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DOMAINE DES SCIENCES DE LA SOCIETE

MENTION SOCIOLOGIE

EXAMEN PSYCHOLOGIE
GROUPE 11

LES JEUNES ET LA CONSOMMATION


DES DROGUES ET DES STUPEFIANTS

-AINA Nomenjanahary Larissa


-ANJARANOMENJANAHARY Sombiniaina Jasara Andry
-TOLOJANAHARY Alphaminy Ismaël
-SOLOFOMANDIMBY Aronjato Hasina
-RAVELOARISOA Zoana Manampisoa
-TOKIHERIJAONA Lanto Tsiferana Nehemia
-BAKARY Raunaldo Fazinot
-ANDRIANIRINA Lala Josuée Luc
-RAHARIMANANA Miajafeno Fitahiana
-RAVAONIRINA Mampisaina Zo Hantatiana

Année Universitaire : 2022-2023


INTRODUCTION
La psychologie est l’étude de comportement et de l’âme de l’individu. La
psychologie est l’étude des faits psychiques, des comportements et des processus mentaux.
C’est une discipline qui appartient à la catégorie des sciences humaines. Divisée en de
nombreuses branches d’étude aussi bien théoriques que pratiques, la psychologie a des
applications thérapeutiques individuelles ou collectives, sociales et politiques ou morale. La
psychologie se distingue de la psychanalyse et de la psychiatrie, en ceci qu’elle éclaire les
mouvements sociaux et culturel des pays afin d’en déterminer en quoi ses facteurs
environnementaux sont à l’origine de désordres psychiques amenant de comportement et de
langage inappropriée par rapport à une norme. Mais la psychologie n’est pas seulement une
étude de fonction de l’esprit, elle est aussi une approche casuistique de la subjectivité, une
investigation d’une vérité au sein de l’individualité de la personnalité d’un sujet.
Historiquement, l’exorciste est l’échec de la médecine humaine permettait la psychologie de
détacher à la philosophie. Actuellement, elle se répande à des diverses tâches. La
psychologie est intéressée au problèmes posés par les drogues et des stupéfiants chez les
jeunes. Pour cela, nous avons comme problème, quels en sont les facteurs psycho-sociaux
qui suscite les jeunes à consommer des drogues et des stupéfiants ? Pour mieux élucider,
nous allons aborder dans la première partie quelques généralité sur le sujet ; puis, dans la
deuxième partie nous allons voir la relation causes à effet de la consommation des drogues
et des stupéfiant chez les jeunes ; enfin, dans la troisième partie nous allons expliquer la
place des drogues et des stupéfiants chez les jeunes dans la réalité Malagasy.

PARTIE I : Généralité
Chapitre 1 : Historique
Premièrement, L’usage du pavot à opium, de la feuille de coca, du cannabis et des substances
hallucinogènes, ainsi probablement que leur abus, remonte à des milliers d’années le célèbre
pharmacologiste LOUIS Lewin écrivait, il y a près d’un demi-siècle dans son livre sur les
narcotiques et les stimulants, que parmi les innombrables substances chimiques non
alimentaire existant dans le monde, n’aucune n’est plus intimement liée que ceux-ci à la vie
humaine. Il concluait en soulignant le caractère universel de leurs effets bénéfiques et
néfastes. La nécessité d’exercer un contrôle stupéfiant et autres drogues dangereuses
‘imposent à tous les pays du monde et les mesures destinées à protéger l’individu et la société
contre l’abus qui peut en être fait doivent être prise simultanément sur le plan national et
international. Il y a 60 ans, lorsqu’on a commencé à envisager un contrôle international, on
s’est surtout inquiéter de risque d’usage abusive des « stupéfiants naturel » provenant en
voie de développement. Aujourd’hui, le danger naitrait plutôt de la facilité avec laquelle,
dans les pays très industrialisés, on se procure des stupéfiants et des substances psychotropes
synthétique qui dépriment ou stimulent les systèmes nerveux centrales, que de l’importation
illicite des produits en provenance de l’Orient : la situation relative à la drogue dans un pays
présente pour les autres un intérêt qui n’est pas seulement théorique. Par exemple, lorsqu’il
y a des gens la Grande Bretagne a refusé d’interdire l’utilisation de l’héroïne à des faits
médicaux ce qui à donner lieu à d’ardentes controverse, les comparaisons et les oppositions
que l’on ne cessait de faire entre les systèmes Américain et Britannique de contrôle des
stupéfiants ont attiré vers le Royaume Uni et ses conceptions plus libérales un afflux Nord-
Américain désireux d’échapper à la rigueur de leur loi nationale. En outre, le trafic et la
consommation des drogues augmentent et se diversifient dans les iles de l’Océan Indien,
notamment à Madagascar, aux Seychelles et sur l’ile Maurice en dehors du cannabis, le
principal marché de la drogue et le plus ancien aussi, dans les iles, c’est l’héroïne. Elle transit
parce qu’on appelle la « Route du Sud ». De l’Afghanistan ou elle est produite, elle chemine
ensuite par la mer le long de la cote africaine ou alors directement jusqu’aux Seychelles et
Madagascar. Par avion sauvant, elle peut s’envoler ensuite vers l’Europe. Mais surtout, la
consommation locale est importante : à Maurice depuis les années 1970, et aux Seychelles
depuis les débuts des années 2000. L’archipel, connu pour ses eaux turquoises possède un
des plus forts taux de consommation d’héroïne en monde. De surcroit, l’émergence de
Madagascar comme la principale plaque tournante est largement ignorée et passe inaperçue.
L’ile est vulnérable à cause des facteurs. D’abord sa position géographique, prohibe du
continent. Et comme certains lieux de débarquement des drogues de la « route du Sud » ont
été repoussé, Madagascar est une alternative pratique. L’ile est grande, difficile à contrôler
la cote est très poreuse, et la gouvernance a des faiblesses. Tout cela fait que Madagascar est
commodément utilisé comme base pour les trafics. Surtout que la très grande demande
d’héroïne aux Seychelles et à Maurice a aussi encouragé ce marché inter-iles.

