jeunes à
consommer des drogues. Deuxièmement on va voir les causes sociologiques qui rends les
jeunes à consommer des drogues.
4.2-cause sociale
Sur le plan social, il y en a aussi de nombreuses causes qui poussent les jeunes à des
stupéfiants et de consommer l’alcool. Primo, les adolescents recherchent des effets pour
s’amuser ou se détendre, se sentir bien avec les autres notamment au cours de soirées et
d’autre côté les parents d’aujourd’hui donne beaucoup de liberté à leurs enfants mais par
contre c’est au sein de la famille que ces habitudes, ces émotions, ces affections premières
que vont se faire l’éclosion. PLATON affirme que : « j’entends par l’éducation la vertu qui
acquiert d’abord l’enfant ; elle consiste à former par de bonne habitude les sentiments les
plus primitifs, les plaisirs, l’affection, la douleur, la haine …
Ensuite qu’il S’accord spontanément avec la raison lorsque plu tard elle apparaîtra chez
l’enfant ». Secundo, pour appartenir à un groupe les jeunes se droguer pour faire comme les
autres parce que c’est un signe d’appartenance au groupe. Parfois, au sein de la société,
l’usage de drogue est même valorisé pour être « plus cool ». De plus les jeunes se droguent
juste par rébellion, pour se distinguer des autres, en premier lieu de ses parents mais plus
globalement des adultes dans notre société Malagasy. Au niveau familial, le degré
d’isolement social, le niveau de dysfonctionnement cause, par la manque de repère et par
l’inconsistance des règles, l’intensité des conflits entre mère et père ou entre les parents et
leurs enfants, la perception par l’individu d’un manque de proximité avec ses parents, sont
considérés comme causes qui favorisent la consommation de drogue chez les jeunes. Tertio,
les ados prendre de drogue pour avoir plus d’amies ou de bonne communication avec leurs
amis au sein de la société. Pour conclure, on trouve qu’il y en a plusieurs causes qui poussent
les jeunes à consommer de drogue dans notre société actuelle comme des causes
psychologiques et causes sociologiques
Chapitre 5 : Conséquence
5.1-conséquence psychologique
La consommation des drogues a des effets négatifs sur le plan psychologique d’un
individu. D’abord, elle provoque de la dépendance psychologique qui se traduit par
l’addiction. On dit qu’une personne est dépendant de la drogue quand il ne peut pas vivre ou
de faire une telle activité sans la consommer. Les drogue affecte le système nerveux et
provoque un malaise chez l’individu en cas d’abstinence. La dépendance psychologique
résiste plus que la dépendance physique car même, après plusieurs années de l’arrêt de
consommation, le cerveau souvient encore le plaisir ressenti que procure la consommation
de la drogue. L’addiction aux drogues suit trois processus : premièrement, l’usage dit
récréatif. Il s’agit de la consommation occasionnelle et limitée des drogues. Deuxièmement,
l’usage excessif, dans laquelle l’individu éprouve une sensation de manque en cas
d’abstinence. Troisièmement l’usage pathologique, dans cette dernier processus l’individu
ne peut plus cesser de consommer. L’héroïne est l’une des drogues la plus connues qui
provoque la dépendance.
Ensuite, la consommation de la drogue aussi peut engendrer des pathologies de la
personnalité. Cette pathologie de la personnalité se manifeste souvent par le changement des
comportements des consommateurs de drogue. Il y a par exemple la personnalité antisociale
qui est marqué par une impulsivité et la difficulté à la socialisation. Ces personnes sont
devenues agressive car il détruit un bon nombre des neurones dans leur cerveau. Les drogues
perturbent la transmission des informations entre les neurones et cela modifie notre
perception, sensations, humeurs et émotion.
Chapitre 1 : Historique..................................................................................................... 2
8.1-Famille................................................................................................................... 14
8.2-Ecole ...................................................................................................................... 14
8.3-Responsable........................................................................................................... 15
8.4-Société ................................................................................................................... 15
CONCLUSION