Chapitre 2 : Définition
Depuis quelques années, l’usage des drogues et des stupéfiants prennent de plus en plus
d’ampleur dans la société Malagasy. Leurs consommations s’intègrent dans tous les classes
sociales et aussi sans considération d’âges. On le voit surtout chez les jeunes, qui, par la forte
dépendance de ces drogues et stupéfiants, devient une bombe à retardement pour eux. De ce
fait, on pourrait définir la jeunesse comme le période de la vie prenant généralement place
entrer l’enfance et l’âge adulte. D’après les dispositions de l’agence des Nations Unies
déterminant la durée exacte de cette période, nous dirons qu’elle est comprise dans
l’intervalle de 15 à 25 ans, ce qui fait d’elle, l’une des périodes les plus importantes de la vie
définissant intrinsèquement l’individu, leurs intérêts, leurs projets ainsi que leur relation avec
le monde. La jeunesse n’est pas que biologique, c’est aussi un processus psychologique,
social et culturel. C’est définitivement une construction sociale qui est fonction de la période
historique et de la société à laquelle elle appartient. Il est par conséquent nécessaire de
considérer ma jeunesse par rapport à la société dans laquelle elle vit. Par la suite, on
appelle « drogue » toute substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le
fonctionnement du système nerveux comme les sensations, perceptions, humeurs,
sentiments, motricité ; ou qui modifie aussi les états de conscience. Une drogue est un
produit susceptible d’entraîner une dépendance physique ou psychique. En général, parmi
les drogues, on peut distinguer celles qui semblent apaiser, telles que l’alcool, les
tranquillisants « médicaments », le cannabis ou les opiacés ; celles qui stimulent, telles que
la cocaïne, l’ecstasy ou les amphétamines ; celles qui provoquent des hallucinations, telles
que le LSD ou les champignons hallucinogènes. Ces effets peuvent varier selon la dose
consommée. Le terme de drogues recouvre aussi bien les drogues illicites comme le
cannabis, l’héroïne ou la cocaïne, que les drogues licites comme la nicotine, l’alcool ou les
médicaments. Selon leurs classifications, on distingue les substances psychoactives
d’origine naturelle qui est extraite d’une plante ou d’un champignon, à l’état brut ou retraitée
chimiquement. Il y a aussi d’origine synthétique, totalement fabriquée en laboratoire à partir
de produits chimiques et que l’on trouve déjà à Madagascar. Le dépresseur qui agissent sur
le cerveau en ralentissant certaines fonctions ou sensations ; un ralentissement de la fonction
respiratoire et l’endormissement sont souvent des effets secondaires de ces drogues. A cette
effet, selon le dictionnaire français Larousse, le terme « stupéfiant » désigne une substance,
médicament ou non, dont l’action sédative analgésique, narcotique et euphorisante provoque
à la longue une accoutumance et une pharmacodépendance c’est-à-dire l’usage répété
entraine une dépendance et qui rend le consommateur en toxicomanie. Il provoque un
étonnement extrême, une grande surprise. Cette intelligence supérieure, ironie, de la science
psychologique et riche d’observations fines et profonds, passait du sévère au plaisant avec
une mobilité stupéfiant. Un stupéfiant, aussi appelé drogue illicite, est un psychotrope
interdit ou objet d’un règlement souvent parce qu’il est susceptible d’engendrer une
consommation problématique, mais qui peut aussi avoir des effets néfastes sur la mortalité
routière.

Chapitre 3 : Manifestation
Voici certains signes : une chute soudaine des notes ou une perte d’intérêt pour les activités
scolaires. Un cercle d’amis qui change rapidement et de façon inexpliquée. Des changements
d’humeur soudains et violents, manifestés particulièrement par des épisodes de dépression
de colère et d’agression. Un jeune qui se drogue à un comportement très répandu qui porte
de manière plus ou moins répété, un adolescent vers la consommation des drogues,
susceptible d’engendrer une dépendance. Le caractère psychoactif du produit est reconnu
par ses modes d’action sur le cerveau. Le phénomène de dépendance est caractérisé par un
état de besoin d’une personne à l’égard d’une substance à la suite de sa consommation
périodique ou continue. La dépendance peut être de deux natures différents, souvent
associés : physique, lorsque l’organisme exige pour conserver son état d’équilibre un apport
régulier et parfois croissant du toxique ; psychique, lorsque le sujet recherche de manière
irrépressible le plaisir ou bien-être apporté par la drogue ou ressent un besoin incontournable
de chasser un sentiment de malaise. Ces produits psychoactifs peuvent être accessibles en
vente libre (alcool, tabac) ; ils peuvent aussi être illicites (cannabis, cocaïne). Ces usages se
sont tellement répandus chez l’adolescent, outre, sa grande vulnérabilité psychique est doté
d’un organisme dont le développement n’est pas encore terminé, ce qui le rend d’autant plus
vulnérable devant toute agression pharmacologique, susceptible d’influencer péjorativement
ce développement. Ainsi, les enjeux de l’usage de tels produits chez l’adolescent ne sont pas
les mêmes que chez les adultes. Les usages et les conséquences de la consommation de
drogue varient considérablement d’un sujet à l’autre. Il y a des usages plus problématiques
que d’autres, mais personne ne peut jamais prédire comment ils vont évoluer dans le temps.
On peut différencie 2 catégories de symptômes : ceux qui accompagnent le malaise d’un
adolescent, quelle que soit son origine, ceux qui sont consécutifs à la prise d’une ou de
plusieurs produits, qui vont dépendre de la nature même des produits consommés et de leur
éventuelles associations. Autres manifestations, les risques psychiques à savoir : La trouble
mémoire, la déformation de la perception de la réalité, la nervosité, l’agressivité, l’anxiété,
la dépression, le risque de suicide.
PARTIE II : RELATION CAUSE à EFFET
Chapitre 4 : Cause
4.1-causes psychologique
De nos jours, plusieurs sont les causes qui pousse les jeunes à consommer des drogues. De
prime d’abord, d’une manière psychologique, pour faire face à une situation difficile les
adolescents considèrent les drogues et des stupéfiants comme la seule solution pour gérer
ses émotions ainsi que ses souffrances. De plus dans notre société actuelle, les jeunes
consommateurs pensant que pour être performant, en forme, avoir de l’énergie, tenir face à
la pression des examens ou du travail il faut faire usage de drogue. On peut, prendre un
exemple à propos de ce cas : la majorité de poètes n’arrive pas à trouver des idées pour son
littérature sans avoir bue de l’alcool ou de prendre de fumé, on trouve aussi beaucoup des
étudiants qui ne comprennent rien de ce que l’enseignant les enseignes sans avoir prendre
de l’alcool. Les jeunes d’aujourd’hui aussi sont à la recherche de sensation nouvelle, plus
forte et aller au-delà de ce qu’il peut ressentir habituellement, donc c’est pour cette raison
qu’ils ont prendre des drogues et des stupéfiants. En plus le souci de reconnaissance ou
d’appartenance à un groupe est très important chez les jeunes. L’acceptation passe par « faire
comme tout le monde ». GUSTAVE Le Bon affirme dans son livre Psychologie des foules,
selon lui « La raison et les arguments ne sauraient lutter contre certains mots et certaines
formules. On les prononce avec recueillement devant les foules ; et, dès qu’ils ont été
prononcés, les visages deviennent respectueux et les fronts s’inclinent ». C’est à dire que
nous ne sommes rien si on prend de distance avec la foule et c’est pour cela que les jeunes
consomment des drogues pour leur image dans la société avec les autre qui les entourent. Et
pour terminer, pour faire face à des problèmes, les jeunes utilisent la drogue comme un
anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions et de la souffrance. On voie dans la
société les usagers disent souvent qu’ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour «
décompresser ». C’est ainsi se présente les causes psychologiques qui poussent les jeunes à
consommer des drogues. Deuxièmement on va voir les causes sociologiques qui rends les
jeunes à consommer des drogues.

4.2-cause sociale
Sur le plan social, il y en a aussi de nombreuses causes qui poussent les jeunes à des
stupéfiants et de consommer l’alcool. Primo, les adolescents recherchent des effets pour
s’amuser ou se détendre, se sentir bien avec les autres notamment au cours de soirées et
d’autre côté les parents d’aujourd’hui donne beaucoup de liberté à leurs enfants mais par
contre c’est au sein de la famille que ces habitudes, ces émotions, ces affections premières
que vont se faire l’éclosion. PLATON affirme que : « j’entends par l’éducation la vertu qui
acquiert d’abord l’enfant ; elle consiste à former par de bonne habitude les sentiments les
plus primitifs, les plaisirs, l’affection, la douleur, la haine …
Ensuite qu’il S’accord spontanément avec la raison lorsque plu tard elle apparaîtra chez
l’enfant ». Secundo, pour appartenir à un groupe les jeunes se droguer pour faire comme les
autres parce que c’est un signe d’appartenance au groupe. Parfois, au sein de la société,
l’usage de drogue est même valorisé pour être « plus cool ». De plus les jeunes se droguent
juste par rébellion, pour se distinguer des autres, en premier lieu de ses parents mais plus
globalement des adultes dans notre société Malagasy. Au niveau familial, le degré
d’isolement social, le niveau de dysfonctionnement cause, par la manque de repère et par
l’inconsistance des règles, l’intensité des conflits entre mère et père ou entre les parents et
leurs enfants, la perception par l’individu d’un manque de proximité avec ses parents, sont
considérés comme causes qui favorisent la consommation de drogue chez les jeunes. Tertio,
les ados prendre de drogue pour avoir plus d’amies ou de bonne communication avec leurs
amis au sein de la société. Pour conclure, on trouve qu’il y en a plusieurs causes qui poussent
les jeunes à consommer de drogue dans notre société actuelle comme des causes
psychologiques et causes sociologiques

Chapitre 5 : Conséquence
5.1-conséquence psychologique
La consommation des drogues a des effets négatifs sur le plan psychologique d’un
individu. D’abord, elle provoque de la dépendance psychologique qui se traduit par
l’addiction. On dit qu’une personne est dépendant de la drogue quand il ne peut pas vivre ou
de faire une telle activité sans la consommer. Les drogue affecte le système nerveux et
provoque un malaise chez l’individu en cas d’abstinence. La dépendance psychologique
résiste plus que la dépendance physique car même, après plusieurs années de l’arrêt de
consommation, le cerveau souvient encore le plaisir ressenti que procure la consommation
de la drogue. L’addiction aux drogues suit trois processus : premièrement, l’usage dit
récréatif. Il s’agit de la consommation occasionnelle et limitée des drogues. Deuxièmement,
l’usage excessif, dans laquelle l’individu éprouve une sensation de manque en cas
d’abstinence. Troisièmement l’usage pathologique, dans cette dernier processus l’individu
ne peut plus cesser de consommer. L’héroïne est l’une des drogues la plus connues qui
provoque la dépendance.
Ensuite, la consommation de la drogue aussi peut engendrer des pathologies de la
personnalité. Cette pathologie de la personnalité se manifeste souvent par le changement des
comportements des consommateurs de drogue. Il y a par exemple la personnalité antisociale
qui est marqué par une impulsivité et la difficulté à la socialisation. Ces personnes sont
devenues agressive car il détruit un bon nombre des neurones dans leur cerveau. Les drogues
perturbent la transmission des informations entre les neurones et cela modifie notre
perception, sensations, humeurs et émotion.

Enfin, quand on consomme la drogue, on a des difficultés à se communiquer avec


l’autrui. Les personnes qui consomment des drogues devient dépressives et ont tendance à
se replier sur soi-même. Cette repli sur soi est causé par la dépression engendrée par la
consommation des drogues et des stupéfiants. Les drogue agit sur les hormones qui régule
les réactions émotionnelles. Et quand on est dépressif on devient fermé et on n’a pas le
courage à interagir avec les autres.

5.2- Conséquence Sociale


Chaque action a son conséquence au niveau social. Donc la consommation des
stupéfiants et de drogue a de la conséquence. Parmi les différentes conséquences nous
pouvons évoquer : premièrement, la marginalisation, les violences commises sous l’effet
d’un produit. Pour bien expliquer, les consommateurs de drogues ont des actions
inappropriées et même destructrices dans notre société et cela détruisent l’image de la
société. Par exemple : les résultats scolaires se dégradent à cause d’une altération de la
mémoire des consommateurs de drogues donc, ce cas-là anéantir l’image de l’école et puis
par conséquent, l’école les marginalise pour sauver l’honneur de son école. Deuxièmement,
le conflit est aussi l’un de conséquence de la consommation de drogue et de stupéfiant parce
que la drogue met les consommateurs en situation d’échec donc le conflit dans la famille se
produit par exemple : échec pendant l’entretient pour un travail il y a de la déception et la
perte de confiance. De plus, la drogue détruit les relations familiales. La personne
dépendante ne pourra pas cacher son problème éternellement. Lors que ses proches le
découvrent, cela brise les relations familiales. Troisièmement la consommation de la drogue
et de stupéfiant provoque la vulnérabilité sur le consommateur et celle de sa famille ainsi
que son entourage. Comme la vulnérabilité économique, la majorité des consommateurs de
la drogue dans notre société Malagasy a de la classe sociale moins élevé. Selon PIERRE
BOURDIEU « une classe est définie par son être-perçu autant que son être, par sa
consommation … autant que par sa position dans les rapports de production. », vulnérable à
son avenir dans la société parce qu’ils sont disqualifiés à la société à cause de son acte.
PAUGAM affirme que « L’homme socialement disqualifié est à la fois vulnérable face à
l’avenir et accablé par le poids du regard négatif qu’autrui porte sur lui. »

PARTIE III : DROGUE ET REALITE MALAGASY


Chapitre 6 : La dépendance des jeunes à la drogue dans la société malgache
6.1-Les causes de la consommation de drogue aux jeunes malgaches
6.1.1-Au niveau du groupe
Tout d'abord, nous classons l’expérience que fait les jeunes sur la consommation de
drogue et des stupéfiants comme l'une des principales raisons pour lesquelles les jeunes sont
dépendant de la drogue.
Cependant, cela ne se produit pas à moins qu'ils voient l'apparition de l'usage de drogue dans
la communauté qu'ils vivent. Ces jeunes sont amenés à consommer de drogue d'après ce
qu'ils voient dans la communauté, comme voir leurs parents en prendre et ce qui peut attirer
leur attention à penser que ce soit classer comme approprié.
Ensuite, il est particulièrement fort chez les jeunes car ils commencent à avoir envie
de rejoindre de groupes, et veulent aussi renforcer leurs relations avec des amis et avec leur
entourage. Et face à cela, il n'est pas toujours nécessaire d'avoir de bons amis et utiles pour
eux, mais ils peuvent avoir des amis s'expériencé au drogue et certains d'entre eux sont déjà
impliqués dans la toxicomanie, et c'est ce qui les amène à prendre de drogue. Les jeunes
veulent être considérer par leurs amis, alors qu'ils les suivent aveuglement. Parmi ceci, il y
a cependant une forme d'exclusion sociale parce qu'il peut y avoir de la peur de perdre les
amis proches, et la peur d'être ostracisé par des proches. Nous parlons ici de jeunes
malgaches, en savant, et vivant que tout cela reflète l'évolution de la société et aussi la
mondialisation que nous vivons depuis des années. Comme à l'époque, nos ancêtres
possèdent le "rongony" et le "toaka" pour le médicament, et pour faire la tradition, mais face
à l'évolution de la société, de nombreuses drogues peuvent y exister et à consommer dans
notre pays. Et surtout ce que nous vivons actuellement.
Enfin, c'est peut-être aussi la raison pour laquelle les jeunes prennent de la drogue en voulant
de se retrouver ou vivre sur la ressenti des effets de la drogue dans leur corps, qu'il y ait peut-
être eu une influence, mais que cela puisse aussi se refléter l'intégrabilité. Les recherches des
effets pour s'amuser ou se détendre, se sentir bien avec les autres notamment au cours de
soirées. Exemple de l'alcool: selon le rapport réalisé par Santé Publique France, la
consommation d'alcool est fortement associée à la fête. Les trois quarts de consommateurs
âgées de 18 à 25 ans, en France en 2017, ont ainsi déclaré avoir consommé de l'alcool au
cours des 12 derniers mois pour les fêtes soient mieux réussies. Le goût restait la principale
motivation évoquée pour boire (92,2%). Les jeunes ayant une consommation régulière
d'alcool et qui disent consommer pour des raisons festives ou pour le plaisir du goût, boivent
en moyenne 4 à 5 verres par occasion et entre 90 à 100 jours par an.
6.1.2-Au niveau de la famille et de la société
Non seulement cela, mais il y a aussi les problèmes que les jeunes subiront dans la famille
et dans la société. Ce qui peut les amener à consommer de drogue et même à devenir
dépendant de drogue.
Tout d'abord, dans la famille, le manque de communication entre les parents et les jeunes
enfants peut être une raison pour lesquelles les jeunes consomment de drogue. Comme les
parents peuvent être tellement occupé par la résolution financière de la famille vue que la
difficulté dans la vie quotidienne à Madagascar. Et ne se rendent pas compte de la valeur de
l'échange qui devrait avoir lieu entre eux. Il y a aussi des parents qui pensent que seuls les
enfants devraient bénéficier de cette relation parents-enfants, et cela affaiblit lorsqu'il s'agit
des jeunes vers des différentes distractions en révélant un meilleur plaisir dans diverses
destinations comme la consommation de drogue.
Puis, dans la société, les jeunes souffrent souvent des problèmes mentaux et des complexes
face à l'existence d'inégalités qu'ils vivent dans la société parce que cette sensation est aussi
souvent un grand facteur qui détruit l'esprit de ces jeunes dans la communauté et certains
d'entre eux ont même des difficultés à y faire face, et cela peut les amener à prendre plus
souvent de drogue. Tout cela a aidé les jeunes pour faire face à une situation difficile: la prise
de produit est considérée comme la seule solution pour gérer ses émotions, ses souffrances.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatisèrent du passé et le mal-être ressenti sont
souvent à l'origine de ces usages.
6.2-Les conséquences de la consommation de drogue aux jeunes malgaches
6.2.1-Du point de vue psychologique
De ce fait, le manque de la communication entre parents et les jeunes et la conscience sur
des inégalités que les jeunes vivent dans la société peuvent engendrer chez eux un manque
de confiance en soi, et l'anxiété engendrée par cette inégalité sociale devient plus fort en eux
et peut les amener à devenir dépendant de la consommation de drogue. Selon cette
dépendance, les jeunes toxicomanes perdent leur autonomie dans une ou plusieurs activités
en général, comme retrouver de la concentration dans leurs études à et des examens. Pour
cette raison, les jeunes ont toujours l'habitudes de se droguer avant de commencer leurs
activités. Il y a aussi la pensée de certains jeunes sur la nécessité d'avoir bu à chaque fois
qu'il y a une fête, peut-être qu'à cause de la mise en importance d’alcool dans la tradition
malgache par exemple. Nous les classons comme effets psychologique parce que nous
savons tous que ce n'est pas tant à cause de la prise de drogue que cela rend les choses
parfaites, mais cela dépend de la capacité à libérer ce que nous voulons faire et à profiter
juste de chaque instant qui passe. Pour les toxicomanes, quant à eux, font le contraire
perfectionnent leurs temps et leurs actions en général. L'excès de confiance des jeunes qui
prennent la drogue peut aussi à les avoir le courage de faire une bagarre et de tel acte violent
et incestueux aux gens.
D'un autre côté, les jeunes ont pris la drogue pour le plaisir au début, mais cela peut les
conduire à une habitude et une dépendance à la drogue. Et tout cela cause de nombreuses
maladies qui proviennent de la prise de drogue car tous les non maîtrise à consommer et la
dépendance de drogue et des stupéfiants provoquent des effets dans les organes et qui
peuvent entraîner jusqu'à la mort quand ils ont pris de manière excessive ou mal traités.
Nous savons très bien que la dépendance aux drogues peut changer le comportement de
l'individu. La consommation de drogue entraine des dommages à court terme, comme, les
principaux effets sont les violences en tant que victime ou auteur, les rapports sexuels non
voulus et non protégés, les accidents de la route, les blessures dues à des chutes ou des
noyades. Et sur le long terme, la consommation de stupéfiants et d'alcool est responsable de
dommages irréversibles sur le développement du cerveau, la survenue de la pathologie
comme la schizophrénie, la dépression, l'hypertension artérielle et des accidents
cardiovasculaires. Le tabac, le cannabis et l'alcool accroissent le risque de développement
de cancers, de pathologies pulmonaires et cardiovasculaires et plus particulièrement les
cancers des voies aérodigestives et des poumons.
6.2.2-Du point de vue sociologique
L'abus de drogue entraîne souvent un manque de respect envers les autres faces à leur excès
de confiance car dans la bagarre que nous avons parlé au-dessus, il y a une forme de
démonstration de force. Il y a aussi la prédominance des jeunes qui consomment de la drogue
dans leurs communautés à cause de l'audace de faire des actes violents et abusifs, ce que
nous avons mentionné ci-dessus parce que cela les expose à réalisations en raison du risque
en prenant de la drogue. L'influence causée par cela aussi dont les jeunes ou les enfants qui
les entourent peuvent être parmi les victimes en voyant le sentiment apporté par les
toxicomanes dans les soirées par exemple.
D'autre que cela, le bouleversement causé par cet abus de drogue dans la société où ils vivent
surtout dans les bas quartiers, comme souvent, les jeunes toxicomanes l'ont pris dans une
incapacité à faire face aux problèmes, et nous pouvons soigneusement considérer la
possibilité de perturbation qu'il cause à ceux qui les entourent, la plupart des individus qui
abusent souvent de leur pouvoir et ont besoin de la guerre ne choisissent pas le moment pour
rentrer chez eux, donc s'ils sont déjà ivres en rentrant chez eux le soir, cela cause des ennuis
à leurs voisins et surtout chez eux.
Nous parlons des jeunes, quant à la plupart d'entre eux sont encore avec leurs parents, mais
la société malgache a une vision qui considère les toxicomanes comme des délinquants, donc
leurs parents doivent souffrir et cela peut aussi les rendre malades parce que la drogue est
classée comme l'une des pires choses dans la société malgache en ce moment.
6.2.3-Changement sur le comportement et la société
D'après tout cela, la dépendance des jeunes aux drogues provoque un grand changement dans
leur comportement, et cela affecte immédiatement le cerveau. Mais ce changement n'est pas
seulement sur le comportement des jeunes toxicomanes, cela a lieu dans le comportement
des individus qui l'entourent.
D'après ces conséquences de la consommation de drogue et des stupéfiants chez les jeunes,
le mode de communication entre les jeunes et leurs entourages s'y adapte aussi parce que si
c'est seulement entre les jeunes toxicomanes et leurs parents par exemple, les parents sont
obligés de renforcer leur façon de parler et surtout d'éduquer leurs jeunes enfants en raison
de comportement violent des jeunes causé par leur toxicomanie. Mais il y a aussi le fait qu'en
fonction de la société et de la situation existante seront également dépendant à la voie de
l'éducation normalisée. Par conséquent, selon le comportement violent des jeunes qui
consomment de drogue, que nous vivons également dans une société agressive parce que
même la discipline qui y est utilisée doit être adaptée à tous ces comportements qui existent
dans la société.
Chapitre 7 : La réalité ici à Madagascar concernant les affaires de la drogue
A Madagascar notamment, la consommation et le perçage de la drogue sont interdits. Bien
qu'il soit interdit la vente de la drogue est encore répandue. Lorsqu'elle est très diffusée,
même les jeunes et les mineurs sont attirés par cette drogue. De nombreux jeunes malgaches
y sont baignés dans la société. Parce qu'ils doivent être dans tous les coins, ils il y a beaucoup
de vendeurs. Sur tout à Madagascar, le cannabis est le plus célèbre. Et selon les nouvelles, il
existe de nombreux vendeurs de cette drogue dans tous les coins chaque quartier, il y a des
gens qui fournissent de la drogue à ces revendeurs. Et selon les dernières informations, des
gendarmes ont arrêté 5 hommes avec 201 kilos de drogue dans la maison des trafiquants de
drogue à Ambohimanarina. Selon l'enquête, ils sont connus pour être des fournisseurs de
drogue à Antananarivo. En d'autres termes, le réseau de fournisseurs de ces produits est très
fort d'après ce qui précède, car ils fournissent plus de 200 kilogrammes de drogue à
Antananarivo. Et non seulement ces cinq ont été capturés, mais beaucoup de ceux impliqués
dans ce sale boulot ont été capturés par les forces de sécurité ou bien par les gendarmeries.
Un exemple en est les trafiquants de drogue arrêtés à Ambohidratrimo et Anosizato : ces
deux hommes vendeurs de la drogue ont été arrêtés par la compagnie Ambohidratrimo à
Mandrosoa. Lorsque la perquisition a été effectuée, 3 200 kg de drogue, prêts à être vendus,
ont été découverts. Et c'est comme suit à Anosizato : 3 hommes, un vendeur, un acheteur et
un fumeur de drogue ont été arrêtés par les gendarmes, et 73 paquets de drogue ont été
retrouvés avec eux. Autrement dit, ces drogues sont vendues en petits emballages afin de
pouvoir être financés par le pouvoir d'achat des jeunes et des mineurs. Toutes ces cibles
étaient à Antananarivo, mais il y a aussi des cibles dans d'autres régions, comme la région
de Toamasina. La nouvelle est la suivante : un magasin d’alcools ou bien bar est connu pour
mélanger de l'alcool à d'autre drogue qu'il vend, et la police le dissimule. Ils attirent
principalement des étudiants âgés de 12 à 17 ans, et une soixantaine y ont été arrêtés lors
d'une descente de police. Et aussi à Toamasina nous avons vu des groupes de jeunes, voire
des lycéens, qui sont cruels envers les jeunes filles. Cette violence est le résultat de la
consommation de drogue. Selon des sources, il s'agit d'une petite organisation ou club
formée par ces jeunes. Le nom de cette organisation est "GOOLDEN Team "et la raison de
l'existence de cette organisation est les violeurs de filles vierges. Et ce n'est pas seulement
les jeunes garçons qui sont connus pour prendre de la drogue à Madagascar. Beaucoup,
beaucoup de filles en dépendent également. Une femme est récemment décédée à
AMBOHIMADERA Ambalavao après avoir consommer de la drogue. La vie des jeunes
Madagascar est grandement mise à mal dans cette affaire. La plupart des jeunes en
deviennent dépendants et cela a un effet négatif sur la paix de la société. Après l’obtention
de l'autorisation de la vente d'alcool "Toaka gasy", de nombreuses personnes consomment
de l'alcool à chaque tournant. Il ne peut pas se contrôler quand il est ivre, mais il veut se
battre et, déranger les autres. Et on sait aussi que le nombre de cultivateurs de cannabis
augmente même s'il y a des sanctions sévères pour ceux qui sont surpris à en cultiver.
Chapitre 8 : Solution
Selon ces arguments, en proposant comme solution:
8.1-Famille
Selon les raisons et les résultats de la consommation de drogues chez les jeunes que nous
avons vu, qui peuvent attirer notre attention à se tourner immédiatement vers l'aspect de
l'éducation de base.
Quant à la famille, les parents peuvent bien faire pour renforcer l'éducation de leurs enfants
afin qu'ils ne deviennent pas dépendants aux drogues en les informant de ses effets négatifs,
oui mais même juste en l'essayant. Cependant, cela n'arrivera pas aux enfants s'ils voient
leurs parents se droguer, car nous savons très bien que les parents sont des modèles et que
les enfants sont censés d'obéir leurs parents, mais si c'est le cas, les parents qui sont censés
discipliner leurs enfants pour avoir consommé de la drogue, il ne leur sera peut-être pas
facile de croire qu'ils pourront discipliner leurs enfants. Puisque nous parlons de la société
malgache, souvent en matière d'éducation, les parents sont les premiers à la prendre en
charge l'éducation dans la société. Ces parents sont responsables et doivent être formés à
l'aspect éducatif, ils ont besoin de parents capables de contrôler leurs enfants en leur
montrant des qualités de modèle et des paroles persuasives en accord avec ces modèles.
Parce qu'il est très difficile pour les enfants d'écouter et d'obéir à leurs parents s'ils sont
impliqués dans cette drogue. Il faut donc renforcer la soi-disant « école des parents », et les
parents eux-mêmes doivent pratiquer l'éducation qu'ils veulent donner à leurs enfants, et il
ne faut pas en faire un devoir et une manière juste d'être parents. Et on voit souvent dans la
société que nombreuses enfants osent de ne plus écouter leurs parents parce qu'ils ne
montrent pas le personnage qui devrait être un modèle à imiter. Il est donc juste que la
tendance des enfants à se droguer soit renforcée.
8.2-Ecole
En termes d'éducation dans les écoles, les caractéristiques éducatives consistant à préparer
les enfants avec un bon caractère et des modes de vie utiles devraient être incluses dans le
programme scolaire, car l'abus de drogues est classé comme obstiné dans la société
malgache. Maintenant à cause des effets négatifs de cela sur la valeur de la société malgache,
comme le fait d'oser voler des os, tuer des gens de manière brutale et des cas de viol partout
dans la société. Et tout cela sont des forces de la société malgache pour catégoriser l'abus de
drogues comme quelque chose de mauvais et enfreignant les lois de la société et il est donc
nécessaire de renforcer et d'inclure dans le programme scolaire l'éducation de base pour
devenir une personne civilisée. Maintenant, le seul objectif est d'obtenir un diplôme, donc
toute la vie de l'éducation des enfants devient moins importante.
8.3-Responsable
D'après tout cela, les règles qui régissent et qui forment les caractères que doivent posséder
les officiers chargés de la paix (policiers, gendarmes, militaires) dans la loi interdisant la
distribution et l'abus de stupéfiants doivent être pleinement mises en œuvre car elles sont
actuellement hors de contrôle en raison du manque de maîtrise de loi et l'attitude de certains
fonctionnaires, certains d'entre eux se droguent même et multiplient le nombre de clients et
de toxicomanes, et il est difficile de contrôler la loi à ce sujet si les responsables qui sont
censés d'aider à réduire et à éliminer les toxicomanes sont les premiers à perdre ce contrôle
de loi parce que l'abus de drogues est interdit dans notre pays.
8.4-Société
L'entourage de ces jeunes toxicomanes doit essayer de comprendre la situation difficile qu'ils
vivent afin de leur remonter le moral et les aider dans les difficultés qu'ils traversent en
partageant et en se discutant; nous devrons également aussi leur montrer l'autonomisation
particulière en les considérant comme des jeunes forts, capables, responsables et déterminés
afin de les aider à s'en sortir de leur dépendance à la toxicomanie, parce qu'ils doivent
également ressentir l'importance de se parler et de se partager avec les autres sans
consommation de tel ou telle drogue en essayant de leur montrer que nous sommes toujours
prêt à les aider.
CONCLUSION
En guise de conclusion, notre étude sur la consommation des drogues et des
stupéfiants chez les jeune nous a permis d'aborder les différents points tels que : la généralité,
on voit la définition de la drogue, du jeune, ainsi que des stupéfiants, son historique et ses
manifestations. Dans la partie de la relation cause à effet, nous voyons les causes et
conséquences sur le plan sociologique et psychologique. Nous avons abordé dans la dernière
partie la drogue et réalité Malagasy. On y trouve sa manifestation et quelques
recommandations. De notre époque, ce sont les jeunes qui consomment la drogue. Il est fort
probable que dans le futur le classe des consommateurs diminuera. Comment alors la
consommation des drogues va affecter le développement social Malagasy ?
Table des matières
INTRODUCTION

PARTIE I : Généralité ......................................................................................................... 2

Chapitre 1 : Historique..................................................................................................... 2

Chapitre 2 : Définition ..................................................................................................... 3

Chapitre 3 : Manifestation ............................................................................................... 5

PARTIE II : RELATION CAUSE à EFFET ....................................................................... 6

Chapitre 4 : Cause ............................................................................................................ 6

4.1-causes psychologique .............................................................................................. 6

4.2-cause sociale ............................................................................................................ 6

Chapitre 5 : Conséquence ................................................................................................ 7

5.1-conséquence psychologique .................................................................................... 7

5.2- Conséquence Sociale .............................................................................................. 8

PARTIE III : DROGUE ET REALITE MALAGASY ....................................................... 9

Chapitre 6 : La dépendance des jeunes à la drogue dans la société malgache ................ 9

6.1-Les causes de la consommation de drogue aux jeunes malgaches .......................... 9

6.2-Les conséquences de la consommation de drogue aux jeunes malgaches ............ 10

Chapitre 7 : La réalité ici à Madagascar concernant les affaires de la drogue .............. 12

Chapitre 8 : Solution ...................................................................................................... 14

8.1-Famille................................................................................................................... 14

8.2-Ecole ...................................................................................................................... 14

8.3-Responsable........................................................................................................... 15

8.4-Société ................................................................................................................... 15

CONCLUSION

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